LYON PEOPLE AVRIL 2016

LES 10 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater N°162 - Avril 2016

DOSSIER SPÉCIAL IMMOBILIER promotion

Les hommes qui bâtissent Lyon appartements maisons

Les plus beaux produits à la vente

EXCLUSIF

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*Les légendes sont éternelles

LEGENDS LIVE FOREVER*

Édito Avril 2016

Fil conducteur

E

n avril, Ne te découvre pas d’un fil Disait la couturière agile A sa fille plutôt malhabile Et parfois volontiers fébrile En cette année très bissextile Où les jours trop vite défilent Et que les déconvenues s’empilent Mettant la France en grand péril Sous le regard un peu débile D’une télé hollandophile…

De mon exil, seul sur mon île Il arrive que je jubile Bien loin de ceux qui m’horripilent Justin Calixte

Lyonpeople.com n°162 - Avril 2016 Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler Couverture : Jean-Luc Mège Directeur de la publication Nicolas Winckler - nicolas@lyonpeople.com Rédacteur en chef Marc Polisson - marco@lyonpeople.com Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com Graphiste Maquettiste Valérie Barranco - valerie@lyonpeople.com Photographe webmaster Fabrice Schiff - fab@lyonpeople.com Ont collaboré à ce numéro Jean-Marc Requien, Yves Espaignet, Christophe Magnette, Sophie Guivarch, Baudoin Wisselmann, Jocelyne Vidal et Laurette.

Photographes Jean-Luc Mège, Saby Maviel & Val-fpg Chef de Publicité Axelle Lamiche - axelle@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43 Comptable Valérie Vacher - valerievacher@lyonpeople.com Lyon People Global Jeff Savoye - jfsavoye@lyonpeople.com, Alexia Charlon - alexia@lyonpeople.com, Amandine Belluz - amandine@lyonpeople.com Agence Coyote Diffusion Bruce Mathieu - bruce@lyonpeople.com Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu.

Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 178 030 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier.

Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772. Abonnement pour 1 an = 49€.

100 000 lecteurs tous les mois Etude Médiamétrie - 05/2005

Ce magazine comporte un encartage du Casino Le Lyon Vert.

Lyonpeople est certifié par l’OJD BP 6171 - 69469 Lyon Cedex 06 Tél. : 04.72.82.97.78 Fax : 04.72.43.92.05

sommaire

FRANCK HERNANDEZ

Avril 2016

FLEURISTE

p.12

Fleuriste de tradition et d’exception

p.16

Franck Hernandez au « Marguerite » Restaurants & Brasseries Paul Bocuse

p.22

dossier spécial p.25

IMMOBILIER LES HOMMES QUI BÂTISSENT LYON

Le Chef Francesco Santin

Les compositions florales des plus belles boutiques lyonnaises LIVRAISON HEBDOMADAIRE

p.96

p.78

p.98 + d’infos sur www.lyonpeople.com

120, rue de Saint Cyr, Lyon 9. Tél. 04 72 53 93 21 Kiosque « Royal Fleurs », Place Bellecour, Lyon 2. Tél. 04 37 23 03 49

Photo : Fabrice Schiff

LA VIE LYONNAISE / Par Marc Polisson

RÉSIDENCE HÔTELIÈRE LYON PLAGE La destruction semble inévitable

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ernier épisode en date d’une affaire qui fleure bon la corruption avec l’arrêt du Conseil d’Etat, rendue le 19 février 2016. La plus haute juridiction administrative en France a déclaré définitive l’annulation du permis de construire des immeubles du 84 quai Gillet construits par le promoteur Constant Giorgi, à côté de l’hôtel Métropole (édifié lui aussi dans l’illégalité). Une belle victoire pour l’association de défense des copropriétaires de la résidence construite en retrait qui avaient été roulés dans la farine à cette occasion. Répondant à Sophie

Majou dans les colonnes du Progrès, Patrick Mignola et Jacqueline Vuillermet assurent qu’après cette étape, « ils vont former une action en démolition », les immeubles concernés se situant en zone inondable. Coupables d’avoir délivré le permis de construire illégal, Gérard Collomb et la Ville de Lyon sont également sur le coup d’une action en dommages et intérêts. Après trente ans de compromissions, la justice va-t-elle mettre enfin « un coup de boule » aux agissements de ce promoteur qui déshonore toute la profession ? L’exilé fiscal suisse Giorgi connaissant parfaitement les rouages de notre république bananière, rien n’est moins sûr.

L’HÔTEL DE LA CORRUPTION

Au début des années 80, Constant Giorgi entreprend de construire l’hôtel Métropole. On ne s’étendra pas sur l’esthétique (sic) du blockhaus qui dénature les rives de Saône mais sur le cours imprévisible de cette dernière : la zone est inondable mais par un coup de baguette magique, elle change subitement de destination.

Robert Batailly raconte : « Lyon Plage et son bassin de natation avaient été décrétés zone non-constructible il y a 35 ans. Une famille bien en place l’a racheté et a obtenu d’un adjoint à l’urbanisme que l’on modifie le plan d’occupation des sols. C’est ainsi qu’a été construit l’Hôtel Métropole et que certains élus se sont retrouvés propriétaires de logements de plusieurs centaines de mètres carrés rue Chazay à la Croix-Rousse ».

ECULLY AU XXème SIÈCLE DU BEL OUVRAGE !

Plus de deux ans de recherche, auxquels s’ajoutent trois ans de rédaction… les membres du Groupe d’Histoire et d’Archéologie d’Ecully ont mis le paquet pour concevoir ce pavé de 256 pages qui fera référence. Appuyés par le maire Yves-Marie Uhlrich et épaulés par l’éditeur Christophe Magnette, ils ont recueilli les témoignages des vieux Ecullois, compulsé les archives et exhumé 1200 clichés. Des hommes et des femmes épris de leur commune qui se sont mis en tête de présenter le vrai visage de leur « chez soi » : celui d’une commune rurale, agricole, portée par une douceur de vivre qui, jusqu’au milieu du XXe siècle, séduit bien des bourgeois lyonnais enclins à passer week-ends et vacances sur les hauteurs éculloises avant d’être écrasée sous des tonnes de béton (lire à ce sujet notre édition spéciale de juin 2013). Ils étaient 3 000 en 1880 ; autour de 18 000 en 2015. Mais le village d’hier et la ville d’aujourd’hui ne font qu’un : « Écully, du village à la ville » marque le trait d’union entre le passé et le futur. La preuve que leur héritage commun est un viatique suffisamment riche et solide pour qu’Écully conserve sa singularité au cœur de la métropolisation qui s’élabore. “Écully, du village à la ville, de 1880 à nos jours” – Edition Spirit Communication Format : 24 x 30 cm - 256 pages - Prix : 42 € - commande en ligne auprès de l’éditeur : www.livre-ecully.com - au Relais de la Presse - 12 place Charles-de-Gaulle / Écully

LE CONCERT DES CURE EN MODE VIP

Un concert mythique à ne rater sous aucun prétexte.

La venue à la Halle Tony Garnier du groupe THE CURE le 17 novembre 2016 sera l’évènement musical de l’automne. LyonPeople Global propose aux entreprises ou particuliers une offre VIP (cocktail d’avant et d’après concert, place catégorie 1 et parking).

Attention nombre de place limité.

Contact : Jean-François Savoye 06 09 43 05 35

6

Lyonpeople / Avril 2016

bar restaurant terrasse

A LIRE SUR LE WEB DE LYONPEOPLE.COM

LE DERNIER NOËL DE L’EGLISE DE LA FERRANDIÈRE

Victime d’une collusion improbable entre le cardinal Philippe Barbarin et le maire socialiste Jean-Paul Bret, la paroisse du Cœur-Immaculé-de-Marie (Villeurbanne) a été démolie début mars. Un nouveau crève-cœur pour les habitants du quartier de la Ferrandière et pour tous les amoureux du patrimoine. A Villeurbanne, ville dortoir chaque jour rongée par un urbanisme aussi moche que débridé subsistait une petite enclave très XIXème, composée d’immeubles anciens regroupés autour d’une église consacrée en 1842 à l’angle de la rue Richelieu et de l’avenue Antoine de Saint-Exupéry, face à de jolies maisons populaires nichées autour du bar « Le Ferrandière », derniers vestiges du Villeurbanne de l’avant stalinisation. Un cadre de vie et un patrimoine qui ont disparu sous les coups des bulldozers pour laisser place à un immeuble social construit par Est Métropole Habitat. L’enfer du bétonnage est toujours pavé de bonnes intentions. Le pire dans cette triste histoire ? C’est la complicité active de Monseigneur Barbarin qui a donné son aval pour la démolition et l’opération immobilière, les terrains étant la propriété de l’église lyonnaise…

Vidéo en ligne sur la page Facebook de Lyon People

EN BREF VOISIN régale les Parisiens

Le chocolatier lyonnais, acteur incontournable de la capitale de la gastronomie, franchit un cap majeur dans son développement hors du territoire rhônalpin. Le 10 février, en effet, une boutique Voisin a ouvert ses portes dans le 8e arrondissement de Paris. sur une des rues les plus commerçantes, le boulevard Haussmman, à deux pas du Printemps. Une première ! « Nous sommes déjà présents à Paris depuis 2014, à travers un corner aux Galeries Lafayette, soulignent Romain et Franck BoucaudMaître, quatrième génération de dirigeants Voisin. Le succès est plus qu’au rendez-vous ! Forts de ce constat, nous avons décidé d’aller plus loin en ouvrant une véritable boutique Voisin au cœur même de la capitale. »

uverture terrasse & pétanque

HUGO BOSS s’installe à Lyon

Le leader du prêt-à-porter masculin et féminin s’installera au 9 place des Jacobins dans le quartier chic et animé de Bellecour. La boutique HUGO BOSS bénéficie d’un emplacement et d’un cadre exceptionnels au cœur de la ville entourée des enseignes les plus prestigieuses et en vogue du moment. Sur 427m², spécialement dédiés aux collections BOSS Femme et Homme sur 3 étages, elle a été totalement repensée pour une approche à 360° degrés de la mode et de la distribution du luxe.

La ligne BOSS Made To Measure vient compléter cette offre avec un service de costume, chemise et manteau sur mesure, dans un espace aménagé à cet effet au dernier étage afin d’accueillir chaque client pour un rendez-vous personnalisé.

LE MUSÉE DES TISSUS EST SAUVÉ... pour 2016

Après les dotations promises par l’État, la ville et la métropole de Lyon, ainsi que la Région, le président de la CCI Lyon Métropole s’engage à ne pas fermer le musée en 2016, indique notre confrère Acteurs de l’Economie. Emmanuel Imberton a soumis au vote des élus, «un budget supplémentaire de un million d’euros», lors de l’assemblée générale du 14 mars. Cette somme ainsi ajoutée aux «750.000 euros proposés par l’Etat, la Région Auvergne Rhône-Alpes, la ville de Lyon et la métropole est de nature», à assurer le fonctionnement de l’institution culturelle pour l’année en cours.

APPEL À TÉMOINS

Dans le cadre du dossier consacré aux 80 ans des Toques Blanches lyonnaises, nous recherchons tout type de photos et documents concernant les anciens cinémas Concorde (32, rue Thomassin) et Capitole (50, rue de la République) ainsi que le magasin Télé-Globe (place de la République). Quel rapport avec la gastronomie ? Réponse dans l’édition de juin de votre magazine préféré. Amis cinéphiles, Marco attend votre appel au 04 72 82 97 78

O CAPOT

o capot

51, montée des Forts 69300 Caluire et Cuire

04 78 72 97 17

Photos : Fabrice Schiff

LA VIE ÉCONOMIQUE / par Yves Espaignet

Envol réussi pour «

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PLANET PILOTE »

otalisant plus de 1 500 vols en 2015, la société « Planet’Pilote » a su s’imposer sur le créneau de l’aviation « loisir ».

Son slogan « prenez les commandes » est une invitation à découvrir l’univers du pilotage, d’en comprendre les règles et la discipline de façon ludique. Aux commandes de la jeune entreprise, un pilote passionné, Axel Germain définit la démarche de son centre de pilotage aérien: « le choix, dès le démarrage en 2012, est celui du loisir pour un public très large avec une offre bien ciblée de vols d’initiation et de pratiques diversifiées sur des simulateurs ». Pourtant le parcours accompli a demandé beaucoup d’efforts et de volonté mais l’équipe de « Planet’Pilote », composée de quatre professionnels expérimentés dont trois pilotes (1), a su tenir le cap fixé. Depuis son lieu d’activité (Bâtiment 3) à proximité immédiate du tarmac de l’aéroport de Bron, il est possible de voir la flotte de 7 appareils qui constitue l’atout stratégique de la société : « nous avons ainsi la capacité de répondre de façon presque immédiate, en faisant tourner nos appareils pour les révisions techniques ». Si le créneau du « fun » est affirmé, la société revendique une organisation rigoureuse.

Et Axel Germain d’insister sur la gamme complète d’avions « offrant des modes de pilotages différents avec un volant ou un manche, une carlingue en fibre de verre ou en acier ». Ses mots témoignent de l’envie de faire partager les sensations, de faire vivre une expérience. Là se trouve l’explication du succès rencontré car les amateurs reviennent, fidélisés par l’esprit des responsables des stages et amènent souvent avec eux de nouveaux candidats à la pratique aérienne. A cette dynamique s’ajoutent

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Lyonpeople / Avril 2016

les effets d’une présence sur le net avec un site attractif, des vidéos en ligne sur plusieurs plateformes et un référencement sur le site Tripadvisor, sans oublier l’action d’OnlyLYON Tourisme&Congrès ! « En effet, nous avons une clientèle de touristes qui veut découvrir Lyon de façon originale. Nous lui proposons notamment un « tour de Lyon » permettant d’apprécier la métropole dans un circuit Bron-Crémieu-Bugey-Ouest-Lyonnais-VienneReventin-Bron » détaille le gérant.

Deux axes de développement pour 2016

Les formules proposées à une clientèle très large, allant de jeunes de 12 ans aux adultes toujours jeunes de 80 ans, s’appuient sur trois salles de simulateurs avec une vision « 360° » aux programmes attractifs. Elles autorisent la pratique

de pilotage classique d’un Cessna avec un copilote, seul ou en escadrille (étape obligée pour pratiquer les vols d’initiation où l’on passe du virtuel au réel avec la prise des commandes de l’avion sur la piste) et les jeux de combats aériens sur des Mustang de la seconde guerre mondiale ou encore le plaisir d’être dans le «cockpit » d’un Rafale. C’est cette alliance de pratique rigoureuse et de temps ludiques qui positionne le centre de pilotage aérien. De plus en plus d’entreprises organisent des journées de formation « gestion du stress » pour leurs personnels devant voyager régulièrement ou des stages privilégiant la cohésion des équipes. « Notre objectif est de développer notre activité « entreprises » de plus de 30% cette année » confie Axel Germain car la demande est soutenue ce qui va le conduire également à renforcer le secteur des simulateurs de vol. L’esprit des vols d’initiation « ready to flight » a également permis le décollage la jeune société en alliant briefing, pratique virtuelle et conduite d’un appareil sous le contrôle d’un instructeur. Cela demande trois valeurs revendiquées par la société : professionnalisme, pédagogie et convivialité. Avec la poursuite du développement comme objectif clairement affiché pour 2016, le nombre de vols devrait encore croître (pour dépasser le seuil de 1700). Aussi « Planet’Pilote » a pour projet d’ouvrir son deuxième centre de pratique aérienne avant la fin de l’année dans une autre grande métropole régionale.

L’équipe comprend Axel Germain, Vincent Germain, pilote instructeur professionnel, Romain Fahl, pilote instructeur professionnel, triple champion du monde de voltige et pilote en équipe de France de Voltige

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Photo : Fabrice Schiff

LA VIE ÉCONOMIQUE / par Christophe Magnette

MARC FERRET Du sceau du losange !

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irecteur régional Lyon CentreEst depuis le début de l’année, Marc Ferret a dédié sa vie professionnelle à Renault. Sa route a épousé les contours d’un losange : gageons que son action épousera les formes du succès pour le constructeur français.

Il veille sur un périmètre XXL (le plus grand de la marque au losange) : de Clermont-Ferrand à Évian et de Vesoul à Albi. Au pays de Renault, Marc Ferret, 58 ans, est prophète en son pays, celui de la direction régionale Lyon Centre-Est. C’est donc lui qui incarne le constructeur français (sans oublier Dacia qui représente 20% du groupe), qui donne la marche à suivre. C’est lui le chef d’orchestre - “plus tambour que clarinette”, s’amuse-t-il – lui qui aspire à faire jouer une partition commune à ses 61 concessions et 640 agents qui vendent près de 80 000 véhicules neufs et réalisent 217 millions d’euros de chiffre d’affaires en pièces de rechange (dont 500 000 pneus vendus !) avec pour dessein de faire briller les nouveautés made in 2016 : Mégane lancée en janvier, Talisman Estate ce mois-ci, Mégane Estate en septembre et le nouveau Scénic prévu pour octobre. Apparus sur le marché l’an dernier, Kadjar et nouvel Espace sont appelés à continuer à surfer sur leur bonne dynamique. Mais pas seulement. Désireux de s’inscrire sur la durée, ce papa comblé de trois enfants (Marion, 28 ans ; Magaly, 25 ans et Maxence, 22 ans),

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Lyonpeople / Avril 2016

entend jouer la carte de la proximité pour asseoir davantage la visibilité de la marque tricolore : « Bien que, sur notre territoire, une voiture vendue sur quatre (en tourisme) et une sur trois (en utilitaire) est un véhicule Renault, j’ai le sentiment que nous souffrons d’un manque de notoriété par rapport à certains concurrents. À mes yeux, nous devrions avoir un voire deux points de marché en plus. J’aspire donc à (re)positionner notre marque sur la région », souligne cet homme attachant, convivial qui se qualifie lui-même de ”bébé Renault“ [sic]. Un homme de terrain donc mais surtout un homme du terroir, fils d’agriculteurs de Saint-Martin-en-Haut dans les Monts-du-Lyonnais qui puise dans ses origines les valeurs qui l’ont porté tout au long de sa vie d’homme et de manager.

Pour donner ma pleine mesure, je dois me sentir en confiance En bon terrien, Marc Ferret a les pieds bien ancrés sur la terre ; le regard est franc et direct ; le discours sans ambages. La fidélité comme fil conducteur : en amour, en amitié comme sur le plan professionnel. D’aucuns parleront d’un caractère fort et entier. Il avoue : “Pour donner ma pleine mesure, je dois me sentir en confiance.”

Il l’a visiblement trouvée chez Renault ! Après deux années à l’ESC Saint-Étienne et un BTS

gestion et distribution - “On ne construit pas sans savoir compter !” - “Marco” (pour les intimes) file effectuer son service militaire dans la gendarmerie.

De retour dans la vie active, ce vrai Rhônalpin (il y tient), attaché à sa ville et à sa région, répond à trois annonces de travail. Parmi elles ? Un poste de vendeur de voitures chez Renault Saint-Étienne.

Il est pris. Nous sommes en octobre 1980. Huit ans dans le Forez, une année comme assistant de formation (déjà) à la direction régionale de Lyon puis chef des ventes à Lyon Sud en 1989, il vit un premier tournant en décrochant le poste de chef des ventes à Nice (le plus gros CA du groupe dans l’Hexagone) en 1994. En devenant, trois ans plus tard, directeur à la Croix-Rousse - “Mon plus grand souvenir sur un plan humain” – sa carrière prend une nouvelle épaisseur : un passage par Vaise, un retour dans le Sud (directeur de Renault Antibes) qui se prolonge, cerise sur le gâteau, en qualité de directeur de Renault Nice pendant cinq ans, Marc Ferret revient dans la région en 2012 : directeur à Lyon Sud et de la plaque de Lyon qui réunit Renault Nord, Est et Rillieux (500 personnes, 300 millions d’€ de CA). Au bout de ce parcours sans tâche ? La direction régionale, forcément. Dans quelques années, Marc Ferret espère pouvoir aller se balader avec son épouse, Brigitte, et son fidèle compagnon, Indy, un épagneul français.

Désormais installé à Grézieu-la-Varenne, il ira baguenauder du côté du col de la Luère. Il s’y rendra en voiture, en Renault bien sûr.

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Photo : Saby Maviel

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LA VIE LYONNAISE / par Jocelyne Vidal

CÉLINE CLARET-COQUET Des VIP tirés à quatre épingles

D

e la chanteuse Rihanna à la directrice de cabinet de Manuel Valls, le who’s who de la politique et du show-biz accourt chez Céline ClaretCoquet, orfèvre de l’acupuncture. Tout de noir vêtue, Céline Claret-Coquet a l’élégance tonique d’un idéogramme chinois. Visage juvénile, silhouette de sylphide… Madame la Thérapeute en Energétique Chinoise s’avère la meilleure ambassadrice de ses cures anti-âge, minceur et bien-être. « Agir de l’intérieur pour optimiser les résultats extérieurs, voilà le fondement de ma démarche », déclare entre deux rafales d’appels téléphoniques, une jeune femme tombée toute petite dans la potion magique d’une discipline quadramillénaire certes, mais « avant tout logique, en rien ésotérique». Passionnés d’acupuncture, la mère et le grand-père médecin de Céline l’ont vivement encouragée à étudier l’Energétique Chinoise alors que la jeune esthète lyonnaise se préparait à embrasser une carrière d’expert en tableaux anciens. Licence d’Histoire de l’Art en poche, Céline Claret-Coquet déploie une énergie à renverser la Grande Muraille, au lendemain d’une visite chez un neurologue parisien spécialisé en acupuncture : « En accompagnant ma mère chez ce médecin féru de médecine chinoise, j’ai voulu tester ses soins et j’ai ressenti un incroyable coup de fouet, ma fatigue s’est envolée en un éclair, ce fut l’élément déclencheur de mon départ pour l’Académie de Pékin où j’ai préparé dès 2004, mon doctorat en Médecine Chinoise».

marque de cosmétiques biologiques à utiliser des actifs de saison, donne naissance aux spas Clé des Champs. Pas de quoi éloigner Céline de ses premières amours pour l’acupuncture… « Qu’est-ce qu’une ride sinon un muscle peaucier relâché ? », se dit la pionnière de l’Aculifting.

En deux temps trois mouvements et une vingtaine d’aiguilles implantées en moins d’une minute sur les muscles faciaux, elle atténue rides et ridules, affine le grain de la peau sublimée d’un coup d’éclat immédiat. Le temps de s’associer au Dr Maurice Dray, créateur de la mésothérapie, la jeune acupunctrice a pignon sur l’avenue Montaigne à Paris où se pressent les VIP de la politique et du show biz. Elisa Tovati (photo), Axelle Lafont, en passant par l’animatrice Julia Vignali… sans oublier la chanteuse Rihanna, blessée à la cheville et remontée illico sur scène, d’un coup d’aiguilles magiques de Céline, accourue le soir-même à Bercy.

Cryoslim, la minceur venue du froid Mêmes résultats « topissimes », avec le soin Cryoslim : 40% de masse graisseuse s’éliminent en deux semaines sous le jeu conjugué de l’acupuncture et d’une haute technologie venue du froid : la cryothérapie. Autre exclusivité: la diffusion de la marque suisse de cosmétiques La Vallée, réputée de Moscou à Dubai, pour son efficacité contre la dégénérescence cellulaire et les agressions environnementales, rappelle l’acupunctrice à l’énergie communicative.

Quelques escapades entre amis en Beaujolais, sa petite Toscane, un bon Champagne et un entraînement quotidien à la course à pied et au biking sont pourtant les seules récréations d’une pasionaria solaire de la beauté dont la fulgurante carrière rime avec la phrase de Prévert : « Beauté, je ne suis que ton employé mais je travaille sacrément à ta publicité ».

UNE APPROCHE GLOBALE DU BIEN-ÊTRE

De l’Académie de Pékin à l’Avenue Montaigne D’emblée, Céline se sent comme chez elle, parmi les maîtres d’une discipline née des entretiens de l’empereur Hoang Ti avec ses conseillers scientifiques, 2 600 ans avant notre ère. Un cursus de cinq ans de formation aux cinq branches de l’Energétique Chinoise (voir encadré) n’en révèle pas moins à la jeune femme, la modernité d’un idéal d’harmonie entre le corps et l’esprit. Une circulation équilibrée de l’énergie entre les principes de la théorie fondamentale du yin et du yang assurant la bonne santé d’une personne, Céline Claret Coquet prend conscience des liens tissés entre la qualité de notre énergie interne et l’aspect de notre visage. Ajoutez l’accent mis par l’Energétique Chinoise sur l’influence des saisons sur le fonctionnement d’organes comme les poumons, le foie ou la vésicule biliaire pour inspirer à Céline un concept de cosmétiques bio lancé au lendemain de son retour en France, sous la marque « Clé des Champs ».

Référencée au Bon Marché à Paris, la première

Coquet. Laquelle inclut un bilan énergétique et diététique personnalisé qui permet au corps de retrouver son équilibre et de rendre tout son éclat à une beauté intérieure malmenée par le stress. Sans botox ni bistouri, la Méthode Claret – Coquet nous fait rajeunir, mincir en douceur par l’acupuncture, couplée à de hautes technologies, telle la Radiofréquence qui repulpe en quatre séances plus une d’entretien, des visages tonifiés par l’Aculift.

Sans botox ni bistouri A Paris comme à Lyon où l’Institut des Jacobins accueille régulièrement son compagnon, l’avocat David Metaxas, venu se détendre entre deux plaidoiries, l’acupunctrice vise le bien-être de ses patients. Prendre leur pouls lui donne les indicateurs d’une énergie intérieure régulée par ses soins, selon des principes millénaires. « Je vous ai insufflé une énergie, à vous de la travailler, jour après jour après vos cours, nous avait déclaré un maître de Qi Gong de l’Académie de Pékin », se souvient celle qui, depuis dix ans, n’a de cesse de transformer cette belle énergie en cures de beauté et de bien-être de plus en plus prisées de Paris à Londres, de Lyon à Genève. Il faut dire que l’alimentation, les changements de saison et le métabolisme de chacun sont le fil rouge de la Méthode Claret -

Née il y a plus de quatre mille ans, la Médecine Traditionnelle Chinoise s’est étendue au fil des siècles vers l’Eurasie, l’Afrique et l’Occident où elle suscite un intérêt croissant. Centrée sur une approche globale du bien-être de l’homme et de la femme, cette philosophie vise l’harmonie du corps et de l’esprit. La souffrance de l’un se répercutant sur l’autre, le thérapeute veille à la bonne circulation de l’énergie dans le corps du patient. La moindre perturbation de l’harmonie entre le yin et le yang se traduisant par un excès ou un manque d’énergie, le thérapeute en traite les symptômes, en faisant appel aux cinq branches de l’Energétique Chinoise : l’acupuncture, la pharmacopée de plusieurs centaines de plantes, la diététique, le massage Tui Na et les exercices énergétiques du Qi Gong et du Tai-Chi. L’écrivain et sinologue Georges Soulié de Morant a largement contribué au développement de l’acupuncture en France et en Occident. Devenu un praticien réputé au contact du médecin thermaliste Paul Ferreyrolles, il reçoit Jean Cocteau, Antonin Artaud, Colette, Maurice Ravel et Kandinsky dans son cabinet de Neuilly, avant de publier en 1939, le premier de cinq volumes consacrés à L’Acupuncture Chinoise.

Cabinets Claret Coquet 9, place des Jacobins - Lyon 2 Tel. 04 78 84 23 12 & 3, avenue Montaigne - Paris 8 www.celineclaretcoquet.com Lyonpeople / Avril 2016

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LA VIE CULTURELLE / Par Alain Rénouart

CLAVERIE, REQUIEN, ROCHE PORTÉS AUX NUES

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videmment, chacun des trois mériterait d’être porté aux nues ! En l’occurrence ce sont leurs dessins portés sur les nus qui sont exposés à la Galerie de la Charité du 8 au 29 avril. Plusieurs dizaines de dessins de nus parmi les centaines qu’ils ont réalisés depuis 2007 lorsqu’ils ont décidé de renouer avec le modèle vivant et le dessin.

Une discipline longtemps pratiquée dans leur jeunesse à l’école des Beaux Arts. Une discipline malheureusement tombée en désuétude et même décriée par quelques beaux esprits. Une discipline défendue bec et ongles par chacun des trois.

Roche et Claverie en l’enseignant aux Beaux Arts. Requien en dénonçant régulièrement dans

ses écrits, les errements de l’Art Contemporain. Une discipline qui, Dieu merci, reprend de la vigueur ces dernières années.

Joie et bonne humeur Une discipline qu’ils pratiquent régulièrement dans la joie et la bonne humeur mais avec l’humilité qu’elle impose. Chacun à sa manière, avec son style exprime sa vraie nature tentant chaque fois de donner par un simple trait, vie au modèle. Bien sûr entre chaque pose ou presque, on n’hésite pas à faire une pause devant un verre de Viognier ou de Macon Viré et quelques lyonnaiseries appétissantes.

Puis on se remet au travail. Avec passion. Avec bonheur. Jean Claverie, on le sait a tous les

talents. Illustrateur renommé, aquarelliste exigeant, mais également musicien, il se défoule avec son groupe Wood Bee Band dans des soirées tonitruantes. Jean-Marc Requien lui, s’est longtemps illustré dans la publicité avant de revenir à ses premières amours avec ses collages qui connaissent le succès que l’on sait. Alain Roche, peintre et sculpteur, connu comme le loup blanc à la Croix Rousse l’est aussi au Japon où son inattendue sculpture de la Joconde a fait pas mal de bruit.

Il présentera d’ailleurs quelques sculptures à la Galerie de la Charité en annexe de l’exposition.

Le dessin c’est la vie Pour imiter l’inimitable Laurent Gerra imitant Jeanne Moreau, on pourrait dire « le dessin, c’est la vie ». Son réalisme ne satisfait Jean Claverie que s’il palpe la vie, s’il la tient d’une prise solide à partir du corps offert au regard. Ses dessins s’expriment dans l’acuité et la sensation. Pour lui , ils ne se résument pas au trait, aussi sensible soit-il. C’est l’expression, la forme intérieure, le modelé qui l’intéressent sans pour autant tomber dans l’emphase. Chez Jean-Marc Requien au contraire, ce que l’on retient c’est la promptitude du trait, la vivacité de l’exécution. Un trait nerveux, précis où l’on perçoit une impatience face à l’immobilité, une avidité de donner de la vie, du mouvement par une fougue et une sensibilité sans doute trop longtemps contenues.

Chez Alain Roche, si le trait est discipliné et d’une précision totalement maitrisés, on sent qu’il reste toujours, lui et sa main, libre. La ligne est faite d’inflexions pleines de sensualité. Cette sinuosité modulée est la marque de son indépendance à l’égard du modèle qu’il semble escamoter alors qu’il le dévoile et le révèle.

Du 8 au 29 avril - Galerie de la Charité 15, rue de la Charité - Lyon 2

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Lyonpeople / Avril 2016

Photos : Brice Robert & Caroline Doutre

NEWS LA VIE CULTURELLE / Par Jean-Alain Fonlupt

NUITS SONORES 14e EDITION Musiques électro et cultures urbaines

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estival musical, acoustique, urbain, patrimonial, prospectif, «Nuits Sonores» se vit comme une véritable expérience culturelle sans pour autant perdre un seul beat de son légendaire sens de la fête et du partage. Découvreur, promoteur, diffuseur des musiques électroniques et de la scène indépendante, il conjuguera encore, en mai prochain, événement populaire (130 000 fans en 2015) avec rendez-vous artistique exigeant... Pour naviguer dans la profusion de la programmation et des lieux investis, entre soirée Inauguration, NS Days, Nuits et Circuits, Cool Korea, Mini Sonore, Extra !, Sunday Park, Concert Spécial et autres «We are Europe» ou «Absolut Compagny Creation» jusqu’à la Closing Party, Vincent Carry, directeur et initiateur des NS, est évidemment un guide on ne peut mieux averti. Rencontre : LP : Quel concept géographique pour cette 14e édition ?

VC : Historiquement Nuit Sonores se déploie dans le territoire urbain avec un intérêt particulier pour le patrimoine et l’espace public. 2016 sera le dernier acte du triptyque territorial «Confluence» qui délimite les contours d’un quartier comme coeur battant

des festivités. En l’occurrence, un triangle formé par l’ancien Marché de gros comme site de nuit, la Sucrière (+ le Sucre) et le Musée des Confluences où se dérouleront le Forum European Lab (conférences, workshop, ateliers...), la partie Mini Sonore pour une immersion des enfants dans l’univers techno et la Carte Blanche à la magnétique Séoul avec un focus sur une douzaine de groupes.

Comment évolue «Nuits Sonores» ?

L’ADN électronique du festival est toujours là mais on propose de plus en plus de live et moins de djs dont la forme historique a été relativisée... La «misssion» de NS c’est justement de renouveler les formes, d’être prospectif et d’anticiper ce qui va se passer... d’établir par exemple des crossover entre les musiques d’autres continents et la façon dont elles viennent téléscoper le champ artistique contemporain, la création électro ou la culture numérique... NS est aujourd’hui un festival d’expériences sonores et même d’expérience tout court, on le travaille comme un concept de bulle de liberté et d’appréhension d’une ville. L’idée est de faire découvrir des artistes et des lieux incroyables dans une parenthèse à la fois enchantée et effervescente...

Quid de la programmation 2016 ?

On la veut la plus ouverte possible tout en conservant intact notre désir d’expérimentation musicale. Plus de 200 artistes sont programmés dont des têtes d’affiches internationales, il est donc compliqué d’en pointer seulement quelques-uns mais citons la scène allemande avec le trio hyper novateur Moderat... des artistes confirmés comme Laurent Garnier habitué des NS depuis 12 ans ou l’américain Seth Troxler, dj charismatique de la musique électro... Bambounou la relève de la techno française comme Chassol, artiste inclassable et génial... Dixon, la référence djing, le monument musical londonien DJ Harvey... Côté «Sono Mondiale», la partie coréenne, les artistes du pourtour méditerranéen, la scène africaine avec le duo au son unique, Africaine 808... Lil’Louis, référence absolue de la House (le succès planétaire French Kiss)... Michael Mayer, un des personnages les plus influents de la scène électro européenne ou la glam et provocatrice Peaches, icône de la culture queer... Du Prince et ses performances psychédéliques, le pionnier de l’afrobeat Tony Allen... et tous les autres évidemment !

A Lyon du 4 au 8 mai 2016.

Prog complète sur nuits-sonores.com

MARTHA ARGERICH & GUESTS RENCONTRES PIANISTIQUES INÉDITES Légende vivante du piano, interprète hors paire, concertiste virtuose, Martha Argerich privilégie pourtant le partage musical et convie souvent d’autres talentueux confrères du clavier à la rejoindre en récital. Pour cette Carte blanche, c’est son ami Nicholas Angelich – nommé Soliste de l’Année aux Victoires de la Musique Classique – qui la retrouvera dans une rencontre au sommet de la complicité pianistique. Fidèle à son généreux soutien aux nouveaux talents, elle invitera également la jeune pianiste japonaise Akané Sakaï habituée du «Progetto Argerich» de Lugano. Depuis 2008, Argerich participe régulièrement aux saisons Piano à Lyon et malgré ses très nombreux engagements et son désir de «mettre un bémol» à ses activités de concertiste, elle répond amicalement à l’invitation de Jérôme Chabannes dans un magnifique programme de grandes pages pour deux pianos signées Ravel ou Rachmaninov et Stravinsky pour la magnifique transcription du «Sacre du printemps». Angelich et Sakaï ouvriront la soirée en jouant Mozart à 4 mains. Attention événement ! Salle Rameau les 12 et 13 avril.

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COURCHEVEL PEOPLE

Photo : Jean-Luc Mège

EXCLUSIF

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LES ÉTOILES BOCUSE À COURCHEVEL Lyonpeople / Avril 2016

- Interview Jérôme Bocuse - Paul Bocuse Junior - Essai Mercedes GLE 350

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Toute l’actualité de Courchevel sur www.facebook.com/courchevelpeople

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COURCHEVEL PEOPLE

JÉRÔME BOCUSE Ses nouveaux challenges A Collonges pour souffler les 90 bougies de son père, Jérôme Bocuse est aussi de plus en plus présent à Lyon depuis qu’il a pris le contrôle des brasseries familiales. Un nouveau challenge à relever pour le fils prodigue de « Monsieur Paul », dont la vie se partage désormais entre les États-Unis et la France. Pour Lyon People, entre deux descentes sur les pistes de Courchevel, il évoque cette nouvelle aventure.

Propos recueillis par Pascal Auclair - Photos © Jean-Luc Mège

V

ous avez pris tout le monde à contre-pied en rachetant la participation minoritaire de Naxicap Partners, filiale de Natixis. Regrettez-vous cette

décision ?

Non, pas du tout. Cela dit, cinq ans plus tôt, si on m’avait demandé de revenir en France, j’aurais sans doute dit non. Mais la rencontre de Paul-Maurice Morel et l’affaiblissement de mon père ont fait évoluer ma vision des choses, d’autant qu’il n’a jamais vraiment souhaité l’entrée d’un fond d’investissement dans les brasseries. À l’époque, il l’avait fait à contrecœur. Il était donc important que je m’implique personnellement afin de faire évoluer le groupe comme mon père le souhaitait, avec sa vision, son ADN. La famille, avec un grand F. Un remake de Au nom du père…

Oui, c’est un peu ça !

Un an et demi après avoir repris le contrôle du groupe, estimez-vous parfaitement maîtriser son environnement économique ?

Oh non, il me reste beaucoup à apprendre. J’avais 20 ans quand je suis parti aux USA. Je n’ai travaillé qu’aux États-Unis. Je découvre le monde du travail à la française. C’est à la fois un apprentissage et un challenge.

« LE RÊVE AMÉRICAIN EXISTE ENCORE Je ne suis pas persuadé QU’IL EXISTE ENCORE UN RÊVE FRANÇAIS ! » Vous découvrez donc la complexité, la lourdeur de ce monde du travail et de la législation française…

(Sourire) C’est vrai qu’aux États-Unis, c’est un autre système, plus libéral, plus incitatif… Là-bas, on donne l’occasion aux gens de travailler et ils savent pourquoi ils se lèvent chaque matin. En France, j’ai toujours l’impression qu’il faut les pousser, être en permanence derrière. Les Américains ont envie de gagner de l’argent pour s’offrir une belle maison,

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une piscine, une grosse voiture… Les Français pensent aux 35 heures, aux RTT. Aujourd’hui, à la tête du groupe Bocuse, vous êtes plus dans l’observance ou dans l’opérationnel ?

Je suis encore dans l’observance. Paul-Maurice est là pour gérer l’opérationnel au quotidien. J’ai une philosophie, une méthode de travail importée des Etats-Unis. Je suis là pour donner une impulsion.

Vos choix professionnels ont-ils fait ou fontil encore l’objet de discussions en famille ?

Oui, bien sûr. Cela dit, c’est le fruit d’un concours de circonstances, comme quand j’ai quitté la France pour les États-Unis à l’âge de 20 ans. A l’époque, je suis parti pour faire un petit stage dans un restaurant à Epcot en Floride et quelques années plus tard, j’en ai pris la direction. Aujourd’hui, je fais un peu le chemin inverse. Ce n’était pas prévu, ni voulu. Mais ça a un sens.

Justement, comment envisagez-vous votre rôle au sein du groupe ? À terme, ce sera un rôle de leader. Que les équipes soient motivées, prennent plaisir à venir au travail.

On partage tous la même aventure. Il suffit de ramer dans le même sens…

Malgré tout, cela vous paraît-il possible de concilier ce rôle de leader avec vos fonctions aux Etats-Unis ?

Oui, je pense. Les technologies rapprochent les deux continents. Je pense venir une à deux fois par mois. Cela devrait être suffisant.

Ne craignez-vous pas de devenir schizophrène avec un pied à Lyon et l’autre à Orlando ?

Oh non. Beaucoup de chefs d’entreprise français sont dans mon cas. Tout seul, on n’est pas grand chose. L’essentiel, c’est de bien s’entourer. Dans le groupe, que ce soit au niveau des chefs ou des managers, on est presque tous de la même génération. Ça aide. Et comme je suis quelqu’un de très entier, on peut dialoguer, se dire les choses droit dans les yeux. C’est une force.

Vous n’avez pas le même mode de management que votre père ?

On a une même philosophie. Lui aussi a toujours eu le souci de bien s’entourer, que ce soit avec des Meilleurs Ouvriers de France, des directeurs et des managers compétents. C’est ce qui nous rapproche.

En revanche, on a des modes de management différents. Le code du travail, la législation ont changé. Il y a trente ou quarante ans, on dirigeait une équipe en cuisine à coups de pied aux fesses.

C’est fini, ça. Aujourd’hui, il faut utiliser d’autres méthodes de management. Autres temps, autres mœurs…

La dégradation de l’état de santé de votre père a-t-il accéléré les choses ?

Oui, bien sûr. Il est moins vaillant. Mais d’autres paramètres ont aussi influé sur ma décision...

Quelles valeurs vous a-t-il inculquées ?

La simplicité, l’humilité, la faculté de rester le même en toute circonstance. Il est parti de rien et malgré sa réussite, il n’a pas changé. Malgré son aura, il est toujours resté proche des gens, un peu «paysan» dans l’âme, au bon sens du terme.

Le fait de porter son nom est-il un atout ou un fardeau ?

C’est à double tranchant. Cela permet d’ouvrir plus facilement certaines portes mais on vous attend aussi au tournant...

Aujourd’hui, le groupe Bocuse est-il toujours dans une stratégie de croissance externe ou au contraire pourrait-il céder certains de ses établissements ?

Dans un premier temps, l’objectif est de stabiliser le groupe, de ne pas aller trop vite. Maintenant, il y a de nouvelles échéances proches. On travaille notamment sur l’ouverture de la brasserie Bocuse au Grand Stade, en septembre prochain. On a conçu ce dossier par affection pour Jean-Michel Aulas, un homme que je respecte beaucoup, qui a pris de gros risques avec le stade. Il y avait un sens à partager un tel risque avec lui, même si c’est loin d’être gagné. On va vivre ensemble une nouvelle aventure. On fera tout pour que ça marche. En attendant de pouvoir l’exploiter pleinement à l’automne, c’est C-Gastronomie qui assure les repas les soirs de match.

D’autres perspectives ?

Un ou deux autres projets pourraient émerger dans les années à venir, mais le but n’est pas de faire

de fil par mois. Mais je reste les pieds sur terre. Rien n’est jamais acquis. Cela ne m’empêche pas d’aller de l’avant.

costume d’ambassadeur de la cuisine lyonnaise ? (…) Je ne sais pas. Je ne sais pas.

Vous voyez-vous un jour définitivement en France ?

Non !

Vous voyagez beaucoup pour votre métier.

Quelles sont les prochaines tendances en matière de cuisine ?

C’est vrai que la cuisine réagit de plus en plus aux phénomènes de mode. Qui aurait pu imaginer que des chaînes de sushis fleuriraient un jour aux quatre coins de Lyon… C’est tellement loin de la culture lyonnaise. Moi, je reste fidèle aux classiques.

Comme en musique, c’est le meilleur moyen de n’être jamais démodé…

revenir

Pourquoi ?

Parce que j’ai ma vie aux États-Unis, même si c’est loin d’être le monde idéal. Il y a des bons et de moins bons côtés. Mais le monde idéal, il est peutêtre justement entre les États-Unis et la France. Je suis fier de représenter la France de l’autre côté de l’Atlantique, de montrer un petit échantillon de la culture et de la gastronomie française à tous ceux qui viennent manger dans nos établissements.

« LE SIRHA RESTERA À LYON quoi qu’il arrive.

J’EN PRENDS L’ENGAGEMENT » Mais n’est-il pas frustrant de faire tous les jours de la cuisine à des Américains qui ne connaissent rien à la gastronomie ?

Non, au contraire. C’est très valorisant de leur faire découvrir les subtilités de notre cuisine. Ils n’ont pas toujours le sens du goût, ne connaissent pas les plats en sauce. Leur culture, c’est le steak que l’on cuit et retourne deux fois sur un grill. Nous leur enseignons l’histoire de nos plats, leur saisonnalité, l’alliance avec les vins de nos régions… On a une approche éducative.

Quel est le best-seller des plats servis à Epcot ?

La soupe à l’oignon et les escargots, dont la persillade se rapproche du garlic bread, ce pain à l’ail apprécié des Américains.

Quels sont vos « classiques » préférés ?

Une bonne blanquette de veau ou un poulet au vinaigre, avec une salade lyonnaise en entrée et une tarte aux pommes au dessert.

Pouvez-vous nous certifier que le Sirha (Salon international de la restauration, de l’hôtellerie et de l’alimentation) sera encore à Lyon en 2021 ?

Le Sirha est un événement made in Lyon difficilement transférable. En revanche, on est en train de décliner des mini Sirha un peu partout à travers le monde, le but étant de donner un échantillon de la grande fête de la gastronomie et les inciter à venir à Lyon.

Et l’Auberge de Collonges, sera-t-elle un jour transformée en musée ?

Non. Mon père a bien fait les choses. Une structure a été mise en place avec trois MOF (Meilleurs Ouvriers de France). Christophe Muller va prendre encore du galon pour devenir le chef exécutif du groupe, que ce soit de l’Auberge ou des brasseries.

Chacun est à sa place, chacun sait ce qu’il doit faire. On est en osmose.

Loin des yeux, loin du cœur… Avez-vous gardé des attaches fortes à Lyon ?

Bien sûr. J’ai toujours mes copains d’enfance, mon Trompette avec qui j’ai fait l’armée, que je croise une ou deux fois par an. Il y a aussi Pierre-Guy Cellerier, Renaud Charrin, Hervé Durozard…

Et parmi les chefs ?

Mathieu Viannay, Christophe Marguin, les chefs du Bocuse d’Or. Mais quand je suis à Lyon, je suis plus souvent dans mes brasseries que chez les autres !

de la croissance à tout prix. La priorité reste de proposer une cuisine de qualité.

Et le Grand Hôtel-Dieu ?

On va voir. Pour l’instant, rien n’est signé. Je suis perplexe. On dispose de peu d’informations sur le site. Toute annonce serait prématurée. Êtes-vous régulièrement sollicité pour ouvrir d’autres établissements ?

Oui, surtout aux Etats-Unis. J’ai au minimum un coup

Quel chef lyonnais vous inspire de l’estime, voire de l’admiration ?

Mathieu Viannay. Il a de solides bases classiques mais a su faire évoluer sa cuisine. Il a un esprit d’ouverture, une qualité d’adaptation qui m’a impressionné lors de nos nombreux voyages ensemble, dont récemment au Japon.

Et la nouvelle génération ?

Il y a du potentiel… Il y a quelques semaines, je me suis régalé chez Christophe Roure (Le Neuvième Art). Ça pousse derrière. Il le faut. C’est bien.

Votre père vient de souffler ses 90 bougies.

Est-ce un des moments les plus intenses que vous ayez vécus ?

Oui, forcément. Voir son père atteindre cet âge, c’est toujours émouvant. J’aurais préféré qu’il y arrive dans de meilleures conditions. Avec le Parkinson, ce n’est pas évident. Mais c’est la vie. On ne choisit pas. C’est déjà bien d’arriver là.

Lequel vous paraît le plus apte à prendre un jour le relais de votre père dans le

Vous êtes fier de votre papa ?

Oui, bien sûr.

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PAUL BOCUSE JUNIOR Graine de champion

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ans la famille Bocuse, je demande… le petit-fils ! Enfant chéri de Robin et Jérôme, Paul junior roule sur les traces de son père, aussi à l’aise sur les pistes de ski que les circuits de kart. Papy adore… De retour de la Saulire dans sa combinaison d’un bleu électrique, attablé devant un chocolat chaud, Paul Bocuse junior écoute sagement ses aînés converser à la table du Tremplin. Difficile d’imaginer, à cet instant, que cette adorable tête blonde cache un tigre dans son moteur. « Il aime la vitesse comme son papa », explique Jérôme Bocuse. Un goût prononcé pour les sensations fortes qu’il assouvit sur les planches comme sur les circuits. Cet hiver, le jeune Paul (9 ans) a mis à profit son séjour de deux mois à Courchevel, chaperonné par sa mère, Robin, pour se couvrir de bronze. Chamois, flèche, fusée… Sur la neige, il glisse déjà sur les traces de Jérôme, toujours moniteur de la station. Mais c’est surtout sur l’asphalte, dans le baquet d’un kart, que le petit-fils de « Monsieur Paul » met la gomme depuis l’âge de 6 ans. Une passion pour les sports mécanique héritée de son père. « A l’époque, j’ai participé à quelques courses en Ferrari Challenge et en Porsche Cup. Aujourd’hui, mon fils prend la relève », sourit le président du groupe Bocuse.

Photo : Jean-Luc Mège

Atavisme familial

Il a pris du galon, le petit marmiton de 2009

Paul Bocuse Junior coaché par le champion de F1 Felipe Massa

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Une relève d’autant plus facile à assurer que Paul junior baigne à Miami dans un environnement fleurant bon l’essence et l’huile moteur, pris dans l’aspiration de quelques graines de champions et autres icônes de la Formule 1. « Paul écoute les conseils de Felipe Massa, un copain, s’entraîne avec les enfants de Barichello, suit les entraînements de Nelson Piquet Junior... » A (très) bonne école, Paul Bocuse junior espère dès cette année jouer les premiers rôles dans le championnat nord-américain de Tony Kart, des petits bolides propulsés par des moteurs deux temps de 80 cm3. « Après une année d’apprentissage, il a le potentiel pour être dans le peloton de tête », estime son père, prêt à beaucoup de sacrifices dans le sillage de son rejeton. Le restaurateur a notamment fait l’acquisition d’un confortable motorhouse pour sillonner la côte Est des Etats-Unis, de la Floride à la Pennsylvanie. Imprésario de ce road-movie familial, Jérôme entend ainsi accompagner son Mario Kart chéri sur la ligne de départ des quatorze courses de la saison. Passion, quand tu nous tiens… Pascal Auclair

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COURCHEVEL PEOPLE

JÉRÔME BOCUSE

et l’étoile des neiges

Le temps d’une matinée enneigée, le président du groupe Bocuse a raccroché les skis pour tester le nouveau coupé Mercedes GLE 350, dernier fleuron de la marque à l’étoile. Quoi de mieux pour jauger les qualités d’une Mercedes-Benz qu’un test dans des conditions extrêmes en compagnie d’un chef d’entreprise dingue de belles mécaniques. Premier contact avec Jérôme Bocuse, un habitué des étoiles, au cœur de Courchevel 1850. « Mercedes et Bocuse, c’est une longue histoire d’amour. J’étais encore chez les Maristes lorsque mon père a acheté sa première Classe S. Depuis, il est resté fidèle à la marque, au point de ne rouler qu’en Classe G, à la ville comme dans la Dombes », confie d’emblée le président du groupe Bocuse.

Dehors, le ciel est bas, la visibilité réduite, la neige tombe à gros flocons. Pas un temps à profiter du toit ouvrant panoramique. Dommage… A la sortie du parking Croisette, les lignes agressives du GLE Coupé 350 d 4Matic, son imposante grille de calandre, ses bosselages sculptés dans le capot, tout autant que la sonorité de ses échappements, interpellent quelques passants emmitouflés. « C’est bien, la gamme a été rajeunie », fait remarquer Jérôme Bocuse, en référence à la silhouette du véhicule (et non à celle de deux beautés russes en pleine séance de lèche-vitrines).

Dextérité et sécurité

Mercedes-Benz, the best or nothing !

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Dès les premiers tours de roues, un large sourire éclaire le visage du restaurateur franco-américain, bluffé par le niveau d’électronique embarqué. « L’assistance au conducteur est exceptionnelle. La voiture se conduit toute seule ! » s’enthousiasme le fils de Paul Bocuse, impatient de tester le bolide sur route. Dans les lacets menant au Jardin Alpin, les 4 roues motrices mues par un V6 diesel de 258 chevaux collent à l’épais manteau neigeux. Accélération, décélération, dérapage parfaitement contrôlé lors d’un freinage intempestif. Jérôme Bocuse se révèle d’une étonnante dextérité avec la boîte de vitesse automatique à neuf rapports, alors que dehors, la tempête redouble de violence. « On se sent en sécurité dans une telle voiture. On ne voit pas défiler les kilomètres », lance-t-il, les mains sur le cuir d’un volant sport éclairé par un tableau de bord high-tech. Dernier petit rodéo sur un parking désaffecté et retour au cœur de la station pour partager ses premières impressions avec Jean-Jacques Bertrand, le patron du Tremplin, autre amateur de grosses cylindrées. Le ski attendra… Pascal Auclair - Photos © Jean-Luc Mège

N°162 - Avril 2016

DOSSIER

SPECIAL IMMOBILIER actualité

La dynamique du marché lyonnais Page 28 promotion

Les hommes qui bâtissent Lyon

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appartements maisons

Les plus beaux produits à la vente

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LES HOMMES DE L’IMMO

La dynamique du MARCHÉ IMMOBILIER LYONNAIS

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a traditionnelle et très attendue présentation de son étude annuelle du marché de l’immobilier dans le Rhône par la Chambre rhodanienne de la FNAIM (1) a bien précisé la croissance d’activité de ce secteur, repère de la vitalité économique d’un territoire. Le niveau des transactions a largement dépassé le seuil de 20.000 ventes (21.431, en progression de

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9,8%), représentant 26% des ventes régionales.

Le prix moyen du m2 de 2.890€ (pour un appartement) évolue légèrement à la hausse (+ 0,8%) (1). Si l’étude précise des prix moyens par arrondissement, qui placent les 2ème et 6ème en tête, avec un repère médian dépassant le seuil des 4.000€ et en fin de classement les 5ème, 9ème et 8ème avec une référence inférieure à 3.000 €, le président de la FNAIM, Jean Chavot

tempère cette approche car les variations sont rapides au sein d’un même quartier en raison de la qualité du bâti, du cadre de vie et de la vue…

Il souligne que « Lyon tire le Rhône » comme en témoigne l’évolution des prix (sur dix ans) pour le secteur des appartements avec une progression de 28% sur Lyon intra-muros, alors qu’elle n’a été que de 19% dans le département (on enregistre même un recul de 3,7 points pour

locative, recherchant notamment des T2 et T1bis.

A la tête de Croix-Rousse Immobilier, Bruno Delhaye fait le constat d’une dynamique du marché, renforcée par l’attractivité du plateau : « la demande est portée par toutes les générations avec des attentes multiples comme la recherche du traditionnel appartement de canut ou de la résidence avec confort (rues Chazière et Ribot) ». Il note le regain d’intérêt pour le quai Gillet depuis la construction du pont Schumann.

Enfin, il souligne la capacité de la clientèle à adapter son mode vie à la réalité du secteur (problème du stationnement et essor des transports « doux »).

Photo : Philippe Gourdain – StudioFly

Une nouvelle donne à prendre en compte

le secteur des maisons individuelles). Enfin, il explique la hausse des transactions réalisées en 2015 par la conjugaison de plusieurs facteurs. Le développement économique et urbanistique de la métropole entraine des besoins de logement en raison de l’arrivée de nouveaux habitants. A cela s’ajoutent les capacités d’acquisition portées « par une baisse de prix depuis 3 ans, une meilleure solvabilité des ménages et les taux d’intérêt qui restent bas ». Cette vision est confirmée par les

professionnels de l’immobilier comme JeanChristophe Clech, directeur des agences « de la Place » à Saint Just et Saint Georges ORPI : « notre progression s’appuie des prix raisonnables. Notre délai de vente est alors de 70 à 80 jours ». Il confirme l’attractivité de certains secteurs comme la Presqu’île, le 3ème jouxtant la Mutualité, le 6ème. Fait à souligner, il constate dans sa clientèle de nombreux investisseurs soucieux de placements avec une bonne valeur

Pour autant, la vigilance est de rigueur car le marché de l’immobilier demande que responsables politiques et acteurs économiques suivent de près les évolutions tant sur le foncier disponible que les classements des zones déterminant les aides (Prêt à taux zéro). Ainsi, il y a lieu de prendre en compte les effets du classement DPE (diagnostic de performance énergétique) qui « sensibilise de plus en plus les locataires, les propriétaires, les syndics de copropriété et les vendeurs ». Pour Jean Chavot, cette problématique énergétique va déterminer des évolutions rapides du marché immobilier, entre un secteur répondant aux normes et aux exigences qualitatives et énergétiques « qui sera recherché » et un autre (le plus ancien) où les aménagements n’ont pas été réalisés et « qui sera moins attractif ». Pour lui, le challenge à relever est la rénovation technique de l’existant.

Il faudra suivre la présentation de la prochaine étude annuelle de la Chambre des Notaires dont le représentant lors de la conférence de presse de la FPI, du CECIM et de l’UCI-FFB(1) de janvier dernier avait signalé une nette progression des transactions dans l’immobilier ancien mais avec un léger fléchissement des prix. Confirmant les craintes de la FPI, Jean-Jacques Mathias, Président de l’Observatoire du CECIM s’inquiète « d’un marché tendu dans le secteur de l’immobilier neuf avant la fin de l’année, avec un goulot d’étranglement après une année remarquable, si le rythme de la construction ne suit pas ». En effet, le secteur du « neuf » a vu une progression de 7% en 2015 (5.584 réservations sur l’ensemble de la métropole). Mais le volume du « disponible » (3.962 logements) a chuté de 17%. Et J.J.Mathias de regretter « la multiplicité des recours toujours plus nombreux retardant le démarrage des chantiers ». Il estime qu’actuellement 500 logements sont « bloqués » sur Lyon. Une situation pouvant entrainer une hausse des prix en 2016. Yves Espaignet (1) FNAIM (Fédération nationale de l’immobilier), CECIM (Centre d’étude de la conjoncture immobilière), FPI (Fédération des promoteurs immobiliers, UCI-FFB (Union des Constructeurs Immobiliers de la Fédération Française du Bâtiment)

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LES HOMMES DE L’IMMO La spectaculaire rénovation du garage Citroën par 6ème Sens Immobilier a été saluée par les décideurs lyonnais

Alstom Transport a installé son nouveau site villeurbannais dans un ensemble flambant neuf de 37.000 m2 construit par DCB international

L

’attractivité économique lyonnaise se comprend au regard des investissements réalisés dans le domaine de l’immobilier d’entreprise (1,25 milliard d’euros en 2015, source FNAIM Entreprises) (1).

Une performance qui n’avait plus été constatée depuis le début de la crise. La dynamique du secteur du tertiaire constitue une première explication avec plus de 272.000m2 de bureaux placés (+12%). Le site national BureauxLocaux.com (à partir des Jean-Pascal Denys recherches indexées) dévoile que la Part-Dieu et la Confluence sont les quartiers les plus prisés. Suivent Vaise et Gerland. Dans l’étude FNAIM, avec le critère de la « demande placée », Gerland représente 26% du marché devant la Part-Dieu 15% en raison de l’arrivée de gros opérateurs (Septen EDF, RTE, Cap Gémini). « Un entreprise sur trois veut aller à la Part-Dieu mais l’offre est actuellement limitée.

FNAIM entreprises regroupe16 grands cabinets spécialisés à Lyon

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L’émission de Stéphane Plaza « Chasseur d’appart » sur M6 mettait à l’honneur les agents de la région lyonnaise qui se sont illustrés au travers d’un réel défi professionnel : gagner un maximum de points chaque jour en proposant à des acquéreurs locaux des biens à la vente correspondant à des critères de recherche précis. Diffusé du 8 au 12 février 2016, le concours a attiré devant le petit écran plus de 2 millions de téléspectateurs.

Angélique Grasso, directrice de l’agence « Avenir Investissement » est montée sur la première marche du podium devant Alexa Morter (Change Your Home) et Etienne Claude (Recherche Appartement ou Maison). BW

La donne sera différente en 2017 » précise Maryse Cadegros (Brice Robert Arthur Loyd). A noter que DCB International vient de conclure la vente de l’un des deux immeubles du siège de Sanofi Pasteur (Gerland). Pour le domaine des locaux industriels, le recul de 11% des m2 placés (282.000 m2) est significatif en raison de l’absence de grandes opérations. Cependant précise l’étude du cabinet JLL Lyon : « alors que le volume est en baisse, le nombre global de signatures est, quant à lui, en hausse ». Une donne que confirme Jean-Pascal Denys (Brice Robert) : Maryse Cadegros « le marché lyonnais de la PME (200 à 1.500 m2) reste très actif ». Enfin la logistique redémarre fortement avec une progression de 28% (382.000 m2 placés dont 41% en nord-Isère) ; le niveau faible des disponibilités interpelle les professionnels. A noter l’intérêt porté aux plateformes intégralement mécanisées et informatisées qualifiées d’usines logistiques. YE

Fleuron de la skyline lyonnaise, la Tour Incity sera inaugurée au printemps

Photos : Fabrice Schiff & DR

IMMOBILIER D’ENTREPRISE ANNÉE D’EXCEPTION

ANGÉLIQUE GRASSO LA « CHASSEUSE D’APPARTS »

Photos : Saby Maviel

LES HOMMES DE L’IMMO

PHILIPPE BAUDE Promoteur « 4 étoiles »

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our vivre heureux, vivons cachés »… Philippe Baude, président de Generim, applique à la lettre, la maxime de Jean-Pierre Claris de Florian. Créée il y a vingt cinq ans par Philippe Baude et Philippe Ribes, son associé et directeur général, cette pépite de la promotion immobilière révèle des réalisations insoupçonnées, tant que l’on n’a pas poussé pas la lourde porte du 63, avenue de Saxe. « Après avoir dirigé de 1981 à 1991, la filiale immobilière du Sud de la France pour le groupe SAE devenu Eiffage, j’ai eu envie de créer mon entreprise mais Eiffage a souhaité poursuivre notre relation et le groupe est resté notre partenaire et actionnaire privilégié. Le Crédit Agricole nous a rejoints en 2006 », explique Philippe Baude, au côté de son fils Adrien responsable de programmes et chargé du développement. Après l’ouverture à la Part-Dieu, d’une première direction régionale RhôneAlpes Auvergne sous la direction de Thierry Senglet, Generim s’est doté de trois autres QG régionaux en PACA, à Paris et dans les deux Savoie. « La connaissance pointue des produits gérés, de l’hôtellerie haut de gamme au secteur hospitalier est inscrite dans notre ADN de promoteur – concepteur », souligne Philippe Baude. Un promoteur « 4 Etoiles » dont les clients sont les dirigeants de chaînes de notoriété internationale : Hilton, Marriott, Châteauform, leader du business ressort en Europe, sans oublier le groupe Intercontinental. Le groupement Eiffage-Generim a été lauréat du concours lancé par les HCL. A cette occasion, Generim a contribué, grâce à son expertise, à l’implantation et à la réalisation d’un Intercontinental Hôtels & Resort de 143 chambres et d’un centre de convention sur le site du Grand Hôtel Dieu. Très récemment Generim a décroché un autre chantier hôtelier d’exception : la réalisation à Paris, dans le quartier Montparnasse, du premier hôtel de caractère de la nouvelle gamme Curio de la chaîne internationale Hilton, qui ouvrira ses portes en février 2017. Orienté sur les opérations hôtelières internationales et les aménagements multi - fonctions en centre ville, le savoir-faire de Generim lui permet de mobiliser la chaîne de compétences adéquate, après avoir conceptualisé un produit de A à Z :

« dès que nous avons identifié un terrain, nous définissons tous les critères du projet qu’il doit accueillir puis nous allons chercher les opérateurs qui en assureront la gestion et les investisseurs qui porteront les murs».

La méthode a fait ses preuves aux six coins de France où Generim exerce ses talents. A commencer par Paris où le groupe a réalisé à Tolbiac, l’implantation d’une université privée de 3000 étudiants pour le groupe Studialis. Lyon n’est pas en reste… Generim a signé entre Rhône et Saône, notamment plusieurs programmes de logements de standing et quelque mille logements en résidences étudiants. Un pôle d’activités de 30 000 m2, incluant un EHPAD, un établissement de para hôtellerie, un centre de soins et de rééducation fonctionnelle réalisé pour la Générale de Santé, à proximité de l’hôpital privé Jean Mermoz, sont également à l’actif du groupe qui emploie 35 personnes, avec un volume d’activités situé entre 100 et 120M€ par an. La région Rhône-Alpes s’avère la plus porteuse de projets pour Generim qui vient de lancer le programme de résidence de tourisme haut de gamme « Les Fermes du Mont Blanc » à Combloux. Ses 70 appartements et chalets sont proposés à 5 500€ le mètre carré dans un site d’exception, doté d’un centre de fitness avec piscine et sauna. Le genre de raffinement qui séduit autant les Lyonnais que les Anglaises qui adorent se rendre au spa en chaussons, note Philippe Baude, avant de nous entraîner à la découverte d’un programme de 120 logements, dont les premiers seront livrés dans trois mois, face au Golf d’Uriage, aux pieds de la station de ski de Chamrousse. Assez irrésistible pour justifier le maintien du siège social de Generim à Aix-en-Provence, l’appel du Sud se fait sentir de plus belle avec la participation à la rénovation de 160 000 m2 rue de la République à Marseille entre 2004 et 2006 et très récemment l’aménagement d’une ZAC avec la création de 230 logements, 5000 m2 d’activités à Villeneuve-lesAvignon où la livraison interviendra entre 2017 et 2019. On comprend le chassé croisé de valises à roulettes dans les bureaux lyonnais de Generim qui a fait de « l’écoute du client, de sa satisfaction et du respect des engagements », sa règle d’or. Jocelyne Vidal

Des Lyonnais sous le charme de Combloux

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Olivier Bonnet (L’Orchid Finance) et Jacques Chassany (Generim)

Claude Gutierrez (Borealis) et Grégoire Sergent (Investissement Pierre)

Didier Strilka (DS Patrimoine Conseil Bourgoin-Jallieu) et Valéry-Jean Redon (JIPC)

Mélanie Bade (Foncia Croissance) et Nathalie Grandjean (Generim)

Jean-Jacques Mey et sa fille Nathalie (ALPI)

Jacques Chassany, Nancy Subiger et Ahmed Ouali (Generim)

Hélène Benitah (Patrimoine et Finance), Laurence Driot (Laurence Driot) et Catherine Paris (Patrimoine et Finance)

Adrien Baude (Generim) et Nicolas Conrad (Vivastreet)

GRAND HÔTEL-DIEU Generim, acteur du projet

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Christophe Dardaine (Cilck Call), Pierre David et Isabelle Chambefort (Generim)

Olivier Bonnet (L’Orchid Finance), Nancy Subiger (Generim) et Yves Suffet (Conseil Foncier Développement)

Johan Montesinos (Agence Damiers Annecy), Nancy Subiger (Generim) et Alain Burgard (Agence Damiers Annecy)

Christian Marlin (MNM Finance Conseil), Patrick Picollet (Capital +) et (Jean-Marc Vidal (Terre Longue Conseil)

ous les professionnels de l’immobilier en rêvaient. Mais seules deux entreprises ont la fierté de participer au plus grand chantier patrimonial de France.

Fort de son expérience de l’hôtellerie, GENERIM prend ainsi part entière, avec son associé EIFFAGE Immobilier, au projet de reconversion du Grand Hôtel-Dieu. Emblématique aux yeux des lyonnais et entièrement classé Monument historique, le site nourrit de grandes ambitions en accueillant plusieurs fonctions, notamment un hôtel 5* et un centre de conventions, dont GENERIM pilote la conception et la réalisation pour le compte de l’investisseur et du futur exploitant, Intercontinental Hotel Group. Acteur reconnu du secteur de la promotion immobilière, GENERIM a réuni une cinquantaine de CGP le jeudi 10 mars au Sofitel de Lyon Bellecour, afin de présenter son analyse du marché et mettre en perspective ses nouveaux programmes immobiliers résidentiels. Au cours de cette rencontre, le promoteur a remis le trophée du meilleur CGP 2015 à Claude Gutierrez (Borealis Conseil). Philippe Baude, Président-Directeur Général de GENERIM est revenu sur les temps forts de GENERIM et ses perspectives et a souligné l’importance des échanges et du partenariat avec les CGP. Leurs équipes ont ensuite organisé une visite du chantier qui a suscité curiosité et engouement chez leurs clients et partenaires.

Jacques Chassany (Generim), Claude Gutierrez (Borealis) et Ahmed Ouali (Generim)

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DIDIER CAUDARD-BREILLE Promoteur humaniste

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hemise à col ouvert sous le souple costume beige, Didier Caudard-Breille cultive la cool attitude d’un autodidacte de la promotion immobilière. « Mes premiers honoraires de transaction remontent à 2000, année où j’ai signé un contrat avec Casino pour conseiller le groupe dans le cadre de ses acquisitions immobilières en Pologne où je vivais alors dix jours par mois ». Quinze ans, quelques nuits blanches et 72 M€ de chiffre d’affaires plus tard, la sortie de terre de Silky, centre névralgique de l’électronique ferroviaire d’Alstom Transport, l’amarrage à la Confluence, d’Empreinte, un siège social profilé en vaisseau de verre, donne le tempo d’une vraie success-story de l’immobilier d’entreprise. Son dernier épisode n’est pas passé inaperçu : racheter pour 60 M€, avec le concours de la Bank of China, à un fonds d’investissement du Moyen-Orient, les deux immeubles occupés par Sanofi Pasteur à Gerland… Il fallait oser. Le PDG de DCB International l’a fait, pour conforter ses activités à travers l’une des plus importantes opérations lyonnaises de valorisation d’actifs tertiaires. A l’image « un peu bling bling » de success-story, Didier Caudard-Breille préfère cependant la vision intérieure d’une progression pas à pas, d’un parcours jalonné d’aventures humaines. « Au lendemain de l’achat en 2001, d’un petit terrain à Sainte Foy-lès-Lyon, avec mon ami Jean-Louis Percie du Sert, j’ai réalisé ma première opération immobilière et les choses se sont enchaînées naturellement. J’ai demandé à Sud Architectes d’imaginer un bâtiment sympathique de 500 m2, baptisé L’Amour est dans le Pré Center… L’année suivante, nous avons acquis 1000 m2 d’un terrain voisin pour y implanter l’ensemble de bureaux des Erables… ».

Photo : Saby Maviel

Penser global pour optimiser l’action locale

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S’il multiplie régulièrement par deux ses acquisitions, pour totaliser aujourd’hui une moyenne annuelle de 50 000 m2 en cours de construction, Didier Caudard-Breille se défend d’être un killer ou un serial entrepreneur ! « Ce qui nous importe est que la prospérité de cette entreprise passe par le bien-être des hommes. » Des cols blancs comme des Roms.

Pour Didier Caudard Breille, il n’était pas question de laisser sur le bord de l’autoroute, les familles découvertes sur le terrain de construction d’Empreinte : « Nous avons fait en sorte qu’ils soient hébergés dans l’ancienne école primaire d’Oullins, obtiennent une carte de séjour et puissent travailler ensuite dans des sociétés de construction ». Le promoteur humaniste ne boude pas son plaisir d’exercer ses activités à Lyon, dont « le maire est un bâtisseur qui aime et comprend les entrepreneurs ». Il en résulte « une situation originale du marché lyonnais qui a généré ses propres promoteurs, sans se laisser dominer comme ailleurs, par les majors nationaux ». Refaire le monde de l’immobilier avec ses amis du Cercle Childebert, voilà l’un des hobbies préférés de Didier Caudard-Breille. Le pilotage de son Cirrhus SR 22 donne une autre occasion de prendre de la hauteur sur les événements, au stratège d’ « une vision globale qui optimise les actions locales. » Jocelyne Vidal

Photo : Saby Maviel

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JEAN-CLAUDE CONDAMIN Les sommets de Sogelym Dixence

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ne toile géante de Giorda vous accueille Place Vendôme, dans le sas translucide de la « fusée » Sogelym Dixence. « Le premier étage de la fusée, c’est moi, le reste vous appartient»... Message reçu cinq sur cinq par Renaud et Christophe, fils du Président fondateur de Sogelym Dixence. « Après avoir toujours entendu parler de construction à la maison, ils ont envie de poursuivre l’aventure, ce qui est pour moi la plus belle des récompenses ». Figurer parmi les premiers acteurs nationaux du secteur de la réalisation de programmes tertiaires, sans perdre son statut d’entreprise familiale, garante de « sa réactivité, de sa flexibilité et de sa personnalité, en un mot, ce qui caractérise l’esprit Sogelym » telle a toujours été l’ambition de JeanClaude Condamin. Créateur de la nouvelle skyline lyonnaise dessinée par les tours Oxygène et Incity, le président d’un groupe qui réalise un volume d’affaires de 400 M€ par an, partage son temps et ses activités entre Lyon et Paris. « L’idéal serait pour nous 2 de maintenir une position de leader à Lyon mais nous nous devons aussi de conquérir de nouvelles parts de marché à Paris, en nous fixant l’objectif d’un tiers de chiffre d’affaires à Lyon, deux tiers à Paris où il est bon de cultiver des réflexes de provinciaux pour garder son sang froid en toutes circonstances ! » Agissons en nationaux, pensons en provinciaux… La devise de Jean-Claude Condamin a fait son chemin dans des chantiers parisiens à « la granulométrie » spécifique : « 30 000 m2 de bureaux à Paris, c’est banal, à Lyon c’est déjà du niveau gros porteur ». Humour à fleur de lèvres, Jean-Claude Condamin n’est pas près de raccrocher son casque de chantier. Attentif à une stricte élégance mâtinée d’influences british, il n’est pas près non plus de ressembler à « ces confrères retraités qui passent leur matinée à faire le marché derrière leur femme et le reste de la journée à énumérer leurs problèmes de santé ». Même si ses fils assurent respectivement la présidence de la branche Facility Management et la direction générale parisienne de Sogelym Dixence, le capitaine tient bon la barre du vaisseau amiral

de l’immobilier tertiaire. « Notre culture est d’être les meilleurs dans ce secteur », souligne Jean-Claude Condamin avant d’évoquer « les six à sept opérations importantes » réalisées entre 2016 et 2018.

Choisi par la Sovafim, entreprise publique dédiée à la valorisation de biens immobiliers de l’Etat pour assurer la restructuration et la rénovation des 46 000 m2 de l’Ilot Fontenoy Ségur, Sogelym Dixence livrera en deux temps, 2016 pour le Bâtiment Fontenoy, 2017 pour le Bâtiment Ségur, les immeubles regroupant des services de l’Etat aujourd’hui dispersés dans 35 sites parisiens, à commencer par ceux du Premier Ministre et des administrations rattachées au Défenseur des Droits et à la CNIL. Sitôt lancée la construction de 7000 m2 de bureaux pour la Maison des Avocats à l’architecture signée Renzo Piano, dans le secteur parisien des Batignolles, Sogelym Dixence, démarrera cette année une opération globale de 60 000 m2 aux abords du Stade de France. Dans les cartons parisiens du groupe, on trouve également 6000 m2 de bureaux dans le très dynamique Quartier Central des Affaires du Boulevard Haussman et la construction de 2 500 m2 de bureaux boulevard de Courcelles en collaboration avec le groupe Dentressangle. Revenons à Lyon, plus précisément à Marcy-l’Etoile, pour voir s’achever cette année les 9000 m2 de bureaux du siège social mondial de bioMérieux, n°1 du diagnostic in vitro, avant de découvrir un programme de bureaux de 25 000 m2 , coproduit avec Vinci Immobilier à Villeurbanne, sur l’ancien site de l’usine Sadena, tandis qu’à Gerland, 20 000 m2 de bureaux se préparent à sortir de terre sur le site du laboratoire Aguettant. En quarante ans, l’entreprise créée en 1974 dans un local de 40m2, par Jean-Claude Condamin, jeune architecte de trente-deux ans, aura produit plus de 1 250 000 m2 de bureaux, sièges sociaux, logements, laboratoires, chambres d’hôtels. « Le sens de l’engagement, valeur lyonnaise épousée par le groupe » aura largement contribué au succès de Sogelym Dixence, dans un secteur à haut risque. Jocelyne Vidal

7000 m pour la Maison des Avocats de Renzo Piano

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GRÉGORY ET RÉGIS FOUQUE 30 ans de passion

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’ils marquent, en double, les points gagnants de Promoval, Grégory Fouque, président de 37 ans et son frère jumeau Régis, directeur général, restent de simples messieurs : « On s’éclate professionnellement sans aucune volonté d’être mis en avant ». Une tradition familiale de discrétion héritée de Rémy Fouque, leur père équipementier automobile puis créateur de Promoval en 1985, sur les traces de William Fouque, leur grand-père promoteur indépendant des années 60-70. « Avoir baigné dans la culture immobilière » ne prédisposait pas forcément les deux frères au parcours de juriste, à reprendre le flambeau. « Le fait que notre père ait eu l’idée de vendre Promoval nous a pourtant fait l’effet d’un électrochoc ». Cadres supérieurs à Paris et Hong Kong, Régis et Gregory Fouque plient bagage pour rejoindre leur père à Dardilly en 2004. « Il n’était pas question pour nous, de laisser partir un outil familial, patrimonial ». Formé par Rémy Fouque au métier de promoteur, le tandem a repris Promoval il y a onze ans, en pérennisant l’esprit familial de l’entreprise qui développe avec succès ses quatre lignes de métiers : la réalisation de logements neufs classiques ou sociaux, la construction de Résidences Services (Résidences Etudiantes et de Tourisme), la réhabilitation et la restructuration de sites, tel le quartier Livet à Cuire-le-Haut, où un ancien centre de convalescence des Hospices Civils de Lyon accueillera « Les Terrasses des Soyeux », un programme de logements sociaux et en accession libre, un hôtel, une crèche, des commerces et une résidence pour seniors. Reconnu pour son expérience confirmée dans le montage, la construction d’EHPAD, de cliniques et de résidences médicalisées, Promoval conçoit et réalise, par l’intermédiaire de sa filiale Médisanté, des infrastructures pluridisciplinaires calquées sur les besoins des professionnels de la santé. Ajoutées à ses compétences de « multi spécialiste », ses qualités de réactivité et d’ingéniosité permettent à Promoval de se différencier des grosses structures immobilières, adossées à de puissants groupes financiers.

Photo : Saby Maviel

Un savoir-faire qui s’exporte au Brésil

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« Donner de l’âme à nos projets en plaçant le client au cœur de nos réalisations », tel est le propos de Promoval qui fait la part belle aux programmes originaux, tel « Le Saint Georges », une résidence intergénérationnelle pour étudiants et personnes âgées située en plein centre historique de Lyon ou encore cet autre projet de résidences mixtes pour seniors et étudiants, auxquels seront proposés 56 logements répartis en deux immeubles face aux Facultés Catholiques. Sans oublier un séduisant programme de 80 logements axés sur la mixité sociale et vendus de 2 850 à 3 000€ le m2 dans le 9ème arrondissement, à côté de Saint - Rambert. Très présent dans Lyon intramuros, Promoval est également bien implanté dans le Franco - Genevois, dans l’Ain et en Saône et Loire, plus précisément à Chalon-sur-Saône où va s’opérer la transformation d’un ancien centre de gérontologie en une résidence d’une centaine de logements. Au rythme de 350 à 400 logements livrés chaque année, le promoteur a réalisé en 2015, un cumul de ventes de l’ordre de 35 à 40M€ et envisage une progression de 30% des lancements de programmes en 2016. « Nous ne distribuons pas de dividendes, nous réinvestissons la totalité de nos bénéfices dans l’entreprise », précise Gregory Fouque à la veille d’un voyage au Brésil où, dans la foulée de la Suisse et de la Belgique, Promoval développe ses activités de promotion immobilière dans le secteur social. Une explosion de couleurs pop rock sur la toile de Jaké, accrochée dans la salle de réunion, témoigne des engagements sociétaux de Promoval, en faveur des artistes mais aussi de l’accompagnement hospitalier de jeunes enfants dans le cadre de l’association Dubourdon et Compagnie. « Partenaires de la Fête des Lumières et des Nuits de Fourvière, nous avons parfois la surprise d’être inscrits malgré nous, à certaines épreuves sportives comme le Running de Lyon où nous ont entrainés de jeunes collaborateurs », s’amuse Régis Fouque. Le DG de Promoval partage avec son frère la même passion du ski, du golf et du sport automobile. Si l’un ne jure que par le cinéma d’Almodovar, l’autre a pour films de chevet des thrillers du style Braquo. « Idéal pour déconnecter » entre deux petites réflexions philosophiques sur l’art de « penser sa vie » et de « vivre sa pensée » décrit par André Comte-Sponville dans son Petit Traité des Grandes Vertus. Jocelyne Vidal

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Pas de Point Break pour NICOLAS GAGNEUX

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iège social ou galerie d’art ? Les deux mon capitaine ! Vous venez à peine de flasher pour les éblouissants jeux de matière de l’exposition Origin de Souchaud Art Project, au catalogue édité avec le soutien de 6ème Sens Immobilier… Capitaine du vaisseau de 1500 m2 amarré au quai Claude Bernard, Nicolas Gagneux vous entraîne illico, dans la version street art de la fusée de Tintin déguisée en ascenseur. Le miroir du plafond invite à décoder nez en l’air, les messages écrits à l’envers par Jaké dont les graffs bigarrés vous accompagnent jusqu’au Q.G. de l’as de la pierre.

Lauréat du Grand Prix du SIMI, dans la catégorie « immeuble rénové - bâtiment tertiaire de plus de 5000 m2», pour la requalification de l’immeuble Citroën, considéré en son temps comme « la plus grande station service du monde », le PDG de 6ème Sens Immobilier ne se départit pas d’une modestie légendaire. « Soulagé, content de voir aboutir le résultat de quatre ans de travail d’équipe et de stress en mettant en lumière la transition des années 30 au XXIème siècle incarnée par cet édifice inscrit à l’Inventaire des Monuments Historiques », tel est le ressenti de Nicolas Gagneux au lendemain de l’inauguration des 30 100 m2 de bureaux et show-rooms du New Deal. Fier de cette « première lyonnaise », le promoteur n’en est pas, il est vrai, à son premier défi. Alors, dans la foulée de l’année du défi de la promotion immobilière en 2006, de l’implantation à Paris et de la diversification des bureaux et locaux industriels en 2012, quels seront les challenges de 2016 ? « Lancer en mars, un traitement de dépollution des immeubles et continuer à nous développer dans les secteurs du tertiaire et de l’habitat, en d’autres villes que Lyon et Paris : à Marseille, Lille, Bordeaux, Avignon, Nîmes et Angers. » Avec le titre du film culte de Brice de Nice « Point Break » pour devise, le promoteur surfe sur des courbes de progression à deux chiffres.

Elles font passer le cap des 130 M€ de chiffre d’affaires consolidé en 2015, 150 M€ en 2016, au groupe fondé en 1999, par Nicolas Gagneux alors âgé de 27 ans, sous le nom de la Compagnie Lyonnaise Immobilière. Le secret de cette croissance éclair ? « Le travail et une méthodologie plus rapide, voire agressive que celle des majors nationaux, nous avons ainsi réussi à anticiper les besoins du marché en termes de réhabilitations lourdes : qu’il s’agisse de la réhabilitation du New Deal, de la requalification de l’hôpital Debrousse en logements d’exception ou de la restructuration d’un immeuble de 5000 m2 que nous venons d’acheter à Paris - La Défense.

Photo : Saby Maviel

600 logements vendus en 2015

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La maîtrise de 100% de son capital explique la rapidité de décision du groupe qui fonde son développement sur l’humain et le bien-être des salariés. Lesquels disposent d’un centre de fitness, d’un coin Playstation et d’un bar avec cuisine ouverte au chef et à ses 38 collaborateurs. L’esprit start-up du groupe familial dont la sœur de Nicolas Gagneux, est DRH, leur père, directeur de filiale et leur cousin Romain Valéry, directeur général, n’est pas étranger à un succès chiffré par la vente de 600 logements en France l’an dernier. Dans les cartons de 2016 ? La construction de 9500 m2 de bureaux à Rillieux pour Medicréa, laboratoire coté en bourse, 4000 m2 d’activités tertiaires pour Blanchon à Saint Priest, le développement de 8000 m2 de bureaux à Dardilly, la construction de 120 logements à Pierre-Bénite, 100 à Caluire, 150 à Ecully… Ajoutez le lancement du programme de 12 000 m2 de logements, commerces et bureaux sur l’ancien site de Renault rue Marietton, la construction d’une résidence étudiante à La Confluence et la réhabilitation de trois immeubles à Paris, Lille et Bordeaux pour rendre très précieuses les bouffées d’art pur humées avec délice par Nicolas Gagneux du MAC de New York au Guggenheim de Bilbao… En passant bien sûr par les expos lyonnaises des maîtres du Street Art : Jaké, Lardanchet, Kalouf, Pimax, Tanguy Boisson, Albator et Paul Sibuet dont le président de 6ème Sens Immobilier ne se lasse pas de voir l’incroyable sculpture de marteaux et truelles, refléter l’ombre d’un lion en forme figure de proue sur son vaisseau blanc. Jocelyne Vidal

portrait du n°1 de l’emplacement lyonnais Acteur phare de la nouvelle stratégie de commercialisation du quartier Grolée, Vladimir DA SILVA DIAS, n’en n’est plus à son coup d’essai.

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Photo : Saby Maviel

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FABRICE HOOLBECQ Promoteur de la primo accession

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llure sportive soulignée par un freeday wear raffiné - camaïeu de bleus déclinés du chèche au pull de cachemire et au pantalon de velours -, Fabrice Hoolbecq est devenu en dix ans, le plus lyonnais des promoteurs parisiens. Rien de tel il est vrai, que le passeport de supporter de l’OL et de membre de l’Association des Epicuriens Lyonnais, pour intégrer « le réseau qui concourt au rayonnement d’une ville fourmillante de projets à l’échelle humaine. » Maîtrise d’aménagement du territoire en poche, ce fils de footballeur professionnel fit ses premières armes chez Bouygues, avant de devenir directeur régional de Nexity. « Nommé en 2001, à la tête d’une structure en plein développement, au moment même où Gérard Collomb venait d’être élu maire et président du Grand Lyon, se souvient Fabrice Hoolbecq, j’ai eu l’opportunité de développer d’importantes opérations immobilières, emblématiques du renouvellement urbain des quartiers de La Duchère et de Vaulx-en-Velin ». Sa vision d’un urbanisme socialement responsable inspire la création de Noaho, à un promoteur désireux d’apporter en 2009, une nouvelle donne dans le paysage immobilier régional.

Construire des résidences respectueuses de l’environnement en privilégiant la primo accession, tel est l’engagement de Noaho, « promoteur des Temps Nouveaux ». Au-delà du slogan, la signature de Noaho, -au nom inspiré à la fois de Noho, l’autre quartier branché de New York après Soho et d’un jeu de mots sur know how, synonyme de savoir – faire -, illustre son rôle d’anticipation et d’accompagnement de la politique urbaine de Lyon. « Une ville où la demande reste forte, note Fabrice Hoolbecq, si l’on songe que 6000 logements neufs ont été vendus l’an dernier par les promoteurs privés dans une agglomération de près de deux millions d’habitants. »

aux résidences intergénérationnelles, en passant par le locatif classique ou social, voilà ce qui nous définit », souligne le PDG de Noaho. Partenaire de la Société Générale, l’entreprise de 24 personnes aura vendu plus de 1300 logements depuis sa création et pourrait passer l’an prochain, le cap des 60 M€ de chiffre d’affaires. Solidement ancré dans le territoire de la Métropole, Noaho en marque les contours, au fil de réalisations originales et écoresponsables : en atteste la construction de maisons à énergie positive, en ossature bois à Vaulx-en-Velin où les maisons de ville et appartements de la Résidence The Cubes sont éligibles à la TVA de 5,5%. Présent à SaintPriest où son groupe a été choisi pour construire cette année une centaine de logements dans le cadre de la ZAC du Triangle, Fabrice Hoolbecq a également remporté le concours qui lui donne le feu vert de l’Agence Nationale de Rénovation Urbaine pour construire à Bron, à la faveur du Projet Caravelle – Terraillon, des logements éligibles au taux de TVA à 5,5%, à l’effet levier très prisé. Associé par ailleurs à Bouygues Immobilier, pour réaménager le site des ex usines Berliet, à proximité du Parc Blandan et de la Place du Jet d’Eau où sortiront de terre 600 logements, 4000 m2 de bureaux, d’activités et un groupe scolaire de 18 classes, Noaho lance cette année un programme de 160 logements dans le 3ème arrondissement, en partenariat avec Pitch Promotion, après s’être rapproché de Promoval pour livrer une partie des 160 logements de la Résidence Vernéo à Vernaison. « Mieux vaut partager une opération pour la proposer à des prix maîtrisés, que céder à la surenchère foncière », justifie le PDG d’une entreprise développée comme une extension de sa famille : son épouse Pascale dirige le marketing et la communication du groupe, tandis que leurs deux fils Clément et Elliot ont choisi des formations révélatrices de leur tempérament de bâtisseurs ! Jocelyne Vidal

Un urbanisme socialement responsable

« Faire du logement pour tous, le plus éclectique possible, de l’accession

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PIERRE NALLET Anahome sweet home

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tyle loft revisité par le Club Med, les locaux d’Anahome Immobilier s’ouvrent sur une fresque crépitante de stimulations positives : Keep Calm, Délirez, Enjoy, Home Sweet Home… Entre deux pyramides de caisses de champagne, on se fraye un chemin jusqu’au bar seventy orange vif et bleu canard où se carre tout à coup le mètre 90 d’un G.O. qui n’est autre que Pierre Nallet, président d’Anahome Immobilier. Décoré d’œuvres de Couty et d’une imposante sculpture de voyageur au corps disloqué, signée Bruno Catalano, le bureau de Pierre Nallet rassemble ses coups de cœur pour des artistes dont il est tombé amoureux, au hasard d’une visite éclair dans une galerie. « En matière d’art comme d’immobilier, je me fie à mes impulsions, comme le ferait un nez pour créer un parfum», confie le fin limier de l’immobilier lyonnais. Fasciné depuis toujours par « l’acte de construire », Pierre Nallet fait ses premières armes de promoteur à la tête de Sogelym Conseil, entre 1994 et 1996, avant de revenir aux fondamentaux du « métier de maçon » exercé par son père Jean, bâtisseur entre autres, de 1958 à 1962, du Palais des Sports et du Stade de Gerland. Le temps d’ajouter une branche promotion immobilière à la holding paternelle, l’entrepreneur revend en 2001 les cinq sociétés spécialisées dans le bâtiment pour redevenir promoteur à part entière, puis se rapprocher en 2007 du groupe Cardinal qu’il quitte trois ans plus tard pour créer Anahome Immobilier. « En pleine crise, avec 100 000 € de capital, il fallait oser ! » D’un effectif de cinq personnes, Anahome Immobilier est passé à dix-sept cette année. « En fort développement, l’entreprise pourrait employer à terme, une vingtaine de personnes, avec un chiffre d’affaires de 6 M€ hors taxes pour rythme de croisière » confie celui qui aime à se définir comme « un agitateur d’idées en immobilier ».

Photo : Saby Maviel

Profession, « agitateur d’idées en immobilier »

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A la solitude du pilote de F1, le sémillant Pierre Nallet préfère de loin la convivialité d’un championnat de France des rallyes sur des circuits de construction où il apprécie de « travailler avec tout le monde », de 6ème Sens Immobilier à Vinci, en passant par le groupe Eiffage. Agréé par Wiseed, l’une des plates-formes de crowdfunding immobilier les plus performantes, Anahome réalisera en co-promotion avec Vinci Immobilier, l’extension du campus René Cassin sur 7 500 m2 à Vaise. D’autres visites de chantiers s’imposent sur des programmes logotés Anahome Immobilier : la réalisation d’une résidence sociale de 163 studios proposée dans l’agglomération lyonnaise en VEFA (Vente en Etat Futur d’Achèvement), la construction d’un immeuble d’habitation de 16 logements Grande Rue de Saint-Clair. Sur les hauteurs de Caluire, Anahome a réhabilité un ancien bâtiment de professeurs des écoles pour créer Vudici, un ensemble de huit appartements terrasses à la vue panoramique. Ajoutez un projet d’immeuble de 40 logements à Annemasse, en Haute Savoie, le développement d’une opération immobilière de 8000 m2 de bureaux à L’Isle d’Abeau, dans l’Isère, et le démarrage cette année, des travaux du programme de 54 logements des Jardins de Meyzieu pour conforter l’optimisme naturel de Pierre Nallet. « Le marché est compliqué, mais nous avons la chance de l’exercer dans la Métropole de Lyon dont le premier magistrat est le plus grand bâtisseur des maires de France ; il y a encore plein de terrains et d’opportunités partout mais je mettrai un bémol à cet optimisme : il faut que les lois fiscales encouragent les investisseurs et motivent les primo-accédants ». Jocelyne Vidal

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YVAN PATET La fashion touch

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ncien styliste du couturier Philippe Venet, Yvan Patet s’avère aussi intarissable sur ses opérations de lifting urbain que sur les jeux de matières de Ferragamo, spécialiste du « mariage anachronique d’une popeline de soie et d’une croûte de cuir »… Entre la rigueur un brin décalée d’un costume griffé Cornelia et le raffinement de quelques pièces de Courrèges, le dress code du PDG d’em2C pérennise l’héritage élégant de l’une des plus prestigieuses maisons de couture parisiennes. Passionné de vêtements, « un sujet en pleine évolutivité, vu la prolifération hallucinante des styles et des technicités », Yvan Patet n’en quitta pas moins la Maison de Couture Philippe Venet pour rejoindre son père architecte à Lyon : « Il avait besoin d’un coup de main après avoir remporté le concours lancé par Balsam pour la construction d’un immeuble entièrement métallique à Genas ». C’est ainsi qu’après avoir imprimé son style aux collections très architecturées de Philippe Venet, Yvan Patet donne sa fashion touch au groupe em2c qu’il crée en 1990, à vingt-cinq ans, à partir de l’une des sociétés de conseil en construction de son père. Griffé des initiales d’Ensemble Métallique et des deux « C » de Commercialisation et Construction, em2c développe dès 2007, son expertise de contractant général dans toutes les typologies de bâtiments appliqués notamment aux secteurs de l’agro-alimentaire, de la santé, de la distribution, de l’hôtellerie - restauration et des sports et loisirs.

Photo : Saby Maviel

Un idéal de bienveillance sociale

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Fort de son expérience dans la mode et le design, le président d’em2c intègre de nouveaux métiers pour satisfaire l’attente des professionnels de l’aménagement urbain. D’où la création de byGreenpolis et byCodesign en 2012 pour conforter l’originalité de l’acteur pluridisciplinaire de l’immobilier. Conçus comme des labels internes, byGreenpolis et byCodesign boostent l’attractivité des territoires, en faisant du design global et de l’aménagement intérieur, un nouveau vecteur de différenciation pour les entreprises. Ajoutez la création de Rigni Design pour développer le métier de prototypiste à l’usage des entreprises désireuses de transformer leurs espaces de travail en lieux d’exception. La saga de l’aéronautique règne ainsi sur la déco des 30 000 m2 de la plate-forme logistique de Colipost à Montpellier, précise le président du groupe qui a livré l’an dernier, le vaisseau amiral de 14 000 m2, du groupe Carso, le plus grand laboratoire d’analyse des eaux de France, les concessions BMW et Toyota de Vénissieux, ainsi que la seconde tranche d’un programme Greenpolis d’activités mixtes intégrant à Vaise, le long de la rue Marietton, 30 000 m2 de négoce, d’activités tertiaires et des résidences intergénérationnelles. Un programme emblématique de « l’éthique du bien vivre » cultivée par Yvan Patet. C’est donc sous le signe de « la bienveillance sociale » que s’engageront cette année les travaux de Sanatys. Situé à Décines, ce parc d’activités regroupera sur 70 000 m2, un pôle médico-social dédié aux personnes âgées et à la petite enfance, une résidence intergénérationnelle et un ensemble de bureaux entourés de restaurants et commerces. Installé à Vourles pour permettre à Yvan Patet de s’échapper dans des bois propices au footing, le groupe a réalisé l’an dernier 70 M€ de chiffre d’affaires avec un effectif de 70 personnes. L’ancien président du LOU Rugby n’en implantera pas moins à Lyon à l’horizon 2018, ses bureaux de R&D voués à une réflexion urbaine nourrie de quatre voyages par an : de New York à Tokyo, en passant par Oman et Kuala Lumpur l’an dernier, avant la Louisiane cet été. Jocelyne Vidal

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JOHAN PAUL De Lyon à Courchevel

écor gris blanc assorti à la tenue casual friday de Johan Paul… Un petit air de Silicon Valley flotte dans les bureaux de Pitch Promotion, à la Cité Internationale de Lyon. Les Mémoires de Steve Jobs, le défunt président d’Apple et la saga du champion de trail Killian Jornet « Courir ou Mourir » ne sont-ils pas les livres de chevet du boss ? En pantalon gris et veste souple, Johan Paul, directeur de la Région de Lyon Rhône-Alpes de Pitch Promotion, bondit d’un couloir avec la fougue du tennisman en pleine montée au filet… Rien d’étonnant. Classé 15/3, le très punchy président du FCL Tennis, mène sa carrière tambour battant.

Diplômé à Paris, de l’Ecole Spéciale des Travaux Publics et du Bâtiment, l’ingénieur lyonnais fait ses premières armes à vingt-trois ans, dans le monde de la construction chez Bouygues à Singapour. De retour à Paris, le voilà qui switche du développement commercial au montage de projets immobiliers dans le cadre de la filiale Sodearif de Bouygues où il aura passé dix ans. Johan Paul rejoint ensuite une filiale des fonds d’investissements immobiliers de Morgan Stanley pour s’occuper de développement et d’acquisitions d’immeubles de bureaux. « En 2009, le hasard a voulu que mon chemin croise celui de Christian Terrassoux, créateur et président de Pitch Promotion dans le cadre d’une opération de restructuration d’immeuble dans le 15ème arrondissement à Paris. » A cette époque, se souvient Johan Paul, Christian Terrassoux nourrissait le projet de s’implanter à Lyon, afin de développer en Rhône-Alpes, les métiers de la promotion immobilière : Habitation, Bureaux, Hôtellerie, Activités et Logistique, Commerce et Valorisation.

Photo : Saby Maviel

La success story d’un multi produit

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Sous la direction de son manager de trente-cinq ans, Pitch Promotion décline dès 2010, au niveau local, le positionnement multi produit qui signe depuis 1989, la spécificité d’un groupe qui livre au plan national, une moyenne de 1350 logements par an. Le volume d’affaires annuel de Pitch Promotion, à près de 300 M€, est en progression constante. Le résidentiel représente plus de 60% de sa activité et l’immobilier d’entreprise (tertiaire, bâtiments d’activité et logistique) près de 30%. « Après deux années pénalisées par un faible rythme des ventes de logements, la tendance de 2015 s’inscrit à la hausse, grâce à la mise en place de la loi Pinel », note Johan Paul, directeur régional d’un groupe qui dispose d’autres sérieux atouts : la réactivité et la prise de risques permise par l’autonomie de décision de Christian Terrassoux, créateur et dirigeant de Pitch Promotion dont il détient la majorité du capital. Marquée par la livraison de programmes de 40 logements à Sathonay - Camp, 50 à Mions, l’année 2015 a vu démarrer de nombreux chantiers : une opération mixte de commerces et de 103 logements en co-promotion avec Nohao à Vénissieux où s’engage par ailleurs, la construction de 65 logements à la place de l’ancienne Clinique des Minguettes, sans oublier la réalisation de 40 logements à Villeurbanne. Le temps de livrer en décembre dernier, l’immeuble Rubik, sa première opération tertiaire dans le quartier Jean Macé, Pitch Promotion a bouclé les accords nécessaires au lancement d’un important projet à l’entrée sud de la Part Dieu : un programme de 160 logements et de 26 000m2 de bureaux édifiés à proximité du futur parc Nelson Mandela. La construction de 120 logements à Rillieux-laPape, dans la nouvelle zone des Balcons de Sermenaz et la prochaine livraison de 35 logements haut de gamme à Courchevel Village, en partenariat avec le promoteur montpelliérain Roxim, illustrent les ambitions de développement de Pitch Promotion en Rhône-Alpes.

Jocelyne Vidal

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STÉPHANE REYMOND Veni Vidi Vinci…

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n peut diriger l’immobilier des régions de Vinci, filiale du premier groupe mondial de concessions - construction et rester simple. Foulard au motif batik flottant librement sur son costume gris, Stéphane Reymond parle au rythme de ses entraînements courts et intenses au crossfit, « un sport ludique » qui console ce fan de rugby de ne plus avoir le temps de taquiner le ballon ovale. Directeur Général Adjoint de l’Immobilier Résidentiel et des Régions, Directeur Régional RhôneAlpes Auvergne de Vinci Immobilier Promotion depuis 2009, Stéphane Reymond, diplômé de l’Institut Supérieur du Commerce à Paris, fut happé très tôt par la passion de l’immobilier. Fort d’une hausse de 42% du nombre des lots réservés en 2015, Vinci Immobilier a réalisé l’an dernier 200 M€ de volume d’affaires en Rhône-Alpes Auvergne, une région qui représente environ 20% du chiffre d’affaires national. Intarissable sur des projets qui vous font vivre « le meilleur de la ville durable», le voilà qui sort de ses cartons, le verdoyant programme d’Organza aux 270 logements livrés à la mi-2017 à Villeurbanne. « Nous engageons aussi les travaux d’un Jardin Inattendu à Saint-Priest, dans un îlot de verdure à destination notamment des primo-accédants». A la fin de l’année 2017, les cent appartements de Casa Bella auront ouvert leurs terrasses en forme de loges de théâtre sur le nouveau quartier de Gerland. La même année, le 7ème arrondissement aura également vu sortir de terre, le programme Pearl de 80 logements co - produit avec Nexity.

Mais c’est avec 6ème Sens que s’est associé Vinci Immobilier pour lancer à Ecully, l’élégante résidence West Park. Un positionnement haut de gamme illustré par la livraison l’an dernier de la luxueuse résidence Debrousse Parc dont les 117 appartements avec vue stratosphérique sur la Saône, se sont quasiment arrachés à 6000€ le mètre carré.

Photo : Saby Maviel

20% du chiffre d’affaires national en Rhône-Alpes-Auvergne

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Autre adresse d’exception, Ycone signé Jean Nouvel et co-réalisé par Vinci Immobilier et Cardinal à la Confluence, semble susciter lui aussi un bel engouement. Il est rare de pouvoir habiter une œuvre d’art ! Une dimension humaniste de la construction et de la réhabilitation, signe l’ADN de Vinci Immobilier, « aux équipes, professionnelles, fidèles et motivées » par des chantiers aussi grandioses et variés que la requalification des locaux historiques de la Banque de France avec ANF, rue de la République, la construction à venir de 750 logements sur le site de l’ancienne Clinique Saint-Vincent-dePaul dans le 8ème arrondissement, la réalisation de l’extension sur 7 500m2 de bureaux, de l’Université René Cassin à Vaise ou encore celle du Sun7, immeuble de bureaux de 7000m2, également réalisé avec UTEI rue Abraham Bloch à Lyon (7ème)… La reprise de la marque Ovelia amène Vinci Immobilier à construire des résidences gérées pour séniors à Tassin et Seynod, en Haute-Savoie. Bien implanté dans le secteur franco–genevois, le groupe vient de réaliser une résidence de 121 logements, Castle Park, dans le pays de Gex, une autre de 120 appartements, Angel Park à Reignier, près d’Annemasse où 91 logements de la Résidence de Tourisme d’Affaires Park City viennent d’être livrés.

Ajoutez la prochaine construction, avec le concours du groupe Cardinal, de 25 000m2 de bureaux, de deux hôtels, logements et commerces face à la gare de Saint-Etienne Chateaucreux et le projet de trois opérations immobilières sur le site du Stade des Lumières, pour compléter le carnet de commandes de Vinci Immobilier qui participe par ailleurs au montage, avec la collectivité, du projet Two Lyon. Lequel inscrira une nouvelle tour de 170 mètres de haut, 80 000m2 de bureaux, commerces et un hôtel Pullman de 150 chambres, autour de la métamorphose de la gare de la Part-Dieu en ensemble urbain. Jocelyne Vidal

Photo : Saby Maviel

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STÉPHANE RUBI « Notre Cube orange a fait le tour du monde »

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omme surgie d’un décor de Moebius, la météorite orange s’ouvre sur un vertigineux cône serti de patios. Griffé Jakob + MacFarlane, le Cube, vaisseau amiral du quartier d’affaires des Docks de Lyon vous embarque aux six coins de l’hexagone où le groupe Cardinal réalisera cette année plus de 50% d’un chiffre d’affaires d’une centaine de million d’euros. « Une volonté de stabilisation et de sécurisation plus que de croissance, régit l’ensemble des sociétés du groupe dont la vitesse de croisière se situe entre 85 et 110ME », déclare Stéphane Rubi, président de Cardinal Investissements. En costume azur assorti au ciel printanier qui s’invite à fleur de peau d’alu dans son bureau, l’ingénieur du Génie Civil commence notre visite de chantiers par les trois édifices qui compléteront cette année le terrain de jeux futuristes de La Confluence. Livré au cours du second trimestre 2016, le papillonnant Pavillon 52, immeuble tertiaire de six étages où s’implantera le siège d’ACIES Consulting Group, se posera sur les quais de Saône, toutes ailes de béton fibré dehors. Signé Rudy Ricciotti, le Pavillon 52 « est une vraie perle architecturale », s’enthousiasme Stéphane Rubi, frappé par « la vision noble du métier révélée par le créateur du Mucem à Marseille : au-delà de son projet d’architecte, Rudy Ricciotti sait à quelles méthodologies son œuvre va faire appel pour sortir de terre, rien ne lui échappe : il a un regard à la fois d’ingénieur, d’architecte et un charisme extraordinaire». Fan d’urbanisme, le président de Cardinal Investissements tient également à donner leur chance à de jeunes architectes, tel Eric Bourg, de B+B. Créée par d’anciens collaborateurs de Wilmotte, la jeune agence s’est vu confier l’E-News Hôtel, motel urbain d’une centaine de chambres, au concept fort, style Mama Shelter, ouvert à la fin de l’année face au Carré Vert d’Euronews. Reconnue pour les performances environnementales de ses ouvrages, l’équipe hollandaise de Thomas Rau s’alliera aux Lyonnais de l’agence Soho pour réhabiliter un immeuble de 20 000m2 de bureaux face à la Région Rhône-Alpes, le King Charles, vendu au groupe UNOFI (Union Notariale Financière) et livré au cours du deuxième trimestre

2017. A la fin de la même année, un autre bâtiment tertiaire du tandem Rau Soho ajoutera 4 500m2 au Pôle économique de la Confluence.

Pour voir s’épanouir l’Ycone de Jean Nouvel, aux « terrasses généreuses » ouvertes sur la Saône, on est prié d’attendre le début de l’année 2018. Les groupes Cardinal et Vinci qui coproduisent ce must architectural ont déjà vendu près de 70% de ses 80 « appartements singuliers » de 30 à 200 m2, tous différents par leurs espaces, leur vue, leur exposition et leur décor confié sur demande, aux architectes d’intérieurs de RBC. De Lyon à la région parisienne, de Bordeaux à Toulouse, en passant par Montpellier, le groupe Cardinal multiplie les projets emblématiques de l’architecture du futur. « Visionnaire et précurseur, Jean-Christophe Larose a été le premier à croire à La Confluence, nous avons participé au lancement de ce beau site, notre Cube orange a déjà fait le tour du monde et de nombreuses collectivités font aujourd’hui appel à nous pour façonner le nouveau visage d’une ville ou d’un quartier ». Choisi pour aménager un site de 20 000m2 intégrant un hôtel, des logements et un marché Vintage dans le quartier Brazza de Bordeaux, Cardinal réalisera également une clinique de 150 lits et 14 blocs opératoires dans le cadre du projet Euratlantique. Le temps de livrer le siège régional d’Akka Technologie à Toulouse, le groupe lyonnais coréalisera à Montpellier avec Elenis, un site de 10 000m2 de bureaux, commerces et logements évolutifs dont le fil rouge sera la silver économie. Sous l’égide de Cardinal Campus qui gère plus de 3 000 appartements d’étudiants, s’engagera par ailleurs, la construction de 184 logements à Colombes, en région parisienne où le groupe lyonnais n’est pas à court de projets : un motel urbain et un hôtel de respectivement 100 et 150 chambres s’ouvriront à proximité du Marché aux Puces de Saint Ouen. Réinventer la ville en associant l’imaginaire de grands architectes à la rigueur du promoteur adossé à la Foncière Cardinal, telle est l’originalité du groupe qui a fait sienne la devise d’Einstein : « La créativité est contagieuse, faites-la tourner ». Jocelyne Vidal

Les 80 appartements singuliers de Jean Nouvel

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BERNARD VITIELLO Les coulisses du Covent Garden Lyonnais

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haraonique »… Le mot employé par Bernard Vitiello, directeur du Grand Hôtel Dieu chez Eiffage Immobilier, pour définir la plus grande opération privée de reconversion d’un Monument Historique en France, s’illustre à la seconde, par le ballet des grues et des banches au-dessus de nos têtes, le chassé-croisé de quelques-uns des 1000 compagnons et vingt archéologues « piqués à l’Hôtel Dieu » ! Après 43 mois de travaux engagés le 3 avril 2015, le Grand Hôtel Dieu de Lyon ouvrira ses portes au public fin 2018. « En septembre, nous aurons même livré l’hôtel Intercontinental clés en main, petites cuillères comprises ». Le compte à rebours a commencé en novembre 2010, – date à laquelle Eiffage remporta le concours des HCL- pour le pilote du gros porteur lancé dans la revalorisation d’un édifice de neuf siècles.

Revaloriser le patrimoine du premier hôpital lyonnais, « c’est s’inscrire dans son histoire, retrouver sa légitimité grâce à notre équipe d’architectes : Albert Constantin et Claire Bertrand de l’agence AIA Associés, Didier Repellin, architecte en chef des Monuments Historiques » souligne Bernard Vitiello. Emerveillé comme aux premiers jours, des surprises réservées par chaque phase d’évolution du chantier : de la découverte d’une fresque romaine représentant deux personnages portant une corbeille de fruits, à la mise à nu de volumes exceptionnels soulignés de pierres de Villebois et de plafonds à la française, « M. Opérations Complexes » n’a pas volé son surnom. Entré à 28 ans chez Eiffage, diplôme d’Ecole de Commerce en poche, Bernard Vitiello s’est spécialisé dans le montage financier, juridique et administratif d’opérations menées dans le cadre d’Eiffage Immobilier à Lyon, dont il est directeur régional adjoint depuis 2009. L’année suivante, Michel Gostoli, président d‘Eiffage Construction, lui propose de s’occuper à temps plein de l’Opération du Grand Hôtel Dieu. Le challenge ? « Former une équipe motivée et solidaire, l’aider à ne pas s’essouffler au cours des huit ans de

travaux d’un chantier exceptionnel, portant sur un bâtiment classé Monument Historique, auquel les Lyonnais sont particulièrement attachés. » Bon nombre de Lyonnais sont nés à la Maternité de l’Hôtel Dieu, « toutes générations confondues, ils sont donc très attentifs au devenir de l’édifice dont la reconversion ne vise pas seulement de restituer sa majesté à une œuvre majeure de l’architecture sociale et humaniste du siècle des Lumières », souligne Bernard Vitiello. Le fil rouge de la reconversion du site de plus de deux hectares, ponctués de 8000 m2 de cours et jardins à la surface comparable à celle de la Place des Terreaux ? « Faire du Grand Hôtel-Dieu un quartier de vie largement ouvert sur la ville, avec deux entrées quai Jules Courmont, trois autres rue Bellecordière, auxquelles s’ajouteront les entrées de la rue de la Barre et de la Cour du Cloître. » Qui dit quartier de vie, dit mixité des produits déclinés par ce haut lieu du shopping, de la restauration et de la détente en plein centreville. Une quarantaine de boutiques et moyennes surfaces cultiveront les charmes d’un Covent Garden lyonnais, dans le passage de l’Hôtel-Dieu recouvert d’une imposante verrière. Situés trois ou quatre étages plus haut, 13 600 m2 de bureaux composeront un nouveau pôle tertiaire de référence au cœur du Grand Hôtel-Dieu aux terrasses et cours investies d’une dizaine de restaurants et bars. Adossée au centre de conventions géré par le groupe Intercontinental, la Cité Internationale de la Gastronomie déroulera ses 15 000m2 de parcours du goût. D’expositions en démonstrations gourmandes, « ce lieu grand ouvert sur le monde et les chaines de produits alimentaires des cinq continents, se veut aussi vivant qu’innovant » pour les 180 à 200 000 visiteurs attendus à l’ombre du buste dédié à « François Rabelais, médecin de l’Hôpital du Pont du Rhône Grand Hôtel Dieu, de 1532 à 1535. » Un beau retour aux sources du plaisir rabelaisien de bien manger. Jocelyne Vidal

« Un quartier de vie » largement ouvert sur la ville

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peine franchie la porte de l’agence, discrètement nichée au fond d’une cour, le ton est donné. Ici nulle enseigne tapageuse, et pas la moindre vitrine. Un espace qui reflète parfaitement le concept et la philosophie de ce jeune réseau immobilier. C’est dans un ancien garage au look industriel volontairement épuré, que Jérémy Jehan, directeur de l’agence Espaces Atypiques de Lyon, reçoit ses clients entouré de son équipe qui semble partager le même dynamisme avec le sourire comme dénominateur commun ! « Mes collaborateurs ont des profils très différents, l’un était footballeur professionnel, l’autre est une ancienne hôtesse de l’air. Notre recrutement est lui aussi atypique ! » ajoute Jérémy qui reconnaît avoir formé son équipe essentiellement par affinité « au feeling ». « La plupart sont des amis ! Mais nous partageons les mêmes valeurs, une certaine sensibilité et un état d’esprit qui correspondent aux attentes de nos clients. Notre force est notre synergie, une certaine générosité mais aussi une grande exigence. » Et le concept est gagnant. Tout a commencé en 2008 lorsque Julien Haussy animé par le design et l’architecture quitte le monde de la finance pour ouvrir à Paris une agence immobilière spécialisée dans la transaction de biens atypiques, hors-normes (loft, atelier, duplex, maison d’architecte...), ayant pour point commun leur aspect contemporain. Quatre ans plus tard, face à l’engouement des propriétaires et des acheteurs, le fondateur décide de créer des agences à Marseille et Lyon. Présent désormais dans plusieurs villes de France, son réseau se développe également en franchise avec une douzaine d’agences fidèles à la philosophie et aux valeurs propres au concept du groupe.

En 2013, les lyonnais découvrent ainsi ce nouvel acteur immobilier qui se singularise avec un positionnement unique et original. Jérémy Jehan et son équipe dénichent et proposent des biens d’exception qui reflètent

leur passion pour l’art, l’architecture, le design. Des lieux qui ont une âme, des réhabilitations de caractère, des biens d’origine industrielle ou commerciale, ateliers… « Nous refusons des biens qui ne correspondraient pas à notre chartre, à la spécialisation d’Espaces Atypiques qui fait notre force. » Des biens mis en valeur sur un site internet à l’image du groupe et de son identité visuelle. Chaque détail compte, notamment les photos qui sont réalisées par un professionnel attitré. Acteur immobilier qui se démarque tant par les biens qu’il propose que par sa philosophie, l’agence attache une grande importance à sa communication et ses partenariats avec des expositions régulières d’artistes dans ses murs. Le succès est au rendezvous mais pas question pour la jeune start-up de se développer sans une stratégie « maitrisée ». Après avoir consolidé son activité de transaction, l’agence de Lyon propose désormais des biens en location et lance à partir du mois d’avril une nouvelle activité complémentaire, un pôle « chasse immobilière » pour les clients qui souhaitent lui confier un mandat de recherche de biens. « Nous avons constaté une demande croissante de la part de Parisiens, d’expatriés de retour en France ou de ceux qui manquent simplement de temps.

Une personne de l’agence sera ainsi dédiée à ce nouveau pôle et accompagnera le client du début de la recherche jusqu’à la signature en passant par l’offre d’achat. » Un service de recherche personnalisée, sur-mesure qui s’intègre légitimement dans le positionnement et la montée en puissance d’Espaces Atypiques sur l’agglomération lyonnaise. « Mais l’essentiel est de pérenniser notre concept et surtout notre équipe que je souhaite avant tout voir investie et épanouie ! » Visiblement Jérémy peut se féliciter de voir son dessein s’accomplir. Sophie Guivarch

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pparue sur l’agglomération lyonnaise en 2008, cette agence au nom évocateur s’est fait une jolie place dans l’univers immobilier.

Un numéro et une adresse pour mieux trouver la vôtre !

Volontairement spécialisée à l’origine dans la location de meublés haut de gamme, l’agence s’est élargie très rapidement à la transaction puis à la vente en viager. Un développement étroitement lié à la rencontre de trois associés. Fondée en 2008 par Christophe Faure, à ce jour 95bis se compose de 3 activités : un pôle location meublée et vide (Christophe Legrand), un pôle transaction (Christophe Faure) et le nouveau pôle Viager (Jean Louis Baezner). Les 3 hommes aux profils aussi complémentaires que cohérents, décident d’unir leurs compétences au sein de 95bis. Notre trio se prête le temps d’un entretien à un échange à bâtons rompus, confortablement installés dans l’un de leurs appartements proposé en location meublée. Rendez-vous en plein cœur de la presqu’île dans un charmant F2 de 45 m2, entièrement rénové par l’entreprise Bassi dans un esprit cosy et contemporain. Le bien permet sans équivoque de mieux comprendre la valeur ajoutée de l’agence. « Nous sélectionnons et proposons uniquement des appartements rénovés avec goût et dont l’état est impeccable. Notre premier critère demeure la localisation (principalement 2ème et 6ème arrondissement), la propreté et l’aspect général des parties communes et la qualité de la rénovation » précise Christophe Legrand.

Des biens dont la surface varie entre 21 m2 et 350 m2, du studio à la villa avec piscine, et qui sont majoritairement destinés à une clientèle étrangère, de cadres expatriés qui apprécient le service premium offert par l’agence. « Ils n’ont plus qu’à poser leurs valises, tout est prévu et fourni pour le confort du locataire, de la cafetière nespresso au sèche-cheveux ! Ils se sentent immédiatement chez eux. » Afin de répondre à une demande également importante en transaction immobilière sur d’autres secteurs, Christophe Faure et Christophe Legrand souligne l’intention d’étendre l’offre location- vente et viager de 95bis à l’Est lyonnais avec l’ouverture d’une nouvelle agence.

Implantés au coeur de Lyon dans le 6ème et sur l’ouest lyonnais à Collonges au Mont d’Or, 95bis ne cache pas en effet ses ambitions de croissance avec une équipe de 10 commerciaux qui se renforce. « Si notre premier métier demeure la location meublée avec une centaine de lots, nous développons également notre activité transaction tous secteurs confondus ainsi que la location de biens non meublés » ajoutent nos 3 acolytes. « Nous sommes devenus incontournables sur les ventes dans les quartiers de prestige à Lyon et ses alentours. Notre méthodologie de travail et la recherche active de biens pour nos clients nous permettent de poursuivre notre développement et de satisfaire l’ensemble de nos vendeurs et acquéreurs. » Quant à la vente en viager, longtemps victime d’une image négative, elle se redynamise et séduit de plus en plus de vendeurs et d’investisseurs. Rare acteur lyonnais à maitriser et proposer ce mode de vente, 95bis, fort de l’expérience Jean-Louis Baezner, entend bien développer ce marché prometteur qui permet d’acheter un bien à 80 % de sa valeur, de faire un placement sur et d’améliorer les revenus mensuels du vendeur tout en lui permettant de rester chez lui.

Jeunes ou moins jeunes, le viager permet d’acquérir un bien pour le transmettre ou en avoir la jouissance différée. C’est un investissement notamment très prisé par les expatriés qui se constituent une épargne pour leur retour en France.

Location, achat, vente, viager… nos trois mousquetaires épaulés par leur équipe mettent tout en œuvre pour répondre aux différentes attentes en matière d’immobilier. De quoi susciter l’envie de nouveaux projets !

Extension à l’Est

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Lyonpeople / Avril 2016

Sophie Guivarch

1, place Puvis de Chavannes – Lyon 6 19, rue Treves Paques - Place de Tour - 69660 Collonges au Mont d’Or Tél. 04 26 65 57 75 – Mail : contact@95bis.com www.95bis.com

NOUVEAU

SERVICE DE SYNDIC ET DE TRANSACTION

REGIE OUEST LYONNAIS 19, avenue Edouard Payen – 69130 ECULLY Téléphone : 04.78.33.04.04 – Fax : 04.72.59.00.54 - Email : florencecombes@orange.fr

www.regieouestlyonnais.net

DARDILLY

ECULLY RARE

Maison dans un beau lotissement, très au calme avec vue dégagée. terrain très arboré et clos avec piscine (11x5). Rez-de-chaussée: un hall d’entrée avec penderie, un WC avec lave-main, un très beau volume de séjour avec cheminée, une cuisine avec cellier attenant,, une suite parentale avec dressing et salle de bains (baignoire, douche, wc).

A l’étage: 3 chambres dont une chambre avec salle de bains, une salle d ‘eau et WC. Annexes: garage pour 2 voitures, au-dessus une grande pièce à aménager.

Appartement dans maison Florentine situé dans un parc arbore et sécurisé, se composant d’un hall d’entrée, séjour, salle à manger, cuisine, 5 chambres dont une avec sdb, 2 wc, 2 sdb Annexes : cave + garage + cellier.

PRIX : 780 000 E

PRIX : 950 000 E

ECULLY CENTRE

LIMONEST

Maison de ville 5 min à pieds des commerces sur un terrain de 700 m². Très bon état.

Au RDC : un hall d’entrée desservant un double séjour avec cheminée, une cuisine équipée, une chambre, une salle de douche et un WC. A l’étage : 3 chambres, une salle de bain, un WC et une mezzanine.

Annexes : garage double avec coin buanderie et sous-sol.

Maison de 250 m² sur un terrain de 3 020 m² arboré avec une piscine chauffée, pool house, jeux de boules, très belle vue, au calme, très belle pièce à vivre, une grande cuisine, 4 chambres avec sous-sol et garage.

PRIX : 650 000 E

PRIX : 1 295 000 E

ECULLY CENTRE

DARDILLY LE HAUT

Maison au cœur du village d’Ecully, dans un havre de paix, bastide avec pool house (30 m²) et piscine. Elle se compose d’une très belle pièce à vivre avec cheminée (48 m²), 5 chambres dont une suite parentale avec dressing et SDB. Abris voiture.

Un terrain clos et arboré de 670 m².

Maison mitoyenne dans lotissement - très au calme - un jardin très agréable - 4 chambres - Double séjour avec cheminée - Grande salle de douche - 2 wc - une véranda Annexe: un sous-sol complet avec un garage pour deux voitures.

PRIX : 950 000 E

PRIX : 410 000 E

Caisse de garantie SO.CA.F – 26 Avenue de Suffren – 75015 Paris - Cartes professionnelles délivrées par la Préfecture du Rhône – Gestion n°06637 et Transaction n°72839 - Siret : 487 678 658 00039 – RCS de Lyon

Lyonpeople / Avril 2016

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CROIX-ROUSSE IMMOBILIER 101, grande rue de la Croix-Rousse - LYON 4 Tél : 04 78 399 400 – Email : agence@croixrousse-immobilier.com

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LISSIEU VILLAGE Nouveau, rarissime, proche Limonest. Pour les amoureux de caractère et de calme, vaste domaine noyé dans la verdure, jardin paysagé et arboré de 3500 m2 environ agrémenté de petits bassins, se composant de deux demeures de charme fin 19ème de 200 m2 chacune.

Maison 1 : séjour 36 m2, salle à manger 27 m2, cuisine séparée à l’étage salon en mezzanine 27 m2, 3 chambres, avec possibilité d’aménagement de 120 m2 supplémentaires.

Maison 2 : Salle de jeux de plain pied, à l’étage vaste pièce à vivre de 82 m2 avec sa cuisine ouverte, 4 chambres dont une suite parentale avec salle d’eau, grenier attenant à aménager 22 m2.

2 170 m de très belles dépendances. Possibilité de relier les 2 bâtisses. Excellents DPE. Beaux volumes et énormes potentiels.

DPE maisons 1 & 2 : C PRIX : NOUS CONSULTER

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Lyonpeople / Avril 2016

CROIX-ROUSSE IMMOBILIER 101, grande rue de la Croix-Rousse - LYON 4 Tél : 04 78 399 400 – Email : agence@croixrousse-immobilier.com

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LYON 4 - Proche Boulevard et mairie

CALUIRE - Quai du Rhône : Face cité internationale

Magnifique appartement bourgeois, traversant, clair, calme élégamment rénové, belles prestations. Généreuse entrée, grand séjour, alcôve, cuisine séparée, s. de bains avec éclairage naturel. 3 belles chambres. Parquets chevrons, boiseries, cheminées.

Sans vis-à-vis. Raffinement garantis pour les amoureux de la Croix rousse DPE : D PRIX : 595 000 E

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Au 2eme étage d’un immeuble bourgeois avec ascenseur. Vaste séjour, parquets, cheminée cuisine ouverte aménagée, jolie chambre, alcôve. Cave et grenier. Faibles charges DPE : D

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LYON 4 - Canuts entièrement revisité avec soin

LYON 4 - Boulevard de la Croix-Rousse

Nouveau plateau Croix-Rousse, proch. place Cdt Arnaud, 1er étage, charme et authenticité pour cet adorable 70 m2 dont 90 utiles. Grand séjour avec cuisine ouverte équipée, pierres poutres, 1 chambre poss. 2, jolies salles de bains, coin bureau en mezzanine.

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LYON 9 - Saint Rambert côté Saône

CALUIRE - limite Croix-Rousse

Agréable maison de ville. Charmante maison de ville mitoyenne 115 m2 env. avec jardin 200 m2 secteur résidentiel ! Aménagée avec goût et fonctionnalité. Ce bien se compose d’une entrée, vaste séjour ouvrant sur petite terrasse, poss. cheminée, cuisine américaine, A l’étage : 4 chambres, salle de bains. Sous sol garage buanderie : 60 m2 DPE : C PRIX : 370 000 E

Nouveau. Adorable appartement canuts 44 m2. Au 2ème et dernier étage. Au calme, ambiance village prox. plateau. 60 m2 utiles, grande pièce à vivre de 34 m2 magnifiquement transformée. Cuisine contemporaine équipée, grand espace coin nuit sur mezzanine.

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Lyonpeople / Avril 2016

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LES HOMMES DE L’IMMO Une équipe dynamique à votre service

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Xavier CATELAND 06 45 27 59 29 xavier@ariane.immo 14 ans d’expérience dans l’immobilier.

J’accompagne les particuliers et entreprises dans leurs projets immobiliers industriels et commerciaux à la vente ou à la location.

ARIANE IMMOBILIER Présent depuis plus de 20 ans dans le paysage de l’immobilier Lyonnais, ARIANE IMPLANTATION devient ARIANE IMMOBILIER. Nous vous accompagnons dans vos projets INDUSTRIEL, TERTIAIRE et RESIDENTIEL. Notre équipe vous conseille dans les domaines suivants : - Investissements (immobilier d’entreprise et résidentiel), - Conseil aux professionnels (bureaux, locaux industriels et commerces), - Evaluation de votre patrimoine immobilier - Vente ou acquisition de votre résidence principale.

NOTRE PARTENAIRE POUR LA VENTE D’APPARTEMENTS : DELANDREA IMMOBILIER Aurélien DELANDREA 06 23 95 42 32 contact@delandreaimmobilier.fr 13 ans d’expérience dans l’immobilier.

J’accompagne les particuliers et professionnels pour l’achat de biens immobiliers (résidence principale, investissements locatifs).

Partenaire de nombreuses régies lyonnaises pour la transaction.

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Lyonpeople / Avril 2016

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ST CYR AU MONT D’OR

CHAPONOST

Emplacement exceptionnel. A proximité du village, au calme, avec vue panoramique.

Maison d’architecte lumineuse sur parc de 3000 m² avec piscine chauffée et pool-house.

Séjour traversant 80 m², grande cuisine équipée, 6 chambres (suite parentale), 3 bains et buanderie. Salle de jeux, salle de sports, cave, garages, local technique. Parfait état.

Prestations haut de gammes. Rare. DPE : C.

Propriété historique comprenant Château, maison de chasse et dépendances.

Parc clos de murs de 1,2 hectares avec piscine chauffée et pool-house.

Magnifique verrière 85 m², grandes réceptions avec cheminées, 6 chambres, 6 bains, bureau, salles de jeux, salle de spa.

DPE : D.

PRIX : 2 450 000 E

PRIX : 2 300 000 E

ANSE, A LOUER

RILLIEUX, A LOUER

Local professionnel de 1380 m2, divisible à partir de 490 m2.

Facile d’accès et bonne visibilité autoroutière.

DPE : C

Prochainement disponible, local d’activité 470 m² Entièrement rénové, accès poids lourds.

Chauffage gaz. Nombreux parkings.

DPE : C

PRIX : 55 E/M2/HC

PRIX : 2 500 E HT/M

T3 65 m² au 4ème étage avec ascenseur.

Séjour double, cuisine équipée et chambre. Exposé Sud/Ouest. Nombreux rangements.

Balcon et cave. Charges mensuelles : 160 € (chauffage et eau inclus).

Répartition des tantièmes de copropriété : 99/10 000e.

DPE : D. PRIX : 149 000 E

Rue Waldeck Rousseau - T2 60 m² au 2e étage avec ascenseur.

Séjour avec alcôve, cuisine indépendante et chambre.

Parquet et Cheminées - Chauffage central au gaz - Cave.

Charges Mensuelles : 105 € - Répartition des tantièmes de copropriété : 79/1000e.

DPE : F. PRIX : 242 000 E

TASSIN LA DEMI LUNE

LYON 6ÈME

SARL au capital de 10 000 € - R.C.S Lyon 814 723 086 - NAF 6831 Z - Carte Professionnelle par CCI LYON N° CPI 6901 2016 000 003 130 RCP SAA, 26 Avenue de Suffren 75015 PARIS Lyonpeople / Avril 2016

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LAFORÊT SELECTION

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LYON 2 – AINAY Au cœur chaussée chambre palières.

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d’Ainay, très bel appartement style loft atelier, lumineux, au calme, en rez-desur cour arborée. Belle pièce de vie avec une hauteur sous plafond à 4 mètres, en mezzanine. Prestations de qualité. Réunion de 2 lots avec deux portes Activité professionnelle possible. Classe énergie : C - Charges annuelles de 840 € - Copropriété de 17 lots. 04.78.42.25.25 PRIX : 365 000 E

LYON 3 – PLACE GUICHARD Type 3 esprit loft de 110 m² environ. Composé d’une grande pièce de vie avec mezzanine, bureau, chambre, salle d’eau et cuisine meublée. Beaux volumes et nombreuses possibilités d’aménagement. Vendu avec cave et grenier. Classe énergie : C Charges annuelles de 1 151 € - Copropriété de 5 lots 04.78.62.80.80

PRIX : 399 000 E

VILLEURBANNE – PROXIMITÉ MONTCHAT

LYON 3 – MONPLAISIR

Rare ! A proximité du tramway, dans copropriété de 2008, au dernier étage, unique appartement sur son palier, de type 5 de 142 m² habitable et 118.55 m² Carrez, comprenant une vaste pièce de vie ouvrant sur une terrasse de 40m² et 4 chambres dont une suite parentale.

Nombreux rangements. Garage double en sous-sol. Vue dégagée. Classe énergie : D Charges annuelles de 2 700 € - Copropriété de 120 lots 04.37.43.60.00 PRIX : 449 000 E

Avec accès rapide Part-Dieu. Dans résidence RIC 2006, lumineux T5 de 124 m² en rezde-jardin et intérieur de copropriété avec de belles prestations. Il est composé d’un séjour avec cuisine américaine donnant sur une terrasse de 19 m² et espaces verts, 4 chambres, dont une suite parentale avec salle d’eau et 1 salle de bains. Vendu avec garage double et cave. Classe énergie : C – Charges annuelles de 1 900 € - Copropriété de 74 lots 04.78.01.25.26 PRIX : 473 000 E

ECULLY – COEUR DU VILLAGE

LYON 6 – TRIANGLE D’OR

Dans une petite résidence très qualitative et calme, découvrez cet appartement aux belles prestations. Il dispose de trois chambres, de deux salles de bains et d’une agréable terrasse. Bien vendu avec un garage et une cave. Classe énergie : B Charges annuelles de 2 200 € - Copropriété de 26 lots 04.78.33.91.09 PRIX : 510 000 E

Proche Parc de la Tête d’Or, secteur Lycée du Parc, au pied des commerces. Immeuble « Art Déco » de caractère, années 40, bon standing et sur son terrain. Appartement familial au 3ème étage avec ascenseur, de 173 m² env. Traversant, à rénover, nombreuses possibilités, beaux volumes, pièce en rotonde, belles hauteurs sous plafond, parquet, moulures. Poss. 4 chambres. Vue dégagée orientée à l’ouest. Garage en supplément. Classe énergie : C – Charges annuelles de 4 325 € - Copropriété de 27 lots - 04.72.75.52.90 PRIX : 710 000 E

Lyonpeople / Avril 2016

LAFORÊT SELECTION

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BRON – EGLISE

LYON 5 – POINT DU JOUR

Rare. Emplacement idéal pour cette maison récente de 280m² environ sur terrain clos et arboré de 870 m² environ. Grand séjour de 65 m² environ et une cuisine équipée donnant sur terrasse couverte, un cellier, 5 chambres dont une suite parentale avec salle de bains et dressing, 3 salles de bains, un bureau, une salle de jeux et une cave. Garage double. Coup de cœur assuré pour sa piscine à la forme originale et chauffée à l’abri de tous les regards. Prestations haut de gamme. Proche toutes commodités. Classe énergie : B - 04.72.15.07.77 PRIX : 849 000 E

Maison bourgeoise avec beaucoup de cachet d’environ 170 m² sur un beau terrain arboré de 1450 m² avec piscine en pierres, sur 2 niveaux avec 2 caves, 1 garage. Cette maison est composée d’une cuisine meublée équipée, 3 salons dont 1 avec cheminée, une salle à manger, une suite parentale avec salle de bains, 4 chambres, 2 salles d’eau et un bureau.

Classe énergie : D - 04.78.25.24.89 PRIX : 940 000 E

TRESSERVE – PROCHE AIX LES BAINS

LYON 6 – PARC DE LA TETE D’OR / QUAI DU RHONE

Belle demeure de 180 m² offrant 2 salons, dont un avec vue sur le lac du Bourget, 4 chambres. Vous pourrez profiter d’un grand terrain plat de 2 100 m².

Classe énergétique : D 04.79.35.79.79 PRIX : 990 000 E

Bien d’exception, appartement de 8 pièces d’une surface rare, d’environ 216 m² et situé au 3e étage avec vue sur le Rhône. Belle pièce de réception avec moulures, parquet chevron, cheminée et belle hauteur sous plafond, salle à manger spacieuse à ambiance feutrée, cuisine indépendante, 5 chambres confortables, 2 salles de bains, l’immeuble est sur son terrain. Classe énergie : C – Charges annuelles de 2 623 € - Copropriété de 52 lots 04.72.75.52.90 PRIX : 1 050 000 E

TIGNES

MONTVALEZAN – STATION DE LA ROSIERE

Maison de village traditionnelle type chalet rénovée avec qualité entre tradition et modernité dans hameau de Tignes, à 5 minutes de Val d’Isère. Grande pièce à vivre, salon, salle à manger avec cuisine ouverte et équipée donnant sur une terrasse et un jardin clos, 4 chambres dont 2 suites avec salle de bain privative, 2 salles d’eau, bureau, cave. Classe énergie : D 04.79.40.20.20 PRIX : 1 050 000 E

Projet de neuf, rare à la vente : Résidence de Tourisme avec un emplacement idéal proche des remontées mécaniques et des commerces, dotée d’une vue exceptionnelle grâce à son exposition plein Sud Le « Hameau de Barthélémy » est composé de 20 appartements du T2 au T6 et vous propose des prestations haut de gamme. Avec bail de gestion souple.

Classe énergie : A - 04.79.40.20.20 PRIX : NOUS CONSULTER

Chaque agence Laforêt annonceurs dans cette page est une entité juridique indépendante.

Les mentions légales de chacune de ces agences Laforêt annonceurs est accessible sur le site www.laforet.com Lyonpeople / Avril 2016

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34, boulevard des Brotteaux - LYON 6 Téléphone : 04.37.24.08.89 - lyon6@guyhoquet.com

www.guy-hoquet.com

APPARTEMENT T4 AU CŒUR DES BROTTEAUX

APPARTEMENT T4 SECTEUR BROTTEAUX

Bel appartement de 137 m² au 8ème étage avec ascenseur, dans un immeuble de 1930.

Ce bien comporte entrée, pièce à vivre séjour/salle à manger, cuisine séparée entièrement équipée, 2 chambres, salle de bains, salle d’eau avec WC. Cave et place de parking en sus. Belles prestations : gardien, double vitrage, fibre optique, bel immeuble. A proximité immédiate de toutes commodités.

Magnifique appartement de 142 m² comprenant entrée, double séjour avec balcon, sol marbre, cuisine sur cour, buanderie, 3 chambres, placards et dressing, salle de bains et WC séparés.

Configuration possible en 4 chambres.

A proximité de toutes commodités.

PRIX : 570 000 E

PRIX : 695 000 E

IMMEUBLE LOCATIF – CHARPENNES

SALON DE THE – LYON PRESQU’ILE

Idéal investisseur. Immeuble locatif comportant 25 lots (chambres et studios) à destination étudiants et jeunes salariés. Pas de syndic.

Excellente rentabilité.

A proximité immédiate transports et commerces (Charpennes).

EMPLACEMENT n°1, salon de thé convivial et cosy, idéal pour un moment de partage.

Rêve de femme.

PRIX : 1 300 000 E

RESTAURANT – PORTES DU BEAUJOLAIS

HOTEL 3 *** GRAND LYON

Très belle affaire en plein cœur du Beaujolais et des Pierres Dorées.

Auberge 100 places et terrasse d’une centaine de couverts.

CA annuel : 700 000 €. Murs et fonds à céder.

Hôtel-restaurant Porte des Alpes.

80 chambres et salle de 150 couverts.

Chiffre d’affaires : 1 800 000 €. Murs et fonds à céder.

PRIX : 900 000 E

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PRIX : 270 000 E

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PRIX : 4 900 000 E

AGENCE DE SAINTE FOY 39, avenue Jarrosson Tél. : 04 78 59 08 08

AGENCE D’ECULLY 3, place Charles de Gaulle Tél. : 04 78 33 08 08

AGENCE DE DARDILLY 58, avenue de Verdun Tél. : 04 78 47 08 08

www.lyonimmo.com

AGENCE DE TASSIN BOURG 66, avenue du 8 mai 1945 Tél. : 04 72 38 08 08

SAINTE FOY LES LYON

ECULLY

Maison d’Architecte - 240 m2 - Sainte Foy Lès Lyon, prestations haut de gamme, vue exceptionnelle sur Lyon et la Saône. Terrain arboré de 1500 m2 avec une piscine, Elle se compose au 1er niveau : entrée, cuisine équipée ouverte sur salle à manger avec un accès sur terrasse en teck, vaste séjour, salle tv, buanderie, wc. A l’étage : 3 chambres avec placards, salle de bains, salle d’eau et wc, suite parentale (dressing, salle de bains, wc) sur une terrasse exposée sud et un espace bureau indépendant. Un sous-sol aménageable, une cave à vins et un grand garage complètent ce bien.

PRIX : 1 650 000 E

Maison Contemporaine - 250 m2 - Rare, quartier privilégié, très calme, rénovation contemporaine de 250 m2 sur un jardin arboré de 1545 m2. Elle comprend, entrée + vestiaire, salon/salle à manger, cuisine équipée sur terrasse, cellier. Au 1er étage : chambre parentale avec dressing, salle de bains, salle de douche, bureau, chambre d’amis, dégagement. Au 2ème étage : 4 chambres avec placard, pièce TV, salle de bains et salle de douche.

PRIX : 1 055 000 E

TASSIN LA DEMI LUNE

FRANCHEVILLE

Maison 340 m2 - Tassin Bourg, proche toutes commodités (gare, bus, écoles), terrain 1060 m2, piscine hors sol. 1er niveau entrée, salon/salle à manger de 60 m2, cuisine équipée, buanderie. 3 chambres, dont suite parentale avec dressing, chambre avec salle de douche et bains, WC indépendant. A l’étage, 2 chambres, salle de douche, wc, grenier double à aménager. Niveau inférieur : pièce d’accueil, salon TV/salle de jeux 40 m2 avec cheminée, chambre avec salle de douche et wc, bureau, cave à vins, double garage. Studio indépendant 26 m2 en plus. Conso énergétique : D ; GES : E PRIX : 845 000 E

Maison contemporaine rénovée de 171 m² sur une terrain de 1450 m2 avec une piscine et pool house. Double séjour avec cuisine équipée US de 67 m² sur terrasse et jardin plein sud, 4 chambres de plain pied et une 5è en suite parentale à l’étage avec dressing sur balcon sud.

Une cuisine d’été de 25 m2 sur pergola, buanderie, cave, sous sol, garage de plain pied et un auvent voiture. Possibilité d’extension de 580 m2, CES de 0,4.

PRIX : 740 000 E

CHARBONNIERES

SAINTE FOY

Maison sur le toit - 154 m2 - Appartement terrasse dernier étage. Il se compose d’un hall d’entrée avec placard, séjour double de 55 m2 sur terrasse avec vue dégagée sans vis à vis, une cuisine équipée, un cellier/buanderie, un bureau/bibliothèque (4ème chambre et salle d’eau possible), 3 chambres dont 1 suite parentale sur terrasse, une salle d’eau et un wc. 3 garages en sous sol (4 possible) ainsi qu’une cave complètent ce bien. Conso énergie C ; GES D PRIX : 885 000 E

Appartement 119 m2 - Calme et proche des transports en commun, résidence standing sécuri­sée, parc et piscine, parfait état. Entrée, salon/séjour 39,24 m2 sur terrasse, cuisine équipée avec coin repas sur terrasse, 3 chambres dont suite parentale avec salle d’eau, salle de bains, buanderie, 2 wc indépendants. Cave et garage. Conso énergie: B, GES: C. 40 lots d’habitations. Charges courantes comprenant eau, entretien des parties communes et des espaces verts (300 € / mois). - 04 78 59 08 08 PRIX : 538 000 E Lyonpeople / Avril 2016

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DECO

Photos : Fabrice Schiff

STYLE

ETHNICRAFT Mise en scène chez Maison D& Co

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orsqu’il s’agit de choisir son nouveau canapé ou de trouver une table de salle à manger, l’éternelle question se pose… Où vais-je aller ? Sortis des catalogues de vente par correspondance, des chaînes de magasins (au risque de reconnaître la même table basse chez son voisin !) et des belles enseignes qui effrayent notre cher banquier, il peut être judicieux de pousser la porte de showrooms au nom évocateur. Reconnu pour sa sélection de mobilier aux lignes sobres et aux matières élégantes, le show-room Maison D&co fait partie de ses adresses où trouver conseil et modèles de choix. Certains n’ont d’ailleurs pas attendu de lire cet article pour la noter dans leur carnet ! Et pour cause. Depuis 2010, la présence de la marque belge Ethnicraft au sein du magasin a créé l’engouement avec ses meubles simples, authentiques et fonctionnels qui associent la chaleur du bois et un design contemporain intemporel. Travaillant essentiellement le teck, le chêne et le noyer dans une finition naturelle et brute, Ethnicraft propose une gamme complète de mobilier pour toutes les pièces de la maison.

Elle enrichit son catalogue avec une collection de canapés en coton chiné au style vintage avec toujours comme seul mot d’ordre une élégante sobriété. Séduit par l’esprit et la qualité de l’éditeur, Maison D&co a accepté d’être le premier magasin en France à accueillir sa mise en scène dans un concept unique. Près de 200 m2 sont ainsi entièrement dédiés au mobilier signé Ethnicraft avec une exposition des différentes pièces de

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vie, chambre, salon, bureau..., imaginée par ses décorateurs. Tout est mis en situation de telle façon que l’on chemine dans une maison habitée. Des livres dans la bibliothèque à la montre oubliée sur la table de nuit, de l’assiette de pâtes au New York Times posé négligemment sur le canapé…, la scénographique ajoute une dimension humaine « lifestyle » à l’image de l’ADN de la marque.

Bois brut et polycarbonate Si l’on retrouve les grands classiques du catalogue comme les tables Straight ou Slice, de nouveaux modèles soulignent l’évolution du design, avec des piétements croisés qui caractérisent la table Petterson et l’apparition de plateaux arrondis (la Circle) et de pieds travaillés façon « Mikado ».

La beauté du bois brut des collections s’associe volontiers à des matériaux qui jouent sur la

transparence ou des lignes très contemporaines. Un constat qui n’aura pas échappé à Alexis Bruyère qui propose également au sein de Maison D&co un large choix de modèles signés Kartell. Il est vrai que le mariage fonctionne ! Les chaises Ghost en polycarbonate contrastent merveilleusement bien avec la table en bois brut imposante et la lampe Bourgie, couleur bronze, qui revisite la lampe baroque fait son effet, posée sur un meuble en teck à la silhouette épurée.

Sur le buffet est disposée une collection de magnifiques plateaux qui mêlent le bois et le verre, aux motifs originaux, expressions de designers d’une jeune marque Notre Monde, lancée par…

Etnhicraft ! Deuxième heureuse surprise, l’éditeur belge a créé également avec le duo de designers Jan & Lara, Universo Positivo qui propose toute une gamme d’objets décoratifs contemporains et multifonctionnels en bois et métal : étagères, patères et miroirs... Une collection ludique et colorée pour toute la maison. Nous quittons l’univers Ethnicraft et poursuivons notre visite. Après une pause des plus confortables dans un canapé Ditre Italia aux lignes parfaites, Alexis Bruyère dévoile sa dernière découverte, le mobilier composable allemand Musterring qui offre une multitude de compositions, de couleurs et de finitions. Avant de nous quitter, un petit coup d’œil sur le corner Kartell s’impose afin de tester l’ingéniosité de la lampe à poser rechargeable Battery, joliment présentée sur une table en céramique haute résistance fabriquée au Mans et proposée dans de nombreuses dimensions. C’est sûr, vous ne viendrez plus ici par hasard ! Sophie Guivarch

ACCUEIL PRESTIGE ET ÉVÉNEMENTIEL

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B landine Peill on Jours de Printemps – 2 rue Masaryk 69009 LYON 04 37 50 32 50 - contact@joursdeprintemps.com www.joursdeprintemps.com

PEOPLE SPORT

LOU RUGBY - DAX

Ça plane pour les Lyonnais !

L

e LOU augmente son avance et repousse son dauphin Bayonne à 23 points grâce à sa victoire face aux Dacquois de Raphael Saint-André sur le score de 42 à 7. C’est donc un vingtième succès et neuvième bonus offensif qui s’ajoute au tableau de chasse des joueurs de Pierre Mignoni. L’ennui a dominé la première mi-temps, la machine lyonnaise a été longue à se mettre en marche et les 6466 spectateurs ont dû se contenter d’un seul essai en première période, les 5 autres étant marques après la pause, une manière magistrale de dépondre à la « bronca» et aux sifflets adressés aux joueurs qui rentraient aux vestiaires après les 40 premières minutes. Mention spéciale pour Julien Bonnaire, auteur d’un match complet, assorti de deux essais pour son premier doublé de la saison.

Texte : Jean-Marie Nauleau - Photos : Saby Maviel

Mathieu Renaud (LOU Rugby), Corinne Paris (Assurances Paris Gerbaud) et Claude Barbet (Café de la Gare Brignais)

Gilles Fourcade (Comap) et Delphine Lavet (Crédit Agricole)

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Lyonpeople / Avril 2016

Michel Chassagneux, principal du collège Charcot, Patricia Baumann, proviseur adjointe du lycée Hector Guimard et Jérôme Frey, proviseur du lycée Tony-Garnier à Bron

Yves Michelin (Crédit Agricole), son épouse Patricia et Bertrand Ladous (Crédit Agricole)

Guillaume Tissot (Backstage), Bernard Lacombe (Olympique Lyonnais), Marc-Antoine Ginon (LOU Rugby) et Laura Ferrier

Sandrine Roulet (CAF du Rhône) et Blandine Reynaud, adjointe au maire de Lyon

Gilles Gallego (Alpha Compta) et Michel Giraud (Giraud)

Thierry Vitoz (Université Lyon III) et Emmanuel Girard

Nelly Merle, Romain Mejean et Eline Lisa (Cafpi)

Audrey Monnot, Marielle Velon et Sandrine Gallardo (Groupe Bernard)

Laurence Fautra, maire de Décines et Catherine Arbaud (LOU Rugby)

Maître Ghislaine Betton, avocat, Violaine Chanal et Sandrine Frih, adjointe au maire de Lyon

Fréderic Fleury, nouveau président de l’Université Lyon I, Christian Coulon, maire de Lyon 8ème, Léandre Borbon (LOU Rugby) et Patrick Selma, président de l’association du LOU Rugby

Antoine Millot (Physiconcept), Eric Viard, président Arcol Rugby et Yann Roubert, Président du LOU Rugby

Yannick Gigoudeau (CIC), son fils Jules, Fabien Di Léonardo (Audisys)

Olivier Ginon, président de GL Events, Corinne Paris et Christophe Gerbaud (Assurances Paris Gerbaud)

Clément Dagnaux, directeur régional Nissan, Antoine Raguet et Audrey Monnot (Groupe Bernard)

Thierry Blanqué (La Métropole) et Sébastien Landry (Nouvetra)

Fred Pronchery (Communauté de Commune Saône Beaujolais) et Jacques Poncet (Serfim Nouvetra)

Cédric Fechter (Vinci Airports) et Cédric Bolliet (Algoé Consultant)

Lyonpeople / Avril 2016

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PEOPLE SPORT

Retrouvez le blog de Barth sur

ICEO

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LE BARTH’ OLOGUE de Jacky

Chaque mois, une vedette s’allonge sur le divan de l’infirmier Barth, ancien interné des hôpitaux de Lyon qui délaisse caméras et micros pour enfiler blouse blanche et stéthoscope. Le compagnon de route du Club Dorothée, aujourd’hui animateur sur IDF1, se prête au jeu ce mois-ci sur le divan d’Iceo.

Tu es un grand supporter du PSG, quelle image as-tu de l’OL ?

C’est vrai, j’adore le PSG mais mon équipe « numéro 2 » c’est l’OL ! En ce moment, c’est vraiment très agréable à regarder, ça joue bien avec beaucoup de gamins issus du centre de formation. Le changement d’entraîneur vous a fait beaucoup de bien, non ?

Qu’est-ce que tu fais quand tu ne fais rien ?

Quand je glande, je m’occupe de mon jardin, je coupe, j’arrose, j’enlève les mauvaises herbes, ça me lave la tête.

Aujourd’hui, tu animes une quotidienne sur IDF1.

Quand vas-tu arrêter de travailler ?

Pour moi, la télé ce n’est pas du boulot. Je m’arrêterai le jour où je n’aurai plus envie d’aller sur mon lieu de travail.

Je ne ferai jamais l’année de trop.

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Lyonpeople / Avril 2016

De toute façon tu n’as plus besoin d’argent ?

On en a tous besoin, c’est vrai que je pourrai me permettre d’arrêter mais je n’en ai pas envie.

Qu’est-ce-que tu ne supportes pas à la télé ?

La télé réalité ! Au début j’ai tout regardé, « Loft Story » « Les Anges » et tutti cuenti, mais je n’aime pas !

En revanche, la télé réalité musicale, j’adhère.

Qu’est-ce que tu ne supportes pas chez toi ?

Ce qui pourrait agacer les autres. Au boulot par exemple, je suis très maniaque, je pense que je dois être fatiguant.

Et chez les autres ?

La bêtise, l’hypocrisie, les gens en retard m’insupportent aussi.

Quel est ton dernier achat compulsif ?

Je n’ai pas du tout des goûts de luxe donc on ne peut pas parler d’achat compulsif. En revanche, j’adore la presse.

Je peux acheter n’importe quel magazine en voyant une belle une et parfois je me dis « quel con ! » car c’est souvent de la merde (il rigole).

C’est facile de vivre avec toi ?

Ce n’est pas à moi de répondre mais à mon avis ce n’est pas simple. je suis très soupe au lait, colérique, je m’emporte très vite, en revanche ça ne dure jamais.

C’est quoi une belle vie pour toi ?

Celle que j’ai et depuis longtemps !

As-tu une phobie ?

Ah oui ! Le bateau, c’est très compliqué pour moi, j’angoisse et c’est rien de le dire, même à l’arrêt ! À l’époque du « Club Dorothée », on avait des plateaux à faire, je demandais à Azoulay (le producteur de l’émission, ndlr) de me donner beaucoup de texte pour que je pense à autre chose, un enfer !

Quand as-tu pleuré pour la dernière fois ?

C’était de joie ! Pour la naissance de ma petite-fille Clémence, il y a 4 mois.

Tu auras 68 ans le 1er mai, qu’est-ce que la vie t’a appris?

Mais on peut rester 3 heures sur ta question ! Il y a beaucoup trop de choses, impossible de te répondre comme ça.

Si je te donne une baguette magique, là, tout de suite, que fais-tu ?

Je me téléporte à New York en 2 secondes pour aller au CBJB voir un bon concert de rock. Pour être sincère, c’est rigolo, j’en ai rêvé cette nuit !

Quel titre as-tu le plus écouté dans ta vie ? « Here comes the sun » des Beatles. Cette chanson c’est la vie ! Pour me donner la patate, je me la mets le matin.

Quel genre de fille te fait fuir ?

Il y a deux types de filles qui me font fuir : les filles vulgaires et ordinaires.

Que vont dire tes proches en lisant le Barthologue ?

Ils seront très contents de tes questions, peut-être un peu moins de mes réponses (il se marre).

Es-tu superstitieux ?

Pas du tout, je m’en fous royal ! Je peux passer sous une échelle sans même m’en rendre compte.

Maintenant on change, c’est toi qui me poses une question…

A quel âge as-tu commencé à marcher ? (il éclate de rire)

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STYLE

GASTRO

Le chef Philippe Gauvreau (Halles 9), Marlène Jamin (Bobosse), Arnaud Bernollin, Jean-François Rivierre (Pernod Mumm) et Bernard Juban (Bobosse)

LES CUISINES BERNOLLIN

invitent Philippe Gauvreau

Le veau ramène enfin sa fraise ! Interdit depuis la crise de la vache folle, cet abat blanc au fondant incomparable a fait son grand retour fin 2015 dans les assiettes et dans les boyaux des andouillettes Bobosse. De quoi ouvrir l’appétit d’Arnaud Bernollin. Dans son showroom d’Anse, le cuisiniste haut de gamme a convié Bernard Juban et Marlène Jamin (Bobosse), gardiens du temple charcutier et tripier du Beaujolais, et le chef Philippe Gauvreau (Halles 9). Au menu du déjeuner Bernollin ? La célébrissime andouillette à la fraise de veau revue par le chef Gauvreau. Une préparation classique qui révèle les saveurs incomparables et la finesse de l’abat. Le tout soutenu par la vivacité d’un Mumm Brut Cordon Rouge sorti du sac de Jean-François Rivierre (Pernod Mumm) et le velours d’un Cote de Brouilly d’exception (Château Thvin – Cuvée Godefroy). Divin ! Photos © Saby Maviel - Mandrak Studio

Cuisines Bernollin - 198, allée Viadorée - Anse - Tél. 04 74 67 04 08 Cuisines Bernollin - 5, place Puvis de Chavannes - Lyon 6 - Tél. 04 78 93 00 61 Entre Philippe Gauvreau et l’andouillette à la fraise de veau, l’heure n’était pas aux présentations. « C’est un produit que j’apprécie et qu’il m’arrive de proposer dans mon menu du jour », explique le chef de la Brasserie Halles 9 sise à Tassin-la-Demi-Lune. Une approche traditionnelle en sauce moutarde, quelques pommes boulangères rôties et confites en cocotte de fonte... « C’est un produit qui ne se transforme pas mais qui s’accompagne », confirme le spécialiste Bernard Juban. A la tête de la maison Bobosse depuis 1996, l’héritier de René Besson a su conserver la philosophie canaille du célèbre tripiercharcutier. A Lyon, c’est sa fille, Marlène Juban, qui gère le comptoir Bobosse des Halles Paul Bocuse.

Un conseil ? Goutez également leur pied de porc désossé et farci au foie gras. C’est une merveille !

Halles 9 – 3, promenade des Tuileries - Avenue Général Leclerc 69160 Tassin-la-Demi-Lune - 04.78.36.99.99

Philippe Gauvreau (Halles 9) et Arnaud Bernollin

Andouillette Bobosse à la fraise de veau (tirée à la ficelle), pommes boualngères rôties et confites en cocotte de fonte, sauce moutarde

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Lyonpeople / Avril 2016

Comptoir Bobosse - Halles Paul Bocuse -102, Cours Lafayette 69003 Lyon - 04.78.62.66.10

Quelques bulles pour se mettre en appétit

« Banofee pie » à la banane, crème mascarpone au vieux rhum

STYLE

AUTO

NOUVELLE SMART FORTWO CABRIO La citadine estivale

Présentée en avant-première au salon de Francfort, la smart Cabrio 2016 brillait encore il y a quelques jours à Genève. Désormais disponible dans les concessions SMART d’Ecully, Saint Fons, Villefranche et Vienne, c’est à Karine Dognin-Sauze qu’elle a été confiée le temps d’un essai.

Présente en bonne place dans notre dernier Top 50 des femmes d’influence, la vice-présidence de la Métropole en charge de l’innovation, s’est prêtée au jeu de manière souple, attentive aussi bien à « l’objet » qu’à sa conduite.

Pour avoir travaillé dans le marketing, le design de la smart de la laisse pas indifférente. Très souvent logotée, son capital sympathie fait d’elle un support de communication très prisé par les entreprises qui aiment s’approprier ses qualités et l’esprit « Smart », renvoyant d’elles une image très positive.

Karine Dognin-Sauze

« L’esprit smart », réelle réflexion construite autour d’un produit singulier et novateur, ou bonne raison pour bobo qui veut justifier son dernier caprice ? Indéniablement, la Smart Cabrio attire le regard, cabriolée et personnalisable à souhait, c’est aussi ça smart, assumer son amour du chic.

Si vous sortez du garage couvert, vous sortirez de votre rue décapoté, et quelque soit son allure, la Cabrio se découvre en 12 secondes chrono. Raffinée, intemporelle, élégamment sportive, ses atouts ne sont pourtant pas ostentatoires, ils sont derrière le volant, et il faut le prendre pour le croire. Notre pilote du jour est d’emblée marquée par une excessive facilité de prise en main. « Quand bien même vous n’avez jamais conduit de smart de votre vie, il y a quelque chose de si naturel, tout se fait avec une extrême aisance, on oublie que l’on conduit ».

La sensibilité des commandes, son excellente reprise, des demi-tours faisables en une seule manœuvre et à une main : c’est à se demander si ce sont réellement les bras et les pieds qui sont à la manœuvre, ou bien l’instinct du conducteur. « On a comme la sensation de voler, la conduite n’est plus un sujet ». Sans ressentir quelque impression d’exiguïté, c’est une voiture très compacte dont la taille peut surprendre, mais quand le cabriolet s’ouvre à l’infini du ciel, l’espace n’est plus à sonder. Baudouin Wisselmann

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ZOOM

SÉMINAIRES

Les coups de coeur de l’évènementiel Les établissements lyonnais pour vos évènements professionnels

Axotel Perrache & Hôtel Charlemagne Best Western A

u cœur de la presqu’île et remarquablement situé sur le nouvel espace urbain « La Confluence »

- 250 chambres entièrement rénovées.

- 1000 m2 de salles de séminaires et conventions.

- 1 amphithéâtre re-decoré de 120 places.

- Des terrasses végétalisées et arborées, isolées des nuisances sonores.

- Des équipements audio et vidéo, complétement dédiés aux nouvelles technologies numériques.

- Une gastronomie renommée (Toques blanches Lyonnaises).

Axotel Perrache 130 chambres 3* Hôtel Charlemagne 117 chambres 4* Vous offrent tous les atouts indispensables à la réussite de vos réunions de travail ou autres.

Le professionnalisme de nos équipes conjugue convivialité, chaleur et disponibilité pour vous recevoir avec la pratique totalement maitrisée de cinq langues étrangères.

C’est ainsi que le groupe AXOTEL justifie sa baseline. « À Lyon certaines étoiles brillent plus que d’autres.

PLUS D’INFOS ?

Hotel Axotel Lyon Perrache*** 12, rue Marc Antoine Petit - Lyon 2 www.hotel-lyon-axotelperrache.fr

Hotel Charlemagne **** Best Western 23, cours Charlemagne - Lyon 2 www.hotel-lyon-charlemagne.fr

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Service Commercial 04 78 37 48 04 commercial@hotel-lyon.fr www.hotel-lyon.fr

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Lyonpeople / Avril 2016

Confluence Events, une destination unique pour vos événements

C

onfluence Events est la signature née du regroupement des 3 acteurs du Pôle de Commerces et de Loisirs de Confluence, Novotel, UGC et Azium qui proposent dans le cadre d’une destination unique l’ensemble des solutions nécessaires à l’organisation des événements d’affaires : hébergement, restauration, espaces réceptifs et activités team building.

L’alliance de ces trois partenaires permet de proposer une solution globale sur mesure de 10 à 400 personnes avec la simplicité et la facilité d’un interlocuteur unique.

Un Novotel 4* de dernière génération, restaurant, bar lounge avec terrasse surplombant la Saône, salles de réunion innovantes, salle de sport et espaces détente.

Séminaires, cocktails, conférences de presse, lancements de produits, réunions, projections privées… UGC Confluence accueille vos événements dans des conditions idéales.

Découverte de Lyon en kayak, défi des architectes de Confluence, jeux de piste dans

le Vieux Lyon… Faites le plein d’émotions, de sensations et de sourires !

Vivez une expérience hors du commun durant chacun de vos événements !

Confluence Events, une nouvelle référence pour l’organisation de vos événements au cœur de Lyon.

PLUS D’INFOS ?

Confluence Events - 112, cours Charlemagne - Lyon 2 www.confluence-events.com Commercial : 06 48 81 53 29 contact@confluence-events.com

Vivez l’expérience « Novotel à ciel ouvert »

Autour du kiosque à plancha et au cœur de nos espaces extérieurs avec terrasses ombragées, jardin et piscine

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seulement 15 minutes de Lyon et de l’aéroport Saint Exupéry, retrouvez le Novotel Lyon Bron Eurexpo au cœur des quartiers d’affaires de l’Est de Lyon. Véritable spécialiste des réunions de travail et des évènements d’entreprises de grande envergure, nous vous recevons jusqu’à 300 personnes dans nos espaces de plus de 1100m² répartis sur les 14 salles entièrement modulables. Notre équipe de professionnels saura transformer votre réunion, votre séminaire ou votre convention en évènement d’envergure.

Dès les beaux jours, vous profiterez de nos espaces extérieurs. Réunissezvous pour déjeuner ou diner autour de notre kiosque à plancha. Cet endroit spécifique, unique et particulièrement chaleureux vous sera alors entièrement réservé. Il permettra à vos collaborateurs de profiter d’un vrai moment de convivialité et de détente au cœur de nos jardins.

Faisant partie de la sélection d’établissements « Proact » by Novotel, vous serez pris en charge par notre chargée de clientèle dès la première prise de contact. Elle vous accompagnera dans l’organisation de votre évènement dans les moindres détails. Le contrat d’engagement vous permettra de sélectionner les éléments les plus importants à la réussite de votre évènement.

Votre interlocutrice unique vous accompagnera et sera dédiée tout au long de votre présence à la réussite de votre manifestation.

Accédez à notre établissement très facilement par les autoroutes A43 et A46. Parking de 350 places gratuit et privé.

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Novotel Lyon Bron Eurexpo 260, avenue Jean Monnet - Bron www.novotel.com - www.accorhotels.com Vos contacts privilégiés : Ines et Isabelle 04 72 15 65 75 - h0436-sb@accor.com Lyonpeople / Avril 2016

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ZOOM

SÉMINAIRES

Le Gourguillon : lieu confidentiel pour séminaires d’exception N

ichés sur les hauteurs de Vieux Lyon, au cœur de la montée éponyme, le Gourguillon et son salon privé bénéficient d’un cadre extraordinaire et d’une vue à couper le souffle.

Au calme absolu, à l’abri des rumeurs de la ville, le Gourguillon est une merveille, un lieu intimiste et confidentiel, parfait pour des conférences de presse hors du commun, des réunions en petit comité, des réceptions privées inoubliables et des séminaires d’entreprises remarquables. « Ici, tout est pensé et mis en œuvre pour que l’on se sente comme chez soi.

Chacun peut organiser un événement à son image répondant à ses attentes et à ses goûts » explique Valérie, créatrice et directrice du lieu. Cuisine équipée propice aux ateliers culinaires, service d’un Chef pour menus sur-mesure, jardin suspendu avec bassin aquatique surplombant la ville, cheminée design, salle de travail baignée de lumière, navette privée, pauses gourmandes à la demande… le Gourguillon offre une multitude de prestations d’exception. Et pour ceux qui souhaitent profiter de la magie du lieu plus longuement, le Gourguillon dispose aussi de huit chambres et suites pensées comme des cocons. Chacune bénéficie d’une décoration élégante et soignée au caractère unique. Les matériaux sont nobles, le mobilier choisi. Toutes disposent d’un jardin, d’une terrasse ou d’un balcon et d’une belle baignoire balnéo. Un véritable havre de paix, difficile à quitter une fois que l’on y est entré…

PLUS D’INFORMATIONS ?

Le Gourguillon - 46, montée du Gourguillon - Vieux Lyon www.legourguillon.fr Vos Contacts : Géraldine, Lauriane ou Stéphane 06 66 66 11 17 contact@legourguillon.fr

Lyon City Boat & Serge Magner Evènements

Le Château de Saint-Priest

V

L

© Nicolas Robin - La verrière de la Cour Carrée

®

ous recherchez un cadre enchanteur pour des événements d’entreprises ?

Comblez vos envies de renouveau en organisant votre séminaire ou votre réunion à bord de la péniche Ville de Lyon, pour des escapades privilégiées et fédératrices au rythme des fleuves. Une expérience tout en charme et sérénité, à adapter en fonction de vos besoins. Lyon City Boat vous propose également de profiter du savoir-faire gastronomique de Serge Magner Evènements® durant votre prestation. Partenaire gourmand depuis début 2015 sur la péniche Ville de Lyon, Serge Magner Evènements® trouve l’équilibre et le ton le plus juste pour faire de votre réception, un moment unique.

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Lyon City Boat - 13 bis, quai Rambaud, Lyon 2 www.lyoncityboat.com Commercial : 04 78 42 96 81 - contact@lyonictyboat.com Serge Magner Evènements® Commercial : 04 72 39 51 51 - lyon@sergemagner-evenements.com contact@domo.fr

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Lyonpeople / Avril 2016

e Château de Saint-Priest, classé aux Monuments Historiques, accueille tous vos événements : séminaires, conventions, diners de gala, cocktails…

Le site offre 760 m² d’espaces modulables : une verrière de 215 m², des salons équipés et des terrasses aménagées ouvertes sur les jardins.

Pour organisez votre événement en toute facilité : découvrez nos offres séminaires packagées de 10 à 160 personnes et profitez de 150 places de parking gratuites sur site.

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Château de Saint-Priest - Lyon for events - 2, rue de l’Egalité - Saint-Priest www.chateau-de-saint-priest.com Votre contact : 04 72 28 79 55 accueil@chateau-de-saint-priest.com

Kohé meeting, une offre de location de salles sur mesure E

n bordure de Saône, Kohé meeting s’est installé dans l’ancien bâtiment des douanes rénové dans un style très contemporain. « Trouver un lieu pour une réunion, qui associe à la fois l’esthétique, le confort, un environnement de qualité et un accès facile est un véritable casse-tête. C’est pourquoi nous avons créé kohé meeting » expliquent Elodie Martorell coordinatrice évènementiel et Anne Sophie Pallandre responsable commerciale. « Notre lieu tranche avec ce qui existe à Lyon. Il s’agit d’un grand loft extrêmement lumineux et moderne, doté d’une vue imprenable ! » L’espace idéal pour les séminaires, se compose de sept salles de 20 à 100 m², deux espaces pour les pauses, un salon pour les cocktails.

Fleuron de cette offre, la salle Fourvière de 100 m² (80 personnes) avec terrasse surplombe la Saône. Les salles Confluence et Saône (50 m²) offrent des vues reposantes, l’une sur les collines de Sainte Foy Lès Lyon et l’autre sur la Saône.

Possibilités de restauration, plateaux repas, cocktails et déjeuner détente en terrasse.

Kohé Meeting propose également l’organisation d’activité de cohésion d’équipe.

L’accueil est personnalisé aux couleurs de l’entreprise cliente. Le site a déjà reçu la visite d’entreprises renommées telles que : Sanofi, Total, Seb, Orangina, Swatch, Bioderma, Véolia, Fnac, Babolat, Distriborg , laboratoire Roche, M6, Taittinger, Merck, César et Brutus…

Surface et nombre de personnes par salles Dispositions différentes possibles selon le nombre de personnes Salle Douanes 20 m2, jusqu’à 8 personnes Salle Saône 50 m2, jusqu’à 30 personnes Salle Confluence 50 m2, jusqu’à 30 personnes Salle Sucrière 50 m2, jusqu’à 30 personnes Salle Quai Rambaud 50 m2, jusqu’à 30 personnes Salle Fourvière et salon privé 150 m2, jusqu’à 80 personnes

PLUS D’INFOS ?

Kohé meeting - 45, quai Rambaud - Lyon 2 www.kohe-meeting.com Commerciale : Anne-Sophie PALLANDRE 04 78 38 48 25 commercial@kohe-meeting.com Lyonpeople / Avril 2016

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PEOPLE•EVENTS

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ois oi

Les jolies sorties & belles rencontres de Françoise Petit Photos : Erick Saillet & Olga Bystrova-Herry

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ierre et Aimé ont en commun le goût de l’harmonie. Avec « Les Héritiers », ce duo écrit depuis 1993 une histoire qui bouscule élégamment le monde de la décoration. Il était une fois Pierre Dubois, journaliste et Aimé Cécil, un pro du design industriel. A l’époque, chacun voue un amour immodéré pour les antiquités et l’art contemporain. Leurs affinités font mouche et leur saga commence par l’édition d’objets de créateurs comme Jean Boggio. Rapidement la jeune société se fait remarquer sur Scènes d’Intérieur. Aimé et Pierre détonnent, étonnent par leur façon de marier un petit rien avec une pièce maîtresse. Ils travaillent comme des scénaristes, montent des spectacles où se mêlent styles, matières, formes et couleurs. Le fruit de leur passion sous le sceau « les Héritiers » vitamine boutiques, appartements, maisons de Miami à Shanghai en passant par Ramatuelle ou Cannes. En parallèle, les grandes enseignes donnent carte blanche à ces sacrés lyonnais comme Roche Bobois, Lessage et Toulemonde Bochart pour les tapis ou Fondica ou Kotska pour les luminaires. Nos penseurs d’ambiances glamourisent aussi les hôtels comme le Srato à Couchevel, oscarisé après leur passage par le magazine Hotel & Lodge ! A Lyon, ils ont signé récemment la déco de la Brasserie Chavant qui met d’entrée en appétit.

Place des Célestins, ce théâtre gourmand fait la part belle à une cuisine de caractère insufflée par le Chef Jérémy Fasquel et inspirée par Jérémie Muller qui, lui, officie à la « maison mère » de Bresson près de Grenoble. Mathieu Moog est aux commandes de l’établissement, ce jeune directeur qui n’a pas encore 30 ans a vite décrypté les codes lyonnais et pourrait être nominé (catégorie accueil) aux prochains trophées de la Gastronomie du Progrès !

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lle vit dans le quartier Saint Georges et à Saint-Pétersbourg où elle est née. Olga Bystrova-Herry, membre de l’Unité des artistes de Russie, est académicienne des arts dans son pays. A Lyon, son talent s’affiche par le biais de ses peintures et dessins qui ont déjà voyagé dans quelques arrondissements.

Travaillant différentes techniques, sa préférence se trouve dans les aquarelles qu’elle travaille de façon singulière et sensible. Olga ne se limite pas à peindre la réalité d’une rue, d’une place ou d’un bistrot, elle donne dans humour et la caricature grâce aux croquis livrés au grand quotidien de Saint-Petersbourg, « Nevsky fois ». L’artiste aime aussi exploiter sa formidable maîtrise du dessin avec des trompe-l’œil, n’hésitant pas à se déplacer chez les gens pour « maquiller » un mur, une porte, un plafond. Architecte d’intérieur à ses heures, la jeune artiste est également sollicitée par les grandes familles pour la réalisation de portraits. Le Prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou lui a fait confiance, le résultat est royal !

PEOPLE•EVENTS

10Événements +

VU !

de photos sur lyonpeople.com

qu’il ne fallait pas manquer Photos : Fabrice Schiff & DR

OVALGREEN DÉVOILE SA 13ème ÉDITION

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A l’occasion du lancement du Circuit Ovalgreen 2016, l’agence Media Sport Promotion a réuni l’ensemble des partenaires lors d’un cocktail dinatoire au Casino Le Lyon Vert introduit par Jean-Claude Pietroccola et Estelle Verney-Carron. Au programme de cet évènement golfique centré sur l’univers du rugby : une première étape au Golf de Nantes le 22 avril, le 29 au 3 Vallons de l’Isle d’Abeau, à Saint Etienne le 20 mai, et enfin au golf du Gouverneur le 3 juin. Les parrains et partenaires de l’événement ont été ensuite annoncés, et parmi les plus prestigieux : Jo Maso, Iean Balshaw, Pascal Papé, et Simon Shaw.

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03 HOMMAGE À ANDRÉ COTTAVOZ

BASKET FÉMININ AS VILLEURBANNE VS VOIRON

Evoluant en Nationale 1, l’AS Villeurbanne Basket Féminin organisait la 5ème édition de son opération «Tous à De Barros» à l’occasion du match à domicile contre Voiron, actuel 4ème du championnat. Une présentation de toutes les équipes du club a eu lieu à la mi-temps du match, suivie l’issue de la rencontre, d’un moment convivial et festif dans la salle annexe transformée en salle de réception lors d’une soirée dansante.

André Cottavoz fut le leader d’un groupe d’artistes qui exposa à la Chapelle du lycée Ampère, en 1948 : les Sanzistes.

Marius Mermillon, critique d’art redouté, parlait à leur propos du groupe “Cottavoz”. Pendant l’exposition que lui consacre Alain Vollerin, il est possible de voir 22 toiles majeures parmi lesquelles : Nature morte blanche, Crépuscule dans l’atelier, Salle dans le Palais Pitti à Florence, Bouquet de tulipes jaunes, Hong Kong vue du Regent hôtel, bouquet orangé, Vue de l’atelier de Vallauris, le Pont du Rialto à Venise, etc, etc… Comme l’atelier de Francis Bacon, à Londres, celui d’André Cottavoz vibrait de la lutte intense de l’artiste avec la matière et la couleur. Il était environné de pinceaux lâchés dans la hâte du réflexe créatif, de tubes de couleur pressés dans l’ardeur de l’inspiration, de palettes abondamment couvertes d’épaisses couches de peinture. Sublimes instants de bonheur, solitaires, mais souvent partagés, par celle qui devint son modèle, et son épouse, Hélène Cottavoz, présente le soir du vernissage.

André Cottavoz - Peintures – Lithographies Du 11 mars au 28 mai 2016 Galerie Mémoire des Arts - 124 rue de Sèze - Lyon 6e Lundi-vendredi 15h-19h, samedi 10h-13h

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PEOPLE•EVENTS

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SMART CHEZ REG-ART Opticien Croix Rousse

L’opticien-lunetier croix-roussien Reg-Art s’est fait l’hôte d’un cocktail dédié à la visite de son atelier de fabrication de montures sur mesure, et de la découverte de la nouvelle smart Cabrio. Détenteur d’un savoir-faire unique dans la région Rhône-Alpes, inscrit aux Métiers d’Art de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Rhône, Florentin Robert est un véritable Grand Couturier du “Reg-Art“. Un rendez-vous mêlant art et artisanat, avec l’exposition des nouvelles toiles de Fanny Grandjean, et la présence du MOF chocolatier-confiseur Jean-Pierre Richard, en dédicace de son livre « Ganache ». Le geste de la soirée : une toile blanche déposée sur un chevalet, laissant aux invités le loisir de participer à la réalisation d’une œuvre collective, qui sera offerte à un hôpital pour enfants.

Photos : Fabrice Schiff

Catherine Gatin (Couleurs de Table), Cécile Desmurger (Orange) et Valérie Gicquel (OIP Conseil)

Eva Baiardi (smart)

Jean-Charles Seriziat (Seriziat) et Didier Excoffier (Excoffier Cuisines)

Jacques Verdière et Jean-Luc Badoc

Florentin Robert dans ses ateliers (Reg-Art)

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Lyonpeople / Avril 2016

Isabelle Barrois, son époux Jean-Louis (Magazine Bien Dit) et Alexandra Charvet (In Extenso)

Les nouvelles smart ForTwo et ForFour

Dominique Alloisio (Paul Auto) et Bekir Degerli (Degerli)

Pascal Marquat (Axa), Jean-Pierre Richard, M.O.F Chocolatier 1990 et Florentin Robert (Reg-Art)

Benoît Morisson (Jaguar) et Julien Allemand (Segula)

L’artiste peintre Fanny Grandjean et une de ses toiles

Léa Leyris et Clément Brest (Idrac)

Monique Verdiere et Jacques Molho

Francis Toussenel (Bayer) et son épouse Florence

Anne Didio (Villa Clémentine), le traiteur de la soirée

Myriam Hurez (LMH Habitat) et Jean-François Ramay (RCAA)

L’architecte d’Intérieur Isabelle Marion (CFAI) et Christine Oppermann

Lyonpeople / Avril 2016

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PEOPLE•EVENTS

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CRC DEMENAGE

Des conseillers à l’écoute, pour une gestion de chantier en toute sérénité Gérald Loctin et Samuel Jacob inauguraient le 4 mars dernier les nouveaux locaux de leur entreprise de conseil en construction et rénovation. Deux professionnels du bâtiment depuis plus de 20 ans proposant un accompagnement personnalisé fait de conseil, de savoir faire, de flexibilité, de réactivité dans les travaux d’intérieures, de rénovation ou de construction. Tournée à la fois vers les particuliers et les professionnels, la réelle préoccupation de cette maitrise d’œuvre est d’assurer 1 seul interlocuteur entre le client et les différents artisans et intervenants du chantier, mais aussi une seule assurance couvrant tous les corps de métiers impliqués. Photos : Val-fpg

Hervé Petre (CRC Promotion), Samuel Jacob (CRC Promotion), Marwan Nadje (Cousins Cousines) et Gérald Loctin (CRC Promotion)

L’architecte Jean-Michel De Ambroggio et son épouse Isabelle

Samuel Jacob (CRC Promotion), Pierre-Yves Gas (Proxicom), Sébastien et Gérald Loctin (CRC Promotion)

Samuel Jacob (CRC Promotion), Guy Bonollo, Philippe et Elisabeth Maureau

Annie Paysac, Pascal Garay, Marianne Vinot et Sylvia Jacob (Areva)

Christelle et Alexis Geagea (Le comptoir de l’Atelier)

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Gérald Loctin (CRC Promotion) et Hervé Mariaux (CCI – LC2 – CGPME Rhône-Alpes)

Lyonpeople / Avril 2016

Cyril Dalmont (Semcoda), Pierre-Emmanuel Lefebre (Bouygues Batiments) et Roméo Jacob (Byblos Groupe)

Les hôtesses de Byblos : Orane, Cloé et Céline

Gérald Loctin (CRC Promotion), Jean-Pierre Mermet (AFBS Décoration), Bernard Jandard (Jandard Immobilier) et Samuel Jacob (CRC Promotion)

Samuel Jacob (CRC Promotion), Guy Mathiolon (PDG Serfim) et Marwan (Cousins Cousines)

Edmond Dantes et Simon Hoayek (Byblos)

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Loïc Raguin (Loradis) et Jean-Pierre Berthollier (GAEC Pont Blanc)

Nicolas Bouscasse (Château Canpinot) et Arnaud Cuvillier (Henri Optique)

Samuel Abraha (Semitan) et Stéphane Le Coz (Tui France)

PEOPLE EVENTS

Marcel Prolange (Setreal) et Lionel Perrin (HBP)

Marcel Prolange, Stéphanie Perret (OL) et Jean-Luc Remilly (Setreal)

Pierre Kerleroux et Baptiste Bosser (Was Light)

Bonne lecture

Les drapeaux annoncent l’arrivée des joueurs

Arnaud Cuvillier (Henri Optique), Henri Bedimo (OL) et Eytan Chettrit

Lionel Perrin (HBP), Henri Bedimo (OL) et Loïc Raguin (Loradis)

Jean-Pierre Berthollier (GAEC Pont Blanc), Lionel Perrin (HBP) et Marcel Prolange (Setreal)

Les deux équipes

Marcel Prolange, Jean-Luc Remilly (Setreal) et leurs invités

OL - NANTES Dans la loge de Setreal

Dans le cadre de son partenariat avec l’OL Féminin, la société Setreal avait invité ses clients lyonnais et surtout nantais à venir découvrir le Parc Olympique Lyonnais.

Ceux-ci n’ont pas tari d’éloges envers ce stade impressionnant. Bureau d’études techniques depuis 1997 en tant que contractant général & maitrise d’œuvre, Setreal est le spécialiste de la construction et de la rénovation de bâtiments industriels, locaux commerciaux, bureaux, magasins et concessions automobiles. Forte de son expérience et son savoirfaire, la société dirigée par Marcel Prolange et Jean-Luc Remilly construit votre bâtiment clés en main en assurant pour vous l’ensemble des étapes liées à la réalisation de votre projet.

Photos : Fabrice Schiff

Lyonpeople / Avril 2016

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PEOPLE•EVENTS

Jean-Paul Babey Président du Groupe d’Assurances Alptis « Femme Libérée » de Cookie Dingler

Marie Rigaud Directrice du Printemps de Pérouges « Dansez sur moi » de Claude Nougaro

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Hubert Julien Laferrière Maire du 9ème arrondissement « I’ve got you under my skin » de Frank Sinatra

Arnaud Bernollin Président des Cuisines Bernollin « Le blues du Businessman » de Starmania

Didier Caudard-Breille Président de DCB International « Fly me to the moon” de Frank Sinatra

20 000 euros pour Le Petit Monde

Cette année encore (la douzième !) la soirée de gala du Petit Monde, organisée par ID en Tête pour le groupe Partouche et la Banque Rhône-Alpes, a tenu toutes ses promesses. Neuf personnalités ont accepté de dévoiler leurs talents de chanteurs devant un parterre de 220 convives impressionnés par le niveau des prestations. Quant à l’excellent repas concocté par le chef de la Rotonde, Jean-François Malle, il était servi par 35 Lyonnais qui ont mesuré la difficulté d’une telle tâche. Une soirée emprunte de bonne humeur et de convivialité, mais aussi de générosité puisque ce sont 20 000 euros qui ont été remis en fin de soirée aux responsables du Petit Monde par Chantal Partouche et Yvon Léa, président de la Banque Rhône-Alpes. Rendez-vous est déjà pris pour l’an prochain. Photos : Saby Maviel Lyonpeople / Avril 2016

Marie-Josèphe Laurent Avocate du Cabinet Brumm et Associés Christine and The Queens « Paradis Perdus »

Sylvie Guinard PDG de l’entreprise Thimonnier « La groupie du pianiste » de Michel Berger

DÎNER DE GALA AU LYON VERT

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Jean-Claude Lavorel Président de Lavorel Hôtels « Je me voyais déjà » d’Aznavour

Eva Partouche Chargée de Communication du Domaine le Lyon Vert « Stand-by me » de Ben E King

PEOPLE•EVENTS

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Alain Benon, son épouse Maryanne, Philippe Risso et son épouse Caroline (Franchisés français de Lyon Part-Dieu)

Les représentants du Danemark, les franchisés français de Lyon, entourés de leur chargée de com, responsable réseau, coordinateur travaux et de l’agence C2C

Inauguration des Soeurs Grene du Danemark Sophie la modeuse et Alexandra Chartier, responsable marketing & communication de la Part Dieu

SOSTRENE GRENE

Sur fond de musique classique, les Lyonnais ont découvert la boutique de décoration des Soeurs Grene, créée il y a plus de 40 ans par 2 soeurs : Anna et Clara Grene. La collection est faite de bois, de textiles doux et de couleurs respirant la douceur de vivre à la scandinave.

Un évènement auquel n’ont pas manqué d’assister nombre de bloggeuses branchées déco, parmi les 200 invités. Chaises, cache-pots, céramiques, vases, coussins, rangements, table basses... autant de produits qui vont pouvoir s’insérer naturellement dans votre intérieur. La maison Grene s’est installée en France il y a 2 ans, et compte 3 boutiques en Île-de-France, celle de la Part-Dieu étant la première en région.

Photos : Fabrice Schiff

Véronique Margerie, directrice du centre de la Part Dieu et Philippe Risso (Sostrene Grene)

Anne-So Masson (Mille Lyons)

Les bloggeuses Laurine Perry (The Girl Next Blog) et Calie Mailhol (Calie-M.com)

Mégane Convers (Marie Claire) et Marie Torregrossa (Torrilhon)

Fabien Seguin et Marine Coudray (L’Encrerie Marine)

Caroline Chambonnière (C2C), Julie Jacquard (France 3) et Catherine Ibled (C2C)

Eric Derville et son équipe de Sostrene Grene Lyon

L’équipe de Lyon entourée, à gauche d’Olivier, Marco, Alexandre et à droite de Mathilde

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Lyonpeople / Avril 2016

Les bloggeuses Laurie Gachet (With Style & Chic) et Ameni Ghandouri (Lyonnaises next door)

PEOPLE•EVENTS

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Armand Gueyraud (Café Charmant) et Jean-François Savoye (Lyon People Global)

Pierre-Maurice Chesnard, Marie-Pierre de Franqueville et Dominique Salvetat (Société Chesnard)

Martine Balsiere et Corinne Chapelon (Société Chesnard)

Chantal Metaillier et son époux Henri (Metaillier)

Bernard Parrot (Saint Charles Investissement) et son épouse Marie

Martine Balsiere, sa famille Myriam, Léo, Kylian, Calie, Eytan, Emilie et Gwenaël

SOCIÉTÉ CHESNARD Départ en retraite de Martine Balsiere

Une soirée conviviale organisée le 18 mars dernier, pour cet évènement, au Café Charmant à Oullins. 41 ans de bons et loyaux services, arrosés, comme il se doit, par toute l’équipe de Chesnard Immobilier, qui fête cette année ses 90 ans. Spécialisée dans l’administration de biens et les lotissements, la régie Chesnard dispose également d’un service transaction intervenant sur toutes les communes du sud-ouest et de la Métropole lyonnaise.

Photos : Fabrice Schiff

68, Grande rue à Oullins - Tél. 04 78 51 30 85

Jeanne Traverce, Jean-Guy Traverce (Garage Renault Oullins) et Emmanuelle Charles (Vêtements Charles)

Emilie Balsiere et Myriam Desgeorges (Hôpital Lyon Sud)

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Lyonpeople / Avril 2016

Virginie Combe (Orpi) et Laetitia Magnin (Chesnard)

Martine et ses collègues de travail de la société Chesnard

Delphine Tannel et Dominique Salvetat (Société Chesnard)

PEOPLE•EVENTS

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CONCOURS FOOD & YOU La Tour Rose

C’est dans le très beau cadre de la Tour Rose que Karen Finzi et Jean-Christophe Menz (Food & You) ont testé en live leur nouveau concept de concours de cuisine amateur. Accueillis par le directeur Alain Dinc, Pascal Auclair, Séverine Eberhardt et Pierre-Yves Gas ont accepté gracieusement d’enfiler un tablier et de passer derrière les fourneaux pour confectionner respectivement entrée, plat principal et dessert ! Les 50 convives n’avaient plus qu’à déguster et à noter… plaçant le framboisier de Pierre-Yves sur la première marche du podium.

Photos : Fabrice Schiff

Séverine Eberhardt, Pascal Auclair, Karen Finzi et Pierre-Yves Gas

Karen Finzi et Jean-Christophe Menz (Food & You)

Alain Dinc et ses drôles de dames, Séverine, Florence et Marie

Que le diner commence

Alain Dinc, directeur de la Tour Rose, Azouz Begag et Serge Tonioni

Le menu de la soirée concocté par nos trois chefs

Valérie Vacher & Val (Lyon People), Franck Girardet (Invefi) et Jean-François Savoye (Lyon People Global)

L’entrée de Pascal Auclair : œuf au clair de lune, œuf à basse température, crème de panais, fois gras poêlé et brioche

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Lyonpeople / Avril 2016

Le club cigare de Pascal Auclair

Séverine Eberhardt, Morgane Metaillier (Sofitel) et Cécile (Fashion Moods)

Le plat principal de Séverine : I am not a Chicken, ballottine de volaille, riz de veau et morille, légumes de saison

Le Framboisier musclé de Pierre-Yves : mousse de framboise, chocolat blanc à la pistache et tuile craquante

CARNET MONDAIN Mariage

26/03/2016 – Marine Safar et Olivier Delsuc

Disparition Dans nos intentions de prière, Serge Kampf, le fondateur de CapGemini, Loreto Morsilli, papa de Dany à qui nous présentons nos sincères condoléances.

IN MEMORIAM Edouard Keguny Deux ans déjà que l’ami Eduardo nous a quittés dans des circonstances tragiques.

Mais il est toujours dans nos cœurs.

Nomination

Soup R Bol 2016 Générosité gourmande

C

e rendez-vous lyonnais devenu incontournable s’est tenu, pour sa 4ème édition, place de la République les vendredi 4 et samedi 5 mars 2016, entre 17h et 21h. 5 soupes de prestige, imaginées par le chef Fabrice Bonnot (Entr’acte / Cuisine et Dépendances) étaient vendues au profit de l’association lyonnaise Le Foyer Notre Dame des Sans-Abri. Côté scène, Michael Jones, le parrain de l’opération, était entouré de Manau et de la génération montante comme Les Aristo, Bastien Lanza, Martial Betirac, Gwendal Peizerat, Bastien Villon et le chorégraphe Kenzo. Même les stars des années 80, cornaquées par Bernard Montiel et Laurent Argelier, avaient fait le déplacement.

Photos : Arnaud Iracane

BANQUE RHONE-ALPES Franck Beasse, 46 ans, titulaire d’une Maitrise Banque Finance, vient d’être nommé vice-président du Directoire de la Banque Rhône-Alpes. Il succède ainsi à Éric Lesage, nommé à d’autres fonctions au sein du groupe. Passionné de sports (football, rugby, tennis…), il est également fin gastronome et amateur d’œnologie.

Distinction Le 12 février 2016 dans les salons de la mairie de Lyon 2ème , Vincent Barresi, Président fondateur « Les Enfants d’abord, les Enfants à bord » a reçu le diplôme «Mérite Bénévole échelon OR» lors de la promotion 2015-Aquitaine. Son association caritative organise des loisirs à destination d’enfants handicapés et polyhandicapés.

Agenda Fête Renaissance 1516 2016

Vieux Lyon Entrée Royale de la reine Claude de France 500 ème anniversaire

Samedi 23 avril 11h00 : défilé de la reine - départ Bellecour/arrivée place Saint-Jean 12h00 - 18h30 : spectacles et animations - rues du Vieux-Lyon 17h30 : spectacle des Pennons suivi du bal Renaissance - pl. St Jean

L’ENFANT BLEU ENFANCE MALTRAITEE La soirée Bleue 2016 aura lieu vendredi 24 juin au 1838 (88, rue Malartre à Brignais). Comme chaque année, l’idée est d’organiser une soirée conviviale sur le principe de tables d’amis (tables entre 8 et 12 personnes) pour faire la fête, tout en aidant notre association à continuer son combat contre la maltraitance. Le prix du repas est de 100 €, vous recevrez un reçu fiscal qui vous permettra de déduire 66 € de vos impôts, le repas ne vous coûtera donc que 34 €. (Pour les entreprises, vous recevrez également un reçu fiscal vous permettant de déduire 60%, une table de 10 personnes coûtera donc à votre entreprise 400 €).

Contact : Jean-Michel Abou 06 08 71 34 30

Photos © Fabrice Schiff et Saby Maviel

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Reportage complet sur www.lyonpeople.com – Rubrique Les Gens