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Stratégie Accents
... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial
Regardez par-dessus l’épaule de nos analystes actions
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Les banques centrales veulent tenir les rênes !
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Un nouveau réservoir de consommateurs
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Misez sur les entre- 11 prises qui rachètent leurs propres actions ! Renforcer la stabilité 12 grâce aux actions à haut dividende Un portefeuille d’obligations bien réparti offre encore des perspectives
Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance N° 10 - 5 octobre 2012
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Thème
• Les fiches d’actions figurent également sur notre site internet • Elles reflètent les dernières prévisions de nos analystes
Regardez par-dessus l’épaule de nos analystes actions
Un investissement en actions individuelles doit toujours s’inscrire dans une répartition de portefeuille équilibrée. Tout portefeuille d’investissement doit par ailleurs correspondre au profil de risque de l’investisseur. Dans les limites de ce profil de risque, le portefeuille doit être suffisamment réparti entre les différentes catégories d’investissement (actions, obligations, immobilier, investissements alternatifs et liquidités), les régions et les secteurs. Les fiches actions de KBC peuvent vous aider à atteindre la répartition visée. Les fiches ont fait peau neuve. C’est l’occasion pour nous de commenter les informations qui sont mises à disposition par KBC à propos des actions individuelles.
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Une fiche d’actions rassemble l’essentiel
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L’investisseur a intérêt à sélectionner une entreprise offrant de belles perspectives bénéficiaires et dont la valorisation n’est pas encore trop élevée. Un investissement en actions individuelles est souvent entravé par la difficulté de rassembler toutes les informations pertinentes sur une société. KBC vous épaule en postant sur son site www.kbc.be/actions les fiches d’actions d’un grand nombre de sociétés. Parmi les 230 fiches d’actions, 78 portent sur des entreprises du Benelux. Nous suivons également pour vous 92 actions d’Europe occidentale et 45 d’Amérique du Nord.
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Stratégie & Accents
En haut de la fiche, vous trouvez la recommandation et d’autres informations comme le cours et l’objectif de cours. Dans sa recommandation, l’analyste financier se prononce sur l’évolution escomptée du cours de l’action. Son avis reflète ses prévisions pour les six prochains mois. Pour qualifier nos recommandations, nous utilisons les termes acheter, augmenter, conserver, réduire et vendre (voir encadré).
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Pour déterminer la valeur d’une action, les analystes utilisent des techniques conformes au marché, qui peuvent varier selon les secteurs et les entreprises. L’analyste traduit ensuite la valeur estimée en un objectif de cours par action, soit le cours que l’action atteindra selon lui dans les six mois. Le suivi quotidien des entreprises, assorti d’une analyse des résultats, permet à notre analyste de se forger une opinion sur les points forts et les points faibles de celles-ci. La situation actuelle mais surtout les perspectives de l’entreprise y sont prépondérantes. Vu qu’il n’y a pas chaque jour des nouvelles susceptibles de modifier notre perception d’un investissement, nous mentionnons également la date à laquelle notre vision a été corrigée en dernier lieu.
Toutes les formules d’épargne et d’investissement de KBC ont un score produit. Celui-ci permet de comparer la sensibilité de nos formules d’épargne et d’investissement au risque sur la base d’une même méthode. Un investissement en actions individuelles affiche le score le plus élevé. Si vous avez un autre profil de risque, renseignez-vous auprès de votre chargé de relations. Sur la première page d’une fiche d’action, vous trouvez également les derniers résultats, ainsi qu’un graphique du cours de l’action par rapport aux concurrents et au marché des actions au sens large. À la deuxième pas figure un résumé des activités de l’entreprise et des chiffres clés de ces dernières années.
Pour chaque entreprise, il y a des arguments structurels qui sont favorables ou défavorables à un investissement dans l’action. Vous les retrouvez dans notre opinion résumant les atouts et les faiblesses de l’entreprise. Si notre analyste estime que l’action ne surperformera pas le marché, nous sélectionnons alors quelques actions de remplacement qui bénéficient d’une recommandation plus positive.
Signification des recommandations Nos analystes comparent le cours de Bourse actuel de l’action et son objectif de cours. En fonction de la différence entre les deux, l’action recevra la recommandation suivante : Acheter : l’analyste prévoit que l’action va augmenter d’au moins 10% dans les six prochains mois. Augmenter : l’analyste prévoit une augmentation de l’action pouvant aller jusqu’à 15% dans les six prochains mois. Conserver : l’analyste prévoit que l’action va baisser ou augmenter de maximum 5% dans les six prochains mois. Réduire : l’analyste prévoit une baisse de l’action pouvant aller jusqu’à 15% dans les six prochains mois. Vendre : l’analyste prévoit que l’action va baisser d’au moins 10% dans les six prochains mois.
acheter augmenter conserver réduire vendre
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Stratégie
• Le regain d’incertitude incite à la prudence. • Les nouvelles mesures de stimulation procurent une bouffée d’oxygène aux gouvernements.
Les banques centrales veulent tenir les rênes ! peuvent pas être) en partie reconduits Les indicateurs économiques s’as- En quête de croisen 2013, le revenu net total des mésombrissent et les risques se sont sance… nages américains risque d’être écorintensifiés ces derniers mois. Le flou plane sur la politique budgé- L’économie mondiale a réduit la voi- né d’environ 5%. Aucun politicien, taire américaine, les conséquences lure plus fortement que prévu au deu- Démocrate ou Républicain, n’ose négatives de la cherté du pétrole et xième trimestre. L’effondrement de prendre une telle responsabilité. des denrées alimentaires, le finan- la confiance des producteurs et des cement de l’Espagne, le poten- consommateurs suggère qu’il ne faut tiel de croissance des économies pas s’attendre à une nette améliora- Les banques centrales émergentes asiatiques,... tion à court terme. sortent la grosse artille Malgré tous ces risques, l’année 2012 Le marché de l’emploi US et le rie. pourrait encore être un bon cru en ma- consommateur américain restent des tière d’investissements. Depuis le dé- éléments clés pour la conjoncture Les principales banques centrales ont but de l’année, pris de nouvelles meun portefeuille sures ou poursuivent obligataire diverles initiatives exissifié a rapporté tantes, afin de complus de 7% et battre la crise finanL’année 2012 promet malgré tout d’être un portefeuille cière et économique. un bon cru en matière d’investissements d’actions interAux États-Unis, au nationales enviRoyaume-Uni, au Jaron 15%. Les pon et dans la zone investisseurs euro, elles mènent obnubilés par la crise de l’euro et les (mondiale). Si les entreprises n’étaient une politique d’assouplissement moautres menaces planant sur l’écono- guère enclines à engager ces derniers nétaire et quantitatif. mie mondiale sont certainement per- mois, pourquoi le seraient-elles dans plexes et pensent peut-être avoir raté les mois à venir ? Les entreprises et La Banque centrale américaine (Fed) le coche. Nous sommes néanmoins les ménages se posent des questions maintiendra son taux directeur à un étonnés par ce goût du risque. Les sur le contexte fiscal et leurs revenus bas niveau au moins jusque mi-2015. marchés financiers semblent avoir une en 2013. Elle a également entamé un troiconfiance aveugle dans les banques sième programme d’assouplissement centrales et rebondissent, ce qui incite De nombreux incitants publics tempo- quantitatif. Elle compte racheter pour à une certaine prudence. raires arriveront à échéance fin 2012. 40 millions USD de titres de dette hySi ces derniers ne sont pas (ou ne pothécaire par mois. Cette mesure de-
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obligations (JPM Global Bond index) Actions (Indice mondiale)
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Bon cru pour les actions et les obligations (en euro)
vrait soutenir le timide redressement du marché résidentiel et du secteur de la construction mais la question est de savoir si les interventions de la Fed permettront de stimuler durablement l’emploi.
L’OMT n’est pas la solution ultime à la crise de l’euro. La Banque centrale européenne (BCE) s’est également lancée dans un pro-
ditionnel. Les titres de dette entrent en considération pour le programme OMT, si le gouvernement a demandé l’aide du fonds de secours européen (FESF) ou de son successeur permanent, le MES, et se soumet par définition à des conditions strictes. L’OMT ne constitue toutefois pas la solution ultime à la crise de l’euro. C’est le rôle des politiciens. L’OMT procure aux pays en difficulté une marge de manœuvre pour poursuivre les lourds mais indispensables assai-
Le marché de l’emploi US et le consommateur américain restent des éléments clés pour la conjoncture
gramme d’assouplissement quantitatif, baptisé Outright Monetary Transactions (OMT), qui prévoit le rachat à grande échelle d’obligations d’État. Il est illimité en termes de durée et d’ampleur mais ne constitue pas pour autant un chèque en blanc inconStratégie & Accents
nissements et réformes. L’avenir nous dira s’ils tiendront bon. L’annonce de l’OMT a toutefois le mérite d’avoir muselé les eurosceptiques, ce qui constitue peut-être un tournant dans la crise.
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Actions sans protection du capital Actions avec protection du capital Obligations
Stratégie
Immobilier Placements alternatifs Cash
Portefeuille Dans le portefeuille cible très défensif, nous investissons 12,5% en actions. La position en actions se compose intégralement d’instruments à capital protégé (25%), dont le risque actions s’élève à 50%. La composante obligataire représente 40,5% du portefeuille, y compris la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 12,5% (soit 50% de 25%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 28% directement en obligations. Les liquidités représentent 47% du portefeuille. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent très peu à un portefeuille très défensif.
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Dans le portefeuille cible défensif, nous investissons 27,5% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 7,5% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 40%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 62,5% du portefeuille, par rapport à notre norme à long terme de 75%. Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 20% (soit 50% de 40%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 42,5% du portefeuille directement en obligations. Les liquidités (8% du portefeuille) sont investies en euro. Les accents se rapportant à des investissements dans d’autres monnaies que l’euro conviennent peu à un portefeuille défensif.
Dans le portefeuille cible dynamique, nous investissons 50% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 27% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 46%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 43% du portefeuille (contre une norme à long terme de 50%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 23% (soit 50% de 46%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 20% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités sous la main. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille dynamique.
Dans le portefeuille cible très dynamique, nous investissons 72% en actions. Les instruments sans protection de capital représentent 57% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 30%. Leur risque actions s’élève à 50%. Les obligations représentent 21% du portefeuille (contre une norme à long terme de 25%). Il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions à capital protégé, qui occupe 15% (soit 50% de 30%, cf. supra) du portefeuille. Nous investissons 6% du portefeuille directement en obligations caractérisées par une durée résiduelle relativement courte (max. 3 ans). Nous gardons 5% de liquidités sous la main. Tous les accents mentionnés conviennent à un portefeuille très dynamique. Stratégie & Accents
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Obligations publiques Obligations d’entreprises
Les actions restent le meilleur choix. L’investisseur en quête de valeur se tourne inévitablement vers les actions. La prime de risque (= le rendement supplémentaire que l’investisseur peut actuellement attendre des investissements en actions) est exceptionnellement élevée par rapport aux obligations d’État, qui sont chères. Le portefeuille d’actions affiche une composition plutôt défensive. Nous recherchons des entreprises qui versent des dividendes alléchants par rapport à leurs concurrentes et distribuent ainsi leurs liquidités excédentaires à leurs actionnaires. Nous restons optimistes à l’égard des marchés émergents asiatiques mais le risque d’un passage à vide s’est intensifié à court terme. Les actions technologiques constituent dès lors la seule priorité marquée définie dans le portefeuille d’actions (cf. infra).
Obligations convertibles Obligations indexées Obligations marchés émergents Monnaies satellites de l’euro du dollar, PLN
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Nous limitons au maximum le poids des obligations d’État classiques. Par leur programme QE3/OMT, les banques centrales veulent maintenir les taux obligataires à un bas niveau. Dans ce cadre, elles visent des segments spécifiques du marché obligataire. Nous prévoyons dès lors une légère hausse des taux obligataires de référence (taux des obligations allemandes pour la zone euro et des bons du Trésor pour les États-Unis) et un nouveau rétrécissement des différentiels de taux au sein de l’UEM et entre les obligations d’État et d’entreprises. Les obligations d’État n’offrent aucune protection contre l’inflation et sont donc très vulnérables. Une hausse du taux des obligations d’État allemandes à dix ans à 2% (contre 1,60% actuellement) entraînerait une perte de cours d’environ 2,5%. Les investisseurs qui conservent leurs obligations jusqu’à l’échéance ne doivent pas se préoccuper des pertes de cours intermédiaires mais bloquer son argent pendant dix ans pour un rendement de 1,60% comporte des risques inflationnistes. Nous privilégions les obligations d’entreprises et les obligations à haut rendement.
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PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS très défensif
défensif (très) dynamique
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80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% EUR
USD
Autres
PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS (très) dynamique
Stratégie & Accents
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Stratégie Priorités définies dans le portefeuille
Technologie Le secteur technologique a perdu son caractère agressif du temps de la bulle dotcom, sans être mature pour autant. La valorisation moyenne et les prévisions de croissance bénéficiaire des analystes pourraient pourtant laisser entendre le contraire. Le potentiel de croissance du secteur est sous-estimé. Il sera le premier à profiter du redémarrage de la demande d’investissement. Le secteur a de nouveau publié d’excellents résultats pour le deuxième trimestre 2012. Le bénéfice a augmenté de près de 9,7% par rapport à l’an dernier (contre +0,0% pour le marché global), pour une progression de 8,8% du chiffre d’affaires (contre +0,6% pour le marché global). Les prévisions bénéficiaires sont malgré tout très prudentes. Le rapport cours/ bénéfice de 12,1 est inférieur à celui du marché américain global (13,4). Il est même extrêmement bas dans une perspective historique car le secteur était en moyenne plus cher de 38% ces quinze dernières
Stratégie & Accents
années. La croissance bénéficiaire escomptée est conforme au marché. La technologie est toutefois le secteur qui affiche la croissance bénéfi-
ciaire la plus élevée (jusqu’à deux fois supérieure à la moyenne du marché). De bonnes surprises sont donc possibles.
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Ventilation sectorielle du portefeuille d’actions Energie Matériaux Industrie Consommation discrétionnaire Biens de consommation de base Santé Finance Technologie de l’information Télécommunications Services aux collectivités 0%
5% Ventilation actuelle
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Ventilation neutre
Perspectives économiques 28-09-2012 Croissance économique (%) 2011 2012 2013 Inflation (%) 2011 2012 2013 Taux officiel (%) (*) 28-09-2012 Décembre 2012 Mars 2013 Taux à dix ans (%) (*) 28-09-2012 Décembre 2012 Mars 2013 Cours de change (**) 28-09-2012 Décembre 2012 Mars 2013
UEM
Royaume-Uni
Etats-unis
Japon
1,6 -0,5 0,3
0,8 -0,6 0,5
1,8 2,1 1,9
-0,7 2,2 1,4
2,7 2,4 1,8
4,5 2,6 1,9
3,1 2,1 1,9
-0,2 0,1 0,1
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0,50
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0,10
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0,82
1 EUR = GBP 0,79
1 EUR = USD 1,29
1 EUR = JPY 99,93
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(*) : hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel; : hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.; : appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc. ( * * ) : appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel;
Stratégie & Accents
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Organismes de placement collectif (OPC)(1)
Sous la loupe
Accents • La demande de produits occidentaux augmente. • Les entreprises occidentales tiennent à profiter de la hausse de la demande.
Un nouveau réservoir de consommateurs
Selon les estimations, la classe moyenne dans les pays émergents comptera deux milliards de personnes supplémentaires dans les vingt prochaines années. Elle dispose de toute latitude pour consommer, grâce à son taux d’épargne élevé et à son faible endettement. Elle adopte en outre un mode de consommation de plus en plus occidental. Les habitudes alimentaires se transforment (plus de viande et de produits laitiers) et les marques connues ont la cote. Les pays émergents sont de plus en plus confrontés
à des maladies typiquement occidentales liées à la prospérité et à la vieillesse. Ils ont par conséquent un besoin croissant de médicaments et de technologies médicales (équipements, prothèses,…) et de produits proposés par des entreprises actives dans le secteur de la santé. Beaucoup d’entreprises bien établies en Occident profitent de ces tendances et réalisent dès à présent une part importante de leur chiffre d’affaires sur les marchés émergents. Emerging Market Consumers 1 anticipe cette évolution et offre la protection du capital à l’échéance.
KBC Equisafe Emerging Market Consumers 1 En sa qualité de promoteur, KBC propose Emerging Market Consumers 1, un compartiment de la sicav(1) de droit
belge KBC EquiSafe. Le panier se compose de 20 actions d’entreprises internationales triées sur le volet, dont une partie du chiffre d’affaires est générée par les consommateurs des pays émergents. La hausse éventuelle ((valeur finale – valeur initiale)\ valeur initiale) du panier est versée à l’échéance à titre de plus-value, en plus de la mise initiale. La plusvalue est plafonnée à 100% (maximum 11,30% en moyenne en base annuelle, avant frais et taxes). Une baisse du panier n’est pas prise en compte. Votre mise initiale est donc totalement protégée à l’échéance (1 000 euros, avant frais et taxes). Vous ne courez aucun risque de change : le fonds est libellé en euro. Les fluctuations de change des actions cotées dans une autre monnaie n’affectent pas le rendement. Cet investissement s’adresse aux investisseurs ayant un profil de risque défensif. (1) Voir aussi la note 1 à la dernière page.
KBC Equisafe Emerging Market Consumers 1 est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equisafe. Période d’émission : du 1er au 29 octobre 2012 avant six heures du matin (sauf clôture anticipée), avec date valeur le 8 novembre 2012. Frais d’entrée : 2,50% pendant la période d’émission, 3,50% par la suite (dont 1% pour le compartiment). Frais de sortie : à l’échéance finale : néant ; avant l’échéance finale : 1% (pour les ordres à partir de 1,25 million EUR : 0,50%). Taxe boursière : 1% à la sortie (max. 1 500 euros); à l’échéance finale : néant. Service financier : KBC Bank, Centea et CBC Banque. Le prospectus simplifié et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement dans toutes les agences de KBC Bank, CBC Banque et Centea. La plus-value est exonérée du précompte mobilier.
Stratégie & Accents
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Assurance placement de la branche 23(1)
Sous la loupe
Accents • Entreprises très saines • Acheter au bon moment fait toute la différence !
Misez sur les entreprises qui rachètent leurs propres actions !
Les entreprises qui rachètent leurs propres actions lancent un signal fort. Elles croient dans leur potentiel de croissance et estiment qu’un rachat d’actions propres est plus intéressant que d’autres possibilités d’investissement. Une enquête a révélé que les entreprises qui rachètent leurs propres actions éclipsent le marché pendant trois à quatre ans après l’annonce de l’opération. Les actions Buyback présentent en outre un caractère légèrement plus défensif et sont donc moins sensibles aux fluctuations du marché. Les marchés d’actions ont dégagé de belles performances depuis début 2012. Faut-il attendre une correction boursière pour acheter ? Les fonds dotés de la formule Timing contournent cette question en déterminant la valeur initiale du panier, qui servira de base au calcul du résultat final, non pas au moment du lancement mais plus tard. La valeur la plus faible du panier sur plusieurs jours d’observation, répartis pendant les premiers mois de la durée, est retenue comme valeur initiale définitive. La formule Timing protège ainsi l’investisseur contre une éventuelle chute soudaine du panier après le lancement.
KBC-Life MI Timing Buyback-1 En sa qualité d’assureur, KBC lance Timing Buyback-1, un fonds de l’assurance placement de la branche 23 KBCLife Multinvest. La valeur d’inventaire suit un panier de 20 actions d’entreprises menant une politique de rachat d’actions propres. Le panier se compose d’actions européennes et américaines triées sur le volet et présente une répartition sectorielle équilibrée. À l’échéance finale, vous recevez 100% de la hausse du panier des 20 actions Buyback. Une baisse du panier n’est pas prise en compte. L’évolution du panier est calculée à partir de la meilleure valeur initiale, qui correspond à la valeur la plus faible entre la valeur initiale et les six valeurs observées pendant les six mois suivant le lancement (soit le premier jour ouvrable bancaire de décembre 2012 à mai 2013). Le fonds offre la protection du capital à 100% à l’échéance finale. Il est libellé en EUR. Vous ne courez donc aucun risque de change. Certaines actions du panier
sont libellées dans d’autres devises, dont l’évolution du cours de change n’a toutefois aucune incidence sur le rendement.
(1) Voir aussi la note 3 à la dernière page.
Conditions : période d’émission du 1er au 27 octobre 2012 (sous réserve de clôture anticipée). Date de paiement : 8 novembre 2012. Valeur d’inventaire initiale : 1 000 EUR. Versement initial minimal : 2 500 EUR. Classe de risque III sur une échelle de Ø (faible risque) à VI (risque élevé). Frais d’entrée : 3% par versement, déduits du montant de souscription. Taxe d’assurance sur les versements : 1,1%. Frais de sortie avant l’échéance finale : 1%, à l’échéance finale : 0%. Commission de gestion : 2,4% en base annuelle (déjà inclus dans la valeur d’inventaire). Montant de retrait minimal : 1 250 EUR. En cas de retrait partiel, un montant d’au moins 1 250 EUR doit rester investi.
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Accents
Actions en point de mire
• Les actions restent la forme d’investissement la plus intéressante • Il est essentiel d’être attentif au risque
Renforcer la stabilité grâce aux actions à haut dividende
Les banques centrales ont pris de nouvelles mesures pour soutenir l’économie. Le ralentissement de la conjoncture et l’incertitude persistante les y ont contraintes. Les taux directeurs resteront bas pendant encore un bon bout de temps. Les investisseurs sont devant un dilemme. Faut-il investir de façon sûre avec un rendement moindre ou prendre des risques ? Le choix ne doit pas nécessairement être tranché. Grâce à leur flux de revenus stables, les actions à dividende élevé apportent un caractère défensif au portefeuille d’actions.
Les choix judicieux apportent un aspect défensif au portefeuille d’actions
Pour les stratèges de KBC, celui qui est en quête de rendement ne dispose guère d’alternatives. Les actions restent la catégorie d’investissement la plus intéressante. Ce constat est déjà confirmé par le rendement de dividende à lui seul. Le rendement de dividende des actions européennes s’élève actuellement à 4,05%, soit plus que la rémunération des emprunts publics, qui a atteint des niveaux historiquement bas. Pour donner un coup de pouce à l’économie, les banques centrales ont décidé de maintenir les taux au plancher pendant un bon bout de temps encore. En période de taux bas persistants, il est malaisé de trouver des investissements qui, d’une part, répondent aux attentes en matière de rendement et, d’autre part, ne comportent pas trop de risques. Si les investissements en actions génèrent encore du
Stratégie & Accents
rendement, ils ne sont pas exempts de risques. Il convient d’y être attentif. Compte tenu de la situation économique, nous conseillons même de renforcer le caractère défensif de notre portefeuille d’actions et de le rendre plus sûr. Les actions à haut dividende sont un bon moyen d’y parvenir.
À la recherche d’actions affichant un haut rendement courant et une faible sensibilité au marché Les actions à haut dividende sont des actions d’entreprises solides de qualité actives dans différents secteurs et régions, affichant d’excellents bilans et offrant aux investisseurs un afflux de revenus par le biais d’un dividende élevé. Lorsque les Bourses évoluent de façon assez plane, les investisseurs attachent une plus grande importance à un flux de revenus stables. Les revenus de dividendes annuels
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récurrents procurent une belle stabilité et un caractère défensif au portefeuille d’investissement. Le net rétablissement de leur bénéfice, leurs liquidités abondantes et leur valorisation attrayante incitent de nombreuses sociétés à verser un dividende (majoré). Les dividendes versés refluent directement vers les actionnaires. Les entreprises donnent ainsi un signal fort de leur volonté de créer de la valeur pour l’actionnaire. À long terme, le dividende versé représente la principale composante du rendement généré par les actions. La capitalisation des dividendes est essentielle pour le rendement à long terme. En l’espace de vingt ans, la capitalisation des dividendes permet quasiment de doubler le rendement (voir graphique).
Entreprises matures, bien dirigées Souvent, les entreprises qui versent un pourcentage élevé de leur bénéfice font mieux que leurs concurrentes sur le long terme. Le versement d’un dividende élevé dénote en effet une politique financière efficace, qui ne thésaurise pas les liquidités excédentaires mais les affecte aux projets les plus rentables.
gents asiatiques mais le risque d’un passage à vide s’est intensifié à court terme. Les actions technologiques constituent dès lors la seule priorité marquée définie dans le portefeuille d’actions.
Les actions au dividende généreux affichent un rendement stable et cadrent parfaitement avec une stratégie acheter-et-conserver. Ces entreprises ont aussi fortement tendance à racheter leurs actions ou se font racheter, ce qui génère encore un rendement supplémentaire.
Les investisseurs attachent une plus grande importance à un flux de revenus stables
Processus d’investissement unique KBC suit un processus d’investissement unique. Les stratégies classiques axées sur les dividendes élevés optent essentiellement pour des secteurs à croissance lente (services aux collectivités, santé,…). KBC, en revanche, vise une composition sectorielle neutre et sélectionne les entreprises versant le dividende le plus élevé au sein de chaque secteur. Elle allie ainsi dividende élevé et potentiel de croissance.
Si vous êtes intéressé par nos analyses d’actions, demandez à votre conseiller Épargne et Placements de vous procurer la publication Stratégie & Accents ACTIONS.
Dans notre stratégie, nous restons optimistes à l’égard des marchés émer-
1.500,00 1.400,00 1.300,00 1.200,00 1.100,00 1.000,00 900,00 800,00 700,00 600,00 500,00 400,00 300,00 200,00 100,00
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marché d’actions mondial
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marché d’actions mondial, dividende compris
La capitalisation des dividendes est essentielle à long terme
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Accents :
Obligations en point de mire
• Tout portefeuille doit comporter des obligations soigneusement sélectionnées. • Les entreprises affichent des bilans sains
(1)
Un portefeuille d’obligations bien réparti offre encore des perspectives
Avec la crise de l’euro et les autres obstacles qui risquent d’entraver l’économie mondiale, on pourrait croire que l’année 2012 est déjà perdue d’avance ; pour les obligataires, elle semble toutefois prometteuse. Depuis le début de l’année, un portefeuille obligataire diversifié en euro a rapporté plus de 7%. Les nouvelles mesures prises aux États-Unis et en Europe en vue de soutenir l’économie stimulent la demande d’obligations de qualité. Les investisseurs sont toujours en
quête de rendements courants corrects sans risques excessifs. La politique de taux d’intérêt des banques centrales et les nouvelles mesures incitatives visent à maintenir les taux obligataires au plancher pour donner un coup de pouce à l’économie. Les nouvelles mesures prises aux États-Unis et en Europe stimulent la demande d’obligations de qualité.
Les obligations d’entreprises offrent toujours des opportunités En Europe, les obligations d’entreprises offrent pratiquement 2% de plus que les emprunts publics allemands. Aux États-Unis, l’écart de taux entre les obligations corporate en USD et les emprunts publics américains atteint 1,6%, ce qui est beaucoup dans une perspective historique. Bien que le niveau absolu
des intérêts soit faible, les obligations d’entreprises offrent une belle rémunération pour le risque de crédit. Nous pensons cependant que le différentiel de taux d’intérêt entre les obligations d’entreprises et les emprunts d’État va encore se resserrer. Un rétrécissement éventuel de cet écart est toutefois favorable aux cours des obligations d’entreprises. Les obligations d’entreprises en EUR et en USD affichent actuellement un rendement courant de 2,6% et 2,9% respectivement. L’écart de taux important avec les obligations d’État ne se justifie pas. Les entreprises enregistrent toujours des bénéfices et affichent des bilans sains, ce qui réduit le risque de défaillance. Il faut toutefois rester vigilant. Si vous investissez dans une seule entreprise, vous augmentez le risque. Il se peut en effet que ce soit précisément cette entreprise, apparemment saine, qui trébuche inopinément. Une bonne répartition vous apporte toute la tranquillité d’esprit. Les obligations financières des banques et des compagnies d’assurances offrent un meilleur rendement que celles émises par d’autres sociétés. Du fait que beaucoup d’organismes financiers ont connu des pro(1): voir aussi la note 2 à la dernière page
Stratégie & Accents
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blèmes pendant la crise du crédit de 2008, les investisseurs continuent de leur réclamer un surcroît de rémunération. Mais ici aussi, la rémunération supplémentaire par rapport aux autres obligations est exagérée. Le secteur financer se porte mieux qu’à l’époque : les banques ont réduit leur profil de risque, notamment en augmentant leur capital, et les banques centrales ont ouvert tout grand le robinet des liquidités.
rapporte facilement 3,5 à 4%. De nombreuses monnaies des marchés émergents sont en outre fortement sous-évaluées par rapport à l’euro : leur appréciation pourrait générer un rendement supplémentaire.
réputation, alors que maintenant, ils bénéficient d’une économique plus solide et affichent un endettement moins élevé que les pays occidentaux. Ici aussi, la diversification reste bien entendu indispensable. Les pays, devises et émetteurs doivent être sélec-
Une répartition mûrement réfléchie demeure essentielle
Même si cela paraît impensable dans le contexte actuel de crise, l’année 2012 reste néanmoins prometteuse pour les détenteurs d’obligations. Depuis le début de l’année, un portefeuille obligataire diversifié en euro a rapporté plus de 7%.
Marchés émergents Les obligations des marchés émergents ont également leur place dans tout portefeuille obligataire. Elles offrent une rémunération élevée. Dans le passé, les marchés émergents jouissaient souvent d’une mauvaise
Les obligations offrent encore des perspectives
tionnés selon des critères de qualité. Nous conseillons d’opter pour des obligations investment grade (ratio de solvabilité BBB ou supérieur). Un portefeuille diversifié de titres à revenu fixe des marchés émergents
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Les entreprises affichent des bilans sains Dettes par rapport aux capitaux propres
Notre sélection d’obligations(1) Monnaie
Emprunt
Prix Coupon d’émission ou cours indicatif
Rating
Rendement Contre(en %) valeur en EUR (*)
Marché secondaire AUD
COCA-COLA AMATIL LTD. 4,50% 2012/2018
102,60
06/09
A-
4,00
1663,84
NOK
ANZ BANKING CORP 3,75% 2012/2017
102,85
23/05
AA-
3,08
1411,45
NZD
GENERAL ELECTRIC. CAP CORP 4,25% 2012/2016
101,05
16/08
AA+
3,95
3268,66
TRY
RABO NEDERLAND 7,00% 2012/2015
102,20
17/08
AA
6,13
445,96
USD
BANQUE PSA FINANCE 4,375% 2011/2016
95,85
04/04
BBB-
5,70
1522,01
(1) (*)
Voir note (2) en dernière page. Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 28-09-2012
Stratégie & Accents
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Arrêt sur image Grosse artillerie Les banques centrales sortent la grosse artillerie ! Durant ces derniers mois, les principales banques centrales ont pris de nouvelles mesures ou poursuivent les initiatives existantes, afin de combattre la crise financière et économique. La Banque centrale américaine (Fed) a déclaré qu’elle ne relèvera pas son taux directeur avant mi-2015 et a annoncé un troisième plan de stimulation, principalement axé sur les titres de dette hypothécaire. Aucune échéance n’a été fixée. La Banque centrale européenne (BCE) a également lancé un nouveau programme, baptisé Outright Monetary Transactions, qui prévoit le rachat à grande échelle de titres de dette des pays en difficulté. Cela n’est pas nouveau ! La nouveauté réside dans la durée et l’ampleur illimitées du programme et dans le fait que seuls les gouvernements, qui ont demandé l’aide du MES et se soumettent à des conditions strictes, entrent en ligne de compte. Le programme procurera une bouffée d’oxygène aux pays en difficulté.
WWW
Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 6, 1080 Bruxelles. Stratégie & Accents est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM). Les données servant de base aux projections, scénarios, pronostics et cours cibles proviennent de sources fiables et de recherches propres. Cette recommandation n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’arrêté royal du 3 juin 2007 énonçant les règles destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements, et tombe par conséquent sous la définition légale de la communication publicitaire. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’action concernée avant la diffusion de la recommandation. Cette publication ne constitue pas un conseil en investissement personnalisé. L’investisseur doit encore déterminer, de préférence avec son conseiller Epargne et Placements ou son chargé de relations, si l’action cadre avec son profil de risque et son portefeuille de placement. KBC AM ou toute autre société du groupe KBC ne peuvent pas être tenues responsables d’une imprécision ou d’un oubli éventuels dans les données communiquées. Editeur responsable / rédacteur en chef: Alex Wolfers, Product & knowledge management KBC AM / Christiaan De Moor. Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles, telles qu’une description des activités de l’entreprise, le graphique illustrant l’évolution du cours de l’action, les événements les plus récents survenus dans l’entreprise et les résultats et prévisions communiqués par celle-ci dans son rapport annuel ou ses communiqués de presse. D’autre part, l’analyste financier y expose son opinion sur l’entreprise. Il en décrit les points forts et les points faibles et indique, dans son avis global, les motifs à la base de sa recommandation. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro 01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Pour certains éléments essentiels de la recommandation d’investissement, qui n’ont pu être repris sur la fiche faute de place, nous vous renvoyons aux «Directives générales régissant les recommandations d’investissement de KBC Asset Management» sur www.kbcam.be/equities. Photos utilisées: www.shutterstock.com (1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt. (3) Une assurance placement de la branche 23 est une assurance vie dont le rendement est lié à des fonds d’investissement. L’objectif des fonds sous-jacents consiste à réaliser une plus-value. La valeur des fonds peut varier dans le temps et est tributaire de la conjoncture économique. Le risque financier y afférent est entièrement assumé par le preneur d’assurance. La compagnie d’assurances ne garantit ni le remboursement des primes versées ni le rendement et ce, tant pendant la durée qu’à l’échéance du contrat. Les pronostics de rendement sont inhérents aux objectifs d’investissement des fonds sous-jacents. KBC-Life MI Timing Buyback-1 est un fonds de la gamme KBC-Life Multinvest, une assurance placement de la branche 23 proposée par KBC Assurances. L’investisseur peut désigner lui-même le bénéficiaire du capital constitué s’il venait à décéder. Le capital reste en outre disponible dans l’intervalle. L’investisseur peut en effet le réclamer à tout moment, en tout ou en partie. La valeur des fonds et de leurs unités n’est pas garantie par la compagnie d’assurances et peut fluctuer dans le temps. Le risque financier est supporté par le preneur d’assurance. De plus amples informations sont fournies dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière disponible auprès des conseillers KBC. Siège de la société : KBC Assurances SA – Professor Roger Van Overstraetenplein 2 – 3000 Leuven – Belgique. TVA BE 0403.552.563 - RPM Leuven - Compte bancaire 730-0042006-01 - FSMA 038571 A - IBAN BE43 7300 0420 0601 - BIC KREDBEBB.
Parution du prochain numéro le 31 octobre 2012