LYONPEOPLE JANVIER 2010 by Lyon people

www.lyonpeople.com

LLES 13 RENDEZ-VOUS RE

qu’il qu q u ne fallait pas rater pa ra

N°93 - JJanvier i 2010

FÊTE DES LUMIÈRES LE 8 DÉCEMBRE DES VIP

TOUTE L'ÉQUIPE LYONPEOPLE

souhaite une excellente année 2010 à ses 100 000 lecteurs *

*Audience mensuelle - Médiamétrie 2005

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EDITO Janvier 2010

n 2000, il y a déjà dix ans, Marco et Nico, jeunes gens de bonne famille, recommandés par Albert Artiaco me proposaient de jouer les « business angels » pour Lyonpeople qu’ils venaient de créer. Echaudé par plusieurs expériences décevantes, j’acceptais sans trop y croire, de participer à leur aventure. On pouvait craindre le pire tant leur expérience journalistique était approximative. Et si c’était cela le secret de leur réussite ! En effet depuis dix ans, Lyonpeople ne cesse de progresser et se porte aujourd’hui comme un charme, alors que M Lyon est mort de sa belle mort, que Lyon Mag a disparu des kiosques, que Lyon Capitale -après avoir changé cinq fois d’actionnaires-, est devenu un mensuel confidentiel. Alors que Mag2Lyon et Tribune de Lyon, ainsi que quelques gratuits survivent tant bien que mal dans un paysage médiatique dévasté (volontairement, j’oublie dans ma liste les pathétiques « Potins d’Angèle » subventionnés par les collectivités locales). Comme quoi, pour réussir un journal, il faut se méfier des journalistes patentés. Car n’en déplaise aux médisants qui disaient pis que pendre de notre magazine, ces 10 ans de succès continu prouvent que Lyonpeople est devenu en quelque sorte, le mieux disant de notre presse locale agonisante. Restons modestes cependant. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois. Jean-Marc Requien

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Lyonpeople.com n°94 - Janvier 2010 Sur une idée originale de Marc Engelhard et Nicolas Winckler Couverture : © Fabrice Schiff Directeur de la publication Nicolas Winckler nicolas@lyonpeople.com - Rédacteur en chef Marc Polisson marco@lyonpeople.com - Graphiste Maquettiste Elodie Aguettant pao@lyonpeople.com Conseillère éditoriale Françoise Petit francoise.petit@lyonpeople.com Webmaster Fabrice Schiff webmaster@lyonpeople.com. Ont collaboré à ce numéro Julien Smati, Nadine Fageol, Pauline Turuban, Edeline Sisteck, Lilou et Jean-Marc Requien. Photographes Jean-Luc Mège, Fabrice Schiff, Saby Maviel et Michel Duong Chef de Publicité Séverine Ciampi severine@lyonpeople.com 06 11 19 04 43 Attaché commercial Bruce Mathieu bruce@lyonpeople.com Ce numéro comporte le programme artistique du Casino Lyon Vert.

100 000 lecteurs tous les mois Etude Médiamétrie - 05/2005

Lyonpeople est certiﬁé par l’OJD BP 6171 - 69469 Lyon Cedex 06 Rédaction Tel 04.72.82.97.78 Publicité Tel 04.72.43.02.47 Fax : 04.72.43.92.05

Supplément gratuit du www.lyonpeople.com. Impression Chirat. Ne peut être vendu. Ne pas jeter sur la voie publique. La reproduction des textes, dessins et photographies publiés dans ce numéro sont la propriété exclusive de Lyonpeople, une marque de Jetpeople.com SARL au capital de 186 420 €. RCS Lyon 493 132 252. Elle se réserve tous droits de reproduction dans le monde entier. Dépôt légal à parution. ISSN : 19527772. Abonnement pour 1 an = 49 €. Abonnement à vie = 399 €.

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SOMMAIRE

Janvier 2010

NEWS 8 La vie lyonnaise 12 La vie économique 14 La vie juridique 16 Brèves de comptoir P. 14

PEOPLE

18 Frédérique de Mortain 26 François Turcas 32 Fernand Galula 34 Denis de Bénazé 36 Maxence Flachez Cité des Antiquaires

P. 20

STYLE

42 Les Arcades 44 Point par point

P. 44

VU !

46 Mois par moi

48 Les 13 soirées qu’il ne fallait pas rater !

P. 60

ET AUSSI…

70 Carnet mondain © D.R.

P. 70

d’infos sur

www.lyonpeople.com JANVIER 2010

Par Marc Polisson

La dernière séance CLAP DE FIN POUR VIDÉO 6

C’est la fin d’une époque. Le vidéoclub le plus prisé par la belle clientèle lyonnaise va fermer ses portes en janvier 2010. Après 27 ans de présence place Lyautey, Joseph Turzo s’apprête à tirer le rideau. Nous lui tirons notre chapeau. Un signe qui ne trompe pas. Depuis trois ans, le vidéoclub n’ouvrait plus en matinée, sauf le mercredi. Le DVD, la vidéo à la demande et Internet ont sonné le glas de cette activité qui a connu ses heures de gloire dans les années 80 et 90. Flashback. C’est en 1982 que Joseph Turzio, alors commercial, et ses amis d’enfance Charles et Edouard se lancent dans cette activité balbutiante qu’est la location de K7 vidéo. Un petit local de 30m2 à côté du Lyautey (aujourd’hui Café du Pond) accueille les compères mais l’affaire prend rapidement de l’ampleur, contraignant le trio à déménager dans un 100m2 qu’il occupe encore pour quelques jours. L’embellie que connaît leur business est ponctuée de soubresauts technico-administratifs comme le coup d’arrêt aux importations de magnétoscopes ou la guerre des formats entre V2000, Betamax et la VHS. A cette époque, la vidéo est considérée comme un produit de luxe et "bénéficie" d’un taux de TVA à 33%. «Ça n’a pas été tout le temps un long fleuve tranquille !» souligne Joseph, attablé au Grand Café de Genève. D’autant que les années 90 vont rimer avec explosion du marché. Les chaines de franchisés comme Vidéo Futur envahissent la ville. «Entre 1990 et 2000, on a compté plus d’une centaine de vidéoclubs sur Lyon. Aujourd’hui, il n’en reste qu’une dizaine». Dans la jungle de l’époque, Vidéo 6 tire allègrement son épingle du jeu. «Je travaillais comme un libraire et restais à l’écoute de mes clients.» En 27 ans, Joseph, le confident, aura connu trois générations : grands-parents, parents et enfants… Une fidélité qui se manifestait dans son paroxysme certains samedis où 500 films trouvaient loueurs pour le week-end. L’arrivée du nouveau millénaire et du DVD a boosté le marché de façon éphémère. Le produit s’est vite banalisé et les prix de vente ont plongé. Les nouveaux modes de consommation ? Très peu pour lui. «Avant, tu travaillais un film sur 2-3 ans. Maintenant, en six mois, il est has been !» Internet a achevé le travail de sape avec le téléchargement. Le déclin s’est ensuite amorcé. Inexorable. A 58 ans, Joseph a décidé de céder sa boutique. Soulagé, et un peu triste, même s’il se défend de toute nostalgie. Dans un premier temps, il compte voyager. Peutêtre du côté de Sannicandro, ce petit village des Pouilles où il né. Pudique et réservé, il dissimule ses yeux embués derrière ses lunettes, dit vouloir prendre le temps. Avant de passer le relais au chausseur Delpol qui a racheté les locaux pour y implanter sa 8ème boutique lyonnaise, le rideau de Vidéo 6 tombera définitivement le samedi 9 janvier 2010. Jour de dernière séance, comme dans « Cinéma Paradiso », l’un de ses films préférés.

TELEX Le groupe hôtelier hispanique NH Hoteles a inauguré son nouvel établissement de Saint Exupéry. ■ ■ ■ Jean-Loup Perrin a rendu sa casquette de responsable d’Arachnée Concerts pour rejoindre le Sud de la France où il est domicilié. Alice Raynaud a pris sa succession. ■ ■ ■ Presse@grumes Events est la nouvelle agence de communication spécialisée dans la communication web événementielle créée par Géraud Escalier et Muriel Larréché. 8

JANVIER 2010

COUAC DIPLOMATIQUE LES CONSULS VOIENT ROUGE... A peine installé dans le fauteuil de doyen du corps consulaire de Lyon, Li Ping, consul général de Chine à Lyon, a commis son premier fait d'arme politique et, dans le même temps, sa première faute de politesse. Du coup, le corps consulaire de Lyon est divisé entre ceux qui ont vu le rouge et ceux qui… voient rouge ! Qui l’aurait cru ? Mercredi 2 décembre, à la Cité Internationale, le tout Lyon faisant des courbettes et buvant à la santé des camarades… Aux oubliettes, les Droits de l’homme, Tien An Men et le Tibet. Place au business. L’inauguration officielle du consulat de la République populaire de Chine fut donc très courue à ceci près qu'il manquait quelques consuls, faute de bristol. Au départ, les édiles concernés ont cru à une manigance du camarade Besancenot, cidevant facteur de la gauche prolétarienne. Que nenni, il ne sévit qu'à Neuilly, tournée oblige. La réponse est venue du consul lui-même, qui s'est excusé en privé de n'avoir pu les inviter, leur pays faisant partie des 23 Etats ayant reconnu diplomatiquement la République de Taïwan. Connaissant la légendaire volonté chinoise de ne pas perdre la face, on mesure combien cet aveu a dû coûter à Li Ping. Mais les ordres venaient d'en haut. L'Ambassadeur de Chine était présent. Il fallait donc faire de la politique, les grattons passeront après ! Oubliant que tous les pays industrialisés ont un bureau économique à Taïwan, qui fait office de discrète représentation diplomatique. Il ne faut pas pousser, sinon les Chinois voient rouge ! Le plus drôle, c'est que l'on a pu croiser quelques consuls blacklistés (ou plutôt redlistés) à la soirée de l’Office national du tourisme tunisien de La Reine Astrid (lire page 58). Un hôtel propriété d'un autre Chinois, de Hong-Kong cette fois. Là bas, au moins, on sait encore vivre… Saint Pothin

Photos © Fabrice Schiff et Infoloisirs

NEWS LA VIE LYONNAISE

NEWS FÊTE DU 8 DÉCEMBRE Par Marc Polisson

FÊTE DES LUMIÈRES VIP à grande vitesse Dans la soirée du dimanche 6 décembre, après le splendide feu d’artifice, une centaine de décideurs parisiens a pu découvrir dans des conditions privilégiées la fête des lumières grâce au partenariat monté par la SNCF et la Ville de Lyon.

Un feu d’artiﬁce très réussi. A refaire l’an prochain !

La primatiale Saint Jean

Le cocktail dans les grands salons de l’Hôtel de Ville

JANVIER 2010

Le comité d’accueil en gare de Perrache : Bernard Tabary (Kéolis), Josiane Beaud, Mélanie Jérome et Chantal Proust (SNCF)

Thierry Fremaux, directeur de l’Institut Lumière, Laurent Gerra, Marie-Jeanne Gauthé, Gérard Collomb, Jean-Michel Jarre et Jean-François Zurawik

ccueillis sur tapis rouge à leur descente de TGV par Najat VallaudBelkacem, adjointe au maire, Josianne Beaud, directrice régionale de la SNCF et Bernard Tabary, directeur général de Kéolis, les heureux élus ont rejoint la basilique de Fourvière où les attendaient Laurent Gerra, Jean-Michel Jarre et Gérard Collomb. Le sénateurmaire et son épouse Caroline se sont ensuite fait un plaisir de les emmener trabouler par les jardins du Rosaire jusqu’au Musée Gadagne avant de traverser la Presqu’île illuminée en direction de l’Hôtel de Ville. Dans les grands salons, un cocktail dînatoire préparé par la Potinière a régalé nos marcheurs VIP. Après le show visuel, place aux spécialités gastronomiques présentées par la Mère Richard et Colette Sibilia. Et pour les plus endurants, after soft électro au Musée des Beaux-arts. Avant de s’endormir sous les douillettes couettes du Soﬁtel et du Royal, les Parisiens en auront pris plein les yeux. O MP

Nelson Montfort (France 3)

Garbis Devar et Marie Comte

La place des Terreaux

Joël Madile (Grand Lyon) et le journaliste Philippe Alexandre Traversée du pont Bonaparte avec le maire de Leipzig

Colette Sibillia, Olivier Binst (Euro RSCG C&O) et Renée Richard

Alain Guyot et Francesca Pini (Corriere Della Sera)

Jean-François Kahn, Evelyne Hagguenauer et Gilles Leclerc (France 2)

Pascal Chopin (JC Decaux), le chef d’orchestre Philippe Fournier, et son épouse

Laurent Gerra, Eric Jacquemet (TNT) et son épouse Delphine

Max Armanet (Libération) et Gérard Collomb, guide et sénateur maire de Lyon

Saad Bendourou, consul général du Maroc, son épouse Hind, Christiane et Léandre Borbon (LOU Rugby)

David Nief et Victoria Raufaste

JANVIER 2010

NEWS LA VIE ÉCONOMIQUE Par Yves Espaignet

FRANÇOIS DE SAINT-SEINE Total fait de Lyon sa base opérationnelle Sud Est

LES 5 ANS DE LA FÊTE DE L’ENTREPRISE Cette soirée économique, créée par la CGPME et le Progrès, est devenue une tradition au rituel bien établi. La CGPME présente ses vœux à plus de 2500 invités ; François Turcas sait faire de ce moment un temps fort pour présenter ses priorités. Le groupe de presse et ses partenaires délivrent 9 prix aux entreprises ayant marqué l’actualité. Pourtant, l’édition 2010 verra plusieurs nouveautés. La soirée, qualiﬁée par Jean-Claude Lassalle, directeur délégué du Progrès, de «rendez-vous incontournable des chefs d’entreprise de la région lyonnaise» comprendra son premier colloque consacré à l’innovation avec la présence d’Hervé Novelli, secrétaire d’Etat chargé du Commerce de l’Artisanat et des PME. La Fête de l’entreprise vivra son 5ème anniversaire le 25 janvier en se déplaçant au Double Mixte (Villeurbanne).

LA NUIT DE L’ORIENTATION ESPRIT DE LA FONDATION JAE

Il est arrivé, il y a tout juste un an, pour prendre la nouvelle Direction des Relations Régionales Sud-Est basée à Lyon. François de Saint-Seine s’est immédiatement immergé dans l’organisation du groupe Total sur les 33 départements dont il a la responsabilité.

Plus de 2000 jeunes sont attendus le 22 janvier au Palais de la Bourse pour la troisième édition de la Nuit de l’Orientation réalisée par la CCI et la Fondation JAE (Jeune Avenir Entreprise) présidée par Bruno Vincent. Cette initiative reprise nationalement est partie de Lyon, précise le délégué général de la Fondation, Christian Vaganay : «Nous sommes les seuls à concevoir des logiciels d’orientation à partir d’une base où sont référencés 1100 métiers». Il parle avec passion de cette JAE, une réussite lyonnaise qui est le fruit d’un travail d’équipe depuis 1992. www.nuit-orientation.

JANVIER 2010

« ENTREPRENDRE, UNE IDÉE DE GAUCHE » PAR GÉRARD COLLOMB ET MANUEL VALLS Il est temps d’en finir avec les idées reçues ou d’en finir avec les idéologies. C’est le sentiment que l’on peut exprimer devant le rendez-vous du 4 février 2010, préparé par l’IAE, RCF et le magazine «les Acteurs de l’Economie». Sur le thème «entreprendre, une idée de gauche», Gérard Collomb et Manuel Valls, deux figures socialistes incarnant chacun à leur manière une «nouvelle voie», sont invités à débattre de la question. Il ne faudrait pas oublier le troisième conférencier, Gérard Debrinay, PDG d’Algoé, une entreprise de conseils revendiquant de fortes valeurs sociétales. Ce « débat autrement » se déroulera au site universitaire de la Manufacture des Tabacs.

Photos © Fabrice Schiff et DR

l fallait réorienter les équipes, définir les missions, s’inscrire dans le plan général voulu par la Direction Raffinage Marketing France. Ce travail a été rondement mené en cherchant à ne pas perturber la qualité des services apportés à la clientèle. François de Saint-Seine commente simplement l’action menée : «Aujourd’hui, nous avons atteint notre vitesse de croisière». Sa direction lyonnaise ne concerne pas la recherche pétrolière, encore moins les raffineries, les laboratoires travaillant sur les nouveaux carburants ; en revanche, elle est responsable de l’action de proximité. La distribution des carburants pour les particuliers et les professionnels est une priorité affichée du groupe. Il affirme, dans ses communications, son écoute des besoins des usagers de ses stations. Cette logique est d’autant plus stratégique dans l’Hexagone car Total veut être un « leader reconnu pour la qualité de son offre de services dans les stations portant ses couleurs. » Le réseau comprend 4 500 stations aux couleurs du groupe (Total et Elf) dans toute la France et la Direction Sud-Est assure le suivi des contrats commerciaux du tiers de ces relais. En Rhône-Alpes, le maillage est assuré par 97 stations dont 20 pour l’ensemble de l’agglomération lyonnaise. La logistique nécessaire s’appuie sur un dispositif de 11 dépôts, tous classés Seveso. A ces unités s’ajoutent des équipes commerciales dont un service télévente situé à Marseille. L’action marketing englobe les relations avec les entreprises jusqu’à la gestion des cartes accréditives : «C’est une direction où la poly-activité est la règle». Mais cette logique de proximité ne se développe par une simple couverture d’un territoire afin d’assurer les livraisons de carburants, elle doit se comprendre également dans le sens d’un enracinement du groupe par des actions visant à conforter les initiatives dans les régions où s’exercent son activité. «Nous avons terminé notre déploiement et nous lancerons des actions en 2010» précise François de Saint-Seine : «Un premier projet en relation avec la Fondation du patrimoine devrait se concrétiser rapidement». Il ne dissimule pas que cela exige une démarche de contacts, mais il confie ne pas avoir hésité un seul instant quand la direction lyonnaise lui a été proposée, «tant pour la qualité de vie que pour la dynamique économique que développe cette région». Il travaille pour cela avec Patrice Faller, le délégué Rhône-Alpes de Total Développement, chargé notamment des projets portés par les entreprises : «Notre volonté est de nous impliquer fortement là où nous travaillons». Deux directions régionales Raffinage Marketing existent en France, la direction de Lyon coordonne les départements situés au sud d’une ligne coupant la France depuis l’Alsace jusqu’au Val de Loire.

NEWS LA VIE JURIDIQUE RADARS FEUX ROUGES Mode d’emploi

NOUVEAU

ORDRE DES AVOCATS

PREMIÈRE DAME À LYON… Ce début d’année est à marquer d’une pierre blanche pour les robes noires : pour la première fois en effet, le barreau de Lyon, fort de ses 2 300 avocats, a placé à sa tête une femme comme bâtonnier, Myriam Picot. La rentrée solennelle du 17 décembre 2009 est donc inscrite à jamais dans l’airain du paysage juridique lyonnais. Née en 1953, à la Croix-Rousse, dans une famille de fonctionnaires des impôts, elle prête serment en 1974. Dix ans plus tard, elle se fait connaître du grand public, en défendant Action Directe, groupuscule terroriste qui sévit à Lyon dans les années 70. Passionnée de corrida et de montagne, elle aspire principalement à travailler sur l'acte d'avocat, à mettre en place le réseau privé virtuel avocat, tout en veillant à ce que l'accès au droit et à la justice ne recule pas.

… ET EN CALADE !

our être verbalisé, il faut être photographié à deux reprises : lorsque le véhicule dépasse une première ligne d’arrêt matérialisée au sol par des pointillés blancs et lorsque le véhicule dépasse l’aplomb du feu. Si vous ne franchissez que la première ligne, un seul flash est déclenché et l’infraction n’est donc pas validée. En revanche, si les deux clichés sont enregistrés, ils sont directement envoyés au centre de traitement des infractions de Rennes qui expédie, en quelques jours, l’avis de contravention à l’adresse figurant sur la carte grise du véhicule. Le montant de l’amende en cas de paiement dans les 3 jours est de 90 € ou de 135 € au delà du 3ème jour et avant l’expiration du 45ème jour. Le paiement valant reconnaissance de l’infraction, le retrait de 4 points suivra automatiquement. Si vous n’étiez pas le conducteur de votre véhicule lorsque l’infraction a été relevée, vous pouvez contester la contravention en retournant, complétée, la requête en exonération jointe au procès verbal reçu. En effet, seul le véritable auteur de l’infraction peut être pénalement sanctionné et se voir retirer des points sur son permis de conduire. Or, les radars de feu flashant l’arrière des véhicules, il est impossible d’identifier le conducteur et aucun retrait de points ne peut intervenir en cas de contestation sur l’identité du contrevenant. Prudence toutefois, car pour être déclarée recevable, votre requête devra scrupuleusement respecter les conditions de formes et de délai rappelées sur l’avis de contravention. Vous devrez également consigner le montant de l’amende. A défaut, votre contestation sera immédiatement rejetée et le retrait de points sera effectif. Se lancer dans une procédure de contestation peut donc s’apparenter au parcours du combattant et nécessiter les conseils avisés d’un professionnel. Si votre requête est recevable, vous aurez à comparaître devant une juridiction (en principe le juge de proximité). Le cliché photographique ne permettant pas d’identifier le conducteur, vous pourrez faire valoir que vous n’étiez pas le conducteur et être, ainsi, exonéré de la perte de points. En revanche, le propriétaire du véhicule flashé, restera redevable du montant de l’amende, que le juge pourra majorer dans la limite de 375 €. La sauvegarde de ses points a nécessairement un coût ! O Maître Aurélie Cottendin Aurélie Cottendin Avocat - Droit routier 54, cours Lafayette - 69003 Lyon - 04 37 45 42 45 Courriel : ac@cottendinavocat.fr - Site web: www.cottendinavocat.fr

JANVIER 2010

L’EDA RÉCOMPENSE SES OUAILLES Le 11 décembre dernier, sous les lambris de l’Hôtel du Département, et en présence de Michel Mercier, l’école Régionale des avocats (EDA) a organisé sa première remise de diplômes. Pour mémoire, rappelons que l’EDA rayonne sur les barreaux des ressorts des cours d’appel de Chambéry, Grenoble et Lyon ainsi que sur le périmètre du Tribunal de Grande Instance de Privas. Sa mission est double : former les élèves-avocats et… les avocats dans le cadre de leur formation continue. Dans les faits, la formation distillée couvre deux années civiles et se segmente en trois périodes : six mois dits de fondamentaux, le PPI (projet pédagogique individualisé) précédant le stage en cabinet, obligatoire pour prétendre au CAPA et devenir de facto avocat de pleine exercice. Côté effectif, l’école a accueilli 204 élèves l’an dernier (175 en 2007, 148 en 2006) et tout porte à croire que ce chiffre augmentera encore pour cette nouvelle session. L’inscription s’élève à 1 600 € ; le budget de fonctionnement se monte à 1,4 million d’€ (pour dix salariés), la moitié, provenant notamment de la contribution des barreaux. L’avenir ? Son président, Me Jean-Pierre Maisonnas s’est donné pour mission « de bouleverser le système ». Au programme, toujours davantage d’anglais, une ouverture plus grande sur le droit communautaire de même qu’un rapprochement avec Lyon III à propos de la formation continue. A noter enﬁn, que l’université d’hiver se déroulera à La Clusaz, du 20 au 23 janvier.

Photos © Fabrice Schiff et DR

Quatre radars de feux rouges sont désormais installés à Lyon : angles cours Lafayette/rue de Créqui, route de Vienne/Avenue Berthelot, avenue Bloch/avenue Jean Jaurès et Apollinaire/rue du Bourbonnais. Attention, contrairement aux radars automatiques de vitesse, les radars de feux ne font l’objet d’aucune signalisation !

Surfant sur la féminisation de la profession, les avocats du barreau de Villefranche-sur-Saône ont également mis à leur tête une femme, Ségolène Pinet. Une occasion pour cette maman de deux enfants, de perpétuer un atavisme vivace : son grand-père, Robert Pinet, ainsi que son papa, Cyrille Pinet, ayant tous deux endossé le rôle de bâtonnier dans le Beaujolais. Outre Ségolène Pinet, le conseil de l’Ordre est composé cette année de Michel Desilets (bâtonnier sortant), Michel Delmas, Franck Minodier, PierreEric Chavent, Stéphanie PasselegueDelbarre, Isabelle Foillard, Aurélie Ejarque, Heloïse Pelux et Ludovic Sireau.

N O R D I C PA S S R H Ô N E - A L P E S

UNE CARTE UNIQUE POUR LE SKI NORDIQUE !

Authentique, convivial et accessible à tous, le ski nordique vous assure ressourcement et bien-être, loin du stress, au coeur des paysages grandioses de nos montagnes.

Dès cet hiver, 7 départements de Rhône-Alpes proposent un « Pass » unique donnant l’accès aux pistes de tous les sites nordiques de notre région.

Que vous soyez grand sportif ou amoureux de la nature, le Nordic Pass Rhône-Alpes vous ouvre de nouvelles traces !

NORDIC PASS RHÔNE-ALPES, SAISON 2009 / 2010 7 départements* (Ain, Ardèche, Drôme, Isère, Loire, Savoie et Haute-Savoie) 83 stations ou sites nordiques concernés Plus de 5000 Km de pistes accessibles 110 € le pass adulte 28 € pour les moins de 17 ans

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50 % de réduction sur les pistes des massifs français (voir liste sur www.nordicrhonealpes.fr) Authentique, convivial et accessible à tous, le ski nordique vous assure ressourcement et bien-être loin du stress, au coeur de nos montagnes. Grands sportifs ou amoureux de la nature, le Nordic Pass Rhône-Alpes vous ouvre de nouvelles traces ! * Sur les 8 départements rhônalpins, seul celui du Rhône ne dispose pas d’infrastructures de ski de fond.

Le Nordic Pass Rhône-Alpes, un vaste terrain de jeu, en toute liberté !

Pratique, le « Nordic Pass Rhône-Alpes » offrira aux petits et grands l’accès à l’ensemble des stations pour découvrir nouvelles pistes et nouveaux paysages au gré de leurs envies.

NEWS BRÈVES DE COMPTOIR avec Par Marc Polisson

LE COMPTOIR DE SAINT CYR «Une pincée de doré, une bonne dose d’authentique, comme un joli dimanche à la campagne avec un petit côté chic», c’est ainsi que se présente par texto le Comptoir de Saint Cyr. L’ex Authentine, repris par Jérôme Guillot (ancien directeur de La Voile) et Brice Gibault (ex Campagne) a retrouvé des couleurs et une chaleur cosy de bon aloi. Au piano, Pascal Nolin, ex chef de l’Alchimie, a concocté une carte traditionnelle. Dès les beaux jours, farniente et jeu de boules sur la grande terrasse. Le comptoir est ouvert à midi 7jours/7 et le soir du jeudi au samedi. 17, route de Lyon – Saint Cyr au Mont d’Or - 04 78 83 30 52

RAPHAËL BERINGER SUR LE DÉPART

CHAMPIONNAT DU MONDE DE BOXE THAÏLANDAISE Ils s’étaient chambrés la veille du combat au cours de la conférence de presse donnée dans les salons du Casino le Lyon Vert mais le Français Patrice Quarteron n’a fait qu’une bouchée de l’Américain Bob Sapp. Les cordes ont tremblé au Palais des Sports de Gerland qui a accueilli de grandes et futures stars de Muay Thaï (également appelé Boxe thaïlandaise, le seul sport qui autorise les coups de coudes, de genoux, les saisies et les projections), à l’initiative de Kader Marouf, ancien champion du monde de cette discipline. Toutes les photos sur www.lyonpeople.com rubrique Dernière minute

Il tenait depuis 12 ans son restaurant sis à l’angle de la rue Auguste Comte et de la rue des Remparts d’Ainay. Il avait rebaptisé de son nom l’ex Tante Alice, emblématique du quartier d’Ainay. Le 1er février 2010, Raphael Béringer aura tiré sa révérence… La suite sur www.lyonpeople. com – Rubrique Rumeurs

LES AFER WORK DU B52 A partir du 15 janvier, le restaurant festif de la zone d’activités le Tronchon à Dardilly organise tous les vendredis des soirées détente avec DJ, danseuses, et buffet à volonté. Parking gratuit.

TELEX ■■■ Al-Ber enflamme le Leï à Villeurbanne. Entre deux prestations au Carmélina, le bassiste de Christophe Maé a fait une halte remarquée chez Thierry et Christine Di Litta. ■■■ Cousin Cousines change de famille d’accueil. Le coquet restaurant de Régis Betoul a été racheté par un couple d’origine libanaise, Marwan et Monia. Bienvenue aux Brotteaux ! ■■■ Le Chic est un joli petit bar designé par Flo Egasse à découvrir 14, quai Romain Rolland (Lyon 5) ■■■ Olivier Farissier nous prépare un beau coup pour la rentrée. Qui sera aussi celle de Jeannot. ■■■ Le B a retrouvé ses horaires habituels. La fête peut continuer ! ■■■ La chandeleur du Sofitel aura lieu le lundi 1er février. Grand Marnier et champagne Moët à volonté ! ■■■ Du 25 au 29 janvier à 11h, retrouvez Mathieu Viannay et Julie Andrieu dans «Côté Cuisine» sur France 3. ■■■ Guy Bardel poursuit en solo son activité de recrutement pour les CHR. ■■■ Racheté au Tribunal de Commerce par Bruno Metzle et Philippe Florentin, l’Alchimie (rue de la Bourse) sera rebaptisé Itavola. Ouverture prévue mi-janvier pour ce nouveau restaurant de pâtes et de pizzas. ■■■ Philippe Rouvière a vendu la Madone (bd des Brotteaux) et compte s’installer du côté de Villefranche. ■■■ Très belle soirée au Bloc, à l’occasion de la venue de Laurent Wolf, dimanche 20 décembre. Comme à la grande époque ! ■■■ Le ShowCase de Paris (Pont de l’Alma) va-t-il s’amarrer en bord de Saône ? C’est ce que se racontent les marins d’eau douce à la capitainerie du confluent. A suivre, mille sabords !… 16

JANVIER 2010

UN PRIX LITTÉRAIRE POUR JEAN-LOUIS MANOA

LE NOËL DES SDF CAFFÉ MILANO Les propriétaires passent mais la tradition perdure. Cette année encore pour Noël, Frédéric Dietsch et ses équipiers du Caffé Milano (rue de l’Université) ont accueilli bénévolement 70 protégés du centre Gabriel Rosset, premier lieu d’accueil de nuit du foyer Notre Dame des Sans Abri. Au menu, feuilleté de légumes bressans, pavé de saumon et feuilleté aux pommes + glace vanille préparés dans les cuisines du chef Franco.

La Sélyre et l’UGC Ciné Cité ont organisé le jeudi 3 décembre 2009 la remise, par Éric-Emmanuel Schmitt, du Prix André Mure 2009 décerné à JeanLouis Manoa pour son ouvrage « Le Mercière. Les 30 ans d’un bouchon centenaire », paru aux Editions les Trois ﬂeuves. Le cocktail était préparé et offert par le patron des Planches. A noter que le viking a fait forte impression au Lutetia (Paris) où était décerné le prix littéraire de la gastronomie Antonin Carême. Seul nominé lyonnais, Jean-Louis a décroché la 3ème place.

Photos © Smart Angel Media, Michel Duong, Nico, Lionel Pinar et Fabrice Schiff

Arnaud Mesnard (Caffé Milano), Birgit Joncheray, responsable du centre Centre Gabriel Rosset, Ciro et Franco (Caffé Milano)

SOIRÉE VODKA AU 33 CITÉ C’est devant l’Amphithéâtre de la salle 3000 que la ville de Lyon a planté sa patinoire cette année. Christophe, Mathieu et Frédéric, les trois patineurs gastro du 33 Cité associés à Gwendal Peizerat, ont privatisé la piste l’espace d’une soirée arrosée de vodka. Ce qui n’a pas manqué d’engendrer fous rires et glissades. A refaire ! Toutes les photos sur www.lyonpeople.com rubrique Les Fêtes

INAUGURATION DE CIAO CIAO L'italien des Halles, propriété de la maison Cellerier, s’est donné les moyens pour réussir l'inauguration de sa boutique entièrement reliftée. L'architecte David Fleury a retranscrit toute l'avant-garde du design italien avec une dominance du noir laqué et une ambiance épurée. Toutes les photos sur www.lyonpeople.com rubrique Les Fêtes

NOËL AVANT L’HEURE HÔTEL DE LA CITÉ CONCORDE Quelques semaines avant les fêtes, l’équipe commerciale de l’hôtel, le chef Pascal Jacquand - restaurant La Scène - et son second Vincent Penot ont offert à leurs clients un moment privilégié gourmand et gourmet ! Cadeau original : un cours de cuisine pour apprendre à confectionner soi même son foie gras.

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NEWS BRÈVES DE COMPTOIR Par Marc Polisson

FLORIAN ORIOL

CHAMPION DU MONDE DE PÂTÉ CROÛTE

LE PALMARES 1er Prix : Florian Oriol – Restaurant Daniel et Denise (69) 2ème Prix : Christian Rougier – Les Loges de Vaugeton (86) 3ème Prix : Olivier Grimaud – Présidence de la République (75) Prix de la Confrérie : Eric Metivier – Lenôtre (75)

oin des fumées du centre ville, les gourmets lyonnais s’étaient donné rendez-vous dans un cadre bucolique pour déguster l’une des spécialités culinaires les plus appréciées des Français. Vous l’aurez compris, pas de prise de tête moquette mais ambiance nappe à carreaux avec moult cochonnailles et beaujolais offert par nos confrères du Progrès. Un championnat certes bon enfant mais préparé dans les règles de l’art avec la présence d’un huissier et un règlement établi par Christophe Marguin sous le regard avisé de Monsieur Paul. Le jury ? Des cols bleu-blanc-rouge, en veux-tu, en voilà ! Daniel Leron – MOF cuisinier, Christophe Roure – MOF cuisinier, Mathieu Viannay – MOF Cuisinier, Guy Lassausaie – MOF cuisinier, Pascal Molines – MOF pâtissier, Gabriel Paillasson - MOF pâtissier et glacier. Pour les seconder, un jury de partenaires au sein duquel siégeaient Jean Burdy, Jean-Claude Caro, Christian Calmes, Christophe Aussenac, 18

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le boulanger Claude Polidori, Michel Reynon, la journaliste Odile Mattéi, etc… et notre bienaimé directeur Nicolas Winckler, dont le moins qu’on puisse dire c’est qu’il avait la tête dans le pâté après cette dégustation marathon. Dès 17h, tout ce petit monde s’est attablé pour une dégustation de 12 productions jugées tant sur l’esthétique que le goût. A tout seigneur, tout honneur, c’est au maire de SathonayVillage qu’est revenu le privilège de lancer la remise des prix. Au micro, une Marie Rigaud plus ronde que jamais. Dans son discours, le très lyrique Jean-Pierre Calvel, vice-président du Grand Lyon, a insisté sur «la dimension planétaire de l’évènement, marqué par deux maître-mots : l’amitié et la convivialité» avant d’accueillir Christophe Marguin, flanqué de son huissier qui a annoncé le palmarès après avoir vigoureusement fait cesser le brouhaha ambiant et fermer le bar où stationnaient en double file ces éternels dissipés que sont Pierre Nallet, Hervé Bal, Fiorello, François

Photos © Fabrice Schiff

Ambiance champêtre dans le parc de la mairie de Sathonay Village qui accueillait le premier championnat du monde de pâté croute et ses gourmets inspirateurs Arnaud Bernollin, Gilles Demange et Christophe Marguin. En partenariat avec Lyonpeople.

Mailhes, Nadine Fageol… et autres Philippe Bernachon. Au cours de la soirée, la Confrérie du Pâté Croûte a été lancée et les premiers membres intronisés par Arnaud Bernollin qui avait dégainé l’épée de son arrière-grand père pour l’occasion. «Nous sommes très heureux du succès remporté par la première édition de ce Championnat et nous réjouissons d’un si beau palmarès pour un championnat de haut vol», a commenté Christophe Marguin. Le président du jury a d’ores et déjà annoncé la tenue d’une seconde édition l’an prochain. Il faut dire que ce Championnat du Monde de Pâté Croûte a suscité un vif intérêt. Pas moins de 43 dossiers de candidatures ont été reçus et 12 candidats retenus pour participer à la finale. Pour l’anecdote, il est amusant de noter que cet évènement iconoclaste a eu les honneurs d’une télé. Laquelle ? Laurent N et sa Fuego sur TLM ? Non, mais Omar et Fred et leur SAV sur Canal +. Incontestablement plus fun. O MP

Le premier jury professionnel du championnat du monde de pâté croute…

Le pâté de Florian Oriol (Daniel et Denise) – 1er prix

Pierre Nallet, Guy Lassausaie et Hervé Bal (Editions HB)

Les organisateurs Arnaud Bernollin, Gilles Demange, Audrey Boutron (Lindecker Agence) avec Jean-Pierre Calvel, maire de Sathonay Village

Mathieu + Marco + Pierre = brochette de poilus

La confrérie du Pâté Croute 2009

Marie Rigaud-Bernollin, maitresse de cérémonie

Pierre Augros (Le Progrès) en ﬂag Jacky Marguin

Un petit air de violon pour Chrystel Reynaud (Le Progrès)

Le chevalier Arnaud Bernollin

Christophe Marguin et son ﬁls Victor Jean Burdy (Mumm) immortalise l’événement

Pascale Ponsonnet et le chef Benoit Toussaint (Chez Paulo)

DJ Baptiste Florentin (Institut Paul Bocuse)

Nico (Lyonpeople), Jacques Ruchon, Jean-Louis Manoa et Jean-Paul Janin (Champagne Henriot) Les participants de l’édition 2009

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PEOPLE AT WORK

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Créatrice dans l’âme, Frédérique de Mortain est un as de la communication pour cosmétiques de luxe. A la tête de la société FDM qui « dérange » la communication, elle invite l’émotion dans l’impitoyable univers de la beauté, des parfums, et cosmétiques. Rencontre avec une passionnée de la vie et de la création. Parce qu’elle (aussi) le vaut bien ! JANVIER 2010

Photos © Jean-Luc Mège

Frédérique de Mortain PARFUM DE FEMME

PEOPLE AT WORK

créations, une petite ruche qui ouvre sur un foisonnant jardin de poche, niché à deux pas du cours de la Liberté (Lyon 3ème). Une invitation aux sens et la rencontre d’une personnalité. Flash-back sur le parcours d’une mordue de créativité. Issue d’une fratrie de trois sœurs (dont une jumelle) et d’un frère établie à Besançon (Jean de Mortain, son papa est alors directeur de la publicité à l’Est Républicain de Gérard Lignac), elle étudie la gestion d’entreprise et la communication pour ensuite espérer trôner dans un fauteuil de psychologue. Son rêve : faire de la psychologie en chirurgie esthétique. Son projet : intervenir en amont et en aval de chaque intervention. Ce penchant pour la beauté et l’image de soi ne la quittera plus jamais. Mais son talent, elle l’exprimera dans un tout autre monde, celui

Avec son équipe Laetitia, Loi et Claire dans la mercerie de l’agence

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de la communication. «C’était écrit», assuret-elle, simplement. En 1987, prête à se lancer dans l’aventure de l’entreprise, elle crée sa boite. De sa passion «plurisensorielle» pour les cosmétiques, les fragrances, l’originalité et les matières, naquit la société FDM. Son projet : chambouler une communication sectorielle «trop sage» à son goût et «donner de l’émotion». Tout s’enchaîne, elle travaille maintenant avec les plus grands noms parisiens de la profession : Dior, Chanel, Lancôme, Guerlain, Lolita Lempicka, Lanvin, Burberry… Le marché est colossal, 700 nouvelles fragrances sortent chaque année. Avec son équipe - Laetitia, Loi et Claire - Frédérique imagine, conçoit, crée des maquettes en volume pour des dossiers de presse, des rapports d’activité, de l’évènementiel, des invitations pour

a couleur : le violet. Symbole de créativité, c’est celle que Frédérique de Mortain a choisie pour sa société mais aussi dans sa vie intime. Son allure électrique, et sa douceur étrangement mêlées créent la surprise et incarnent la rareté à l’état pur. Mais au fait, de qui parle-t-on ? De Frédérique ou du violet ? Les deux. Cette couleur lui colle à la peau. Le violet est la couleur par excellence des rêveurs. Frédérique, rêveuse ? Notre créatrice ne flâne pas, bien au contraire, elle bouillonne d’imagination et de joie de vivre. Derrière son grand bureau immaculé, elle affiche un sourire avenant et séducteur à la fois. Des notes de violet se détachent du «décor» blanc. Une bague, un nounours, un carnet… Des odeurs de parfums voluptés s’échappent de ce refuge aux milles

PEOPLE AT WORK t

les parfums Chopard et même le cahier tendances du glacier Häagen Das. 22 ans déjà – dont quatre à New-York - que la magie opère et que FDM «milite pour l’émotion». Le petit atelier, cousu main, réalise un chiffre d’affaires de 1,2 millions d’euros. Du sensoriel au virtuel, il séduit désormais les grands noms de l’Internet comme Yahoo ou eBay. Ce qui ne l’empêche pas de chouchouter ses clients lyonnais comme Secrets des Dames ou la boutique Smart.

Mère de trois grands enfants

travail. Mais pour Frédérique, le meilleur resto, c’est chez elle, dans son appartement de la rue Mercière. «Je suis une vraie épicurienne, j’aime les plaisirs simples : la bonne cuisine et le bon vin», connivence qu’elle partage avec Michel. Le violet est aussi la couleur de l’amitié. Frédérique «croque» l’art. Elle achète, chine des œuvres et crée. «Travailler les matières, les textures, jouer avec les volumes et la force symbolique des choses» l’enchante. Elle est en pamoison devant Aaron Hinojosa, artiste sculpteur, et auteur des fameux «taureaux et lions de Lyon». Son parrain. Changement de décor, Frédérique a revêtu l’habit de peintre, et pose à côté de son œuvre : «Le cœur du Monde», réalisé sous les yeux du peintre Aaron. Les beaux jours venus, ne la cherchez pas à Lyon. Chaque été, elle prend ses quartiers d’été en Avignon. O Rebecca Pinhal-Wronecki

e Photos © Jean-Luc Mèg

(dont une fille bouddhiste à Sarlat), jeune grandmère, chef d’entreprise, et artiste à ses heures perdues… à 55 ans, Frédérique de Mortain mène sa barque avec entrain ! «Mafée», comme la surnomme ses petits-enfants, vit avec son temps. Elle ne veut surtout pas qu’on l’appelle «mamie». Frédérique est une femme

amoureuse… d’un homme. Elle partage la vie du comédien Michel Leroyer, le Alain Delon lyonnais ! Leur idylle brille depuis plus de 9 ans. «Michel et moi, c’est une rencontre TGV» dit-elle, des étoiles plein les yeux… Le TGV, elle le prend régulièrement et confie avoir «une vie partagée entre Lyon et Paris». Elle aime le calme lyonnais et ses restaurants typiques, aussi bien qu’atypiques, comme le Mistral où elle nous emmène déguster un tajine aux pruneaux, à deux pas de son bureau. Le soir, elle aime retrouver son amie Béatrice Denis au Carmelina et se laisser envoûter par la voix très jazzy de Marion. Elle déguste un «vrai Osso Bucco italien» chez Carlo, boit l’apéro au Plein Sud avant de courir au théâtre Acte 2 (9è) applaudir son homme. L’ambiance baroque du Broc’ Bar ne la laisse pas de marbre, c’est là qu’elle sirote un verre sous les arbres après le

Le soir, elle retrouve son amour de comédien, rue Mercière

JANVIER 2010

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Photos © Saby Maviel

PEOPLE AT WORK

Dans le QG de

FRANÇOIS TURCAS

L’antre de la CGPME, la célèbre villa Bini, une perle de la Renaissance semblant narguer les immeubles modernes de Vaise accueille un drôle de petit bureau. Plutôt fonctionnel et sans ordinateur, on en oublierait presque la truculente personnalité de son propriétaire, le président de la CGPME du Rhône. Propos recueillis par Caroline Auclair

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1. Loulou Chabanel a offert son célèbre Gnafron à ce grand habitué du Pasteur. A l’époque, François Turcas l’avait aidé à mettre en vente le mobilier du restaurant. 15 000 euros avaient été récoltés au profit de Docteur Clown. 2. Titi lui a été offert par l’épouse du président de la FNTR, Madame Sibut après avoir vu sa photo dans la baignoire publiée par Lyon People. Un nouveau compagnon de bain… 3. La médaille du Sénat québécois offerte par Jean-Claude Carle lorsqu’il a reçu une délégation du Québec. 4 et 5. Sa chaise attitrée au Pasteur 6. Son téléphone portable, un Sony Ericsson des plus basiques a déjà fêté son cinquième anniversaire 7. Son portefeuille griffé Dunhill et son agenda aux couleurs de Fiducial 8. Cette canne de sage lui a été offerte par un chef de tribu sénégalais JANVIER 2010

PEOPLE AT WORK orsque la CGPME a racheté la villa Bini, vous êtes-vous personnellement occupé de l’aménagement de votre bureau ? Non. Je souhaitais juste que ce bureau soit fonctionnel et rapidement terminé. Le seul aménagement que j’ai fait, c’était il y a un an. J’ai apporté ma touche personnelle avec notamment le choix d’un bureau transparent que j’ai choisi chez l’un de mes adhérents, Vesta Design. J’ai aussi opté pour un petit salon en remplacement de la table de réunion. Le tableau derrière vous, je l’ai acheté à une adhérente, Nora B. pour l’aider alors qu’elle montait sa galerie. Certains objets personnels vous ont-ils suivi ? Non, à part le Gnafron de Loulou Chabanel, patron du Pasteur. Moi je vis pour demain et non pas pour hier. Vous faites beaucoup de terrain. Combien d’heures passez-vous dans ce bureau ? Je suis ici tous les matins, à partir de 8 ou 9h, suivant les rendez-vous. L’après-midi, je suis sur le terrain. Je vais lever le pied l’année prochaine avec certains mandats. Aujourd’hui, je consacre quatre jours hebdomadaires à la Région, une journée à la mairie et au Grand Lyon. En plus, j’ai mon affaire, Labaronne Citaf basée à Vienne – une entreprise fabricant des citernes souples qui a réalisé un CA de 7,1 M€ en 2008, NDLR -. Je suis président de la CGPME Rhône mais aussi Rhône-Alpes, ce qui me prend énormément de temps. Vous voir en costard dans votre bureau, c’est moins fun que tout nu dans votre baignoire… Cette photo publiée dans notre magazine n’a-t-elle pas trop choqué autour de vous ? Là, c’est un autre François que vous voyez aujourd’hui. D’ailleurs vous avez eu une chance incroyable de me mettre dans une baignoire, car je n’y mets jamais les pieds. Je préfère les douches. C’était un grand exploit de la part de Lyon People (rires). Lorsque je quitte le havre de paix qu’est ma maison, je redeviens un homme public. Une fonction qui nécessite le respect des autres et une certaine tenue. Pour en revenir à la photo, elle n’a pas choqué. Vous auriez publié une photo de moi en train de charger un char de foin, ça aurait été pareil car les gens me connaissent sous toutes les facettes. Je n’ai jamais caché que j’étais un bon vivant. Vos adhérents se sentent-ils concernés par les scandales à répétition touchant la rémunération des grands patrons et les parachutes dorés ? Non, ça ne nous intéresse pas. Ça intéresse plus le Medef. Il n’y a pas d’ambiguïté pour nous. La rémunération moyenne nationale des patrons de PME-PMI s’élève à 4 500 euros. Bien sûr, je ne souhaite pas jouer les hypocrites car nous disposons en plus de certains avantages comme la voiture de fonction et les notes de restaurants. En revanche, je trouve inadmissible qu’un 28

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dirigeant qui ne fait pas gagner de l’argent à son entreprise touche un parachute doré. Une chose pareille ne devrait pas exister. Où en sont les relations MEDEF – CGPME ? Pour l’instant, elles sont au beau fixe car basées sur l’accord cadre qui nous lie pour deux mandats de présidence à la Chambre de Commerce.

Si l’accord CGPME–MEDEF vole en éclat, nous irons à la bagarre ! Et pourtant, ce n’est même plus une guerre larvée qui agite la CCI… mais une bataille rangée ! Non, non, non ! Ça a bougé dans le bon sens. Vous ne semblez pas être au courant de tout. Les choses reviennent dans une logique d’intérêt avant tout. Avant, il y avait des vagues, des problèmes et même des tensions. D’ailleurs, je ne vais pas vous le cacher. Juste avant vous, Guy Mathiolon - président de la

prochaine, doit être reconduit pour deux ans et demi comme stipulé sur le contrat avec le Medef. On a essayé de m’énerver en me mettant un futur président, c’est pourquoi j’ai sorti la carte Philippe Grillot. Quelle sera votre réaction si l’accord CGPME – MEDEF vole en éclat ? Vous ne souhaitez pas de langue de bois et bien vous allez être servie. Nous prendrons chacun nos responsabilités et nous irons à la bagarre. C’est clair ! Mais attention, je ne cherche pas. Ne vous méprenez pas, je reste consensuel. J’ai mis mon poing dans la poche et ils l’ont mis aussi. Guy Mathiolon est-il à la hauteur ? Oui, totalement. On peut lui reprocher quoi ? Simplement d’avoir été ébloui par les ors de la République. Ce n’est pas facile, car du jour au lendemain, on dispose d’un chauffeur, d’une belle voiture, on participe à des voyages avec des ministres et des grands patrons. Et parfois, on peut disjoncter. Il a eu un moment bling bling et je l’ai dénoncé, notamment dans la presse. Aujourd’hui il est revenu aux sources, aux fondamentaux, à la famille qui a besoin de lui. Celle qui a voulu le mettre à la tête de la CCI afin que nous nous sentions tous bien au sein de cette chambre de commerce. Il n’a pas démérité. Est-il assez politique pour exercer cette fonction ? Il n’est pas politique. Vous l’avez bien vu. S’il avait été politique, il aurait été beaucoup plus soft dans beaucoup de domaines. Avec le préfet, notamment, lorsqu’il a voulu rebaptiser l’aéroport Saint-Exupéry. Mais là aussi, il a appris. Il vient d’un grand groupe, à la fois personnel et familial. La CCI est un grand groupe économique avec beaucoup de politique. J’ai moi-même aussi appris à être plus politique. Lorsqu’il y a douze ans je suis arrivé au Conseil régional, j’ai cru que j’étais le phénix de ces lieux et que j’allais démontrer à tout le monde ce qu’était l’entreprise… Ma connerie a duré six mois. Au bout de six mois, j’ai compris que j’avais intérêt à rentrer dans le rang.

Spéciale dédicace de… Jean-Paul Mauduy

CCI, - était dans ce bureau. Aujourd’hui, il est rentré dans sa famille. Il a bien compris que tout seul, le pouvoir est difficile à exercer. Il n’a pas toujours écouté, mais aujourd’hui il le fait. Je dois reconnaître qu’il fait des efforts. Vous jouez donc l’apaisement… Aujourd’hui, notre rôle n’est pas de mettre de l’huile sur le feu. Un contrat cadre a été signé et je n’ai pas de tensions particulières avec le Medef s’ils respectent notre accord. Guy Mathiolon, lors des élections de l’année

Comment expliquez-vous qu’il soit l’objet de toutes les rumeurs… C’est de la jalousie. Et puis il est très difficile de porter l’étiquette CGPME. J’en sais quelque chose puisque ça fait 20 ans que je la porte. Il ne faut pas oublier que le Medef Paris n’a toujours pas digéré d’avoir perdu la chambre de commerce de Lyon. J’ai beaucoup d’ennemis, à Paris mais aussi ici, qui se demandent toujours d’où sort Turcas. Guy Mathiolon n’est pas non plus un homme du sérail. Il n’est pas Guy Malher, ni Bruno Vincent. Et puis on ne peut pas empêcher les troupes du Medef de désirer le pouvoir. Vos relations avec « l’empereur » Mathiolon sont donc moins tendues ?

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C’est vrai que je ne l’ai pas épargné notamment au sujet du campus d’Ecully. J’étais contre. J’ai d’ailleurs voté contre ses projets plusieurs fois. Par contre, lorsqu’il propose des choses bien, je le dis aussi. Avant il ne consultait pas, il croyait qu’il pouvait tout faire, c’est pourquoi je l’ai appelé «l’empereur». Il ne me consultait pas, ni moi ni mes élus. Il a fallu que je mette le poing sur la table pour que nous discutions afin d’avoir une vue commune. Depuis un an, il discute avec nous avant les assemblées générales. Et depuis trois mois, il est rentré dans le rang. Vous soutenez donc sa candidature aux prochaines élections consulaires ? Sans aucune réserve ! Que pensez-vous de Benoît Soury, viceprésident de la CCI ? Alors là, toujours pas de langue de bois. Il est le type même d’homme avec lequel je ne m’entends pas. Pourtant, il ne m’a jamais rien fait. Je ne le connais pas mais la façon dont il a traité son président est inadmissible. Je l’ai dit haut et fort et je n’ai pas peur de le répéter. Si j’avais été à la place de Guy Mathiolon, ça ne se serait pas passé comme ça.

d’avoir Nicolas Sarkozy et Christine Lagarde à Bercy. C’est un excellent binôme. Il ne faut pas oublier certaines initiatives comme la création du statut d’auto-entrepreneurs, ils sont plus de 300 000 aujourd’hui. Durant cette période de crise, on a constaté une vraie solidarité de la part de l’Etat avec les prêts participatifs, les actions d’Oséo… Sans oublier Bruxelles et la Région qui ont aussi joué le jeu. Bilan, on ne s’en sort pas trop mal.

Je n’ai jamais trahi ma famille politique ! Quel jugement portez-vous sur la gestion de la Région Rhône-Alpes par Jean-Jack Queyranne ? D’abord, il faut séparer deux périodes distinctes dans sa mandature. La première, que je qualifierais de socialo-écolo-culturelle… en bref, pas réellement économique. Puis une deuxième partie, plus audacieuse, durant laquelle l’homme a compris qu’il fallait sauver

Vous en seriez venu aux mains ? J’aurais eu vingt ans de moins, peut-être. Maintenant, c’est fini. Nous avons d’autres façons de marginaliser le problème. Guy Mathiolon a été très gentil, beaucoup trop gentil. Et ce, pendant beaucoup trop longtemps. Sans oublier l’affaire Christophe Gruy… Là, c’est une affaire interne au Medef. Que je trouve aussi inadmissible. Je ne comprends pas comment un président peut sacrifier un chef d’entreprise de cette envergure ? Et ce, seulement parce qu’il ne lui laisse pas sa liberté de vote.

Sa garde rapprochée à la CGPME : Franck Morize et Cyril Amprino

Ces guéguerres de syndicats patronaux ne sont-elles pas indécentes en pleine crise ? Totalement. C’est pour ça que depuis tout à l’heure, je ne mets pas d’huile sur le feu. Je ne suis jamais intervenu ni en public, ni en privé. Je me suis contenté de poursuivre mon travail. Nous avons par exemple été les seuls avec l’Etat, la Région et les Agefos PME à s’occuper de la vallée de l’Arve, lourdement touchée par la crise. Avec un slogan : « Former plutôt que licencier ». 700 emplois ont été sauvés. Pendant que ça se bagarrait ici, on est aussi intervenu à Oyonnax, au sud de la Loire et en Ardèche. Que pensez-vous de la gestion de la crise par le gouvernement actuel? Je pense que nous avons beaucoup de chance 30

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l’emploi et l’entreprise. Et c’est ce qu’il a fait dans la vallée de l’Arve. En un mois et demi, il a dégagé l’argent nécessaire. Du jamais vu quand on connaît la lenteur de l’administration. Du côté CGPME, le bilan est satisfaisant. Si je dois me prononcer comme élu apparenté UMP, alors aujourd’hui, on ne votera pas le budget. J’estime que le bilan aurait pu être meilleur. En clair : peut mieux faire. Néanmoins, le bilan économique et international est bon. Vous serez donc candidat sur sa liste aux prochaines élections régionales ! Non, non, non, non ! J’ai été sollicité, d’accord. C’est clair et net, je ne serai pas sur la liste de Jean-Jack Queyranne. J’ai toujours été un homme loyal. Ce sont Alain Mérieux

et Charles Millon qui m‘ont fait conseiller régional, j’ai suivi dans la tourmente Charles Millon jusqu’aux élections municipales, c’est à dire jusqu’à ses derniers déboires. Et ce, même si je n’adhérais pas à toute la philosophie de Charles Millon. Je n’ai jamais trahi ma famille politique. Même si je ne suis pas d’accord avec elle sur certains points comme le déménagement du siège de Charbonnières vers la Confluence. J’ai été le seul avec Jean Girma à voter pour le déménagement. Je m’en porte bien car ça fait vivre aujourd’hui entre 400 et 500 familles durant toute la période de crise. Je suis fier des décisions que j’ai prises et je ne les renie pas. Repartez-vous avec l’UMP de Françoise Grossetête et de Nora Berra? Elles ne me l’ont pas proposé, ni l’une, ni l’autre ! Vous avez pourtant envie de continuer à siéger… Oui, car je n’ai pas fini mon mandat régional. Mais le président de l’UMP du Rhône –Philippe Cochet, NDLR- trouve que j’ai des attitudes totalement déplacées d’amitié avec Gérard Collomb et JeanJack Queyranne. C’est la stricte vérité. Je sais que mon président national a rédigé une belle lettre à Xavier Bertrand pour dire qu’il trouvait inadmissible que je ne sois pas sur les listes. De mon côté, je n’ai pas fait acte de candidature et je ne bougerai pas. Je ne vais ni pleurer, ni quémander à qui que ce soit. Pensez-vous déjà à votre succession à la tête de la CGPME ? Si oui, connaissez-vous déjà le nom de votre « héritier » ? Je referai après ce mandat un dernier mandat de trois ans durant lequel je mettrai sur les rails mon successeur. J’aurai alors 69 ans. Et c’est la limite pile pour me tirer. J’ai plusieurs idées mais vous ne connaitrez son nom que dans cinq ans. On le verra à mes côtés la dernière année. On ne vous connaît pas de passion hormis la CGPME (et le Turca’s Tour). Que faites-vous lorsque vous ôtez votre casquette de président ? A part la marche et le ski, pas grand chose. Je joue à tous les jeux de carte mais jamais plus d’une heure car après ça m’énerve. Je suis un zappeur, comme dit ma femme. Mais n’oubliez pas que j’ai deux titres de gloire : champion de judo et l’ascension de l’Anapurna 4 avec des chefs d’entreprise. D’ailleurs je compte bien en profiter à nouveau lorsque j’aurai 69 ans. O

Jacqueline

Photo Johann Trompat

Agent du patrimoine Ă la Ville de Lyon vous souhaite une bonne annĂŠe

Photo © Jean-Luc Mège

PEOPLE ECO

Fernand Galula

APPELEZ-LE "PRÉSIDENT" Nommé président de Foncière Cardinal, l’homme d’affaires lyonnais sexagénaire revient à ses premières amours. Depuis 40 ans, il s’est montré d’une fidélité exemplaire à un métier qui l’a toujours fait vibrer : l’immobilier. De quoi oublier la presse ?

eu de Lyonnais savent que l’homme de presse est aussi un homme de pierre. Et pourtant… En 1970, Fernand Galula, alors à la tête de Sedip, société d’édition et de régie publicitaire, construit son premier immeuble de logements, «le Belvoir», à la Croix-Rousse. «J’ai commencé les travaux avec un maître d’œuvre, mais suite à des malversations, j’ai dû le finir tout seul !». Depuis, l’homme d’affaires lyonnais affirme n’avoir jamais cessé de réaliser des opérations immobilières, «tous les ans, voire tous les deux ans». Plus connu comme patron de presse, il a dirigé la régie publicitaire du groupe Progrès, racheté les Affiches lyonnaises puis fondé l’hebdomadaire Tribune de Lyon. Fernand Galula a replongé dans la marmite de l’immobilier lorsqu’il s’est retiré de Tribune, il y a trois ans. «J’ai rencontré Jean-Christophe Larose en 2003, lorsqu’il était associé à Renaud Dufer» Via Immogal, sa société immobilière créée en 1991, il participe à trois projets : la résidence de tourisme Park and Suite à la Buire, Le Telyca à Saint Clair et un immeuble de 112 logements à Villeurbanne. Parallèlement, il réalise aussi des opérations avec son ami de toujours Yves Périllat, ancien DG de Campenon Bernard puis Vinci Construction.

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«Le duo fonctionne car c’est un technicien alors que moi, je préfère les affaires». Il y a deux ans, Fernand Galula s’installe chez Cardinal, à la Cité Internationale. «Jean-Christophe et moi avons peu à peu appris à mieux nous connaître», confie-t-il. Et lorsqu’on évoque des difficultés éventuelles liées à leurs deux caractères forts, l’homme répond que leurs relations sont basées sur un respect mutuel.

Presse addict En septembre dernier, les deux compères s’entendent sur la création de la Foncière et Fernand Galula en accepte la présidence. Le tour de table est rapide ; Cardinal représenté par Jean-Christophe Larose et ses deux actionnaires historiques souhaitant rester discrets, Sophie Defforey, présidente d’Aquasourca, société de capital investissement, Olivier Klein pour la Caisse d’Epargne RhôneAlpes et enfin Immogal, présidée par Fernand Galula. Avec un capital de 10 millions d’euros, Foncière Cardinal a pour vocation de racheter des immeubles réalisés par Cardinal mais aussi par d’autres promoteurs. «Bien sûr, les immeubles de Cardinal seront acquis au meilleur coût puisque nous avons la maitrise des frais de construction», commente-t-il.

Quant à la source de revenus, elle est claire : loyers et plus-value. «Nous avons déjà signé cinq projets pour 2010», ajoute-t-il. Parmi eux, trois bâtiments de Loomis, Altis Gerland pour la CNR et un futur siège social à Vaise. Mais l’homme lorgne aussi sur les locaux laissés vacants à la fin de l’année par la Région. «Si l’on compte aussi les bureaux annexes, plus de 17 000 mètres carrés seront bientôt disponibles», analyse-t-il. «J’étudie le dossier et je souhaite en parler de façon professionnelle avec les élus». Car il comporte quelques écueils : un problème d’accessibilité et un PLU attaché au tertiaire. «S’il devenait mixte, en comprenant des logements, mon intérêt grandirait». Son regard pétille à nouveau. Rajeuni même, depuis quelques mois, il souhaite rassurer ceux qui s’inquiètent pour sa santé… «Tout baigne aujourd’hui. Et puis vous savez bien que je ne peux pas travailler dans le calme. J’ai besoin du stress». Clin d’œil du destin, il vient d’emménager au sein de nouveaux bureaux 18, rue Childelbert. Un immeuble dont le locataire du rez-de-chaussée n’est autre que le Tout Lyon, son concurrent d’hier. Et la presse dans tout ça ? «C’est une forme de drogue, j’en suis conscient. J’espère juste que j’aurai la sagesse de ne pas replonger». O Caroline Auclair

PEOPLE STORY

Les 25 ans DE L’IDRAC

Le 18 décembre 2009, l’IDRAC a célébré ses vingt-cinq ans sur la grande scène de l’Amphithéâtre de la Cité internationale, en présence de nombreuses personnalités. Au menu, remise des diplômes, cocktail et soirée de gala.

’occasion pour cette école Supérieure de Commerce «deuxième génération» dixit son directeur général, Denis de Bénazé, d’honorer les 523 diplômés de la promotion 2009 et de s’enorgueillir du Visa 5 ans*, obtenu très récemment pour son programme International Grande Ecole. Le réseau IDRAC a bien grandi, au diapason de l’aura, pris au fil du temps, par une école qui a su se faire une place de choix dans le paysage universitaire national : sept établissements à travers l’Hexagone, 68 professeurs permanents, 745 intervenants, 4 200 élèves en formation, dont 2 450 entre Rhône et Saône, Denis de Bénazé se félicite de constater «que plus de 85% de [nos] étudiants décrochent un CDI en moins de trois mois et 96% en six mois !» Outre le bagage inhérent à la formation reçue, nul doute que l’effet «réseau» joue également à plein : les 5 500 entreprises régionales partenaires et 4 500 anciens élèves installés en Rhône-Alpes, constituant un terreau de prospection de choix pour les futurs diplômés.

Photo © Saby Maviel

Développement personnel, quête perpétuelle d’équilibre entre projet personnel et aspirations professionnelles, acquisition de compétences «métier» et à fortiori d’un secteur d’activité, ouverture toujours aussi prononcée vers l’international, primée par l’obtention du fameux sésame Visa 5 ans, l’IDRAC entend perpétuer à offrir, une formation en adéquation, avec les évolutions du monde qui l’entoure. La preuve, l’année 2010 réserve son lot de nouveautés, parmi lesquelles le renforcement et le développement de la recherche appliquée, la mise en place d’un MBA avec l’université de Newcastle ou encore l’élaboration d’une formation, portant sur les affaires industrielles avec le CESI. Sans oublier un cheval de bataille, prégnant pour Denis de Bénazé : le renforcement de l’apprentissage des programmes de l’école afin d’ouvrir les formations «Grande Ecole» aux étudiants boursiers. O Christophe Magnette

* Seules trois écoles ont le Visa 5 ans sur Lyon [ESDES, EM Lyon et l’IDRAC]. Délivré par le ministère de l’Education nationale ce visa est un label qui atteste de la qualité pédagogique des formations distillées au sein de l’école. JANVIER 2010

Ali Hannas, DG adjoint IDRAC Lyon, Maxence Fontanel, directeur programme de commerce, Thierry Bourgeron, pdt du comité de perfectionnement et Denis de Bénazé

Denis de Bénazé, Nora Bera, secrétaire d’Etat aux Aînés, François Turcas, président de la CGPME et Guy Mathiolon, président de la CCI

Guillaume Lafosse, président d’Aliance, Michel Noir, ancien maire de Lyon et Denis de Bénazé, DG IDRAC Lyon

Denis Broliquier, responsable pédagogique et Coralie Petit, responsable de la communication IDRAC

Alain Scappaticci, directeur business programme et Séverine Durbano (IDRAC)

Jean-Jack Queyranne, président du Conseil régional Cindy de Paiva

Sylvie Monigard, Jules et Bruno Perignon Geneviève et Franck Levôtre et leur ﬁls Maxime

Aure Leneutre, Jacques Descours, Tiwaline Descours et Laurent Saint Marc

Florian Bardassier et Léa Thuaire

Antoine Mercadal et Gratiane Picchetti

François, Adelaïde et Sibylle Pastré

Alice et Laurence Perrazi Pierre et Catherine Nallet

Alexia Marlinge, Clémence Raverot et Audrey Magnoli Martin Goudable et Marine Doucey

Marine Lazaro et Christelle Dubouchet Les responsables IDRAC 2009

Photos © Fabrice Schiff

Marine Attrazic, Mathieu Addo (PNK) et Carine Esteves

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Maxence Flachez

Chaque mois, un illustre représentant du monde sportif s’allonge sur le divan de l’infirmier Barth, ancien interné des hôpitaux de Lyon qui délaisse caméras et micros pour enfiler blouse blanche et stéthoscope. L’ancien footballeur Maxence Flachez, aujourd’hui consultant pour OL TV, se prête au jeu ce mois-ci sur le divan d’Iceo.

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u’est-ce que tu fais quand tu ne fais rien ? Je ne fais jamais rien ! (Rires) En réalité, j’essaie de me mettre à jour car depuis que j’ai arrêté ma carrière, je travaille ! Et maintenant j’ai aussi l’occasion de passer du temps avec ma famille et ça, c’est agréable. Consultant pour OL TV, c’est un hasard ou une suite logique ? C’est un pur hasard, je n’y avais jamais pensé avant. Je me souviens encore du coup de fil de Florian Maurice quand j’étais en vacances au Maroc cet été. C’est là qu’il m’a expliqué qu’OL TV lui cherchait un remplaçant et que je faisais partie des successeurs potentiels. Quel est le plus grand regret de ta carrière de footballeur ? Sous la période Jean Tigana avec l’OL, j’étais vraiment un jeune con ! Au lieu de la jouer fine, je l’ai joué rebelle ! Du coup, je me suis mis le coach à dos et je n’ai plus beaucoup joué… De plus, j’ai eu des mots avec Manuel Amoros le protégé de Jean Tigana, j’ai eu tout faux… Qui est pour toi le plus grand consultant de foot ? Dugarry ! Même si parfois il est trop critique notamment vis-à-vis de Domenech. Je l’ai croisé il n’y a pas longtemps et je le lui ai d’ailleurs dit. Mais dans l’ensemble, il faut reconnaître qu’il est juste. Tu aurais le niveau pour jouer dans l’équipe de l’OL ? Non. Une belle vie pour toi, c’est quoi ? C’est un peu bateau, mais la santé, la famille et puis pour le reste… Quel a été ton plus gros salaire en tant que joueur ? 34 000 euros… À Guingamp et à Grenoble.

ICEO

restaurant paquebot 147, avenue Jean Jaurès Lyon 7 - 04 72 73 00 00

Tout le monde dit que le championnat français est l’un des plus faibles d’Europe. Qu’en penses-tu ? Je ne pense pas, même si notre palmarès en coupe d’Europe est extrêmement faible. C’est un championnat qui fabrique les talents et ensuite nous manquons de moyens pour garder les futures stars, voilà le problème… Que pourrais-tu dire de plus dur sur toi ?

Oulala… je pourrais en dire des choses sur moi ! (Rires) Je suis un grand têtu à la limite de la bêtise, lunatique aussi ! Je peux faire chier mon monde sans savoir pourquoi ! Ça peut rendre dingue ma femme ! Et en même temps je pense que c’est elle qui me recadre quand c’est nécessaire. Ce n’est pas pour rien que nous allons fêter nos 17 ans de mariage cet été… Ton dernier texto, c’était pour qui ? (Il me montre son portable où il a écrit à l’attention de sa femme « Je t’aime ») Quelle est la personne que tu détestes le plus dans le milieu du football ? Je ne tape pas en touche, mais franchement personne… Domenech va-t-il réussir son coup pour la Coupe du Monde ou va-t-il se planter ? J’aimerais qu’il réussisse, tout ce qui passe autour de lui, c’est exagéré, c’est l’abattoir, c’est édifiant…. On a le droit de ne pas aimer le coach mais s’attaquer à l’homme de cette manière, nous sommes presque dans la diffamation. En lisant cette interview, que vont dire tes proches ? Mais qu’est-ce qu’il fait dans Lyonpeople, Maxence ? Quelle est la partie de ton corps que tu détestes ? Depuis que j’ai arrêté le sport, mes hanches ! Mes poignées d’amour arrivent ! Et celle que tu préfères ? (Il réfléchit longuement) Je ne vois pas ! La dernière fois que tu as pleuré, c’était quand ? Tu sais, je pleure assez souvent, cela s’explique par la perte de mon fils quand il avait 3 mois, ça m’a terriblement sensibilisé… C’était notre premier… Si tu pouvais dîner avec quelqu’un de connu, tu choisis qui ? J’aimerais bien dîner avec Nicolas Sarkozy. Maintenant on change, c’est toi qui me poses une question. Toi qui as toujours la banane, Barth, c’est quoi ta conception du bonheur ? O

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PEOPLE ECO

Une Cité TRÈS COMMODE C’est le moment de faire des affaires à la Cité des Antiquaires, non seulement les prix sont à la baisse mais la tendance est au mélange des genres. Commodes, consoles ouvragées et miroirs intègrent sans façon les univers contemporains sans oublier l’ethnique de plus en plus chic. Enfin, la Cité s’ouvre désormais aux artisans d’art. Visite en chine.

euxième centre d’activités après le marché Boiron à proximité du marché aux puces de Saint Ouen, la Cité des Antiquaires de Lyon orchestrée sous forme de groupement d’intérêt économique rassemble une soixantaine de marchands. S’il y a toujours des amateurs pour les belles pièces, la crise s’est fait ressentir avec six mois de décalage entraînant dans son sillage une diversification de la fréquentation. Moins d’Américains au profit des Italiens, Anglais et de la clientèle rhônalpine, Loire, Ain et Isère en tête, la raréfaction de la clientèle russe étant contrecarrée par l’arrivée des Chinois en quête de beaux produits dont la peinture qui, de toutes façons, file en masse à l’étranger. Si les prix demeurent d’une grande stabilité pour les vases estampillés Gallé, le verre français et l’Art déco, à l’exception des pièces fleurons, les prix affichent une baisse de 30 à 40 %. Buffet, armoire, table, les meubles trop volumineux, trop typés, ont plus de mal à trouver preneur. En revanche, la commode de style comportant un important travail d’ébénisterie suscite

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toujours autant d’intérêt. Mieux, elle a même gagné un statut d’icône classique voire de pièce intemporelle que les décorateurs n’hésitent plus à intégrer dans des univers très contemporains. Idem pour la console italienne de style baroque qui triomphe dans une entrée sobre et le miroir XIXème taille XXL doré ou, plus pointu, neutre simplement débarrassé de sa patine. En effet, les marchands constatent un déplacement de la tendance vers le contemporain. Entendez par là, les pièces design du siècle dernier qui font une entrée remarquée. Sur l’un des stands de Francis Pillant, l’administrateur de la Cité, on découvre avec stupeur banquette et fauteuil griffés fonctionnant à merveille avec un miroir en provenance d’un château du sud de la France. À savoir, le prix d’un miroir ancien n’est pas plus onéreux qu’un miroir moderne de facture quelconque. Plus que jamais, l’heure est à l’alliance des styles où l’art ethnique prend une belle place. Misez sur des pièces très originales comme une magique statue dans le plus pur style Vanuatu taillée dans une fougère arborescente noire et jouez-là carrément musée

des Arts Premiers avec un grand totem de bois brut sculpté en provenance de Papouasie. Qui dit moderne, dit meubles industriels qui possèdent stand à la Cité avec table d’architecte et fauteuil de barbier. Enfin, ne manquez pas de faire étape chez le bouquiniste, un bel érudit de la reliure et du livre ancien de cachet, des romans de Jules Verne superbement illustrés aux écrits traitant de Lyon. Pour les anciens annuaires du Tout Lyon, inutile de vous presser, ils sont réservés pour un certain rédacteur en chef prénommé Marco. Elu en avril dernier, le nouveau bureau présidé par Alain Cohen souhaite agir en ouvrant les perspectives, il est devenu plus facile de s’installer à la Cité des Antiquaires qui ouvre désormais ses portes aux artisans d’art. O Nadine Fageol Cité des Antiquaires 117, boulevard Stalingrad Lyon-Villeurbanne Tél. 04 72 69 00 00 Ouvert jeudi, samedi et dimanche de 10 à 19h et sur RV.

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(1) RĂŠductions des valeurs mixtes constatĂŠes dâ&#x20AC;&#x2122;Alfa MiTo MultiAir 1.4 TB 135 ch (consommation mixte : 5,6 l/100 km, ĂŠmissions de CO2 : 129 g/km) par rapport Ă Alfa MiTo 1.4 T-jet 120 ch (consommation mixte : 6,1 l/100, ĂŠmissions de CO2 : 145 g/km). (2) Passez au niveau supĂŠrieur. (3) Offre valable jusquâ&#x20AC;&#x2122;au 31/03/10. Prix du modĂ¨le prĂŠsentĂŠ : Alfa MiTo 1.4 MPI 105 ch MultiAir Distinctive ĂŠquipĂŠe en option de phares antibrouillard et dâ&#x20AC;&#x2122;une peinture rouge Alfa : 17 350 â&#x201A;Ź. Consommation mixte : 5,7 l/100 km. Ă&#x2030;missions de CO2 : 134 g/km. (4) Offre valable du 01/01/10 au 31/03/10. Prix spĂŠcial pour une Alfa MiTo 1.4 MPI 78 ch Junior, prime Ă la casse Alfa Romeo de 1 400 â&#x201A;Ź dĂŠduite pour la reprise dâ&#x20AC;&#x2122;un vĂŠhicule Ă˘gĂŠ de 8 Ă 10 ans. Consommation mixte : 5,9 l/100 km. Ă&#x2030;missions de CO2 : 138 g/km. Tarif au 01/01/10. Offres rĂŠservĂŠes aux particuliers dans le rĂŠseau participant. (5) MotorisĂŠe par. (6) Mon Alfa Romeo.

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STYLE FOOD

Les Arcades

Lyon, capitale de la "bonne bouffe". C'est bien connu. Le quartier des Terreaux, moins. Pour les visiteurs occasionnels ou habitués des virées en centre ville, la brasserie "Les Arcades" s’affirme désormais comme une halte incontournable de l’îlot hôtel de ville.

our un " breakfast " pris sur le pouce, un déjeuner entre cadres ou un instant gourmand pour shopping addict invétérées, sa cuisine saura vous séduire. De l'apéritif aux tapas des 4 coins du globe jusqu'aux mets originaux et colorés, c'est un service de 11h à minuit non-stop que l'on ne pourra qu'apprécier. Et tout cela sans compter l'accueil chaleureux et le sourire du trio familial Annick, Sam et Yoann, père et fils. Une ambiance décontractée dans un cadre chic et tendance qui s'accorde à la perfection avec la vue imprenable sur l'Opéra et l'Hôtel de Ville : à chacun sa détente, du verre à l'assiette, sur cette place emblématique. Parmi les plats proposés, on retrouve des saveurs venues d'ailleurs, du sashimi de thon rouge et son wok de légumes, à l'involitini de veau et ses linguines. Une cuisine qualifiée de "découverte" par ses initiateurs, puisque cette mise en bouche vous transporte dans un véritable tour du monde. Innovante, la carte compte aussi de bien drôle 42

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Intégré dans une démarche de développement durable, le vin bio

la brasserie Les Arcades ne s’essouffle pas. La preuve avec le concept des "Solides et liquides" organisé du 6 janvier au 14 février 2010. Le principe ? En pleine période de soldes, la brasserie se met au diapason en cassant ses prix. De -20 à -50% appliqués sur les produits phares, que ce soit pour une simple soif ou un petit creux. Rassurez-vous, pas besoin de jouer des coudes pour avoir la bonne taille ou le bon coloris, il y en aura pour tout le monde! Plus d'excuses pour se priver d'un délicieux smoothie avant de repartir dans l'enfer des magasins surpeuplés... Une "place to be" à découvrir entre collègues, en famille ou entre amis où l'on vient et revient sans modération. O Edeline Sistek

de Gérard Bertrand ou encore la cuisine organique font peu à peu leur entrée sur nos tables. De quoi ravir la jeunesse bobo en quête de modernité alliée à la tradition. Baisse de la TVA, nouvelles embauches, l'investissement sociétal est également indéniable. Toujours à la recherche de nouveauté et d'originalité,

Brasserie Les Arcades 15, place Louis Pradel - Lyon 1er Ouvert 7 jours / 7 de 6h à 1h du matin Service restauration de 11h à minuit non-stop Tél. 04 78 30 19 80 www.brasserie-les-arcades.com

d'associations qui attisent la curiosité : des chicken wings sauce coca-cola par exemple... Mais cette brasserie a bien plus de cordes à son arc... Vous pourrez en effet y accorder au plusque-parfait une cuisine du monde avec des vins aux provenances toutes plus surprenantes les unes que les autres. Australiens, hongrois, le voyage des sens en devient exceptionnel. Voilà un mois que les propriétaires des lieux se sont vu décerner le prestigieux titre de "maître restaurateur". Un gage de qualité incontestable.

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LE SILK / Rue Charles Bienner / LYON 2ème Tél : 04 72 41 20 80 / Fax : 04 72 40 05 50

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MAÎTRE-ARTISAN EN MÉTIER D’ART TAPISSIER DÉCORATEUR CRÉATEUR Grande Médaille d’Argent de la Ville de Paris

L’abus d’alcool est dangereux pour la santé. A consommer avec modération.

Nouveau : «LE SILK» La brasserie du SOFITEL Lyon Bellecour Ouvert 7 jours sur 7 LE rendez-vous lyonnais

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Fermé dimanche soir, brunch dimanche midi

ESSAI AUTOMOBILE

POINT PAR POINT

BMW X1

Nathalie Cot a testé le BMW X1, le nouveau petit SUV de la marque bavaroise. C’est le carton de ce début d’année. Sa longueur de 4, 45 m est très adaptée à la ville et sa consommation commence à partir de 5,2 l/100 km pour 136 g/km de CO2. Existe en 4x2 et 4x4.

Nathalie se voit remettre le Trophée « Mini cup » par Gunther (BMW Gauduel), Georges Tavares (Castrol) et Sébastien (Pilote-Instructeur chez Actua)

LE CONSEIL DU MOIS par Michelin Outre les performances techniques de votre véhicule, il convient tout d’abord de préserver l’efficacité du moteur par un entretien régulier et de contrôler régulièrement la pression des pneus afin de réduire la résistance au roulement. Optez pour une conduite souple sans accélération brutale en modérant votre vitesse.

Nathalie estime que le BMW X1 est un bon compromis entre le Break et un 4x4, spacieux à l’intérieur, il est aussi bien urbain que routier avec une très bonne sensation de sécurité. Silencieux et facile à garer, Nathalie nous conﬁe le conduire «comme un vélo !»

2 Günther (Groupe Gauduel) 1'22"12'''

Nathalie (Steiner) 1' 13" 7'''

6, rue Joannès Carret - Lyon 9 - Tél. 04 72 53 88 88 / 680, avenue de l’Europe - Villefranche-Sur-Saône - Tél. 04 74 60 30 60 www.bmw-gauduel.com - www.actua-pilotage.com

Nico (Lyonpeople) 1' 23" 8'''

Nathalie Cot (Steiner)

Cette nouvelle rubrique va vous permettre de découvrir chaque mois un véhicule du Groupe Gauduel. Nous aurons rendez-vous avec une personnalité lyonnaise qui nous donnera ses impressions sur une nouveauté automobile. A la suite de cet essai, notre people grimpera dans une Mini pour faire un chrono sur le circuit d’Actua à Saint-Laurent de Mure et son meilleur temps sera affiché sur notre podium. Ce mois-ci, Nathalie Cot (Steiner) a fait très fort, elle roule vite et bien, de manière précise et rentre bien dans les virages. Il sera difficile de la détrôner durant les prochains mois. Avis aux amateurs !

Nouvelles BMW

X1 www.bmw-gauduel.com

Consommations de la BMW X1 selon motorisations en cycle mixte : 5,2 Ă 9,4 l/100 km. CO2 : 136 Ă 219 g/km.

LA JOIE A TOUJOURS LA PERMISSION DE MINUIT. La Joie nâ&#x20AC;&#x2122;aime pas faire comme tout le monde. Alors quand tout le monde dĂŠcide de rentrer, la Joie, elle, prĂŠfĂ¨re continuer. La Joie aime les aventures qui commencent tĂ´t et se terminent tard. Pour elle, la curiositĂŠ nâ&#x20AC;&#x2122;a rien dâ&#x20AC;&#x2122;un vilain dĂŠfaut. Et elle peut compter sur la toute nouvelle BMW X1 pour lâ&#x20AC;&#x2122;emmener oĂš elle veut et quand elle veut. Partir sur un coup de tĂŞte Ă la dĂŠcouverte dâ&#x20AC;&#x2122;un quartier encore inconnu, ou mĂŞme partir un soir Ă la conquĂŞte des ĂŠtoiles, le coffre chargĂŠ dâ&#x20AC;&#x2122;un tĂŠlescope et de sacs de couchage. La Joie nâ&#x20AC;&#x2122;a pas de programme ďŹ xe, la Joie a lâ&#x20AC;&#x2122;esprit grand ouvert.

LA JOIE EST LA NOUVELLE BMW X1.

BMW GAUDUEL MAUBLANC Lyon-Vaise Ă&#x2C6;]Ă&#x160;Ă&#x20AC;Ă&#x2022;iĂ&#x160; Â&#x153;>Â&#x2DC;Â&#x2DC;mĂ&#x192;Ă&#x160; >Ă&#x20AC;Ă&#x20AC;iĂ&#x152;Ă&#x160;UĂ&#x160;04 72 53 88 88

BMW GAUDUEL MAUBLANC Villefranche-sur-SaĂ´ne Ă&#x2C6;nĂ¤]Ă&#x160;>Ă&#x203A;iÂ&#x2DC;Ă&#x2022;iĂ&#x160;`iĂ&#x160;Â?Â˝ Ă&#x2022;Ă&#x20AC;Â&#x153;ÂŤiĂ&#x160;UĂ&#x160;04 74 60 30 60

www.bmw-gauduel.com

VU ! CHRONIQUE

MOIS PAR

moi

Les jolies sorties et belles rencontres de Françoise Petit.

Photos © Pascal Muradian et DR

ables en fêtes», un concours de Noël pour les étudiants de l’Institut Bocuse. Le jury (présidé par Alain Vavro) eut beaucoup de difficulté à se mettre d’accord. René Aublanc (Ligne Roset), Frédéric Poignard (Le Figaro) Frédéric Fass, Michael Denis (La Rotonde) JeanChristophe Berriot (Guy Degrenne), une délégation du Plaza Athénée, Jérôme Celle (Celnat S.A) ou Eric Point après en avoir délibéré attribuaient le premier Prix à «Quintessence», celui de la créativité, (photo 1) à «Comme en forêt» et le professionnel à «Astria». Elisabeth Brémond, professeur de Design et Hervé Fleury, directeur de l’Institut encadraient cette élégante cérémonie. Les Bernachon ? Des passionnés qui offrent à Lyon l’image de la qualité, de la sincérité de la rareté. De fèves en émotions sucrées, vous saurez tout sur le métier de cette famille grâce à Stéphane Deligeorges (journaliste à France Culture) auteur d’un livre sensuel et coloré illustré par Jacques Caillaut, préfacé par Michel Serres. La sortie du «Le Chocolat selon Bernachon» édité chez Glénat fut fêté par Paul Bocuse, le papa de Françoise Bernachon, Jean-Jacques et Philippe Bernachon sous l’œil avisé d’Alain Vavro (photo 2) Emmanuel Imbert, directeur de «Dvins» avait réuni plus de 150 décideurs pour déguster 8 prestigieux champagnes. Ce rendez-vous pétillant à fleur de Radisson,était parrainé par un chef au sommet Christian Lherm. Au bout du «crayon» s’écrit régulièrement des pages de cépages intenses en compagnie de Patrick Astrugue. Prochain rendezvous des fins palais, le 21 janvier autour du thème "Wine & Cheese Party". (photo 3) Le «Potager des halles» affiche complet comme une bonne pièce de théâtre. Il est vrai que les acteurs de ce succès sont excellents qu’ils soient en cuisine ou en salle tels le chef Franck et Mai Delhoum, Floriant Remont, Florence Greppo ou Claire. Le «potager» cultive désormais un autre jardin du côté de la Martinière. Stéphane Cabourdin, l’archi, a concocté une salle al dente pour Franck. Au menu : réunions, thés dansant, dégustations, etc... Visite guidée avec Grégory Cuilleron qui lui aussi fourmille de projets autour de la cuisine accompagnant son triomphe d’un «dîner presque parfait». (photo 4) Depuis un an les réflexions de Serge Bensimon dépoussièrent la rue Auguste Comte. Grâce à son concept store Home cette adresse (le 8) concentre des choses du monde entier : de la fringue de créateurs aux objets déco venus des campagnes suédoises ou américaines. Cela donne la pêche ! (photo 5)

JANVIER 2010

6 Isabelle Hirschi peintre designer imprime dans ses œuvres le juste graphisme, de ﬂamboyantes couleurs, des saveurs picturales. De Miami à Madrid, elle accroche aux cimaises ses toiles singulières. "Femmes histoires et secrets" fut le prétexte d’un cocktail lyonnais organisé par les avocats Grange, Lafontaine, Valenti et Angogna. Arrêt sur image avec Isabelle Hirschi entourée de Jean-Paul Larbre, Xavier Damon, Julia Saez critique d'art à Madrid, Maria Guia et Alfonso Sebastian. (photo 6)

VU ! PEOPLE EVENTS

LES 13 ÉVÉNEMENTS

qu’il ne fallait pas rater

SAGES, CKTAILS, BEFORE, AFTER, VERNIS CO LES IS MO UE AQ CH Z UVE RO RET QUI ONT ILLUMINÉ NOTRE CAPITALE. PETITS FOURS ET BEAUX ATOURS

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LES 20 BOUGIES D’E2CA

Les organisateurs Blandine Peillon, Gladys, Michel Duong, Karen Finzi et Laetitia Pepino

UN GROS CHÈQUE POUR LE P’TIT DÉFILÉ

Le P’tit Déﬁlé 2009 qui a eu lieu le dimanche 20 septembre au 33 Cité a rassemblé 40 mini stars de podium qui ont déﬁlé dans les vêtements prêtés par les boutiques Smart, Sateen et Benetton. Pour cette 4ème édition, le thème choisi était la rentrée des classes, et la recette de cette belle journée (5 600 €) vient d’être reversée à l’association Rêves (www.reves.fr) qui réalise depuis 15 ans des rêves d’enfants malades. 48

JANVIER 2010

Arnaud Oliver (Œnologue) Hervé Delaup (Fil evens), Gachaga (Artiste Peintre), Bruno Perbet (BPGI transactions), Laurence et Laurent Peney (L'Open Invest) et Simone Zerbib (Fil evens)

Photos © Lionel Pinar et Nico

Si le 2 novembre 1989 la création d'E2CA Ingénierie passa complètement inaperçue, ce ne fut pas le cas de son 20ème anniversaire. Jean-Pierre Chevallard et ses 24 collaborateurs ont soufﬂé les bougies à l'hôtel Lyon Métropole le jeudi 10 décembre en présence de près de 400 personnes. Un événement réalisé par Média Sport Promotion sous l'œil vigilant du maître des lieux, François Contensou.

BUSINESS MEETING L’OPEN INVEST ET BPGI

L’Open Invest et BPGI en collaboration avec Fil evens organisent tous les deux mois des business meeting autour de grands crus et de mets originaux de qualité. L'idée est de créer une convivialité entre professionnels, d'échanger des cartes de visites et d’établir des offres de services autour de la déﬁscalisation (Lois Cellier, Robien ou Borloo) et des programmes immobiliers proposés par BPGI.

Le Théodore

Du 6 janvier au 9 février 2010 *

SOLDES

de qualité OUVERTURE Exceptionnelle des magasins de Saint-Priest et Champagne

CONDITIONS Exceptionnelles Cuisines Bains Rangements

MEDIA-COMMUNICATION LYON APE 7311 Z

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Dimanche 17 janvier

* Selon les dispositions et dates en vigueur et sur les produits signalés en magasins.

Le cœur de la maison c’est vous et Schmidt !

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restaurant quartier Brotteaux

139, rue Bugeaud - 69006 Lyon tél. 04 72 75 05 75

Zone Commerciale

OL PEOPLE

LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Jean-Louis Maier (J.L Maier), Olivier Ginon (GL Events) et Thierry Sauvage (OL) Nathalie, Frédéric, Laye, Christophe, Guy et Philippe

Gérard Collomb, sénateur-maire de Lyon, Evelyne Haguenauer, adjointe au maire et Pierre Nallet

Matthieu Malkani (OL) et Antoine Caby (TNT)

Valérie Revillon (Team Consulting), Christina Borba et Ariane Favier (Comareg)

Thierry Braillard, adjoint aux Sports et Jean-Luc da Passano (SERL)

Catherine Gladel (Tartine et chocolat) et Olivier Delorme, PDG du groupe Delorme Automobiles

Marie Rousille (Canal+ Events) et Maître Richard Brumm, adjoint aux Finances

4 LIGUE DES CHAMPIONS OL-DEBRECEN Lyon s'est classé deuxième du groupe E de la Ligue des champions malgré son succès sur son terrain de Gerland, aux dépens du modeste club hongrois de Debrecen (4-0, comme à l'aller), au terme d'un match concluant la 1ère phase de la ligue des Champions. FJT Marie Drucker et Nico (Lyonpeople) Eric Payen (Serﬁm) et Jacques Larrochette (Conseil Général du Rhône)

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Photos © Fabrice Schiff

Fabienne Crespin (OL) et Hélène Grefﬁer (Made in Sport)

JANVIER 2010

Monsieur Georges (Cerruti)

Xavier Lalande et Alexandre Guillaume (Erai)

SOLDES A PARTIR DU 6 JANVIER

Nous souhaitons une excellente année 2010 à nos fidèles et futurs clients

New Balance - Fred Perry - Palladium -Feiyue

Franklin & Marshall - Superdry - Fred Perry

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Jim Rikey - Mexicana - Reebok - Adidas

24, rue de Brest - 69002 Lyon - 04 78 42 16 51

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LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Simone André et Joy Corsain Fifres et tambourins. L’orchestre national et ofﬁciel des pennons

Philippe Lescarboura (GDF-Suez), Annick et Georges Penato, consul du Mali

Gérard Minard, Marc Fraysse (Elyo-Suez) et Marie-José Gherardi (Le Progrès)

Philippe Bordier (Futur-Ex Consul honoraire de Russie), Jean-Loup Fleuret, Christian Gelpi, le député Dominique Perben et son épouse Corinne

Simone André, Christian Philip, Christian Gelpi et Bernard Hornecker

Harry Sullivan, consul général des USA et Nora Bera

Philippe Grillot, président de TLF, Christian Gelpi, Jean Trotel, premier président de la Cour d’appel de Lyon et Dominique Perben

Jean-Loup Fleuret, conseiler régional, Philippe Cochet, député-maire de Caluire et Frédérick Favre, consul du Paraguay Ingo Radcke, consul général d’Allemagne

DÎNER STATUTAIRE DES PENNONS

5 GRAND HÔTEL MERCURE SAXE-LAFAYETTE

C’est dans les salons du Mercure Saxe-Lafayette que Christian Gelpi, ancien adjoint au maire de Francisque Collomb, chargé des fêtes et autres réjouissances a réuni les Pennons de Lyon et accueilli en leur sein la secrétaire d’Etat Nora Bera, le chef Christophe Marguin, Harry Sullivan, consul général des Etats Unis et Ingo Radcke, consul général d’Allemagne. « Avant Lyon ! Meilhor ! ». MP

Christophe Marguin et Christian Gelpi

Michel Havard, député du Rhône et Philippe Grillot

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Henry Bailly et Gilles Collomb entourent des dignitaires pennons

JANVIER 2010

Photos © JP Tedog

Les meilleures spécialités américaines enfin à Lyon !

O P E N N O O N A N D E V ENING* 4, rue Tupin 69002 Lyon - Tél : 04 78 59 61 45 w w w.bieh.fr

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LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

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6 LE CRÉDIT LYONNAIS

50 ARTISTES CHEZ LCL

Alain Vollerin entouré des artistes Danielle Dehoux-Grafmeyer, Elise Palmigiani, Annick Morize et Jean-Pierre Eygonnet

La superbe mezzanine du siège lyonnais de LCL le Crédit Lyonnais était noire de monde en cette ﬁn d’après-midi du 10 décembre. Jean-Luc Duﬂot, directeur régional, assisté de Pascal Petris qui remplace à la direction des agences Pierre-Yves Martin, désormais en poste à Bordeaux et de JeanLuc Copéret, directeur de la Communication, accueillaient 55 artistes, sélectionnés sans parti pris par Alain Vollerin parce qu'ils symbolisent un ensemble, dans le cadre d'une politique d'expositions d'arts plastiques de qualité mise au point depuis plusieurs années.

Le président du salon Nicolas Kouzoupis

Jean-Luc Coperet, Eveline Dufour, Catherine Wagner et Raymond Benamran (LCL)

Didier Alalinarde (LCL), Gilles Davanture (Metalic) et Thierry Compagne (LCL)

L’artiste Chantal Hayette et Maryse Beauchamp

Julie Bailly, Ludovic Palmigiani et Amandine Molliet

Michel Calament, Nicole Bonnet-Ollier et Emile Kuntz

Philippe Lubin et Nathalie Donat

JANVIER 2010

Jean-Luc Coperet (LCL), le président François Chappon et Alain Vollerin (Mémoire des Arts)

Pascal Petris (LCL), les artistes Laura Julien et Alain Pagliano

Photos © Fabrice Schiff

Catherine Giraud (Color the World) et Philippe Dordron (Alimex)

En tournée du 22 au 28 mars 2010 • Grenoble • Montpellier • Clermont-Ferrand • Dijon • Lyon • • St-Etienne • Marseille •

DPf Conseil - Edit. 12.2009 - Demi - Crédit Photo : PixéoMédia - Production DPF prod' Licences n° 2-102-82-54 / 3-102-82-55

Eve Ruggieri raconte

Version contée et chorégraphiée

Locations • Fnac - www.fnac.com • Carrefour - www.carrefour.fr • Géant • Magasins U • Intermarché • www.francebillet.com 0 892 68 36 22 (0,34 €/min) • Comités d'Entreprises 04 77 20 04 86 • www.canalce.com • www.ticketnet.fr • Virgin • Auchan Coproduction de la communauté d'agglomération du Pays D'aix

Carl Orff

150 artistes

Orchestre Chœur et Ballet de l’Opéra National d’Ukraine - Lviv Directeur artistique et musical

Grigori Penteleïtchouk

Une production DPF prod'

Après l'immense succès en Pays d’Aix (Été 2009)

L'UNIVERSITE PROFESSIONNELLE INTERNATIONALE

Tro ph Me ées d ille e la po ur Co Ga s ur les ncep trono Ter t d m ras e l’ ie e se ann t de sd é u P e 20 s Vin on 09 s d

photos © Saby Maviel

Restaurant traditionnel Te r r a s s e c h a u f f é e

Banc d’Ecailler 7j/7 Dégustation sur place ou à emporter

Apéro du lundi au samedi Plat du jour à 11 € Menu à partir de 16 €

11, place Maréchal Lyautey - 69006 Lyon - Tél. 04 78 52 39 99 - P Morand

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LES 13 ÉVÉNEMENTS

qu’il ne fallait pas rater

Bruno et Nicolas Trompille, Gérard Collomb, président du Grand Lyon, Philippe Cochet, député-maire de Caluire, Maître Richard Brumm, adjoint aux Finances et Guy Mathiolon, président de la CCI de Lyon

Ambiance soirée

Tapis rouge pour les invités d’Iliade Ingénierie et de son duo dirigeant Nicolas et Bruno Trompille. Ils étaient plus de 400, mercredi 16 descendre 2009 à monter les marches du nouveau siège social de l’entreprise d’ingénierie établi sur le parc d’affaires Cité Park à Caluire par le groupe Cardinal. Une inauguration présidée par Gérard Collomb, président PS du Grand Lyon et par Philippe Cochet, député-maire UMP de Caluire, ravitaillée par le 33 Cité et organisée par Jean-Claude Duchesne. MP

Michel Idé (Grand Lyon), Jean-Paul Viossat (Rhône Saône Développement), Nicolas Trompille et le promoteur Guy Brun

Gérard Collomb et Bruno Trompille

Nicolas Trompille, Laurent Doyat (Icade), Bruno Trompille et Marc Favaro (AFAA)

JANVIER 2010

David, Mathieu Viannay, Frédéric Berthod et Damien (33 Cité)

Marc Dubiez (Sogelym Steiner), Nicolas Trompille et Renaud Condamin (Univeo)

Sophie Boggio, Nicolas Trompille, Patrick Bowdler (Sud Architectes), Laurence Tourvieille et Laurent Boggio (BBC)

Bruno et Nicolas Trompille

INAUGURATION à CITÉ PARK ILIADE INGÉNIERIE

Le discours de Nicolas Trompille

Pierre Nallet (Groupe Pierre Nallet Immobilier), Bruno Trompille et Sylvain Laranjera (Clestra)

Nicolas Trompille et Iwan Ponsonnet (Xanadu)

Pierre Dudek (Nexity) et Bruno Trompille

Bruno Trompille et Hervé Simon (Icade)

QU’EST-CE QUI EST NOIR ET JAUNE, ET QUI VIENT DE VOUS PIQUER ?

TOUT L’UNIVERS RENAULT SUR WWW.RENAULT.TV www.renault.fr

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LYON NORD 4/5, rue St Simon / 93, rue Marietton Lyon 9e Vaise - 04 72 20 72 20 LYON RILLIEUX 110, rue du Companet (av. de l’hippodrome) Rillieux la Pape - 04 72 01 36 36

LYON OUEST 27, Av. des Aqueducs de Beaunant Ste Foy les Lyon - 04 72 39 76 76 Lieu dit Beauversant - CD 42 St Genis Laval - 04 72 66 37 38

VU ! PEOPLE EVENTS

Jacques Marcout (Prisme) et Michel Penen, couturier créateur

LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Gérard Thierry et Karell Ben Ali (Tunisair)

Valérie Kern, Ali Afshar, directeur de la Reine Astrid, Ulla Schneider, Senior Vice-présidente Warwick Hotel et Borhane Ben Ali (Ofﬁce du Tourisme Tunisien) Thérèse Desorgues (Panzani), Marie Januario (Objectif Séminaire) et Emmanuelle Foucher (Bayer)

SOIRÉE TUNISIENNE

8 LA REINE ASTRID

Heureux ! Le directeur de l’Ofﬁce du Tourisme Tunisien à Lyon Borhane Ben Ali et Habbib Ammar, son collègue du Ministère tunisien du Tourisme, en constatant l’afﬂuence au cocktail dînatoire organisé à La Reine Astrid. Heureux ! Ali Afashar, le directeur et Ulla Schneider, senior vice-présidente de la chaîne Warwick d’avoir conclu ce partenariat gagnant en termes d’image et de convivialité. Une soirée concoctée avec le soutien logistique de Prisme International. MP

Gilles Taraquois (Pal Zileri), le soyeux André-Claude Canova et Ali Afshar, directeur de la Reine Astrid

Florence Beylat et Sophie Renard (Eliott & Markus)

Abdel Dahman et Hachmi Djemmali (Consulat de Tunisie)

Caroline Auclair (La boite à info), Sophie Braillard (Tendances) et Sandrine Duconge

JANVIER 2010

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Christophe, Denis et Jean-Philippe

Christophe Thevenon (Cofely), Isabelle Salomon (Région Rhône-Alpes), Jacques Marcout (Prisme) et Marc Béchet (Rhône-Alpes Tourisme)

Habib Ammar (Ministère du Tourisme Tunisien)

Amine Hajri (Ofﬁce du Tourisme Tunisien à Lyon), Lucie Fournier (ONTT), Hashemi Touzri (Graphic Design), Borhane Ben Ali (Ofﬁce du Tourisme Tunisien) et Slim Gharbi, artiste céramiste entourés par les hôtesses de l’agence Shine

SONORISATION

ÉCLAIRAGE VIDÉO SCÈNE ET PODIUM DÉCORATION LOCATION INSTALLATION PRESTATION

LASER

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LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

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Benoît Licour et Erick Roux de Bézieux (Syntagme)

Jacques Simonet, Olivier Vassé et Michel Texier

9 INTERMÉDIA CHEZ I WAY

Jean-Baptiste Aguettant (Light Air) et Julien Bourgeois (Lyon Vip TV)

Julie Royer et Joëlle Marie Berjon (Business Relation Ship)

Sandrine Garnier (MCI) et Blandine Peillon (Jours de Printemps)

Aurélie Chaboud (CDT Rhône) et Guillaume Guttin (Com’ Unique)

Christelle Guitanou (Sang Neuf), Caroline Chollet Rutz, Sophie Rieu (SDN International) et Aurélie Vauthier (Sang Neuf)

Nicolas Cornu (Un Papillon sur la Banquise) et Christophe Aussenac (ATC)

Magalie Delsol (Newzealand), Sévérine Colas (Kart’In) et Delphine Streck (Sport Liberté)

Henri Olagnier (Crayon Bleu) et Gérard Charvet (Charvet Imprimeurs)

Francis Da Silva (Voyage des Sens) et Laurence Gamboni (Terre de Rose)

Fanny Hohn (Comète) et Chrystelle Cimetière (EMC)

Olivier Guinard (Cyrius), Séverine Korovic (Zilli) et Damien Gris

Nathalie Pralines (Bonne Réponse) et Dalil Merad (DCom Média)

Après s’être encanaillé en boîte, l’an dernier, Jacques Simonet a décidé de mettre le turbo à l’occasion du 22ème lancement du guide InterMédia. Nouveauté, cette année, pour cette soirée très prisée des communicants lyonnais et rhônalpins, la possibilité pour les frustrés qui ne reçoivent pas le précieux carton d’invitation, sésame indispensable pour pouvoir rentrer, d’accéder à la soirée, mais pas à l’espace VIP. Faut quand même pas rêver ! SD

Jeudi 14 janvier Soirée Dolce Vita Jeudi 28 janvier Soirée Mille et une Nuits

dès 20h

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LES 13 ÉVÉNEMENTS

qu’il ne fallait pas rater

Gérard Debeaune (Bonn’ Impression) et Serge Partouche (Casino Le Lyon Vert)

PAVILLON DE LA ROTONDE

10 LAND ROVER ET CRESUS Land Rover et Cresus ont présenté leurs mécaniques d'exception les 26 et 27 novembre 2009 au Pavillon de la Rotonde. C'est autour d'un magniﬁque buffet préparé par les équipes de Philippe Gauvreau que Christian Lambert et Christian Odin avaient donné rendez-vous à leur clients pour découvrir la nouvelle gamme 2010 de chez Land Rover et une sélection pointue de montres de collection.

Virginie Prost et Ghislaine Clerc (Bonn’ Impression)

Floris Boerstra (BMG), Christian Odin (Crésus) et Pierre Buffet (Serval Environnement)

Yann Sauvage (Land Rover), Christian Odin (Crésus), le chef Philippe Gauvreau, Christian Lambert (Land Rover), Serge Partouche, directeur du Casino Le Lyon Vert et Fréderic Fass, directeur du pavillon de La Rotonde

Claude Cometti (FCP Design) et Julien Bourrat (Land Rover)

Vincent Dubreuil (AB2C) et Yann Sauvage (Land Rover)

Julien Charderon (Villas Lespine Constructeur) et Samantha Valois

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JANVIER 2010

Eric Chapelle et Stéphane Guillon (Orial)

Christian Lambert (Land Rover) et Philippe Sibue (Coplan)

Philippe Gaso (Flip Elec), Christian Odin (Crésus) et Christian Lambert (Land Rover)

Gérard Debeaune (Bonn’ Impression) et Bernard Mittaine (Ensolea)

Fabrice de Flue et Philippe Gauvreau (La Rotonde)

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lyon espace boxes Lyon Espace Boxes vous adresse ses meilleurs voeux 2010 et s’associe à l’Enfant Bleu pour la lutte contre les violences faites aux enfants. www.enfantbleu.org

EN CAS D’URGENCE, APPELEZ «ALLO ENFANCE MALTRAITÉE» AU 119

«Un enfant maltraité ne parle pas, parlez pour lui»

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VU ! PEOPLE EVENTS

LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Daniel Dintzner (Apalis Conseil) et François Turcas (CGPME)

Maitre Jean-Marc Bret (Alagy Bret)

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ADHÉRENTS DE LA CGPME FOYER NOTRE DAME DES SANS-ABRI

C’est l’un des rituels qui font la marque de fabrique du mouvement patronal dirigé par François Turcas. Plusieurs fois par an, les nouveaux et anciens adhérents de la CGPME font connaissance dans un lieu atypique. Avant les fêtes de Noël, plusieurs centaines d’entre eux se sont retrouvés au foyer Notre Dame des Sans Abri de la rue de Toulon, dans le 7ème, « parce que la solidarité est une de nos valeurs fondamentales ! » a rappelé son charismatique président. Cette organisation caritative, bien connue des Lyonnais a pour vocation d’accueillir, d’héberger, d’accompagner et d’insérer les déshérités. Message reçu 5 sur 5 par les chefs d’entreprise présents ce soir-là. MP

Les nouvelles plaques de rue lumineuses de Philippe Blanco (World Street)

Nicolas Bretton, Martin Serre, Marie-Pierre Caille et son époux Cyril (Château Mentone) François Turcas (CGPME) et le chef Clovis Khoury (Maison Clovis)

Yannick Bayle (Dynacom)

JANVIER 2010

Cyril Torunski (Mobilier Bois Design)

Stephan Chianea (Orygeen France)

Pascale Gombert (Dalbe Beaux Arts La maison du peintre)

François Turcas (CGPME) et Daniel Buguet (UTD-Union Textile Distribution)

Laurent Genin (Europeople-Eurocontact)

Martine Joulia-Cubizolles (Novaxel)

Christophe Schmitt (Exonido)

Benoît Viannay, président du Foyer Notre Dame des Sans-Abri et François Turcas (CGPME)

VU ! PEOPLE PARTY

Pascal Sellem

Greg Basso, le millionnaire, le rugbyman Abdel Benazzi, Jean-Pierre Castaldi et Nathalie Vincent

LES 13 RENDEZ-VOUS

qu’il ne fallait pas rater

Frédéric Favre, consul du Paraguay, le professeur Franck Pilleul et le professeur Michel Mozziconacci

Eric Favre (Les 3 Chênes)

Le père spirituel d’Hugo Lloris Thierry Braillard, Laurent Argelier, Vincent Mc Doom, Marco et Thierry Lerebourg

Greg, de l’ile de la tentation et Karine

Christophe Maé et le photographe Lionel Pinar

SHOW BEACH SOCCER

Retrouvailles mordantes entre Vincent Mc Doom et Laurent Argelier

Coraline Pinar, Dove Attia et Melody Crouton

12 LE TOURNOI DES CÉLÉBRITÉS

C’était son unique concert en 2009 et c’est à Lyon que ça se passait dans le cadre du Show Beach Soccer organisé par Pascal Olmeta et Thierry Tournier sur le sable du palais des Sports. Christophe Maé et une pléiade de vedettes télé ont participé à cet évènement caritatif et ludique dont les recettes étaient destinées à l’association «Un sourire, un espoir pour la vie». MP

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Pierre Laigle et Barth (OL TV)

JANVIER 2010

Thierry Tournier, l’organisateur

VU ! PEOPLE PARTY

LES 13 RENDEZ-VOUS

PLAYBOY

13AU FIRST +

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Dans le cadre de son European Tour, la revue Playboy a effectué une halte lyonnaise à l’ApériKlub et au First. Une nuit érotique et chic, avec de délicieuses bunnies, show playmate, shooting photos et plus de nombreux cadeaux et goodies Playboy à gagner. Une soirée proposée par la soirée Most Wanted Agency. Nul doute que tous les chauds lapins lyonnais étaient au rendez-vous. MP Lionel et ses Playmates (Le K)

Emmanuelle et Claire

Coralie et Charlotte

Stéphanie et Benjamin

Géraldine et Valérie

Manon et Victor

Barbara, Flavie, Laure et Marine

Antoine, Karine, Kathelyne et Ludovic

Aurélie et Pierre

Olivier et Paulo

Pascal et Saadia Fatibat et ses Playboy-bat (First)

JANVIER 2010

qu’il ne fallait pas rater

s’invite au FIRST

Freesh International : 04 78 89 90 16

(dj résident du Coyotte)

CLUB / GARE DES BR OTTEAUX 13/14 Place Jules FERRY 6 9 0 0 6 LY O N Te l . 0 4 3 7 2 4 1 9 4 6

CARNETin

monda LES NAISSANCES

ANNIVERSAIRE LES 90 PRINTEMPS DE GEORGES PITHIOUD Arrivé comme tous les matins à 6h15 pour sa séance gymnique quotidienne, quelle n’a pas été la surprise de Georges Pithioud en voyant débarquer deux heures plus tard au centre Vendôme les plus ﬁdèles des membres du Club Privilège, réunis par Pierre Orsi et Georges Halatas pour fêter ses 90 ans…

29/11/2009 Hugo chez Caroline et Tom Grégoire

02/01/2010 Quitterie chez Marie et Arnaud Bernollin-Rigaud

MARIAGE

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05/12/2009 Sophie Aubert et Patrick Baillot Laurianne Bonnet et Thibaut Bressand

12/12/2009 Delphine Caniez et Thierry Franc

19/12/2009 Soukaina Kheikeddine et Othmane Touzani Idrissi

31/12/2009 Marine Palayer et Tony Scappaticci

Le 19 décembre, Gérard Kriter, fondateur des magasins d'électroménager MDA, a fêté son mariage avec Catherine dans le cadre tout en pierres du restaurant « Au Goût du Jour » de Vaise.

Petit déjeuner surprise au Centre Vendôme

Toutes les photos sur www.lyonpeople.com rubrique Les Fêtes

LES DISPARITIONS Dans nos intentions de prière Pierree Roiret, ancien PDG de l’entreprisee éponyme, ancien président de laa Foire de Lyon et responsable dess illuminations du 8 décembre. Sess obsèques ont été célébrées en l’église Saint Nizier dont il était un ﬁdèle paroissien. L’équipe de Lyonpeople présente ses sincères condoléances à sa familles et à ses proches.

Le professeur Bruno Gignoux, Jean Malet et Bruno Tedesco

Une Alfa Roméo miniature pour Monsieur Georges tout feu, tout ﬂamme

NOMINATIONS

MESSE POUR LOUIS XVI L’Association Présence du Souvenir Bourbonien en Lyonnais, Forez et Beaujolais, comme chaque a année, fera célébrer une messe en s souvenir de Louis XVI et pour la France. S S.A.R le Prince Rémy de Bourbon P Parme se déplacera à Lyon pour cet o ce. A l’occasion de cette messe, ofﬁ n nous prierons pour le couple princier, M Monseigneur le Prince Louis de Bourbon et sa famille, notamment s père, le Prince Alphonse II de son Bourbon, dont nous fêterons la 21ème année de sa disparition.

Le docteur Joël Sarkissian, Michel Smans et Maître André Soulier « Les femmes du président » dixit Christian Philip

Le professeur Guy Catrix, le professeur Philippe Neyret et Pierre Orsi

Le professeur Philippe Neyret, Georges Pithioud, Georges Halatas, André Soulier et Christian Philip

Maître Alain Jakubowicz, Bernard Rascle, Jacques Mottard (Sword) et Pierre Gachet

Christophe Dassonville, Georges Pithioud, Denis Breton et Pierre Rivoire

Maitre Bruno Alart, Georges Pithioud, Guy Beranger, Jacques Mottard et Guiguina

Georges Halatas, Georges Pithioud et Gérard Collomb

Samedi 23 janvier 2010 à 10h30, en l’église Saint-Pothin - Lyon 6ème

JANVIER 2010

Envoyez vos faire-part, photos et avis de recherche à Lyonpeople.com – BP 6171 – 69469 Lyon Cedex 06 et par mail : mariage@lyonpeople.com

Damien Gouy Perret, ancien journaliste du Progrès et responsable com de l'OPAC du Rhône vient de prendre le poste d'attaché parlementaire de Dominique Perben. ■ ■ ■ A l'issue du premier tour de scrutin organisé le 17 décembre, André Tiran a été élu président de l'Université Lumière Lyon II par le conseil d'administration restreint aux membres élus. Il a pris ses fonctions le 1er janvier 2010. ■ ■ ■

MAIER HAUTE HORLOGERIE

Ventes Exceptionnelles du vendredi 8 au samedi 16 janvier 2010 de 10h15 à 18h45

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