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Stratégie Accents
... pour la gestion de votre patrimoine personnel et familial
Suivez vos investissements en un clin d’oeil !
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Le retour de la confiance
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Le meilleur de deux mondes
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Nous sommes optimistes à l’égard du secteur de la santé
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Le soleil perce les nuages dans la zone euro
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Les économies émergentes sont à l’épreuve des fluctuations
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Une publication mensuelle de KBC Banque & Assurance N° 09 - 6 septembre 2013
À retenir :
Thème
• Nouveau relevé offrant de nombreuses possibilités. • En tant qu’abonné au service Conseil patrimonial, vous pouvez accéder à des informations supplémentaires.
Suivez vos investissements en un clin d’oeil !
Outre le relevé patrimonial, vous pouvez suivre aisément l’évolution de vos fonds et assurances placement KBC grâce au nouveau tableau de bord de KBC-Online. Vous déterminez vousmême les détails que vous souhaitez afficher. Le tableau de bord repose sur un principe simple. Il fournit une représentation visuelle de l’évolution de vos investissements, qui remportera sans doute votre suffrage. Nous avons donc veillé à ce que votre relevé de patrimoine soit doté des mêmes possibilités.
écran 1 :
Informations pratiques Dans KBC-Online, sélectionnez Épargne et placements > Consultation des placements > Tableau de bord de vos investissements. Nous vous enverrons le lien dans un message KBC-Online, afin de vous faciliter la tâche. Si vous utilisez Internet Explorer 7 ou une version antérieure, nous vous conseillons d’installer la dernière version afin de pouvoir utiliser toutes les possibilités.
• • Stratégie & Accents
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Une meilleure vision de la situation Le tableau de bord ne vise pas à afficher tous les investissements repris dans votre portefeuille. Ce rôle appartient au relevé patrimonial. L’écran initial du tableau de bord fournit une image succincte de l’évolution de vos fonds et assurances placement KBC. Dans l’écran 1, chaque investissement est représenté dans un cadre. Vous pouvez glaner d’autres informations, en choisissant une autre période ou en cliquant sur le cadre d’un produit.
Faites un choix judicieux parmi les produits de notre gamme ! Si vous êtes en quête d’opportunités, nous vous proposons tous les mois de nouveaux investissements. Nous vous aiderons volontiers à faire votre choix. Nous exposons également la stratégie d’investissement KBC dans un petit film sur Internet.
ment, quand la banque centrale a adapté son taux directeur. Possibilité d’accéder à la Stratégie d’investissement KBC. Nos spécialistes suivent de près l’évolution de la conjoncture mondiale et vous informent à ce sujet. Ils exposent également leur vision de la situation. Vous pouvez bien entendu lire l’intégralité de la Stratégie d’investissement KBC, dont le contenu est structuré en chapitres. Dans le chapitre consacré aux régions, vous pouvez ainsi prendre connaissance de la vision de la situation dans la zone euro. Nous vous facilitons encore davantage la vie. Les chapitres pertinents de la Stratégie d’investissement KBC sont associés à chacun de vos investissements. Vous pouvez ainsi identifier rapidement les facteurs économiques qui influencent vos investissements.
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• Le Tableau de bord de vos investissements n’est pas une alternative au relevé patrimonial existant
Outre les rendements, l’écran détaillé reprend des renseignements supplémentaires sur le contenu de l’investissement. Tous les documents relatifs à l’investissement (dont le commentaire du gestionnaire) sont rassemblés. Un clic suffit pour y accéder. Vous pouvez même consulter le commentaire mensuel de la stratégie d’investissement KBC.
Stratégie & Accents
Informations complémentaires
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Événements pertinents pour vos investissements Des événements sont indiqués sur le graphique illustrant l’évolution du cours de l’investissement. Il suffit de déplacer le curseur sur le graphique. Vous saurez alors quand le fonds a versé un coupon ou, si cela revêt une importance pour votre investisse-
À votre tour d’essayer ! Pour savoir comment se portent vos investissements, consultez votre tableau de bord ou cliquez sur l’icône Information dans votre relevé de patrimoine (écran 2). Nous avons en effet veillé à ce que votre relevé de patrimoine soit doté des mêmes possibilités.
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À retenir :
Stratégie
• L’optimisme conjoncturel nous amène à tirer certaines conclusions. • Nous relevons le poids des actions.
Le retour de la confiance
La confiance, l’axe autour duquel gravitent depuis quelque temps les marchés financiers, s’est appuyée cet été sur des nouvelles économiques favorables. Le moteur de l’économie mondiale semble tourner sur plusieurs cylindres et son régime s’est accéléré. L’évolution de la conjoncture dans les mois à venir reste incertaine. À l’Ouest, le rythme de la reprise n’est pas uniforme. Elle est en effet plus avancée aux États-Unis que dans la zone euro. Après six trimestres de contraction, l’économie européenne renoue avec la croissance (voir graphique). Nous sommes encore loin de la haute conjoncture, mais un élan d’optimisme nous amène à tirer certaines conclusions.
Les banques centrales maintiennent les taux du marché à un bas niveau L’annonce par la Réserve fédérale de l’abandon progressif de sa politique extrêmement accommodante dès que les conditions seront remplies a fait grimper de 1 point de pourcentage le taux des emprunts d’État américains à dix ans. Les investisseurs ayant suivi le mouvement, le taux des emprunts d’État allemands a également progressé de 0,5 point de pourcentage. Ils semblent ne pas avoir compris que le changement de cap de la Fed dépend de l’évolution économique. Mario Draghi, le président de la Banque Stratégie & Accents
centrale européenne, a dû répéter son message à plusieurs reprises pour les convaincre que les mesures politiques actuelles devraient suffire à préserver la reprise. Les banques centrales des ÉtatsUnis, du Royaume-Uni et du Japon continuent d’acheter des titres de dette, parmi lesquels des obligations d’État. Les établissements financiers peuvent ainsi échanger leurs crédits toxiques contre des liquidités, soit l’oxygène leur permettant d’octroyer de nouveaux crédits aux ménages et aux entreprises. En rachetant des titres de dette, les banques centrales compriment les taux du marché à court terme, mais elles freinent aussi
Les gouvernements vont modérer leur politique d’austérité à partir de 2014 Les États occidentaux assainissent leurs finances. La surprise de l’année vient des États-Unis, qui ont réussi un tour de force. La falaise fiscale, encore considérée fin 2012 comme la menace numéro un pour l’économie mondiale, ne fait plus couler beaucoup d’encre. Les politiciens n’étant pas parvenus à s’entendre, l’État fédéral est confronté au gel des budgets et le déficit budgétaire américain fond comme neige au soleil.
Après six trimestres de contraction, la zone euro renoue avec la croissance
indirectement les taux à long terme. Dans la zone euro, la période d’injection massive de liquidités par la BCE touche progressivement à sa fin. Les crédits à court terme octroyés en 2011 et 2012 atteignent peu à peu leur échéance.
L’Europe poursuit sa politique d’austérité, même si tous les États membres n’atteignent pas leurs objectifs. La Commission européenne, qui a cédé à la pression politique des États membres, se montre plus souple. Pour les cinq à sept premiers mois de 2013, seuls la Grèce, le Portugal et l’Irlande semblent en passe d’atteindre leurs objectifs 2013, soit les trois pays placés sous le contrôle de la troïka. D’autres États membres parviennent à combler leur déficit budgétaire, mais
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ils n’atteignent que la moitié de l’effort promis, alors que les objectifs ont déjà été revus à la baisse. En 2014, la politique budgétaire va continuer de freiner la conjoncture, mais moins lourdement qu’en 2013.
Les investisseurs apprennent à vivre avec les imperfections de notre union monétaire La crise de l’euro a été reléguée à l’arrière-plan ces derniers mois. En 2013, aucune réforme structurelle de l’UEM n’a été mise en œuvre. Les marchés financiers ont relâché la pression, tandis qu’une certaine lassitude s’installait à l’égard de l’austérité. La crise de
Jusqu’au 22 septembre, les élections allemandes paralysent le processus décisionnel européen l’euro risque toujours de resurgir, mais la menace se réduit à mesure que la conjoncture européenne se redresse. Les marchés financiers s’adaptent aux règles d’une confédération partageant une monnaie commune. Derniers développements : les résultats budgétaires 2013 de la Grèce sont satisfaisants. Le programme d’aide en cours couvrira ses besoins jusqu’en août 2014, mais un nouveau plan sera nécessaire ensuite car
d’ici là, la Grèce ne sera pas encore suffisamment crédible pour émettre seule des obligations d’État. Dans des États membres tels que l’Allemagne, la question suscite la polémique. Un nouveau chancelier sera élu le 22 septembre. Il ne fait aucun doute que les élections allemandes paralysent le processus décisionnel européen.
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Source : KBC Asset Management
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La zone euro renoue avec la croissance Croissance en base annuelle (échelle de droite)
Stratégie & Accents
Confiance des entrepreneurs
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Actions sans protection du capital Actions avec protection du capital Obligations
Stratégie
Immobilier Placements alternatifs Cash
Portefeuille Dans le portefeuille cible très défensif, nous investissons 12,5% en actions. Nous complétons la position en actions par des formes d’investissement assorties de la protection du capital (25%). Le risque actions de ces instruments protégés s’élève à 50%. La position obligataire représente 40,5% du portefeuille, y compris la part à revenu fixe des investissements en actions avec protection du capital. Celle-ci représente 12,5% du portefeuille (soit 50% de 25%, cf. supra). Nous investissons 28% directement en obligations. Les liquidités représentent 47% du portefeuille. Les accents mentionnés se rapportant aux investissements dans d’autres monnaies que l’euro n’ont qu’une place très limitée dans un portefeuille très défensif.
Dans le portefeuille cible défensif, nous investissons 35% en actions. Les formules sans protection de capital représentent 15% du portefeuille. Les formules à capital protégé se voient attribuer un poids de 40%. Le risque actions de ces instruments protégés s’élève à 50%. La position obligataire représente 60% du portefeuille par rapport aux 75% de notre norme à long terme. Dans le risque obligataire, il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions avec protection du capital. Celle-ci représente 20% du portefeuille (soit 50% de 40%, cf. supra). Nous investissons 40% du portefeuille directement en obligations. Nous conservons 3% de liquidités dans le portefeuille d’investissements. Les accents mentionnés se rapportant aux investissements dans d’autres monnaies que l’euro n’ont qu’une place limitée dans un portefeuille défensif.
Dans le portefeuille cible dynamique, nous investissons 57% en actions. Les formules sans protection de capital représentent 34% du portefeuille. Les instruments avec protection de capital se voient attribuer un poids de 46%. Le risque actions de ces instruments protégés s’élève à 50%. La composante obligataire représente 41% du portefeuille (norme à long terme : 50%). Dans le risque obligataire, il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions avec protection du capital. Celle-ci représente 23% du portefeuille (soit 50% de 46%, cf. supra). Nous investissons 18% du portefeuille directement en obligations. Nous ne gardons plus de liquidités. Tous les accents mentionnés entrent en considération pour un portefeuille dynamique.
Dans le portefeuille cible très dynamique, nous investissons 80% en actions. Les formules sans protection de capital représentent 62% du portefeuille. Les formules avec protection du capital se voient attribuer un poids de 36%. Le risque actions de ces instruments protégés s’élève à 50%. La composante obligataire représente 18% du portefeuille (norme à long terme : 25%). Dans le risque obligataire, il convient également de tenir compte de la part à revenu fixe des investissements en actions avec protection du capital. Celle-ci représente 18% du portefeuille (soit 50% de 36%, cf. supra). Nous n’investissons pas directement en obligations. Nous ne gardons plus de liquidités. Tous les accents mentionnés entrent en considération pour un portefeuille très dynamique. Stratégie & Accents
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Obligations publiques Obligations d’entreprises
L’accélération attendue de la croissance occidentale pourrait donner un coup de pouce aux exportations du sud-est asiatique, ce qui pourrait également stimuler les pays exportateurs de matières premières. Il est toutefois évident que la reprise est jugée beaucoup plus probable qu’il y a quelques semaines.
Obligations convertibles Obligations indexées Obligations marchés émergents Monnaies satellites de l’euro du dollar, PLN
De bonnes raisons d’investir en actions Le mois dernier, nous soulignions que le risque d’un effondrement conjoncturel s’était considérablement réduit. Les indicateurs conjoncturels confirment aujourd’hui que la reprise s’appuie sur une base plus large. Dans ce contexte, nous ne voulons pas être les derniers à investir en actions. Les bénéfices des entreprises restent importants, même si le rythme de leur progression s’est sensiblement ralenti. Par-delà les différents cycles conjoncturels, la croissance bénéficiaire est supérieure à la croissance nominale du PIB mondial (qui atteint 5,5 à 6%) et nettement supérieure au taux à court ou à long terme (qui ne dépasse pas 3%). À rapport cours/bénéfice stable, les cours des actions doivent donc progresser d’environ 5,5 à 6%. Ajoutons-y un rendement de dividende de 2,65% pour l’indice mondial d’actions à 3,65% pour les actions européennes et nous obtenons un rendement escompté de près de 10%.
Portefeuille obligataire Nous sommes prudents à l’égard des obligations d’État en raison du bas niveau des taux du marché. Associer obligations d’entreprises et obligations des marchés émergents permet de dégager un rendement plus élevé à risque égal. Outre la prime de risque, un gain de cours sur les investissements dans ces pays est peut-être possible. De nombreuses devises des marchés émergents restent en effet nettement sous-évaluées face à l’euro. Les taux des marchés émergents sont supérieurs à ceux pratiqués dans les anciens pays industrialisés. Nous ne craignons pas une remontée des taux à court terme. Nous sommes conscients que des durées résiduelles plus longues peuvent produire un rendement plus élevé que les courtes. Nous ne souhaitons toutefois pas être bloqués au rendement actuel pendant une longue période. C’est pourquoi nous optons pour des durées résiduelles relativement courtes.
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PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS très défensif
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USD USD PORTEFEUILLE D’OBLIGATIONS (très) dynamique
Stratégie & Accents
Autres
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Stratégie Accents dans le portefeuille
Accent Dollar américain Le dollar américain nous permet de nous couvrir contre un éventuel rebondissement de la crise de l’euro, même si cela nous paraît peu probable. L’essentiel est de rester positif à l’égard de la monnaie US. Tant que le rapport USD/EUR reste supérieur à 1,00-1,10, le dollar est sous-évalué. Le cours d’équilibre évolue vers 0,90 à 1,00 USD/EUR. Il existe également un écart de croissance. Malgré le redémarrage conjoncturel de l’Europe, les perspectives de croissance y sont moins favorables qu’aux États-Unis. La politique des banques centrales diffère également. Le coup de frein conjoncturel sera donné aux États-Unis avant l’Europe. Les différentiels de taux d’intérêt jouent en faveur du dollar. La BCE va s’opposer à un raffermissement de l’euro. Les États-Unis donnent l’exemple, surtout sur le plan de la politique budgétaire. Le déficit budgétaire s’y résorbe à toute allure, ce qui contraste vivement avec la situation de l’UEM, où la plupart des pays n’atteignent pas les objectifs.
Accent - Actions de la zone euro Nous modifions radicalement notre ventilation géographique des actions. Nous renonçons à notre préférence pour les États-Unis et donnons la priorité à la zone euro. Nous croyons Stratégie & Accents
en la reprise européenne, dont les signaux se multiplient. La crise de l’euro devient de moins en moins problématique et dans ce contexte, la valorisation moins élevée des actions européennes ne se justifie plus. Ces derniers mois, les cours des actions américaines se sont progressivement calqués sur l’embellie conjoncturelle. Une amélioration se dessine en Europe et nous voulons en profiter dès le départ. Une analyse détaillée est proposée en page 12 de cette publication.
du grand luxe. D’autres raisons justifient d’investir dans les producteurs d’articles de luxe. Les ventes de ces produits sont nettement moins sensibles à la conjoncture qu’on ne le pense généralement. L’appétit pour le luxe augmente même trois fois plus vite que la croissance du PIB. Le secteur abrite de nombreuses entreprises européennes, ce qui renforce notre accent précédent. Enfin, nous soulignons depuis pas mal de temps dans la Stratégie d’investissement KBC que le consommateur asiatique, devenu boulimique, accapare une part croissante de la production. À présent que la croissance des bénéfices des entre-
Nous croyons en la reprise européenne
Accent - Articles de luxe Les producteurs d’articles de luxe sont un segment du secteur de la consommation discrétionnaire, dont la construction automobile, les médias et la distribution générale font également partie. Les producteurs d’articles de luxe ont un plus grand pouvoir de fixation des prix que d’autres entreprises. Les marques emblématiques profitent de l’image qu’elles se sont forgée au fil des années. Il est donc difficile de se faire une place dans le club sélect
prises s’arrête dans tous les secteurs et que les investisseurs remettent en cause la résistance des marges bénéficiaires, nous souhaitons investir là où les marges ne sont pas sous pression et où la croissance bénéficiaire est préservée.
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Ventilation sectorielle du portefeuille d’actions Energie Matériaux Industrie Consommation discrétionnaire Biens de consommation de base Santé Finance Technologie de l’information Télécommunications Services aux collectivités 0%
5% Ventilation actuelle
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Perspectives économiques 19-08-2013 Croissance économique (%) 2012 2013 2014 Inflation (%) 2012 2013 2014 Taux officiel (%) (*) 29-08-2013 11-2013 02-2014 Taux à dix ans (%) (*) 29-08-2013 11-2013 02-2014 Cours de change (**) 29-08-2013 11-2013 02-2014
UEM
Royaume-Uni
Etats-unis
Japon
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0,2 1,2 2,2
2,8 1,7 2,7
1,9 1,9 1,6
2,5 1,4 1,6
2,8 2,8 2,5
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0,50
0,25
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2,75
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1 EUR = GBP 0,85
1 EUR = USD 1,32
1 EUR = JPY 130,18
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(*) : hausse d’environ 25 points de base à partir du niveau actuel; : hausse d’environ 50 points de base à partir du niveau actuel; etc.; : appréciation d’environ 5 % envers l’euro à partir du niveau actuel; etc. ( * * ) : appréciation d’environ 2,5 % envers l’euro à partir du niveau actuel;
Stratégie & Accents
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Organismes de placement collectif (OPC)(1)
Sous la loupe
Accents • Des entreprises qui sont des leaders dans leur niche. • Une part considérable du chiffre d’affaires est réalisée en dehors du marché domestique.
Le meilleur de deux mondes
Dans un monde de plus en plus globalisé, nombre d’entreprises réalisent une part considérable de leur chiffre d’affaires en dehors de leur marché domestique. Ces multinationales ne sont pas forcément de grandes entreprises. Elles sont aussi de petites sociétés, qui sont des leaders mondiaux (Global Leaders) dans un domaine ou une niche. Ces leaders mondiaux s’implantent dans les régions bénéficiant d’un cadre institutionnel attractif, soit encore souvent dans le monde occi-
dental, où les institutions et la justice sont plus stables et plus fiables. Ils préfèrent cependant implanter production et services là où les coûts sont faibles, surtout lorsqu’il s’agit de production de masse. Ils recherchent en outre les meilleurs débouchés, la croissance des ventes étant souvent attribuable à la classe moyenne grandissante dans les marchés émergents. Les leaders mondiaux allient progression des ventes, souvent dans les marchés émergents à forte croissance, et implantation dans les pays industrialisés traditionnels. Ils réunissent donc le meilleur de deux mondes. Les leaders mondiaux ont pâti ces derniers mois du ralentissement de la croissance dans les marchés émergents. Dès que celle-ci redémarrera, ils seront bien placés pour en profiter.
KBC Equity Fund Global Leaders En tant que promoteur, KBC propose Global Leaders, un compartiment de la sicav de droit belge (1) KBC Equity Fund. Ce compartiment investit au minimum 75% de ses actifs en actions de multinationales affichant une capitalisation boursière élevée. L’omniprésence à l’échelon mondial est l’un de ses accents. La volatilité de la valeur nette d’inventaire peut être élevée en raison de la composition du portefeuille. Votre chargé de relations KBC pourra vérifier avec vous si ce produit vous convient dans une approche de produit. Voir aussi la note 1 à la dernière page.
Global Leaders est un compartiment de la sicav de droit belge KBC Equity Fund. Possibilité d’entrée et de sortie quotidienne. Frais d’entrée : 3%. Frais de sortie : néant. Montant destiné à décourager un retrait dans le mois qui suit l’entrée : max. 5%. Taxe boursière (parts de capitalisation) : 1% en cas de sortie (max. 1 500 EUR). Service financier : KBC Bank et CBC Banque. Les informations clés pour l’investisseur, le prospectus et le dernier rapport périodique sont disponibles gratuitement en néerlandais (et en français pour les informations clés pour l’investisseur) dans toutes les agences de KBC Bank et CBC Banque. Précompte mobilier sur les dividendes (actions de distribution) : 25%. Les plus-values (actions de capitalisation) ne sont pas soumises au précompte mobilier. La valeur nette d’inventaire est notamment publiée dans la presse financière (De Tijd et L’Écho) ainsi que sur le site www.kbc.be/recherchefonds.
Stratégie & Accents
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Assurance placement de la branche 23(1)
Sous la loupe
Accents • Le secteur s’est armé contre les expirations de brevets. • La pression sur les prix imputable aux économies effectuées dans la sécurité sociale se réduit.
Nous sommes optimistes à l’égard du secteur de la santé
La santé a perdu son statut de secteur de croissance au cours de la dernière décennie. Des lancements de produits à haut potentiel n’ont pas eu lieu malgré d’importants budgets de recherche et des produits importants ont perdu leur brevet. Mais le secteur a eu le temps de fourbir ses armes. D’un secteur de croissance cher, il est devenu un secteur défensif bon marché. La consommation de médicaments et l’utilisation d’appareillage médical par patient s’intensifient. Les marges bénéficiaires se rétablissent également. L’expiration de brevets a atteint un sommet en Europe et la pression sur les prix imputable aux économies réalisées dans la sécurité sociale se réduit.
KBC-Life MI Security Health Care-3 KBC Assurances lance Security Health Care-3, un fonds d’investissement de la gamme KBC-Life Multinvest, une assurance placement de la branche 23. Le rendement est lié à un panier de 20 actions d’entreprises internationales actives dans
le secteur de la santé. L’objectif consiste à prendre en compte à l’échéance finale (30-04-2020) 100% de la hausse éventuelle (2) du panier, avec un maximum de 60% (3). La baisse éventuelle est prise en considération à hauteur de 100%, avec un maximum de 10%. (3) Un autre objectif d’investissement consiste à maintenir à l’échéance finale au moins 90% de la prime investie nette (hors taxe et frais d’entrée). Ce fonds convient aux investisseurs au tempérament défensif. La classe de risque est de 3 sur une échelle de 0 (faible risque) à 6 (risque élevé). (1) Voir la note 2 à la dernière page. (2) (Valeur finale moins valeur initiale), divisée par la valeur initiale. (3) Le rendement actuariel atteint au minimum -2,35% et au maximum 6,60%, frais et taxe compris, hors précompte mobilier. Ce rendement n’est pas garanti. En cas de rachat pendant les huit premières années du contrat, les fonds présentant une durée inférieure à huit ans peuvent être soumis au précompte mobilier.
Conditions : période d’émission du 2 septembre au 28 septembre 2013 (sauf clôture anticipée). Date de paiement : 7 octobre 2013 sur le compte de KBC Assurances. Valeur d’inventaire initiale : 1 000 EUR. Versement initial minimal : 2 500 EUR. Frais d’entrée : 3% par versement, déduits du montant de souscription. Taxe d’assurance sur les nouveaux versements : 2%. Commission de gestion : max. 2,4% par an. Frais de sortie avant l’échéance finale : 1% ; à l’échéance finale : 0%. Montant de retrait minimal : 1 250 EUR. En cas de retrait partiel, un montant d’au moins 1 250 EUR doit rester investi.
Stratégie & Accents
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Accents
Actions en point de mire
• La zone euro renoue avec la croissance. • Les cours des actions devraient pouvoir combler leur retard sur les ÉtatsUnis.
Le soleil perce les nuages dans la zone euro
Aux États-Unis, les indicateurs annoncent déjà la croissance depuis quelque temps. Après six trimestres consécutifs de contraction, la zone euro renoue à son tour avec la croissance depuis le deuxième trimestre 2013. La reprise est particulièrement manifeste dans le nord de la zone euro. Après plusieurs trimestres de hausse progressive des cours aux États-Unis, les valorisations incorporent une partie de la reprise. Les cours des valeurs européennes sont en revanche restés
Stratégie & Accents
à la traîne par rapport aux actions américaines. C’est pourquoi nous abandonnons notre préférence géographique pour les actions américaines et donnons la priorité à la zone euro.
La crise de l’euro se calme Nous croyons à la reprise de la croissance dans l’UEM. Les indicateurs conjoncturels publiés en juillet et en août nous confortent dans notre opinion. La crise de l’euro pose de moins en moins problème et la valorisation moins élevée des actions européennes se justifie donc moins. Or les investisseurs ne sont pas guéris de la crise de l’euro. Dans le même temps, la conviction que la Banque centrale européenne (BCE) maîtrise la crise fait son chemin. Celle-ci est même en mesure de supprimer une partie des injections de liquidités de la période de crise. La BCE a en effet octroyé des crédits bon marché aux banques en août 2011, décembre 2011 et février 2012. Ceux-ci expireront progressivement début
2013. Les médias braquent régulièrement les projecteurs sur la construction européenne, une confédération partageant une monnaie commune. Mais en fin de compte, chacun a appris à vivre avec les lacunes de l’UEM. Le risque d’un rebondissement de la crise de l’euro s’atténue à mesure que la conjoncture européenne s’améliore.
Le moment est venu pour les actions européennes de rattraper leur retard Les actions européennes sont restées à la traîne La récession dans l’UEM a eu pour effet que la croissance bénéficiaire des entreprises européennes a pris près de 20% de retard sur celle des entreprises américaines. Cette période est aujourd’hui révolue. Les entreprises européennes au rayonnement international affichent des valorisations comparables à leurs concurrentes américaines. Les entreprises axées sur le marché intérieur sont nettement
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moins chères, ce qui ne se justifie absolument pas. Capgemini et Allianz en sont des exemples. Le moment est venu pour les cours d’effectuer un mouvement de rattrapage (voir graphique). Pour les douze prochains mois, les analystes tablent toujours sur une croissance bénéficiaire plus élevée aux États-Unis (+9,8%) qu’en Europe (+8,4%). Grâce à des reprises de provisions pour pertes sur crédits, l’embellie conjoncturelle aux ÉtatsUnis a déjà dopé les bénéfices des banques, ce qui devrait maintenant également être possible dans la zone euro. Nous souhaitons apporter deux nuances : Nous sommes pessimistes à l’égard des actions américaines. Les ÉtatsUnis sont le plus grand marché d’actions et dans la Stratégie d’investissement KBC, nous avons encore renforcé notre volet actions. Notre optimisme à l’égard de l’USD n’est pas incompatible avec un
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accent sur les actions européennes. Une appréciation du dollar est favorable à la compétitivité des entreprises européennes. Elle rend les produits européens moins chers à l’étranger.
Le redressement économique s’appuie sur une base plus large La zone euro sort de la récession. Après six trimestres de contraction, la zone euro renoue avec la croissance (+1,3% sur une base annuelle) au deuxième trimestre 2013. En base annuelle, la croissance atteint 2,9% en Allemagne et 2% en France. Des lueurs d’espoir sont même perceptibles dans les États membres les plus touchés. En novembre 2012, la confiance des producteurs européens a atteint son plancher. Ces trois derniers mois, ces baromètres ont fortement progressé, de manière même
spectaculaire en Espagne et en Italie. Alors qu’il y a quatre mois, les indicateurs de confiance étaient encore dans le rouge dans le sud de l’Europe, ils sont aujourd’hui près d’en sortir. Le revirement positif de la confiance des consommateurs, même dans les pays accusant un taux de chômage élevé, est prometteur. Nous gardons toutefois les pieds sur terre. Un regain d’optimisme n’est pas synonyme de haute conjoncture. La croissance attendue restera modeste tant en 2013 qu’en 2014. Si vous êtes intéressé par nos analyses d’actions, demandez à votre conseiller Épargne et Placements de vous procurer la publication Stratégie & Accents ACTIONS.
16 15 14 13 12 11 10 9 8 7 6 08-08 02-09 08-09 02-10 08-10 02-11 08-11 02-12 08-12 02-13 Rapport C/B prospectif États-Unis
Rapport C/B prospectif zone euro
Les actions européennes restent à la traîne par rapport aux valeurs américaines.
Informations sur l’entreprise Capgemini
Numéro un des services informatiques en Europe. Recommandation : acheter Modifications de recommandation pendant ces douze derniers mois : néant. Cours : 41,44 EUR Objectif de cours : 50,00 EUR
Stratégie & Accents
Allianz
Allianz est un assureur allemand actif dans les assurances dommages, les assurances vie et les assurances maladie. Recommandation : acheter Modifications de recommandation pendant ces douze derniers mois : néant. Cours : 108,77 EUR Objectif de cours : 128,00 EUR
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À retenir :
Obligations en point de mire
• Ne pas sous-estimer les fondamentaux économiques des marchés émergents. • L’aversion pour le risque est passagère.
(1)
Les économies émergentes sont à l’épreuve des fluctuations
La crainte de voir la Banque centrale américaine (Fed) renoncer à sa politique de soutien de la conjoncture a rendu les investisseurs nerveux. Les marchés émergents n’ont pas échappé à ce sursaut d’aversion pour le risque. Les taux du marché s’y sont en effet envolés ces derniers mois et les monnaies s’y sont dépréciées face à l’euro. Certains redoutaient la désaffection des investisseurs pour ces régions. Or cette crainte est sans fondement et la correction est pas-
sagère. Il convient en effet de ne pas sous-estimer les fondamentaux économiques des marchés émergents, d’autant plus que l’économie mondiale redémarre. Et tant que les banques centrales occidentales pratiqueront une politique extrêmement accommodante, maintenant ainsi les taux du marché à un bas niveau, les rendements des obligations des marchés émergents resteront attrayants. Celles-ci conservent par conséquent notre préférence dans la stratégie d’investissement KBC.
Des fondamentaux économiques solides À court terme, les rendements des obligations des marchés émergents dépendent de l’humeur des investisseurs, dont l’attention se porte aujourd’hui sur la réduction progressive de la politique extrêmement stimulante des banques centrales occidentales. Préserver la reprise conjoncturelle est en effet un exercice délicat. Dans les segments
aux volumes limités, tels que les obligations des marchés émergents, il en résulte une grande volatilité des cours, surtout en période de trêve estivale. À long terme, les investisseurs doivent se recentrer sur les caractéristiques suivantes des marchés émergents : leur endettement limité (tant celui des États que celui des entreprises) par rapport à celui de l’Occident ; leur croissance économique élevée ; leur importance grandissante dans l’économie mondiale ; leur capacité de résistance accrue aux fluctuations du marché. La plupart des marchés émergents ont résorbé leur dette en devises, ont augmenté leurs réserves en devises et ont consolidé leurs banques. Ils ont ramené l’inflation de moyennes proches de 15% à la fin des années 1990 à 4% aujourd’hui. Le graphique ci-joint (2) montre que les finances publiques y sont très saines. Par leur politique, les gouvernements et les banques centrales des marchés émergents se sont donc forgé une réputation de crédibilité et d’orthodoxie. Tous les marchés émergents ne sont toutefois pas logés à la même enseigne. Certaines monnaies sont plus vulnérables à la volatilité actuelle des marchés. Ainsi, la livre turque, le real brésilien, le rand sud-africain et la rou-
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(1): voir aussi la note 3 à la dernière page
Stratégie & Accents
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américaine. Une économie américaine vigoureuse, qui reste la première puissance économique, emmène le reste du monde à sa suite. L’amélioration constante de la confiance des entrepreneurs a confirmé ces derniers mois que la conjoncture mondiale renouait avec la croissance, ce qui devrait également stimuler les exportations asiatiques vers l’Occident. Les chiffres économiques publiés récemment en Chine permettaient déjà d’espérer que le redressement du moteur de la croissance asiatique s’est amorcé.
pie indonésienne sont les derniers de la classe. Les banques centrales de ces pays ne vont toutefois pas rester inactives : elles prendront des mesures pour rehausser l’attrait de leur économie aux yeux des investisseurs étrangers. Elles pourront ainsi utiliser les réserves en devises accumulées ces dernières décennies pour soutenir leur monnaie.
La croissance mondiale redémarre, les banques centrales occidentales maintiennent les taux à un bas niveau
tefeuilles obligataires. Nous y introduisons également des obligations en dollar américain à titre d’accent supplémentaire. Nous pensons que la correction sera passagère. La mer est agitée mais les navires sont robustes. Lorsque le calme sera revenu, les investisseurs comprendront que la plupart des marchés émergents sont sains et que ces obligations produisent un rendement supérieur à celui des obligations occidentales. (2) Le niveau d’endettement moyen a été calculé sur la base des pays repris dans un panier d’obligations des pays émergents, pondéré en fonction de l’importance dans ces marchés obligataires.
Quelle stratégie adoptons-nous dans le portefeuille obligataire ?
La réduction par la Fed de ses achats de soutien dans les mois qui viennent sera une excellente nouvelle, confirmant l’accélération de la croissance
Les obligations des marchés émergents en monnaie locale restent une composante importante de nos por-
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Les marchés émergents ne connaissent pas de problème d’endettement Dette publique (en % du PIB)
Notre sélection d’obligations(3) Monnaie Emprunt
Prix Coupon d’émission ou cours indicatif
Rating
Rendement Contre(en %) valeur en EUR (*)
Marché primaire AUD
DANSKE BANK A/S 5.000% 2012/2018
101.152
05/09
A-
4.736
1365.07
NZD
ABN AMRO BANK NV 5.750% 2013/2018
101.378
12/09
A
5.428
1199.53
Marché secondaire AUD
MERCEDES BENZ Australia 3.875% 2013/2016
101.150
12/07
A-
3.440
1372.50
CAD
VOLKSWAGEN FIN. SERV. NV 2.125% 2013/2017
100.100
05/04
A-
2.090
1450.97
NZD
RABOBANK NEDERLAND 4.250% 2013/2018
96.850
02/05
AA-
5.020
577.21
(1) (*)
Voir note 3 en dernière page. Contre-valeur en EUR des coupures minimales y compris les intérêts courus. Cours de change indicatif : 02-09-2013
Stratégie & Accents
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Arrêt sur image Le mois dernier, nous soulignions que le risque d’un nouvel effondrement conjoncturel à court terme s’était fortement atténué. Les indicateurs conjoncturels publiés en juillet et en août nous confortent dans notre opinion. La reprise économique s’appuie en effet sur une base plus large. L’économie américaine digère étonnamment bien les coupes budgétaires. Les investissements des entreprises et les exportations alimentent la consommation. L’Europe est sortie de la récession. Des lueurs d’espoir sont même perceptibles à la périphérie de la zone euro (Espagne, Portugal, etc.). Les perspectives évoluent favorablement au Japon et l’inquiétude entourant la résistance de la croissance chinoise ne se fonde sur aucun nouvel élément. Il n’empêche qu’un élan d’optimisme conjoncturel n’est pas synonyme de haute conjoncture. La croissance économique, tant pour 2013 que pour 2014, reste modeste.
WWW
Plus de renseignements sur: www.kbc.be/investir Adresse de la correspondance: KBC BANK SA, KBC Asset Management, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles. Ce document est une publication de KBC Asset Management SA (KBC AM), basée sur les recommandations d’investissement de KBC AM et/ou les résumés de rapports d’analyse de KBC Securities SA (KBC Sec), et est diffusé par KBC Bank. L’Autorité des services et marchés financiers (FSMA) est l’autorité de contrôle compétente. Cette publication est une communication publicitaire et n’entre pas dans la catégorie ‘recherche en investissements’, telle que visée par l’Arrêté royal du 3 juin 2007 portant les règles visant à transposer la directive sur les marchés d’instruments financiers, de sorte que les prescriptions légales destinées à promouvoir l’indépendance de la recherche en investissements ne sont pas d’application. Les présentes recommandations ne constituent pas un conseil en investissement personnalisé. Les gestionnaires de fonds de KBC AM peuvent effectuer des transactions sur l’instrument financier concerné avant la diffusion des recommandations. La rémunération des collaborateurs ou préposés employés par KBC AM et/ou KBC Sec et chargés de l’établissement des recommandations n’est pas directement liée à des transactions de banque d’affaires. Les résultats des instruments et indices financiers présentés sont des résultats obtenus par le passé. Ils ne constituent donc pas un indicateur fiable des résultats futurs. Si les résultats des instruments et indices financiers présentés sont libellés dans une autre devise que l’euro, le rendement peut être plus ou moins élevé en raison des fluctuations de change. Ni KBC AM ni aucune autre société du groupe KBC ne peuvent être tenus responsables de l’inexactitude ou de la non-exhaustivité éventuelle des données communiquées dans ce document. Pour certains éléments essentiels des recommandations d’investissement (dont le règlement de conflits d’intérêts), qui ne figurent pas dans le document faute de place, nous vous renvoyons, pour KBC Sec, aux ‘Disclosures’ consultables sur www.kbcsecurities.com/disclosures et, pour KBC AM, aux Directives générales relatives aux recommandations d’investissement de KBC Asset Management disponibles sur le site www.kbcam.be/actions. Éditeur responsable : KBC Groupe SA, avenue du Port 2, 1080 Bruxelles, Belgique. TVA BE 0403.227.515, RPM Bruxelles. www.kbc.be Faits et autres informations relatives aux sociétés cotées en bourse: KBC Asset Management SA publie sur son site une fiche d’action pour la plupart des sociétés cotées mentionnées dans la présente publication. Cette fiche comporte d’une part des informations purement factuelles, telles qu’une description des activités de l’entreprise, le graphique illustrant l’évolution du cours de l’action, les événements les plus récents survenus dans l’entreprise et les résultats et prévisions communiqués par celle-ci dans son rapport annuel ou ses communiqués de presse. D’autre part, l’analyste financier y expose son opinion sur l’entreprise. Il en décrit les points forts et les points faibles et indique, dans son avis global, les motifs à la base de sa recommandation. Ces éléments d’opinion sont présentés sur fond coloré. Fréquence des changements d’avis: Les analystes de KBC Asset Management suivent de près l’actualité financière mondiale. L’avis émis sur une action est la conclusion d’une évaluation rigoureuse de trois éléments: l’action proprement dite, le secteur auquel appartient l’entreprise et la région dans laquelle elle est implantée. Toute modification au niveau de l’une de ces trois composantes peut entraîner un changement d’avis. Méthode de recommandation: Une description détaillée de la méthode utilisée est fournie dans l’édition de Stratégie & Accents numéro A01 du 6 janvier 2011. Celle-ci peut également être consultée sur www.kbcam.be/ actions/méthodederecommandation. Un exemplaire de cette brochure est également disponible dans toutes les agences KBC. Pour certains éléments essentiels de la recommandation d’investissement, qui n’ont pu être repris sur la fiche faute de place, nous vous renvoyons aux «Directives générales régissant les recommandations d’investissement de KBC Asset Management» sur www.kbcam.be/equities. Photos utilisées: www.shutterstock.com (1) Une sicav (société d’investissement à capital variable) est un organisme de placement collectif (OPC). Une action achetée dans une sicav donne droit à une partie du résultat en fonction du montant investi. Le capital investi peut toutefois perdre de sa valeur. L’investissement dans une sicav permet de répartir les risques et facilite l’accès aux bourses et marchés étrangers. Les investissements en OPC sont couverts par le fonds de protection des dépôts et instruments financiers. Cela signifie qu’une intervention peut être obtenue auprès du fonds de protection à hauteur de 20 000 EUR au maximum si un établissement de crédit ou une société de bourse détient des droits de participation d’OPC pour le compte de ses clients et ne peut fournir ou restituer ceux-ci à leurs propriétaires légitimes. Il convient de noter que la perte de valeur éventuelle d’un OPC par rapport à son prix d’acquisition n’est pas couverte par le fonds de protection. (2) KBC-Life Health Care-3 est un fonds d’investissement de la gamme KBC-Life Multinvest, une assurance placement de la branche 23 proposée par KBC Assurances. L’assuré peut désigner lui-même le bénéficiaire du capital constitué s’il venait à décéder. Le capital reste en outre disponible dans l’intervalle. L’investisseur peut en effet le réclamer à tout moment, en tout ou en partie. La valeur des fonds et de leurs unités n’est pas garantie par la compagnie d’assurances et peut fluctuer dans le temps. Le risque financier est supporté par le preneur d’assurance. De plus amples informations sont fournies dans le règlement de gestion et dans la fiche d’information financière, disponibles sur le site www.kbc.be ou auprès de votre conseiller KBC. Siège de la société : KBC Assurances SA, Professor Roger Van Overstraetenplein 2, -3000 Leuven, Belgique. TVA BE 0403.552.563 – RPM Leuven – Compte bancaire 730-0042006-01 – FSMA 038571 A – IBAN BE43 7300 0420 0601– BIC KREDBEBB. (3) Une obligation est un titre de créance émis par une entreprise, un organisme public ou un Etat, remboursable à une date et pour un montant fixés au préalable et produisant un intérêt.
Parution du prochain numéro le 4 octobre 2013