LYON PEOPLE NOVEMBRE 2014

LES 19 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater N°146 - Novembre 2014

AZOUZ BEGAG

Le gone de Lisbonne

SPÉCIAL EPOQU’AUTO 110 ANS DE ROLLS ROYCE RALLYE PÈRE FILS MEGÈVE NICOLAS DUQUESNE

N°146 - Novembre 2014

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Lyonpeople / Novembre 2014

Édito

Photo : DR

Novembre 2014

In memoriam

V

ous êtes sans doute comme des milliers ; que dis-je des milliers ? Des dizaines de milliers ou peut-être même des centaines de milliers de Lyonnais qui, chaque matin, dans les bistrots, dans le métro, dans les allées du pouvoir ou même dans les cours des écoles, s’interrogent sur ce qu’est devenu Azouz Begag. Vous vous souvenez ? Mais si, ce secrétaire d’État marionnettisé par Villepin. Vous ne voyez pas ? Cherchez bien : grisé par son combat contre Sarkozy et conséquemment chouchouté par les médias, devenu « bayrouiste », il s’est un moment rêvé maire de Lyon. Ça vous revient ? Toujours pas ? Heureusement, Marco qui aime les choses du passé, s’en souvient et lui consacre quelques pages dans ce numéro de novembre. C’est bien vu, car c’est l’époque où l’on pense à nos chers disparus. Décidément, ce numéro ravira les nostalgiques, puisqu’en dehors des vieux chevaux de retour, il nous présente quelques magnifiques vieux tacots.

Tout cela, vous en conviendrez, ne nous rajeunit pas.

Justin Calixte

Lyonpeople.com n°146 - Novembre 2014 Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler Couverture : 123rf Directeur de la publication Nicolas Winckler nicolas@lyonpeople.com Rédacteur en chef Marc Polisson marco@lyonpeople.com Journaliste Benjamin Solly benjamin@lyonpeople.com Conseillère éditoriale Françoise Petit francoise.petit@lyonpeople.com Graphiste Maquettiste Valérie Barranco valerie@lyonpeople.com Photographe webmaster Fabrice Schiff fab@lyonpeople.com Ont collaboré à ce numéro Jean-Marc Requien, Yves Espaignet, Jean-Alain Fonlupt, Christian Mure, Nadine Fageol, Sophie Guivarch et Laurette.

Photographes Val-fpg.com, Anik Martin, Saby Maviel, Lionel Pinar & Nicolas Rodet Chef de Publicité Axelle Lamiche axelle@lyonpeople.com 06 11 19 04 43 Comptable Valérie Vacher valerievacher@lyonpeople.com Agence Coyote Pub Bruce Mathieu bruce@lyonpeople.com 06 15 55 20 52 Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu.

Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 178 030 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier.

Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772. Abonnement pour 1 an = 49€.

100 000 lecteurs tous les mois Etude Médiamétrie - 05/2005

Ce magazine comporte un encartage de Baroco

Lyonpeople est certifié par l’OJD BP 6171 - 69469 Lyon Cedex 06 Tél. : 04.72.82.97.78 Fax : 04.72.43.92.05

Novembre 2014

NEWS

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La vie lyonnaise La vie politique La vie économique La vie patrimoniale La vie culturelle Brèves de comptoir Bruits de bouchons

STORY 26 44 58 60 62 64 66 68 70

Situé sur les bords de Saône

Megève People

à Collonges au Mont d'or, Comme en Provence, élégante bastide du XIXe siècle, vous accueille dans un cadre d'exception 7 jours sur 7 midi et soir sauf le dimanche soir.

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Vous retrouverez dans un lieu privilégié et rare toutes les saveurs de la Méditerranée grâce à une cuisine simple, légère, fraîche aux milles parfums du Sud.

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Sommaire

Page 26

EN COUVERTURE

VOITURES de COLLECTION Spécial Epoqu’Auto

~ 26 à 42 ~

VU !

72 Les 19 soirées

qu’il ne fallait pas manquer

Page 76 12h/13h30

ET AUSSI...

106 Carnet Mondain

Menu

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du lundi au dimanche 19h30/21h30 Fermé le dimanche soir

Formule

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à partir de 22 euros (hors boisson)

28, rue de la Plage 69660 Collonges au Mont D'Or www.commeenprovence.com

Tél. 04 72 27 82 91

+ d’infos sur www.lyonpeople.com

Photos : Richard Duchaine, Michel Godet & DR

NEWS LA VIE LYONNAISE / Par Marc Polisson

PENNONS DE LYON

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ors du dîner statutaire des dignitaires Pennons donné le jeudi 9 octobre 2014 dans les grands salons de l’hôtel de ville de Lyon sous la présidence du Connétable Christian Gelpi, cinq nouveaux dignitaires ont prêté serment sur la Charte Sapaudine de l’an 1320 qui a légalisé la Compagnie des Pennons de Lyon.

Intronisation de 5 nouveaux dignitaires

• Emmanuel Imberton, président de la Chambre de Commerce de Lyon, parrainé par François Turcas, président de la CGPME Rhône-Alpes • Laurence Eymieu, directrice régionale de la SNCF, parrainée par Guillaume Normand, directeur régional de GDF SUEZ • Laurent Fiard, président du MEDEF Lyon Rhône, parrainé par Bernard Fontanel, son prédécesseur

• Yves Corvaisier, directeur général de la CARSAT, parrainé par Yvon Deschamps, président de Grand Lyon Habitat • Gérard Auboeuf, Only Lyon, parrainé par François Turcas.

«VIVEZ LE QUAI SAINT-ANTOINE» Les commerçants du Quai Saint-Antoine (Lyon 2e) vous donnent rendez-vous pour un événement convivial et gourmand. Dans un cadre exceptionnel en bord de Saône, venez découvrir la diversité et la qualité des produits proposés par des maisons prestigieuses : Malartre (Spécialités lyonnaises), Guyot (Vins), Quai des Oliviers (Huiles d’olives), Bang & Olufsen (Hi-fi)… pour ne citer qu’elles. Au programme : animations, ateliers dégustations et Jeux-cadeaux !

Vendredi 21 de 14h à 21h & samedi 22 novembre de 10h à 19h

L’ACTU LYONNAISE EN DIRECT SUR NOS PAGES FACEBOOK

THIERRY BRAILLARD & PASCAL BLACHE Une photo prémonitoire ?

Le secrétaire d’Etat aux Sports et le maire du 6ème étaient tous les deux sur la ligne de départ de Run in Lyon, la manifestation sportive qui a rassemblé 21 412 coureurs. Leur marathon politique ne fait que commencer. Le premier en costard, le second en jogging… un petit air de remake de la rencontre de Nicolas Sarkozy et Dominique de Villepin à la Baule. La photo qui circule sur les réseaux sociaux a fait sourire les observateurs de la vie politique lyonnaise qui imaginent très bien les deux protagonistes sur une autre ligne de départ… celle des élections municipales de 2020. Bien entendu, il s’agit pour le moment de politique fiction. Thierry Braillard aura dû entretemps conserver son siège de député (convoité par Caroline Collomb, récemment élue première secrétaire de la section PS du 5ème) puis envoyer son époux Gégé Collomb en maison de retraite. Quant à Pascal Blache, il lui faudra convaincre Michel Havard qu’il peut aller jouer ailleurs. Sans oublier les autres ambitions (David Kimelfeld et Nathalie Perrin Gibert à gauche, Emmanuel Hamelin et Georges Fenech à droite, Denis Broliquier et Erick Roux de Bézieux au centre). A vos marques !

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F lyonpeople.com et F megevepeople

A LIRE SUR LE WEB www.lyonpeople.com La chaîne hôtelière Okko débarque à Lyon (Rubrique Business News) Le braquage de la bijouterie Chambat (Rubrique Dernière minute) Guy Bardel opéré avec succès (Rubrique Les Gens) Le centenaire du Lycée du Parc (Rubrique Dernière minute) La maison de Claude Clevenot vendue aux enchères (Rubrique Dernière minute)

Photos : Fabrice Schiff & DR

NEWS LA VIE POLITIQUE / par Benjamin Solly

RÉGIONALES 2015Un fauteuil pour deux

Tous deux veulent déloger Jean-Jack Queyranne (PS). Mais il faudra pour Laurent Wauquiez ou Michel Barnier obtenir la tête de liste UMP avant de rêver à la présidence de la future Région Rhône-Alpes-Auvergne, qui devrait être baptisée « Aura », selon Les Echos.

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’aura, l’aura pas ? D’un côté, Laurent Wauquiez, 39 ans, député-maire du Puy en Velay (43) et porte-flingue de Sarkozy. De l’autre, Michel Barnier, 63 ans, commissaire européen passé par presque tous les mandats de la République. Les deux poids lourds de la droite régionale sont en lice pour briguer la tête de liste UMP en vue des régionales de décembre 2015.

Deux profils différents pour deux stratégies opposées.

Rumeur tenace des scrutins lyonnais, législatives et municipales en particulier, Wauquiez a donc choisi les régionales pour s’implanter plus durablement à Lyon où il est né. Difficile de faire au Ponot un procès en parachutage car sa Haute-Loire est partie prenante de la future région Rhône-Alpes-Auvergne. Une manœuvre plutôt habile pour une mise en place de campagne en sous-main. En effet, si Laurent Wauquiez ne s’est pas officiellement déclaré candidat, les lignes bougent déjà. Le député de l’Ain Etienne Blanc, qui visait aussi la première place, s’est désisté en faveur

EN BREF

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’est le lyonnais René Ricol qui a organisé les retrouvailles entre Nicolas Sarkozy et François Fillon, le 2 octobre dernier. En effet, le président d’honneur de l’ordre des experts-comptables, un temps pressenti sur la 4e circonscription du Rhône lors des législatives de 2012, a joué les entremetteurs pour une rencontre qui s’est déroulée à son domicile. Les deux hommes ont évoqué la primaire qui doit désigner le candidat de l’UMP à la présidentielle, où l’ancien 1er ministre et selon toute vraisemblance l’ancien Président seront candidats.

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du pré-quadra. Un sondage commandé par la Droite sociale, le mouvement de Wauquiez, lui donnait 55% d’opinons favorables contre 43% à Michel Barnier.

Derniers avatars, la mise en place le 9 octobre dernier d’une page de soutien sur Facebook, baptisée « Laurent Wauquiez pour la région Rhône-Alpes-Auvergne » et le soutien officiel de l’UMP de la Loire. Le 14 octobre, c’est à l’Assemblée nationale qu’il réunit une trentaine de parlementaires pour « une vraie démonstration de force. » Le calendrier devrait s’accélérer pour l’altiligérien après le 29 novembre et l’élection du président de l’UMP. Michel Barnier a, lui, mis les chevaux au début de l’année. Invité du printemps du Medef en avril dernier, le commissaire européen avait déjà souligné le moteur économique que constituaient les Régions, sans verbaliser une quelconque ambition.

Tout est allé très vite ensuite. Ses proches ont laissé fuiter sa candidature dans les semaines suivantes. Tollé du député Etienne Blanc, réclamant dans la foulée une primaire à l’automne pour les départager. La fusée Wauquiez est encore dans le pas de tir mais la rumeur

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lue à l’unanimité secrétaire de section PS pour le 5e arrondissement de Lyon, Caroline Collomb s’offre une entrée en politique qui n’est pas passée inaperçue. Surtout du côté du secrétaire d’Etat aux Sports Thierry Braillard, qui soupçonne une manœuvre du Château pour lui barrer la route de l’Hôtel de Ville en 2020. En effet, Caroline Collomb pourrait affronter Thierry Braillard lors des législatives de 2017, le 5e arrondissement faisant partie de la 1e circonscription dont l’élu PRG est le député.

Mieux que les Atrides… voici les Collomb !

se fait plus tenace à partir du mois de septembre. Pour couper l’herbe sous le pied de celui dont le nom berce le landerneau depuis plusieurs semaines, Barnier la joue Chirac cuvée 95. Une déclaration de candidature dans la PQR, La Montagne et Le Progrès, le 21 octobre dernier. La boucle est bouclée. Reste à déterminer le mode d’investiture du futur cornac de la droite régionale. Lors du scrutin de 2010, la commission nationale d’investiture avait tranché pour le ticket Nora Berra-Philippe Meunier. Pas sûr que Paris ait voix au chapitre en 2015. Dans son édition du 22 octobre, L’Express explique que Nicolas Sarkozy, en pôle pour la présidence de l’UMP, « envisage que les investitures pour les prochaines régionales ne soient pas données par la direction de l’UMP à Paris. » « Chaque région déciderait de mettre en place un comité d’investiture ou d’organiser une primaire en cas de concurrence. » Quelle représentativité pour chaque département dans un comité d’investiture décentralisé ? Une primaire certes, mais à quel horizon ? Autant de questions qui restent pour l’instant au stade des conjectures.

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hierry Braillard a pu tester en avant-première les chausse-trappes que lui réservent ses amis socialistes lyonnais. Privé de flashs, relégué en bout de 1er rang hors du cadre des télévisions, oublié de la table d’honneur au dîner de gala, le secrétaire d’Etat a traversé la soirée d’ouverture du Festival Lumière en pestiféré. « Plus on lui fera de mesquineries, plus il sera présent à Lyon », assure un des proches du secrétaire d’Etat aux Sports. Article « Thierry Fremaux, la voix de son maître » à retrouver sur www.lyonpeople.com, rubrique Les Gens.

NEWS LA VIE ÉCONOMIQUE / par Yves Espaignet

Photos : Fabrice Schiff

www.lyon-actueco.com

NEWS/01

ALAIN AUDOUARD

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l est impatient de voir s’ouvrir les portes de la première « Biennale européenne de l’artisanat »(1) car l’événement a pour ambition de révéler les atouts d’un univers économique clé pour la métropole. Alain Audouard, président de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat du Rhône tient à marquer le 80ème anniversaire de l’institution qu’il anime avec détermination par un moment d’exception, résolument tourné vers l’avenir.

Le grand public pourra apprécier les savoir-faire alliant esprit d’innovation et respect des traditions, découvrir de véritables ateliers de création au sein de quatre espaces dédiés aux saveurs (métiers de bouche), à la construction, la fabrication et aux services. Une « avenue des artisans d’art » traversera l’exposition rassemblant plus de 200 métiers : « Nous aurons là, une magnifique vitrine de l’artisanat, affirmant notre attachement au « bel ouvrage ». Dans la fidélité aux valeurs de transmission des savoirs, cette biennale comprend également l’accueil de plusieurs dizaines d’apprentis européens : « cette lourde initiative par sa dimension s’inscrit dans notre projet de faire NEWS/02

Défenseur du « bel ouvrage »

reconnaître un contrat d’apprentissage européen, une logique comparable à celles des étudiants. En effet, les échanges permettent la pratique d’autres techniques et assurent un enrichissement professionnel. » Et Alain Audouard de se féliciter de l’écho rencontré localement pour mobiliser des maîtres de stage et des centres de formation accueillant ces jeunes. La Chambre des métiers et de l’artisanat du Rhône est ainsi restée fidèle à une ligne de conduite affirmée dès 1956 par un premier échange d’apprentis avec Cologne.

Cette « façon d’être » s’exprime parfaitement dans la volonté partagée de transmission des connaissances. « J’aime rappeler que l’artisan n’hésite pas à prendre un apprenti, à le former au risque d’avoir plus tard un concurrent mais il s’agit le plus souvent d’un repreneur potentiel, assurant un renouvellement de générations. » La revalorisation des métiers de l’artisanat, engagée par la campagne « la première entreprise de France » est confirmée par la croissance du nombre d’entreprises, une dynamique nullement altérée par la crise de 2008. « A la fin de cette année, nous compterons dans le Rhône près de 30.000 établissements, générant plus de 65.000 emplois » insiste Alain Audouard. Elles

LE PARI RÉUSSI DE BASTIEN OGIER « Votre mobilier loué en un seul clic »

Revenu des USA avec l’idée de reprendre le concept d’une entreprise spécialisée dans la location de mobilier, Bastien Ogier, ancien étudiant de l’Idrac a lancé avec Damien Bordes, la société « Movin’pack » proposant de l’ameublement en location selon des formules adaptées aux budgets et aux goûts de celles et ceux-ci qui « bougent ». Etudiants, jeunes actifs, primo-arrivants, désireux de s’installer au plus vite dans leur appartement peuvent désormais réserver leur solution « mobilier en location » pour la durée de leur choix (minimum trois mois) sur le site de la société et dans les 48 heures après le versement d’une caution, ils ont rangé leurs cartons… « Nous cherchons à répondre vite et de façon souple aux besoins d’une clientèle mobile qui arrive dans une ville pour diverses raisons professionnelles » précise Bastien. Fort d’une solide expérience de direction commerciale, il a su trouver les partenaires pour avoir une offre de qualité et apporter une maintenance rapide sur toute la France et la Suisse. L’entreprise basée à Reignier développe ses relais. Elle a participé en juin à l’opération lyonnaise « La ruée vers l’appart » initiée par Bernard Bochard président de la SACVL.

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assurent également la formation de 4.800 apprentis dont « 95% trouveront un travail. » Cette vitalité économique ne s’explique pas seulement par le fait trop réducteur du principe de l’artisan « créateur de son propre emploi » mais par la capacité à occuper des espaces de production et de services. Pour asseoir sa démonstration, le président de la Chambre souligne que dans les domaines dits de haute technologie, des artisans interviennent avec des réussites exemplaires. Certains sont reconnus internationalement car ils ont mis au point des procédés sans équivalent. « Nombre de grandes entreprises font appel à eux car ils apportent des réponses rapides à leurs problèmes techniques. » Et de citer également l’inscription comme artisan de chercheurs biologistes. Cependant, l’univers de l’artisanat évolue tout en préservant sa « façon de vivre », celle de maintenir un patrimoine de métiers. Le Rhône compte 70 entreprises artisanales détentrices du label EPV (entreprise du patrimoine vivant) dont le chocolatier Voisin.

Autant d’ambassadeurs du « bel ouvrage ».

La première Biennale européenne de l’artisanat se déroulera du 20 au 23 novembre 2014 au Centre des congrès de la Cité Internationale.

Le commissaire de la manifestation est Gabriel Paillasson.

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NEWS/03

LES « MOINEAUX » restent vigilants

Benjamin Suchar, co-fondateur du mouvement des « Moineaux »(1), regroupant depuis 2013 les jeunes entrepreneurs, prend acte des avancées que constitue le nouveau statut des étudiants-entrepreneurs proposé par la Ministre de l’Enseignement Supérieur, Geneviève Fioraso. Mais il souhaite des avancées pour éviter la « double peine des cotisations sociales », un meilleur accès à l’entrepreneuriat incluant dans cette démarche les étudiants étrangers voulant créer leur entreprise en France.

Ancien de l’EM Lyon, il a créé la société « Yoopies.fr », plateforme de « baby-sitting » qui rayonne sur l’Hexagone.

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La Malmaison va être découpée en 22 appartements.

Le parc restera intact.

Napoléon Bullukian à son bureau de l’usine Astra Plastique de Saint-Georges de Reneins

COLLECTION BULLUKIAN 500 000 euros au marteau et au couteau

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ne page vient de se tourner au sein de la Fondation Bullukian qui a refermé définitivement les portes de la Malmaison, la propriété léguée par Napoléon et Léa Bullukian. Et déclenché une grosse polémique. À Champagne au Mont d’Or, la demeure d’époque Napoléon III et son immense parc ont accueilli dans les années 70-80 l’effervescence mondaine qui sied à ce type de lieu. Point d’orgue de ces festivités, le gigantesque méchoui réunissant chaque été plusieurs centaines de convives, ravis de profiter de la prodigalité de Napoléon Bullukian. Un

homme au destin hors du commun dont l’enfance fût marquée par le martyr et le génocide du peuple arménien sous le joug des Turcs. Arrivé orphelin à Lyon, il construisit en 50 ans l’une des plus belles carrières industrielles de sa ville d’adoption. Une fortune immobilière et culturelle qui échut à sa disparition en 1984 à la Fondation qu’il avait créée avec son épouse. Le temps qui passe ayant fait son œuvre, ce 27 septembre 2014 a vu la cession de sa propriété et de la quasi-totalité des tableaux et de son mobilier. Une vente diligentée par les commissaires-priseurs Anaf, Jalenques, Martinon et Vassy qui a soulevé une certaine indignation dans le monde des arts. On

ARTCURIAL LYON Record mondial pour Emilie Charmy

C’est sous le marteau de Maître Michel Rambert que l’artiste « lyonnaise » auquel le Musée Dini a récemment consacré une rétrospective remarquable a réalisé 23 526 euros.

Jean Cocteau monte également sur le podium.

Lundi 13 octobre 2014. Soirée à rebondissement chez Artcurial. Ce qui ressemblait à une vente des plus classiques a finalement accouché de deux records mondiaux d’enchères. Le premier concerne donc une toile atypique d’Émilie Charmy représentant une femme allongée adjugée à 23 526 € frais compris à un acheteur rhônalpin. Ce peintre bien connu des amateurs de peinture lyonnaise (et de mon grand-père qui était son mécène) a réalisé une œuvre extrêmement séduisante, que l’on peut rapprocher dans son traitement du mouvement fauviste. Cette femme allongée, une œuvre précoce dans le corpus de son travail, évoque certaines odalisques par sa beauté et sa posture alanguie. La rareté et le côté inédit de cette toile explique qu’elle a plus que doublé sa dernière estimation (11 000 € ). Car trois jours plus tard, un autoportrait de l’artiste, de très bonne facture, a été adjugé 1600 € chez Maitre Claude Aguttes aux Brotteaux, ce qui est plus conforme au prix du marché. Second record établi par un plat de Jean Cocteau à décor d’un profil d’homme adjugé à 4 712 € frais compris. A noter également la très belle surprise pour une tapisserie en laine et soie Aubusson qui a pulvérisé son estimation initiale en étant adjugée à 23 000 €. La rareté du sujet et la finesse de la tapisserie ont su conquérir les amateurs d’art.

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ne saura jamais ce qu’il en aurait pensé. Déplorant cette dispersion, les frondeurs menés par Alain Vollerin n’ont pas eu le dernier mot. Jean-Pierre Claveranne, président de la Fondation Bullukian qui a justifié la vente par les coûts d’entretien de la maison, a tenu à préciser que le produit de la vente (+ de 500 000 euros) serait affecté à la lutte contre le cancer, l’aide à l’Eglise arménienne et le soutien aux jeunes artistes. Les amoureux du patrimoine y verront un moindre mal : la propriété ne se sera pas démolie mais saucissonnée. Rachetée par Foch Investissement, elle sera découpée en 22 appartements (du T2 au T5 duplex).

SUR VOTRE AGENDA

COLLECTION PIERRE ORSI Maître Cécile Conan organise dans son nouvel Hôtel des Ventes la dispersion de la collection des bronzes du chef Pierre Orsi.

116 lots pour tous les budgets.

Samedi 15 novembre à 14h30 Lyon Rive Gauche 8, rue de Castries Lyon 2ème Tel 04 72 73 45 67

Photos : Le Progrès - Fabrice Schiff

NEWS LA VIE PATRIMONIALE / Par Marc de Jouvencel

NEWS LA VIE CULTURELLE / Par Jean-Alain Fonlupt

MARCHÉ DES SOIES

Un anniversaire cousu main !

Lyon a la mémoire soyeuse. Et tisse au cours des siècles l’étoffe chatoyante de son histoire avec le fil léger, mais étonnamment résistant, de la plus précieuse des matières textiles… De l’élevage du Bombyx du mûrier aux techniques de pointe, notre cité a été profondément marquée par la soie, matrice de savoir-faire, productrice de richesses, inspiratrice de créations, source d’un durable rayonnement international...

I

l fallait donc qu’un échange direct se noue entre les grandes maisons de la filière et un très large public. C’est chose faite grâce à ce rendez-vous annuel du Marché des Soies - organisé par Inter Soie France - qui fête cette année sa 10e édition… Si la soierie s’apprécie dans les grandes réalisations patrimoniales et historiques à travers les vêtements d’apparat, l’ameublement et la décoration des cours royales européennes, elle s’adapte également aux tendances actuelles en encourageant l’innovation et les recherches technologiques et esthétiques… Les monarchies, l’Eglise, l’armée ne sont plus les seuls commanditaires des productions lyonnaises qui ont su investir des secteurs aussi exigeants que l’art, la mode, la joaillerie, le design, la décoration, les loisirs, l’environnement quotidien et même la chirurgie…

Le Marché des Soies est donc l’espace idéal pour dénicher, chez la trentaine des exposants historiques NEWS/02

et des nouvelles sociétés qui ont rejoint l’événement, la pièce de tissu fébrilement recherchée, l’accessoire désespérément convoité, l’objet de déco patiemment débusqué, le bijou secrètement imaginé, le produit d’exception réservé aux plus célèbres des créateurs et enfin accessible… Bref, profiter de l’achat/plaisir doublement gratifiant puisqu’en plus de l’excitation de la découverte s’ajoute ici la douceur toute soyeuse des prix affichés… Sans vouloir, à tout crin, filer la métaphore textile, en dix ans, plus de 100 000 visiteurs ont cédé à l’appel du cocon et multiplié, telle la «navette» sur le canevas, les va et vient déambulatoires entre les stands, sous les dentelles de stuc et les festons dorés de la grande salle du Palais du Commerce… Etoffes, coupons, accessoires, tissus pour le vêtement ou le mobilier, foulards, étoles, écharpes, carrés, pochettes, cravates, coussins, plaids, sacs, bijoux… sont signés par les meilleures enseignes locales et les plus talentueux des jeunes

LES AIGUILLES ET L’OPIUM Hypnotique et envoûtant !

Je me souviens très précisément avoir été fasciné par «Les aiguilles et l’opium» lors de sa création lyonnaise au TNP dans les années…

90. Qui n’a jamais assisté à un spectacle du québécois Robert Lepage doit impérativement vivre cette «expérience», transcrite ici dans un dispositif scénique qui tient à la fois, de l’hallucination, de la fantasmagorie, de l’illusion poétique et pourtant habité par une indéniable force du propos. La pièce est reprise aujourd’hui par Marc Labrèche, un comédien qui ajoute sa fantaisie toute personnelle à ce maelström d’émotions renouvelées dans leur évocation grâce aux plus récentes technologies. La divagation visuelle illustre trois dépendances qui se superposent et se répondent. Celle de Cocteau à l’opium, de Miles Davis (évoqué par Wellesley Robertson III) à la cocaïne et celle d’un québécois – échoué dans un hôtel de St-Germain – aux affres amoureuses… Il y est question de désenchantement, de fascination, de rencontres, de voyages qui bouleversent et bousculent les vies d’artistes et les histoires des hommes… Un choc esthétique qui nous entraîne dans la spirale de notre propre confusion… Hypnotique et envoûtant ! Aux Célestins du 15 au 20 nov.

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créateurs et devraient donner quelques belles idées cadeaux pour le prochain Noël. Quand la diversité des produits est aussi riche et le choix aussi foisonnant, les conseils de spécialistes sont indispensables. Le Marché des Soies a donc prévu un service sur mesure de «personal shopper» réunissant professionnels, couturières, stylistes, modélistes qui accompagneront le visiteur dans ses achats ou l’initieront à la réfection de mobilier. Pour les plus audacieux ou les plus impliqués, des ateliers créatifs – en partenariat avec le Village des Créateurs et le Musée des Tissus et des Arts Décoratifs – dévoileront trucs, astuces et nouveaux savoir-faire pour réaliser soi-même nœuds papillons, chapeaux, broderie, illustrations textiles, cache-col, sérigraphie… Ajoutez enfin à ce programme «cousu main», la possible visite commentée du magnifique et pourtant méconnu Palais du Commerce et un atelier sur la sériciculture et l’origine de la soie…

Du 20 au 23 nov. – Palais du Commerce – Lyon 2e

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KAMEL LE MAGICIEN Bluffant !

Révélé au public par le Grand Journal de Canal+ où il a bluffé, entre autres stars planétaires, Jennifer Lopez, Jude Law, Dustin Hoffman, Meryl Streep…

Kamel le Magicien a complètement «ringardisé» le spectacle de magie traditionnel en exécutant ses incroyables (au sens propre du terme) prestations avec une tchatche, un humour, un culot, une élégance, un sourire (qu’il a éclatant), à désarmer le plus sceptique des spectateurs. Il bouge, il danse, il vanne et surtout il réalise sous votre nez des tours qui laissent stupéfaits, admiratifs et songeurs ! Un spectacle pour tous et un magicien, comment dire ?...Magique ?! Radiant-Bellevue le 30 nov.

C’EST POUR RIRE !

En novembre, si Ary Abittan nous invite à vivre «A la folie passionnément» à la Bourse du Travail le 12, Kev Adams nous adresse son (im)pertinent constat «Voilà Voilà» à la Halle Tony Garnier les 21 et 22… et Patrick Timsit, lui, nous affirme qu’«On ne peut pas rire de tout» à la Comédie Odéon les 27 et 28… Alors qu’en décembre, Muriel «Robin Revient tsoin tsoin» le 3 au Radiant-Bellevue… Si on ne peut pas rire de tout, en cette fin d’année, on pourra au moins rire souvent. C’est déjà ça !!!

Photos : Alain Rico

NEWS BRÈVES DE COMPTOIR / par Benjamin Solly

L’été indien, C’EST

TOUTE L’ANNÉE AU SKY BAR !

Où tu voudras, quand tu voudras ? Oui, mais au Sky Bar uniquement ! Après son décollage en juillet dernier, l’établissement d’Eric et Maxime Junjaud ne connaît ni turbulences, ni trou d’air. Ici, on navigue en 1ère classe selon un plan de vol bien établi : du fun, des potes, du bon dans l’assiette et les verres. Si l’établissement compte une quarantaine de sièges en intérieur, sa terrasse chauffée et pérenne de 60 places, plaids mis à disposition pour les aficionados du cocooning, est idéale pour approfondir entre ami(e)s la large carte des vins et déguster une assiette de tapas maison. Hiver comme été ! Plus intime, la terrasse du Sky Bar se consomme également chaque matin, à partir du 8h, autour d’une formule thé ou café. A découvrir !

Sky Bar - 26 Rue Hippolyte Flandrin - 69001 Lyon – 04 78 23 06 60

Val (Lyon People), Fatma et Axelle (Lyon People)

Amel (Bruxels Airlines), Eric le boss (Skybar), Isabelle (Américan Express), Laurent, Christine, Hervé et Bastien (BNP Paribas)

Lou et Amanthe avec Iodda « le tootou »

Eric, Guillaume et Mika

Olivier, Christophe, Matteo et Ines

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Lyonpeople / Novembre 2014

Elaura et Marine

Alexandre (Mondial Events), Allison, Pierre et Camille (Mondial Events)

Franck, Yannick, Guillaume, Elodie, Sébastien et Grégory

Gwladys et Eléonore

Grégory et Elodie

Photos : Fabrice Schiff

NEWS BRÈVES DE COMPTOIR / par Benjamin Solly

PAOLO DIMITRIO AU PIANO DU NESS Oui chef !

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ert, blanc, rouge. Sur le col de sa veste, trois lettres brodées affichent la couleur. « FIC pour Fédération Italienne des Cuisiniers », précise le nouveau chef Paolo Dimitrio. Quelques mots soupesés avec la même minutie qu’il met à concocter ses plats. « Dans ma cuisine, tout est frais et préparé minute, je ne sais pas travailler autrement », explique-t-il les yeux dans les yeux. Un cahier des charges auquel le chef n’a jamais dérogé en 33 ans de carrière. Originaire des Pouilles, ce quinquagénaire a pris les commandes des cuisines du Ness cet été. « Paolo apporte son expérience et son exigence de qualité », se réjouit Christine di Litta, ravie d’avoir déniché « sa perle rare. » Une greffe à prise rapide qui donne déjà de beaux fruits sur la carte du restaurant italien qui a soufflé ses 13 bougies cette année. Quelques incontournables revisités sur lesquels Paolo a déjà posé sa patte experte, comme ce risotto aux cèpes majeur ou ces penne aux artichauts, gourmandes et généreuses. La squaddra qui officie aux fourneaux est réglée au diapason. Un pizzaiolo, un saladier, un pâtissier et le chef ! Le quatuor a trouvé son rythme de croisière pour régaler les Brotteaux.

Aux plats de Paolo répondent les desserts de Kevin.

La tarte au citron-basilic meringuée est un must et le tiramisu est réalisé selon les canons de la gastronomie italienne. Pouvait-il en être autrement sous l’œil de Paolo ? « Bientôt, c’est le petit qui prendra la place de chef », glisse-t-il dans un sourire, conscient que les bases de son métier passent par la transmission.

Passé par toutes les grandes capitales européennes, Paolo a trouvé son port d’attache à Lyon autour d’une équipe surmotivée en salle et en cuisine. Bonne nouvelle, le service est prolongé jusqu’à minuit les jeudis, vendredis et samedis.

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NESS RISTORANTE 4, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e Tél.04 78 24 31 81 www.nessristorante.fr Métro Massena et parking Brotteaux à proximité Pour déjeuner : du lundi au vendredi midi de 11h45 à 14h00 - Fermé le samedi et dimanche Pour diner : du lundi au mercredi soir de 19h15 à 23h30 du jeudi au samedi de 19h15 à 00h00

Photos : Fabrice Schiff

NEWS BRÈVES DE COMPTOIR / par Marc Polisson

NEWS/01

GARE DES BROTTEAUX

Emulation et vapeurs

Ils n’ont ni l’un ni l’autre l’intention de rester à quai. Le Boudoir, le First et l’AperiKlub se sont refait une beauté cet été pour rester dans le peloton de tête de la nuit lyonnaise.

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E FIRST EST MORT. VIVE LE F&K

Le First définitivement fermé en juillet, les ouvriers ont mis les bouchées doubles cet été pour reconfigurer l’ancienne discothèque des Brotteaux.

Le F&K se veut le premier représentant d’une nouvelle génération de lieu festif qui casse les codes de sorties: le Bistroclub®. Espace de liberté et de convivialité par excellence, au F&K l’ambiance démarre (très) fort dès l’apéritif. Ici, on prend un NEWS/02

drink, on profite d’une cuisine simple et de qualité et on danse jusqu’à l’aube… sans changer de table !

Le F&K c’est désormais 3 espaces, réunis dans un même établissement. Le K anciennement l’Aperiklub, a été entièrement relooké. À la clé, un décor plus actuel et des ambiances lumineuses innovantes.

La terrasse, largement agrandie, est ouverte toute l’année. Enfin, le F, anciennement le First, incarne le joyau de ce nouvel établissement. La discothèque a laissé place à un espace agencé autour d’un NEWS/03

VOISIN OBTIENT LE LABEL EPV

L’excellence des savoir-faire français

TOQUES BLANCHES LYONNAISES ET BANQUE RHÔNE-ALPES

Yvon Lea, président du directoire de la Banque Rhône-Alpes et Laurent Bouvier, président de l’association des Toques Blanches ont signé une convention de partenariat. L’objectif de cette convention est orienté autour de deux axes : soutien financier de la Banque pour la création d’un site internet de réservation, conseils dans le domaine bancaire. De plus, dans le cadre des nombreuses opérations de Relations Publiques organisées par la Banque Rhône-Alpes (plus de 130 en 2014 avec 4500 client invités), la Banque fera appel aux Toques Blanches, afin de réaliser le cocktail proposé à ses clients. La Banque Rhône-Alpes vient ainsi compléter la liste des 34 partenaires de l’association, qui pour l’instant sont tous issus des métiers de bouche. La signature de la convention a eu lors d’un déjeuner organisé au Trois Dômes, à l’issue de son Conseil de Surveillance, en présence de 80 personnes (clients et administrateurs).

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Ce label, décerné par l’État, distingue des entreprises françaises aux savoir-faire artisanaux d’excellence. Elles sont la référence d’une qualité au plus haut niveau dans leur secteur d’activité et constituent l’élite française dans tous les domaines. La procédure d’attribution du label EPV, encadrée par la loi, est menée par l’Institut Supérieur des Métiers puis examiné par la Commission Nationale pour être entérinée par le ministère de l’Economie. Un processus de sélection long et rigoureux garantit l’excellence du label. Comme les prestigieuses maisons Pierre Hermé, Chanel, Dior, Hermès… Voisin rejoint le cercle très fermé des entreprises labélisées EPV. Elles témoignent d’un attachement aux règles de l’art et d’une aptitude à l’exception, qui font de Voisin un acteur incontournable de la gastronomie française.

immense bar. La cuisine du F permet également de servir les plats sur la terrasse et dans le K. Du mardi au samedi de 18h à 5h, le clubbing est poussé à son paroxysme, grâce à un système son de très haute qualité unique dans la région Lyonnaise. La fermeture de la discothèque a redistribué les cartes de la nuit lyonnaise. Le Loft Club de Thierry Fontaine affiche complet le week-end, tout comme l’Imprévu de Mika et Pépine. Quant au Selcius de Sylvain Larose, il occupe désormais une vraie place.

NEWS/04

WHITE BOUDOIR Un espace plus lumineux et réaménagé pour Le Boudoir. JeanPierre Cabusel a enveloppé son établissement d’un blanc immaculé et déplacé le carré VIP qui a pris la place… des toilettes.

Du coup, le dancefloor est beaucoup plus grand (ce qui ravit ces demoiselles) et l’effet profondeur de salle est accentué.

LYON RESTAURANTS Lancement du guide à l’Embarcadère

51 nouveaux établissements pour « Le meilleur de Lyon » à travers 224 adresses dont 145 « pleines pages ». Edité par Page d’Ecriture, le guide de Jean-François Mesplède a fêté son lancement dans les salons de l’Embarcadère, en bord de Saône. Son triple coup de cœur a été décerné cette année à Gaby Di Donna et Junko Matsunaga (Imouto), Eric Hubert et Damien Combe (Mon bistrot à moi) et Hubert Vergoin (Substrat).

224 pages – 8€ - Bilingue (Français/Anglais)

NEWS BRUITS DE BOUCHONS / par Marc Polisson

ANNIVERSAIRE EUROCAVE

Stéphane Ogier en guest star

Pour fêter le premier anniversaire de son installation 31, rue Tête d’Or (Lyon 6), Eric Verbrugge a convié clients et amis à une dégustation des délicieux vins de son ami vigneron de la Vallée du Rhône Stéphane Ogier (on adore !). L‘occasion pour « le Belge de Lyon » de dévoiler le modèle phare de la gamme EuroCave : le wine bar, un nouveau système de vin au verre qui permet de déguster vos crus à une température idéale tout en les préservant de l’oxydation durant une semaine. L’histoire d’amour entre Eric et la maison EuroCave - dont il est concessionnaire exclusif - dure depuis 28 ans ! Un partenariat millésimé !

L’équipe de la boutique Euro Cave (Eric et Paola ; Guillaume et Fabien)

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Eric Verbrugge (EuroCave), Catherine Roux (Comptoir d’Alice), Olivier Paget (L’Âme Sœur) et son épouse Jacinthe (Le Fleurie)

Fabien Seignol, Eric Verbrugge et Pascal Marchand (EuroCave)

Corinne Paris et Frédéric Maraillet (Akesa)

Dado Lopez-Perez, Corinne Paris, Florence Guyot et Romain Chatillon (Cour des Loges)

Patrick Bedin (SLI) et Eric Verbrugge (EuroCave)

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Nicolas Martinez (Gold Café) et Eric Verbrugge

Fabien Seignol (EuroCave) et Pierre Many (Restaurant le 110 vins)

Catherine Ricard (CGPME), Eric Verbrugge (Eurocave) et Florence Guyot (Champagne Marguerite Guyot)

Tony Goupil (Champagne Pommery) et son épouse Anne (DB Associés)

Jean-Charles Leyris (Crédit Agricole), Eric Verbrugge (EuroCave) et Eric Cherbland (CMR locations)

Les assureurs Christophe Gerbaud et Corinne Paris, Didier Perret (salon de coiffure Vogue) et Florence Guyot (Champagne Margueritte Guyot)

rique ouvrable en 9,5 secondes jusqu’à 50 km/h • 4 vraies places • Spoiler arrière nquette A/R rabattable • Ordinateur de bord multifonction • Correcteur électronique de trajectoire ESP avec ABS • Système audio Fender®(2)

/04/2013 de la Nouvelle Coccinelle Cabriolet finition ‘Coccinelle’ 1.2 TSI 105. Modèle présenté : Nouvelle Coccinelle Cabriolet ‘Sport’ 1.4 TSI 160 BVM6 avec options peinture rouge ‘Tornado’ (265 € TTC), jantes 19’’‘Tornado Black’ TTC) et projecteurs bi-Xénon (839 € TTC) au prix TTC conseillé au tarif du 25/04/2013 de 31 354 € TTC. Offre réservée aux particuliers, valable pour toute commande entre le 25/04/13 et le 31/05/13, en France métropolitaine chez participants, non cumulable avec toute autre offre en cours. (2) En option selon finition. Das Auto. : La Voiture. ts de CO2 (g/km) : 158.

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Tél. 04 78 23 55 69 Tél. 04 78 79 31 31

NEWS MEGÈVE PEOPLE

RALLYE PÈRE FILS

Passion partagée pour les belles carrosseries Laurent Blomet, président de la société Happy Few Racing, organisatrice de l’évènement

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Après avoir traversé la Normandie en 2012, puis la Bourgogne l’an dernier, le Rallye Père Fils a posé ses valises en croco à Megève pour une épreuve de régularité ouverte aux GT de toutes les époques. 52 équipages masculins ont rallié depuis les 4 coins de France et d’Europe la place de l’Eglise de Megève où le départ était donné. Le concept est simple : un papa et son fiston à bord de leur sportive – ancienne ou moderne – pour découvrir les montagnes megevanes et passer (enfin) du temps ensemble. « C’est pour beaucoup l’occasion annuelle de se retrouver entre hommes » souligne Laurent Blomet, président de la société Happy Few Racing, organisatrice de l’évènement. Durant deux jours, les participants ont traboulé à travers la campagne megevane avant de rejoindre par le Col des Aravis « Les Pensières », propriété de Fondation Mérieux, au bord du lac d’Annecy pour le final. Rendez-vous l’an prochain dans le Sud de la France et Norbert Dentressangle est venu admirer les spécimens en Floride dès 2016. Texte : Marc Polisson - Photos : Saby Maviel

SPÉCIAL ÉPOQU’AUTO

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1. César et Arnaud Dubois sur Austin Healey 100 Le Mans 2. Elie et Lionel Afflelou sur Chevrolet Corvette Stingray Cabriolet 3. Louis-Antoine et Jean-Pierre Slavic sur Bugatti Veyron 16.4

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Raphaël et Antoine Hubin sur Mercedes 230 CI Pagode

Thibaud et Olivier Drion sur Austin Healey 100-6

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NEWS MEGÈVE PEOPLE Nicolas pose au bras de sa Porsche 356 de 1963.

A ses côtés, le casque de Michael Schumacher dont Brigestone équipait la Ferrari

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SPÉCIAL ÉPOQU’AUTO

NICOLAS DUQUESNE Le miraculé de la F1 « Chaque jour quand je me réveille, c’est un jour de plus ! » Pendant dix ans, il a roulé sa bosse sur tous les circuits de Formule 1 pour le compte du manufacturier de pneumatiques Bridgestone.

A l’occasion du salon Epoqu’Auto, ce passionné d’automobiles, collectionneur à ses heures, a reçu notre équipe dans son refuge megevan et dévoilé les coulisses de la plus célèbre compétition automobile du monde. Dans le rétroviseur d’un miraculé.

Par Marc Polisson - Photos : Saby Maviel

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NEWS MEGÈVE PEOPLE

NICOLAS DUQUESNE

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é à Lille le 27 novembre 1964, de la campagne européenne qui démarre le mois format XXL. Vite familiarisé et intégré dans la grande il soufflera ce mois-ci ses 50 suivant. Sur place, Nicolas a revêtu une combinaison famille de la F1 – un microcosme qui se retrouve tous les bougies. Papa radiologue et de couteau suisse multifonction : promo de la marque, 15 jours – Nicolas traboule de circuits en salons maman médecin généraliste aux tenue du stand, campagne de pub, RP avec les de l’auto around the world. Se liant avec les pilotes journées bien remplies, ses deux journalistes et constructeurs, les tâches sont aussi comme Olivier Panis (Ecurie Prost) avec qui il est grandes sœurs ont veillé sur ses diverses que variées. Bridgestone se fait « la main » en toujours en contact, David Coulthard venu le premiers pas… qui le conduisent jusqu’au soutenir sur son lit d’hôpital… « Je ne me suis BAC (le vrai, pas celui d’eau froide et jamais pris pour un pilote. Chacun était à sa d’eau chaude de Monsieur Paul) puis à place » analyse rétrospectivement Nicolas l’école des cadres de Paris avant un MBA Duquesne. « Sur la piste, ce sont des aux states dans l’univers impitoyable du chiens galeux, mais hors circuit, ce sont des terrible JR. A sa descente d’avion, le pied hommes très sympas. » Le grand cirque de à peine posé sur le sol français que le la F1, c’est une communauté de 1500 second est déjà sur le marche-pieds de la personnes, un gigantesque caravansérail compagnie des wagons-lits. C’est à son qui traboule durant la saison par la Turquie, bord qu’il fait ses premières armes en tant la Chine, Bahreïn, le Canada... Avec ses qu’auditeur avant de s’enrôler chez le rituels, pour ne pas dire rites. A chaque pétrolier BP comme responsable des ventes étape, Bridgestone dresse son chapiteau, lubrifiants dans le Sud de la France. Ça accueillant au champagne et aux petits coulisse si bien qu’il est repéré et débauché fours clients, constructeurs, distributeurs, par Bridgestone en 1997. Le manufacturier journalistes et employés. Et Nicolas de japonais qui vient de signer son premier gérer les accréditations, les susceptibilités, engagement avec la FIA doit mettre la Spéciale dédicace pour et de Michael Schumacher. les imprévus… bref « les bonheurs et les Nicolas suit de près la convalescence du pilote septuple champion du Monde de F1 gomme pour monter de toutes pièces emmerdes s’invitant à chaque Grand Prix ». une équipe marketing et communication « F1 ». Nicolas Duquesne débarque un mois avant équipant les petites écuries comme Arrows, Stewart, le premier Grand Prix où Bridgestone va faire son Minardi ou Jordan qui ont pour particularité d’être entrée dans les paddocks. « Nous avons dû tout inventer encore, à l’époque, dirigées par leurs fondateurs. Ce au pied levé ». Le tout frais chargé de promotion est n’est qu’ensuite que les motoristes ont pris le pas. Mais Une décennie sur les circuits du monde entier avec basé au siège Europe de Bridgestone à Bruxelles. qui dit « petites » écuries, ne dit pas petits moyens. dans sa mire la ligne d’arrivée de ses écuries, au cœur En mars, il s’envole pour Melbourne et son premier Le manufacturier japonais de pneumatiques a posé d’une guerre homérique opposant son employeur à grand prix de Formule 1. « Du jour au lendemain, c’est 100 millions de dollars sur la table. Autant dire que Michelin. Dans l’ombre, subissant les attaques de son le grand saut ! » et un premier rodage avant le début la pression est à la hauteur des sommes engagées : concurrent, distillant au compte-gouttes les infos aux

10 ans d’une vie de fou

Casque de Mika Salo, pilote Ferrari

Panneau de timing offert pour ses 40 ans par l’équipe Ferrari en 2004

Museau de la Williams de Ralph Schumacher Pneu de la Ferrari de Michael Schumacher

Collecteur d’échappement de la Prost Grand Prix

Sa collection de casques F1. De g à d : Jacques Villeneuve, Michaël Schumacher (avec ses sept étoiles de champion du monde), Olivier Panis et Michael Schumacher (1 étoile).

Museau et aileron avant de la Ferrari de Michael Schumacher

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NEWS MEGÈVE PEOPLE

NICOLAS DUQUESNE

journalistes, canalisant leur insatiable curiosité, mais l’appareil. Ce n’est que sur son lit d’hôpital à Dijon aussi dans la lumière de Michaël Schumacher et qu’il apprend que Chloé, grièvement blessée, et lui de l’équipe Ferrari, Nicolas Duquesne sera passé sont les seuls rescapés du crash qui aurait été causé par toutes les couleurs de l’arc en ciel. Mais même par un problème mécanique. Les responsabilités n’ont si cette aventure extraordinaire a brusquement et pas été déterminées et l’affaire toujours pas résolue : tragiquement pris fin, il n’est pas du genre à laisser « J’espère de mon vivant voir le jugement arriver un traîner sur l’asphalte quelque trace de rancœur. En jour ! » Transféré fin août à Bruxelles, Nicolas, souffrant cette fin d’après-midi du 30 juin 2007, les qualifications du grand prix de France à Magny Cours viennent de se terminer.

Nicolas Duquesne saute dans un hélicoptère en direction du château des Granges à Pouilly sur Loire. A bord de l’appareil, outre le pilote Pierre B., ont également pris place Simon M.G, consultant marketing, Emmanuel L., responsable sponsoring d’Oakley et sa nièce Chloé, hôtesse pour Bridgestone. La suite, c’est Nicolas qui la raconte : « Audessus du bois de Raveau, le pilote a brusquement perdu le Pause apéro en compagnie de Jean-Louis Maier sur la terrasse de la Calèche contrôle et l’Ecureuil a plongé. On est arrivé à 200 km/heure sur le toit de la forêt, les palles ont sauté, la bulle de verre a de fractures multiples et d’un traumatisme crânien, explosé et l’hélico a glissé le long des arbres jusqu’au entame une rééducation qui durera deux mois. En sol. Je pissais le sang mais j’étais conscient, suffisamment novembre, il reçoit sa lettre de licenciement. A 43 pour sortir ma nièce du cockpit. » Les secours héliportés ans, celui que tout le monde appelait le « Monsieur de la Sécurité Civile ne les découvriront que trois F1 de Bridgestone » se retrouve sur le carreau du heures plus tard. Nicolas, lui, est tombé dans le jour au lendemain. « Mon téléphone a brusquement coma. Il a fallu tronçonner les arbres pour dégager cessé de sonner ». Sonné mais conscient de la chance

qu’il a d’être encore là pour nous parler. « J’aurais pu mourir 10 fois. Je suis vivant parce que l’hélicoptère n’a pas pris feu au moment de l’impact » analyse-t-il rétrospectivement. Après cette descente aux enfers « c’est Joy, ma fille née en 2003, qui m’a sauvé », Nicolas remonte doucement la pente et décide de changer de vie. En 2008, il s’installe à Megève – qu’il fréquentait jusque-là pendant les vacances – et rachète la boutique Pelloux Sports, une vieille enseigne avec pignon sur rue qu’il entreprend de redynamiser. Six ans plus tard, il suffit de prendre un café avec lui à la terrasse du Bistrot, rue Charles Feige, pour voir que la greffe a pris. Ici tout le monde le connaît.

Hubert, le globetrotter des plateformes pétrolières estampillé « L’Epicier de Megève » est logiquement devenu son meilleur ami. Gravés dans le marbre de son panthéon lyonnais, les noms des Maier, Caponi, Maniglier. Il a fait le ménage dans ses relations et toiletté son répertoire téléphonique : « les cons, les chieurs… je les ai éliminés ! » Devenu commerçant du jour au lendemain, il reconnait cependant « être passé par des hauts et des bas ». « Aujourd’hui, je suis toujours là ! » rigole-t-il à l’heure du génépi. « Je regarde la vie du bon côté. Chaque jour quand je me réveille, c’est un jour de plus ! »

Décor savoyard. Nicolas fait salon dans le chalet qu’il loue avec un clin d’œil pour sa nièce Chloé, rescapée du crash

Il est propriétaire de la boutique Pelloux Sports depuis décembre 2008

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« C’est ma fille qui m’a sauvé ! » L’amour de sa vie réside à Bruxelles

Confidences recueillies sur l’alpage terrasse du resto Dici au sommet

NEWS MEGÈVE PEOPLE

NICOLAS DUQUESNE

Son album collector de 10 ans de F1

Hiver 1967.

Première descente sur les pistes de Megève

Accueil de Garou et de Jean-Jacques Noguier (La ferme de l’hôpital à Bossey) lors du Grand Prix de Monaco

Grand Prix de Monaco 2003. Accueil du prince Albert et son neveu Pierre Casiraghi

En compagnie du pilote Johnny Herbert lors du Grand Prix de Silverstone en 2006

Avec Michaël Schumacher au Grand Prix d’Hockenheim, le 30 juillet 2006 remporté par le pilote allemand

Sa fille Joy dans les bras de Jacques Lafitte à Spa-Francorchamps en 2004. A ses côtés, sa compagne Leslie

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« Are you looking for Nic ?

He’s behind me !! » Spécial dédicace de Juan Pablo Montoya sur un article consacré au GP de Spa- Francorchamps en 2005

Gonflé à bloc pour le Grand Prix d’Autriche à Zeltweg en 2001

EN•COUVERTURE SPECIAL EPOQU’AUTO Dans la descente du Mont Cenis, côté italien, avant de rejoindre Gènes

RALLYE AUTOMOBILE DES 3A Le clan des Siciliens

Comme chaque année en septembre, le club des Amateurs d’Automobiles Anciennes, créateur du salon Epoqu’Auto, a organisé son grand rallye. Cap sur la Sicile.

40 équipages à bord de véhicules de plus de 30 ans, la plus âgée étant de 1952, ont ainsi embarqué à Gênes dans un ferry qui, après 24 heures de traversée, les a déposés à Palerme. Pendant huit jours, les équipages ont sillonné la Sicile, de Palerme à Taormina, de Kamarina à Marsala en passant par les pentes de l’Etna. Peu de soucis mécaniques, des visites mémorables et quelques bons repas de poissons et fruits de mer plus tard, les participants sont rentrés à Lyon biens bronzés et prêts à attaquer les derniers préparatifs du salon Epoqu’Auto qui se tient à Eurexpo du 7 au 9 novembre.

Pause bien méritée après la grimpette du Mont Cenis

Les véhicules prêts à embarquer au port de Gènes

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A bord du ferry La Superba

Céramique croisée entre Palerme et Cefalu, sur le tracé de la Targa Florio, une course qui a connu ses heures de gloire de 1906 à 1977

Préparatifs matinaux à Taormina, la ville mythique du Grand Bleu

Vue plongeante sur la baie

Le théâtre antique de Taormina

Escale au Blue Hotel Kaos d’Agrigente pour ce cabriolet 404 de 1963 Regroupement à Marsala, avant la visite de la vieille ville Les participants au cœur de Palerme

Le temple de la Concorde à Agrigente, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO

Le temple et le théâtre dorique de Segeste, non loin de Palerme

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EN•COUVERTURE SPECIAL EPOQU’AUTO

SWISS CLASSIC BRITISH CAR SHOW Les 110 ans de Rolls Royce

Grand soleil sur les bords du lac Léman et plus précisément à Morges qui accueillait le très select « Swiss Classic British Car Meeting » samedi 4 octobre. Avec en vedette la marque Rolls Royce.Cette année, l’organisateur Keith Wynn avait réservé les places d’honneur - devant le château - à Rolls-Royce pour fêter les 110 ans d’exception de cette marque mythique. Le Rolls-Royce Enthusiasts’ Club, section romande, présidé par Gérard Le Clerc et ses adhérents sont venus en masse pour célébrer cet anniversaire.

Plus d’une centaine de Rolls-Royce et de Bentley étaient présentes aux côtés de quelques 1900 autres voitures britanniques venues de Suisse, du Royaume Uni et de France. Devant le château, plus de 20 000 visiteurs ont pu admirer un ‘time-line’ de tous les modèles Rolls-Royce depuis le début jusqu’à nos jours. Avec en prime la mise en route d’un moteur d’avion Rolls-Royce Merlin Spitfire de l’année 1941 en parfait état de fonctionnement. En 2015, la voiture anglaise ‘Star’ sera le Range Rover. Membre du RREC, Guillaume Chalvin, fondateur de l’agence de communication et événementielle Chavin & Company basée à Genève et à Lyon, a pu admirer en famille cet événement Royal ! Tout aussi « Royal » les amateurs de bonne chère pourront également se retrouver à l’événement gastronomique « Roy’Halle de Rive » qui se tient le jeudi 27 novembre à 19H30 à la Halle de Rive à Genève. Une seconde édition parrainée par Philippe Chevrier, chef doublement étoilé (Domaine de Chateauvieux). Informations et réservations sur « roy-halle-de-rive.ch ».

Texte : Marc Polisson

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EN•COUVERTURE SPECIAL EPOQU’AUTO

C’est à bord de son Austin Healey BG8 de 1967 que Michel Couturieux a participé au rallye des 3A en Sicile 40

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MICHEL COUTURIEUX Trois millions de kilomètres au compteur Ne vous fiez pas aux chiffres astronomiques qu’affichent les tableaux de bords de ses 18 véhicules de collection. Amoureux des belles mécaniques et mangeur de bitume, Michel Couturieux est une authentique première main.

Contrôle technique.

Par Benjamin Solly - Photos Fabrice Schiff

C

hampagne ! Oui, mais millésimé BMW ! Dans son appartement de l’Ouest lyonnais, Michel Couturieux a le sens du détail. Jusque dans l’hospitalité. « Je suis un vrai épicurien et j’aime le contact des gens », annonce-t-il tout de go. Fort en gueule, cet attachant adhérent du club des 3A pilote la discussion comme ses 18 voitures de collection. Avec passion et gourmandise, tout en respectant les limites. « Au volant, ce n’est pas la vitesse que je recherche », confie-t-il. Non, Michel n’est pas de ceux qui font rougir leur bloc moteur sur route ou circuit.

« LES AUTODIDACTES ont plus à prouver QUE LES AUTRES » Lyonpeople / Novembre 2014

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EN•COUVERTURE SPECIAL EPOQU’AUTO Même si le rouge est, à dire vrai, le dénominateur chromatique de la majorité de ses joujous. « J’aime cette couleur pour mes voitures de collection, mais certainement pas pour rouler tous les jours », s’amuse celui qui se déplace au volant d’une BMW Série 3.

Entre l’ordinaire et l’extraordinaire, les prérogatives de Michel sont radicalement différentes. Son cahier des charges de collectionneur ? Des véhicules en parfait état et pièces d’origine. « J’avoue que je suis intraitable, voire un peu maniaque sur ce point », confirme-t-il en souriant. Une inclinaison qu’illustrent les quatre modèles réduits au 1/18, exposés sur sa crédence et alignés au centimètre.

Cette vigilance parfois zélée, Michel la puise à la source familiale. « J’avais des parents paysans et nous n’avions pas beaucoup de moyens », confesse-t-il simplement, sans pathos. Car l’homme s’est fait seul. « Les autodidactes ont plus à prouver que les autres. » Son parcours entrepreneurial dans la menuiserie industrielle est modèle du genre. Quatre sociétés dont le jeune septuagénaire s’est aujourd’hui séparé. « J’ai toujours fait mes affaires en parlant voitures. Ce qui est vrai pour la voiture est vrai pour le business. » Qu’il semble loin le temps où, jeune apprenti, Michel allait suivre sa formation de tourneur-fraiseur à l’école des métiers de Lyon. « A l’époque, je passais tous les jours

devant les vitrines du garage Citroën », se souvient-il.

C’est adolescent qu’il achète son premier véhicule à moteur. « J’ai été chanceux à la loterie, j’ai acheté une mobylette Motobécane et j’ai laissé le reste du gain à mes parents. » Sa première « 4 roues » est une Simca Aronde acquise à sa majorité. La photo noir et blanc du jeune Michel, 18 ans et fièrement accoudé sur la bête, barre toujours l’écran d’ouverture de son iPad. Comme une piqure de rappel des débuts. Même si tout est allé très vite ensuite.

« CERTAINS AIMENT LES VIEILLES VOITURES, dans leur jus.

MOI, PAS ! » La réussite professionnelle lui permet d’assouvir sa passion. « Le premier véhicule que j’ai restauré, c’est une Triumph Spitfire 1500, une facture à 35.000 €. » Un perfectionnisme à crédits illimités pour rendre leur lustre d’antan à ses demoiselles. « Certains aiment les

MICHEL COUTURIEUX vieilles voitures, dans leur jus. Moi, si je ne peux pas la rénover d’origine ou si elle présente trop de défauts, je ne prends pas. » Des Européennes de préférence – « pas d’américaines », précise-t-il – fabriquées après 1940.

MG TF, Austin Healey, Aston Martin, Jaguar XKE, Type E, DS, CX GTI… jusqu’à la patrimoniale 2CV « avec laquelle j’ai fait le tour de Sardaigne », l’homme a concomitamment possédé plus d’une trentaine de véhicules et parcouru 3,2 millions de kilomètres. Tours de Corse, d’Aveyron, des lacs italiens avec ses amis de cinq clubs automobiles, Michel est un collectionneurjouisseur. « J’ai eu 19 BMW toutes achetées chez Pelier à Vienne », ajoute-t-il à une comptabilité déjà bien fournie. Sa merveille ? Une BMW M1 rouge. « Il y en a 4 en France et 400 ont été produites. On m’en a proposé plus de 300 000 euros mais j’ai refusé. » Une rareté gloutonne, 28 litres au cent, que Michel emmène chanter sur la « Le Mans Classic » ou lors des grandes manifestations de la marque. Il sait aussi passer à la Méhari lorsqu’il rejoint sa résidence secondaire varoise à Sainte-Maxime. Son inaccessible étoile ? Une Panhard 24 CT et une Ferrari Dino GT. Rouges, forcément. La belle italienne s’est vendue à Monaco il y a 7 ans. 300 000 euros aux enchères.

Fallait vendre la M1 Michel ! « Vous plaisantez, je ne suis pas un vendeur de voitures ! ».

Etat concours pour cette MG TF 1500 de 1956

DS 23 injection électronique Pallas

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BMW M1 de 1979. Sa préférée !

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STORY

Azouz a pris en marche le tram’ de la diplomatie française.

Prochain arrêt Rio ?

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AZOUZ BEGAG Le Gone de Lisbonne On l’avait quitté, ses ailes engluées dans la mélasse du centrisme lyonnais. Sous le soleil estival de Lisbonne, l’équipe de Lyon People a retrouvé le directeur de l’Institut français du Portugal, également conseiller de coopération et d’action culturelle auprès de l’ambassadeur de France. Un certain Azouz Begag.

De notre envoyé spécial Benjamin Solly - Photos : Fabrice Schiff

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annibal avait ses éléphants, où les fragrances d’épices rivalisent de douceur avec Azouz sa vieille guimbarde. l’émail des azulejos qu’il a planté son camp de base.

Les Alpes dans le rétroviseur, Ici, les maisons se pelotonnent ; écho architectural c’est bien les Pyrénées que le à la bienveillante proximité des autochtones. Des Lyonnais a avalées au volant Bom Dia fusent des fenêtres, les visages masqués d’une Clio millésimée « 10 ans derrière les broderies qui barrent les carreaux. d’âge. » « Un vrai voyage d’immigré », se marre-t- Entre chaleur et pudeur, cette ambiance de village il. Nous sommes le 29 août 2013 et le gone du lui est familière. Sa villa en triplex domine les tuiles Chaâba s’apprête à quitter la Croix-Rousse avec de Lisbonne pour plonger dans le Tage. Jumeau Clio. Elle traversait hier plaines et montagnes en sa compagne Marlène. L’histrion du centrisme du Golden Gate de San Francisco, le pont du 25 toussotant pour rallier la capitale portugaise. La lyonnais ajoute 1.800 kilomètres à son compteur avril marque une césure d’acier avant l’estuaire voilà aujourd’hui immatriculée en CD (Corps pour clore un épisode postministériel laborieux. que domine le Cristo Rei. Paysage magnifique pour Diplomatique) ! Un pied de nez aux flonflons « J’ai eu quelques déceptions », confesse-t-il. Le lieu de résidence polémique. « Je suis indigné par de la fonction ? « La frime, ce n’est pas mon truc. cœur léger et le bagage mince, l’ancien secrétaire la rumeur selon laquelle j’habite gracieusement dans Moi c’est l’humilité », assure-t-il, son passeport diplomatique en d’Etat ne connaît poche. On sourit. pourtant pas la On se souvient nostalgie. Pour tout Avec sa vue sur le Tage, la terrasse d’Azouz était très prisée d’Azouz lançant souvenir empaqueté, aux beaux jours. N’est-ce pas Sergio ? sa campagne « seulement quelques des régionales, photos qui me tiennent crieur public, à cœur. » Le 31 août, sur un tabouret après 48h de route, place Charles le Tage majestueux Béraudier.

On se dessine enfin se remémore dans le pare-brise également Azouz, de l’impétrant. A 57 prisonnier des ans, Azouz Begag conflits internes du s’apprête à écrire Modem lyonnais, la nouvelle page du proposer à son roman picaresque de challenger interne sa vie. Un chapitre Eric Lafond un qu’il pourrait intituler poste…. autoradio ! « Le Diplomate. » Primesautier donc « En tant qu’ancien provoc’, l’homme ministre, je suis allé peut susciter voir Laurent Fabius en la controverse. lui disant que j’étais « Je concentre toute intéressé par un métier mon énergie sur de la diplomatie. Le le travail », jure ministère des Affaires étrangères m’a proposé, hors une maison de 300 m2. Ces mètres carrés sont payés champs politique, d’être à la tête de l’Institut culturel du par mon salaire », recadre-t-il immédiatement. C’est désormais le directeur de l’Institut français du Portugal et conseiller culturel auprès de l’ambassadeur d’ailleurs son prédécesseur à l’Institut français du Portugal. Avec son équipe, composée de 25 à Lisbonne. » Sa prise de fonction ressemble à la Portugal qui occupait ces murs. Peu aménagé, collaborateurs, Azouz Begag veut redonner première journée d’un appelé. Un « enregistrement le logement renvoie pourtant une curieuse la place qui fut la sienne à la francophonie. administratif » à l’ambassade de France, sous un impression de vacuité. « Je suis arrivé les mains dans « En parlant avec des jeunes Portugais, je me suis les poches et nous meublons l’espace au compte- aperçu que le français n’était plus leur langue. soleil de plomb, pour un nouveau départ.

A quelques centaines de mètres seulement de l’ocre goutte », explique celui qui a récemment déménagé En une génération, depuis les années glorieuses 80/90 du rayonnement français au Portugal, il y rose du Palais de Santos, où la diplomatie française à quelques centaines de mètres. bat pavillon tricolore depuis 1870, réside Azouz Azouz Begag ne veut pas ajouter à son profil de a eu une évolution très rapide, que la France n’a Begag. Dans le quartier de l’Alcantara, il retrouve diplomate atypique la forfanterie qui l’a parfois pas anticipée. Je pense d´ailleurs que nous avons des odeurs familières « d’ail et de coriandre. » Les caractérisé. Rangé des deux-tons et des gyros, le été dépassés par la rapidité des changements et ruelles escarpées et serpentines lui rappellent « les Lyonnais affiche une sérénité qu’il double toujours que les moyens de faire face à ces bouleversements pentes de la Croix-Rousse. » C’est dans cet univers d’une singularité délicieuse. En témoigne sa vieille n´ont pas été suffisants », constate-t-il.

« LA FRIME ce n’est pas MON TRUC »

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La cafétéria de l’Institut français du Portugal ou s’expose l’œuvre de l’artiste ±MAISMENOS±

Ce laboratoire du renouveau francophone se situe à l’ombre des platanes de l’avenue Luis Bolivar. Créé en 1937 et installé initialement au Palais de Santos, l’Institut Français de Lisbonne est devenu l’Institut Franco-Portugais en 1984, puis l’Institut Français du Portugal en 2011. Le bâtiment de l’IFP, classé monument historique, abrite également l’Alliance Française, la Nouvelle Librairie Française et l’Institut Culturel Roumain.

L’Institut possède une salle de spectacle équipée de 400 places, une médiathèque de 30 000 documents, des lieux d’accueil et d’exposition, une cafétéria, des salles de réunion. Sa mission est de diffuser la langue et la culture française, d’être un lieu privilégié du dialogue intellectuel franco-portugais et de nouer des partenariats artistiques entre la France et le Portugal. « Depuis des décennies la France traîne une image stéréotypée de pays élitiste, avec une petite dose d’arrogance. Sa langue est considérée comme une langue difficile. Depuis 25 ans, il aurait fallu transformer la communication autour de notre langue, par le biais de la diplomatie, pour faire face à ces défis. La moderniser, l’habiller pour les jeunes avec le rap, les slammeurs… » Autant de challenges à relever pour le nouveau directeur qui a déjà mis la main à la pate. Le hall d’entrée a été refait à neuf, les expositions temporaires ont droit de cité, comme celles du street artist portugais Alexandre Farto aka Vhils et du frenchy Olivier Kosta-Théfaine.

Conséquence ? « L’Institut est redevenu un lieu de vie où les gens s’arrêtent pour discuter et échanger, à la cafétéria notamment. Le site est devenu plus chaleureux et plus accueillant. »

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LA FÊTE DU CINÉMA FRANÇAIS pour faire ses preuves Le quartier général de la francophonie au Portugal porte annuellement un événement-vitrine de la culture française. Créée en 2000, la Festa do Cinema Francês met à l’honneur les productions hexagonales. Cette « Fête du Cinéma français » présente chaque année, avec le concours des distributeurs portugais, une sélection de longs métrages en avant-première, des hommages, de grands classiques en copies restaurées et un cycle de cinéma d’animation pour le jeune public notamment. A l’origine, l’évènement se déroulait dans 6 villes portugaises. Du 2 octobre jusqu’au 22 novembre 2014, ce sont 18 villes lusitaniennes qui accueillent la 15e édition du festival.

Comme chaque année, c’est le patrimonial cinéma Sao Jorge, une merveille d’architecture Art Déco, qui accueillera l’étape lisboète. « Lyon est le berceau du cinéma, il faut créer les passerelles entre ce modeste festival et la ville pionnière. La Fête du Cinéma français est un bon moyen pour commencer à mettre en place ces dynamiques conjointes. » Notamment autour des grandes personnalités lyonnaises qui font le 7e Art ?

Si l’édition portugaise a déjà reçu par le passé des têtes d’affiche comme Sophie Marceau, Isabelle Adjani, Fanny Ardant, Josiane Balasko, Louis Garrel, Agnès Varda, Costa-Gavras, Agnès Jaoui ou Carole Bouquet, Azouz Begag se veut ambitieux. « J’ai lancé une invitation à Thierry Frémaux et je profite de vos colonnes pour également solliciter Bertrand Tavernier, Clovis Cornillac, Alexandre

Astier… » Lancé, il s’enflamme et égrène son parterre de rêve, sous l’œil bienveillant et circonspect de Jean-Chrétien Sibertin-Blanc, attaché audiovisuel à l’IFP.

« Depuis qu’Azouz est arrivé, c’est assez animé à l’IFP », éclate-t-il de rire. Au 7e étage de l’Institut, c’est dans le bureau du directeur que le binôme règle les derniers détails du festival. La scène est lunaire. Jean-Chrétien d’un côté, Azouz de l’autre.

Les idées fusent, les bons mots également. Même si le nouvel arrivant parle un portugais correct, appris « en regardant le Juste Prix », l’échange se déroule en français. On fixe les rétrospectives d’Alain Resnais et de Marcel Pagnol qui composent la 15e édition. « Nous avons une relation passionnelle », justifie Jean-Chrétien. La rencontre du gone des bidonvilles de Villeurbanne avec son homologue rattaché à l’Ambassade vire au numéro de duettistes. Leur dialogue n’aurait rien à envier à celui entre Jacques le Fataliste et son maître, essai philosophique éponyme de Denis Diderot qui traîne sur la table aux côtés de « L’Envers et l’endroit » d’Albert Camus et de « La Mauvaise Vie » de Frédéric Mitterrand.

C’est dans cet univers d’effervescence et d’émulation qu’Azouz Begag puise ses ressources créatives. « C’est une attraction ici », confirme son interlocuteur.

Forcément, le protocole de l’Ambassade sied moins à l’ancien ministre de l’Egalité des Chances. Egalement conseiller de coopération et d’action culturelle, Azouz Begag rencontre une fois par semaine l’Ambassadeur

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de France Jean-François Blarel pour un point d’étape en forme de portion congrue.

En poste jusqu’en 2017 à Lisbonne, Azouz Begag prolongerait volontiers son étape lusitanienne. « Le Portugal, c’est la fin du voyage pour moi », prophétiset-il. Il pourrait théoriquement rallonger d’un an son passage à l’IFP, mais le sociologue se voit plutôt mettre le cap au sud de la péninsule. « En Algarve,

AZOUZ BEGAG une région magnifique », précise-t-il. Azouz a acquis sur place une masure avec près d’un hectare de terrain.

Contemplatif, comme ses mentors de plume Fernando Pessoa et José Saramaguo, le sociologue dit vouloir profiter de la nature alentour. A moins qu’il ne s’offre un dernier tour de piste au Brésil. « Certes, ce pays m’attire, mais il est très prématuré d’imaginer quoi que ce soit », avance-t-il. Du Cristo Rei au Corcovado, la trajectoire serait-elle diplomatiquement acceptable

pour les huiles du ministère des Affaires étrangères ? « Ma vie, c’est prendre des risques », répète-t-il comme un mantra. Qu’importe l’issue, Azouz le lisboète ne se fera pas un sang d’encre pour des considérations de carrière. Son encre, il la conserve plutôt pour sa plume. Car l’écrivain a repris du service (voir encadré).

Excellent signe.

Azouz Begag, une plume et des bulles Moment de détente dans le bureau d’Azouz Begag avec Jean-Chrétien Sibertin-Blanc

La Azouz Mobile en mode Corps Diplomatique

L’ambassade de France au Portugal

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Aux côtés de son assistante Elsa Noura

Auteur d’une quinzaine d’ouvrages (hors publications scientifiques), Azouz Begag devrait connaître une année 2015 chargée en édition. En effet, il aboutit un projet de bande dessinée, une trilogie biographique sur l’émir Abdelkader intitulée « L’Amiral des Sables ». Cette œuvre, dessinée par Djillali Defali et scénarisée par Azouz Begag, relate l’Algérie d’avant la conquête française, l’enfance d’Abdelkader et celle de son père Mahieddine. Les deux hommes se connaissent bien puisqu’ils avaient déjà collaboré sur le même support dans Leçons Coloniales (Delcourt – 2012), qui évoquait les massacres de Sétif. La trilogie « L’amiral des Sables » sortira aux Editions Dalimen. Dix planches inédites du projet ont déjà été publiées dans la revue Bendir, Le Fluide Glacial algérien. Côté bouquin, Azouz Begag a terminé l’écriture d’un ouvrage qu’il pourrait intituler « Paparano ». Le pitch ? Croquer par le verbe son passage comme professeur dans les plus grandes universités américaines, malgré les réticences paternelles. « Mon père ne voulait pas que j’aille dans ce pays qui idolâtre les chiens et abandonne les hommes. Moi gamin, j’adorais Rintintin », poétise-t-il. Sous la plume de Begag, ce choc des cultures promet d’être savoureux. « Aux Etats-Unis, j’ai vu la société de consommation, j’ai vu une société qui dit à ses semblables : ‘arrêter de penser, mieux vaut dépenser.’ » Le manuscrit du livre est déjà livré à l’éditeur qu’Azouz Begag n’a pas souhaité dévoiler.

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LES BONS PLANS D’AZOUZ À LISBONNE

1. Réveil musculaire costaud pour Azouz, coaché par le musculeux Sergio, sur les machines de l’Académia Life Club qui borde le Tage.

Rua da Cintura do Porto a Santos, Armazém J

2. Récupération gourmande avec Virgilio, Lina et Claudia, le trio gourmet de la Cafetaria Alfacinha, à deux pas de l’Institut Français du Portugal.

Avenida Duque D’Ávila 84-A, Praça de Espanha

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3. Retouches et ourlets, Azouz ne mégotte pas sur le style. En bon lyonnais, il a confié les tissus de sa garde-robe aux mains expertes de Dimpal et Anita.

Arsotamo Costura – 79, rua Latino Coelho

4. La diaspora française de Lisbonne avec le parisien Vincent Antolini, coiffeur officiel d’Azouz, installé il y a 4 ans dans la capitale portugaise.

Vincent Coiffeur Paris Lisboa, 81, rua Latino Coehlo

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Marco, Benjamin et Fabrice en goguette chez Azouz

5. Un détour gourmand et bachique par le marché de Campo de Ourique, jumeau des Halles lyonnaises, dont les kiosques débordent de spécialités locales à consommer sur place.

Mercado de Campo de Ourique - Rua Coelho Rocha

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6 & 7. La destination est prisée par Azouz et Marlène aux beaux jours. Situé à 30 kilomètres à l’ouest de Lisbonne, Cascais est une des perles de l’Atlantique. Ancien village de pêcheur typique, Cascais a su garder ses charmes malgré quelques hôtels bétonnés en front de mer. Dans les ruelles escarpées et pavées, le patrimoine s’expose en majesté jusqu’à la corniche qui domine la marina. Des petites maisons de pêcheurs qui rappellent l’île de Ré aux demeures de maître, l’atmosphère est à la flânerie. Les plages sont magnifiques mais très fréquentées.

8 & 9. De Lyon à Lisbonne, la réhabilitation des Docks dessine l’avenir urbain des villes d’eau. Entre Belem et le pont du 25 mai, c’est tout un pool festif qui s’est développé dans la capitale portugaise. Là où Azouz et Marylin aiment se retrouver en fin d’après-midi pour partager l’apéritif en toute intimité. « Evacué dès le lendemain à la salle de sport », précise Azouz dans un éclat de rire.

Rui dos Pregos Passeio Doca de Santo Amaro

10. Tête de Pont du Grupo K qui règne en maître sur les festivités liboètes, le Kais est unique. Sis dans un ancien entrepôt réhabilité sur les Docks, le site renvoie une impression de monumentalité dans un décor industriel-chic. Candélabres et lumières tamisée, cette cathédrale du goût qui borde le Tage est prisé par Azouz Begag pour ses diners professionnels. A enchainer avec une soirée au K Urban Beach voisin, mastodonte de verre et d’acier dédié au clubbing.

Calçada Ribeiro Santos

11 & 12. Picanhas, entrecôtes XXL… Ici, le boeuf est roi, même si les encornets grillés se taillent une jolie réputation. O Tachadas, c’est la simplicité chaleureuse et hospitalière de Lisbonne. Un restaurant à taille humaine où Lionel et Célio vous accueillent à bras ouvert. La pépite gourmande d’Azouz.

176, Rua da Esperanca

13 & 14. Entre le cabinet de curiosité et l’apothicairerie, la Pavilhao Chines est une authentique rareté. Une enfilade de plusieurs salles décorées d’objets dans leur jus, avec une collection militaire qui vaut le détour. Salle de billard, bar à cocktails avec serveurs en lavallières et vestons, cet écrin chic ne figure pas dans les guides. Et c’est tant mieux !

89, Rua Dom Pedro V

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SOFITEL LISBON LIBERDADE L’invitation au voyage

Ouvert en 1992 sur les « Champs-Elysées » lisboètes, le Sofitel Lisbonne respecte à merveille les codes de la capitale lusitanienne, l’art de vivre à la française en plus. Cocoricao ! Par Benjamin Solly

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uxe, calme et volupté. Derrière sa façade de verre, Le Sofitel niche à l’abri des immenses platanes qui végétalisent l’avenue Liberdade.

Nonobstant les doubles voies et les contre-allées, il règne sur cette artère une atmosphère apaisée qui tranche avec l’habituelle effervescence citadine. Dans le creuset lisboète, l’urbain fusionne avec l’humain. Une alchimie propre à la plus occidentale des capitales européennes qui fait son identité et son attractivité. « Lisbonne est une destination à la mode pour sa qualité de vie et c’est une ville très abordable pour les touristes », confirme Fatima Nara, en charge du marketing et de la communication de l’établissement 5 étoiles. Dans le lobby de l’hôtel, c’est d’abord la diversité de la clientèle qui saute aux oreilles.

L’allemand, le français, l’anglais et un portugais tanné au soleil de Rio composent une petite musique d’ambiance aux notes cosmopolites. Empreinte internationale pour univers de luxe à la française.

Les teintes de bois sombre répondent à l’orangée des ocres qui habillent les murs. Deux angelots du XIXe en bronze doré surplombent la réception et veillent bienveillamment sur l’équipe emmenée par Elisabete Fonseca, concierge « Clefs d’Or » du

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Sofitel. A quelques mètres du très vivant quartier de Bairro Alto et des ruelles médiévales d’Alfama, l’hôtel a été totalement rénové en 2005. Il déploie aujourd’hui ses 163 chambres et ses 12 suites sur 9 étages. Les chambres sont toutes équipées d’un écran LCD, de téléphone, du Wifi et d’un mini bar.

Un coin bureau offre la possibilité de travailler. La salle de bain, aux couleurs noir et blanche, dispose d’une baignoire, de produits d’accueil Hermès, d’un peignoir et d’un sèche cheveux.

Côté prestations, le Sofitel Lisbonne joue définitivement dans la cour des grands. Au traditionnel bar, dont le mojito à la grenade est un des meilleurs de la capitale, s’ajoute une bibliothèque et 9 salles de conférence calibrées pour la clientèle business. Côté sportif, la salle de gym homologuée Club Med Gym est l’incontournable des réveils musculaires toniques ou tout en douceur. « C’est un passage que je recommande avant notre copieux petit déjeuner qui concoure cette année pour le prix du meilleur petit-déjeuner d’hôtel en Europe.

C’est un de nos points forts », confirme Dominic Arel, directeur de l’établissement qui a pris ses fonctions en juillet 2013. Plaisir de gourmets, le restaurant AdLib prend ses libertés et joue les solistes

gastronomiques. « L’établissement possède son entrée propre sur l’avenida da Liberdade, détachée de l’hôtel.

C’est devenu une des tables courues de Lisbonne », se réjouit le directeur. Aux manettes, le chef bavarois Daniel Schlaipfer, originaire de GarmischPartenkirschen, qui a blanchi sous la toque aux côté d’Antoine Westerman à la Fortaleza di Gincho.

Pour déjeuner ou dîner, sa cuisine fusion aux influences portugaises et françaises est un véritable mariage d’amour. « Le service est plein d’entrain, le menu du jour est une affaire et le chef joue une partition légère et réussie », détaillait le très respecté chroniqueur gastronomique Gilles Pudlowski, également tombé sous le charme de cette adresse gourmande et glamour. Ajoutez aux mets une large carte de vins portugais (Duro, Setubal, Alentejo) et français sélectionnés pour des accords au diapason. En chambre ou dans l’assiette, le Sofitel Lisbon Liberdade se consomme jusqu’à satiété. Ad Libitum.

Sofitel Lisbon Liberdade

127, Avenida da Liberdade - 1269-038 Lisboa, Portugal Informations et réservation au (0035) 21 322 8300 ou sur www.sofitel.com

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AZOUZ BEGAG

Photo : Fabrice Schiff

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LISBONNE & LYONVilles de Street Art

Durement touchée par la crise économique à la fin des années 2000, Lisbonne a su transformer certains bâtiments, promis à la déshérence, en supports de l’expression artistique. De la capitale portugaise à la capitale des Gaules, le Street Art tendrait-il aujourd’hui à s’institutionnaliser ? Par Benjamin Solly

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DamienBatt_wozdatProfil

Ramos qui se consacre désormais à l’inventaire des plus beaux spots à travers sa page « O qué diz Lisboa ? ». Dessins, graphismes ou aphorismes, Lisbonne a réinventé à travers l’émergence du street art une forme de communication publique, rappelant parfois la mécanique des dazibaos chinois.

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Lisbonne, la crise a fait le mur.

Durement touchée par la lame de fond bancaire et financière, la capitale lusitanienne a libéré ses façades aux fenêtres murées, symbole du délabrement de l’espace urbain, à la créativité des artistes de rue.

Nous sommes en 2008 quand la municipalité lisboète décide de lancer l’opération GAU (Galeria de Arte Urbana). Les murs de la ville, ces miroirs décrépis de la crise, deviennent des supports de contestation par la création, tout comme les différents mobiliers urbains. Près de 4.000 immeubles au total. Conséquence ? La capitale, qui compte 475.000 habitants intra-muros, reconfigure son espace urbain autour d’une dynamique artistique inattendue. Des locaux comme Vhils, Diogo Machado, Smote, Arraiano, Fuel et quelques références internationales du street art, comme ROA, Aryz, Bezt, C215, Pixel Pancho, Cyrcle ou Phlegm s’exposent désormais à ciel ouvert. « Ces messages sont la voix d’une génération.

En l’espace de six ans, j’ai vu le street art passer d’une pratique minoritaire, cantonnée à quelques spots, à un mouvement décloisonné proche du phénomène de mode », explique l’ancienne journaliste Laura

Alors, éruption libertaire ou institutionnalisation d’un art à l’origine marginal et éminemment contestataire ? « Il y a dans l’émergence du graffiti, dans les années 70/80, une volonté de marquer son territoire, selon des codes proches de ceux des gangs.

Depuis les années 2000, cette activité est considérée comme une forme d’art, mais elle trouve pourtant ses racines dans un vandalisme pur et dur », explique

Jean-Philippe aka Wozdat. Né en 1982, ce graffeur a usé ses sneakers sur le bitume lyonnais, bombes et marqueurs dans le sac, pour s’adonner à sa passion. « Lyon est hyperactif avec des artistes et des collectifs comme OCT, DMV ou Brusk », confirmet-il. A la tête de sa propre agence de publicité, il jette aujourd’hui un regard averti sur l’émergence des différentes formes de street art. « L’exemple lisboète est parlant car il a permis la mise en lumière d’artistes et la démocratisation de cette forme d’art, mais l’écueil de cette démarche, c’est aussi de créer une forme d’élite du street art », explique-t-il. A telle enseigne qu’il retrouve dans son métier cette forme de dévoiement des origines. « Je viens du graffiti, je suis diplômé en graphisme et je fais désormais partie de l’industrie graphique. Aujourd’hui, c’est cette dernière qui reprend les codes des graffeurs en faisant le parcours inverse. » La rue continue toutefois de dicter ses codes, difficilement solubles dans le tout marketing. « Elle a toujours un temps d’avance, confirme Wozdat. On retrouve par exemple d’autre médium que la bombe pour l’expression urbaine, comme les tags à l’acide ou au tournevis. » Le mouvement popularisé, entre autres, par les « muséifiés » Keith Haring et Jean-Michel Basquiat a encore du gaz.

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Jean Burdy (Pernod Mumm), Franck Azoulay (Domaine Le Lyon Vert), Arnaud Bernollin, Jean-François Malle (La Rotonde**), Eric Crolla (Jumfil)

LES CUISINES BERNOLLIN invitent Jean-François Malle

Toque d’exception pour menu d’automne ! Aux côtés de Franck Azoulay, directeur de la restauration du Domaine le Lyon Vert, le chef Jean-François Malle a réalisé un déjeuner estampillé La Rotonde**, dont il dirige les cuisines. Quand l’expertise gastronomique rencontre la crème des arts de la table, c’est toujours Arnaud Bernollin qui bat la mesure. Dans son showroom d’Anse, le concepteur de cuisines haut de gamme avait convié quelques chanceux pour ce déjeuner VIP aux tonalités automnales. Convivialité de mise autour du plan de travail et d’une coupe de Brut Sélection Grand Cru du cordon rouge Jean Burdy avant une expérience gastronomique aux mille saveurs. Saint-Jacques, crémeux de barde, topinambour, pigeon farci au foie gras…Nos convives ont tour à tour bravé la mer, retrouvé la terre ferme avant de prendre leur envol ! Un crescendo gourmet et une belle découverte pour le dirigeant de Jumfil Eric Crolla, venu en en voisin partager ces agapes chaleureuses. Egalement champion du monde de pâté-croûte en 2013, Jean-François Malle et Arnaud Bernollin se retrouveront dans le jury du prestigieux concours, dont la 6e édition se déroulera le 1er décembre prochain à la maison Chapoutier. Photos © Saby Maviel - Mandrak Studio

Cuisines Bernollin - 198, allée Viadorée - Anse - Tél. 04 74 67 04 08 Cuisines Bernollin - 5, place Puvis de Chavannes - Lyon 6 - Tél. 04 78 93 00 61 Passionné, animé par le goût de la tradition et de la grande cuisine française, Jean-François Malle a joué une parfaite partition gourmande au piano du showroom Bernollin. Soliste de talent, son carpaccio de Saint-Jacques, crémeux de barde coraillé, artichaut vanillé et sommités de choux, vinaigrette douce à la noisette est un précis des savoir-faire que requiert la haute gastronomie.

Textures et saveurs dans la nuance et l’équilibre des mesures parfaites, cette superbe entrée est à retrouver sur la carte automnale de La Rotonde**. Terroir chic, son pigeon farci au foie gras, chou rouge confit et topinambour, évoque une saisonnalité généreuse dans l’assiette. Celle des jus réduits, des légumes costauds, des gibiers et du bon pain pour saucer. Pour clore ce parcours sensoriel, un Paris-Brest « Citron » aérien, aux zestes confits, parfaite note finale au déjeuner.

Assaisonnement maison pour Arnaud Bernollin et Jean-François Malle

Coquilles de Saint-Jacques « Baie de Morlaix » en carpaccio, crémeux de barde coraillé, artichaut vanillé et sommités de choux, vinaigrette douce à la noisette

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La Rotonde** - Domaine Le Lyon Vert - 200, avenue du Casino 69890 La Tour de Salvagny - 04 78 87 00 97

Pigeon farci au foie gras, chou rouge confit et topinambour

Paris-Brest « Citron »

PEOPLE SPORT

LE BARTH’ OLOGUE

d’Alexandre Lacazette Chaque mois, un illustre représentant du monde sportif s’allonge sur le divan de l’infirmier Barth, ancien interné des hôpitaux de Lyon qui délaisse caméras et micros pour enfiler blouse blanche et stéthoscope. L’attaquant de l’OL se prête à nouveau au jeu ce mois-ci sur le divan d’Iceo. Photographe : Fabrice Schiff

Alexandre, pourquoi est-il impossible de laisser un message sur ta boîte vocale ?

Je dois bien reconnaître que j’ai tendance à les écouter plusieurs jours après les appels alors que par sms je réagis très rapidement… Ça représente combien de sms par jour ?

Un peu plus de 300, tu sais, ça va vite ! Tu trouves que c’est beaucoup ? (Très interrogatif et très sérieux) Tu as regardé la soirée de la Ligue des Champions hier soir (Itw réalisée le 22 octobre, ndlr) ?

Oui, j’étais invité chez Samuel Umtiti mais je n’ai pas regardé le PSG face à Nicosie, nous avons maté Barça-Ajax.

Est-ce-que ton prochain objectif, c’est l’Euro 2016 ?

A moyen terme évidemment, si un joueur de foot de haut niveau n’a pas cet objectif, il faut qu’il change de métier (déterminé). A court terme, c’est le titre avec l’OL, difficile mais pas injouable.

Le milieu du foot te fatigue-t-il ?

Non, je ne peux pas dire qu’il me fatigue. En revanche je pense que c’est un milieu vraiment différent des autres même si je manque de recul ; ça tourne toujours autour des médias et de l’argent avec des proportions parfois hallucinantes.

On te confond parfois avec d’autres joueurs dans la rue ?

Plus maintenant mais à une époque oui, ça tournait souvent autour de Michel Bastos et Jimmy Briand, ça me saoulait un peu d’ailleurs !

Mais pourquoi ça te saoulait ?

Parce qu’ils ne sont pas très bons ! (Il éclate de rire) Au quotidien, as-tu un point faible ?

Je suis très têtu, je peux mourir si je pense avoir raison pour avoir le dernier mot. On me le reproche souvent en rigolant mais je sais que ça en agace certains.

Dans la vie, tu es plutôt discret. Pourtant sur le terrain, tu es un vrai casse-couilles, je me trompe ?

Non c’est vrai, mais si tu savais comment j’aime gagner, tu ne me poserais même pas la question. On pourrait gagner 10-0 que j’aurai envie de marquer le 11e but, c’est comme ça, c’est ma nature ! Alors que dans la vie de tous les jours je déteste me mettre en avant.

Il y avait des posters de joueurs de foot dans ta chambre quand tu étais petit ?

Non, je partageais ma chambre avec mon frère et

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crois-moi je ne pense pas qu’il m’aurait laissé faire.

Quelle est la remarque que l’on te fait le plus souvent ? Ça s’est beaucoup calmé mais à une époque on me disait toujours que j’étais « un branleur », j’avais conscience qu’on me disait cela pour me piquer, de toutes façons je ne le suis pas du tout.

Dans tes rêves les plus fous, avec quel joueur aimerais-tu évoluer ?

Sans aucun doute Ronaldinho, j’adore ce joueur.

Penses-tu encore à ta non-sélection pour le Mondial au Brésil ?

Non, plus du tout ! Un sportif doit regarder devant.

Quel est le joueur de foot le plus drôle que tu connaisses ?

En fait je rigole un peu avec tout le monde. Personne ne ressort en particulier, je suis du genre bon public, j’adore les gens qui ont la déconne.

Tu pleures souvent ?

Non ! (Sans réfléchir) Avec quelle ancienne gloire lyonnaise aurais-tu aimé jouer ?

Sonny Anderson, grand attaquant, très fort. Pour moi, c’est grâce à lui que Lyon est devenu Lyon, je crois aussi que c’est grâce à lui que je suis attaquant.

Quelle émission de tv ou série ne rates-tu jamais ?

Je serais incapable de te donner un programme ou une série que je ne rate jamais même si je regarde souvent la télé.

Qu’est-ce-que tu vas faire en sortant de l’Icéo ?

J’ai une petite visite médicale au club et ensuite je rejoins un pote.

Que vont dire tes proches en lisant le Barthologue ?

Je vais me faire chambrer, c’est sûr ! (Il sourit) Avant de terminer, un message à passer à Didier Deschamps pour l’Euro 2016 ?

Mon sac ainsi que ma détermination sont prêts, coach !

Maintenant on change, c’est toi qui me poses une question…

Tu t’es rendu compte que tu as exactement les mêmes tongs jaunes que lors de notre dernière interview…

ICEO

restaurant paquebot 147, avenue Jean Jaurès Lyon 7 - 04 72 73 00 00

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PEOPLE SPORT

Les tribunes VIP

LOU RUGBY - BAYONNE

« On a tremblé ! » La reflexion de l’arrière lyonnais Jérôme Porical à l’issue de la rencontre remportée 24-19 face aux marins expérimentés de l’Aviron Bayonnais résume le sentiment général des 9900 spectateurs du Matmut Stadium. Les jeunes promus du LOU Rugby ont marqué deux essais et prouvé leur volonté de ne pas faire de figuration pour leur première année en top 14. Une victoire sur le fil, mais de précieux points engrangés pour la suite. A l’issue de la 9ème journée, les joueurs d’Olivier Ginon pointent à la 10ème place du classement et sont toujours invaincus dans leur fief.

Yann Robert, président du LOU Rugby, Cyril Bosviel (Institut Paul Bocuse), Bernard Modat et Hubert Founier (Renault Trucks)

Texte : Marc Polisson - Photos : Saby Maviel

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Julien Bonnard (LOU Rugby), Corinne Paris, Christophe Gerbaud (Assurances Paris Gerbaud), Papou Gérard et Jean-Louis

Patrick Iliou (Olympique Lyonnais), Olivion Ginon (GL Events), Caroline Bernand et Maitre Richard Brumm, adjoint aux Finances

Franck Isaac-Sibille (LOU Rugby), Joël Lopez (ETG), Antoine Fournier (Full Time Sports), Esfandiar Bakhtiar, administrateur actionnaire à l’ETG

Christian Muel (Orangina), Alain Royan (Cote), David Ferrari (Orangina), Dominique Vinay (Sonepar) et Jean-Paul Demont

Marco (Lyon People), Jérôme Carillon (CGE) et Mathieu Renaud (LOU Rugby)

Pierre Arvis (GL Events), Yann Robert, président du LOU Rugby, Olivier Ferraton (GL Events) et Phillipe Bettant (Smart)

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Gérard Groffe, DRH du groupe Stef et Benoit Soury, DG de La Vie Claire

Claudie Ravier (Société des Courses de Lyon) et Eric Piard, président de l’Arcol Rugby

Cécile Merle et Laurent Chanut (GL Events)

Pascale Mathiolon (Serfim) et Nicole Vadon

Vincent Martin, Marc-Antoine Ginon et Charles Malet (LOU Rugby)

Caroline, Marie et Philippe Bernand, directeur général des Aéroports de Lyon

Gwénaëlle et Patrick Illiou (Olympique Lyonnais)

Olivier Ferraton (GL Events) et André Franck (Corcep)

Bertrand Delorme (Sido) et Jérôme Rivière (Novatim)

Marie Marin la Meslée (United Players) et Marco (Lyon People)

Il plie mais ne rompt pas !

ENRICO JANUARIE à l’assaut d’une montagne bayonnaise

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AUTO

Photos : Saby Maviel

STYLE

BMW SÉRIE 2 ACTIVE TOURER Une histoire de famille Avec sa Série 2 Active Tourer, BMW fait une entrée fracassante sur le segment des monospaces prémiums.

U

nivers végétal pour mécanique familiale ! Au paradis des paysagistes, Nathalie, Juliette et Maxime se sont offerts une mise au vert pour tester le nouveau BMW Série 2 Active Tourer. Dans le jardin extraordinaire de Franck Jourdan, patron de Végétal Concept (Saint-Priest), le premier monospace de BMW se fond dans la verdure d’un décor habituellement réservé aux professionnels.

Aux lignes dynamiques et sculptées de l’Active Tourer répondent les arabesques des arbustes taillés au millimètre. « L’esthétique est importante mais la dimension utile est une priorité pour un véhicule familial », rappelle Nathalie en maman prévoyante. Le tube de l’automne signé BMW allie les deux. Chic et pratique. Son coffre de 468 litres (qui passe à 1.510 litres en configuration 2 places) est calibré pour la vie de famille. Des longues balades, piquenique et vélos des enfants chargés, jusqu’au départ en vacances, l’Active Tourer répond aux exigences parentales.

Notamment côté sécurité avec le pack « Advance Safety » qui propose l’avertisseur de risque de collision, la protection

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active des piétons et l’avertisseur de franchissement de ligne. Côté motorisation, c’est papa qui va être content !

Le modèle 218d présenté déploie 150 chevaux servis par une boîte automatique ou mécanique. Pour la première fois, BMW s’appuie sur un moteur transversal qui implique une transmission aux roues avant. Une reconfiguration qui privilégie une plus grande habitabilité. La position de conduite reste sportive, le tableau de bord navigue sur un écran 8 pouces à molette, l’insonorisation est soignée. « Un confort de berline », se réjouit Nathalie prête à reprendre la route. Maxime et Juliette, eux, préfèrent chevaucher les animaux colorés en résine et fibre de verre estampillés Végétal Concept. Avant de s’installer, permis en poche, au volant de l’Active Tourer ? « On s’amuse bien derrière », clament-ils en modulant la configuration de la banquette coulissante.

Parents et enfants ravis, l’Active Tourer fait déjà l’unanimité dans la famille. La version 4 roues motrices sera disponible à partir du mois de décembre.

BMW Gauduel - 6, rue Joannès Carret - Lyon 9e - 04 72 53 88 88 Plus d’informations sur www.bmw-gauduel.com

MOTEUR Cylindrée Type : 1496cm3 ; 3 cylindres Puissance : 116 ch à 4.000 tr/min Couple : 270 Nm à 1.750/2.750 tr/min TRANSMISSION Type : Traction Boite : Manuelle à 6 rapports ou automatique (6 vitesses) DIMENSIONS/POIDS L/l/h : 4.342/1.800/1.555 mm Coffre : 468 à 1.510 dm3 Poids : 1395 kg PERFORMANCES 0 à 100km/h : 10,8 s Vitesse max : 195 km/h CONSOMMATION/EMISSIONS Mixte UE : 3,9 à 4,1l/100km CO2 : 99 à 104g/km PRIX : Dès 28 350€ en version 216d

BIEN-ÊTRE

Photo : Fabrice Schiff

STYLE

SPORTS DANCE ARTS… INPULSE !

Le complexe qui fait bouger Lyon

Ouvert depuis 2006 à Lyon, le complexe inPulse propose une approche radicalement novatrice du bien-être et une méthode exclusive autour de son triptyque « Sports Dance Arts. » Et si vous tentiez, comme un millier de Lyonnais(es), l’expérience inPulse ? Par Benjamin Solly

L

e meilleur moyen de réaliser l’impossible est de croire que c’est possible. » La formule empruntée à Lewis Carroll, son auteur fétiche, illustre le parcours de William Bouc. Né en 1972 à Lyon, le créateur du complexe inPulse est allé au bout de son rêve. « Je suis passé de l’autre côté du miroir », sourit-il. Quel regard porterait-il aujourd’hui sur le jeune garçon qui déjà, tout gone, usait sa paire de sneakers dans le quartier Monplaisir ? « J’ai découvert à l’âge de 12 ans le rock et le modern jazz », expliquet-il. Une émulation du corps et de l’esprit par l’activité sportive et artistique, à travers les compétitions de rock acrobatique notamment, qui dessine déjà sa trajectoire professionnelle. Titulaire du brevet d’éducateur sportif, il commence l’enseignement dès l’âge de 17 ans dans différentes structures. William affine alors son projet qui voit le jour au 1er septembre 2006. « A la base, je souhaitais réunir le sport, la danse et le fitness sans forcément ajouter des espaces musculation ou cardio. » Cousu main, le concept inPulse propose aujourd’hui une section Arts à son menu (beatbox, expression scénique, théâtre). Gommer la frontière entre le sport et la danse certes, mais ajouter également au travail du corps l’émulation de l’esprit.

Installé dans le 7e arrondissement, le complexe inPulse est un écrin époustouflant. 1.250 m2 sur deux niveaux, 5 studios réservés aux 34 cours différents proposés à

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la carte, des espaces design et cosy sur mesure pour la détente et le cocooning… Ici, on casse les codes so eighties des centres de remise en forme traditionnels. « Notre univers, c’est celui qui nous ressemble », embraye Perrine, assistante de direction et professeur au studio.

A telle enseigne que l’équipe d’inPulse, sous la houlette de Fanny, a revu l’ensemble de sa charte graphique pour l’adapter au concept. « Il y a des cours inédits, autour de nos Concepts 2.0, que vous ne trouverez que chez nous. Il était donc nécessaire de proposer à nos clients une feuille de route personnalisée, modulable et adaptable, autour de grandes thématiques facilement identifiables », continue William. Autour de six hexagones de couleurs différentes, inPulse vous donne la clé de six « maisons » (Powerhouse, Feelhouse, Sweethouse, Funhouse, Bravehouse, Freehouse). Votre prise en charge commence dès le desk par un bilan et la mise en place d’un programme personnalisé, ajusté avec les items à piocher dans chaque maison d’activités. « Chaque programme est amovible et peut évoluer au fil des envies. » Avec plus de 70 cours par semaine, des reconnaissances dans la presse, dans le monde de la danse et du sport, l’organisation de stages et de rencontres internationales, inPulse s’est très vite inscrit comme le complexe lyonnais leader de sa catégorie.

L’équipe multidisciplinaire de 21 collaborateurs est à l’unisson. Une ruche créative et surmotivée.

« Nos professeurs renouvellent leurs cours tous les deux mois et créent également les musiques qui les accompagnent », précise William. Entre les chorégraphies, les musiques et la création sur support vidéo à destination de la clientèle, la méthode inPusle compte pas moins de 12 concepts ultra-novateurs. « Nous ajoutons cette créativité qui dynamise et identifie fortement notre complexe, mais nous n’oublions pas les fondamentaux : l’échauffement, les bonnes positions du corps, l’adaptation de la charge de travail au potentiel de chaque client. » Aux petits soins, la famille inPulse comptabilise aujourd’hui un millier de membres à Lyon, enfants et adultes, et se retrouve tous les deux mois pour une grande soirée entre les murs du complexe. Pour donner corps à leur punchline : « Exprimez celui que vous êtes. Devenez celui que vous voulez être. Obtenez cette impulsion. Soyez inPulse. » 99, rue de Gerland 69 007 Lyon - 04.78.61.27.04 Renseignements, cours proposés et horaires d’ouverture sur www.inpusle.fr

Store Lyon 2 ème - 5, rue de L’Ancienne Préfecture

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STYLE

SHOPPING

LA BAGUE LYON

Un hommage en or Les Ateliers Tournaire, en collaboration avec Jean Louis Maier remettent au goût du jour la bague architecturale de l’époque mérovingienne avec un modèle unique, clin d’œil au patrimoine lyonnais. Par Sophie Guivarch

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Photos : Saby Maviel

C

’est dans la continuité des traditions que Philippe et Mathieu Tournaire réinterprètent depuis plusieurs années les villes et les constructions qui les ont touchés avec une collection « architecture ». New York, Londres, Paris, Nancy, Limoges, autant de villes qui les ont inspirés que de modèles chargés de symboles, incarnation du luxe et d’un savoir-faire unique. Il ne manquait plus que la capitale des Gaules. C’est désormais chose faite. La bague Lyon a vu le jour cette année après 8 mois de fabrication. Un projet né en collaboration avec Jean Louis Maier, référence incontournable de la montre et de la joaillerie à Lyon qui adhère avec enthousiasme à ce bel hommage rendu au patrimoine. Mathieu Tournaire s’est vu confier la lourde tâche d’imaginer et de réaliser ce monument d’or et de diamants. « Le plus difficile a été de sélectionner les monuments et les symboles de la ville. L’ensemble devait être harmonieux et la géographie cohérente. » C’est ainsi que si l’on observe la bague du dessus on distingue la ville vue du ciel, la presqu’ile au centre qui sépare la rive droite de la rive gauche. On reconnait Fourvière, l’Hôtel de ville, l’Opéra, les pentes de la Croix-Rousse, la Tour de la Part Dieu et enfin les serres du Parc de la Tête d’Or. Des lieux emblématiques et des clins d’œil à la culture lyonnaise qui viennent aussi se glisser sur le corps de la bague, comme cette statue de Louis XIV ou encore le portail doré du Parc. De même, si l’on regarde de plus près, une montée d’escaliers devant Fourvière nous rappelle la procession du 8 décembre, une tradition que l’on retrouve également sur le côté du bijou avec la représentation de lumignons aux fenêtres. Un travail minutieux qui marie des techniques très anciennes comme la fonte à cire perdue et une technologie moderne avec l’usage de l’imprimante 3D. « C’était un vrai défi technique avec la contrainte de réaliser un bijou qui pèse moins de 40 gr et qui soit portable» reconnait Mathieu Tournaire. Question qui effectivement nous taraude ! Comment porter un tel bijou, quelque peu encombrant ?! « Le modèle tout or ou argent et or n’est pas un bijou à porter tous les jours mais plutôt une pièce d’apparat à sortir à certaines occasions » précise-t-il. Une bague aussi destinée aux collectionneurs qui seront séduits par la version XXL en bronze, une sculpture grand format, numérotés et réalisés en 69 exemplaires.

Plus qu’un bijou, un chef d’œuvre !

MAIER JOAILLIER 101, avenue du président Edouard Herriot Lyon 2e www.maier.fr Tél. 04 72 04 90 50 Jean Louis Maier, Philippe et Mathieu Tournaire ont présenté aux élus lyonnais la bague de leur ville de cœur

PEOPLE•EVENTS

CHRONIQUE

par

M

ois oi

Les jolies sorties & belles rencontres de Françoise Petit Photos : Pierre Javelle, Camille Durantet & DR

G

rande rentrée culinaire à Lyon qui espérons-le pour les auteurs se prolongera pour les fêtes de fin d’année histoire de feuilleter à Noël les pages de : « Monsieur Paul et les Autres » (Jean-François Mesplède/ Alain Vavro, éditions Glénat), puis aux éditions Mango : « Bluffez vos enfants » (Grégory Cuilleron) et « Leçons de gourmandises » (Sébastien Bouillet). Au menu littéraire, deux autres livres (parmi tant d’autres) concoctés par les Editions de Saxe. Le thème retenu ? Les apéros chics. Pierre Orsi et Philippe Gauvreau ont été les premiers à répondre au souhait de Laurence Potier, l’éditrice qui a confié à Fred Durantet le soin de réaliser les photos.

Ses visuels dans « Apéro de chef » donnent vraiment envie de faire un capuccino de champignons (Orsi) ou quelques ravioles de tourteaux à la coriandre (Gauvreau).

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Lyonpeople / Novembre 2014

idier Machez peut être fier. Son club affiche une belle vitalité après seulement un an d’existence. En guise d’anniversaire « Business is Business » avait privatisé l’AperiKlub, l’endroit « in » des Brotteaux. Ils étaient 200 à souffler la bougie d’un club foncièrement sympa avec ses quadras émanant du monde économique, juridique ou institutionnel. Créé à Vienne « Business is Business » a séduit des dizaines de Lyonnais venus renforcer les rangs pour déguster les délices de 4 buffets représentant tous les continents avec des vins sélectionnés à fleur de Vallée du Rhône.

Didier Machez, avocat au pays de Fernand Point, mise sur la convivialité, l’échange, et la découverte afin d’inoculer à son club le piment nécessaire pour faire vivre les arts gourmands.

L

a fête de la quenelle à Nantua est chaque année l’occasion de mettre à l’honneur un fameux patrimoine local.

Animations dégustations, fabrications en live (roulage et pochage, beurre d’écrevisses et cie) tout contribuait ce samedi d’octobre salle André Malraux à mettre en appétit. Avant le grand déjeuner chez Jean-Charles Guyot, le concours de la plus belle assiette de quenelles accueillait un jury franco- scandinave avec Per Nordlind, Björn Blomberg, Annie Crouzet et moi-même. Des intronisations ponctuèrent cette fête qui ne serait pas ce qu’elle est sans des Francisque Mercier ou Arlette Berger. Dans le même temps, mais à Lyon, la Maison Giraudet présentait sa nouvelle collection et la mise en lumière de véritables créations autour de l’intemporelle quenelle.

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ilbert Pécoud propose au château Sans Souci à Limonest une exposition temporaire de ses œuvres.

Ce rendez-vous avec un extrait de son atelier est placé sous le regard complice des propriétaires du lieu, Patrick Mehu et Jean-Yves Carpentier.

Ne ratez pas ce moment rare les 13 et 14 Novembre de 18h à 22h.

19Événements

PEOPLE•EVENTS

VU !

+

de photos sur lyonpeople.com

qu’il ne fallait pas manquer Photos : Studio ToniR, Michel Duong & Alain Rico

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DÉFILÉ GANT Des dandys au Docks 40

Le 16 octobre, la marque Gant s’est littéralement emparée du Docks 40 pour une opération séduction. Lors d’un défilé haut en couleurs, Marie-Christine Ziatkowski, directrice de la boutique des Jacobins (14, rue Jean de Tournes - Lyon 2) a présenté sa collection automne hiver. Véhiculant l’esprit sport chic et dandy décontracté, Gant est resté fidèle à son credo toute la soirée. Servi par un personnel arborant la griffe, la clientèle du Docks 40 s’est ainsi vue convier à une vente privé exceptionnelle faisant suite à l’événement. Julien Mathon, l’instigateur de la soirée, nous confie être en étroite collaboration avec la boutique pour que la réussite de cette soirée ne soit qu’un premier pas.

Il nous évoque à demi-mot des événements privés et des ambassadeurs….

03 02 TAPIS ROUGE pour Max Chaoul Renaissance sur tapis rouge pour le célèbre couturier lyonnais qui a repris en main ses affaires, son nom et sa vie tout court. Heureusement que ses jolies mariées étaient là pour illuminer une bien fade édition. La météo clémente n’a pas suffi à cacher les dizaines de boutiques fermées et leurs rideaux baissés. L’association des commerçants, organisatrice de l’évènement, se délite d’année en année (90 adhérents au début des années 2000, contre une trentaine de nos jours). On attend d’elle et de Denis Broliquier un sursaut pour que la rue Auguste Comte conserve son identité.

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Lyonpeople / Novembre 2014

LAURENT CRÉPEAU Bar & 20 La surprise a été totale pour Laurent Crépeau. Le créateur a été l’invité surprise d’un vernissage présentant son propre travail, le vendredi 3 octobre à Lyon ! Le Mâconnais a été très ému et épaté par cette petite exposition installée au 20 bar (20 rue Bellecordière - Lyon 2) et orchestrée en secret par Valerie Menguymorel et ses amis proches. Les murs ont été recouverts de croquis et photos au grand bonheur de ses clients. Le bouquet final a été l’arrivée de sa muse...Marine Lorphelin, Miss France 2013 & Première Dauphine Miss Monde 2013.

O L •P E O P L E

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LES TRIBUNES VIP D’OL- OM Le retour de Yohann Gourcuff

C’est sous le regard de Gérard Collomb et Thierry Braillard, séparés par Jean-Michel Aulas en juge de paix que l’OL qui a mis fin à la série de huit victoires consécutives de l’OM en remportant à Gerland (1-0) l’affiche de la 11e journée face au leader phocéen, dimanche 26 octobre 2014. Un match très tactique des deux Olympique qui a basculé en 2nd période. C’est sur un temps fort de l’OM que l’OL a planté la seule banderille du match par Yoann Gourcuff. Son troisième but en deux matchs.

Bien servi en contre attaque par Alexandre Lacazette, le Breton s’est ouvert le but d’une belle feinte de tir avant de finir en force et du gauche sous la barre de Steeve Mandanda (66’, 1-0).

Photos : Fabrice Schiff

Jean Burdy (Havana Club) et l’équipe du Barrio Club

Jérome Bocuse, Raymone Carlut, Anne Revillon et Marco Chopin (Brasserie de l’Est)

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Hubert-Julien Laferriere, maire du 9ème, Yann Cucherat, adjoint aux sports et Pascal Blache, maire du 6ème

Kader Marouf, Charles Le Roy (Casino le Lyon Vert) et le chef Jean-François Malle (La Rotonde)

Marc Pigeroulet (Arioste), Pierre-Yves Gas (Agence Proxi’com), l’architecte du Patrimoine Cécile Remond, Ghislaine Betton (Pivoine Avocats) et Benoit Toussaint (Chez Paul’o)

Franck Pelissier, son épouse Sandra et Nathalie Echinard

Robert Nouzaret et son petit-fils Mahaut

Georges Képénékian, 1er adjoint au maire de Lyon et son boss Gérard Collomb

Yves Rioton (Séminaires Business) et sa fille Mathilde

Olivier Delorme et son épouse Catherine (Delorme Automobiles)

Thierry Braillard, Secrétaire d’état au Sport et Vincent Labrune, président de l’OM

Roland Tchénio et Denis de Benazé

Thomas Schwenninger, Benjamin Uzel (Alcaix) et l’horloger Jean-Louis Maier

Le retour du Chef Ben

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Hôtes(ses) Accueil

©Nicolas Dartiailh-photographie(s)

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PEOPLE•EVENTS

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JGCH LYON

Jean Louis Maier déshabille la haute horlogerie 400 VIP ont répondu à l’invitation de Jean Louis Maier pour le vernissage des Journées des Grandes Complications Horlogères (JGCH), mercredi 15 octobre.

Pour cette grande première, le joaillier lyonnais a réuni les directions de dix des plus grandes marques de l’horlogerie de luxe. Leurs plus belles complications ont dévoilé leurs rouages les plus secrets du 16 au 18 octobre, dans son Piccolo Teatro de la rue Edouard Herriot. Un événement inédit en France pour un préambule exceptionnel autour d’un apéritif dinatoire 3* réalisé par la maison roannaise Troisgros. A cette occasion, Jean-Louis Maier a été fait Ambassadeur de la Fondation de la Haute Horlogerie en présence du directeur de la Fondation Pascal O. Ravessoud, du président-fondateur de « La Cote des Montres » Thierry Castagna et du DG de Piaget France et Royaume-Uni Olivier Perruchot.

Photos : val-fpg.com & Saby Maviel

Jean Louis Maier entouré de Michel Troisgros et ses 2 fils, Léo et César

Franck Robinet (Jaeger-LeCoultre) et Olivier Perruchot (Piaget)

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Jean-Christophe Cabot (Sotheby’s), Philippe Cochet (Armatures savoyardes), Alain Sanad et Jean Louis Maier

Maserati Gauduel partenaire des JGCH

Frédéric Tempier et Camille Bigot (Parmigiani Fleurier)

Emmanuel Breguet et Stéphanie Kirkorian (Breguet)

Frédéric Parisot et Marie-Pierre Anselot (Piaget)

Arnaud Blandin et Mailynh Boniatzis (Blancpain)

Laurence Brunel (Pomellato) et Jean Louis Maier

Pierre et Françoise Cottendin

Victor Bosch (Le Radiant) et l’architecte Albert Constantin

Jean-Pierre Chillet et Pascal Cot (Groupe Cot)

Caroline Lamberet, Audrey Lagoutte, Marlène Seguy et Laura Uzel-Maier

Laura et Benjamin Uzel

Marie Briet et Renée-Laure Deschanels

Laurent Fiard et Christian Donzel (Visiativ)

Jean Louis Maier

Romée de Tarlé (RT Conseils), Franck Isaac-Sybille (LOU Rugby), Catherine Bex (Champagne Duval Leroy) et Serge Bex (OL promotion)

Franck Robinet et Clément Bottenwieser (Jaeger-LeCoultre), Magali et Benoît Castanet

Nicole Saubier entourée de Cris et son épouse Tatiane Gomes

Alain Delamuraz (Blancppain), sa fille Marie et Michel de Rohozinski (Azur Hélicoptère)

Stéphane Zerbib (Gem-Tradipain), Sébastien Gaigher (Rolex) et Eric Jungaud (Sky Bar)

Gaëtan Muller (Asvel), Céline Napoly (Asvel) et Vanessa Sibelet (Maier)

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PEOPLE•EVENTS

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COMPAGNIE NATIONALE DU RHÔNE La soirée des 80 ans

Un long ruban bleu qui s’écoule du lac Léman à la Camargue, en passant par Lyon, tel est le terrain d’action de la Compagnie Nationale du Rhône qui a soufflé mercredi 15 octobre ses 80 bougies en présence de Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, accueillie par la présidente de la CNR Elisabeth Ayrault. Une présence qui à elle seule traduisait l’importance de cette entreprise. Alors même que de nombreux Lyonnais n’en n’ont pas toujours conscience. Amoureux de leurs fleuves, ils sont peu nombreux à en connaître tous les méandres. Pour ce qui est du Rhône, dont ils adorent les nouvelles berges pour flâner ou se restaurer, l’opérateur qui l’a dompté sur toute la vallée n’est autre que la Compagnie Nationale du Rhône qui a fêté les 80 ans de sa concession. Une très belle manifestation mise en scène par les équipes de LSP (La Sphère des Possibles) qui a réuni dans le cadre inhabituel mais hautement symbolique de la centrale hydroélectrique de Pierre-Bénite le gratin économique et politique des décideurs rhônalpins. Se succédant à la tribune à l’invitation de Philippe Montanay, les interventions de Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, Gérard Mestrallet, PDG de GDF-Suez, Michel Margnes, président du Conseil de surveillance de la CNR, Pierre-René Lemas, DG de la Caisse des Dépôts ont été suivies avec attention par les 700 participants. L’expert international des questions climatiques Pierre Radanne a rappelé tout l’enjeu des énergies renouvelables. L’académicien Erik Orsenna est venu apporter sa touche poétique et intemporelle. Le « collectionneur de fleuves » a annoncé avec Elisabeth Ayrault la création d’un Observatoire des initiatives pour l’avenir des grands fleuves dont le siège sera basé au Musée des Confluences. Le cocktail dinatoire était à la hauteur de l’événement, Serge Magner a conçu spécialement une prestation rassemblant tous les produits de la vallée rhodanienne. Texte : Marc Polisson - Photos : Fabrice Schiff

Elisabeth Ayrault, présidente de la CNR accueille Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon

Gérard Mestrallet, PDG du groupe GDF Suez, Elisabeth Ayrault, présidente de la CNR, Pierre-René Lemas, DG de la caisse des Dépôts, Jean-Jack Queyranne, président du conseil régional Rhône-Alpes et Michel Margnes, président du conseil de surveillance de la CNR

Philippe Montanay (Maniac Média), animateur de la table ronde réunissant Gérard Mestrallet, PDG du groupe GDF Suez, Pierre-René Lemas, DG de la Caisse des Dépôts et Jean-Jack Queyranne, président du conseil régional Rhône-Alpes

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Catherine Mayenobe (Caisse des Dépôts) et Elisabeth Ayrault, présidente de la CNR

Petite révision avant les discours

Géraldine Soulier et Alain Huet (Medef)

COMPAGNIE NATIONALE DU RHÔNE : LES 80 ANS

SÉGOLÈNE ROYAL, ministre de l’Ecologie « La CNR est une magnifique société à valeur d’exemple pour la loi sur la transition énergétique »

Philippe Montanay (Maniac Média), dans le rôle de monsieur Loyal

ELISABETH AYRAULT présidente de la CNR

« La CNR doit respirer le futur »

Ségolène Royal raccompagnée par Jean-François Carenco, Préfet du Rhône et Bruno Bonnell (Robopolis)

Eric Bitton, Catherine Wantz (GDF-SUEZ) et Pierre-Jean Grangette (CNR)

Que le rideau se lève…

Quid de la Compagnie Nationale du Rhône

L’assemblée

Ses 19 centrales hydroélectriques disséminées tout au long du Rhône qui tournent à pleine puissance sont les symboles tangibles et visibles de la mission de cette société fondée en 1933 à l’instigation d’Edouard Herriot, maire de Lyon, et du parlementaire isérois Léon Perrier.

Depuis cette date, et l’année suivante où l’Etat a concédé le Rhône à la CNR, l’entreprise dont le capital rassemble à la fois des partenaires publics et privés (153 collectivités locales, la Caisse des Dépôts, GDF-SUEZ) n’a cessé d’aménager le fleuve, le dotant d’aménagements hydroélectriques, de 14 écluses à grand gabarit, indispensables au transport de marchandises et de passagers qui connaît un succès croissant, et de canaux d’irrigation et de stations de pompage pour l’irrigation. Ses centrales produisent une énergie 100% renouvelable, tout comme ses installations éoliennes et photovoltaïques qui se développent depuis les années 2000, et s’inscrivent pleinement dans la démarche écoresponsable qui a animé les débats de la nouvelle loi sur la transition énergétique défendue par Ségolène Royal et votée très largement à l’Assemblée Nationale. Une société dont le siège social est toujours à Lyon (à la sortie du Tunnel de la Croix-Rousse, côté Vaise, pour être précis) dont le savoir-faire rayonne à travers le monde (Canal de Panama…) et qui fait la fierté des Lyonnais.

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PEOPLE•EVENTS

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Bruno Bonnell (Robopolis), Jean-Michel Aulas, président de l’OL et Pierre-René Lemas, DG de la Caisse des Dépôts

GÉRARD COLLOMB

sénateur-maire de Lyon

« Le Rhône est un amour pour les Lyonnais »

Yves Theoleyre (Mat’Electrique), Danny Morsilli (La Sphère des Possibles) et Jean-Roger Regnier (CCI)

Raphaëlle Yon-Araud (Greenopie), Bertrand Porquet (CNR) et Béatrice Ailloud (GDF Suez)

Alban Terrier et Sandra Hitouche (Chez moi Prod)

Olivia Cuir (Esprit & Sens) et Sébastien Olive (Extra)

Isabelle Elziere, conseil général de la Drôme et Jérôme Maleski, conseiller municipal de Lyon

Monique Novat (VNF) et Philippe Magherini (CNR)

Jean-Claude Lassalle (Progrès) et Jean-Jacques Mulot, président de la Fédération Française d’Aviron

Guillaume Bettin et Alexandre Schotter (Eiffage TP)

Marc Fraysse (Cofely GDF Suez) et Arnault de Calonne (GDF- SUEZ)

PIERRE RADANNE

expert international sur le climat Sylvain Colas (CNR), Bernard Buffard, François Garcia, Danny Morsilli (La Sphère des possibles), Philippe Montanay (Maniac Média) et Marco (Lyon People)

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Lyonpeople / Novembre 2014

« Il faut construire ce siècle, il faut l’aimer ! »

COMPAGNIE NATIONALE DU RHÔNE : LES 80 ANS

ERIK ORSENNA

de l’Académie Française

« Je plains les villes qu’aucun fleuve ne traverse ! »

Frédéric Bessard (Serge Magner Traiteur), Sylvain Colas (CNR) et Nicolas Bret (Serge Magner Traiteur)

Gérard Angel (Les potins d’Angèle), Thomas San Marco (CNR) et Erik Orsenna

Bernard Defudes (ACM) et Chrystelle Voyeau (Stravos)

La CNR en chiffres

Création en 1933 Concession du fleuve accordée en 1934 19 centrales hydroélectriques 3% de la production électrique française 25% de la production hydroélectrique française 31 parcs éoliens 11 centrales photovoltaïques 14 écluses à grand gabarit de Lyon à la Méditerranée 400 kilomètres de digues 8,38 millions de tonnes transportées sur le fleuve CA 2013 : 1,350 milliards d’euros Redevance versée à l’Etat : 186 millions d’euros Effectif : 1361 personnes

Cyrille Davin et Gérald Frene (Alstom)

Emmanuelle Fourey, Laurence Duchesne et Valérie Chabrier (CNR)

Stéphane Chassignol, Yvon Deschamps, président de Grand Lyon Habitat et Christelle Delmas

Michel Margnes, président du conseil de surveillance de la CNR et Guillaume Normand (GDF Suez)

Sylvain Colas (CNR), Olivier Messian et Jérôme Pacau (agence Lonsdale)

Bon anniversaire

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PEOPLE•EVENTS

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Erich Megroz, Laurence Ronsier, Gilles Lefèvre et Jean-Luc Mallinjoud

Francis Truchot et Jean-Marc Feuillas

Arnaud Seguin et Xavier Laine (1er Brut)

Françoise Berbette, Gilles Pappas, Sylvie Pappas et Henry Lacombe

Gilbert Reboul, Toque Blanche lyonnaise, chef du GCL

Thomas Chabaud et Stéphane Gagnolet (4e Net)

Camille Artaud (marketing Delorme), Justin Delorme (directeur Audi), Pauline Delorme et Yves Serrière (chef des ventes)

Le podium

Christine Lopez, Louis Eric et Caroline Beckensteiner

Pause crêpes

AUDI DELORME GOLF CUP 2014 Golf Club de Lyon

Pour sa 21e édition, le trophée Audi Delorme 2014 s’est déroulé au Golf Club de Lyon les 27 & 28 septembre derniers.

A l’invitation d’Olivier Delorme et avec la présence exceptionnelle de Sébastien Chabal, 240 golfeurs ont participé à cette compétition sportive et amicale sur la parcours des Sangliers. Au final, les binômes Arnaud Seguin/Xavier Laine (Brut) et Thierry Gardon/Jean-Pierre Perron (Net) se sont adjugés cette 21e édition. Un week-end passé sous le soleil et sur les greens magnifiques de Villette d’Anthon. Photos : Anik Martin

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Lyonpeople / Novembre 2014

Alexis Mercieca, Pierre Mazouat, Frédéric Barba, directeur du GCL, Sacha Theocharis et Maxime Cherchi

PEOPLE•EVENTS

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SOIRÉE OVALGREEN

Le pot de départ de Gaëlle Viegas Dans le cadre du 4e afterwork de l’Ovalgreen Lyon, tous les partenaires de la 11e édition étaient réunis à la concession BMW MINI Gauduel à Vaise pour visionner le clip vidéo résumant la belle journée du 20 juin dernier au Golf du Gouverneur. Une soirée surprise puisque Gaëlle Viegas a créé la sensation en annonçant son départ de Media Sport Promotion. « Sans vous, rien n’aurait été possible. Après 10 ans passés au côté de «l’emblématique» Jean-Claude Pietrocola, j’ai décidé de partir vers de nouvelles aventures! ». La directrice associée de Média Sport Promotion reste pour le moment discrète sur sa future destination professionnelle.

Tous nos vœux t’accompagnent, chère Gaëlle !

Photos : Fabrice Schiff

Audrey Cunat (BMW Gauduel), Barbara Tixier (Mini Gauduel), Géraldine Carret (Elleixir) et Laurence Chevalier (Mini Gauduel)

Eric Payen et son épouse Christine

Joël Madeleine (Société Générale) et Véronique Speltdoorn (Club affaires du Gouverneur)

Marie Lextrait (Answer Compagnie) et Estelle Blanchard (Moréno)

Hervé Goepfert et Audrey Lopez- Peyronnet (Couleur Sport Productions)

José Messer (AG2R), Vinciane Neyret (Le Petit Monde) et Maxime Messer (House Kitchen)

Christelle Champion (Les Audacieuses) et Catherine Descours (Château Sans Souci)

Patrick Vuillemin (Billard René Pierre) et Elie Cunat, DG du Groupe Gauduel

Djamila Calla (Ccom Calla) et Thierry Bouchet (Champagne de Venoge)

10 ans !

Arnaud Guigon-Vidal (Next Régie) et Christian d’Aubarède (Tonic Radio)

Emilie Teyssier (Schweppes-Orangina), le chef Cyril Marlard (Elleixir) et Mathilde Resillot (Les Toques Blanches du Monde)

Christophe Gerbaud et Corinne Paris (Assurances Paris-Gerbaud)

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PEOPLE•EVENTS

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Magali Villaret (Groupe Amallia), Erick Roux de Bézieux (Syntagme) et Amélie Blondin (TNT)

Gilles Salgas (Areva), Béatrice Ailloud-Kermin et Guillaume Normand (GDF Suez)

Fabienne Drouel (Coatex), Christine Legrand (CPE Lyon) et Sophie Suc (Arkema)

Laurent Gesse (Axial) et Sylvain Colas (CNR)

Gérard Auboeuf, Aurélie Moretto (Only Lyon) et Pascal Chopin (JC Decaux)

Jacques Simonet (InterMédia) et Gabriel Guedj (Magazine)

Françoise Estienne (ERDF) et Carole Barbier (BASF)

Jean-François Granat (Bluestar Silicones) et Philippe Hassel (Apicil)

Jean-Yves Secheresse, adjoint à la Sécurité et Guillaume Marin (Ville de Lyon)

Emmanuelle Magliano (Groupe Métropole), Yvon Léa (Banque Rhône-Alpes), Marie-Anne Girel (Integra) et Eric Vernusse, président du club de la Com

CLUB DE LA COMMUNICATION La soirée des 20 ans

Une centaine de dircoms réunis dans les salons de l’Hôtel de Ville. Il fallait bien un évènement exceptionnel pour un pareil challenge. Pari réussi pour Eric Vernusse qui a su faire des 20 ans du Club de la Communication qu’il préside une soirée réussie. Tant sur le fond avec la table ronde très vivante réunissant Jacques Simonet (InterMédia), Bernard Reybier (Fermob) et Bruno Bonnell (Robopolis) que sur la forme (grâce au délicieux buffet préparé par les Toques Blanches). L’animation la plus applaudie est à mettre au compte des étudiants Infocom de Lyon III à travers leurs vidéos un tantinet décalées mais pleines de naturel et de fraîcheur. La relève est assurée !

Photos : Fabrice Schiff

Isabelle Huguet (Biennale de Lyon), Bernard Reybier (Fermob) et son épouse Sylvie Vincent Reybier

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Lyonpeople / Novembre 2014

Anne Protheau (Université Catholique de Lyon), Wilfried Mercklen (Estri) et Emmanuelle Almendra (CPE Lyon)

Bruno Bonnell, Nadine Castellani (Orange), Severine Durand (Egis) et Dorothée Phelip (Apicil)

Stéphane Morot-Sir (ASVEL), Marc Berthod (Keolis), Gaëtan Muller (ASVEL) et Judith Samain (GM Sports)

Estelle Verchere (Ecole sup de com) et Claire Labaune (ISCPA)

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Maison du bien-être Découvrez l’halothérapie (soin par le sel) Les bienfaits d’un week-end à la mer en 45 minutes

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PEOPLE•EVENTS

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Le jury : Jérémy Desprets (Directeur de Confluence), Laurent Bouvier (Président des Toques Blanches), Philippe Florentin (Zinc-Zinc), Christophe Marguin, Lauren Perret (La Criée) et Benoît Toussaint (Chez Paul’O)

Benoît Toussaint (Restaurant Chez Paul’O), David et Christophe Marguin

Philippe Girardon, 1 étoile et Meilleur Ouvrier de France 1996

Philippe Montanay et Laurent Bouvier (L’Elleixir)

La petite touche finale !

Le discours de Philippe Florentin (Zinc-Zinc)

L’annonce des résultats par Christophe Marguin

Marc, le gagnant du concours amateur de cuisine, reçoit des mains de Jérémy Desprets un an de gastronomie dans les meilleurs restaurants de la région

« Le pot-au-feu de foie gras » de Marc, gagnant du concours

Le chef Joseph Viola devant des spectateurs très attentifs !

Sebastien Bouillet réalisant sa tarte au citron

UNEXPECTED CHEFS À CONFLUENCE Quand la cuisine se donne en spectacle !

A l’occasion de la semaine de la gastronomie, qui s’est déroulée du 22 au 25 octobre, le Pôle de Commerces et de Loisirs Confluence a mis les petits plats dans les grands !

En partenariat avec les Toques Blanches, les curieux ont pu suivre au fil des jours des démonstrations de cuisine avec 4 grands Chefs, de nombreuses animations dont notamment, la grande finale du concours amateur de cuisine débuté en juin dernier où nos quatre candidats se sont affrontés lors d’une ultime épreuve devant un jury de professionnels que présidait Christophe Marguin.

Photos : val-fpg.com

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Lyonpeople / Novembre 2014

Christophe Marguin au micro sous les yeux attentifs de Jérémy Desprets et Philippe Montanay (Maniac Media)

PEOPLE•EVENTS

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LE 26ème RENDEZ-VOUS DES VIGNERONS Vignes & Vins

26 vignerons pour cette 26ème édition. Ahmad Fazeli aime les comptes ronds, à l’image des vins qu’il commercialise depuis bientôt trois décennies.

26 vignerons représentant toutes les régions viticoles de France avec une majorité de domaines de la Vallée du Rhône et de Bourgogne ont fait le déplacement cette année. 600 palais à rassasier tout au long d’une journée qui a connu son pic de fréquentation à l’heure de l’apéro de midi. Fin des hostilités entre connaisseurs le soir-même dans le cadre ultra chic du Burgundy Louge, quai Saint-Antoine.

A l’année prochaine ! Photos : Anik Martin 53, avenue de Saxe – Lyon 3 Tel 04 37 48 85 40

Arthur Fazeli, Paul Amsellem (Domaine Georges Vernay), Paul et Ahmad Fazeli

Antoine Clément (Domaine Méneret)

Clovis Khoury (Maison Clovis) et Ahmad Fazeli

Romain Jambon, Lena Borsoi, Aleth Monin, Paul Henri Thillardon, Ahmad Fazeli, et Marwan (Cousin Cousine)

Patrick Jasmin (Domaine Jasmin – Côte Rôtie)

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Lyonpeople / Novembre 2014

Didier Voïta, Odile et Marc Ferrini, Mathieu Barret (Domaine Barret)

Christophe Semaska (Château de Montlys Côte Rôtie : vin dédié au président chinois lors de sa venue), Michel Hernandez (Domaine Saint Joseph, Gripa, Semaska)

Antoine Le Petit (Domaine Leflaive), Paul Amsellem (Domaine Vernay) et Thierry Brouin (Domaine des Lambrays)

Claire Naigeon (Château de la Tour, Pierre Labet)

Christelle Fontaine (Mail Boxes Etc), Marie Melodie Condette (directrice commerciale Vins de Vienne)

Alain Gras (Domaine Gras)

Philippe et Christine Rajon, Ahmad Fazeli

Nicolas Mestre (Domaine Michelot)

Paul Raffier (vins Jean-Luc Colombo)

PEOPLE•EVENTS

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Franck Grandet, Dorine Fromentin et Lauren Cot (Habitat)

Sandrine Druguet (Lune de Miel)

Cindy Chamorro et Romain Reizig (Habitat)

Lauren Russeil, Julie Bernadou (NINCAR) et Pierre Bonnet (Riou Freyt Events)

Patrick Travers et son épouse Odile

Le double anniversaire d’ HABITAT

VILLEFRANCHE

Back to basics ! Pour son 50e anniversaire, Habitat révise avec élégance ses fondamentaux. Créée en 1964 par Terence Conran, la griffe de mobilier a fait appel au designer des origines pour orchestrer les festivités. En effet, le fondateur d’Habitat signe pour les 50 ans un service à thé Art Déco en porcelaine blanche qui respecte l’essence de la marque : beau, utile et accessible. Dans la même veine, l’étoilé Thierry Marx a mis la main à la pâte autour d’une collection de couteaux, poêle, tasse à thé en hêtre qui s’enrichira au gré des envies du chef. Cerise sur le gâteau d’anniversaire, c’est avec des rééditions de meubles de l’architecte Robert Mallet-Stevens, fer de lance du Bauhaus, qu’Habitat boucle cette collection spéciale.

Trois noms pour un retour aux sources du design, qui a convaincu les convives de l’enseigne caladoise venu fêter le 1er anniversaire d’Habitat Villefranche à l’invitation de Lauren Cot, le 9 octobre dernier. Photos : Virginie Bisignano

Patrice Baudin (Balloon), Christine Voiron (Jefferson et Lorents) et Sylvie Baudin (Cashmere Market)

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Lyonpeople / Novembre 2014

Richard Castronovo (BMW Gauduel) et Nathalie Cot (Habitat)

Brigitte Laurent, Maxine Sommier, Alexandra Naime et Fatima Bonnefond (Equipe Habitat)

Jean-Claude Tranquard, Nadège Quillia, Marc Montoya et Sophie Houplon (Habitat)

Richard Voiron (Jefferson et Lorents), Christian Liogier et son épouse Françoise (Liogier)

PEOPLE•EVENTS

Ariane Toscan du Plantier

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Yves Brucker (BNP Paribas), Etienne et Céline Barel (BNP Paribas), Johan Révillon (Fidusab)

BNP PARIBAS

en pointe sur l’Entrepreneuriat Féminin BNP Paribas a choisi la Plateforme, quai Augagneur à Lyon, pour réunir plus de 150 femmes chefs d’entreprise de la région autour d’une conférence sur l’Entrepreneuriat Féminin, le 16 octobre dernier. Invitée dans le cadre du Festival Lumière dont BNP Paribas est principal partenaire, Ariane Toscan du Plantier a lancé cette thématique sans tabou et Maria Pelletier, directrice de Moulin Marion, a livré sa vision de la vie d’entrepreneure. Dans une ambiance chaleureuse, de nombreux invités sont venus partager l’expérience de ces intervenantes d’exception.

Toujours en pointe sur cette thématique, BNP Paribas a signé en 2014 une convention de partenariat avec le Ministère des Droits des Femmes pour promouvoir l’entrepreneuriat féminin, enjeu important de création d’emplois et de performance économique.

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Lyonpeople / Novembre 2014

Laurence Bacci (BNP Paribas) et Roxanne Dimier (DPG associés)

Anne-Julie Chauve (Make It Work) et Marie-Andrée Mandon (Menez Immobilier)

Emmanuelle Perret (BNP Paribas), Emilie Dumond (BNP Paribas), Pascal Cotte (Groupon)

Amandine Sastre (Cabinet Bertheas), Sabrine Soulier (Erilea), Nadia Brouillat (BNP Paribas)

Table Ronde : Emilie Bonnivard (Caisse des Dépôts), Marianne Tardy (Rhône-Alpes active), Claire Saddy (REF) et Damien Paloque (BNP Paribas)

Photos : Nicolas Rodet

Ariel Kessous (Cap Gemini) et Jessica Bron (C&S Avocats)

Franck Bacci (BNP Paribas), Monique Roux (ICM Industrie) et Cécile Jamier (BNP Paribas)

Gérard Peycelon (BNP Paribas), Maitre Bittard (Cabinet Avoc’Art), Maitre Pierre Fronton (Cabinet Avoc’Art et adjoint au maire du 3ème), André Bretin (BNP Paribas)

Cathy Coleon (CCl Performances) et Maryline Sylvestre (Contact RH)

Béatrice Des Brosses (BNP Paribas), Etienne Barel (BNP Paribas), Marianne Tardy (Rhône-Alpes active), François-Nicolas d’Alincourt (journaliste), Maria Pelletier (Moulin Marion)

Crédits Photos : Warwick Reine Astrid - Jeff Nalin

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PEOPLE•EVENTS

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LE GROUPE DELORME & ROCHE BOBOIS roulent des mécaniques

Une soirée de présentation exceptionnelle s’est déroulée mercredi 8 octobre à l’initiative des deux enseignes lyonnaises. Ouvrant la saison des nouveautés, Raoul Bruyère dévoilait dans son showroom du cours de la Liberté la collection Automne-Hiver 2014-15 Roche Bobois. Au mobilier haut de gamme répondaient les rutilantes mécaniques du Groupe Delorme. De superbes modèles d’Audi A7, dont un cabriolet, exposant leurs chromes et leur ligne racée au vu des centaines d’invités qui ont répondu à l’invitation conjointe des deux marques VIP de Lyon. Photos : Saby Maviel

Jean-François Mermet son épouse Marie et Gilles Bruyère (Roche Bobois)

Alexis Bruyère (Roche Bobois), Camille Artaud et Justin Delorme, directeur Audi groupe Delorme

Catherine et Olivier Delorme, président du Groupe Delorme Automobiles

François Blanchot (Foncière d’Habitat Humanisme) et Philippe Sanchez (Ecole Centrale de Lyon)

Maître Jean-Pascal Roux, notaire, Christian Fick (Société Générale banque privée) et Vivianne son épouse (ORPI Caluire)

Joachim Gladel, Sandrine, Sébastien, Camille Artaud et Justin Delorme, directeur Audi et Yves (groupe Delorme)

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Lyonpeople / Novembre 2014

Jean-Paul Mercier et son épouse Joëlle (Classhotel)

Béryl Maillard, consul de St Domingue, Axelle (Lyon People), Richard Thavel (SCP Zerbib) et Pascale Landoin (Ophélie Bijoux)

Joachim Gladel (Audi Groupe Delorme), Denise Ducourthial et Pierre Amant

PEOPLE•EVENTS

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Marcel Prolange (Setreal, Philippe Calendreni, Michel Romanet (Maire d’Arnas), Jean-Patrice Bernard (Président du groupe Bernard), Laurent Farman et Jean-Luc Remilly (Setreal)

Benjamin Bresson (BT), Aurélie Davijian (RTO) et André Vigne (RTO HRD)

Daniel Martellon (RTB), Catherine Taithe (Stock deal) et Eric Demasin (Ford France)

SETREAL rénove

Laetitia Perrin et Gérald Goma (Bernard Trucks)

Jean-Pierre Grangier et Cyrille Mercier (Kolorz)

Aurélie Davijian et Patrick Laforest (RTO)

le site Bernard Trucks d’Arnas

15 sites en France et en Pologne, près de 500 collaborateurs et plus de 2.240 véhicules livrés en 2012. Après Villefranche, le groupe Bernard conforte son implantation aux portes du Beaujolais avec la réhabilitation et la mise aux normes écologiques et technique de la concession Bernard Trucks à Arnas. L’entité familiale a dévoilé son nouveau site, réalisé par Setreal, à l’occasion d’une grande soirée d’inauguration le 15 octobre dernier. A l’invitation du président Jean-Patrice Bernard, les invités, partenaires et clients ont pu découvrir en avant-première les locaux flambant neufs dédiés à la commercialisation des véhicules industriels et utilitaires légers.

Marcel Prolange, Emmanuel Fernandes et Jean-Luc Remilly

Laurent Farman, DG Bernard Trucks, Stéphane Guyon, sous-préfet de Villefranche et Manuel Fernandes

Hervé Bel (Bernard Trucks), Nelly Philibert (USBPA Rugby), Georges Chenaux (TGC) et Gilles Malaval (Frigo block)

Christophe Colomb (Renault Trucks), François Salel (AGT Salel) Stéphane Cornet (Bernard Trucks) et Pierre Sirolli (Renault Trucks)

Photos : Lionel Pinar

Bernard Trucks - 290, avenue de Joux - ZI Nord - 69400 Arnas 04 74 45 82 60

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Lyonpeople / Novembre 2014

Lyonpeople / Novembre 2014

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PEOPLE•EVENTS

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Bénédictine Adrian et Aurelio Rossini (Arlim)

Bernard Scapaticci, son épouse Murielle et Laurence Chevalier (Mini Gauduel)

Sandrine Pouquine (Kare) et Pascal Cot

Mathieu Van Veenendaal (Impact) et Aurélia Taine (Fiducial)

Lisa Jacquet (Mini Gauduel) et Christophe Mayer (Digiplay)

Yannick Marie (Sofranext)

Lancement de la

NOUVELLE MINI 5 PORTES

Passée au format XXL, la nouvelle Mini 5 portes a montré ses muscles lors de la soirée de présentation du modèle chez Mini Gauduel, le 8 octobre dernier. Dans l’univers ultra-design de la concession de Vaise, la petite dernière de chez Mini s’est offert un bain de foule en mode superstar. De nombreux invités ont répondu présent pour découvrir la merveille exposée sous toutes ses coutures, magnifiée par les spotlights multicolores du showroom. Buffet signé Laurent Bouvier et réactions plus qu’enthousiastes, le nouveau tube signé Mini a été reçu 5/5.

Photos : Fabrice Schiff

Frédéric Muller (Gauduel), Roger Girandon et Michel Lopez (Korloff)

Julia Charamel et Geoffrey Delezinier (Cabinet Hermes)

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Lyonpeople / Novembre 2014

Dominique Palumbo (Mini Gauduel) et Peter Haentjens (Gestinov & Co)

Géraldine Kress (Materne) et sa fille Emma

Frédéric Caparos (Mini Gauduel) et Jean-Luc Marcombe (Salengro Automobiles)

Béryl Maillard, consul de St Domingue

PEOPLE•EVENTS

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LE CLUB DS PRIVILÈGE

monte le son à Lyon avec le W9 Home Festival Dans la droite lignée des « Nuits DS », le Club DS Privilège est devenu partenaire du W9 Home Festival à Lyon. Leur crédo ? Organiser des concerts live dans des appartements et villa privées d’exception. Soul, rock, hip-hop, chansons françaises ou électro, le W9 Home Festival a accueilli pour sa 3e édition de nombreuses têtes d’affiche et pléthore d’artistes confirmés de la scène française. La guest list ?

Calogero, Bénabar, Christine and the Queens, The Klaxons,Brigitte, Asa, Irma, Ben l’Oncle Soul, Selah Sue ou encore Isaac Delusion… C’est l’artiste Imany qui a ouvert le bal lors d’un concert très privé dans une magnifique villa décinoise, le 26 septembre dernier. Des showcases atypiques et uniques proposés de façon privilégiée aux membres du club des possesseurs de véhicules DS. Vous restez sans voix ? Bienvenue dans l’univers DS Privilège. Photos : Saby Maviel

Ingrid Perelle (Cozip), Aline Germain (Citroën), Stéphanie Orliange (SOS Archi), Philippe Greusset (ISIS) et Christelle Cimetière (agence EMC)

Davy Chapelain et son épouse Marie (D et Marie Events)

Muriel Delanoue (Oui Art) et Dominique Grégoire, speaker Olympique Lyonnais

Jérémie Chevret (Plus de Prod) et Valérie son épouse

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Lyonpeople / Novembre 2014

Bertrand Chastel (Citroën Grand Lyon Société), Jean-Marc Altoviti (Citroën), Aline Germain (Citroën), Aymeric Pichevin (cofondateur W9 Home Festival) et Philippe Menguy (Directeur régional Citroën)

Sophie Baylot et Deborah Lafarge agence d’architecture (Philippe Guenot)

Julien Goyer (Legrand) et Stéphanie Pesenti (Cité Lib)

Christelle Cimetière (agence EMC), Gérard Tranchand et son épouse Martine, Pascal Pancrazio (Lyon Ouest Immobilier) et Aline Germain (Citroën)

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PEOPLE•EVENTS

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David et Serge Massot entourent Stéphanie Fugain

Françoise Mary (Allianz), Nicolas et Audrey Silly (café du Gros Caillou), Crystelle et Eric Blanchard (Objectif Retraite)

Jean-Claude Riquier (Innov’Care), Nadine Ferri (Ec MatLoc)

Maître Nathalie Pagnon (Salmon Legagneur & associés) et Marie-Clotilde Vial (Siparex)

Jean-Michel Borne et Florence Jouin (Studio Anatole)

Pascal Bahuaud et Joel Doux (Lyon-Kayak)

Thierry et Sybille Grisard (clinique Champ du Périer et Dédicace Architecture)

Nathalie Dropsy (Mylan) et Stéphan Martin-Michaud (Cisco)

Stéphanie Fugain (Association Laurette Fugain) entourée de Virginie Nogueras (Ex’pairs Formation) et David Georget (Es’Tête)

L’équipe Décines Santé avec sa directrice Marie Branchu (5e partant sur la gauche)

Association Laurette Fugain

DINER DE GALA AU CIRQUE IMAGINE

Créée en 2002, l’association Laurette Fugain, qui lutte contre la leucémie proposait un diner de gala sur la piste aux étoiles, jeudi 16 octobre. Chapiteau et tables dressés, toute l’équipe du Cirque Imagine, qui hébergeait l’événement, a accueilli les invités aux côtés de la présidente Stéphanie Fugain. Une soirée magique autour d’un repas raffiné et d’un spectacle unique proposé par les artistes circassiens.

L’émerveillement et la solidarité étaient au rendez-vous du diner de gala de l’association Laurette Fugain, qui dans sa démarche soutient tout à la fois la recherche médicale, mobilise le grand public autour des dons de vie (sang, plasma, plaquettes, moelle osseuse, organes) et aide les patients et les familles.

Photos : Anik Martin

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Les bénévoles avec Stéphanie Fugain

Cléo Sciscioli (Erytech Pharma), Cédric Duarte, Fanny Gallix (Erytech Pharma), Jérémy Bouteille

Jacques Mary, responsable de l’antenne de Lyon et Stéphanie Fugain, présidente de l’association Laurette Fugain

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MY PARTY TOUCH

Alexandre Billard aux platines du Lyon Vert Plus de 700 personnes ont ambiancé les salons du casino Le Lyon Vert à l’occasion des anniversaires du DJ Alexandre Billard et d’Eva Partouche, organisatrice de la soirée. Noël avant Noël à Charbonnières. Au cours du cocktail dînatoire offert en guise de tour de chauffe, un tirage au sort a permis aux invités les plus chanceux de gagner des bons Uber, des montres Korloff et des accessoires Nagabbo. Place ensuite à une énorme soirée clubbing avec différents DJs qui nous ont fait danser jusqu’au bout de la nuit avant de laisser Alexandre Billard faire parler son talent. En bonus, les show-girls de Katana World ont parsemé nos yeux de paillettes tout au long de la fête.

Photos : val-fpg.com

Charles Le Roy (Casino Le Lyon Vert), Geneviève Blanchard, Chantal Partouche et Kader Marouf

Le tirage au sort animé par Michel Lopez et Franck Azoulay

Etsuo, Nadette Yoneyama (PDG Korloff) et Michel Lopez

Pierre-Yves Gas (Proxicom) et le DJ Alexandre Billard

Cyril et Mickaël

Hervé Ghipponi (Solvimo Oullins) et Jérôme Brune (Les Carnets d’Edouard)

Alexandra, Arnaud et Chloé

Mike et Cisco

Sheriane, Maissane, Nicolas et Marie

Laure, Jean-Christophe et Sam

Chantal Partouche, Laura, Claude et Armelle

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Hedi, Samira, Solène, Ombeline, Eve-Line, Déborah et Axel

Lyonpeople / Novembre 2014

Sophie, Alexia, William Senglet et Maud

CARNET MONDAIN Naissances 08/10/2014 - Ostiane chez Elodie et Erick Roux de Bézieux

Mariages 30/08/2014 - Anne-Caroline Billioud et Clément Sentis

Ostiane entourée de son frère Alexandre et de sa sœur Camille

Disparitions Dans nos intentions de prière, Monsieur Gilles Renault, ancien président du club 3A ; Madame Ghislaine de Fumichon ; le docteur Jean Barral ; Madame Anne Dupond ; Madame Nathalie Dulac ; Madame Jacqueline Lassagne et Monsieur Maxime Scherrer.

Fête Nationale d’Arménie Château de Sans Souci

Affluence oblige, c’est finalement dans les salons de réception du château de Sans Souci que Nicolay Sarkisov a convié une centaine de Lyonnais pour célébrer la fête nationale d’Arménie en présence de Son Excellence Viguen Tchitetchian, ambassadeur de la République d’Arménie en France, accueilli par de nombreux élus de l’agglomération et membres du corps consulaire.

Photos © Fabrice Schiff

Nominations FRANÇOIS-NOËL BUFFET SECRÉTAIRE DE LA COMMISSION DES LOIS A l’occasion du renouvellement des instances du Sénat, le sénateur-maire d’Oullins FrançoisNoël Buffet a été nommé secrétaire de la commission des lois et membre de la commission spéciale chargée d’examiner le projet de loi relatif à la délimitation des régions, aux élections régionales et départementales et modifiant le calendrier électoral.

Robert Fassouliadjian, Arthur et Armand Bahadourian

SE Viguen Tchitechian, ambassadeur d’Arménie, Philippe Cochet, député-maire de Caluire et Nikolay Sarkisov, consul général d’Arménie

SE Viguen Tchitechian, ambassadeur d’Arménie, Michel Havard, conseiller municipal de Lyon, Nikolay Sarkisov, consul général d’Arménie et Vaner Harutyunyan, vice-consul d’Arménie

Jacques Valla, consul de Finlande et Pascale Vanneaux, consul de Guinée

Le père Chahé Nazaryan et Béryl Maillard, consul de St Domingue

Serge Manoukian (OL), Sebou Sarian et Jacques Tavitian

Régis Vanliefland, consul de Malaisie, Laurence Fautra, maire de Décines et Serge Manoukian, vice-président de l’OL

Paolo Piai, son épouse Marina, attachée du Consulat d’Italie et Bruno Dufour, consul de l’Equateur

Sur vos agendas

PETITS FRÈRES DES PAUVRES VENEZ FÊTER NOËL AVANT NOËL Le 21 novembre prochain, les Petits Frères des Pauvres de Lyon organisent un dîner de gala à l’Hôtel de Ville de Lyon en présence de Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon et de Sidonie et Alexandre Merieux, parrains de la soirée. A cette occasion, les convives pourront fêter Noël avant Noël et surtout permettre à des personnes âgées isolées accompagnées par l’association de bénéficier d’un vrai Noël chaleureux et fraternel le 25 décembre, grâce à leur participation. Le dîner, élaboré par les chefs Mathieu Viannay, Guy Lassausaie et Jean-Paul Pignol aussi reconnus qu’appréciés permettra non seulement de récolter des fonds pour les Petits frères des Pauvres mais également de faire partager aux participants, l’esprit de Noël tel que le vivent les bénévoles de l’association dont la devise « Des fleurs avant le pain » est déjà la promesse d’une soirée magique… à l’image de celle de Noël.

Renseignements & réservations : Isabelle Ronzy-Brun – ID en tête / Tél. 04 78 37 03 99 Mail : ibrun@id-entete.com

Reportage complet sur www.lyonpeople.com – Rubrique Les Fêtes

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Lyonpeople / Novembre 2014

* Ne craquez pas sous la pression

TAG HEUER CARRERA CALIBRE 1887 La Formule 1 est plus qu’un simple défi physique : c’est une épreuve de force mentale qui pousse les pilotes à donner le meilleur d’eux-mêmes et à dépasser toutes les limites. Comme TAG Heuer, ils font tout pour être les meilleurs et ne jamais craquer sous la pression.