Entretien avec l'éditeur
Philippe Schweyer
Propos recueillis par Nicolas Querci
Photo : Pascal Bastien, 2024
À l’origine, vous avez créé Médiapop en 2008
pour publier le magazine culturel Novo . Comment en êtes-vous arrivé à publier des livres ?
Le passage du magazine aux livres s’est fait progressivement, presque naturellement. Je travaillais avec un graphiste talentueux et des imprimeurs, j’étais entouré de photographes, d’artistes et de rédacteurs. Le magazine était distribué dans l’est de la France. J’ai eu envie de dépasser cette zone géographique pour toucher des lecteurs dans tout le pays, voire au-delà. Quoi de mieux qu’un livre pour cela ? Grâce à R-diffusion, un diffuseur-distributeur artisanal installé à Strasbourg, Médiapop a pu très vite être distribué dans des librairies aux quatre coins du pays. C’était magique de vendre un livre à Toulouse, Nantes ou Marseille !
Que connaissiez-vous alors du métier d’éditeur ?
Pas grand-chose, évidemment. J’avais eu la chance d’interviewer deux éditeurs sans me douter une seconde que je deviendrais éditeur à mon tour. Il s’agissait d’Hubert Nyssen, le fondateur des éditions Actes Sud, et de Gérard Berréby, le patron des éditions Allia. J’aurais pu tomber plus mal ! Quand j’ai commencé à éditer des livres, j’ai repensé à ce que m’avait dit Gérard Berréby et ça m’a été très utile. Sans lui, j’aurais peut-être davantage écouté certains conseils, davantage cherché à imiter les autres éditeurs. Grâce à lui, je sais qu’il ne faut faire qu’une chose : suivre sa voie, creuser son sillon, se démarquer, maîtriser les coûts et préserver à tout prix son indépendance.
Vous vous intéressez aux biographies et aux mémoires d’éditeurs. Est-ce que certains d’entre eux vous ont inspiré ? Ou est-ce que c’est venu plus tard, en pratiquant le métier ?
Ce n’est qu’assez récemment que j’ai commencé à lire des mémoires d’éditeurs, plutôt que des biographies. Ce qui m’intéresse, c’est la réalité économique (les échecs sont souvent plus intéressants que les succès) et les rapports compliqués ou pas avec les auteurs. Je vous conseille Endetté comme une mule d’Éric Losfeld publié chez Tristram. C’est rassurant de découvrir que je ne suis pas le premier éditeur obligé de jongler avec les factures pour pouvoir continuer à publier des livres. Parfois j’ai l’impression d’être un joueur au casino prêt à tout miser pour décrocher le gros lot. En fait, même si je suis presque toujours trop optimiste quand je décide du tirage d’un livre, je n’ai jamais publié de livre en pensant qu’il allait être un best-seller.
Pourquoi avoir créé deux collections distinctes, « Sublime » et « Ailleurs » ?
J’ai commencé par créer la collection « Sublime » pour éditer des livres autour de la musique. Pendant quelques mois, j’avais ce nom en tête pour le magazine qui a fini par s’appeler Novo. Alors que je ne pensais vraiment qu’à éditer une petite collection de livres autour de la musique à côté de mes autres activités, Cloé Korman, qui venait de recevoir le prix du Livre Inter, m’a contacté pour un projet avec des lycéens de La Courneuve. Plutôt que de faire un magazine ou un journal, je l’ai convaincue qu’il fallait faire un livre. Comme ça ne rentrait pas dans la collection « Sublime », j’ai décidé d’en créer une
deuxième. Je l’ai nommée « Ailleurs » parce que là aussi j’avais eu envie pendant quelque temps de créer un magazine qui s’appellerait comme ça et qui parlerait des gens qui viennent d’ailleurs. Avec le temps, je me suis rendu compte que j’aurais mieux fait de me contenter de faire des livres « Médiapop ». C’est déjà suffisamment compliqué de se faire connaître quand on est un petit éditeur. Surtout, je me suis aperçu que je n’étais pas fait pour éditer des livres qui rentrent dans une collection. Je préfère rester ouvert à toutes sortes de propositions. Passer d’un livre de nouvelles à un livre photo, puis à un livre avec des textes écrits par des détenus ou à un livre d’entretiens.
Comment définiriez-vous la ligne éditoriale de Médiapop ?
Je dirais que Médiapop est un petit éditeur généraliste. La ligne éditoriale de Médiapop découle de mes rencontres.
Comment a évolué la ligne graphique de vos livres, et pourquoi avoir choisi un format 12 × 18, proche du poche ?
J’ai toujours aimé et acheté des livres de poche davantage que des grands formats. J’aimais beaucoup la collection « 10/18 » dirigée par Christian Bourgois. J’ai gardé le 18 pour la hauteur et rajouté un peu de largeur pour disposer d’une surface plus grande. C’est un format que j’aime toujours, même si sur les tables des librairies il est un peu trop petit. Ce qui me plaît surtout, c’est d’avoir édité plus de cent livres qui ont le même format. C’est pratique pour le rangement sur les étagères et aussi dans les cartons.
Chaque livre au format 12 x 18 est numéroté. En 2021, j’ai décidé d’écrire « Médiapop » sur le dos à la place de « Sublime » et « Ailleurs » et j’ai fusionné les numérotations. Plus sérieusement, ce format proche du poche permet de limiter les frais d’impression et de vendre des livres pas trop chers. J’ai vraiment envie que le prix de vente ne soit pas un frein. À noter qu’à côté de ces livres, j’ai publié beaucoup de livres hors collection, parfois beaucoup plus grands.
Comment est-ce que vous établissez votre programme de publications ?
Au début, j’enchaînais les publications en fonction des rencontres, des manuscrits reçus et des opportunités sans vraiment respecter les délais nécessaires au diffuseur pour bien préparer la sortie en librairie. Depuis, j’ai appris à bâtir un programme à l’avance, même si j’ai encore un peu de mal à anticiper. J’ai aussi des auteurs qui me promettent de respecter des délais et qui n’y arrivent pas. C’est très compliqué pour moi, de travailler sur des livres qui ne paraîtront qu’un an plus tard. L’idée, c’est de publier moins de livres chaque année et de mieux les répartir. Si j’arrivais à ne publier qu’un livre par mois, cela me permettrait de mieux les défendre.
Vous recevez beaucoup de manuscrits ? A-t-on déjà menacé de vous casser la figure parce que vous ne répondiez pas assez vite aux auteurs qui vous envoient des textes ?
Je reçois beaucoup plus de manuscrits que je ne suis capable d’en lire. À peu près 250 par an. La plupart par mail et de moins en moins par la poste. Dans la plupart des cas, je préviens les auteurs que je
suis débordé et qu’il n’est pas inutile de me relancer de temps en temps. Je ne me suis pas fait casser la gueule, mais j’ai parfois affaire à des auteurs coriaces qui ne lâchent pas facilement le morceau. Avec le temps, j’ai appris à dire non, mais ce n’est jamais facile.
Quels rapports entretenez-vous avec vos auteurs ?
Souvent des rapports très amicaux. La plupart du temps en gardant une certaine distance. Comme la plupart des auteurs que je publie n’habitent pas à Mulhouse, ces amitiés sont surtout téléphoniques ou via des échanges de mails. Je reçois parfois des cartes postales, mais pas assez souvent à mon goût. J’essaye d’être fidèle aux auteurs que je publie. Au début c’était facile, mais ça devient de plus en plus compliqué vu le nombre d’auteurs déjà publiés.
Bernard Plossu, Ayline Olukman, Anne Immelé, Pascal Bastien, etc. : votre catalogue accorde une grande place à la photographie. C’est le reflet d’un goût personnel ?
Oui, je me suis beaucoup intéressé à la photographie avant de commencer à éditer des livres. J’ai participé à un projet de création d’un centre de la photographie de paysage, fait des stages au service photo du journal Libération et aux Rencontres d’Arles alors que j’étais attaché de conservation du patrimoine à la mairie de Rochefort. J’ai découvert les photographies de Bernard Plossu à Arles et des années plus tard lorsque j’ai eu l’occasion de le rencontrer pour le magazine Novo, j’ai saisi ma chance en lui proposant de publier un livre avec ses
photos de jeunesse. C’est ce livre, Far Out !, qui m’a donné confiance et qui a donné l’idée à pas mal de photographes de s’adresser à Médiapop.
Votre catalogue est aussi très tourné vers la musique et le cinéma…
Oui, mon intérêt pour la musique et le cinéma est plus ancien et plus fort que mon intérêt pour la photographie. Publier un livre sur Truffaut, la correspondance de Sam Shepard, un texte de Dominique A ou un entretien avec Miossec, c’est comme accomplir des rêves de jeunesse.
On y retrouve également une forte dimension sociale. En quoi est-ce important pour vous ?
Quand je publie le récit d’un jeune Afghan qui arrive en France après avoir traversé l’Iran, la Turquie, la Grèce, l’Italie, j’ai l’impression que ce que je fais a du sens. J’ai ressenti la même chose en publiant les textes écrits par des lycéens de La Courneuve ou des livres sur la prison.
Vous persistez dans les collections, avec la création, en 2021, du « Club des écrivains ». D’où vient cette idée de faire écrire des auteurs sur le club de foot qu’ils supportent ?
L’idée est venue en échangeant avec Christophe Fourvel qui est écrivain et grand supporter de l’Olympique de Marseille. D’ailleurs, je l’ai nommé directeur de collection. Pour moi qui ne m’intéresse plus beaucoup au foot, cette collection me ramène un peu en enfance, à l’époque où je rêvais d’être footballeur professionnel en jouant si possible dans l’équipe de Saint-Étienne.
Plus récemment, vous vous êtes lancé dans les livres d’entretien (Christophe Miossec, Philippe Djian, etc.). Pourquoi ce choix ?
Publier des livres d’entretien est le prolongement naturel de ce que l’on propose dans chaque numéro du magazine Novo. J’ai toujours aimé lire de longs entretiens avec des créateurs, des musiciens, des cinéastes, des écrivains dans Les Inrockuptibles ou les Cahiers du Cinéma par exemple. Je suis également très friand des longs entretiens publiés par la Paris Review. Approcher la réalité du travail d’un créateur m’a toujours passionné.
Chroniques des années d’amour et d’imposture, Les Années vertes, En attendant l’an 2000, Mort d’un philosophe … Autant de beaux romans qui ont touché un public très confidentiel. La littérature est plus dure à vendre quand on est un petit éditeur mulhousien ?
Oui, c’est plus facile de vendre des livres avec une thématique que de la littérature. Je ne désespère pas d’y arriver, mais réussir à convaincre un lecteur d’acheter un roman d’un auteur qu’il ne connaît pas, de surcroît publié par un éditeur qu’il ne connaît pas, c’est malheureusement très compliqué.
Vous publiez aussi pas mal de livres en lien avec Mulhouse ou l’Alsace. Vous ne craignez pas d’être étiqueté « éditeur régionaliste » ?
Ce n’était pas du tout mon idée au départ, mais je me rends compte qu’il y a de beaux projets et un public pour les livres qui s’intéressent à l’histoire de Mulhouse. Je n’ai pas tellement de concurrence à
Mulhouse, donc c’est difficile de refuser et ce sont souvent des livres qui se vendent bien.
Quels sont les plus grands « succès » de la maison ?
Îles grecques, mon amour de Philippe Lutz (avec des photographies de Bernard Plossu) a reçu le Grand prix du livre insulaire à Ouessant et a été réimprimé plusieurs fois. J’ai vendu des quantités folles de Déjeuner chez Jojo après le passage de Johanna Kaufmann sur France Inter. Le petit livre de Dominique Ané (Dominique A), Fleurs plantées par Philippe, s’est très bien vendu également.
Votre bureau mulhousien est envahi de cartons de livres… Vous n’avez jamais rêvé qu’ils s’écroulaient sur vous ?
Je ne me souviens pas de mes rêves, mais ça serait une belle fin de mourir enseveli sous un tas de livres Médiapop.
En 2024, vous changez de diffuseur-distributeur pour passer chez Harmonia Mundi Livre. Que peut vous apporter ce changement ?
C’est une nouvelle étape après six ans chez R-diffusion puis six ans chez CED et Belles Lettres. Je n’ai plus l’âge de croire aux miracles, mais je me dis que grâce aux équipes d’Harmonia Mundi, Médiapop sera peut-être mieux identifié et défendu par les libraires qui sont le chaînon le plus important entre les lecteurs et Médiapop.
Vous vous sentez pleinement légitime en tant qu’éditeur, aujourd’hui ?
Un petit peu plus légitime qu’il y a quinze ans, mais j’ai pleinement conscience que j’ai encore presque tout à apprendre.
Est-ce que votre rapport au livre, au texte, à l’objet, a changé depuis que vous faites ce métier ? Notamment quand vous rentrez dans une librairie ?
Quand je rentre dans une librairie, je commence par chercher où peuvent bien se planquer les livres Médiapop. Si j’en vois quelques-uns, je me sens nettement mieux ! Je fais sans doute plus attention à la fabrication (papier, reliure…) qu’avant, mais j’ai toujours été très sensible aux couvertures. Les couvertures sont comme les pochettes des disques vinyles. Je suis incapable d’acheter un livre si l’objet ne me plaît pas. J’essaye d’être plus curieux, de m’intéresser à des petits éditeurs que je ne connais pas, mais j’ai encore tendance à faire confiance à certains éditeurs que j’aime bien.
Que peut-on souhaiter à Médiapop pour les années à venir ? Comment voyez-vous l’avenir pour votre maison ?
Il y a quinze ans j’aurais été incapable de prédire tout ce qui s’est passé depuis pour Médiapop. Aujourd’hui, j’aimerais vendre un peu plus d’exemplaires de chaque livre, écouler les stocks et continuer à faire de beaux livres avec de belles personnes.
Quinze livres inclassables parus chez Médiapop
Sam Shepard & Johnny Dark
Correspondance
1972-2011
Traduit de l’anglais (ÉtatsUnis) par Dominique Falkner Présenté par Chad Hammett
« Ils n’en reviennent pas. Comment se sont-ils entendus aussi longtemps ? Montaigne et La Boétie, à côté, c’est de la gnognote. »
Éric Neuhoff, Le Figaro, 31 mars 2022
« L’extraordinaire correspondance entre Sam Shepard et son ami Johnny Dark s’appelait Two Prospectors dans l’original, mais c’est le lecteur qui se sent orpailleur. Non seulement les lettres documentent l’agitation foncière de l’auteurdramaturge plombé par son image (le “Gary Cooper des lettres américaines”), mais les circonstances de leur publication constituent une histoire en elle-même… »
Philippe Garnier, Libération, 12 mars 2022
Hors collection 432 p. / 29 € / 2022 978-2-491436-52-0
f ar o ut !
les années Hip : Haight-Ashbury, Big Sur, India, Goa Bernard plossu
Bernard Plossu
Far Out !
Les années Hip : HaightAshbury, Big Sur, India, Goa
« Entre amitié et liberté, peace and love, Plossu évoque le sortilège de ces années patchouli, avant son départ pour l’Inde en 1970 (…). Plus qu’un grenier à souvenirs, Far Out! s’essaie à rassembler des bouts du monde et “des rencontres d’âmes”, ainsi que le dit joliment l’auteur. »
Brigitte Ollier, Libération, 9 juillet 2011
« Un brin naïf, mais sincère. »
Stéphane Brasca, De l’air, hiver 2011
Philippe Lutz
Îles grecques, mon amour
Photographies de Bernard Plossu
« Au fil de 256 pages de cet ouvrage richement illustré par le photographe Bernard Plossu, Philippe Lutz nous fait partager sa passion pour les îles de la mer É gée. Le lecteur voyage d’île en île, découvrant tour à tour leur histoire plurimillénaire, la richesse de leur culture et la beauté de leurs paysages, dévoilant les différents visages d’une Grèce aussi riche que mystérieuse. »
Jacques Lindecker, L’Alsace, 21 octobre 2012
Îles grecques, mon amour a obtenu le Grand Prix du Livre Insulaire 2013 à Ouessant
Collection : Ailleurs 288 p. / 18 € / 2012 978-2-918932-11-6
Abdulmalik Faizi, Frédérique Meichler et Bearboz Je peux écrire mon histoire
Itinéraire d’un jeune Afghan, de Kaboul à Mulhouse
« Abdulmalik a connu la guerre, les talibans, et a grandi avec “cette menace permanente”. Bien qu’il reconnaisse avoir vécu “des temps très durs” en Afghanistan, il raconte à présent : “Je n’ai jamais pensé que je quitterais un jour mon pays”. C’est pourtant depuis la France, où il a élu domicile, qu’il livre le témoignage de son exil, sous la plume de la journaliste Frédérique Meichler. »
Elsa Maudet, Actualités sociales hebdomadaires n° 2863, 2014
Collection : Ailleurs 192 p. / 16 € / 2014 978-2-918932-26-0
Les grands turbulents
Portraits
Présenté par nicole Marchand-Zañartu
Présenté par Nicole Marchand-Zañartu
Les Grands Turbulents
Portraits de groupes 1880-1980
« C’est par un biais a priori peu subversif que les auteurs des Grands Turbulents abordent un siècle d’avant-gardes artistiques : les photos de groupe. »
Frédérique Fanchette, Libération, 31 janvier 2019
« Honneur aux excentriques. Aux excentrés.
À ceux qui se trouvent dans la marge et narguent les valeurs en place. Il est embellissant de fréquenter les dédaigneux du sens commun, les arpenteurs hors-piste : que leurs écarts soient retentissants ou discrets, ils ouvrent des perspectives, ils faussent les rails du sens unique. »
Évelyne Pieiller, Le Monde diplomatique, novembre 2019
Christophe Fourvel
Chroniques des années d’amour et d’imposture
Roman
« Ceci n’est pas le premier roman de son auteur, qui a dépassé la cinquantaine et la quinzaine d’ouvrages publiés – dont certains pour enfants. Mais on est prêt à parier que c’est le meilleur. (…) Au début, ça se donne des airs d’autofiction paresseuse pour vous laisser, quatre cent cinquante pages plus loin, avec un kaléidoscope de sentiments variés, de jeunesses enfuies, de désillusions politiques ; mais aussi de séries américaines vintage, de vignettes Panini, de citations de Boris Pasternak… »
François Gorin, Télérama, mai 2019
Collection : Ailleurs
464 p. / 18 € / 2019
978-2-918932-82-6
Philippe
Ané
« C’est un livre court mais intense, rédigé par un chanteur majuscule sur un artiste torturé (…) »
Franck Vergeade, Les Inrockuptibles, septembre 2020
« Avec sobriété et délicatesse, celui qu’on connaît sous le nom de Dominique A évoque son rapport à la musique, aux textes, à la silhouette anguleuse du charismatique Rennais qui, après l’incandescence post-punk de Marquis de Sade, l’avait marqué, lui, le jeune Nantais, grâce aux élans romantiques du groupe Marc Seberg fondé par Pascal. »
Stéphane Davet, Le Monde, 8 avril 2021
En attendant l’an 2000
En attendant l’an 2000
Roman
« Un tee-shirt, une Fender Stratocaster… À l’aube de l’an 2000, ces petits riens vont bouleverser irrémédiablement trois destinées. »
Denis Roulleau, Rolling Stone, janvier 2021
« Ce roman à la fois pessimiste et joyeux, foisonnant de détails réalistes, raconte une époque révolue – quand le rock était souvent l’unique marqueur d’identité et d’appartenance pour la jeunesse et le seul excitant des adolescences ennuyeuses – mais aussi un monde qui change et son point de bascule. »
Virginie François, Le Monde, 24 décembre 2021
Catherine Humbert
Conçu et présenté par Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois
L’amitié dans tous ses états
Correspondances
« On doit à Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois la conception de cet ouvrage chatoyant. Les auteurs sont nombreux, leurs tons diffèrent et leurs voix s’entremêlent à celles des épistoliers dont ils nous parlent. Ce sont des rapports de lecture aux tons variés ; académiques, humoristiques, poétiques, par exemple. À divers titres, soit en spécialistes, soit en adeptes, soit en touristes, chaque auteur explore la correspondance entre deux personnalités ayant un lien amical. Ce lien est même le centre de leurs échanges de lettres. Échanges donnant lieu à un corpus de commentaires. Cela crée un livre tout aussi riche que léger. »
Gaëlle Obiégly, Fondation La Poste, mars 2024
Hors collection 212 p. / 20 € / 2024 978-2-491436-84-1
François Truffaut en 24 images/seconde
Anne Terral
François Truffaut en 24 images/seconde
« Par petites touches impressionnistes, Anne Terral se fait correspondante, confidente, s’imagine soudain membre de la famille Truffaut ou de son équipe technique pour raconter le manque d’amour de l’enfance, les doutes de l’adolescence et le besoin inaltérable de plaire qui habitait le cinéaste et l’homme. Tout est rêvé, mais rien n’est faux, et le cinéma paraît, 24 chapitres durant, plus important que la vie. »
Le Courrier Art et Essai, septembre 2022
Anne Terral
Éditeurs de notre temps
Entretiens réalisés par Nicolas Querci
Nicolas Querci
Éditeurs de notre temps
Entretiens
« Le plaisir, avec les entretiens, c’est qu’ils font entendre les voix. Celles-ci émanent de huit maisons d’édition francophones (Tristram, Zoé, Allia, L’Olivier, Zulma, Finitude, Corti, La Contre Allée) que Nicolas Querci a rencontrées entre juin 2021 et décembre 2022 pour le magazine du Grand Est, Novo. Leurs éditeurs parlent du choix d’un manuscrit, du travail sur le texte, de graphisme et de fabrication, de la cuisine éditoriale et commerciale… »
Fédérique Roussel, Libération, 25 juin 2023
Nicolas Bézard
Philippe Djian, l’incendiaire
Entretien
« Comment choisit-il les prénoms, en quoi le cadre familial est-il intéressant à exploiter, de quelle manière commence-t-il ses livres ? À toutes ces questions Philippe Djian répond au cours de l’entretien avec allant et simplicité. Il tacle volontiers. Sur Éric-Emmanuel Schmitt : “Je suis allé voir ce qu’il fait et je me pose la question : comment des écrivains comme lui peuvent-ils siéger au Goncourt ?” (…) Sur l’ardoise de ses admirations il liste aussi plein de noms : Jonathan Franzen, Bret Easton Ellis, Philip Roth, Gabriel Tallent. »
Claire Devarieux, Libération, 16 mars 2024
Grégoire Laville
Miossec.
Boire et Simplifier, la grande boucle
Entretien
Préface de JD Beauvallet
Photographies de Richard Dumas
« Au fil des pages, Miossec se raconte au journaliste Grégoire Laville, évoquant, comme le titre du livre l’indique, les liens entre son retentissant premier album et le récent Simplifier, mais aussi son enfance, sa jeunesse, sa famille, la scène, l’écriture, ses influences, sa ville natale de Brest… Ou comment boucler la boucle par l’auteur du Critérium. »
Franck Vergeade, Les Inrockuptibles, novembre 2023
Collection : Sublime 88 p. / 12 € / 2023 978-2-491436-77-3
Odile Kammerer, Bernard Jacqué et Marie-Claire Vitoux
Nouvelle histoire de Mulhouse
« Synthèse de leur vie de chercheurs, l’ouvrage puise plus largement dans cinq décennies de renouveau scientifique et dévoile des perspectives inédites. À commencer par la destinée de la ville, intimement liée à la maîtrise de l’eau. Richement illustré, exigeant et accessible au grand public, le livre s’appuie sur des cartes originales qui éclairent le cours de l’histoire. »
Romain Gascon, Les Saisons d’Alsace, août 2023
Sam Guillerand
Rock the Citadelle
Une histoire orale et visuelle du rock et des cultures alternatives à Besançon
« À la lecture, tout cela s’imbrique à merveille, comme si on reconstituait, pièce à pièce, les contours d’un immense puzzle. D’entretien en entretien, les éléments se confirment. Les récits personnels se répondent, se complètent avec une résonance interne que l’auteur semble cultiver à dessein. »
Emmanuel Abela, Novo, mars 2023
« Au fil des entretiens, c’est aussi le portrait d’une ville moyenne et d’une société en évolution qui se dessine. En cela, le livre ne s’adresse pas qu’à un lectorat bisontin. »
Ladislas René, Sparse, mars 2023
Hors collection 440 p. / 39 € / 2023
978-2-491436-62-9
Les 15 premières années d’une petite maison d’édition au xxie siècle
Collection Sublime
Collection Ailleurs
Collection Le club de écrivains
Hors collection
2009
2 About Rock, Sex and Cities. Henri Walliser et Denis Scheubel. 96p. 9 €.
2011
3 Far Out! Les années Hip : Haight-Ashbury, Big Sur, India, Goa. Bernard Plossu. 160 p. 15 €.
1 La Courneuve, mémoires vives. Les élèves du Lycée
Jacques Brel, Chloé Korman et Solène Nicolas. 144 p. 15 €.
4 Songs to learn and sing. Vincent Vanoli. 96 p. 11 €.
2 Raqa. L’histoire n’est encore qu’un regard d’enfant. Christophe Fourvel. 48 p. 9 €.
2012
5 De Buffalo Bill à Automo Bill. Bernard Plossu et David Le Breton. 96 p. 16 €.
6 Small Eternity. Ayline Olukman. 112 p. 10 €.
7 La faute aux dinosaures. Anthony Ghilas. 48 p. 8 €.
Radio Dijon Campus 30 ans, une expérience culturelle. 320 p. 20 €.
3 Îles grecques, mon amour. Philippe Lutz. Photographies de Bernard Plossu. 288 p. 18 €.
8 Funky Boy. Yves Tenret. 112 p. 12 €.
2013
4 Un même moment d’existence. Geneviève Pernin. Photographies de Lin Delpierre. 88 p. 12 €.
— Journées du patrimoine écrit. Patrimoine écrit et territoires. 176 p. 18 €.
5 L’amour de la marche. Philippe Lutz. Photographies de Bernard Plossu. 216 p. 16 €.
6 Comme neige au soleil. Pascal Bastien. 176 p. 15 €.
7 Le lieu du monde. Nathalie Sonntag. 144 p. 14 €.
8 Berlin 2005. Jean-Christophe Bailly et Bernard Plossu. 124 p. 15 €.
2014
— On dirait le Sud. Bernard Plossu. 32 p. 5 €.
9 Fourt Yves Tenret. 128 p. 13 €. Peau et truie. Anne Zimmermann. 120 p. 12 €.
10 Je peux écrire mon histoire. Abdulmalik Faizi, Frédérique Meichler. Illustrations de Bearboz. 192 p. 16 €.
10 Hommage à Daniel Darc : Le Saut de l’Ange. 272 p. 25 €.
12 En chemin vers Saint-Guilhem. Philippe Lutz. 216 p. 17 €.
11 Traqueuse de fantômes. Laure Vasconi. Préface de Serge Kaganski. 64 p. 15 €.
— Femmes du Gourara. Françoise Saur. 144 p. 38 €.
11 Du thé et des sourires. Francis Kauffmann. Préface de Bernard Plossu. 112 p. 12 €.
9 De la futilité et autres nuits rapportées. Michel Collet et Matthieu Messagier. 80 p. 12 €. diverCité. Luc Georges et Bernard Jacqué. 76 p. 15 €.
2015
12 Faire Dépression. Yves Tenret. 272 p. 18 €.
13 America. Ayline Olukman. Préface de Hélène Gaudy. 256 p. 20 €.
14 Constellations photographiques. Anne Immelé. 128 p. 16 €.
13 Monument. Bernard Heizmann. 80 p. 12 €.
— Pages de mémoire. Bernard Plossu et Alberto Manguel. 74 p. 20 €.
Sept jours à Calais. Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges. 128 p. 15 €.
14 Méditations westernosophiques. Marc Rosmini. 224 p. 15 €.
15 Before Instagram. Philip Anstett et Daniel Carrot. 384 p. 20 €.
17 1, 2, 3… Istanbul ! Bekir Aysan. 144 p. 13 €.
15 La photo du jour. Philippe Lutz. Préface de Éric Franceschi. 212 p. 19 €.
16 Aujourd’hui, c’est toujours maintenant ? Pascal Bastien. 208 p. 15 €.
18 Tisseuses de fraternité. Frédérique Meichler. Photographies de Darek Szuster. 176 p. 12 €.
2016
A Taste For Mulhouse. Martin Parr. 32 p. 10 €.
19 Aux frontières de l’oubli. Baptiste Cogitore. 214 p. 17 €.
— Terre aimée. Un voyage en Inde par la route Laurent Brunet. 136 p. 12 €.
20 La liste. La collection Samuel-Weis d’art contemporain. David Cascaro. Photographies de Anne Immelé. 144 p. 17 €. 1964. Kai Pohl (traduit de l’allemand par Bernard Umbrecht). 64 p. 7 €.
— Egotrip collectif. 25 ans de rap à Mulhouse. Sylvain Freyburger et Christophe Schmitt. 192 p. 12 €
12 En chemin vers Saint-Guilhem (nouvelle édition). Philippe Lutz. 216 p. 17 €.
22 Du paradis. Philippe Lutz. 176 p. 14 €.
2017
23 Les années Combi. Françoise Saur. 144 p. 16 €.
— La dérive du continent. Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges. Préface de Thierry Kuhn, président d’Emmaüs France. 256 p. 22 €.
18 Fantômes de la renommée (ghosts of fame). Antoine Couder. Préface de Rodolphe Burger. 256 p. 18 €.
19 Go. Alice Durel. 160 p. 13 €.
25 Notre héritage n’est précédé d’aucun testament. Véronique Arnold. Préface de Carole Widmaier. 48 p. 12 €.
20 Mon AVC. Yves Tenret. 112 p. 12 €. Rose Sarajevo. Marianne Maric. 10 cartes postales. 10 €.
2018
26 À vélo. Bernard Plossu et David Le Breton. 112 p. 12 €.
— Les sentiments de l’été. Pascal Bastien. 36 p. 17 €.
27 Lebensformen (Formes de vie) Janine Bächle. 96 p. 14 €.
29 Dans la peau d’une poupée noire. Biographies imaginaires des poupées de la collection Deborah Neff. Par les élèves du collège Jean-Pierre Timbaud à Bobigny. Avant-propos et direction d’ouvrage Nora Philippe et Cloé Korman. Photographies des auteurs : Géraldine Aresteanu. 112 p. 10 €.
21 Les Grands Turbulents. Portraits de groupes 1880-1980. Présenté par Nicole Marchand-Zañartu. 288 p. 18 €.
Journal de guère. Daniel Carrot. 64 p. 10 €.
2019
28 L’homme qui aimait les livres. Philippe Lutz. 152 p. 14 €.
24 L’École de rame. Nicolas Decoud. 384 p. 18 €.
22 Let go. Chloé Mons. 96 p. 10 €.
29 Chroniques des années d’amour et d’imposture. Christophe Fourvel. 464 p. 18 €.
— Belle lurette. Pascal Bastien. 44 p. 20 €.
31 We are the universe. Véronique Arnold. 100 p. 12 €. Trop bête pour toi ! Florence Andoka. 28 p. 5 €
— L’impasse. Éric Chabauty, Pierre Freyburger et Luc Georges. Avant-propos de Cédric Herrou, président de la première communauté paysanne Emmaüs de France. 208 p. 22 €.
33 Des vies normales. Par les élèves du Microlycée de SeineSaint-Denis. 176 p. 10 €.
25 About jeans. Kiki DeGonzag et Henri Walliser. 184 p. 15 €.
— La mue. Ayline Olukman (photographies, collages et textes) et Emmanuel Abela (textes). 140 p. 30 €
23 L’année de tous les baisers. Yves Tenret. 160 p. 13 €.
32 Bernard Plossu : Marcher la photographie. David Le Breton. 112 p. 10 €.
37 Dedici, plaidoyer pour le pouvoir d’agir des personnes vulnérables. La défense ultime, permettre au plus faible d’être l’égal des autres. Jean-Luc Lemoine et Frédérique Meichler. 88 p. 7 €.
35 Ode au corps tant de fois caressé. Christophe Fourvel. 32 p. 10 €.
— Faces Of Sound, rendez-vous photographiques. Delphine Ghosarossian. 124 p. 30 €.
34 L’hiver dure 90 jours. Claire Audhuy. 120 p. 10 €.
24 Le livre de Vivian 1962-1980. Preuves et traces. Alexandre Bergamini. 144 p. 16 €.
2020
— Musée de l’Impression sur étoffes de Mulhouse. Autopsie d’un pillage. Pierre Freyburger. 152 p. 12 €.
Le dernier jour où j’étais petite. Mounia Raoui. 64 p. 10 €.
26 Le jour où les Beatles se sont séparés. Hugues Blineau. 112 p. 13 €.
32 grammes de pensée, essai sur l’imagination graphique. Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois. 152 p. 25 €.
Drôle de printemps. Collectif. 160 p. 10 €.
27 Louise va encore sortir ce soir. François Gorin. 296 p. 15 €. Artistes syriens en exil, œuvres et récits. Syrian Artists in Exile. Dunian al Dahan & Corinne Rondeau. 224 p. 12 €.
Oublie Oublie. Anne Immelé. 128 p. 25 €
— Déjeuner chez Jojo. Johanna Kaufmann. 204 p. 17 €.
— #Prisons. Collectif Walden sous la direction de Jessica Vonderscher. 232 p. 15 €.
28 Le trou. Paul Morris. 128 p. 12 €.
29 Fleurs plantées par Philippe. Dominique Ané. 64 p. 10 €.
30 Jachère. Portrait en mouvement. Chloé Mons. 176 p. 12 €.
Ce sont des bateaux que l’on regarde partir. Christophe Fourvel. 220 p. 12 €.
31 Ciel d’orage. Pierre-Henri Allain. Photographies de Jean Rolland éditées et tirées par Richard Dumas. 160 p. 13 €.
2021
— Nouveau. Nicolas Comment (musique et photographies). Texte de Yannick Haenel. Album vinyle 33T, carte de téléchargement et livret intérieur. 32 p. 37 €.
32 Mexico. Sur les traces des détectives sauvages. Julien Allouf. 180 p. 20 €.
35 Ode au corps tant de fois caressé (nouvelle édition).
Christophe Fourvel. 32 p. 10 €.
41 Isola. Joëlle Varenne. 72 p. 10 €.
33 Vies et morts de John Lennon Hugues Blineau. 80 p. 12 €.
42 Les années vertes. Philippe Lutz. 336 p. 18 €.
43 Mort d’un philosophe. Jean Lauxerois. 224 p. 14 €.
44 Instants confinés. Ouvrage collectif issu d’un atelier d’écriture imaginé par les Bibliothèques de Mulhouse. 128 p. 10 €.
34 Le carnet vert. François Gorin. 128 p. 12 €.
35 One Kiss. Jean-Pierre Cretin et Matthieu Messagier. 224 p. 15 €.
36 Premier jet. Trois contes pour adultes.
Nicolas Decoud. 104 p. 12 €.
37 Manuel à l’usage des femmes à la poitrine trop petite. Bruno Lagabbe. Préface de Jackie Berroyer. 112 p. 14 €.
45 La colo. Marion Muller-Colard. Photographies de Francis Kauffmann. 80 p. 12 €.
3 Far Out! Les années Hip : Haight-Ashbury, Big Sur, India, Goa (nouvelle édition). Bernard Plossu. 160 p. 15 €.
1 On dira qu’on a gagné. Christophe Fourvel. 60 p. 9 €.
2 Geoffroy-Guichard. Le vert paradis des dieux trop humains. Lionel Bourg. 72 p. 9 €.
3 Metz que un club. Stéphane Duchêne. 88 p. 9 €.
— La Société industrielle de Mulhouse. L’intelligence collective depuis 1826 Sous la direction de Régis Boulat et Natacha Pimmel. 96 p. 22 €.
46 Passe-passe. Martine Lombard. 208 p. 14 €.
39 En attendant l’an 2000 Catherine Humbert. 280 p. 17 €.
38 Mendelson. Intégrale (1995-2021). Pascal Bouaziz. 304 p. 15 €.
88 C’est dans la Vallée, 20 ans Collectif (Avant-propos de Rodolphe Burger). 200 p. 20 €.
Elysian Fields. Ayline Olukman. Textes de Ayline Olukman, Cécile Becker, Elsa Flageul et Bertrand Gillig. 224 p. 30 €.
89 Le naufrage d’un musée. Hélène Poizat et Pierre Freyburger. 180 p. 15 €.
90 A Wheel in the Grave (Livre + CD).
Victor Sbrovazzo et Arnaud Diemer. 328 p. 25 €.
Dahovision(s). Sébastien Monod. 382 p. 32 €.
— Un siècle de photographie en Alsace 1839-1939. Philippe Lutz et Christian Kempf. 352 p. 39 €.
2022
Au dodo Petit Pouce. Marie Brignone et Marie Mahler. 32 p. 12 €
91 La peste est partie aux corbeaux… Vivre avec la pandémie au temps des humanistes. Gabriel Braeuner. 80 p. 10 €.
— 40 rue de la Charité. Collectif photographique « l’Oeil qu’On Plisse » (avec un texte de Nicolas Bézard). 176 p. 30 €.
Shooting Covid. Une photographe au cœur de la crise. Catherine Kohler et Laure Peinchina. 264 p. 20 €.
— Schlager club. Laurence Mouillet. 128 p. 40 €.
92 Prises de vie. Françoise Saur. Texte de Nicolas Bézard. 168 p. 16 €.
4 Grandir avec le stade de Reims. Gisèle Bienne. 104 p. 9 €.
5 Des escapades rouge et noir. Jacques Josse. 72 p. 9 €.
6 Ce soir encore Lescure va chanter. François Garcia. 88 p. 9 €.
Tout sauf Hollywood. Mark SaFranko. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Annie Brun. 288 p. 20 €
— Sam Shepard & Johnny Dark. Correspondance 1972-2011 Traduit de l’anglais (États-Unis) par Dominique Falkner.
Présenté par Chad Hammett. 432 p. 29 €.
— D’une table, l’autre. Yves Chaudouët. Texte de Claire Kueny. 128 p. 22 €.
Guebwiller, une histoire. Photogaphies de Dorian Rollin. Préface de Georges Bischoff. 160 p. 25 €.
— Les trente ans du Noumatrouff, scène de musiques actuelles de Mulhouse (1992-2022) Cléo Schweitzer. 132 p. 10 €.
7 Scènes ordinaires de la vie des lions. Malek Abbou. 104 p. 9 €.
8 On ne se rendra pas ! Alexis Weigel. 80 p. 9 €.
Ìn s Bettala Kleiner Düma. Ins Bett Kleiner Daumen (« Au dodo Petit Pouce » en Alsacien et en Allemand).
Marie Brignone et Marie Mahler. 32 p. 10 €.
— 36 Stephen Dock. 52 p. 15 €.
94 Refaire le monde. Cie Kalisto. 120 p. 12 €.
— Jardins du Riesthal. Anne Immelé. Textes Jean-Christophe Bailly et Corinne Maury. 128 p + un tiré à part. 60 €.
L’école de chimie de Mulhouse. L’ingénieuse depuis 1822. Sous la direction de Régis Boulat et Serge Neunlist. 122 p. 25 €.
93 François Truffaut en 24 images/seconde. Anne Terral. 88 p. 10 €.
— L’aventure du ski dans le massif des Vosges
Grégoire Gauchet et Claude Kauffmann. 180 p. 29 €.
2023
— André Gide, aujourd’hui. Collectif. 84 p. 20 €.
Chronique du temps qui passe. Exercices d’admiration.
Nicolas Comment. 308 p. 35 €.
Rock the Citadelle. Une histoire orale et visuelle du rock et des cultures alternatives à Besançon, de la fin des années 1970 à nos jours – Récits et profils. Sam Guillerand. 440 p. 39 €.
98 Garder la rage pendant l’orage. Refaire le monde (2). Cie Kalisto. 80 p. 10 €.
— G’sundheit. Pauline Beck. 100 p. 19 €.
99 Onze voix sous les tilleuls. Carole Martinez. 64 p. 9 €.
9 La patate de Pencran. Nicolas Decoud. 96 p. 9 €.
10 Ciel et Marine Vivian Petit. 120 p. 9 €.
11 Des hommes qui savent footballer. Fred Poulet. 88 p. 9 €.
12 Very Nice. Un enfant du Ray. Bernard Morlino. 104 p. 9 €.
100 William Wyler. De Mulhouse à Hollywood. Pierre-Louis Cereja. 120 p. 10 €.
97 Blason. Nicolas Comment. 48 p. 7 €.
95 Éditeurs de notre temps. Entretiens réalisés par Nicolas Querci. 152 p. 14 €.
96 Miossec. Boire et Simplifier, la grande boucle. Entretien avec Grégoire Laville. Préface de JD Beauvallet. Photographies de Richard Dumas. 88 p. 12 €.
Nouvelle histoire de Mulhouse. Odile Kammerer, Bernard Jacqué et Marie-Claire Vitoux. 384 p. 30 €.
2024
La Filature de Mulhouse. L’audace culturelle. Sous la direction de Marie-Claire Vitoux et Benoit André. 112 p. 20 €.
101 Elle était une fois. Mulhouse en dix contes urbains, intimes et fantastiques. Catherine Verlaguet. Illustrations de Adèle Barbier, Fanny Delqué et Lili Terrana. 160 p. 10 €.
— Luigi Pericle (1916-2001). D’un monde à l’autre. Collectif. 160 p. 25 €.
104 À la fenêtre, le vent. Écrits de prison. Pilotés par Marie Hillenweck (Collectif). 192 p. 12 €.
L’amitié dans tous ses états. Correspondances. Conçu et présenté par Nicole Marchand-Zañartu et Jean Lauxerois. 212 p. 20 €.
102 Philippe Djian, l’incendiaire. Entretien avec Nicolas Bézard. 112 p. 12 €.
103 Renaud Monfourny photographe aux Inrockuptibles. Entretiens avec Sam Guillerand (avec des photographies). 168 p. 15 €.
Sur le Tour Alsace. Portrait d’une petite grande course. Florent Mathern. 96 p. 20 €.
— Nos vies sauvages. Ayline Olukman. Texte de Nicolas Bézard. 176 p. 35 €.
105 Peter Stamm. Écrire est un travail humain. Entretiens avec Nicolas Bézard. 12 €.
Labarthe / Limelight. André S. Labarthe. 256 p. 33 €.
106 Soleil Synthétique. Florence Andoka. 80 p. 9 €.
107 Charles Juliet en son parcours Rencontre avec Rodolphe Barry. 152 p. 16 €.
Spacing. Chloé Mons. 216 p. 19 €.
108 La cauchemar climatisé. Julien Allouf. Textes de Nicolas Mathieu, Neige Sinno et Bernard Plossu. 25 €.
— 100 ans de basket à Mulhouse.
Jean-Luc Monschau et Jean-Laurent Soltner. 30 €.
La poudre d’escampette. Pascal Bastien. 160 p. 18 €.
Amis lecteurs, impossible de résumer quinze ans d’édition en quelques pages. Ce catalogue vous donnera peut-être envie de découvrir les livres édités par Médiapop dans les collections « Sublime », « Ailleurs » et « Le Club des écrivains », mais aussi hors collection. Médiapop existe grâce à une série de belles rencontres, de hasards heureux et de coups de pouce du destin. Pour les quinze prochaines années, Médiapop n’espère qu’une chose : des lecteurs curieux dans un monde plus heureux.
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