LES
N°239 – Juin 2023
Les nombreux retours que vous nous avez adressés, chers lecteurs, sur notre Pont Morand « Red Bull » ont conforté notre équipe dans sa volonté de faire de Lyon People le journal de l’alternance heureuse. Pour ceux qui ont raté cet épisode*, rappelons simplement qu’avec l’agence Pagina, nous avons imaginé une solution alternative à celle des écologistes qui viennent de créer sur cet axe un embouteillage permanent. Nous avons ajouté des passerelles piétons de chaque côté du pont, de façon à faciliter « les mobilités douces » pour reprendre l’expression favorite des technocrates écolos, sans supprimer de voies de circulation automobile. Cette solution consensuelle est la démonstration qu’avec de l’imagination et du bon sens, il est possible de faire évoluer nos équipements routiers sans supprimer la nécessaire fluidité et liberté de nos déplacements. CQFD.
Rechercher des solutions nouvelles et modernes, tel doit être notre objectif. À trois ans des élections, il s’agit désormais de trouver les personnalités susceptibles d’incarner ce changement d’orientation qui devra être emprunt de fermeté et de sérénité. Et cela commence dès maintenant par un dialogue constructif et public entre les trois principales familles de l’opposition municipale et métropolitaine.
Et pendant que les politiques réfléchissent, rien n’empêche la société civile de s’organiser. Car on sent bien, chez de nombreux décideurs économiques, notamment dans la restauration, une faim d’ogre pour en découdre avec les Verts et leurs alliés d’extrême gauche. Après 6 ans de polémiques et de vandalisme qui auront défiguré Lyon, le travail de reconstruction sera immense.
Mais avant cela, il est urgent de construire les projets, tous ensemble.
Marco Polisson Rédacteur en chef
10 LA VIE LYONNAISE
14 LA VIE IMMOBILIÈRE
16 LA VIE ÉTUDIANTE
18 LA VIE JURIDIQUE
20 LA VIE CULTURELLE
28 LA VIE COMMERÇANTE
34 LA VIE GASTRONOMIQUE
Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler
Couverture : Jacqueline Ginon par Jean-Luc Mège
Directeur de la publication Nicolas Winckler - nw@lyonpeople.com
Directeur de la rédaction Marc Engelhard
Rédacteur en chef Marco Polisson - marco@lyonpeople.com
Rédacteur en chef adjoint Morgan Couturier - morgan@lyonpeople.com
Journalistes Fanny Suteau, Christian Mure
Directeur artistique Ghislain Laîné - ghislain@lyonpeople.com
Directrice des annonces légales Sophie Bardol - sophie.bardol@lyonpeople.com - 06 29 66 41 04
Directrice de clientèle Sophia Jeannot - sophia@lyonpeople.com - 06 11 19 04 43
Responsable du dévelopement TOP 500 Clémence Bricon - clemence@lyonpeople.com
Assistante de direction Marie Bugnet - marie@lyonpeople.com
Assistante commerciale Adèle Rochas - adele@lyonpeople.com
Conseillère éditoriale Françoise Petit - francoise.petit@lyonpeople.com
Photographes Saby Maviel, Fabrice Schiff, Didier Michalet, Jean-Luc Mège, Alexandre Moulard, Doud, et Bertrant Perret
Ont collaboré à ce numéro Laurette, Alexandra Carraz, Nadine Fageol, Jean Etevenaux, Philippe Lecoq, Jean-Marie Nauleau, Jacques Bruyas, Franck Girardet et Timothé Ner.
Diffusion Agence Coyote Diffusion
Ce magazine est disponible gracieusement en version numérique à partir du site lyonpeople.com
Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 177 160 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 1952-7772.
100 000 lecteurs tous les mois Etude Médiamétrie 05/2005
Lyon People est certifié par l’OJD 139, rue Bugeaud - Lyon 6e Tél. 04 72 82 97 78
Souvent méconnues des Grands Lyonnais, les avenues de Tassin La Demi-Lune regorgent de merveilles architecturales des XVIIIe et XIX e siècles. Un patrimoine que Lyon People va mettre à l’honneur à travers un dossier de 150 pages, comme il l’a déjà fait avec le boulevard des Belges, les châteaux d’Ecully, la place Bellecour, les demeures de Sainte Foy-lesLyon, les immeubles Renaissance de la rue Mercière, les châteaux de la Dombes, les hôtels particuliers de l’avenue Foch, la place des Jacobins et en 2019 avec les demeures de Caluire et Cuire.
La rédaction de notre journal, leader de la presse magazine lyonnaise a sollicité pour l’occasion l’historien Jean Etevenaux, l’architecte-historien Pierre Jourdan, l’écrivain Jacques Bruyas, les photographes Jean-Luc Mège, Saby Maviel et Fabrice Schiff, les journalistes Morgan Couturier et Christian Mure ainsi que le service des Archives municipales et départementales. Un dossier exceptionnel réalisé en partenariat avec la Ville de Tassin-laDemi-Lune et le Groupe de Recherches Historiques de Tassin.
Nous allons vous raconter l’histoire de Tassin et de ses plus belles propriétés anciennes ou contemporaines, toujours existantes ou disparues. Il s’agit des 60 plus belles maisons réparties sur les quartiers de la Demi-Lune, Aigas, Montpinot, Meginand, Alai et du Bourg. Nous sommes à la recherche de photos, dessins, croquis, plans de ces édifices de caractère (châteaux, maisons bourgeoises) et de leurs propriétaires de 1800 à nos jours. De documents récents comme de plus anciens. Nous serions également ravis de venir vous rencontrer à domicile afin d’évoquer avec vous les différentes facettes de la vie et de l’histoire de la ville. N’hésitez pas à solliciter vos connaissances tassulinoises et à nous téléphoner pour nous faire part de vos suggestions.
> Vous souhaitez participer ?
Marc Engelhard Directeur de la rédaction marco@lyonpeople.comTél. 04 72 82 97 78
« Il m’aura fallu quelques jours pour réaliser, visionner deux fois le match, pour m’assurer que tout cela n’était pas un rêve : nous sommes champions de France ! Je dis bien NOUS car c’est véritablement une dynamique collective qui a opéré, comme toujours, il n’y a pas de secret ! Je suis tellement fière que l’on ait pu démontrer que les valeurs et un engagement sociétal fort peuvent conduire à la victoire ! Oui, Entreprise à mission rime avec Performance ! Oui, la raison d’être est un guide, fédère, permet de se dépasser ! Joueuses, coachs, staff sportif et administratif, dirigeants, speakers, mascotte, actionnaires, partenaires, prestataires, bénévoles, supporters, avons tous été « capitaine de notre vie » pour vivre des moments d’une telle intensité, d’une telle joie. Comment vous remercier toutes et tous ? Comment remercier les 4500 personnes qui nous ont portées à l’Astroballe et toutes celles qui nous ont soutenus derrière leurs écrans ? Comment remercier la formidable équipe qui m’accompagne dans ce projet ? Difficile de trouver les mots tant l’émotion et la gratitude m’étreignent. C’était puissant, magique, jouissif, profond et vous savez quoi, on va prendre l’été pour le savourer !!
Merci à tous, je vous »
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• QUARTIER CHARITÉ BELLECOUR
Evènement « Charité Day »
Food, Lifestyle, art, culture, jeux Dimanche 25 juin 2023
• EH CHERRY FESTIVAL
Concerts et fête de la cerise à Bessenay Avec Louane, Marc Lavoine, Claudio Capeo… 6, 7, 8 et 9 juillet 2023
BY LORENZO COIFFURE
6, av. Raymond de Veyssière 69130 Écully
Assia et Miguel
LE NOUVEAU
Le concept de Presqu’île interdite imposé par les écologistes à l’horizon 2026 a soulevé un tollé aussi bien chez les habitants que chez les commerçants, principaux concernés par cette nouvelle mesure punitive. Prenant exemple sur la mobilisation qui a permis l’arrêt du projet de téléphérique entre Lyon et Francheville, ils sont 17 à avoir déposé un recours devant le tribunal administratif, le 26 mai dernier. L’objectif des signataires est de suspendre le projet écologiste qui vise à piétonniser entièrement la rue de la république, la rue Emile Zola et la rue du Port du temple, et de fermer la rue Grenette à la circulation automobile. Les contestataires ont sollicité Maître Mélanie Amon et Maître Aurélie Cautenet du cabinet d’avocats Admys pour mener à bien le volet administratif et judiciaire de leur requête qui fait suite aux deux pétitions lancées avec succès par Jean-François Bailly et Antoine Nanterme
L’ancienne boutique du Club Med, rachetée par l’entrepreneur Christophe Gruy (Groupe Maïa), est en travaux. Conçue par le cabinet d’architecture Stone, elle accueillera à la rentrée le show-room de la cave du Château de La Chaize.
Le chef Mathieu Viannay a ouvert, fin mai, la première boutique « comptoir Mére Brazier » hors de Lyon. Cette ambassade de la gastronomie lyonnaise est installée 25, rue Boissy d’Anglas, à côté du siège parisien d’Hermès.
Les marins d’eau douce de la métropole écologiste ont créé un parcours d’obstacle en forme d’«écluse» sur cette artère du 9ème arrondissement, provoquant embouteillage et pollution. « Ça ne s’arrêtera donc jamais ! » s’exclame cette maman quinquagénaire, pas vraiment le pied marin, mais le verbe aussi enlevé qu’un capitaine de chalutier bien aviné un soir de grande marée. L’objet de son courroux : l’écluse créée par les écologistes devant l’école Joannès Masset et dans laquelle elle est bloquée. Comme elle, les automobilistes qui empruntent la rue Gorge du Loup découvrent un nouvel obstacle en travers de la chaussée, les contraignant à s’arrêter puis à slalomer entre une piste cyclable et des bordures en pierre pour laisser passer les véhicules arrivant à contre sens.
Cet encombrant a été sciemment réfléchi (sic) par les élus écologistes et leur maire en short Anne Brabant dans le but d’obliger les voitures à ralentir devant le groupe scolaire. Mais là où un dos d’âne et un passage protégé auraient largement fait l’affaire, il a fallu faire du zèle et engager un gros chantier. Les parents d’élèves que nous avons croisés sur les lieux ne comprennent guère l’utilité de cette installation, car l’accès à l’école est déjà protégé. En effet, la rue du docteur Horand qui longe le bâtiment a été piétonnisé. Cette nouvelle installation onéreuse et inutile rentre dans la même « logique » dépensière et dogmatique que l’impasse du boulevard de Stalingrad ou celle du rond-point des Monts d’Or à la sortie de Vaise qui ont fait les gorges chaudes des internautes avant de virer au drame en provoquant deux accidents spectaculaires... Avec la mise en sens interdit du quai Jean-Jacques Rousseau et de la grande rue d’Oullins, le cirque écolo n’est pas près de s’arrêter...
*Merci à notre lanceuse d’alerte Karine B
Les fans et supporters du LOU Rugby pourront retrouver certains joueurs en mode troisième mi-temps dans le 6ème. Félix Lambey et les frères Romain et Sébastien Taofifenua ont repris la Maison Marcelle (89, rue Massena), à deux pas de notre consultant rugby Jean-Marie Nauleau. Rendez-vous en septembre 2023. JMN
Clin d’œil à l’ancien central téléphonique. Sébastien Ciocca (directeur général adjoint AnaHome Immobilier), Jean-Michel Berry (maître d’œuvre d’exécution)
Jour de fête pour les 350 salariés d’Orange à Nancy avec l’inauguration de leur nouveau siège construit par AnaHome Immobilier.
Texte : Marco Polisson – Photos © Lyon People
C’est une réalisation majeure pour le promoteur lyonnais Pierre Nallet Imaginé et dessiné par l’architecte Hubert Godet, ce long vaisseau a été délicatement posé le long d’un bras de la Meurthe, à quelques centaines de mètres de la plage des deux rives. Mais n’imaginez pas pour autant que sa mise à quai a été un long fleuve tranquille. Alors
que Christel Heydemann, directrice générale d’Orange et Mathieu Klein, maire de Nancy coupent le ruban inaugural, en backstage Pascal Crambes (conseiller du président en charge du développement d’AnaHome Immobilier), JeanMichel Berry (maître d’œuvre d’exécution) et Sébastien Ciocca (directeur général adjoint) savourent l’instant qui vient couronner une
traversée de 8 ans de travail. La « croisière » a démarré en 2015 quand Pierre Nallet décide de répondre au concours lancé par l’opérateur télécom qui souhaitaient regrouper ses équipes sur un seul site. Et le premier coup d’éclat de l’équipe lyonnaise fut de remporter le concours puis l’appel d’offres à la barbe des principaux majors de la promotion immobilière également dans la course. « Nous avons conçu l’immeuble en plusieurs modules pour qu’il soit sécable » dévoile Hubert Godet qui signe avec Nancy son troisième immeuble pour Orange après Nantes et Lyon.
Christel Heydemann
D’une surface globale de 6500 m2, deux tiers de l’espace sont dévolus à Orange (bail de 12 ans), et le dernier tiers (livré en juillet) a été loué au groupe d’enseignement supérieur privé Eduservices. La directrice générale d’Orange a arpenté le nouveau siège régional étage par étage, ravie d’offrir ce bel outil de travail à ses 350 salariés auparavant dispersés sur 3 sites. Le nouveau siège bénéficie d’un parking en silo de 80 places, de trois terrasses et d’un très beau restaurant d’entreprise. Labellisé HQE, « il s’intègre notre démarche RSE et répond aux enjeux environnementaux de l’entreprise » a conclu Christel Heydemann. Une démarche également mise en exergue par Mathieu Klein, pleinement satisfait de l’ancrage territorial d’Orange dans la capitale des ducs de Lorraine. Très attentif aux enjeux climatiques, le maire de Nancy a notamment apprécié le bonus énergie proposé par les équipes d’AnaHome Immobilier qui ont recouvert le toit d’une canopée de panneaux photovoltaïques participant à l’autonomie du bâtiment en électricité décarbonée. Des compliments et une pause inaugurale appréciés par Pierre Nallet et ses équipes qui ont « dans le pipe » une quarantaine d’opérations immobilières réparties sur la région lyonnaise, les 2 Savoie, l’Ile de France mais aussi Tours, Besançon, Fréjus...
Reconnu depuis plus de 30 ans, pour la qualité et l’efficacité de ses cours collectifs mais personnalisés, Thierry-Philippe Denonfoux, alias « DX » pour ses élèves, entretient une manière bien à lui d’enseigner les mathématiques. Personnage attachant et marquant, au profil singulier, le Lyonnais parvient à « transformer les maux en mots », en conjuguant exigence et bienveillance.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
Depuis 1990, de nombreux Lyonnais apprennent à maîtriser les chiffres, au détour de votre Atelier de Mathématiques. Pourquoi avoir créé cette société ?
C’est un peu par hasard. Un jour, sans le faire exprès, j’ai donné rendez-vous à la même heure, à quatre élèves différents. Ils avaient tous un devoir le lendemain. J’ai dû me résoudre à les prendre en même temps. Chacun avait un devoir différent, ce qui m’a forcé à adapter mon cours. Je les ai installés autour de la table, puis j’ai tourné autour d’eux pour finalement leur donner un cours pendant deux heures. Voilà comment est né l’Atelier de Mathématiques. Si je suis encore là 33 ans après, c’est que ce cours a fonctionné (rires).
À titre personnel, d’où vient cet amour pour les mathématiques ?
J’ai plaisir à le dire, mais c’est grâce à Georgette Pérez, mon professeur en 5ème à Roanne, que je suis tombé amoureux des mathématiques. Pour moi, les mathématiques, c’est de l’art. Tout est carré, précis, élégant. Il y a toute une farandole d’écritures cabalistiques et je trouve ça merveilleux. Je n’ai pas l’impression de travailler. D’ailleurs, je pense que je n’arrêterai jamais de faire des maths.
À qui vos cours sont-ils destinés ?
À tous types d’élèves de la 4e à la terminale, de celui qui ne travaille pas suffisamment, à celui qui veut avoir d’excellentes notes afin d’intégrer une école prestigieuse en postbac. J’aime tous les individus et je suis là pour les faire progresser. Le but est de montrer aux élèves que les mathématiques sont un code, une langue qu’ils doivent apprendre à maîtriser.
Les mathématiques sont rarement appréciées des élèves. Comment parvenir à leur faire aimer les chiffres ?
J’ai une méthode un peu particulière. En classe, ils ne comprennent pas toujours ce qu’on leur raconte. Alors moi, j’arrive au bon endroit et au bon moment. C’est plus un problème de méthodologie que de compréhension. Je veux les rendre autonomes et les aider à comprendre ce qu’ils valent.
Quel est votre secret pour rendre les mathématiques plus faciles ?
Je cible vraiment où ça ne va pas. C’est une sorte de one-to-one, même s’ils sont plusieurs dans la salle (à mon domicile). Les cours sont vraiment sur-mesure et je les retravaille chaque année. J’aime à dire que c’est de la haute couture des mathématiques.
Je prépare des exercices selon le lycée, le niveau, le chapitre et le professeur. Je suis le seul à faire cela. Le secret, c’est la préparation du cours, pour que l’élève puisse transposer à l’école ce qu’il travaille ici. Il y a un cadre. Dès qu’ils arrivent, ils savent vers quoi on va tendre. Pour prendre un exemple, les exponentielles enseignées chez les Maristes ne vont pas être les mêmes qu’à Edouard Herriot ou qu’au Lycée du Parc. L’élève n’aura pas la même méthodologie. Vous semblez également donner beaucoup d’importance à la personne en elle-même... Pour les faire progresser, c’est mieux de connaître les élèves, oui. Je veux voir leur hygiène de vie, leur façon de travailler, comment ils sont. Mais surtout, je veux donner un sens à leur travail. Je suis exigeant mais bienveillant. De manière isolée, faire des maths, ce n’est pas forcément intéressant, mais ici, ils vont mettre un sens à ce qu’ils veulent faire. Je leur apprends à structurer leur pensée. Après, c’est plus un marathon qu’un sprint. L’accompagnement ne dure pas deux mois.
L’Atelier de Mathématiques
54, cours Franklin Roosevelt – Lyon 6e Tarifs : Entre 600 et 800€/mois. 2 heures de cours minimum
Possibilité d’effectuer des stages de 4 ou 5 jours pendant les vacances scolaires.
Mail : adm69@orange.fr
Tél. 04 78 41 14 26
Mob. 06 87 63 54 59
“CE QUI M’INTÉRESSE, C’EST QUAND LES MATHÉMATIQUES DEVIENNENT UN ART“
Audi
Audi Vorsprung durch Technik
Gamme Audi Q4 Sportback e-tron : consommation mini/maxi en cycle mixte (kWh/100 km)* : 17,0 - 19,5. « Tarif » au 09/12/2021. Valeurs susceptibles d’évolution. Pour plus d’informations, contactez votre Partenaire. Depuis le 1er septembre 2018, les véhicules légers neufs sont réceptionnés en Europe sur la base de la procédure d’essai harmonisée pour les véhicules légers (WLTP), procédure d’essai permettant de mesurer la consommation de carburant et les émissions de CO2, plus réaliste que la procédure NEDC précédemment utilisée.* Selon configuration.
Volkswagen Group France S.A. - RCS SOISSONS 832 277 370. Vorsprung durch Technik = L’avance par la technologie.
Depuis le début du mois d’avril, le cabinet Morell Alart & Associés accueille un nouvel expert en droit des sociétés : Thomas Dodin.
Après dix années passées au sein du cabinet Jakubowicz, le Lyonnais entend apporter son expérience au service de la structuration de ses nouvelles équipes. Texte : Morgan Couturier – Photos © Saby Maviel
L’histoire n’en est qu’à ses prémices et la voilà pourtant déjà belle à être racontée, puis rangée parmi ces récits où les planètes semblent s’aligner. Sans oser parler de conte de fées, les retrouvailles entre Serge Morell et Thomas Dodin appuyées par Bruno Alart flirtent déjà avec l’idée d’une collaboration parfaite, illustrée par leur parcours commun, sur les bancs de l’Université puis de l’école des avocats.
« On a même partagé notre premier bureau, avenue de Saxe, chez CMS Francis Lefebvre Avocats », livre le second nommé, deux mois après avoir rejoint l’escouade du cabinet Morell Alart & Associés, épaulé d’un assistant, un avocat et un juriste.
« Sur le plan humain, on boucle un peu la boucle », poursuit l’ancien cogérant du cabinet Jakubowicz séduit, à l’automne, par la perspective de travailler avec cet ami de longue date, le profil du nouvel arrivant répondant aux attentes d’un cabinet en constante expansion. « Serge cherchait quelqu’un pour être à ses côtés sur
la partie management et le développement du cabinet, en particulier sur la branche juridique », présente le nouvel associé, promu co-gérant aux côtés de Serge Morell et Karine Gayet
Fils de Guy Dodin, ancien Président de CMS Francis Lefebvre Avocats à Lyon, Thomas Dodin entend ainsi répondre aux « besoins de structuration des équipes », et conduire le recrutement à Lyon, comme sur la filiale d’Annecy. « L’objectif est de poursuivre le développement du cabinet », complète l’avocat, spécialisé en droit des sociétés, y compris la fusionacquisition, son domaine de prédilection.
« Le côté entrepreneurial du métier me plaît beaucoup. Je suis très proche de mes clients et nous construisons ensemble sur le long terme », livre le quadragénaire. Un renfort de choix donc, pour Serge Morell, dont la complicité avec son nouvel associé, ne laisse aucune place au doute. Les deux se sont bien (re)trouvés. Et font la paire. Pour plus d’efficacité.
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Le groupe Arthaud & Associés ne cesse d’évoluer. Reconnu entre Rhône et Saône comme à Paris, pour ses conseils financiers, ses audits et son expertise-comptable, le cabinet piloté par Olivier Arthaud poursuit sa politique de diversification. Dernier exemple en date, l’officialisation, le 30 mars dernier, du rachat de la société Moontech, présidée par Fabien Rouillon. Une opération de croissance externe motivée par l’apport d’une véritable expertise en matière de sécurité informatique, au travers de l’évaluation de la vulnérabilité des entreprises ou la mise en place de solutions de cyber sauvegarde. « Ce sujet doit impérativement faire partie des priorités stratégiques de chaque chef d’entreprise », avance Olivier Arthaud.
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Contact : Sophie Bardol
T. 06 29 66 41 04
sophie.bardol@lyonpeople.com
Dimanche 18 juin 2023 à 15h
Exposition
Vendredi 16 et samedi 17 juin de 10 h à 18 h
Dimanche 18 juin de 10 h à 12h
Technicentre SNCF, 25 ter Pierre Semard
69350 Lyon – La Mulatière
Prochaine vente en préparation
Novembre 2023
Contactez-nous pour inclure un lot dans cette vente
Contacts, demande de renseignements
Arnaud Faucon | +33 (0)6 33 71 56 80 afaucon@collectorcarsauction.fr
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Le festival rhodanien revient assurer l’ambiance au village de Charnay pour sa 9e édition, les 15 et 16 septembre. Une agréable manière pour les visiteurs de savourer les derniers jours d’été.
L’humeur sera à la fête dans le sud du Beaujolais, à seulement 20 minutes de Lyon. L’association Les Vendanges Musicales, créée en 2015 par Olivier Mars, rend hommage à son terroir avec une programmation musicale toujours plus exceptionnelle, en pleine période des vendanges. Pour cette édition 2023, Christophe Maé, Rouquine, Charlie Winston, Deluxe et Hyphen Hyphen sont attendus sur le parvis du château de Charnay. Ils seront accompagnés par les deux gagnants du concours Tremplin Musical, Oete et Rallye. Le festival associe artistes confirmés et artistes en devenir, pour laisser la place aux jeunes talents.
La première édition en 2014, portée par le Comité des Fêtes de Charnay, a accueilli les Fréro Delavega, Michael Jones et le groupe de rock Celkilt. Au fil des années, Les Vendanges Musicales ont ensuite vu défiler sur scène de nombreuses célébrités dont Juliette Armanet, BB Brunes, Christophe Willem et Véronique Sanson Outre sa proposition musicale, le festival, ancré dans son territoire labellisé « Vignobles et Découvertes », souhaite promouvoir l’activité viticole, économique et touristique locale. Les festivaliers pourront donc apprécier la musique moderne et pop des artistes tout en profitant de produits de qualité, issus de producteurs locaux. L’association
Les Vendanges Musicales, engagée pour proposer un évènement écoresponsable qui respecte l’environnement, compte aujourd’hui 130 bénévoles. Chaque année, près de 5 000 visiteurs sont au rendez-vous. Deux jours durant lesquels les festivaliers vivent une expérience unique, dans la simplicité et la convivialité.
• Mercredi 21 juin 2023 : Tremplin musical
Les 2 gagnants viendront compléter la programmation
• Vendredi 15 septembre, dès 18h :
- Christophe Maé
- Rouquine
- Oete, gagnant du tremplin musical
• Samedi 16 septembre, dès 17h :
- Charlie Winston
- Rallye, gagnant du tremplin musical
- Deluxe
- Hyphen Hyphen
Tarifs :
- Tarif normal : 35€
- Tarif étudiant/chômeur : 30€
- Tarif moins de 16 ans : 25€
- Pass 2 jours : 60€
> Plus d’infos : lesvendangesmusicales.fr
L’Alliance Française de Lyon lance les festivités du 140ème anniversaire de la création du réseau des Alliances Françaises de par le monde, préfiguration du 40ème anniversaire de l’antenne lyonnaise.
C’est le 21 juillet 1883 que Paul Cambon réunit des personnalités telles que Louis Pasteur, Ferdinand de Lesseps, Armand Colin, Ernest Renan, ou encore et surtout Jules Verne pour porter sur les fonts baptismaux une structure calquée sur le modèle de l’Association Universaliste Juive, L’Alliance Française. Jules Verne entraîne dans son sillage quelques-uns de ses amis dont Gustave Eiffel, la famille circassienne des Rancy et de nombreux lyonnais les Lumière, Winckler, Guimet, Mérieux... C’est dans cet esprit « vernien » que les festivités vont se dérouler à Lyon avec deux rendez-vous importants les 14 et 15 juin à 19h au Théâtre
des Marronniers dans le cadre des « Ricochets de mots » et le 23 septembre de 10h à 18h en l’atrium de l’Alliance Française de Lyon avec un Salon du Livre sous le thème générique du « Tour du Monde en 80 livres ». L’Alliance Française de Lyon a été créée par un comité de notables lyonnais drivés par Charles Mérieux et est un pôle d’excellence de l’enseignement du FLE (Français Langue Étrangère) autour de son président Jean-Charles Ovise et de son directeur Nicolas de la Cruz, les équipes administrative et pédagogique accueillent quelques 2000 élèves à l’année... Une belle et louable institution à laquelle nous souhaitons un bel et double anniversaire !
Ce livre paru voici presque dix ans et sans cesse republié par les incontournables éditions Guérin est un régal du genre...
Le pitch à lui seul vaut son pesant de gratons : Léonard de Vinci a inventé le parapente et Dominique Potard a inventé Suzie. Une Anglaise épatante et délicieusement dodue, pourvue de volumes propres à susciter, chez les farouches autochtones qui s’arriment quotidiennement au bar « Chez Rul », une mâle et gourmande anglophilie. Côté séduction, Léonard n’est pas en reste. « Il y avait chez lui ce côté rassurant du chalet suisse, un chalet un peu particulier, avec des géraniums au balcon l’hiver, et de la neige sur le toit en été. » Et puis il y a le Mont Blanc et la folie des hauteurs et de l’auteur... et si l’air se raréfie en oxygène, il brouille incontestablement un récit puis le sublime. À prescrire comme antidépresseur d’office à tous les névrosés et psychopathes qui nous gouvernent...
Éditions Guérin / 112 pages / 12 €
de Christian Bellegueulle
De retour sur la place littéraire lyonnaise après un exil drômois puis lozérien, Christian Bellegueulle publie coup sur coup un recueil de ses derniers poèmes et ce «roman- théâtre» en lequel des vies se bousculent, se mêlent et s’entremêlent en un «cluédo» géant et où le où la criminelle n’est pas forcément des plus attendu(e)s. Un théâtre d’ombres et de silhouettes esquissées et une énigme à ressorts et à détentes multiples aussi tortueuses que sont les affres familiales de chacune et chacun. Publié aux éditions DoMiNo dans la sympathique collection «Lathonlu», ce livre a obtenu le Prix Charles Dullin 2023 du livre de théâtre.
Éditions DoMiNo / 230 pages / 14 €
de Nicole Provence
Attention petit chef d’œuvre et un roman magistralement écrit et qui ferait un film ou téléfilm de premier ordre. Septembre 1785. Augustine LeBlanc, dont la famille a été déportée par les Britanniques au cours du « Grand Dérangement » en 1755, s’apprête à retourner dans son pays natal, l’Acadie. Elle n’avait que dix ans lors de cet exil dans les colonies anglaises qui provoqua la mort de milliers d’Acadiens transférés par bateaux dans des conditions inhumaines. Mais tout est resté intact dans sa mémoire. Et c’est là que tout le génie de romancière de Nicole Provence opère car le lecteur est transporté au-delà des siècles et des océans dans un tourbillon de vie qui appelle forcément une suite... Une saga est née et nous allons attendre fébrilement les prochaines publications de cette prolifique auteure. Éditions C.Bonnefond / 380 pages / 17,90 €
Ce livre rejoint une nouvelle sélection d’ouvrages récemment parus sous la classification générique de «Lire en Balcons du Dauphiné». Une salle des fêtes, véritable «Olympia» en basse campagne dauphinoise, «les Marinières» sise sur la commune de Porcieu-Amblagnieu peut se targuer d’avoir reçu les plus grands noms du music-hall et d’avoir initié les courants musicaux les plus fantaisistes et imaginables... alors des musiciens de reggae en dreadlocks et aucunement originaires des îles, quoi de plus banal pour quiconque suit la programmation atypique du lieu... mais lorsque criminellement la mort rode, cela prend une toute autre tournure et c’est Robin des Champs, alias Yves Maciocia, auteur jusqu’alors de science-fiction mais également musicien et navigateur qui prend le grand large des eaux tumultueuses du polar...et l’ensemble se lit avec la délectation raffinée qui sied aux grands romans de ce genre.
Éditions LRDLB / 200 pages / 12 €
Il y a longtemps que le « tout Lyon » attendait cela. Une cohorte d’artistes célèbres déferle, accrochés aux cimaises d’un musée renommé. Lyon People vous emmène au coeur de la visite privée réservée à la presse, aux familles d’artistes, aux prêteurs et partenaires.
Du jamais vu dans la ville de Jean Couty et en son Musée ! Il donne l’occasion de voir les meilleures signatures Braque, Buffet, Chagall, Cocteau, Dufy, Foujita, Gromaire, Léger, Matisse, Picasso, Rouault, Utrillo, Van Dongen, soit plus de 50 chefsd’œuvre. Tout le fleuron de l’Histoire de l’Art moderne ! Une aubaine pour Lyon. Charles et Myriam Couty sont heureux d’en être « témoin » dans le Musée qui porte « haut et fort » le nom de son père, à Lyon. Toute cette aventure a commencé en 1951, quand le peintre Isis Kischka rassembla ses amis, au Musée d’art moderne de la ville de Paris, puis, plus tard dans l’enceinte du Palais Galliera. Un nouveau salon prend forme. Son concept est simple. Il s’agit de rassembler une centaine de très grands artistes différents, par thèmes contemporains. Le succès est immédiat ! Ces sujets sont choisis dans les paysages familiers des peintres. Ainsi le travail, l’amour, la famille, le bonheur, etc, donnent de bons prétextes à des scènes quotidiennes et mêmes imaginaires. L’imagination des artistes est à son comble. Ces expositions seront réputées pour être « les plus courues du grand Paris »
En 1975, Jean Couty que l’on admire régulièrement place Beauvau et quai de Conti, à Paris Galerie Katia Granoff (aujourd’hui
galerie Larock-Granoff) remporte le graal, avec la toile « Le Chantier du métro » qui obtient le « Grand Prix des peintres témoins de leur temps » quelques années après Carzou, Ambrogiani, Brayer, Mentor et le sculpteur Volti. De nombreux grands artistes ont exposé régulièrement au « Salon des peintres témoins de leur temps » entre 1951 et 1982, tels que Brayer, Buffet, Couty, Jansem, Lhote, Tobiasse... Tout comme le peintre lyonnais Jean Fusaro qui impose sa « symphonie de l’instant » dans l’esprit savoureux de celui dont il admire le délicat touché de Pierre Bonnard. Il rivalise avec l’autre mousquetaire, venu de Lyon, le charmant et facétieux sur les bancs du Sanzisme, André Cottavoz et ses légendaires empâtements dans des compositions où nage le pur bleu méditerranéen du ciel de Cannes, Mougins et Vallauris.
En ces années-là, on note en région Rhône-Alpes (il faisait partie de la célèbre « cage aux Fauves » de 1905, constituée par Henri Matisse), le nom connu de Jean Puy le « moins fauve » parmi les siens. Il a fait récemment les honneurs de la cimaise du Musée Déchelette à Roanne. Il est très apprécié au Musée Paul Dini qui prête pour cette grande exposition le portrait d’Édouard Herriot par Maurice Utrillo qui, lorsque ce dernier vivait à Montmartre fréquenta
aussi le Musée Galliera et le prestigieux label des « Peintres témoins de leur temps ». La richesse de cette exposition est également due à la présence sur les cimaises du musée Jean Couty, d’une œuvre de Marc Chagall, qui est une pure merveille. Voyez cette tour Eiffel et ces mariés qui s’enchevêtrent amoureusement et indéfiniment, c’est simplement touchant et renversant. Beau comme un parterre de fleurs printanières, le peintre et sa muse Ida emmêlés ! Mais attardez-vous sur les œuvres du Maître Henri Matisse. C’est époustouflant d’ingéniosité ! On ne devient pas Matisse sans raison. C’est moderne, élancé et génial. Et puis, voyez aussi et surtout l’immense Pablo Picasso Rares sont les toiles significatives de celui qui faisait et défaisait le monde autour de lui... Il se permettait tout, usait de toutes les trouvailles techniques pour avancer dans tous les sens. Confondant le nord et le sud et rivalisant de prouesses. On appréciera le géant qu’il était.
Une exposition exceptionnelle, avec une quarantaine de grands artistes qui ont marqué la saga du « Salon des peintres témoins de leur temps »
À découvrir au Musée Jean Couty
jusqu’au 28 janvier 2024
Place Henri Barbusse – Lyon 9
Henri Matisse
Modèle endormi, 1935, graphite sur papier, 28 x 38 cm collection Jany Jansem
© Succession H. Matisse
Le peintre à Paris, 1978, huile sur toile, 33 x 22 cm, collection Larock-Granoff © Adagp, Paris, 2023
Jean Couty
Le chantier du métro, huile sur toile, 146 x 114 cm, 1972, Grand Prix des Peintres témoins de leur temps en 1975, © ADAGP, Paris 2023
Paysage au faune et chèvre, 1963, Gravure sur linoleum
Bernard Buffet
Femmes déshabillées, Femmes assises, 1965, huile sur toile, 197 x 218 cm. Collection Fonds de Dotation
Bernard Buffet © ADAGP, Paris 2023
Céline Lévy, présidente du Fonds de Dotation Bernard Buffet (Galerie Maurice Garnier), Corinne Brayer (Musée Yves Brayer), Myriam Couty et Lydia Hambourg, historienne de l’art
Olivier Brayer (Musée Yves Brayer), le collectionneur Jérôme Tomaselli, Jany Jansem, fils de Jean Jansem et Charles Couty
Edouard Larock, directeur de la galerie Larock-Granoff, petit-neveu de Katia Granoff Chantal Klein et Patrice Giorda, artiste peintre
Marion Ménard, directrice du Musée Paul Dini à Villefranche sur Saône et Charles Couty (Musée Jean Couty)
Christian d’Aubarède (M Radio), Damien Michon (Le Nouveau Lyon), Marco Polisson (Lyon People) et Eric Limoncini (EG Events)
Claude Pommereau, directeur des Editions Beaux-Arts et Charles Couty
Florent Cottavoz et sa maman Muriel Groux-Cottavoz devant leur portrait de 1969
Marc Chagall
Pablo Picasso
rincée, 55 x 44 cm. © Succession Picasso 2023
1er LOYER 4 000 €
Bonus écologique et prime à la conversion gouvernementale déduits.
Modèle présenté : ID.4 Pro avec options peinture métallisée ‘Bleu Crépuscule Noir Uni’, pack ‘Style’ extérieur ‘Argent’ et toit noir, jantes en alliage léger 21” ‘Narvik’, pack ‘DesignPlus’, pack ‘Infotainment Plus’ et pack ‘AssistancePlus’.1er loyer de 4 000€ suivi de 36 loyers de 943 €. (1) Exemple pour un ID.4 Pro Life Plus neuf en Location Longue Durée pour 30 000 km maximum. Location Longue Durée sur 37 mois. 1er loyer de 11 500€ ramené à 4 000€ après déduction du bonus écologique gouvernemental de 5 000€ et après déduction de la prime à la conversion gouvernementale de 2 500€ (conditions sur service-public.fr) suivi de 36 loyers de 369 €. Offre réservée aux particuliers, non cumulable avec toute autre offre en cours, valable pour toute command e entre le 01/05/2023 et le 30/06/2023 et immatriculation avant le 30/09/2023, chez les distributeurs en France métropolitaine présentant ce financement et sous réserve d’acceptation du dossier par Volkswagen Bank GmbH – SARL de droit allemand – Capital 318 279 200 € – Succursale France : Bâtiment Ellipse – 15, av. de la Demi-Lune – 95700 Roissy-en-France – RCS Pontoise 451 618 904 – Intermédiaire d’assurance européen: D-HNQMUQ9MO-22 (orias.fr). Entretien obligatoire souscrit auprès de Volkswagen Bank. Garantie 2 ans + 1 an de garantie additionnelle obligatoire incluse dans le loyer du véhicule. Véhicule de remplacement inclus dans les loyers souscrit auprès de Europ Assistance France – SA au capital de 23 601 857 € – RCS Nanterre 451 366 405 – 1, promenade de la Bonnette – 92 230 Gennevilliers. Entreprise régie par le code des assurances. Publicité diffusée par Volkswagen Groupe Central Autos enregistré à l’Orias sous le n° 07032704, en qualité d’intermédiaire en opération de banque à titre non-exclusif de Volkswagen Bank
Cycles mixtes ID.4 Pro Life Plus (kWh/100 km) WLTP : 16,5-18. Rejets de CO2 (g/km) WLTP : 0 (en phase de roulage). Valeurs au 20/05/2021, susceptibles d’évolution. Plus d’informations auprès de votre Partenaire. Volkswagen Group France – SAS au capital de 198 502 510 € – 11, av. de Boursonne, Villers-Cotterêts
RCS Soissons 832 277 370.
Guidée par une inépuisable soif d’innovation et de créativité, inspirée par les paysages naturels et paisibles de sa Vallée de Joux natale, JaegerLeCoultre se caractérise depuis 1833 tant par sa maîtrise des complications que par la précision de ses mécanismes. Baptisée « l’horloger des horlogers », la Manufacture témoigne d’un esprit d’innovation permanent qui lui a permis de créer plus de 1’300 calibres différents et d’obtenir plus de 400 brevets. Portés par 190 ans d’expertise, les horlogers de la Grande Maison conçoivent, produisent, décorent et subliment des mécanismes dotés d’un niveau de sophistication et de précision incomparable, associant passion et savoir-faire séculaire, reliant le passé à l’avenir –des pièces d’exception qui se révèlent à la fois intemporelles et dans l’air du temps. Avec 180 savoir-faire réunis sous un seul et même toit, la Manufacture crée des montres qui associent ingéniosité technique et beauté esthétique d’une façon unique et parfaitement reconnaissable. Jaeger-LeCoultre est particulièrement apprécié du public français, pour des raisons que nous vous raconterons lors de votre visite.
jaeger-lecoultre.com
Jaeger-LeCoultre a le plaisir d’annoncer l’ouverture de sa boutique de Lyon.
Située entre la place des Jacobins et la place Bellecour, dans ce que les Lyonnais appellent le Carré d’Or, elle invite les visiteurs à se plonger dans le monde fascinant de l’horlogerie et dans l’histoire de l’héritage, de l’expertise, de l’esprit d’innovation et de créativité de la Manufacture Jaeger-LeCoultre. Photos © DR
Dans la lignée des nouveaux codes qui ont fait leurs débuts dans le nouveau flagship de Shanghai et sur Rodeo Drive en Californie, la nouvelle boutique de Lyon traduit l’esprit de la Grande Maison dans un environnement accueillant qui rapproche la Manufacture des amateurs d’horlogerie. L’intérieur met l’accent sur une nouvelle palette de matériaux, plus minérale et naturelle, aux codes couleurs clairs et chaleureux, fusionnant tradition et modernité pour évoquer la sérénité et la beauté du berceau de la Manufacture de la Vallée de Joux. L’espace a été conçu pour guider les clients dans un voyage d’exploration de l’histoire de l’horlogerie, étroitement liée à celle de la Maison Jaeger-LeCoultre.
À l’intérieur, on découvre l’ensemble des collections actuelles : Reverso, Polaris, Rendez-vous, Master, ainsi que les pendules Atmos. Les passionnés peuvent explorer les subtilités des mécanismes horlogers et le
riche héritage de la Grande Maison, créatrice de plus de 1 300 calibres, grâce à un mur qui contient certains des mouvements les plus emblématiques de la Manufacture. Les visiteurs découvriront également un emplacement dédié à la Reverso ainsi qu’une présentation des possibilités de personnalisation du dos de son boîtier. Une équipe experte se fera une joie d’accueillir les clients et de leur faire découvrir la richesse des collections et les différentes déclinaisons qui mettent à l’honneur les métiers rares et les complications horlogères dont JaegerLeCoultre maîtrise la création et la fabrication au sein de sa Manufacture intégrée.
Boutique Jaeger-LeCoultre
79, rue du Président Herriot - Lyon 2e Ouvert du lundi au samedi de 10h15 à 13h et de 14h à 18h45 et les trois dimanches avant Noël Tél. 04 78 92 90 00
Avec son concept de toit innovant et son arceau en aluminium brossé issu de la première version de 1965, la 911 Targa délivre un point de vue unique sur le monde. Dotée d’une connectivité inédite, de nombreux systèmes d’assistance innovants et d’une dotation de série enrichie, elle offre des expériences de conduite encore plus intenses.
La boutique de chaussures Romane Shoes a ouvert ses portes le 17 avril dernier rue de la Charité. Elle propose des produits chics, modernes et tendances, pour le plus grand bonheur des dames.
Romane Shoes, c’est la nouvelle adresse incontournable. Implantée tout près de la place Bellecour, la boutique indépendante plonge ses visiteurs au cœur de la Dolce Vita avec des paires aux multiples couleurs. Le magasin met à la disposition de ses clientes trois grandes marques de chaussures italiennes : Roberto Festa et Festa, Paola Zuin et Chantal 1962. Elle propose également la marque espagnole Lola Cruz,
mondialement connue. Coumba Milcent est la responsable du commerce et s’occupe de la vente. « Je suis là pour conseiller les clientes. Mon objectif : faire que chacune d’entre elles trouve chaussure à son pied », explique-telle. Son mari, Nicolas Milcent, l’assiste pour la partie administrative et les achats à l’international. Le nom de la boutique fait référence au « souvenir d’une rencontre forte en amitié avec une jeune fille qui s’appelle Romane, fan de mode et de chaussures », explique Coumba. Le couple a ainsi souhaité lui rendre hommage.
« Tous nos fournisseurs ont en commun le souci d’une fabrication irréprochable, design, au plus près des tendances actuelles. Les Italiens sont les meilleurs en termes de qualité, ils sont modernes et très branchés », précise la responsable. « On voulait des produits qui soient extrêmement bien finis, de fabricants renommés. Nos prix se situent entre 200 et 400€ la paire », ajoute son mari. « Le concept de la boutique est parti du constat de Coumba qui cherchait ces produits-là mais ne les trouvait pas à Lyon. On pense que l’on répond à un réel besoin », indique Nicolas. Le couple s’est déjà rendu deux fois en Italie pour aller
à la rencontre de ses nouveaux fournisseurs et dénicher les produits les plus raffinés. Coumba travaille sur ce projet depuis plus de dix ans et n’a jamais abandonné l’idée. Après avoir rencontré de nombreux obstacles, le couple a finalement réussi à ouvrir sa boutique. « Ce projet est né aussi avec l’aide d’un ami proche de la famille qui a toujours cru en moi et m’a encouragé à aller jusqu’au bout », insiste cette dernière. La responsable prévoit de satisfaire davantage sa clientèle en leur proposant dès le mois d’août des baskets chics et des accessoires tendances, toujours de marques italiennes. Enfin, Coumba espère bientôt lancer sa propre marque de chaussures au nom de sa boutique Romane Shoes.
Romane Shoes
8, rue de la Charité - Lyon 2
Ouvert du lundi au samedi, de 10h à 18h30
Tél. 09 78 80 69 25 / 07 68 91 21 80
MODE. JE SUIS UNE INCONDITIONNELLE DES MARQUES ITALIENNES”
Le centre de shopping Westfield La Part-Dieu fait partie intégrante du paysage lyonnais et, est devenu au fil des années, un repère incontournable du quotidien. Depuis sa création en 1975, il n’a eu cesse de se développer au rythme des tendances en enrichissant régulièrement son offre. Mieux encore, il est devenu une véritable destination, reconnue sur le plan international, en proposant à ses visiteurs une expérience complète où se mêlent mode, restauration mais également loisirs et culture. Photos DR
L’extension « La Lanterne » et la rénovation installent plus que jamais le centre de shopping dans une nouvelle ère. Et pour preuve, il ouvre ainsi, pratiquement chaque mois, et ce depuis le début de l’année, une nouvelle enseigne. SNIPES, Stradivarius, My Tea, Berliner, et un pop-up store Bershka ont ainsi ouvert leur porte récemment et de nouvelles enseignes sont attendues ces prochains mois : La Cure Gourmande, Dan
John, Popeyes, etc. Ce développement de l’offre s’inscrit dans une dynamique durable de proposer les dernières tendances. Pour répondre à une forte demande des visiteurs en matière de mode responsable, Westfield La Part-Dieu développe également une offre plus durable en accueillant La Recyclerie Circuit Court, Retro’s Fair et plus récemment le collectif de créateurs lyonnais Cent Façons.
Depuis 2022, Westfield La Part-Dieu se positionne comme un acteur de la culture Lyonnaise en proposant des expositions inédites et singulières qui rythment la vie du centre tout au long de l’année. Après le déploiement de fresques colorées par l’artiste Séverine DIETRICH et l’installation des statues contemporaines STENOS de l’artiste David POSTH-KOHLER en partenariat avec La Bienale d’Art Contemporain en 2022, le centre poursuit son projet culturel en 2023. En mai, une nouvelle œuvre luxuriante avec des plantes gigantesques a ainsi été dévoilée par l’artiste français à renommée internationale Tim TZEY dans l’une des nouvelles rues traversantes du centre. Une fresque colorée réalisée par ce même artiste avait également vu le jour début février Porte de La Bibliothèque. Et pour faire vivre toutes les formes d’art, le centre a aussi présenté en début d’année une exposition photo sur le thème de la Nature à Lyon située dans l’extension « La Lanterne ».
Destination lyonnaise incontournable, le centre a su s’adapter et être ainsi à la hauteur de la capitale de la gastronomie avec son offre de restauration unique. En effet, Westfield La Part-Dieu a tenu à apporter un grand soin à la diversité et à la qualité des enseignes de restauration proposées aux visiteurs. Produits frais de qualité, bio, « fait maison », recettes sans gluten et vegan, Westfield La Part-Dieu répond aux nouvelles attentes de ses visiteurs et devient une place forte de la « food » et des expériences de partage associées. En prenant de la hauteur sur le Rooftop de 7 000 m2 végétalisé et aménagé d’une végétation variée et évolutive au fil des saisons, les Lyonnais peuvent accéder aux Tables et au Food Society, deux espaces de restauration emblématiques du centre de shopping pour se restaurer du lundi au dimanche inclus :
Lumineux, l’espace propose 28 concepts de restauration différents. De l’indépendant Lyonnais en passant par des concepts internationaux, la cuisine proposée est tendance, séduisant tous les gourmets amateurs de bonnes tables. Le visiteur chemine sur une allée qui alterne restaurants, terrasses et cuisines ouvertes, le tout avec une vue imprenable sur les jardins suspendus grâce aux grandes baies vitrées qui entourent l’espace. Les expériences sont variées et se prêtent à chaque moment, d’un repas en famille, entre amis ou en amoureux...
Un étage plus bas, le Food Society s’anime avec des rendez-vous festifs organisés tout au long de l’année, autour d’une cuisine 100% maison. 11 kiosques de restauration sont installés dans ce food-court, complétés d’un bar et d’une grande terrasse. Le Food Society accueille la crème de la crème de la streetfood lyonnaise. Une vraie vitrine des savoir-faire des talents locaux. Au menu ? Des produits frais, issus de circuits courts, cuisinés sous vos yeux dans une ambiance branchée, festive et particulièrement animée. Cerise sur le gâteau : le lieu est écoresponsable de l’assiette au mobilier qui le compose. Pour les plus gourmands, l’actualité du centre est à ne surtout pas manquer : de nouvelles adresses food aux concepts originaux viennent de s’implanter : Aklé, un restaurant libanais authentique et Futo Sushi Corner, pour les amateurs de cuisine japonaise.
L’heure est à la multi modalité, à l’accessibilité, à la facilité...
Westfield La Part-Dieu, au coeur d’un centre névralgique de la ville, destination historique de nombreux lyonnais, bénéficie d’une position idéale pour cela. Les réseaux de transports actuels convergent tous vers le centre pour offrir le meilleur choix possible à ses visiteurs : à pied, à vélo, en tram, en métro, en bus, en voiture... tout est possible et chaque solution participe à l’expérience d’une destination conviviale, facile et accueillante :
- Deux parkings vélos sont déjà installés à coté de chaque entrée : 190 places sont disponibles dans le parking GaribaldiBonnel et la capacité du parc vélos sur le parking Cuirassiers a été doublée avec 72 places.
- Le centre est relié par le réseau TCL via plusieurs lignes de tram, bus et une ligne de métro.
Ceci afin de permettre aux Lyonnais de profiter des restaurants des Tables et l’offre de loisirs ouverte le dimanche (la salle d’escalade HAPIK et le cinéma UGC). Les rendez-vous possibles sont nombreux, en toute saison.
Westfield La Part-Dieu une destination qui valorise une expérience responsable et durable.
Centre de shopping Westfield la Part-Dieu 17, rue du Dr Bouchut - Lyon 3e Tél. 04 72 60 60 62 fr.westfield.com/lapartdieu
De là-haut, Paul Bocuse les observe... fier de voir ses élèves continuer de faire briller son nom comme les nouveaux conquérants des Halles Monts d’Or.
fortune sourit aux audacieux, toutes les planètes semblent alignées pour que leur restaurant soit un succès maintenant que les deux sombres périodes Covid sont derrière nous...
Trois Bocuse boys Grisha
Dziesmiazkiewiez, Sébastien Leroy, leur chef Guillaume Brevet et la pâtissière Diane Veyret se lancent dans la bataille avec tous les atouts en main. Les deux premiers ont ouvert le 29 octobre 2019, dans ce qui était autrefois la salle des Fêtes de Saint Didier au Mont d’Or, une magnifique halle avec d’excellents légumes, poissons, viandes et le pain de la Boulangerie La Belle des Champs puis leur restaurant L’Eclat de Pierre qui est notre coup de cœur du mois. Grandes baies vitrées éclairant la cuisine ouverte de Guillaume Brevet, 30 ans, chef de Maison Marguerite de 2016 à 2022. Grisha qui a débuté en 1989 à l’Institut Paul Bocuse avait lui aussi assuré l’ouverture de Marguerite avec Tabata. Quant à Sébastien Leroy, il a également débuté à l’Institut Paul Bocuse avant de s’associer avec Paul Bocuse et Jean Fleury dans les Ouest Express. Comme la
La présentation des plats est très soignée comme le Croque de Pierre (17€) : pain de campagne grillé, jambon truffé, comté fruité et mesclun de salade qui donne le ton dès l’entrée suivi d’un délicieux tataki de thon mariné au soja conchiglionis farcis, crémeux de brocolis et vierge de sommités au citron confit (28€). Deux plats qui suffisent à notre bonheur servis sur leur terrasse de 50 places ou dans la salle intérieure de 65 couverts. La poitrine de cochon noir de Bigorre, houmous de pois chiche et oignons rouges sauce BBQ maison est un petit sommet. La pièce de bœuf de chez Tête Bech, pommes
de terre fondantes et jus au Porto rouge ravira les amateurs du genre. Les « fous » du poisson seront aussi de la fête avec le dos de cabillaud en croûte de chorizo mijoté de haricots coco aux herbes jus balsamique (33€). Tout est fait maison comme les excellents desserts de Diane Veyret présente dès l’ouverture en 2019 qui termineront votre repas en beauté. Le pain provient de chez Pain & Jo à Morancé et Maison Deschamp à Vaise... On ne change pas une équipe qui gagne puisqu’ils viennent d’ouvrir sur leur lancée la sandwicherie Goutu à Champagne au Mont d’Or. La vie est trop courte pour la passer à l’ombre... surtout depuis que l’on a découvert leur terrasse ensoleillée avec l’ambiance très gentry des Monts d’Or !
L’Eclat de Pierre - Halles Monts d’Or
2, place André Michel 69370 Saint Didier au Mont d’Or
Tél. 04 37 46 88 85
Fermé dimanche soir et lundi soir Service jusqu’à 23h
loyers de 249 €. dossier par Identifi ant So’Color, aux
les limites Assurance Perte social : Trinity contenu des d’une remise
GAMME À PARTIR DE 21990 € (2)
B 120 gCO2 / km
G
HYBRIDESHVS*
ou
HYBRIDE
AUTO-RECHARGEABLE
GAMME À PARTIR DE 21990 € (2)
Consommations mixtes Suzuki Vitara (WLTP) : 5,2 à 5,9 l / 100 km.
HYBRIDESHVS*
GAMME À PARTIR DE 249 €/mois (1)
HYBRIDE
GAMME À PARTIR DE 249 €/mois
ENTRETIEN INCLUS (a)
ENTRETIEN INCLUS
LLD 37 MOIS
AUTO-RECHARGEABLE
1er LOYER 4 500 €
Consommations mixtes Suzuki Vitara (WLTP) : 5,2 à 5,9 l / 100 km.
LLD 37 MOIS 1er LOYER 4 500 €
B 120 gCO2 / km
(1) Location Longue Durée pour 37 mois et 30 000 kilomètres pour un Suzuki Vitara 1.4 Boosterjet Hybrid Avantage, 1er loyer de 4 500 €, puis 36 loyers de 249 €. Off re réservée aux particuliers, valable du 01/06/2023 au 30/06/2023 inclus , dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation de votre dossier par Arval Service Lease - SA au capital de 66 412 800 € - Immatriculée sous le n°352 256 424 RCS Paris. Siège social : 1, bd Haussmann - 75009 Paris - Identifi ant CE FR 68352256424 - ORIAS n° 07 022 411. Modèle présenté : Suzuki Vitara 1.4 Boosterjet Hybrid Style hors option peinture métallisée So’Color, aux mêmes conditions puis 36 loyers de 309 €/mois
(1) Location Longue Durée pour 37 mois et 30 000 kilomètres pour un Suzuki Vitara 1.4 Boosterjet Hybrid Avantage, 1er loyer de 4 500 €, puis Off re réservée aux particuliers, valable du 01/06/2023 au 30/06/2023 inclus , dans le réseau participant. Sous réserve d’acceptation Arval Service Lease - SA au capital de 66 412 800 € - Immatriculée sous le n°352 256 424 RCS Paris. Siège social : 1, bd Haussmann - 75009 CE FR 68352256424 - ORIAS n° 07 022 411. Modèle présenté : Suzuki Vitara 1.4 Boosterjet Hybrid Style hors option peinture métallisée
(a) Les loyers comprennent les services associés suivants (en option et dans les limites et conditions prévues aux contrats de LLD et d’Assurance) : Entretien inclus • Assistance + : 24h/24 7j/7 au véhicule et aux passagers • Assurance Perte Financière, souscrite auprès de Greenval Insurance DAC, compagnie d’assurance de droit irlandais, enregistrée sur le numéro 432783, siège social : Trinity Point, 10-11 Leinster Street South, Dublin 2, Irlande (info@greenval-insurance.ie) ; supervisée par la Banque Centrale en Irlande. Le détail du contenu des services associés est disponible auprès de Arval Service Lease. (2) Prix TTC du Suzuki Vitara 1.4 Boosterjet Hybrid Avantage, après déduction d’une remise de 3 000 € off erte par votre concessionnaire. Selon tarif en vigueur au 03/04/2023. *Smart Hybrid Vehicle by Suzuki.
Garantie constructeur 3 ans ou 100 000 km au 1er terme échu.
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Avec Décalé, le propriétaire de la Brasserie des Brotteaux livre, à la place de Bianca, table fraiche en décor intimiste où il révèle ses passions pour le produit du moment, le vin et l’art. Accomplissement.
Dieu que la lucidité fait du bien. C’est justement avec le sentiment de s’être égaré, qu’Emmanuel Faucon a bazardé sans regret Bianca, la table italienne créée juste à côté de la Brasserie des Brotteaux, cette dernière initialement achetée par sa mère Lise en 1991 et accessoirement fleuron architectural lyonnais avec la Georges. En lieu et place de Bianca, voilà Décalé, cocon magique de sérénité, boiseries contemporaines en zébrano, assises moutarde, l’ensemble du restaurant est compartimenté de manière à accueillir en climat intimiste fomenté par l’architecte d’intérieur Stéphanie Lapendry-Boudier. Mais l’aspect décalé arrive par Manu lui-même qui en profite pour partager une autre de ses passions en révélant de jeunes artistes accomplis. Comme en cuisine, il traque la transformation de la matière en œuvre inédite. Dés l’entrée, un néon azimuté imaginé par Alex Franchet, copain de son fils. Ici, un homard bleu au beau milieu d’un bouquet signé Nature Sacrée, au plafond fleurit magistrale sculpture comme des miroirs de sorcière cerclés de led. Il y a cette vidéo étrange mais encore l’incontournable fleur aux motifs en laine détourés d’Hortense puis l’insaisissable applique offrant déambulation de deux micropersonnages en univers architectural.
Rare poésie dénichée chez I Ligth You... Cette collection relate un homme ouvert d’esprit affectionnant tout : du baroque au kitsch en passant par l’épure quasi design pourvu qu’il y ait un message. Et, c’est toute la singularité du personnage qui nous montre encore qu’il a toujours un temps d’avance. Déjà, à ses débuts, il innove avec deux copains, il imagine, Caviarofil, toute première société de livraison de plateaux repas enlevés tant dans le contenu que dans le contenant qui rencontre franc succès seulement par la suite, investisseurs manquent à l’appel. En 1996, sa mère lui confie la Brasserie des Brotteaux qu’il fait briller comme sou neuf pour mieux révéler le bel ouvrage que ses céramiques inédites par ailleurs si ce n’est à Londres. Là, ce fou de cuisine autodidacte qui a néanmoins appris auprès d’un chef de la Mère Guy valorise le meilleur des recettes lyonnaises dont une pomme de ris de veau à se damner, du foie de veau, oui, mais de l’Aveyron et des rillettes maison... Son truc galvaniser le produit. Durant son temps libre, il apprend et embarque son équipe au sein des vignobles pour élaborer cave à vins, jusqu’à établir 800 références, 250 chez Décalé autant à la Brasserie mais encore Au Rendez-Vous des Amis, son adresse canaille établi depuis dix ans au 249, cours Lafayette où ripailler pour 20 €.
Avec Décalé, il revient aux sources « se faire plaisir, ne rien s’interdire... Tout est fait maison jusqu’à la glace » et faire régner le produit
du moment sur la carte. À l’instar de ces langoustines cuites minute lors de l’ouverture, des saint jacques et du poulpe aux cuissons millimétrées lors de notre passage. Des assiettes généreuses aussi. Sur la mezzanine, découvrir ensemble de petits salons so lyonnais séparés par des baies vitrées flanquées de persiennes, l’un flanqué sur estrade à la table entourée de spacieux fauteuils à oreilles, l’endroit idéal pour négocier ou s’aimer en secret. Il faut encore convenir de l’élégance du personnel, des sommelières érudites. Autant dire qu’en toute discrétion, la cinquantaine manifestement heureuse, Emmanuel Faucon arrive à cette maturité ouvrant toutes les portes. Le gaillard qui s’est fait lui-même a ancré les Brotteaux en lieu vivant dans le gourmand qu’il entend faire vivre. Déjà, truffé de découvertes aux beaux jours, Décalé annonce apéro gourmand en terrasse à partir de 18h. Rendez-vous avec de l’humain fan de vin et de tant de bonnes choses... Surtout échanger avec lui.
Décalé - 1, place Jules Ferry - Lyon 6e Tél. 04 78 41 68 10
Ouvert du lundi au dimanche midi
Alors que la qualité de ses produits n’est plus à prouver, la pizzeria Zappo s’emploie à composer des recettes destinées au plus grand nombre. Pour preuve, la confection, sur le site de Gerland, de nouvelles pizzas sans gluten. Malgré ses évolutions, la priorité demeure la même : la mise en avant du goût et de produits 100% italiens.
Les années passant, le raisonnement n’a guère évolué : l’appétit vient en mangeant. Une vérité immuable que la pizzeria Zappo personnifie depuis sa naissance. À la voir croquer la vie à pleines dents depuis sept ans, l’enseigne semble en effet, inviter la gourmandise à toutes les tables. À Gerland, comme à SaintPaul, sitôt la fin de journée. L’un dans l’autre, la priorité demeure ailleurs. Dans cette quête interrompue du bien manger. De cette pizza goûtue, que l’Italie tient pour trésor national depuis des lustres. Reste que si la Botte regorge de charmes tous plus attirants les uns, les autres, Zappo se propose lui, de promouvoir l’un de ses meilleurs produits. Le but ? Reproduire en ses établissements, le plaisir si singulier d’une dégustation d’une pizza façon romaine ou sicilienne. « On veut que nos produits aient du goût », confirme ainsi le gérant, Georgy Sfez
De fait, si ses établissements nous embarquent au-delà des Alpes, l’enseigne veille aujourd’hui au bonheur du ventre et de l’esprit. Le tout, en s’assurant « d’ouvrir son univers à tous les consommateurs ». C’est un fait, le client est roi. Mais depuis un mois, et l’élaboration d’une nouvelle carte, Zappo s’évertue surtout à combler chacun de ses invités. Pour preuve, la conception d’une pizza sans gluten, offrant enfin aux personnes intolérantes, le plaisir d’y succomber. À commencer par l’un des bestsellers, la Tartufo, déclinée selon quelques variantes, toutes déposées sur une pâte élaborée à partir d’une « farine spéciale ».
« Cela fait plus d’un an et demi que l’on travaille sur cette pizza. C’est une intolérance de plus en plus répandue, mais on voulait offrir à cette clientèle, la possibilité de manger nos pizzas. Certes, le goût est différent, mais nous sommes parvenus à y mettre une petite touche de Zappo », se félicite Georgy Sfez. Une subtilité essentielle, que les clients peuvent retrouver sans mal, quel que soit le choix, dans l’appréciation de produits 100% italiens. Des denrées chinées par-delà les frontières transalpines, en témoigne récemment, l’ajout d’un gorgonzola au piment, dont le « goût demeure très prononcé ». Une manière de se différencier. De rappeler aussi, que la douce musique de la gastronomie ne peut s’affirmer sans quelques notes de délicatesse. Sans ces quelques détails justifiant une renommée bien méritée. S’attabler à Gerland, parmi
les 140 couverts (dont une quarantaine en terrasse), ou humer les parfums dégagés par les deux fours de la maison, suffit alors à le prouver.
grandes largeurs. Quand l’appétit va, tout va. La famille Zappo réfléchit ainsi, à multiplier les réjouissances. Au menu, la probable apparition d’un nouveau projet au cœur de Gerland. Un concept tourné autour de mets italiens, naturalmente. Mais pour l’heure, chi va piano, va sano.
Zappo Gerland
6, rue Challemel-Lacour – Lyon 7
Ouvert du lundi au dimanche de 12h à 14h et de 19h à 22h
Tél. 04 72 71 79 88
> Plus d’infos sur www.zappo.fr
Zappo Saint-Paul
17, quai de Bondy – Lyon 5
Ouvert du lundi au dimanche de 18h à 22h
Tél. 04 78 98 82 01
D’autant que depuis ce mois de mai 2023, Zappo se plaît à proposer une pâte autrement préparée, « plus croustillante et plus épaisse, mais plus digeste ». Son nom : la pâte « in pala », très hydratée et conçue « diversamente » de la pizza traditionnelle. « C’est un produit unique », vante de son côté, le chef exécutif Alex Monterosso, dont les inspirations culinaires ponctuent une quarantaine de pizzas. Autant de saveurs que Zappo appelle à découvrir, accompagné de « dolci » (et sans gluten), d’une dizaine de bières ou d’innombrables cocktails imaginés par Shirley, la barmaid de la maison. En somme, la démonstration complète qu’en de telles terres, jeunesse et dynamisme forment un savoureux mélange, que les Lyonnais peuvent déguster sans modération, au déjeuner comme en afterwork. Une idée alléchante que la capitale des Gaules pourrait prochainement découvrir, dans de plus
Chaque mois, Alexandra CarrazCeselli, fondatrice de L’Equipe des Lyonnes, nous propose de partir à la découverte d’une lyonnaise au parcours remarquable, au cours d’un « Café des Lyonnes ». À l’occasion des deux ans de ce réseau d’un nouveau genre qui compte déjà 2000 membres, et du 70e numéro du Café des Lyonnes, nous avons voulu interroger à son tour celle qui a décidé de consacrer son temps personnel à mettre en valeur les femmes et leur donner plus de visibilité dans l’espace public.
MP : Pensez-vous être une femme engagée ?
ACC : Oui et je l’ai toujours été. Aux côtés de mes proches dans leurs combats personnels, comme dans ma vie professionnelle, dans les projets que j’ai menés avec toujours beaucoup de passion et d’implication personnelle, au service des politiques publiques, des élus et des collectivités pour lesquelles j’ai travaillé. L’engagement, c’est notre capacité à nous mobiliser pour les autres, à ne jamais renoncer, pour quelque chose qui nous dépasse et auquel on croit finalement plus qu’en soi-même. Cela donne beaucoup de force. C’est aussi une forme de fidélité aux valeurs auxquelles on croit.
Pourquoi avoir créé L’Équipe des Lyonnes ? Je ne supportais plus d’entendre les femmes m’expliquer avec gêne qu’elles ne se sentaient pas « vraiment » féministes. Ce combat très beau pour l’égalité hommes/femmes, hérité de nos mères avec des avancées réelles, était en train d’être confisqué par des mouvements ultra radicaux qui ont une vision extrême et violente des hommes, et dans laquelle je ne me retrouvais pas. J’ai donc voulu promouvoir une autre forme de féminisme, qui soit clairement positive, volontaire, nonvictimaire, et surtout qui n’oppose pas les femmes aux hommes. Il reste des choses à faire, mais pour avancer, les femmes doivent aussi accepter de faire leur part du chemin, et pour cela nous devons les encourager à prendre toute leur place dans le débat public.
“LES LYONNES, C’EST D’ABORD UNE ÉQUIPE, AVEC UN VRAI SENS DU COLLECTIF”
L’Équipe des Lyonnes est-elle ouverte aux hommes ?
Evidemment ! D’ailleurs les hommes nous aident beaucoup dans cette démarche. Il ne s’agit surtout pas d’un club fermé, où il faudrait être coopté pour rentrer. Au contraire, c’est un réseau ouvert à tous ceux qui partagent nos valeurs et qui compte bien faire la démonstration que les Lyonnaises ont du talent. Nous avons d’ailleurs réussi une belle diversité de secteurs, fonctions et parcours parmi nos membres. Les Lyonnes, c’est d’abord une équipe, avec un vrai sens du collectif, et dans laquelle on vient donner et partager — du temps, des compétences, des idées — avant de recevoir.
Dans la pratique, comment cela fonctionnet-il ?
Il suffit de rejoindre L’Equipe des Lyonnes sur le groupe LinkedIn et d’adhérer à l’association pour ceux qui souhaitent soutenir nos actions. Notre objectif est d’agir concrètement pour lever les freins et donner aux femmes des clés pour qu’elles se réalisent : prendre la parole en Codir ou dans les médias, négocier un salaire, franchir la porte d’une mairie pour s’engager dans la vie locale, lancer son projet, intégrer une association... Tout se passe sur le principe du bénévolat et de partenariats gagnant-gagnant avec des évènements qui permettent de rencontrer les bonnes personnes, font connaitre des intervenants, apportent de la visibilité aux projets et des contenus de qualité pour mieux s’engager dans l’espace public.
Les femmes manquent-elles de quelque chose pour réussir ?
Principalement de confiance en elles, c’est une évidence. Elles maîtrisent également moins certains outils pourtant puissants, comme les réseaux. Elles doivent apprendre à s’entraider davantage et surtout plus efficacement. Les hommes le font très bien, pourquoi ne pas prendre exemple sur eux ?! Cela ne nous empêche pas de le faire à notre façon, et d’y mettre les valeurs auxquelles nous croyons.
Pourquoi cette question de la place des femmes dans la société vous préoccupet-elle ?
Parce que la mise en garde de Simone de Beauvoir est toujours valable : « N’oubliez jamais qu’il suffira d’une crise politique, économique ou religieuse pour que les droits des femmes soient remis en question. Ces droits ne sont jamais acquis. Vous devrez rester vigilantes votre vie durant. » À l’occasion du 8 mars, nous avons réuni 200 personnes au Barreau de Lyon, grâce au soutien de Marie-Josèphe Laurent, la bâtonnière, pour une grande soirée sur le thème des femmes face à l’exercice du pouvoir. En ouverture, j’ai tenu à rendre hommage au courage des femmes afghanes
et iraniennes, qui se battent pour vivre libres, sans voile pour cacher leurs cheveux, et pouvoir aller à l’école sans craindre pour leurs vies. Le message bouleversant qui a été porté ce soir-là, c’était aussi celui de dire notre propre responsabilité. Aujourd’hui en France, nous sommes libres de vivre comme nous le souhaitons, et nous pouvons prendre la parole sur tous les sujets.
stage à Lyon pour une chaîne TV nationale de France Télévision, « Régions ». Puis, je rêvais de travailler pour une institution publique, et c’est encore une femme -MarieNoëlle Hautier- qui m’a recrutée au sein du service de presse de la Présidente de Région. Un job très formateur, à rédiger des centaines de communiqués sur tous les domaines de compétences de l’institution régionale. J’ai eu le virus pour les politiques publiques et j’ai poursuivi dans les domaines de la communication, des médias et la conduite des politiques publiques. Ensuite, ce sont des hommes qui m’ont fait confiance et m’ont permis d’accéder à des postes à responsabilité. J’ai pu évoluer dans un milieu professionnel exigeant et très codifié, ce qui m’a permis d’apprendre vite et de tirer des enseignements très utiles que je peux partager aujourd’hui avec L’Equipe des Lyonnes.
Quels conseils donneriez-vous aux femmes ?
Ne laissez pas le quotidien vous faire renoncer à vos rêves ou à vos envies. La vie est faite de phases et il y a un temps pour tout, mais globalement aujourd’hui, beaucoup de choses sont possibles et accessibles, et presque tout est conciliable. Il suffit d’une bonne dose de volonté et d’organisation, et accepter de se mettre moins la pression. Croyez-en vous, aidez les autres, cela vous mettra dans une disposition positive.
Si vous aviez une baguette magique, quelle mesure prendriez-vous pour permettre aux femmes d’être plus engagées dans le débat public ?
Je leur transmettrais un exemplaire de notre Livre Blanc qui contient tout un panel de propositions concrètes pour engager davantage les femmes dans le débat public. Nous l’avons adressé à l’ensemble des institutions publiques, du Président de la République au Maire de Lyon. Et puis surtout, je les inviterais à nous rejoindre à L’Equipe des Lyonnes !
> L’Equipe des Lyonnes : www.lequipedeslyonnes.fr
2000 membres
70 Cafés des Lyonnes et plateformes de streaming
De quelle manière votre propre parcours a-t-il été influencé par les hommes ou les femmes ?
J’ai été fascinée très tôt par l’univers des médias et des institutions publiques, mais je n’avais aucune connaissance, ni aucun réseau. J’ai envoyé des centaines de lettres de motivation. Grâce à une femme qui m’a fait confiance, Laurence Ruiu, j’ai décroché un premier
17 évènements et conférences
2 éditions du Livre blanc des Lyonnes
“NOUS AVONS DONC UNE FORME DE RESPONSABILITÉ À PRENDRE NOTRE PLACE DANS LE DÉBAT PUBLIC, AU MOINS PAR RESPECT POUR TOUTES CELLES QUI EN SONT PRIVÉES DANS LE MONDE.”
Ceux qui connaissent Jacqueline Ginon ne seront pas surpris du défi qu’elle s’est lancé, une retraite active dans la production de vins et d’huile d’olive en Pays d’Uzès.
Son tempérament entrepreneur, son esprit vif, son dynamisme, sa capacité à apprendre, sa faculté à décider ont déjoué les aprioris. Connue dans la sphère médiatique, elle est l’épouse d’Olivier Ginon. Reconnue dans le monde médical en tant que gynécologue, spécialiste de la procréation médicale assistée, son filleul de trente-sept ans est né d’une F.I.V. (fécondation in vitro). Elle se dessine une place dans le monde, un rien masculin, de la viticulture. En 2023, Jacqueline parle cépage, vendange, vinification... L’esprit scientifique reste en alerte, la curiosité noircit l’agenda. Pour Lyon People, elle sort de sa réserve, retrace son parcours et pose son regard sur la renaissance et le développement du domaine agricole de Panéry, acquis par le couple en 2017.
Jacqueline confie être véritablement entrée dans l’histoire de Panéry lors de la première réunion avec les œnologues. A cette époque, elle partage son temps entre son cabinet de gynécologie médicale et l’Institut Rhônalpin
(clinique du Val d’Ouest) pour la partie P.M.A. (procréation médicalement assistée) « C’est l’aspect scientifique de la viticulture qui m’a interpellée et séduite ». Pour appréhender ce nouveau monde et se sentir légitime, elle s’inscrit à l’Université de Suzela-Rousse en 2019. La greffe prend. Nous y reviendrons. « Je suis née en Belgique. J’ai deux ans quand la famille s’envole pour le Congo belge. A l’Indépendance, direction la Suisse allemande. J’ai huit ans, quand nous emménageons à Saint-Pierre-de-Chandieu, à proximité de l’aéroport. Mon père, ingénieur chimiste, travaillait pour des soyeux lyonnais et voyageait beaucoup ».
Seule issue pour Jacqueline, la pension à l’Assomption Bellevue jusqu’à l’obtention du bac D. Des années studieuses et joyeuses dont certaines rencontres seront scellées dans le marbre. Pascale, Christine et Nathalie font toujours partie de sa sphère privée. Elle intègre médecine. Le choix de la gynécologie s’impose, comme souvent précise-t-elle, à la suite d’un stage à l’Hôpital Édouard Herriot,
Pavillon L. Le doctorat est célébré en 1982. L’année précédente, c’est une toute autre célébration qui occupe l’esprit de l’étudiante, son mariage avec Olivier Ginon. « On s’est rencontré dans un café du 2ème arrondissement, Au Bon Coin. Il venait de créer son entreprise. L’évidence dure depuis quarante-deux ans. Notre force tient dans le respect de l’autre. Nos métiers, prenants, engageants, à forte valeur humaine, ne nous ont pas éloignés. Parents de quatre enfants, trois filles et un garçon (1983-1986-1990-1993), nous avons partagé des essentiels qui ancrent la vie ». En 1986, elle rachète la clientèle d’un cabinet dans la rue où elle souhaitait s’installer. La plaque est vissée rue Victor Hugo. La rencontre avec le docteur Dominique Barbereau sera déterminante. « On est en 1984, je découvre lors de remplacements à Bron, le premier centre de fertilité lyonnais regroupant médecins et biologistes. Je sais où est ma place. Aider les couples confrontés à l’infertilité ».
« J’ai un bon métabolisme ». On pose le regard sur une veste cintrée orange que vient apaiser un foulard aux imprimés floraux. « J’ai le goût des matières, des coupes, des couleurs, mais je suis surtout sensible à la lumière ». Le regard bleu myosotis est présent, la voix posée avec une légère appréhension à se confier.
Cette cathédrale de pierre et d’inox a pris la place de l’ancien chai dont ne restent que les 4 murs. Les travaux titanesques ont été menés en 9 mois, entre novembre 2020 et juillet 2021. 19 cuves de 300 hectolitres ont été installées aux côtés des 7 cuves béton conservées et restaurées.
« Les mots sont importants ». Le médecin en a fait l’expérience. « Lorsqu’on reçoit un couple pour mettre en place une aide à la fertilité, il faut écouter, expliquer, accompagner, prendre du temps. Il y a des joies immenses, recevoir un faire-part, il y a aussi les échecs, la douleur, l’espoir qui s’envole. Comment être
juste ? Grâce à un propos étayé, des résultats analysés ». Jacqueline évoque toute l’énergie du travail en équipe. Réunir les personnes pour gagner, au sens noble du terme, est inscrit dans l’A.D.N. du couple. La propriété de Panéry n’échappera pas à la règle.
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L’ÉNERGIE DU TRAVAIL EN ÉQUIPE, RÉUNIR LES PERSONNES POUR GAGNER EST INSCRIT DANS L’A.D.N. DU COUPLE.
Panéry se mérite. Il faut quitter l’A7, traverser le village de Pouzilhac, serpenter dans les collines et s’aventurer dans un chemin que surplombe une Madone. L’arrivée vous cueille comme un fruit mûr, promesse d’une rencontre autant visuelle qu’olfactive. Waouh. On imagine que ce sentiment de bout du monde, ouvert à toutes les audaces, a conquis le couple Ginon. La pandémie et la vague verte n’ont pas défrayé la chronique quand Olivier contacte la SAFER d’Occitanie pour acheter des terres. L’objectif est simple : planter des oliviers et se lancer dans l’oléiculture. Les visites se succèdent jusqu’à la découverte de l’écrin, propriété d’un Hollandais qui regarde le temps faire sa mauvaise œuvre. Ce terrien, instinctif, affectif, dont le sens de la stratégie et le flair ont construit la réussite, voit immédiatement le potentiel de ce domaine agricole d’un seul tenant. « Je vis depuis quatorze ans à Panéry, c’est un émerveillement de tous les jours » raconte Arnaud Warnery, directeur. L’affaire est conclue en 2017.
On trouve des traces écrites dès 1670. Panéry est alors la ferme de rapport du château de Pouzilhac, Duché d’Uzès. Blé et moutons servent à alimenter les villageois. La vigne fait son apparition au XIXe siècle. Et la Madone ? La promesse du propriétaire de construire une statue à l’effigie de la Vierge en remerciement d’une belle vendange, le phylloxéra ayant détruit une partie du vignoble en Languedoc Roussillon comme un peu partout en France. La prière est exaucée en 1898.
En sus de la viticulture, le domaine de Panery se tourne vers l’huile d’olive. 120 hectares d’oliviers ont été plantés depuis 2017, ainsi que 6 hectares de chênes truffiers en partenariat avec Jérôme Gallis. Un moulin sera bientôt construit sur la commune de La Capelle et Mas Molène.
Aujourd’hui, la Madone veille sur la propriété. Les travaux XXL du couple Ginon ont « légèrement » modifié la physionomie du Domaine. La vigne ne domine pas. Il y a la garrigue et ses chênes truffiers, les ruches, bientôt le retour du blé. L’or vert représente la plus grande partie de l’exploitation. Depuis quelques mois, le couple visite des moulins. « Nous allons construire notre propre équipement, annonce Jacqueline. L’idée étant de fédérer une douzaine de producteurs locaux, mutualiser les moyens et défendre l’huile française sur les marchés nationaux », alors que la production française ne représente que 5% de la consommation dans l’Hexagone.
Un caveau, une maison d’hôtes, un restaurant, sans oublier la présence d’une galerie d’art contemporain, le Domaine de Panéry est un tout, où chaque élément est connecté aux autres. « C’est sa force et son charme, son exigence aussi », argue Arnaud Warnery ». Reste l’esprit Panéry insufflé par des grands voyageurs et l’interprètent à leur tour pour des gens de passage, un week-end ou plus, venus de Lyon ou du monde entier, résume Olivier Teste, leur couteau suisse. « Jacqueline a la vocation de directrice artistique. Elle a été attentive à préserver une unité de ton dans les différents bâtis organisés autour d’une place. Des aménagements pensés, soignés, laissant la part belle aux arts où les convives doivent se sentir accueillis, à leur aise ». Caroline Ginon, architecte, est en phase, elle qui aime bien construire pour le monde de demain. Mère et fille sont entrées en résonnance, sur les volumes, la lumière, la fonctionnalité, l’esthétique aussi.
Rouge, blanc, rosé... 27 000 bouteilles sont écoulées chaque année. Une vingtaine de personnes travaillent sur le domaine (elles étaient trois en 2017).
Production viticole
Deux appellations AOP
- AOP Duché d’Uzès. Rouges, blancs et rosés
Cuvée La Madone
- AOP Côte du Rhône. Rouges, blancs et rosés
Cuvée La Garustre
Deux appellations Vin de Pays IGP Pont du Gard et Vin de Pays IGP Cévennes réunies Cuvée La Glacière.
Production oléicole
Une huile française issue de la culture de variétés d’olives : Picholine, Arbequina et Arbosana (espagnoles), Koronéïki (grecque)
Pour être cooptée, Jacqueline s’inscrit à l’université de Suze-la-Rousse. Pas d’ordinateur, mais un cahier. « Écrire m’aide à organiser les informations : cépages, maladies, traitements, tailles, vendanges... » La conversion en bio, c’est elle. L’histoire la conforte. « Ce type de culture m’était totalement étranger. Seuls les ânes ne changent pas d’avis », lance Arnaud Warnery, directeur du domaine. « En 2019, la dégustation d’assemblages sera déterminante. Elle est à l’origine de la gamme du domaine. (Voir encadré). Désormais, notre tâche est, et sera, de la reproduire, de la conforter et de l’améliorer ». À soixante-six ans, il ne songe pas à la retraite, il a trouvé un nouvel élan. « Jacqueline est tout à fait opérationnelle et nous travaillons main dans la main ». Autre regard, celui d’Olivier Teste, collaborateur de longue date d’Olivier Ginon. « Jacqueline a la fraîcheur d’une adolescente drapée d’une forme de maturité. Le mélange est pétillant » Le couple cultive la générosité avec une tonalité liée au tempérament de chacun. « J’ai des avis, une sensibilité, des idées, et je les donne. Je suis scorpion mais mon ascendant arrondit les angles ». Panéry est donc un projet professionnel managé par deux personnalités.
« Pour nous retrouver en famille, nous avons d’autres adresses ». Elle sourit en confiant qu’Olivier lui demande où elle est quand il appelle. Avant, la question ne se posait pas. Sur un salon, en réunion, dans son 4x4, en immersion dans un moulin, concentrée sur une dégustation, Jacqueline est nomade, et à sa place. Épanouie est le mot de la fin ou pas.
L’ancienne ferme du château de Pouzilhac a été entièrement restaurée pour accueillir un hôtelrestaurant (aile gauche), une maison d’hôtes (au centre) et la galerie d’art (à droite).
La découverte du Domaine de Panéry a lieu grâce à l’artiste Jean-Lucien Guillaume, invité à l’exposition printanière consacrée à Franck Chalendard. La synergie GinonCeysson & Bénétière est gagnante-gagnante. « La proposition de nous associer au lieu nous a immédiatement séduits, avoue François Ceysson. Réunir des publics différents autour d’une qualité de vie qui rend heureux. Pour l’histoire, Olivier nous a acheté un Viallat en 2014 à ArtRio. Le coup de pouce à deux jeunes Stéphanois loin de leur terre. Depuis, nous sommes restés en contact » Fondée en 2006, la galerie éponyme a développé ses implantations à Luxembourg, Paris, Genève, New York, Lyon, Saint-Etienne. Soucieux de servir leurs collectionneurs et décomplexer les néophytes, les deux quadras ont également opté pour l’ouverture de lieux atypiques offrant aux visiteurs « un ralenti » pour s’immerger dans une œuvre, un artiste, libéré du speed urbain. Panéry en est le NEC PLUS ULTRA. En ce mois d’avril, la lumière se fait caressante sur l’œuvre monumentale de Bernar Venet qui accueille le visiteur. D’autres artistes (Bernard Pagès, Aurélie Pétrel…) essaiment leurs sculptures, créant un parcours artistique que la toile de fond, en camaïeu de vert et bleu, transcende. L’intégration est parfaite. Même le chai, avec ses volumes impressionnants est entré dans la danse. La proposition d’expérience globale est dans l’air du temps. Le Château La Coste (Patrick McKillen) et la Commanderie de Peyrassol (Philippe Austruy) en sont de bels exemples.
Pour Loïc Bénétière, le Domaine de Panéry marque sa différence. « Jacqueline et Olivier ne présentent pas seulement leur collection. Ils nous ont confié la programmation ». Ils peuvent s’appuyer sur la cinquantaine d’artistes à l’envergure nationale et internationale qu’ils promeuvent. La première exposition, en 2022, est un focus sur Claude Viallat dont les œuvres couvrent les cimaises des chambres et de la table
d’hôtes. Mi-juillet, Gloria Friedmann prendra ses quartiers à Panéry. Elle s’est fait connaître au début des années 80 par ses installations et performances ayant pour sujet la nature. « Elle développe une métaphore naturaliste, en présentant des pièces d’une nature vraie, dont elle déplace des fragments selon le procédé du ready-made pour restituer l’idée de chaos davantage à celle d’une harmonie proverbiale ».
Ceysson & Bénétière, l’art in situ
Auboyer-Treuille Rodolphe p.50
Belloc Marie p.52
Bravard Thibault p.54
Costa Olivier & Martin Mathieu p.56
Delsol Henri Louis & Kaeppelin Emmanuel p.58
Ducrot Hugues p.60
Durand Vincent p.62
Heilpern Olivia p.64
Jalliffier-Verne Emmanuelle p.66
Laurent Marie-Josèphe & Barre François p.68
Le Goff Julie p.70
Morell Serge p.72
Petrel Pascal p.74
Zelmati Richard p.76
La synergie que j’espérais est bel et bien présente.” En rejoignant, début 2020, le cabinet Bret Bremens Avocats (aujourd’hui, Bremens Avocats), Rodolphe Auboyer-Treuille, avocat spécialiste en droit immobilier et droit des baux, louait “la vision iconoclaste portée par Dominique Bremens, Marc Van Gorp et Jean-Pierre Viennois, matérialisée par un rapprochement inédit entre avocats et notaires.” Pari gagné, au vu de la croissance du cabinet, notamment, depuis son implantation parisienne (début 2021), et sa volonté de développement. Que Rodolphe entend porter, en partie : “Nous ambitionnons de renforcer considérablement le pôle immobilier de notre cabinet, en ciblant principalement les droits de l’urbanisme et de la construction”, souligne ce désormais membre de la réserve citoyenne (de l’armée de l’air), qui a trouvé une réponse à sa volonté de sublimer dix années d’exercice en solo au sein de son cabinet éponyme, “j’avais besoin d’un nouveau challenge”, plaide-t-il. Et d’écrire un nouveau chapitre après ses passages chez Brumm & Associés (20052008), JURI EUROP durant un an, avant de faire ses gammes durant près d’une décennie (2009-2020). Ses gammes et un nom dans le landerneau juridique lyonnais au sein duquel son appétence “pour la chose commune” [sic] n’a laissé personne indifférent : président de l’UJA de Lyon (2008), membre du conseil de l’Ordre (2010-2016), trésorier pendant deux ans, cet homme marié et père de deux enfants (Margaux et Joséphine) nourrit ainsi, sa perception d’un métier “qu’il voit évoluer sur un plan technique au rythme des innovations découlant principalement de l’intelligence artificielle”. Pas de quoi faire vaciller ses chevaux de bataille, “conseils, accompagnements et valeur ajoutée”, ni sa posture, “il y a le faire-savoir et le savoirfaire, à nous de marier les deux notions”. Un équilibre que ce passionné de montagne entend mettre à profit à destination de celles et ceux (particuliers, foncières, investisseurs, promoteurs, bailleurs, professionnels de l’immobilier etc.) qui, au vu, de la conjoncture actuelle risquent de devoir repenser la notion même de bureaux (tertiaire, logistique etc.) voire repenser de nouveaux modes de pratiques professionnelles. Rodolphe, lui, construit.
www.bremens-avocats.com
Rodolphe Auboyer-Treuille
Né le 12 avril 1979 à Lyon (quatrième arrondissement).
DIPLÔME
Prestation de serment en décembre 2004 (inscrit au barreau de Lyon depuis 2005) ; CAPA à l’EDA de Lyon (2003-2004) ; DESS de droit des affaires (université de Bourgogne – 2004) ; diplôme d’Études Judiciaires (université Lyon III – 2002) ; maîtrise en droit des affaires (université Lyon III – 20012002).
FONCTION
Avocat-associé au sein du cabinet Bremens Avocats.
Commandant (RC) Armée de l’Air – Base aérienne 942 Lyon Mont Verdun Auditeur, en 2017, de l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) et de l’Institut National des Hautes Etudes de la Sécurité et de la Justice (2014-2015), désormais IHEMI.
Défendre les professionnels de santé, “en particulier les chirurgiens face à leurs patients”, Marie Belloc est l’une des rares avocats, dans l’Hexagone, à consacrer son activité au droit de la santé (80 % des affaires de son cabinet éponyme). Une spécialisation qui réclame à la fois, “d’accompagner, avec sérénité, mes clients confrontés à la dureté du procès, au cours duquel, on leur attribue — souvent — le mauvais rôle, tout en leur rappelant, également, les obligations particulières qui pèsent sur eux. Mais, il faut aussi, comprendre l’esprit et les difficultés de leur activité libérale”, assure Marie Belloc, par ailleurs intervenante régulière lors de congrès médicaux et dans l’enseignement universitaire. Sur un secteur de niche, cette maman d’une petite fille prénommée Brune, a su se faire un nom au cœur d’une activité demandant une ultra-spécialisation, “tant l’appréhension du cadre juridique et du vocable technique médical s’avère singulière.”
Membre de la commission Santé du Barreau de Lyon, cette sportive, amatrice de musique — “Je suis très éclectique dans mes choix mais une chose est sûre, elle m’accompagne partout ! La musique transcende les mots.” — peut ainsi s’enorgueillir d’être l’un des deux seuls avocats Lyonnais à être détenteurs de la certification de spécialisation en Droit de la Santé. Une juste récompense pour une jeune femme qui a rapidement souhaité voler de ses propres ailes, chose faite en 2012 (à l’âge de 32 ans), avec la création de son cabinet, Belloc & Avocats. Un goût prononcé pour l’indépendance, cultivé au temps de son enfance bretonne, passée à attendre la figure paternelle, sous-marinier sur Le Redoutable. Redoutable, Marie le devient après ses études de droit, grâce à ses expériences au sein de quelques cabinets prestigieux, dont celui de Paul Lombard & Associés. Son arrivée entre Rhône et Saône reste synonyme d’envol professionnel et personnel. Une envie assumée et aboutie.
www.belloc-avocats.com
Marie Belloc
Née le 13 août 1979 à Saint-Renan (Finistère).
DIPLÔME
DESS de droit de l’entreprise médicale et pharmaceutique (université Nancy II) ; Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat et prestation de serment (2005) ; Certification de spécialisation en droit de la santé (2016).
FONCTION
Avocate - Fondatrice du cabinet Belloc & Avocats, spécialisée en droit de la santé.
3 Cours de la Liber té 69003 Lyon
Ouverture : Lundi 14h - 19h
Mardi au samedi : 1 0h- 19h
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Thibault Bravard change d’ère : en s’alliant, via un partenariat fort, avec un cabinet d’affaires traditionnel — VIAJURIS — le fondateur de Bravard Avocats (en 2010) capitalise à la fois sur un levier de croissance évident et des complémentarités efficientes : “Bien que nous intervenions en divers domaines du droit des affaires, nous sommes spécialisés en fiscalité immobilière avec en filigrane les opérations de marchand de biens, de promotion et de défiscalisation immobilière, souligne ce passionné de l’OL. Les promoteurs, commercialisateurs, investisseurs constituent l’essentiel de nos clients.” Fort de quinze collaborateurs (dont sept avocats parmi lesquels six fiscalistes), le cabinet lyonnais (plutôt implanté sur le quart sud-est) se rapproche d’une entité plus grande (cinquante personnes) au fort accent régional (Lyon et Saint-Étienne principalement, son cœur d’origine) qui apportera son expertise en droit des sociétés, fusion-acquisition et contentieux judiciaire. Dans un même élan, Bravard Avocats a également investi de nouveaux locaux situés rue Édouard-Herriot, à deux pas de la rue des Archers, où se situe le cabinet VIA JURIS, dont Bravard Avocats fut le voisin pendant quatre ans. Bref beaucoup de choses pour un homme qui se juge lui-même “entrepreneur et indépendant”. Un sportif (tennis, ski et golf) amateur d’œnologie, issu d’une famille de professions libérales, dont le parcours s’est dessiné d’abord chez Arthur Andersen puis au sein de deux cabinets régionaux, avant de voler de ses propres ailes en créant son cabinet éponyme. Amateur de ski, fidèle de Megève depuis toujours, l’époux de Véronique, papa de Paul et Victor aime aussi, prendre l’air.
www.bravard-avocats.com
Thibault Bravard
Né le 23 juillet 1972 à Lyon (sixième arrondissement).
DIPLÔME
Maîtrise en droit des affaires ; DJCE-DESS en droit des affaires (Montpellier) ; certificat de droit fiscal ; diplômé de Grenoble École de Management (GEM).
FONCTION
Associé-fondateur de Bravard Avocats
Olivier Costa
Né le 27 octobre 1973 à Lyon.
DIPLÔME
Titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat.
Avocats, intégrateurs du droit. Forts d’une expérience de plusieurs décennies acquises auprès du fondateur du cabinet, Yves Bismuth, Olivier Costa et Mathieu Martin poursuivent ce qui fait l’ADN de leur cabinet : considérer le droit comme un atout concurrentiel et une valeur économique participant à la stratégie de l’entreprise et à la protection des intérêts des personnes qu’ils assistent.
Mathieu, féru de technologies, intervient sur des secteurs hautement innovants en ajoutant une parfaite connaissance métier. Olivier, fils de restaurateurs et passionné de sport, ne jure que par l’action et parle le même langage que les personnes qu’il conseille et défend.
Toujours prêts aux côtés des startuppers, des entrepreneurs et des sportifs, Mathieu Martin et Olivier Costa insufflent également auprès de leurs équipes l’esprit d’entreprendre, la curiosité, l’imagination et la volonté de sans cesse se dépasser... Et assurer ainsi dans les dossiers que le cabinet gère, la meilleure défense et le meilleur conseil au service de ses clients. Mathieu et Olivier, des avocats, eux-mêmes entrepreneurs, qui pensent différemment.
www.bismuth.fr
FONCTION
Avocat associé co-gérant de BISMUTH Avocats Membre du Conseil de l’Ordre du barreau de Lyon Membre des chambres de commerce du Portugal et du Brésil Consul Honoraire du Brésil à Lyon.
DISTINCTION
Primé au palmarès Monde du Droit « Droit de la distribution » Référencé au classement Décideurs « droit du sport » et « droit social ».
Mathieu Martin
Ne lé 20 février 1976 à Paris.
DIPLÔMES
Titulaire du Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat Mention de spécialisation en Droit du numérique et des communications.
FONCTION
Avocat associé co-gérant de BISMUTH Avocats Chargé d’enseignement Co-président de l’AFDIT.
DISTINCTION
Primé au palmarès Monde du Droit « Technologies de l’information, Médias & Télécommunications, Propriété intellectuelle » Référencé au classement Décideurs « Informatique, Software & Projets digitaux ».
Henri-Louis Delsol
Né le 5 novembre 1980 à Lyon.
DIPLÔME
Maîtrise en Droit des Affaires (université Jean Moulin Lyon III)
DESS-DJCE en Droit des Affaires Internationales (université Aix-Marseille III)
LL.M en Droit des Affaires (Georgetown University - USA).
FONCTION
Co-responsable du département « Fusions-AcquisitionsDroit des sociétés »
Managing partner du Cabinet Delsol.
Emmanuel Kaeppelin
Né le 3 mars 1976 à Rillieux-la-Pape.
DIPLÔME
DESS de droit des affaires et fiscalité (université Jean Moulin Lyon III)
Magistère Juriste d’affaires – DJCE (université Jean Moulin Lyon III)
Diplôme de spécialisation en droit des sociétés.
FONCTION
Co-responsable du département « Fusions-Acquisitions - Droit des sociétés »
Managing partner du Cabinet Delsol.
Administrateur du réseau d’avocats Trans-European Law Firm Alliance (TELFA).
Figurant parmi les cabinets d’avocats leaders à Lyon et solidement implanté sur Paris, le cabinet Delsol Avocats bénéficie d’une forte notoriété, tout en restant très discret pour préserver la confidentialité de ses prestigieux clients. Créé il y a 50 ans, le cabinet accompagne notamment des ETI (entreprises de taille intermédiaire) et des associations sur des problématiques de fusions-acquisitions et de droit des sociétés, ainsi que de grandes familles sur des sujets de fiscalité patrimoniale.
Très impliqués dans la gestion managériale du cabinet qui regroupe 200 personnes dont 130 avocats, Emmanuel Kaeppelin et Henri-Louis Delsol ont à cœur de défendre les intérêts de leurs clients et de donner au cabinet un nouvel élan. Partageant la même vision en matière de gestion des ressources humaines avec la volonté d’intégrer de jeunes avocats et d’assurer une transmission générationnelle, ils s’attachent aussi à créer une bonne cohésion des équipes et à favoriser l’évolution des collaborateurs, notamment en les associant.
En parallèle, en tant que membres très actifs de réseaux internationaux d’avocats, comme Telfa, et ayant tous deux étudié et travaillé à l’étranger, ils développent les activités du cabinet hors du cadre hexagonal pour accompagner des clients français et étrangers à l’international, avec toujours le souci d’apporter un conseil premium.
“Nous avons une réelle volonté de tisser des liens privilégiés au sein des équipes du cabinet et d’être fédérateurs, mais également de bâtir des relations étroites et pérennes avec nos clients. Notre signature « la qualité de la relation » n’est pas une vaine promesse, elle résume parfaitement notre ADN”.
www.delsolavocats.com
Dix années passées au sein d’une filiale d’une société major du BTP en qualité de directeur juridique confèrent une certaine épaisseur à Hugues Ducrot : plus pragmatique, plus technique, son approche “terrain” fait merveille. Spécialisé en droit immobilier (qui comprend la construction et la gestion d’immeubles) DPA-Ducrot Associés et ses quinze collaborateurs sont essentiellement “ciblés” vers les entreprises, “avec une vraie spécialité pour les travaux publics”, souligne Hugues Ducrot qui a rejoint (en 1999), le cabinet fondé par son père, Gilles (en 1963). Très présents au plan régional, notamment en Haute-Savoie (via un bureau à Archamps), ce père de trois enfants et son équipe cultivent un vrai dynamisme et une culture tournée vers le monde des affaires ; une tendance appuyée par la création d’un département droit social depuis novembre 2018 et d’un département droit public et urbanisme depuis septembre 2019.
Également organisateur (avec Jean-Michel Abou et Jean-Philippe Caille) du célèbre Gentleman Pétanque des lyonnais de Megève, Hugues Ducrot entend pointer juste au moment d’anticiper le métier d’avocat de demain : “Nous ne savons pas comment nous exercerons mais je suis convaincu que notre rôle sera primordial ! L’accès à l’information pour tous a, en effet, changé la donne. Notre rôle ? Établir la synthèse de ce flux de données et sortir le bon diagnostic dans l’intérêt de nos clients. Le rapprochement entre les personnes opposées voilà notre future mission.” Stimulé “d’évoluer dans un monde en pleine mutation” Me Ducrot entend être un acteur (efficient) de son marché et un homme “bien dans ses bottes”. L’histoire continue.
www.ducrot-avocats.com
Hugues Ducrot
Né le 12 mars 1965 à Lyon (sixième arrondissement).
DIPLÔME
Prestation de serment : 1er avril 1999
FONCTION
Avocat-associé DPA-Ducrot Associés ; spécialiste en droit immobilier
En échangeant avec Vincent Durand, à l’allure sportive et alerte, on ne peut s’empêcher d’évoquer un précepte qui, dans les affaires, témoigne d’une posture proactive : “La meilleure défense, est-ce toujours l’attaque ?” Vaste programme... Et surtout quelle tactique adopter pour ce passionné de foot et de marathons (sept au compteur dont deux “New-York”) qui en a élaboré des très exigeantes (pour beaucoup) et techniques (très souvent), tant et si bien que les affaires qui lui incombent résistent rarement aux stratégies mises en place par cet épicurien qui aime “la bouffe et le vin.” Avocat reconnu en contentieux commercial, on comprend mieux son sourire à l’évocation “de la bagarre que chaque dossier lui procure”.
Mais pas que : en créant Visio-Avocats, “pour permettre aux avocats de se familiariser avec le monde du digital et rester aux contacts de leurs clients”, il démontre une autre facette de sa personnalité — imaginative, créative — toujours enclin à sortir de sa zone de confort, “à la recherche de challenges et de nouveautés avec pour dessein, de faire mieux pour proposer... mieux !” Il a fait sienne, aussi, d’un précepte (militaire cette fois) — “Servir les autres et non se servir” — pour accompagner sa vie professionnelle. Vincent Durand, un avocat qui peut servir...
www.active-avocats.com
Vincent Durand
Né le 23 juin 1969 à Saint-Raphaël (Var).
DIPLÔME
Magistère en droit (Lyon 3) ;
DESS commerce extérieur DJCE en droit international (Aix-en-Provence) ;
Prestation de serment en décembre 1995.
FONCTION
Avocat
Associé-fondateur du cabinet Active Avocats (depuis 2004)
Président de la start-up Visio-Avocats (solution de visioconférence dédiée à la profession d’avocat intégrant un module de règlement des honoraires : www.visio-avocats.com)
Président de la commission innovation du Barreau de Lyon.
DÉCORATION
Médaille d’Outre-Mer “opérations extérieures : Liban”.
TITRE
Médaille de bronze de la Défense nationale Médaille de la FINUL Médaille de la reconnaissance de la Nation Carte du combattant au titre des opérations extérieures (OPEX).
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Je suis très investie, je suis une femme d’engagement”, Olivia Heilpern n’entend pas exercer son métier d’avocate comme les autres et veut se démarquer. À commencer par le nom de son cabinet, Avril Avocats, fondé il y a un an. “Avec mon associée Justine Bramard, nous voulions sortir du lot, apporter un renouveau, comme celui du mois d’Avril” Pari gagné, le cabinet qui fête sa première bougie et des nouveaux locaux, connaît une croissante impressionnante et cherche déjà à embaucher des collaborateurs.
Fonceuse, elle se différencie par sa relation avec ses clients, mue par une réelle volonté de proximité “Je vais au contact, chez eux, je suis très proche et mets mon savoir-faire à leur service”. Ayant une activité tournée vers le droit du travail et la mobilité internationale, Olivia Heilpern gère les problématiques de ressources humaines, croissance externe, fusions/acquisitions pour tout type d’entreprises, de la TPE à l’entreprise internationale. De mère polonaise, et ayant travaillé à New-York, sa maîtrise des langues est un atout supplémentaire pour intervenir sur des sujets de mobilité internationale, expatriation, implantation à l’étranger...
Elle dénote aussi par sa détermination “j’ai toujours su que je serais à mon compte et j’ai attendu d’avoir acquis une solide expérience dans les plus gros cabinets français comme August Debouzy, Fromont Briens ou Fiducial Legal by Lamy à Lyon, pour me lancer”. Et s’il fallait ajouter une corde à son arc, ce serait son implication, notamment au Medef et à la CPME et bientôt, elle espère, un engagement en politique. Un dynamisme à toute épreuve !
www.avril-avocats.com
Olivia Heilpern
Née le 12 octobre 1987 à Paris.
DIPLÔME
DJCE Université de RennesCertificat de spécialisation en Droit Social.
FONCTION
Avocate Associée en droit du travail et mobilité internationale – Avril Avocats.
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Femme de terrain et de convictions, mue par la volonté “d’accompagner [mes] clients au plus près, de leurs problématiques juridiques”, Emmanuelle Jalliffier Verne sait faire preuve tout à la fois, d’écoute et de pugnacité. Gérante et avocat associé du cabinet EJV Avocats qu’elle a créé. L’écosystème d’Emmanuelle le droit des Affaires et plus particulièrement le droit social. Accompagnement de structures (depuis la TPE jusqu’aux grands comptes), conseil et contentieux, plaidoyers rythment le quotidien de cette maman de deux enfants, grande fan de ski. Son ADN, l’engagement pour les autres à l’instar de son mandat de Présidente de la délégation Lyon Rhône de l’Association Femmes chefs d’entreprises (FCE), depuis janvier 2022.
www.ejvavocats.com
Emmanuelle Jalliffier Verne
Née le 28 mars 1972 à Grenoble (Isère).
DIPLÔME
DESS en droit des affaires
Mastère Spécialisé Droit des Affaires Internationales et Management (ESSEC).
FONCTION
Gérante et avocate associée du cabinet EJV AVOCATS
Présidente de l’association Femmes chefs d’entreprises (FCE) Lyon-Rhône.
Née le 3 avril 1960 à Relizane (Algérie).
DIPLÔME
Maîtrise de droit et CAPA
FONCTION
Bâtonnière du barreau de Lyon
Avocate-associée directrice-générale d’implid Legal.
Jean-François Barre
Né le 31 mars 1975 à Lyon 6e
DIPLÔME
DEA droit pénal et sciences criminelles (université Lyon III) ; DESS politique et sécurité intérieure (école Nationale supérieure de la police) ; école des avocats (2002-2003) ; prestation de serment d’avocat (2003).
FONCTION
Avocat-pénaliste.
Depuis le 1er janvier 2022, les 3 700 avocats du barreau de Lyon (deuxième barreau de France ; premier des territoires), sont dirigés par une femme, Marie-Josèphe Laurent, la troisième à occuper cette fonction depuis 2010. Épaulée par son vice-bâtonnier Jean-François Barre, les voilà tous les deux confrontés à un contexte particulièrement éruptif : secret professionnel en danger, manque cruel de greffiers et de magistrats, outils digitaux de la justice obsolètes, “il est scandaleux que notre pays consacre aussi peu de moyens à sa justice”, s’accordent-ils à l’unisson, rappelant leur détermination “à tout mettre en œuvre pour maintenir l’accès aux droits pour tous.” Ils entendent insuffler une démarche collective pour parachever la transformation de leur barreau, rendue nécessaire par la révolution digitale : “Certes, notre barreau est un kaléidoscope de métiers, un ensemble très hétérogène de cabinets. Malgré tout, nous nous retrouvons autour de notre déontologie, socle solide de notre exercice professionnel”, rappelle Marie-Josèphe Laurent, par ailleurs avocat-
associée au sein d’Implid Legal, et JeanFrançois Barre, avocat-pénaliste, exerçant à titre individuel, depuis 2004.
Ils aspirent à mettre davantage en exergue “l’excellence du barreau pénal lyonnais, par la mise en place (prochaine) d’un Centre de défense pénale”, tout en favorisant “la transversalité et les échanges avec le barreau d’affaires.” Complémentaires, bâtonnière (très vigilante sur les atteintes aux droits et libertés fondamentales), et vice-bâtonnier, se montrent également critiques, quant “à la déferlante permanente des réformes, édictées davantage par Bercy que, depuis la place Vendôme [sic]” Vigilants enfin, lorsqu’il s’agit de souligner “que les droits de la défense demeurent un principe fondamental, dans une société démocratique”. Autant d’enjeux, primordiaux, pour lesquels ils savent pouvoir compter sur leurs confrères pour les mener à bien. Le parfait résumé d’un “optimisme de combat.”
www.barreaulyon.com
DU 11 AU 14 JUIN de 10h à 18h (non-stop)
Braderie sur prix d’usine sur des produits prestigieux 19, RUE LITTRÉ LYON 9E
Julie Legoff est avant tout une fonceuse “si d’autres y arrivent, pourquoi pas moi ?”. Fille d’entrepreneurs, déterminée à créer sa propre entreprise, c’est avec son diplôme d’avocat tout juste en poche, qu’elle co-fonde, avec Raphaël Cottin, le cabinet d’avocats d’affaires Pomelaw en 2016. “La vie est un défi à relever, un bonheur à mériter, une aventure à tenter”, disait Mère Teresa. Julie Legoff coche toutes les cases !
Elle est aussi travailleuse, pleine d’ambition et d’allant “pour réussir, il faut persévérer mais surtout travailler. La satisfaction est alors plus savoureuse si elle est méritée”. Son cœur de métier ? Accompagner ses clients sur les transactions de fonds de commerce, les cessions/acquisitions d’entreprises, les problématiques de croissance externe... De la négociation à la sécurisation de la transaction, l’optimisation fiscale, la restructuration de groupe de sociétés, ellemême chef d’entreprise, sait dispenser les meilleurs conseils à ses clients. Pionnière, elle a été la première à proposer son expertise juridique sur internet, en créant un cabinet en ligne, offrant accessibilité, transparence et compétences !
En parallèle, elle développe une activité de transactions de fonds de commerce, sous la marque Pomelaw Transactions : mise en relation des vendeurs et des acheteurs sur les transactions des commerces de proximité : Café-Hôtel-Restaurant, Tabac, Boulangerie, Pharmacie, etc.
Elle est enfin pleine de peps ! Maman de 2 enfants, elle avoue croquer la vie, faire la fête, aimer la Corse et photographier les moments de vie avec ses proches « Collect moments, not things », pour conserver l’essentiel, chaque instant de bonheur.
www.ejvavocats.com
Julie Legoff
Née le 25 septembre 1989 à Lyon.
DIPLÔME
EM LYON Business School : Formation à l’entrepreneuriat de croissance et d’innovation École des Avocats, CAPA - Certificat d’Aptitude à la Profession d’Avocat.
FONCTION
Avocate fondatrice du Cabinet d’avocats d’affaires POMELAW.
DISTINCTION Prix de l’innovation des avocats.
Je voulais faire l’école de haute montagne pour devenir guide, mais mon père a refusé. Il m’a poussé à faire des études de droit à la faculté « au moins deux ans, après tu verras si cela te plaît », ça m’a plu. Aujourd’hui, je suis effectivement guide, mais pour dirigeants d’entreprise”, s’amuse Serge Morell. Plutôt que de gravir les sommets, il a assidûment franchi les étapes académiques pour devenir avocat en droit des affaires et fiscalité.
Ayant travaillé dans les départements de fiscalité française et internationale de grands cabinets parisiens (Deloitte et Touche, CMS Bureau Francis Lefebvre, cabinet DTA...), il a acquis une solide expérience et a avant tout forgé sa propre conception de son métier et une approche de son travail. “J’ai vu tout ce que je voulais faire et surtout, tout ce que je ne voulais pas faire. Je voulais être mon propre patron et travailler à ma façon, selon ma méthode, être au plus proche de mes clients et comprendre leur entreprise”. C’est dans cet esprit qu’il fonde son propre cabinet il y a 6 ans. Maître à bord, il insuffle sa vision du travail et sa conception de la relation avec le client et avec ses équipes. “Sans ego surdimensionné, sans costume/cravate et aussi sans carte de visite car nos clients sont nos meilleurs prescripteurs”, cet avocat atypique, au regard vif, dénote aussi par son franc-parler. Il est direct, il a le verbe haut et la parole franche. Déterminé et pugnace, il assume ses méthodes et sa personnalité “sérieux, sans se prendre au sérieux”.
“Nous sommes là pour apporter du service et de la valeur. Notre différence réside dans notre vision de l’accompagnement, nous avons une approche et un raisonnement global, nous accompagnons au plus près les entreprises dans leurs différentes problématiques, leur stratégie, leur évolution pour qu’elles soient toujours plus agiles et performantes. Pour toujours bien faire”.
www.morell-alart.fr
Serge Morell
Né le 29 mai 1978 à Lyon.
DIPLÔME
Magistère de droit des affaires
DESS-DJCE en droit des affaires et fiscalité (Lyon) CRFPA.
FONCTION
Associé gérant chez Morell Alart & Associés.
Lyon, sa ville de naissance ; Paris — rue du Faubourg-Saint-Honoré — pour le côté pratique ; Tel-Aviv, sa cité d’adoption depuis 2007. Entre les trois son cœur ne balance pas : c’est la vie qu’il a choisie. Il ? Pascal Petrel, pétillant avocat qui a fait de la mobilité un art de vivre. “Je n’ai pas privilégié la profession d’avocat dans sa dimension historique mais davantage l’activité de conseil car elle faisait écho à quelque chose que j’avais en moi”, plaide cet homme énergique. Conseil Juridique au sein du cabinet Barthélémy & Associés (devenant le plus jeune associé), Pascal Petrel devient président (dans le Rhône) de l’ACE Jeunes (association des conseils d’entreprise, en juillet 1994 puis président national quelques mois plus tard. Homme d’engagement, “je ne lâche jamais” dixit cet amateur de musique, il sera élu membre du conseil de l’Ordre et président de la commission communication du Barreau de Lyon (1997).
Désireux d’entreprendre, d’abord en indépendant (1998) puis en société (janvier 2000), Pascal Petrel décide de voler de ses propres ailes. Un envol sans secousse : Petrel et Associés accompagne les entreprises et les organisations patronales de tout secteur et de toute taille afin de solutionner toutes problématiques liées à la gestion sociale d’une entreprise, “en matière de conseil et de contentieux en droit social”. Inscrit en qualité d’avocat au Barreau de Paris et d’Israël (en qualité de cabinet au Barreau de Lyon), Pascal Petrel, fort de ses douze collaborateurs (dont trois dans la capitale des Gaules), anime également régulièrement des formations, en particulier en lien avec l’actualité sociale. Preuve qu’il a n’a pas complètement coupé le cordon avec sa ville natale, ce passionné s’avoue fier d’avoir installé, en septembre 2019, ses bureaux lyonnais à l’Hôtel-Dieu, là où il est né.
www.petrel-associes.com
DIPLÔME
IIIe cycle à l’université Lyon III
DESS en droit des affaires et fiscalité
Diplôme de conseil juriste d’entreprise.
FONCTION
Avocat, spécialisé en droit du travail et droit social
Fondateur du cabinet Petrel et Associés
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Il est parti de rien ; il fait aujourd’hui partie des puissants, parmi les derniers ténors du barreau de Lyon. Il a connu les procès Barbie, Touvier, Papon, du côté des parties civiles, “des procès mémoriels et pédagogiques qui m’ont marqué et à propos desquels je garde une admiration sans borne pour les victimes de la barbarie nazie, particulièrement les femmes et les enfants” ; a assuré la défense de MarcMichel Merlin (ex-directeur de la Lyonnaise des eaux) lors du procès Carignon, défendu P.P.D.A. à l’occasion du bras de fer NoirBotton et Fatima Belaïd épouse de Loïc Le Floch-Prigent, dans l’affaire ELF ; conseil de Gérard Collomb (depuis plus d’une quinzaine d’années), avocat de la Métropole de Lyon ; en matière pénale le florilège des affaires portées par Richard Zelmati est un livre ouvert sur quarante ans de vie judiciaire lyonnaise (et parisienne). “Pénaliste jusqu’au bout des ongles”, c’est au contact des démunis, côtoyés dans sa cité populaire de BourgoinJallieu où sa famille s’installe après avoir quitté l’Algérie que Richard Zelmati se façonne une conscience : défendre d’abord les déshérités et les modestes, les salles d’audience comme moyen d’expression.
Altruiste, magnanime, cet homme de culture reste professionnellement attaché à deux notions cardinales : “Son indépendance et la dimension stratégique apportée à chaque dossier”. Il cite ses mentors : Robert Badinter qui lui a “montré la voie”, le Bâtonnier André Perret-Gayet chez qui il a débuté, le Bâtonnier Paul Bouchet et les pénalistes lyonnais François La Phuong, André Soulier et Joannes Ambre. Il salue ses collaborateurs “passés et présents, sans lesquels rien n’est possible” et le barreau auquel il appartient, “riche par sa compétence et sa diversité”. Attentif à associer la défense pénale qui lui est confiée à une discrétion imposée par sa clientèle, il veille jalousement sur sa réputation, “déterminante à Lyon quant on vient de nulle part”. Il se revendique aussi comme “un homme libre, nostalgique des rives de sa méditerranée où l’interpénétration des cultures et des confessions témoigne du bien vivre ensemble, gage de l’avenir...” Richard Zelmati assure, “tout devoir aux valeurs de la République française”. Il dit s’intéresser aux autres, à la vie des autres ; la sienne mériterait quelques pages de plus...
DIPLÔME
Études de droit à Lyon ; prête serment le 11 décembre 1978.
FONCTION
Avocat au barreau de Lyon en droit pénal, droit pénal des affaires et droit commercial
Cette vaste maison familiale située en province vous accueille en bord de Saône, près du plan d’eau du Colombier. La terrasse au style guinguette offre un cadre unique aux visiteurs, installés face à la Saône, sous la paillotte. Entourés d’arbres et de verdure, ils pourront déguster la cuisine du chef Frédéric Côte, membre des Toques Blanches Lyonnaises. Une carte avec des plats de qualité : saumon mariné aux épices et citron noir d’Iran, andouillette de homard ou cuisses de grenouilles et pain perdu, rôti à la vanille, pour terminer le repas. Le tout accompagné de vins de la région. Venez profiter du service et de la tranquillité du lieu lors d’un repas en famille ou entre collègues.
126, Allée du Colombier - 69480 Anse
Tél. 04 74 67 04 68
Ouvert du mercredi au samedi de 12h à 14h15 et de 19h30 à 21h et le dimanche de 12h à 14h15
www.aucolombier.com
Les présentations ne sont plus à faire, tant le parfum des pizzas ne cesse d’allécher Gerland et les Lyonnais. Et pourtant, à mesure que les saisons passent, emmenant avec elles, de nouvelles cartes, la pizzeria Zappo tient pour elle, cette capacité à toujours innover. À proposer de nouveaux produits, à l’image du lancement de nouvelles pizzas sans gluten ou d’une nouvelle pâte « in pala », préparée conformément aux recettes romaines. Autant de nouveautés à découvrir au fil d’une quarantaine de suggestions, à déguster au soleil, sur l’une des 40 places installées en terrasse. Le tout accompagné d’un dessert, d’une bière ou d’un cocktail maison. Alors viva Italia et viva Zappo !
6, rue Challemel-Lacour – Lyon 7
Ouvert du lundi au dimanche de 12h à 14h et de 19h à 22h
Tél. 04 72 71 79 88
www.zappo.fr
Àdeux pas du Parc de la Tête d’Or et des berges du Rhône, le restaurant 33 Cité est dirigé par le chef Frédéric Berthod, adepte des produits de saison. Une brasserie moderne pouvant accueillir réceptions privées et publiques grâce à ses grands espaces aménageables en intérieur comme en extérieur. Le cabinet d’architecture parisien Pier Luigi Copat a imaginé une sorte de grand ruban rouge laqué, trait d’union entre la cuisine ouverte, les différentes salles du restaurant, le bar central et la mezzanine, plus intimiste. L’établissement a su s’imposer grâce à ses incontournables, tels que l’escalope de veau milanaise ou encore son pâté-croûte, la madeleine tiède au miel ou le mi-choco-caramel croustillant et son lait mousseux à la vanille.
Cité internationale - 33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e
Tél. 04 37 45 45 45
Du mardi au samedi de 12h à 14h30 et de 19h à 22h
www.33cite.com
Bistrot authentique depuis 1897, le restaurant Ô Gones de Saône est situé dans un lieu calme à Fontaines-sur-Saône, au cœur d’une vieille bâtisse. Venez découvrir une cuisine typiquement lyonnaise avec des plats traditionnels de la région. Le gérant et cuisinier JeanClaude Di Carmine confectionne notamment des menus de groupe pour un repas en famille, un anniversaire, un baptême ou autres célébrations. La terrasse du lieu propose un cadre agréable avec un coin lounge ainsi qu’un espace détente ombragé pour déguster vin ou bière, tapas ou glaces. Trois terrains de pétanque sont également mis à la disposition des visiteurs. Le restaurant dispose également de cinq chambres d’hôtes, de deux salles de séminaire équipées et offre la possibilité à ses clients de privatiser le petit salon pour des évènements.
Bienvenue au Gourmet Bar Confluence. Bien plus qu’un simple restaurant, c’est un véritable lieu de vie qui propose à ses visiteurs une variété d’animations : des concerts de jazz, DJ set et événements festifs. Dans une ambiance Afterwork, entre musique et convivialité, Cloé et Justine vous donnent rendez-vous lors des fameux « Apéros du Jeudi », pour déguster tapas et cocktails en terrasse, tout en admirant une vue imprenable sur la Saône. Un lieu de détente et de plaisir, en plein cœur de la Confluence, ouvert tous les jours de la semaine. Au rythme des saisons, le chef concocte une grande variété de plats inspirées des saveurs locales.
3, rue Paul Montrochet - Lyon 2e
Tél. 04 37 23 64 14
Ouvert 7/7 Le bar : 6h30 à 00h
Le restaurant : de 12h à 14h30 et de 19h à 22h30 sauf le dimanche midi www.gourmetbarconfluence.com
Tél.
contact@ogonesdesaone.fr
Ouvert tous les jours, de 9h à 01h www.ogonesdesaone.fr
Comme Rome en son temps, cette ville chère au chef Blerimo Ismali, le restaurant Casa Lula ne s’est pas construit en un jour. Mais depuis l’inauguration de la terrasse en mai dernier (voir page 102), l’établissement entend proposer autant de charme que la Ville Éternelle. En écho à ce proverbe italien selon lequel, « il faut vivre à Rome comme à Rome », Casa Lula apporte un peu d’Italie dans le 8e arrondissement, au fil de la dégustation de pâtes le midi, sur ses 38 couverts intérieurs ou de focaccias et autres tapas, le soir, sur les 400 m2 de ses espaces extérieurs, également propices aux cocktails et autres duels sur les deux terrains de pétanque. Le tout, chaque soir de semaine ou de manière plus personnelle, en privatisant les lieux.
3, rue Edouard Nieuport – Lyon 8e Ouvert le lundi au dimanche de 11h30 à 15h et de 18h à 22h30
Tél. 04 78 76 06 14
www.restaurant-casalula.com
Installée dans un jardin fleuri, la terrasse du Warwick Reine Astrid offre à ses visiteurs un cadre naturel, apaisant et très intimiste.
Un havre de paix en plein cœur du 6e arrondissement, à deux pas du parc de la Tête d’Or. « Un lieu assez magique à l’abri des regards, un petit coin de campagne en plein centre-ville », précise Hieu To, directeur de l’établissement depuis juillet 2017. « On a une vraie intimité. Ici, on privilégie le confort, c’est vraiment confidentiel », rajoute ce dernier. Cette terrasse, d’environ 400 m2, peut accueillir une cinquantaine de personnes assises et cent cinquante pour des réceptions debout.
le samedi soir et le dimanche midi, « pour faire des brunchs thématiques, pas tous les week-end, mais par exemple à l’occasion de la fête des mères », ajoute le directeur.
confectionné avec un pain brioché, le tout accompagné d’une sauce gribiche. « On privilégie le circuit court pour nos produits », précise Hieu To. « Nous avons un grand projet de rénovation de tous nos espaces de restauration, la terrasse également », indique le directeur. Le site devrait donc subir un relooking entre la fin de cette année et le début de l’année prochaine, pour satisfaire encore davantage les exigences du public.
Le Warwick Reine Astrid organise des évènements pour des sociétés mais aussi pour des particuliers au sein de ses trois salles de réunion et de son espace Roseraie, donnant sur la terrasse et le jardin. De plus, l’établissement dispose d’un parking en soussol, réel atout dans ce quartier très fréquenté. Des prestations peuvent également être fournies sur demande. « On fait appel aux prestataires extérieurs pour tout ce qui est animation », indique Hieu To. Fermée le week-end, la terrasse devrait à terme ouvrir
La carte du restaurant s’adapte au rythme des saisons. Depuis 15 ans, Nicolas Crepeau est le chef cuisinier. « Il a une touche de cuisine plutôt traditionnelle mais il essaye toujours d’introduire une touche de modernité », explique le directeur. Comme la « caillette de Bobosse », cuisinée avec un carpaccio de tomates et des asperges pour donner un maximum de fraicheur en bouche. Ou encore le « burger de sabodet Bobosse »,
Restaurant le « Lounge » ouvert du lundi au vendredi, de 12h à 14h et de 19h à 22h. Le bar est ouvert du lundi au vendredi, de 15h à 22h.
Menu à partir de 30 €
“SUR DEMANDE, N’IMPORTE QUI PEUT ACCÉDER À LA TERRASSE, IL NE FAUT PAS FORCÉMENT ÊTRE CLIENT DE L’HÔTEL”Warwick Reine Astrid 24, boulevard des Belges - Lyon 6e Tél. 04 72 82 18 00
brasserie
Les Saints Potins, l’incontournable café de la place Edgar Quinet ! Véritable bistrot de quartier en plein cœur du 6e arrondissement, le lieu est réputé pour sa fameuse saucisse purée et ses œufs bio mayo. Sa force provient également de sa grande terrasse exposée plein sud, qui permet aux visiteurs de profiter d’un déjeuner au calme ! Chaque semaine, le chef propose une ardoise différente avec une cuisine simple et authentique, élaborée avec des produits de saison.
Retrouvez le gérant Bruno Da Eira et sa team à l’apéro pour apprécier une carte de tapas généreuse, des cocktails raffinés, et surtout... pour se raconter des potins !
7, place Edgar Quinet - Lyon 6e
Tél. 04 72 74 49 63
Du lundi au samedi, de 8h à 00h lessaintspotins.com
Le restaurant Epona investit sa splendide et tranquille terrassejardin aux allures de cloître serein, aménagée dans la cour historique Saint-Louis du Grand Hôtel-Dieu, qui n’est autre que l’ancien jardin médicinal des lieux. À l’ombre d’un acacia séculaire, Epona Côté Jardin est l’oasis urbaine hors du temps où il fait bon vivre sur la Presqu’île. Du midi jusqu’au soir, profitez d’instants de fraîcheur et de gastronomie tout en vous délectant du doux bruit de la fontaine et des vues spectaculaires sur les dômes de l’ancien hôpital. À la carte, les recettes du chef Mathieu Charrois reprennent le meilleur des saveurs estivales piquées d’une touche rappelant l’origine des lieux : les herbes médicinales. Les barmen de l’hôtel proposent en toute convivialité une carte de cocktails exclusive pouvant s’accompagner de planches à partager, le tout dans un cadre invitant à la dolce farniente que l’on recherche tous à Lyon en été.
InterContinental Lyon – Hotel Dieu 20, quai Jules Courmont – Lyon 2e
Réservations : Tél. 04 26 99 24 24
reservationrestauration.Lyon@ihg.com
Ouvert tous les jours de 12h à 22h lyon.intercontinental.com
Niché entre Solaize et Vernaison, à seulement dix minutes de Lyon, au cœur d’un apaisant écrin de verdure, l’Ile Restaurant et son chef « maître restaurateur » Arnaud Serlin, invitent à partager une expérience riche en émotions. Aux côtés des tapas, tartares et autres grenouilles, l’établissement propose ainsi de se détendre tous les jeudis soirs de l’été, à l’occasion d’inoubliables « Garden Party », avec cocktails, DJ et autres surprises. Mieux, l’Ile Restaurant apparaît comme le lieu idoine pour privatiser ses soirées, organiser son mariage, baptême et autres fêtes d’entreprise. Le tout, accompagnés d’une équipe dédiée à l’organisation de ces moments. De quoi se contenter de profiter. En toute sérénité.
2, chemin de la Traille, 69360 Solaize
Tél. 04 78 46 06 88
Mardi-dimanche : 12h-14, 19h30-22h30
www.lile-restaurant.fr
ÀFontaines-sur-Saône, le restaurant italien Fabioli offre un accueil chaleureux et convivial à ses clients sur sa splendide terrasse privée, entourée de cyprès et de lauriers fleuris.
À Villeurbanne, au milieu des oliviers, vous pourrez apprécier le calme de la terrasse de leur second restaurant italien, installée dans une rue piétonne en plein cœur de la ville. Profitez d’un cadre authentique et d’une cuisine savoureuse : antipasti, pizzas faites maison, pâtes italiennes et desserts dolce dolce.
Du 19 au 24 juin, Fabioli fête ses 20 ans ! Venez déjeuner dans l’un de ses restaurants, ou commandez à emporter pour tenter de gagner un voyage* pour deux personnes aux Cinque Terre, en Italie, grâce à votre carte de fidélité. Le restaurant italien vous invite à une soirée musicale le mercredi 21 juin et à une soirée magique le vendredi 23 juin. Au programme : aperitivo, animations et plat signature.
*Plus d’informations sur fabioli.fr
Fabioli Fontaines
1, avenue des marronniers - 69270 Fontaines-sur-Saône 04 78 08 71 74
contact-fontaines@fabioli.fr
Fabioli Villeurbanne
34, rue de la soie - 69100 Villeurbanne 04 72 14 29 13
contact-lasoie@fabioli.fr
Nos restaurants sont ouverts :
Du dimanche au jeudi de 11h30 à 14h00 et de 18h30 à 21h30
Le vendredi et le samedi de 11h30 à 14h00 et de 18h30 à 22h30
Le Six, c’est le restaurant festif de la gare des Brotteaux. Embarquez dès à présent pour une parenthèse méditerranéenne à bord de sa nouvelle terrasse. Une adresse idéale pour se retrouver entre collègues ou entre amis et savourer un verre de rosé bien frais ou déguster un cocktail signature à l’heure de l’apéro. Le chef Sylvain Chauffard et son équipe vous proposent en terrasse une cuisine fraîche de tapas maison à partager. Le Six c’est aussi un club en sous-sol pour prolonger la soirée. Un lieu unique à Lyon, avec trois espaces sophistiqués, qui vous accueille en toute simplicité.
13, place Jules Ferry - Lyon 6e - Tél. 04 28 29 79 79
www.6-lyon.com
Insta : six.brotteaux
Insta club : sixfeetunder.brotteaux
Facebook : SIX Brotteaux
Facebook Club : Sixfeetunder.Brotteaux
Restaurant
L’été approchant, l’envie de s’échapper demeure souvent une sensation à apprivoiser. Dès lors, si voyager demeure la solution parfaite pour combler ce désir, l’ESPERANTO se trouve être la solution. Niché dans le 2e arrondissement, le restaurant vous offre la possibilité de vous évader le temps d’un repas ou d’un apéritif. La carte estivale met l’accent sur une cuisine du monde maison et des plats à partager dans une ambiance conviviale et chaleureuse. Quelles que soient vos préférences, retrouvez une cuisine sans concession et cosmopolite, arrosée de cocktails, bières et vins du monde entier. En somme, un bon repère pour une escapade gourmande, à apprécier tout l’été sur la terrasse ombragée à quelques pas de la rue Mercière.
6, rue Ferrandière - Lyon 2e
Tél. 04 78 59 13 65
Ouvert du mardi au samedi de 12h à 15h et de 19h à 1h Brunch le dimanche de 11h à 15h30
www.esperantolyon.fr
Les Italiens l’appellent la Dolce Vita, cette vie... douce et facile que tous revendiquent. Plus à l’Ouest, entre Rhône et Saône, ce désir de vivre et de profiter du moment présent, pourrait reprendre pareille définition. À une lettre près. Bon nombre d’épicuriens le savent, Lyon vit régulièrement au rythme de la... Dolce Vito, en référence à la cuisine préparé par le plus transalpin des Lyonnais, l’incontournable Vito Morreale. Mais si entrouvrir la boite de Pandore mène irrémédiablement à ses pizzas et ses pastas, confectionnées dans sa Casa du 139 rue Bugeaud, le voir s’établir, à l’heure du déjeuner, en d’autres lieux que sa cuisine, nous embarque irrémédiablement à une unique opportunité. Parce qu’en acceptant l’invitation du cuisiniste Arnaud Bernollin, le Sicilien
ne peut se déplacer sans emporter un peu de ses racines sacrées. Les terres de son enfance. Et donc de cette Sicile qui lui tient tant à cœur. Un amour prononcé, que l’Italien ne peut évidemment conter qu’au travers de son terrain d’expression favori : la cuisine. De cette gastronomie transalpine qu’il prend plaisir à sublimer, au fil des plats préparés à bord de ce navire engageant qu’est Dolce by Sicilians Hélas, si les citrons décorant la maison, autant que la table en céramique et la Testa di Moro sont impossibles à emporter, le gastronome parvint à embarquer les convives, Caroline Grotowski (Pernod Ricard) et le fondateur de Syloc, l’informaticien et maître en fourniture de matériel en bureautique, Laurent Daublain, dans une balade gourmande, au travers de
laquelle s’apprécient, dès l’entrée, les sardines roulées au citron de son pays. Une première escale, arrosée des quilles Blason Rosé et Blanc de Blanc de la maison Perrier-Jouët, avant de reprendre la route, en direction d’étonnants roulés de viande au fromage et d’un fascinant « coniglio imporchettato » (un lapin farci aux fruits secs, ndlr). Une telle visite ne pouvant s’estomper aussi rapidement, le chef italien,
épaulé de son bras droit, Luigi Briguglio, savoure l’ultime préparation d’un dessert : sa fameuse Cassata Siciliana, cette crème à la fleur d’oranger, que l’intéressé allie avec de la ricotta et des fruits confits. Voilà la visite terminée. Mais l’instant respire déjà l’été. L’invitation est lancée, pour dévoiler plus largement, la plus grande île de la mer Méditerranée. En attendant, arrivederci e a presto !
Chonchon et Tomas Parisini
cuisine bistronomique, 100% produit du marché Place de Poype - Montanay
T 09 73 50 18 50
Dim-ven : 7h30-15h - Mer-ven : à partir de 18h www.la-table-de-chonchon.fr Latabledechonchon
Sylvie Huynh
Cuisine créative inspirée du continent asiatique 111, rue Duguesclin - Lyon 6e
T 04 37 72 94 57
restaurant
Emmanuel Faucon de bons plats accompagnés De bons vins
1, place Jules Ferry - Lyon 6e
T 04 78 41 68 10
Restaurant
Du mardi au samedi : 12h-14h30 et 19h-23h
www.mamachow.fr
Georgy Sfez
Mar-sam : midi et soir. Ouvert 7/7 à partir du 15 avril www.decale.rest restaurantdecalelyon
Restaurant
pizza & biere (Pizza sicilienne, in pala et gluten free)
6 rue Challemel Lacour - Lyon 7e
T 04 72 71 79 88
Ouvert 7/7, midi et soir sur place, clickandcollect et livraison www.zappo.fr zappo-lyon
BRUNCH LE DIMANCHE - espaces et salons privés 43, quai Rambaud - Lyon 2e
T 04 78 92 87 87
Mar-ven midi et soir. Samedi soir. Dim midi (brunch) www.selciusrestaurant.fr Selcius
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Emmanuel Faucon
Tartare de boeuf dans la baVette d’aloyau
1, place Jules Ferry - Lyon 6e
T 04 72 74 03 98
Restaurant
Albert Dray et Raphaël Noblet
Cuisine traditionnelle (midi) et bar à tapas (soir)
63, cours Vitton - Lyon 6e
T 04 78 89 49 24
Frédéric Therriaud
Restaurant
Lun-jeu 8h-22h. Ven 8h-22h30, midi et soir le week-end www.brasseriedesbrotteaux.com Brasserie des Brotteaux
Restaurant
Christophe Marguin
cuisine du marché
11, avenue de Grande Bretagne - Lyon 6e
T 04 78 94 51 17
Lun-ven : 12h-14h et 19h-22h www.restaurantlepresident.com restaurantlepresident
Tous les jours de 07h à 01h du matin (sauf le dimanche)
Steakhouse - Maître restaurateur
Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e
T 04 72 40 08 59
Restaurant
cuisine créative, faite maison avec des produits de marché 1, rue Villeneuve - Lyon 4e
T 04 72 00 01 30
Lun-ven : 12h-14h et 19h-22h30 - Sam : 12h-14h et 19h-23h restaurant-leplato.fr leplato.lyon
BAR - Restaurant
Benoît Charvet (Chef)
Restaurant gastronomique & Panoramique (32ème étage)
Tour Part Dieu - 129, rue Servient - Lyon 3e
T 04 78 63 55 46
Ouvert 7/7 midi, le soir sur réservation à partir de 40 pers. www.garconsboucherslyon.com
Ouvert du mardi au samedi inclus - Service du dîner www.celest-bar-restaurant.fr Radisson Blu Lyon
Restaurant
Alexandre Bonnefait (Chef)
cuisine traditionnelle DE SAISON
70, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e
T 04 78 17 53 53
Ouvert tous les jours - Midi & Soir www.casino-lyon.com/acacia casinolyonpharaon
Restaurant italien
Trattoria
Restaurant – ecailler
Jeremy Viale Champion du Monde de Pizza 2019
belle brasserie italienne 14-16, rue de la Navigation - Lyon 9e
T 04 74 01 75 67
Ouvert 7/7 midi et soir www.trattorianano.com Nano Trattoria Lyon
restaurant
Antonio Salvati (Chef)
Cuisine de tradition italienne méditerranéenne
Boscolo - 11, quai Jules Courmont - Lyon 2e
T 04 87 25 72 10
Ouvert 7/7 : 7h-15h brunch - 12h-15h déjeuner
15h-19h aperetivo - 19h-22h diner angelorestaurant
Restaurant AVEC VUE SUR LE LAC
Julian Orduña (Chef)
Cuisine créative au bord de l’eau – douceur en terrasse 81, rue Victor Hugo - Meyzieu
T 04 78 31 42 16
Du lundi au dimanche – Midi et Soir www.lesvoilesdugrandlarge.com Lesvoilesdugrandlarge69
Restaurant - BAR
Bénédicte
Cuisine du Marché au fil des saisons
25, quai Saint-Antoine - Lyon 2e
T 04 26 28 12 46
Ouvert du mardi au dimanche dès 7:00 du matin
www.lecafedumarchelyon.fr Le Café du Marché
Jean-François Malle (Chef)
Mets délicats alliant terroir et touche marine
3, rue Georges Bassinet - Charbonnières-les-Bains
T 04 78 87 79 79
Ouvert mar-ven : midi et soir - Sam : soir - Dim : brunch www.pavillon-rotonde.com larotondelyonvert
Restaurant
Frédéric Berthod
cuisine de saison / espace mezzanine privatisable
33, quai Charles De Gaulle - Lyon 6e
T 04 37 45 45 45
Du mardi au samedi, déjeuner et dîner
www.33cite.com 33 cité 33cite
Restaurant BAR lounge
Julien Ducoté
Restaurant Bistronomique aux nobles produits
Golden Tulip - 145 Chemin de Paisy - Limonest
T 04 87 74 10 10
Du lundi au vendredi : 12h-21h30 https://lyon-ouest.goldentulip.com/fr-fr/hotel-restaurants/
Eric Giraud
restaurant de Fruits de mer & écailler
Halles de Lyon Paul Bocuse - Lyon 3e
T 04 87 37 10 99
Mardi-samedi : 10h-15h - Dimanche : 10h-14h30
www.chez-antonin.fr
Restaurant
Marco Chopin
brasserie traditionnelle
34, cours Franklin Roosevelt - Lyon 6e
T 04 78 24 08 52
Lun-sam : midi et soir 12h-14h30 et 19h-22h45
Le Théodore
Restaurant
Vito et Paola Morreale
CUISINE sicilienne
44, boulevard des Brotteaux - Lyon 6e
T 04 78 52 22 29
Ouvert du lundi au dimanche : 12h-14h40 et 19h-22h30
www.bysicilians.com dolcebysicilians
bouchon
Claude Barbet
Bouchon Lyonnais et Cuisine Familiale
4, avenue du Général Brosset - 69390 Vourles
T 04 72 41 01 06
Lun-ven midi et jeu-ven soir - Week-end sur privatisation lecepebouchon-vourles
Les applaudissements de la tribune présidentielle
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Large vainqueur de Bayonne en clôture du championnat (53-19), le LOU Rugby a décroché un précieux billet pour un barrage à domicile. Une porte d’entrée vers des phases finales longtemps inespérées au regard d’une saison faite de hauts et de bas. Ce fut longtemps un rêve, un souhait que de s’inviter à la table des phases finales. Mais voilà qu’au soir d’une l’ultime journée de championnat, le LOU Rugby connaît le grand frisson des matchs à couperet. Les Lyonnais y sont enfin, après plusieurs années à patienter. De fait, si la pression du début de match, laissa un temps, poindre une nouvelle déception, en écho à une saison aux multiples facettes, le LOU Rugby sut finalement répondre aux attentes de son président, Yann Roubert. Sept essais dans la besace, pour un total de 53 points, la bande à Xavier Garbajosa trouva la clé pour faire sauter le verrou bayonnais, tout en profitant des défaillances de ses concurrents, pour s’accaparer la 3e place. Un podium synonyme de barrage à domicile. Et de nouvelles ambitions : poursuivre l’aventure un peu plus loin. Et qui sait, de s’offrir plusieurs soirs de fête jusqu’à Paris. Cette saison l’a prouvé, il n’est pas interdit de rêver. Même à l’impossible !
Belle ambiance toute la semaine au vélodrome du Parc de la Tête d’Or. Pour preuve, ces travées remplis à guichets fermés, signe d’un tournoi laissant apparaître ces têtes d’affiche : la tête de série numéro 1, Félix Auger-Aliassime et le tenant du titre, Cameron Norrie. Et si les deux surent se qualifier sans encombre, le spectacle proposé, fut lui, à la hauteur des nombreuses personnalités lyonnaises installées dans les tribunes du central, ou présentes dans les allées du village.
Une soirée rafraîchissante, pour les nombreux avocats, notaires, experts-comptables, reçus par Sophie Bardol, directrice des Annonces légales chez Lyon People, à profiter de cette journée tennistique. L’occasion de proposer ses premiers pronostics...
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Sous le soleil comme à la nuit tombée, l’Open Parc Auvergne-Rhône-Alpes a livré des partitions très rythmées, jusqu’à la finale. Du spectacle à tous les étages, un public comblé et la victoire finale du prodige français, Arthur Fils, autant d’arguments venant renforcer l’idée d’une édition 2023 réussie. De quoi mériter amplement ce trophée soulevé par de grands noms du circuit. Sous les yeux du maire Pierre Oliver, représentant la Région AURA, Arthur Fils a peut-être mis un pied dans cette caste-là. Le jeune homme de 18 ans ne pouvait rêver mieux avant Roland. Le public lyonnais également, prêt à fêter ce titre comme il se doit. Au Village, notamment, où les VIP honorèrent ce sacre, une fois la nuit tombée. En effet, nombreuses furent les personnalités lyonnaises à apprécier les sets... du DJ jusqu’à minuit. Jeu, set et match pour tous les engagés !
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Pour le dernier match de la saison dans un Groupama Stadium plein à craquer, l’OL a mis les petits plats dans les grands. Avec, au programme, 2 matches et l’hommage XXL à Jean-Michel Aulas.
Très belle soirée conclue par un feu d’artifice sur le terrain et dans nos yeux.
SUR LA PELOUSE
Le premier match a été l’occasion de célébrer le 16ème titre de championne de France des Fenottes avec une victoire 7-1 face aux féminines de Reims. Le second, également contre Reims, s’est conclu par une victoire 3-0 pour finir ce championnat sur une bonne note pleine d’espoir pour la saison prochaine grâce à Laurent Blanc qui a redressé le navire. L’évènement le plus attendu par les 56 874 spectateurs était les adieux en forme d’hommage à Jean-Michel Aulas, très ému, qui a vécu une soirée forte en émotions partagée par beaucoup. Retenu aux EtatsUnis, John Textor, le nouveau propriétaire du club, ne pouvait être présent mais a tenu à ce que cet adieu soit grand « quel que soit le prix » selon un membre du staff.
Du beau monde même s’il y avait UN absent de marque à savoir Gérard Collomb en espérant que sa santé s’améliore. Côté actionnaire US, seule Michelle Kang – nouvelle patronne de l’OL Féminin – était dans la place. En salons et en loges, on pouvait croiser d’anciennes légendes de l’OL qui ont participé à la haie d’honneur comme Jacques Santini, Raymond Domenech, Rémi Garde, Bernard Lacombe, ou encore Alain Caveglia, Sonny Anderson, Florent Laville, Christophe Breton, non loin des speakers historiques de Gerland Marc Jean et Dominique Grégoire. Plongée dans la nostalgie également en croisant l’exquis Oliver Blanc (ancien dircom de l’OL) qui a retrouvé sa place légendaire : debout pendant le match, non loin de Jean-Michel Aulas.
La haie d’honneur des 36 personnalités autour de Jean-Michel Aulas et de son fils Alexandre
Événement toujours très apprécié, l’opération C’6bon 2023 a de nouveau permis à une centaine de personnes de marier l’appréciation de mets de qualité avec le rétablissement d’un lien social. Son secret ? Permettre chaque année à des seniors isolés du 6e arrondissement de savourer ces instants hors du temps. Une opportunité épiée par certains, que cette... 6e édition est venue renforcer par l’ajout de nouveaux partenaires, tels que le Gourmet de Sèze, la Brasserie de l’Est, le Bistrot Tête d’Or, le Bistrot Jaillet ou La Nonna. De quoi multiplier les plaisirs et accroître les saveurs, que 350 seniors ont pu découvrir dans l’un des 23 restaurants participants comme ici, au Beyrouth Kitchen de Marwan Nadje. L’événement dirigé par le maire du 6ème Pascal Blache et son adjoint, Samuel Soulier est toujours un succès. MC
La 14e édition de la course solidaire « Courir pour elles » s’est tenue dans le parc de Parilly, dimanche 14 mai. Une rencontre pour lutter contre la sédentarité et les cancers féminins. L’évènement a rassemblé 14 000 participants, toutes générations confondues, avec plus de 90% de femmes, dont 46% inscrites en équipe. « C’est une édition réussie », affirme Sophie Moreau, présidente et fondatrice de l’association Courir pour elles. Le chef du restaurant Paul Bocuse, Olivier Couvin, était le parrain de cette 14e édition et a préparé, avec sa brigade, les repas pour les bénévoles. Esther Coutin, Miss Rhône Alpes 2022, était quant à elle la marraine de l’évènement et a tenu à participer à la course pour sensibiliser le public sur les enjeux de la lutte contre les cancers féminins. FS
La dernière épreuve du concours réservé aux élèves sommeliers, organisé par la Maison M. Chapoutier en partenariat avec les Halles Metro, a eu lieu vendredi 12 mai. Julie Piqueras et Yohan Delobel sont arrivés ex-aequo et ont remporté la finale. Xavier Thuizat, élu en 2022 Meilleur Sommelier de France et Meilleur Ouvrier de France, était le parrain de cette 30e édition et le chef Christophe Marguin, président des Toques Blanches Lyonnaises, a composé le menu de la finale. « Au travers de ce concours, nous avons la volonté d’une part de mettre en lumière ce merveilleux métier qu’est celui de sommelier et d’autre part d’encourager et d’accompagner les jeunes élèves passionnés », a déclaré Michel Chapoutier FS > Reportage complet sur lyonpeople.com
À l’heure de célébrer sa 5e année d’existence, le village de marques de Villefontaine, dont le potentiel et l’attractivité ne sont plus à prouver, s’est signalé par une large programmation d’animations.
The Village a donc soufflé sa 5e année, comme put l’illustrer la dégustation d’un savoureux gâteau d’anniversaire imaginé par Sébastien Bouillet. Et pourtant, celui-ci laisse apparaître une maturité déjà impressionnante. Né en 2018, The Village ne cesse de progresser, à mesure que se remplissent les rayons des marques résidentes. Et si une centaine d’entre elles sont à la fête depuis 5 ans, le directeur Nicolas Rudancic et toute son équipe, n’ont pas manqué de célébrer cette nouvelle date symbolique.
Pour preuve, l’aménagement d’une riche programmation au bénéfice des visiteurs, encore 4,5M à arpenter chaque année, les allées du centre. Pour l’occasion, ces derniers auront pu apprécier le show artistique de l’association Nu’Art, un saisissant défilé de mode ou encore un showcase exclusif du chanteur Kendji Girac, aménagés à même le lac. Le tout, suivi pour quelques chanceux, d’une séance de dédicaces au cœur des salons privés. Qu’à cela ne tienne, si tous n’ont pas eu ce plaisir, chaque visiteur aura eu le loisir
de profiter des offres anniversaires, au même titre que l’appréciation des décorations et autres créations végétales de Monsieur Plant, symbole d’un Fashion Green Festival, organisé sur près de quinze jours. Une manière d’entretenir la fête au cœur d’une adresse aujourd’hui réputée, forte d’un chiffre d’affaires de 170M€ en 2022. L’histoire n’en est pourtant qu’à ses débuts. The Village n’a pas fini de grandir !
ort d’une importante expérience golfique, le groupe Altitude a entrepris la création de son propre tournoi de golf, baptisé Pro AM Altitude – BMW Golf Troph-i. Organisé sur cinq dates, l’événement jouit déjà d’un engouement certain, à l’image de l’étape élaborée autour du Lyon Salvagny Golf Club qui a réuni 88 joueurs. Une manière d’écrire son nom, au sommet de la première édition du Pro AM Altitude – BMW Golf Troph-i, tout en rassurant le groupe Altitude sur le bien-fondé de la création de cette compétition de golf. Là encore, le premier coup fut bien placé, précis, au point de combler tous les participants.
Ouvert en janvier 2023, le restaurant Casa Lula rayonne déjà dans le 8e arrondissement, au fil de ses plats à consonances italiennes et de sa terrasse privatisable, de 400 m 2. Un cadre propice au divertissement.
Texte : Morgan Couturier – Photos © Alexandre Moulard
On ne peut se tromper, à mesure que la terrasse s’ouvre au public pour livrer tous ses secrets. Là, écrit en grosses lettres, en bordure de ses terrains de pétanque (ou de molkky selon les goûts, ndlr), le restaurant Casa Lula réaffirme ses ambitions. Son leitmotiv : la Bella Vita. Une belle vie qu’Aurélie Formichella et son mari et chef, Blerimo, dessinent depuis cinq mois, au 3 rue Edouard Nieuport. Mais alors que le début de l’année a dessiné les contours d’un restaurant de 38 couverts, entièrement refait et décoré par Clara Rochedy, le mois de mars avait lui, laissé poindre l’arrivée d’un charme supplémentaire. Et donc, de cette fameuse terrasse de 400 m2 où près de 200 personnes peuvent apprécier les tapas italiens et les cocktails de la maison, dont l’iconique Blue Spritz, concocté à base d’un surprenant vin bleu pétillant. De quoi apporter une touche d’étonnement à ce lieu hors du temps, qu’entreprises et particuliers peuvent privatiser au fil de diverses formules. Tel est le sens de l’hospitalité à l’Italienne. Ou plutôt à la romaine, pour ces deux transalpins. Ne reste plus qu’aux gladiateurs des temps modernes à pénétrer dans l’arène. Et à rendre les armes, devant les charmes de l’endroit.
Casa Lula
3, rue Edouard Nieuport – Lyon 8
Ouvert le lundi au dimanche de 11h30 à 15h et de 18h à 22h30.
Tél. 04 78 76 06 14
> Plus d’infos sur www.restaurant-casalula.com
Presbytie - Myopie
Hypermétropie - Astigmatisme
MERCREDI 28 JUIN 2023
À 14H00
SUITE DE LA VENTE DE LA CAVE DU CHEF Pierre ORSI
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Rarement mis en lumière, les métiers des services à la personne ont profité de la scène du Radiant-Bellevue, pour bénéficier de la reconnaissance du SAPRA. Pour cette 9e édition, l’événement a surtout permis de récompenser onze salariés du milieu.
Le Radiant-Bellevue a beau être habitué aux rires comme aux concerts, l’enceinte caluirarde se plie facilement à d’autres chansons. À commencer par cette douce mélodie des récompenses, que se plaît à entonner le SAPRA (Services à la Personne Rhône-Alpes Auvergne) depuis 2013. À ce jeu, si le chanteur Philippe Roche sut idéalement animer la soirée, les plus belles paroles furent à trouver du côté des candidats à cette édition 2023 des Trophées des Services à la personne Rhône Lyon Métropole. « Vous êtes nos héros du quotidien. Cette soirée est l’occasion de vous remercier », rappela d’ailleurs le président, Franck Thouny, à l’heure d’honorer « les meilleurs d’entre eux ». Onze salariés et autant de parcours de vie, tous reliés par un mot : la bienveillance. « Vous faites un métier dont on ne peut pas se passer », souligna la marraine de cette 9e édition, Clémentine Eméyé, fondatrice de l’association Un pas vers la vie, vouée à l’accompagnement des familles touchées par l’autisme.
Une belle mise en lumière de ces métiers de l’ombre donc, alors que la soirée sut magnifier les différents secteurs d’activités, de l’auxiliaire de vie à l’employé de maison, en passant par la garde d’enfants. « Vous êtes des soleils pour les personnes chez qui vous intervenez », appuya enfin Delphine Clair-Durhone, directrice d’Orgaly Lyon. Une idéale conclusion à une soirée dont la reconnaissance ne manquera pas d’inspirer les prochains candidats. Au quotidien d’abord, comme sur les cinq jours de compétition, bien que la plus belle des récompenses soit à trouver ailleurs, dans cette précieuse faculté à « rendre la vie plus douce pour les personnes concernées ». Ces trophées l’ont prouvé, un sourire vaut mille mots...
Trophée Confort / Employé de maison
3e prix : Mirdhane Massoui (AZAE Lyon Centre)
2e prix : Ange-Jimmy Dongmo (O2 Lyon Centre)
1er prix : Lina Halmela (Monsieur et Madame LIP)
Trophée Auxiliaire de vie
3e prix : Chloé Muller (Aide & A)
2e prix : Maria José Dos Santos (Vivre et domicile)
1er prix : Liliane Koffi (La Compagnie de Louis)
Trophée Garde d’enfant / Petite Enfance
3e prix : Laurence Pereme (Adomizen Vivaservices)
2e prix : Mélissa Idir (Family Plus)
1er prix : Joëlle Belmonte (Etiknounou)
Prix Coup de cœur du jury
Edwige Gouezin (France Présence)
Trophée des encadrants
Valérie Chazelle (Alfred)
Chloé Muller (Aide&A – 3ème prix dépendance) et Séverine Hemain (MMIE)
Ange Jimmy Dongmo (O2 Lyon centre – 2ème prix confort) et Elodie Rambert (Directrice Générale -OMERIS-DECIMA)
Aida Dadiakhate (ESAP) et Nicolas Rousseau (FESP)
Joelle Belmonte (Etiknounou – 1er prix petite-enfance) et Églantine Éméyé (marraine de l’édition Rhône 2023 – Un pas vers la vie)
Laurence Pereme (Adomizen Vivaservices – 3ème prix petite enfance) et Séval Cannata (Responsable de Centre de Formation – Ingeniors)
La journaliste Sandrine Audrain et Blandine Peillon (Jours de printemps)
Mirdhane Massaoui (Azae – 3ème prix confort) et Delphine Clair-Durhone (Directrice Orgaly Lyon)
LIP– 1er prix confort) et
et
Il en faut peu pour être heureux. Et vraiment peu, lorsqu’arrive au printemps, la douce musique de l’incontournable Plus Grand Mâchon du Monde.
Il faut dire que dans l’antre de Gerland, dans ce village d’irréductibles qu’est l’espace réceptif du LOU Rugby, se satisfaire du nécessaire n’a rien de bien compliqué. Aux aurores, un peu de vin et de cochonaille et voilà les Lyonnais prêts à prendre la vie du bon côté. Rire, sauter, danser, chanter, cette quatrième édition fut à nouveau l’illustration d’un événement très bien léché, comme le veut la coutume depuis son instauration en 2017. En effet, la cloche à peine sonnée, son instigateur, Maxime Caminale, n’eut aucun mal à voir ses requêtes appliquées.
« Mettez Gerland en feu ! », somma-t-il à une salle en ébullition, prompte à faire tourner les serviettes aussi facilement que les plats. Une succulente mise en bouche pour cet événement ô combien festif, où la convivialité et le divertissement forment d’inévitables accompagnements à ces agapes .
Sitôt les assiettes terminées, et alors que les inévitables Saint-Marcellin de la Mère Richard et la fourme de Montbrison finirent de remplir les panses, le succès de ce Plus Grand Mâchon du Monde se confirma par ses innombrables scènes de liesse. Toutefois, si la Pena Baiona finit d’emporter le banquet dans une profonde communion, les organisateurs n’omirent pas de rappeler le caractère solidaire de ce rendez-vous. Une valeur forte partagée par les différentes confréries, que le Plus Grand Mâchon du Monde sut rappeler au profit des associations Les Étoiles Filantes de Sandrine Tourondel et SOS Prema de Régine De Seyssel, à qui tous les bénéfices furent reversés. En somme, 15 000 € chacune, de façon à rendre la fête encore un plus folle. Et d’étendre plus encore, les frontières du mâchon, un « art de vivre » visant son inscription au patrimoine immatériel et culturel de l’UNESCO. Lyon serait alors on ne peut plus heureux.
“LES ÉPICURIENS SONT LÀ, PAS LES MANGEURS DE QUINOA”Les organisateurs : Maxime Caminale, Claude Barbet et Thomas Perre Marc Fraysse et Annie de Starodoubsky Fabrice Bonnot (Cuisine et Dépendance) et Catherine Molière (Les Garçons Bouchers) Les présidents : Christophe Guilloteau, Maxime Caminale et Christophe Marguin Les organisateurs et les associations Etoiles filantes et SOS Premat
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25/05/2023 - Talia chez Maëlle et Mickaël Boisis
Dans nos intentions de prière, Madame Cendrine Lafoy (1), maman de Charlotte et Clothilde ; Père Max Bobichon, chanoine de Lyon ;
Monsieur Jean-Paul Bouit, ancien patron du Fleurie et du République ; Monsieur Nano Ventura (2), patron de la Voile verte. Nous assurons leur famille et leurs proches de toute notre affection.
À l’issue de l’Assemblée Générale ordinaire annuelle de la Société des Courses Lyonnaises, Jean-Claude Ravier a été reconduit à la Présidence, mercredi 24 mai 2023. Un nouveau mandat de 4 ans, pour cet ancien notaire qui baigne dans les courses hippiques depuis son plus jeune âge et qui continue d’assouvir sa passion après avoir été gentleman-rider dans les années 80.
Carole Lathouche prend la direction générale du Mercure Saxe Lafayette, installé dans l’ancien garage art-déco de la rue de Bonnel à la suite de Jean-Philippe Dupuy qui va se consacrer à ses hôtels Bayard Bellecour, Greet et de son restaurant jazzy Mademoiselle Simone, qu’il gère avec son épouse Nathalie
Fort de 68 consuls de carrière et honoraires, le corps consulaire de Lyon compte 4 nouveaux membres nommés en 2023.
Monsieur Sory Ibrahima Kaba DIAKITE, Consul général du Mali
Madame Nariné NIKOLYAN, Consul général d’Arménie
Monsieur Rolland MARTIN, Consul (AH) de Corée du sud
Monsieur Fabrice LOMBARDO, Consul (AH) de Thaïlande
Texte : Serge Tonioni – Photos DR
Après avoir apprécié la vue de la ville depuis Fourvière, la princesse, carnet de notes en mains, a pu s’imprégner de l’architecture gothique de la cathédrale Saint-Jean sous la houlette de Monseigneur Loic Lagadec, évêque auxiliaire de Lyon et du recteur de la primatiale, le père Patrick Rollin. Mais le point d’orgue de sa visite se situait au Palais de la Bourse. Ici, toute la communauté thaïlandaise l’attendait ce samedi 13 mai pour célébrer le centenaire de la naissance de feu sa tante, son altesse royale la princesse Galyani Vadhana, lors d’un concert commémoratif, auquel s’est associé l’Unesco, pour rappeler la bienveillance de son altesse royale envers l’univers musical et culturel thaïlandais tout comme son engagement dans de nombreuses activités humanitaires.
Au cours de ce concert organisé par l’Institut de musique Princesse Galyani Vadhana en collaboration avec le CEFEDEM Auvergne Rhône-Alpes et le conservatoire national supérieur musique et danse de Lyon, plusieurs œuvres des compositeurs Lully, Delalande et Saint-Saëns ont été interprétés pour rappeler leur rôle important, à travers la musique, entre la France et le royaume de Siam. Ce spectacle très apprécié puisait son inspiration dans la culture thaïlandaise pour créer une performance artistique ambitieuse qui fusionnait à la fois la musique classique, la danse traditionnelle et la conception contemporaine. À l’issue du concert, la princesse Maha Chakri Sirindhorn, tout sourire, s’est offert un bain de foule dans la salle de la Corbeille en présence du tout nouveau consul honoraire de Thaïlande Fabrice Lombardo et du député Hubert Julien-Laferrière. Suite au succès de cette manifestation, d’autres projets devraient voir le jour pour célébrer la collaboration entre la Thaïlande et la France.
La veille des élections législatives en Thaïlande, son altesse royale la princesse Maha Chakri Sirindhorn était en visite à Lyon avant de se rendre à Paris.
