Focus Santé

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U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A RT M E D I A

DÉC ’23

SANTÉ

Franck Giovannini

Le chef nous explique comment maintenir l’équilibre nutritionnel en cuisine.

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ÉDITORIAL

FOCUS.SWISS

Corina Wirth

Gardez la santé pendant les Fêtes de fin d’année !

L

’hiver est synonyme de neige scintillante, de feux de cheminée et de festivités chaleureuses.

Pourtant, il peut également être une période où notre santé physique et mentale est mise à l’épreuve.

Les jours plus courts et le froid peuvent rendre difficile le maintien d’un mode de vie sain. Et puis, il y a tous les repas de Noël ! Mais profitons plutôt de cette saison et préservons notre santé, grâce à l’activité physique et à des choix alimentaires judicieux !

Mais rappelons-nous : l’activité physique ne renforce pas seulement les muscles et les os : on sous-estime souvent son importance pour notre santé mentale. De nombreuses études scientifiques prouvent qu’une activité physique régulière a une influence positive sur notre bien-être psychique.

Mais comment rester actif pendant l’hiver ?

Tout d’abord : établissons des objectifs réalisables !

Cela peut être aussi simple que de marcher 30 minutes par jour ou de faire 10 minutes d’exercice à la maison. Voici quelques exemples : •

Restez motivé en groupe : entre amis, bouger est souvent plus marrant que rester tout seul. Partez pour un jogging ou proposez à votre famille une promenade après le repas de Noël. Trouvez un partenaire d’entraînement ou rejoignez des cours collectifs. L’engagement envers d’autres personnes peut nous aider à maintenir notre routine d’exercice.

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Profitez du plein air, de la neige, des quelques rayons de soleil. Pourquoi pas découvrir des nouveaux sports d’hiver ? On peut louer des raquettes ou des skis de fonds aussi pour une journée seulement. La lumière naturelle du soleil

Image iStockphoto/Tom Merton

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Finalement : pourquoi sortir à tout prix ? Vous pouvez également choisir des activités en intérieur. Vous avez pensé à la natation, le yoga, le squash ? Ces options vous permettent de rester au chaud tout en faisant de l’exercice.

Choix alimentaires éclairés pour les Fêtes Ce n’est pas seulement le canapé confortable qui nous attire magiquement pendant les Fêtes, mais aussi la table à manger pleine à craquer. Les Fêtes de fin d’année sont souvent synonymes d’excès culinaires.

Mais les jours raccourcissent, il fait froid dehors - qui ne préfère pas se blottir devant la télévision plutôt que de sortir dans le froid ? Surtout pendant les fêtes de fin d’année, il semble souvent beaucoup plus confortable de papoter en famille sur le canapé et de manger des biscuits de Noël que de sortir et bouger.

Cependant, il est possible de profiter des délices festifs tout en maintenant une alimentation saine. Vous avez besoin de quelques exemples ?

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l’activité physique ne renforce pas seulement les muscles et les os : on sous-estime souvent son importance pour notre santé mentale.

Optez pour des alternatives saines : préparez des versions légères de vos plats préférés en remplaçant certains ingrédients par des alternatives plus saines. Par exemple, utilisez des substituts à base de légumes pour les plats riches en calories.

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Privilégiez les légumes et les fruits : ajoutez des légumes et des fruits frais à votre menu festif. Ils sont riches en nutriments et vous aident à vous sentir rassasié plus rapidement.

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Écoutez votre corps : soyez à l’écoute de vos signaux de faim et de satiété. N’oubliez pas que les Fêtes sont l’occasion de célébrer, mais aussi de prendre soin de votre corps.

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Et finalement : il n’est pas nécessaire d’éviter les friandises des Fêtes. Mais peut-être avec des plus petites portions ? Et mangez lentement pour mieux ressentir la satiété.

©Pierre-Yves Massot

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Santé animale Sources thermales Esprit sain dans un corps sain Interview : Franck Giovannini Prévenir les blessures Dépression hivernale Yannick Tachet

FOCUS SANTÉ.

CHEFFE DE PROJET

LOLA BRIOT

COUNTRY MANAGER

PASCAL BUCK

HEAD OF CONTENT ROMANDIE

LÉA STOCKY

LAYOUT

MATHIAS MANNER, SARA DAVAZ

JOURNALISTES

CALVIN HUBER, EMMANUEL VIACCOZ, LÉA STOCKY, MAÉVANE MAS, OCÉANE ILUNGA, SMA

IMAGE DE COUVERTURE © PIERRE-MICHEL DELESSERT CANAL DE DISTRIBUTION

TRIBUNE DE GENÈVE ET 24HEURES

IMPRIMERIE

CIL CENTRE D’IMPRESSION LAUSANNE SA

SMART MEDIA AGENCY.

GERBERGASSE 5, 8001 ZURICH, SUISSE TÉL +41 44 258 86 00 INFO@SMARTMEDIAAGENCY.CH

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Avec tous ces astuces, l’hiver et les Fêtes de fin d’année offrent de nombreuses opportunités de créer des souvenirs chaleureux et joyeux. Prenons soin de notre santé tout en profitant pleinement de cette belle saison. Alors, enfilez vos gants, sortez jouer dans la neige, et dégustez les plats festifs avec plaisir !

Texte Corina Wirth, Directrice Santé publique Suisse

e v ê r u d t és s i l a t i Du rire e p s o ts h an f n e s o n r pou

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CONTENU.

peut également aider à lutter contre la dépression saisonnière ou contre un manque de vitamine D.

L’activité physique régulière a de nombreux effets positifs sur la santé : elle réduit le risque de maladies cardiaques, d’hypertension et d’accidents vasculaires cérébraux et peut améliorer les défenses de l’organisme.

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Bonne lecture!

Lola Briot

Project Manager

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AZUR PRÉVOYANCE FUNÉRAIRE SA • BRANDREPORT

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« Faire un contrat de prévoyance funéraire m’a apaisée » Préparer sa mort pour être plus tranquille, c’est ce qu’a fait Catherine Vernain-Perriot en souscrivant un contrat de prévoyance funéraire auprès d’Azur Prévoyance Funéraire SA et des Pompes Funèbres Générales de Genève. Dans cette interview, la Genevoise, maman de trois enfants et grand-mère de huit petits-enfants, nous donne plus de détails sur ces contrats et les raisons qui l’ont poussée à sauter le pas.

Catherine Vernain-Perriot, pourquoi avez-vous souscrit à un contrat de prévoyance funéraire ?

Ne pas laisser la charge de l’enterrement à ses enfants est le dernier cadeau qu’on puisse leur faire. J’ai enterré beaucoup de monde dans ma famille et les moments de préparation sont assez durs. Cela ne veut pas dire que je suis pressée, pas du tout même (rires).

J’ai ressenti beaucoup plus de chaleur quand j’ai été aux pompes funèbres pour préparer mon enterrement plutôt que ceux de ma famille. J’ai trouvé que c’était beaucoup plus agréable car il n’y a pas cette urgence et ce chagrin.

J’ai toujours entendu parler des contrats de prévoyance.

Il y a de la publicité à la télévision et on a accès à des prospectus aux pompes funèbres générales à Carouge.

Cela fait longtemps que je veux y souscrire, mais je ne trouvais jamais le temps. Un jour, je me promenais et je suis passée devant les Pompes Funèbres Générales de Carouge. Je suis entrée pour prendre rendez-vous et Madame Bedoian m’a prise tout de suite en entretien.

Dans le cas d’une cérémonie, est-on libre de choisir son déroulement ?

Les contrats sont assez détaillés. On peut choisir les textes, les chants etc. On a un petit livre qui nous accompagne et dans lequel on peut écrire nos souhaits. Toutes les options sont possibles, comme lorsqu’on va aux pompes funèbres pour préparer l’enterrement de quelqu’un d’autre.

On a passé un bel après-midi ensemble, on a bien rigolé (rires). Après tout, parler de la mort ne fait pas mourir. Au contraire, la mort fait partie de la vie.

Quels sont les détails spécifiques du contrat de prévoyance funéraire proposé ?

On nous demande où est-ce qu’on veut reposer, si l’on veut une cérémonie religieuse, si l’on veut être incinéré ou enterré, quel cercueil on souhaite, si l’on prévoit des fleurs etc. Finalement, il s’agit de tout ce que l’on peut décider pour un enterrement en temps normal. On nous demande également si l’on veut un avis mortuaire.

Pour ma part, je souhaite me faire incinérer, sans tombe ni plaque commémorative car je n’ai pas le culte du corps quand il est mort. Ces choix sont très personnels.

J’avais des idées très précises sur ce que je souhaitais. J’ai dû enterrer mon mari il y a 13 ans maintenant. J’ai également enterré mon père, ma mère et mes beaux-parents.

Les enterrements, j’ai fait ! Je sais comment cela se passe.

Le fait que je sois très au clair dans ma tête avec ce que je veux a aussi aidé.

veut ! Les pompes funèbres sont très à l’écoute de ce que l’on demande et savent s’adapter.

On reçoit un contrat fait par Azur Prévoyance Funéraire, une petite carte à mettre dans son sac ainsi qu’un livret qui récapitule nos souhaits qui sont très détaillés.

Je peux y indiquer le type de cérémonie que je veux, les chants, où est déposé mon testament, quels éléments je souhaite dans ma biographie, ce que je souhaite que mes enfants disent, qui informer en cas de décès, etc.

On retrouve aussi des informations concernant des questions juridiques, financières ou encore immobilières.

Qu’en est-il des coûts liés à cette démarche ?

On peut tout payer à l’avance et c’est lorsque la totalité est payée que le contrat prend acte. Les frais de l’entreprise Dans mon cas, j’ai décidé de laisser choisir mes enfants. de pompes funèbres sont fixes. On peut aussi payer en Dans les cérémonies catholiques, pour avoir un prêtre, plusieurs fois selon nos possibilités. Ce qui peut varier il faut parfois attendre une semaine. Je refuse totalelégèrement, ce sont les frais liés aux entreprises extérieures ment cette hypothèse car, pour moi, du moment où comme les fleuristes, les journaux, etc. pour lesquels l’on est mort, il faut que ça aille vite. Il s’agit en effet nous faisons des provisions, ou en encore les taxes de la de moments pénibles. J’ai donc fait le choix de recourir Ville de Genève pour l’incinération, les frais du centre à une personne civile qui fera le cheminement à l’église. funéraire de Saint-Georges, etc. Mes enfants auront peut-être quelque chose à verser, mais ce sera minime Y a-t-il des options ou des services par rapport à la facture totale qu’ils auraient dû payer. supplémentaires disponibles en dehors de ce qui est spécifié dans le contrat de base ?

Vos choix ont-ils été difficiles à faire ?

On peut commander des fleurs, des urnes très Absolument pas ! Mes idées étaient extrêmement belles, le cercueil etc. Finalement, tout ce qu’on claires. C’est remplir les papiers qui était le plus long.

Prévoir et payer un enterrement peut être une charge pour la famille, tant financière qu’émotionnelle.

Comment vos enfants ont-ils réagi ?

On en parle déjà depuis plusieurs années. Je fais partie d’Exit, l’association pour le droit de mourir dans la dignité, et, pour eux, cela a été beaucoup plus difficile à accepter. Une de mes filles m’a dit qu’elle trouvait cela bien, l’autre aurait voulu m’accompagner – sauf que je voulais le faire toute seule – et mon fils a rigolé en me disant qu’au moins, ils étaient tranquilles.

Il n’y a pas d’animosité dans ma famille par rapport à la prévoyance.

Peut-on rencontrer des obstacles lorsqu’on se lance dans cette démarche ?

Non, pas du tout, surtout si l’on est en accord avec ce que l’on souhaite. Les seuls obstacles peuvent venir de la famille, mais celle-ci est libre d’apporter de petites modifications (fleurs, journal, etc. …). C’est pourquoi un contrat de prévoyance ne met personne dans l’embarras.

Quelle est la procédure à suivre en cas de décès pour activer ce contrat ? Y a-t-il des démarches spécifiques que la famille doit entreprendre ?

La famille doit téléphoner aux pompes funèbres, comme cela se passe dans les procédures en général. Puis, tout roule comme sur des roulettes. Il y a tout de même des papiers à apporter, des vêtements à emmener etc.

Recommanderiez-vous ce service ?

Oui, car on a la tête tranquille. Faire un contrat de prévoyance funéraire m’a apaisée car je sais que tout est fait. Prévoir et payer un enterrement peut être une charge pour la famille, tant financière qu’émotionnelle.

Interview Léa Stocky

AZUR PRÉVOYANCE FUNÉRAIRE Gardien de vos volontés depuis 2002

Et vous ? Vous l’imaginez comment votre dernier voyage ?

CAROUGE & PETIT-LANCY Tél. 022 342 66 22 | www.azur-prevoyance.ch ❍ Veuillez me contacter pour une étude personnalisée, sans engagement de ma part, de ma prévoyance funéraire ❍ Je souhaite recevoir une documentation sur vos contrats de prévoyance Nom :................................................................. Prénom : ............................................................... Tél : ..................................................................

Adresse : ......................................................................................................N° postal :................... Lieu : ...............................................................

Merci de retourner ce coupon à : Azur Prévoyance Funéraire SA Route de Saint-Georges 79 - 1213 Petit-Lancy | Tél. 022 342 66 22

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SANTÉ ANIMALE

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Image iStockphoto/chendongshan

Animaux de compagnie ; une santé au top !

Prendre soin de nos animaux domestiques revêt une importance capitale pour leur bien-être et leur épanouissement. En veillant à leur santé, à leur hygiène et à leur éducation, nous leur offrons une qualité de vie digne de leur fidélité et de leur amour inconditionnel.

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’OMS définit la santé comme un étant un état de complet bien-être physique et psychologique qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. Cela concerne les êtres humains, certes, mais aussi nos animaux de compagnie. Au-delà de l’affection que nous leur apportons, nous devons veiller à leur bien-être au sein de l’écosystème familial.

Prévenir plutôt que guérir La prévention joue un rôle essentiel dans la santé de nos chats et de nos chiens. Des mesures simples mais cruciales telles que les vaccinations ainsi que des visites régulières chez le vétérinaire contribuent à prévenir ou à détecter de manière précoce un large éventail de troubles et maladies. La vaccination renforce le système immunitaire de l’animal en lui permettant de développer une résistance contre des maladies telles que la rage, la maladie de Carré chez les chiens, le coryza et la leucose chez les chats, entre autres. La prévention consiste aussi en des soins courants comme le vermifuge, la coupe des griffes, l’entretien des poils ou encore, la recherche de parasites internes et externes. À chaque saison sa spécificité Les soins saisonniers sont indispensables pour maintenir le bien-être de nos animaux tout au long de l’année. En hiver, par exemple, même les chiens qui ont l’habitude de vivre et de dormir à l’extérieur

peuvent attraper froid, plus particulièrement en avançant en âge. Leur niche devrait donc faire l’objet d’un aménagement « hiver » pour qu’ils soient à l’abri du vent et de l’humidité. Parfois, le simple fait de surélever la niche du sol et de la capitonner suffit.

Les chats quant à eux sont particulièrement sensibles aux chocs thermiques, par exemple en sortant pour prendre l’air alors que les températures intérieures sont hautes et les extérieures basses. En promenade hivernale, les vêtements chauds et fluorescents pour nos chiens sont plus qu’une tendance : ils offrent une protection précieuse contre les frimas tout en assurant leur visibilité et donc, les risques d’accident. Après une balade par temps humide, froid ou glacial, il est important de sécher leurs poils et les coussinets pour prévenir les problèmes cutanés et musculaires liés à l’humidité. Il faut aussi veiller à ce que le chien ne mange jamais de neige car cela provoque des gastro-entérites aiguës, potentiellement dangereuses.

Alimentation et santé Une maxime prétend qu’un tiers de nos aliments servent à nous nourrir et que les deux autres tiers servent à nourrir les médecins. Là encore, cela pourrait s’appliquer à nos animaux domestiques. Il a été scientifiquement prouvé en effet que le premier pilier de la santé relève de l’alimentation. En ce sens, il est important de nourrir notre animal en tenant compte de ses besoins journaliers et de ses spécificités (espèce,

race, taille, activité physique ou non, etc.). Des aliments de qualité fournissent des nutriments essentiels tels que les protéines, les lipides, les glucides, les vitamines et les minéraux. Un régime approprié contribue à prévenir les problèmes de santé tels que l’obésité, les maladies cardiaques, le diabète, les troubles digestifs et différentes carences. Les animaux domestiques qui vivent en ville ont tendance à être en surpoids. Il s’avère donc important de connaître le poids idéal de son animal et d’adapter ses repas en fonction de ses dépenses caloriques, de son âge et de son état de santé. La plupart des vétérinaires sont formés en nutrition, mais il peut être judicieux de consulter un nutritionniste animalier pour avoir de précieuses recommandations. Enfin, quelle que soit la saison, il faut veiller à ce que nos compagnons aient toujours accès à de l’eau fraîche et propre ; elle doit être changée plusieurs fois dans la journée.

Les NAC aussi concernés Les nouveaux animaux de compagnie sont des espèces moins conventionnelles comme les reptiles, les amphibiens, les petits mammifères, ou encore, les oiseaux exotiques. Leur élevage et leurs soins nécessitent des connaissances spécifiques en raison de leurs besoins particuliers en termes de nourriture, d’habitat et de soins vétérinaires. Leur popularité croissante met en exergue l’importance de comprendre et de respecter les besoins individuels de chaque espèce pour assurer leur bien-être.

Des technologies de pointe La médecine vétérinaire a connu des avancées remarquables ces dernières décennies. Elles se rapprochent de plus en plus de la médecine humaine en termes de diagnostics et de traitements. Les progrès ont révolutionné la pratique vétérinaire, permettant l’utilisation de scanners sophistiqués, d’imagerie médicale avancée et de méthodologies chirurgicales hautement perfectionnées. Par ailleurs, de plus en plus de médecins vétérinaires pratiquent une médecine dite « intégrative », soit une combinaison de différentes approches conventionnelles et alternatives comme l’acupuncture, la phytothérapie, l’homéopathie, la chiropraxie, pour ne citer que celles-ci. L’objectif est d’offrir des soins prenant en compte les besoins de l’animal au niveau physique, émotionnel et environnemental. La médecine vétérinaire est désormais à la pointe du progrès, avec son corollaire des tarifs parfois rédhibitoires. Aussi, il est vivement conseillé de souscrire une assurance maladie / accident pour son animal, dès son plus jeune âge.

Agir sans tarder En comprenant l’importance de la prévention, de la nutrition et des soins, nous pouvons contribuer à offrir à nos compagnons une vie saine, épanouie et pleine de vitalité tout au long de leur existence.

Texte Emmanuel Viaccoz

BRANDREPORT • ANIMALIA

Une assurance chiens et chats, pour plus de sérénité

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Image iStockphoto/Andrey_Kuzmin

es avancées de la médecine vétérinaire vont de pair avec des coûts de plus en plus élevés.

Aussi, une couverture des soins peut s’avérer pertinente à bien des égards. Eclairage avec Henri Mussitelli, responsable projets marketing et communication d’Animalia, de la Vaudoise Assurances.

Les animaux de compagnie occupent une place importante dans nos vies. Ils nous apportent de l’affection, du bonheur et bien souvent, un soutien psychologique. De notre côté, nous voulons leur offrir ce qu’il y a de mieux pour leur santé et leur bien-être. C’est ainsi que de plus en plus de propriétaires de chats et de chiens contractent une assurance pour leurs animaux, souligne notre interlocuteur. L’objectif étant de pouvoir les soigner, les guérir, et parfois même tout simplement les sauver quel que soit le coût de la prise en charge, en Suisse comme à l’étranger. Cela inclut, pour Animalia, la prévention et certains soins récurrents, par exemple une vaccination ou encore un traitement annuel contre les vers ou autres parasites, ajoute Henri Mussitelli. En ce sens, le fait d’envisager des soins plus fréquents peut favoriser la détection précoce de problèmes de santé, améliorer la qualité de vie de l’animal et prolonger son existence.

Anticiper En cas d’urgence ou de maladie grave, les frais peuvent dépasser la dizaine de milliers de francs.

Confrontées à une telle situation, et par manque de moyens, certaines personnes n’ont d’autres choix que de faire euthanasier leur compagnon alors qu’il aurait pu être sauvé. La plupart de ces propriétaires ignoraient qu’une opération chirurgicale ou le traitement d’un cancer puisse coûter si cher.

Des prestations premium Les dépenses de santé, nous explique le spécialiste, constituent aujourd’hui le deuxième poste le plus important après la nourriture. En souscrivant une assurance chez Animalia, 90% des frais (après l’atteinte de la franchise choisie) sont pris en charge, quels que soient l’âge et l’état de santé de l’animal.

Cela concerne les diagnostics, les séjours hospitaliers, les traitements chirurgicaux, les frais vétérinaires, les médicaments ou encore, les frais de séjour et transports d’urgence. Par ailleurs, il est possible de faire suivre son compagnon par un cabinet ou une clinique vétérinaire d’un pays limitrophe. N°1 des assureurs pour chiens et chats en Suisse, Animalia propose des couvertures complètes adaptées aux besoins de chacun, avec différents niveaux de franchise.

Sérénité L’assurance pour animaux de compagnie se présente dès lors comme une solution de confort et de tranquillité d’esprit. Il est cependant important d’assurer son animal le plus tôt possible pour éviter les tracas administratifs liés à d’éventuelles maladies antérieures à la signature du contrat.

Animalia permet aux propriétaires d’animaux domestiques de prendre des décisions médicales sans être limités par des considérations financières, pour le bien-être de leurs chers compagnons.

Texte Emmanuel Viaccoz Plus d’informations sur animalia.ch

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SOURCES THERMALES

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Des onsen aux eaux miraculeuses

Image iStockphoto/tomophotography

La population japonaise est connue pour son espérance de vie exceptionnellement élevée. D’après le rapport de l’OMS publié en 2020, le Japon occupe indéniablement la première place du classement avec une espérance de vie à la naissance de 84,3 ans en moyenne. En plus d’adopter une alimentation faible en sucre et riche en produits de la mer, les Japonais suivent des rituels et des modes de vie qui s'avèrent extrêmement bénéfiques pour leur santé. Parmi ces pratiques, les sources thermales, ou en japonais Onsen, occupent une place prépondérante dans leur routine quotidienne.

Q

uelles sont les particularités de ces bains chauds ? Pourquoi sont-ils tant appréciés par les Japonais ? Quels sont leurs bienfaits ? Zoom sur ce rite particulier qui attire de plus en plus de touristes vers le pays du soleil levant.

être brûlantes. Souvent, les propriétaires d'onsen ajoutent de l'eau froide à celle puisée directement de la source pour ajuster la température. Ainsi, il est impératif, surtout dans les sources non aménagées, de vérifier la température avant de s’immerger dans l'eau.

Qu’est-ce qu’un onsen ?

Un onsen, comme l'indiquent ses deux kanjis, est une source d'eau chaude d'origine volcanique, renommée pour ses bienfaits physiques et relaxants. Ces bains chauds collectifs, généralement en extérieur, incarnent depuis des millénaires un élément essentiel de la culture japonaise. Ce ne sont toutefois pas de simples bains thermaux : ces sources d'eaux volcaniques sont considérées comme sacrées, l'eau chaude servant à purifier le corps et l'esprit. Cette notion découle de la pratique religieuse shintō du misogi, visant à purifier le corps et l'esprit des impuretés au moyen d'une cascade ou d'un cours d'eau.

Les bienfaits physiques et mentaux Selon Gotô Konzan, un grand médecin de l’époque Edo (1603-1868), les eaux de source possèdent la capacité de stimuler et rééquilibrer le Ki, le flux d'énergie naturelle. L'eau des onsen s’avère en effet très bénéfique pour de nombreux maux : provenant des terres volcaniques du sol japonais, elle est exceptionnellement riche en minéraux tels que le soufre, le chlorure de sodium, le carbonate d'hydrogène ou le fer. Ces minéraux pénètrent le corps par la peau, favorisant ainsi la sécrétion hormonale.

Les onsen se caractérisent par leur température particulièrement élevée. En effet, la moyenne se situe autour de 41 °C, bien que des eaux plus fraîches existent. On distingue quatre types de onsen en fonction de leur chaleur : les sources fraîches (moins de 25 °C), les sources tièdes (entre 25 °C et 34 °C), les sources chaudes (34 °C à 42 °C) et les eaux très chaudes (plus de 42 °C). Cependant, il convient de noter que les sources d'eau chaude naturelles peuvent

De plus, les onsen ont des propriétés antioxydantes qui contribuent à réduire la création de radicaux libres dans le corps. Ces derniers sont responsables du vieillissement et d'un éventail de pathologies telles que le cancer, les crises cardiaques, le diabète, l’hypertension, l’artériosclérose, les accidents vasculaires cérébraux ou encore l’obésité.

Grâce à leurs propriétés antioxydantes, les propriétés des onsen neutralisent les agents oxydants du corps et réduisent la formation des radicaux libres. Entre autres conséquences, le vieillissement de la peau est retardé et le corps semble réellement rincer de toute impureté.

Enfin, l'eau chaude est renommée pour soulager diverses douleurs musculaires ou articulaires, et les onsen ne font pas exception à cette règle.

C'est donc une activité recommandée après une longue randonnée ou pour les sportifs cherchant à apaiser leurs muscles tendus.

Un rituel accompagné de nombreuses règles Contrairement aux bains thermaux que nous connaissons en Suisse, l'expérience des onsen au Japon ne consiste pas simplement à se glisser en maillot de bain dans l’eau et à se détendre pendant plusieurs heures. Avant d'y prendre place, un rituel est à suivre et des règles précises sont en vigueur.

Tout d'abord, les maillots de bain ne sont pas acceptés dans les onsen. La nudité est de rigueur, de même que la propreté corporelle. Des douches et du savon sont ainsi à disposition près des bains. Les eaux sont naturelles et ne sont pas désinfectées, ce qui a de quoi réjouir notre peau.

En contrepartie, cela implique de ne pas introduire d’impuretés dans l’eau et donc de bien se rincer avant le bain. Pour les personnes aux cheveux longs, il est recommandé de les attacher pour qu'ils ne trempent pas dans l'eau. Mettre la tête sous l’eau dans un onsen n’est d'ailleurs pas vu d’un bon œil.

Les dernières règles peuvent paraître plus contraignantes pour les voyageurs étrangers : la plupart des onsen sont séparés par genre et refusent l'accès aux personnes tatouées. Cependant, les mœurs évoluent au Japon avec une tendance à plus de souplesse. Certains établissements proposent des bains mixtes et privés pour les couples ou les familles en quête de détente partagée. De même, de plus en plus de onsen deviennent « tattoo-friendly » ou tolèrent qu’un tatouage soit couvert d’un pansement le temps de la baignade. Cependant, une vérification préalable est recommandée.

Effets indésirables ?

La baignade dans les eaux chaudes n'est pas sans risques. La température élevée des onsen peut facilement causer des brûlures. De plus, une immersion prolongée peut entraîner des symptômes tels que des étourdissements, des vertiges ou des nausées. Par conséquent, lorsque l’on n’est pas habitué, il est conseillé de limiter chaque baignade à 3 à 10 minutes. Il est également crucial de maintenir une hydratation adéquate. Une fois plus habitué à ce rituel, la baignade peut se prolonger à 15-20 minutes en toute sécurité.

Texte Maévane Mas

Animaux abandonnés, maltraités, négligés

En 2022, 723 enquêtes effectuées et 3165 animaux pris en charge

Votre don nous permet de leur porter secours

Société vaudoise pour la protection des animaux rte de Berne 318, 1000 Lausanne 25 - www.svpa.ch

Les animaux vous disent merci !

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BRANDREPORT • BODO OPTIQUE

#FOCUSSANTÉ

Les couleurs influencent notre quotidien !

Les couleurs animent notre existence, que ce soit pour percevoir la nature ou l’art. Chacune évoque des émotions particulières.

De plus, les couleurs jouent un rôle crucial dans la transmission d’informations, devenant ainsi indispensables dans notre société.

D

ans sa boutique-atelier de Lausanne, Bodo Optique marie passion et expertise. Dans un cadre accueillant, il offre une gamme complète de montures, conçues pour satisfaire les désirs et besoins de sa clientèle,

de traitement, les données sont envoyées à ZEISS. Les verres y sont alors calculés individuellement selon les spécifications du spécialiste et fabriqués à l’aide d’une technologie de surfaçage de pointe dite Freeform Technology.

Au fil de ses 30 années d’existence, Bodo Optique a bâti sa renommée et son savoir-faire autour d’un principe fondamental : la création de lunettes élégantes et personnalisées, adaptées à chaque client. Cet opticien accompagne aujourd’hui une clientèle diversifiée, ayant des besoins et des préférences uniques en termes de montures et de verres.

Des verres pour tous les besoins Travaillant depuis plus de 25 ans en étroite collaboration avec la maison Zeiss, entreprise de renommée mondiale connue pour son optique de précision, le magasin Bodo Optique fait profiter à ses clients des dernières technologies disponibles dans la branche.

Des verres précis demandent aussi de la précision dans les prises de mesures. Là encore, la maison Zeiss amène des technologies afin d’aider l’opticien à faire les verres les plus personnalisés possible.

L’appareil Visufit mesure les paramètres de centrage ainsi que les paramètres de la monture, au dixième de millimètre près, grâce à ses 9 caméras dans un laps de temps extrêmement rapide.

Toutes les données recueillies sont regroupées par l’opticien à l’aide de l’appareil i.Profiler à l’issue du test de vue: le centrage et, dans certains cas, la mesure objective.

Dès que toutes les caractéristiques sont clairement établies, telles que le type et le matériau des verres, le genre

Les cônes vert et rouge se superposent réduisant la perception des couleurs

Les verres spéciaux créent une nouvelle séparation entre les 2 récepteurs et permettent une meilleure distinction des couleurs

ZEISS a été l’un des pionniers dans le développement de cette technologie et, encore de nos jours, l’entreprise ne cesse d’améliorer cette méthode de production de verres.

Cette technique assure au porteur une qualité de vue excellente et naturelle grâce à une réduction des déformations sur la vision latérale et ce, à toutes les distances.

Le daltonisme : une attention particulière portée aux couleurs.

La vision comporte deux caractéristiques essentielles : la discrimination et l’identification des couleurs. Les personnes atteintes de daltonisme rencontrent des difficultés dans ces deux domaines. L’un des troubles de la vision des couleurs le plus fréquent est le déficit héréditaire rouge/vert. Ce déficit affecte les cônes, les cellules sensorielles de la rétine, qui sont responsables de la perception des tons. Par conséquent, dans le cas précité, les personnes concernées par ce trouble ont des difficultés, voire des incapacités à distinguer le rouge du vert.

Grâce aux lunettes correctrices, il est possible, toutefois, de permettre aux personnes atteintes de daltonisme, de voir des nuances qu’elles n’avaient jamais perçues auparavant. Dans 95 % des cas, la déficience de la vision des couleurs peut être corrigée. La majorité des personnes constate une amélioration immédiate de la capacité à discriminer les couleurs lorsqu’elles portent les lunettes correctrices pour daltoniens. De plus, divers exercices de reconnaissance des couleurs sont conseillés qui, à l’aide de ces lunettes, permettent d’améliorer l’identification des couleurs et de nommer des teintes jamais vues auparavant

Bodo Optique Rue du Maupas 10 1004 Lausanne Tél. +41 (0)21 646 96 10 Email info@bodo.ch

Le magasin Bodo Optique est équipé depuis novembre 2023 du matériel nécessaire pour détecter et corriger le daltonisme.

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MOONA UNDERWEAR • BRANDREPORT

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La révolution du bien-être féminin Confort, écologie et élégance - MOONA Underwear, la jeune marque de culottes menstruelles suisse casse les codes des protections périodiques

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n 2019, Alex et Flo, un couple suisse, entreprennent un road trip au Portugal. Cependant, les règles inattendues d’Alex soulèvent des défis, mettant en lumière les inconvénients des protections hygiéniques classiques. Flo lui fait alors remarquer qu’elle devrait pouvoir porter des protections qui s’adaptent à son corps et à son quotidien. Ce constat les pousse à chercher des alternatives plus adaptées.

protection. Ces culottes ne sont pas seulement une protection menstruelle, elles sont aussi le reflet d’une envie de changer les choses, d’avoir un impact positif pour le futur mais également d’un engagement envers soi-même et notre planète.

Au coeur d’une nouvelle ère de bien-être menstruel L’histoire de MOONA est celle d’une quête pour redonner aux femmes le pouvoir de vivre leurs règles comme elles l’entendent. C’est une prise de conscience, née d’une expérience personnelle et devenue une mission collective.

MOONA n’est pas juste une marque, c’est un mouvement vers un futur où chaque femme peut vivre ses règles avec sérénité et liberté.

Quand le besoin devient une vision De retour en Suisse, ils découvrent les culottes menstruelles, mais ne trouvent pas de produits correspondant à leurs critères de qualité et de design. Comme ce qu’ils imaginaient n’existait pas, Alex et Flo décident de créer MOONA, les culottes menstruelles qui ne font pas de compromis. Leur mission ? Révolutionner la manière dont les femmes vivent leurs règles.

Plus qu’une simple protection menstruelle, un engagement envers la santé féminine Les culottes menstruelles MOONA ont été créées pour répondre aux vrais besoins des femmes.

Imaginées en Suisse et fabriquées avec passion au Portugal, elles représentent un engagement envers le confort, la santé et l’écologie. Conçues à partir de coton bio et de tencel, certifiées OekoTex, GOTS et OCS, elles sont la quintessence d’une protection à la fois sûre et respectueuse de l’environnement. Ces produits sont devenus une solution privilégiée pour de nombreuses femmes, soucieuses d’éviter les risques associés aux protections périodiques internes, comme le Syndrome du Choc Toxique (SCT) et les irritations dues aux composants chimiques dans certaines protections hygiéniques classiques.

Un impact écologique largement réduit Avec MOONA, adieu aux 10’000 protections jetables utilisées en moyenne par une femme

MOONA : La marque suisse de culottes menstruelles qui célèbre les règles moona-underwear.ch

dans sa vie. Ces culottes lavables et réutilisables jusqu’à 5 ans symbolisent un pas de géant vers un avenir plus durable. Elles sont une solution zéro déchet et réduisent considérablement l’impact environnemental lié aux menstruations.

La promesse de MOONA : plus de liberté durant ses règles Chaque femme mérite de vivre ses règles sans contrainte. La lingerie menstruelle MOONA offre

jusqu’à 12 heures de protection, absorbant l’équivalent de 2 à 4 tampons. Elle permet aux femmes de rester sereines, au sec et à l’aise à chaque instant de leur vie et peu importe leur activité.

Alexandra et Florent - co-fondateurs de MOONA

Toujours plus nombreuses à adopter la culotte menstruelle L’adoption rapide des culottes MOONA par plus de 10 000 clientes en Suisse témoigne de l’efficacité et de la popularité de cette nouvelle PUBLIREPORTAGE

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ESPRIT SAIN DANS UN CORPS SAIN

FOCUS.SWISS

Une alimentation saine dans un corps sain L’existence humaine est intrinsèquement liée à l’activité physique, et son bien-être est étroitement lié à une alimentation équilibrée. L’omission de ces deux aspects fondamentaux peut entraîner des répercussions néfastes sur la santé. Comment évaluer avec certitude la quantité d’exercice adéquate ainsi que la qualité de notre alimentation ?

’assurance d’une bonne santé repose inévitablement sur la pratique régulière d’une activité physique et l’adoption d’une alimentation saine. Ces deux éléments sont essentiels pour préserver le bien-être, l’absence de l’un ou l’autre pouvant entraîner la détérioration du corps humain.

Ces deux besoins fondamentaux sont plus difficiles à satisfaire que jamais dans la société actuelle.

Pas moins de 77 % de la population active suisse travaille dans le secteur des services. La plupart des personnes restent assises à leur bureau. Selon une étude publiée dans la revue spécialisée The Lancet, les effets négatifs sur la santé qui apparaissent lorsque l’on reste assis plus de huit heures par jour ne peuvent être que difficilement compensés par une augmentation de l’activité physique. Un autre problème est que, lorsque la pression du temps ou le volume de travail est élevé, la pause déjeuner est souvent trop courte ou supprimée. Cela peut entraîner un repas pris trop rapidement ou un manque d’énergie compensé par des grignotages tout au long de la journée. Les études menées sur le phénomène des repas trop rapides ont montré que les personnes en surpoids ont tendance à manger trop vite. Il n’a toutefois pas été possible de démontrer s’il existe un lien direct entre ces deux phénomènes. Néanmoins, manger trop vite entraîne de nombreuses conséquences négatives, telles que des troubles gastriques et une mauvaise santé buccale, car les aliments ne sont pas suffisamment mâchés.

On va bouger bouger !

Que peut-on donc faire pour lutter contre ces phénomènes ? Tout d’abord, l’activité physique : Celle-ci doit faire partie intégrante de la vie quotidienne. D’après une enquête menée par l’Association fédérale allemande des médecins de santé publique (BVÖGD), l’activité physique bénéfique pour la santé se distingue par son impact positif sur le bien-être, tout en présentant un risque minime de blessures. De nombreuses disciplines sportives comme le jardinage, la danse ou la marche rapide favorisent l’endurance, la force ou la coordination. Si l’on veut profiter pleinement des effets positifs de ces types de sport et d’activité physique, il faut les pratiquer sous forme d’entraînement. L’entraînement occupe une place particulière, car il permet non seulement de maintenir les capacités physiques, mais aussi de les améliorer. Pour que la pratique d’un sport puisse être qualifiée d’entraînement, elle doit, selon le British Plumbing Employers Council, remplir trois caractéristiques : il faut définir un objectif à atteindre, un plan pour atteindre cet objectif et il est nécessaire de pratiquer régulièrement les activités définies dans le plan. Il est toujours important de veiller à ce que le risque de blessure soit le plus faible possible. Il faut également adapter l’activité sportive à son propre niveau de performance et à son âge. Les recommandations de l’Office fédéral du sport (OFSPO) en matière d’activité physique donnent des points de repère. Sur son site internet, on trouve des recommandations en matière d’activité physique pour les jeunes, les adultes et les adultes plus âgés.

Les principes de base pour une alimentation saine Une activité physique et sportive efficace présuppose une alimentation saine. Afin de contrer le problème de consommation rapide évoqué précédemment, il est bénéfique d’établir des plages horaires régulières dédiées aux repas tout au long de la journée. Selon le service des consommateurs de Bavière, ces repas doivent durer au moins 20 minutes. Entre les repas principaux, il faut également faire une pause d’au moins quatre à six heures. On donne ainsi à l’estomac suffisamment de temps pour se nettoyer et se régénérer.

Mais quels sont exactement les composants d’une alimentation saine ? De nos jours, la conception la plus répandue de ce qu’est une alimentation saine repose encore largement sur l’image de la pyramide alimentaire. D’après les nutritionnistes, ce modèle de représentation d’une alimentation saine qui date pourtant des années 90 et n’est plus d’actualité. Ce qui rend les choses encore plus compliquées, c’est qu’il existe différentes versions de l’ancienne pyramide ainsi que d’innombrables variantes de la nouvelle version. En principe, la pyramide alimentaire doit donc être considérée comme une recommandation de base approximative qui doit être adaptée aux besoins de chaque personne. C’est pourquoi il est difficile de donner des conseils valables pour tous. On peut toutefois

dire que les aliments de toutes les catégories de la pyramide alimentaire devraient être consommés quotidiennement. Sur ce thème également, on peut se référer aux recommandations actuelles de l’Office fédéral de la sécurité alimentaire.

Les bénéfices d’un mode de vie actif et sain Les avantages d’un mode de vie basé sur une activité physique suffisante et une alimentation saine sont nombreux. Dans le domaine de l’exercice physique, les avantages s’étendent à des aspects tels que la réduction du risque de mortalité globale, l’amélioration de la santé cardiovasculaire, le soutien à la santé neurocognitive, et bien d’autres encore.

Une alimentation équilibrée apporte des bénéfices dans des domaines similaires. L’exercice physique et l’alimentation ont également un effet préventif sur de nombreuses maladies. Pas nécessairement dans le sens où l’on tombe moins souvent malade, mais plutôt parce que la phase de récupération après une maladie est plus courte. Il vaut donc la peine de faire de l’exercice et d’avoir une alimentation saine à tout âge. Il convient de souligner que l’activité physique et l’alimentation doivent être envisagées de manière holistique, car l’un ne peut pleinement exprimer ses bienfaits sans l’apport de l’autre.

Texte Calvin Huber

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CLINIQUE GÉNÉRALE-BEAULIEU • BRANDREPORT

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Rétablir l’équilibre et favoriser le bien-être global À quelques pas seulement de la Clinique Générale-Beaulieu, dans le quartier de Champel, se niche un espace dédié au rétablissement de l’harmonie entre le corps et l’esprit : le Centre de Médecine intégrative. Dans ce havre de tranquillité, une palette étendue de thérapies complémentaires est offerte, offrant ainsi une approche holistique et individualisée pour améliorer le bien-être général.

C

e centre, qui accueille chaleureusement tout un chacun, incarne un équilibre harmonieux entre l’atmosphère paisible et les soins professionnels. Une équipe de quinze thérapeutes, tous agréés par l’ASCA et le RME, mettent à disposition leur expertise dans près de trente thérapies différentes. Chaque méthode est rigoureusement évaluée et validée par un comité consultatif pluridisciplinaire, garantissant ainsi la qualité et l’efficacité des traitements proposés.

Une approche holistique La médecine intégrative, fondée sur l’union entre la médecine conventionnelle et les approches complémentaires, place au cœur de ses objectifs l’amélioration de la qualité de vie des patients. Bien plus qu’un simple traitement des symptômes, cette approche cherche à comprendre et à traiter la personne dans sa globalité. Elle reconnaît l’interdépendance entre la santé physique, psychologique et sociale, offrant ainsi une prise en charge holistique adaptée à chaque individu et à ses besoins spécifiques.

Chaque patient est considéré comme unique.

C’est pourquoi le Centre de Médecine intégrative adopte une approche personnalisée, analysant attentivement les interactions entre le corps, l’esprit et l’âme. Cette approche globale permet de proposer des solutions sur mesure, adaptées à chaque étape du parcours de soin.

Des thérapies multiples La diversité des thérapies proposées, allant des approches traditionnelles aux techniques innovantes, offre un éventail de choix aux patients, favorisant ainsi la mise en place de traitements sur

Pour en savoir plus sur nos thérapies et réserver votre soin Par téléphone : +41 22 839 53 00 Par e-mail : medecineintegrative@beaulieu.ch Ou scannez le qr-code :

mesure. Qu’il s’agisse de l’acupuncture, de l’ostéopathie, de la réflexologie, d’un massage, de la méditation ou encore du pilates, chaque méthode est intégrée dans une approche globale visant à restaurer l’équilibre naturel de l’organisme.

Le Centre de Médecine intégrative s’adresse à toute personne soucieuse de préserver et d’améliorer sa santé et son bien-être de manière globale. En combinant plusieurs méthodes, il

représente un pilier essentiel pour celles et ceux qui cherchent à adopter une approche proactive et personnalisée de leur santé.

En somme, le Centre de Médecine intégrative à Champel est bien plus qu’un simple lieu de traitement. C’est un espace dédié à l’épanouissement personnel, où la collaboration entre professionnels de la santé permet d’offrir des soins intégrés, adaptés à chaque individu, pour un bien-être complet et durable.

Centre de Médecine intégrative Clinique Générale-Beaulieu Avenue Eugène-Pittard 34 CH - 1206 Genève Tél. +41 22 839 53 00 www.beaulieu.ch Accès En bus : N° 8 arrêt Velours ou N° 8 et 11 arrêt Aubert En train : Gare Leman Express Champel En voiture : Sortie autoroute de Carouge-Champel Parking de la Clinique Générale-Beaulieu

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10 INTERVIEW • FRANCK GIOVANNINI

FOCUS.SWISS

Recette Soupe gourmande de racines d’hiver aromatisée aux truffes noires Ingrédients Pour 4 personnes 3 truffes noire de 50 g pour l’ensemble de la recette 160 g de courge épluchée 160 g de salsifis épluchés jus de citron 16 pommes de terre grenaille

Cuisiner soi-même des produits frais : la solution pour une cuisine plus en santé

P

rivilégier la saisonnalité et la fraîcheur en cuisine est essentiel pour rester en bonne santé. C’est le point de vue que partage le chef suisse Franck Giovannini. Dans cette interview, il nous explique comment maintenir l’équilibre nutritionnel dans ses plats.

Franck Giovannini, comment est née votre passion pour la cuisine ?

J’ai toujours voulu travailler dans le domaine des métiers de bouche. Si la boulangerie m’a tout d’abord beaucoup intéressé, c’est finalement la cuisine qui me convenait le plus. J’ai eu la chance de savoir ce que je voulais faire à 15 ans.

Quel est votre parcours professionnel ?

Cela fait presque 29 ans que je suis à Crissier et j’en dirige aujourd’hui le restaurant de l’Hôtel de ville. J’ai commencé par un apprentissage au-dessus de Morges dans le restaurant d’un chef qui a aussi travaillé à Crissier, ce qui m’a permis de me

viens à 8h et je repars à minuit. Si je n’avais plus l’envie, ça deviendrait compliqué. Pour moi, la passion doit être communicative et je dois réussir à la transmettre à mes collaborateurs et à mes clients.

Quel est votre plat préféré ?

C’est dur, il y en a tellement ! J’ai toujours plaisir à manger une bonne raclette ou une bonne fondue, ou encore un poulet rôti au four avec les pommes de terre qui cuisent à côté. Je suis très gourmand, mes goûts dépendent surtout du moment et des saisons.

Comment créez-vous des plats équilibrés qui satisfont à la fois les sens et les besoins nutritionnels des clients ?

Si tout le monde prenait le temps de cuisiner des produits frais, on serait en meilleure santé.

Aujourd’hui, il existe tellement de plats déjà préparés qu’il est très facile de ne plus cuisiner du tout. Cependant, un plat équilibré est composé de produits frais. Il faut essayer. Prendre du temps

Si l’on veut trouver un aliment qui ne vient pas de loin et qui est donc de meilleure qualité car il n’a pas voyagé pendant des semaines, on est obligé de respecter la saisonnalité.

familiariser avec la cuisine gastronomique dès mes débuts. Je suis ensuite parti aux États-Unis pendant quatre ans où j’ai travaillé dans des restaurants gastronomiques à New York et à Boston.

pour cuisiner, c’est aussi prendre du temps pour soi. Voir le plaisir que procure à ses invités le plat qu’on a cuisiné motive ! Les gens sont sensibles au fait de réussir des choses par eux-mêmes.

Qu’aimez-vous le plus dans votre métier aujourd’hui ?

Beaucoup de choses ! J’ai la chance de pouvoir transformer les produits que la nature nous offre, d’avoir le résultat de mon travail deux fois par jour mais aussi de pouvoir transmettre ma passion aux jeunes en les formant. Dans mon métier, on donne du bonheur aux gens et on peut voir leur satisfaction après avoir dégusté un bon plat.

Au restaurant, nous proposons de grands menus.

Nous avons donc dû fortement alléger les plats pour que les gens arrivent au bout du repas en étant plus à l’aise. Nous avons par exemple enlevé tout le beurre et il n’y a pratiquement plus de féculents. Au contraire, nous avons mis des légumes un peu partout car ils apportent de la texture, du détail et bien sûr du goût.

Où trouvez-vous vos sources d’inspiration et comment faites-vous pour continuer à faire vivre votre passion au quotidien ?

J’aime la création ! J’apprécie créer de nouveaux menus, tous plus différents les uns que les autres.

C’est dynamique, ça ne s’arrête jamais ! Je ne vais pas marcher dans la forêt pour penser à mes plats, c’est bien dans la cuisine que je suis le plus créatif. Ma seule hantise est qu’un jour la passion disparaisse. Aujourd’hui cependant, elle est bien là et me permet de m’épanouir au travail, c’est le feu sacré du métier. Mes journées sont très longues, je

Quel rôle joue la saisonnalité des ingrédients dans votre cuisine et comment cela peut-il être bénéfique pour la santé ?

Au niveau de la santé, la saisonnalité n’a pas trop d’impact. En revanche, elle est essentielle car plus durable. Au restaurant, nous avons créé une nouvelle saison entre le printemps et l’été pour éviter d’acheter des produits trop loin. Quand ils ne sont pas suisses, je m’autorise uniquement à aller chercher les produits dans les pays qui nous entourent tels qu’en France ou en Italie. Si l’on veut trouver un aliment qui ne vient pas de loin et qui est donc de meilleure qualité car il n’a pas voyagé pendant des

semaines, on est obligé de respecter la saisonnalité.

On a toujours utilisé des produits locaux, mais avant, on faisait peut-être un peu moins attention. L’évolution est donc positive dans ce sens-là.

Aujourd’hui, la clientèle est également plus sensible à ces sujets et ne veut plus consommer un produit qui a voyagé depuis le bout du monde.

En hiver, quels sont les aliments à privilégier ?

On peut manger beaucoup de légumes racines, des palets et des salsifis. Je recommande aux gens d’aller au marché car on y trouve des marchands locaux qui vendent des produits du coin et uniquement de saison.

L’alimentation durable est de plus en plus importante. Comment gérez-vous les pratiques durables dans votre cuisine tout en créant des plats sains et délicieux ?

Il est important d’avoir un équilibre dans les menus.

D’un côté, j’essaie de ne jamais proposer deux fois la même chose. Dans un menu gastronomique, je cuisine toujours une viande, des légumes ou encore deux ou trois plats qui sortent de l’eau. D’un autre côté, il n’y a rien en surabondance. Il est également très important pour moi d’utiliser tout ce que j’achète afin d’éviter le gaspillage. Au-delà de donner du plaisir aux gens, il faut aussi être rentable, ce qui passe par le fait d’éviter les pertes.

Les herbes et les épices ont souvent des avantages pour la santé. Pouvezvous partager quelques combinaisons d’assaisonnements originales que vous aimez utiliser dans vos plats pour ajouter de la saveur tout en maintenant l’équilibre nutritionnel ?

J’utilise beaucoup d’herbes sèches qui sont meilleures que les herbes séchées d’un point de vue nutritionnel. En effet, si ces dernières sont plus aromatiques, elles perdent leur côté nutritif en séchant. J’aime utiliser la livèche, que ma mère appelle l’herbe à magie, pour tout ce qui sort de l’eau, tel que les poissons, les crustacés, les coquillages. L’astuce est de remettre dans sa sauce l’herbe qu’on a utilisée une fois qu’elle est cuisinée. Cela permet de ramener le goût original de l’herbe et ses saveurs nutritives. En effet, en cuisant, le goût change.

Pouvez-vous partager des conseils sur la manière de rendre les légumes plus attrayants dans les plats, encourageant ainsi une alimentation plus saine ?

Les légumes sont importants dans ma cuisine. Il est nécessaire de maîtriser leur cuisson et de ne pas les servir trop cuits, ce qui peut être assez difficile. Sinon, de la même manière que pour les herbes, le goût change et ils perdent leur côté nutritif. Je rajoute souvent des légumes crus à mes plats. Cela ajoute du croquant et ramène le goût initial du légume. Par exemple, quand on fait une crème d’asperges à la maison, une fois qu’elles sont cuites et dans le bouillon, ajouter des asperges crues avant de les mixer fait toute la différence.

Interview Léa Stocky Image Pierre-Michel Delessert

Jus de Truffe noire 100 g de porto blanc 100 g de madère 200 g de bouillon de volaille Épluchures de truffes noires Sauce aux Truffes noires 1 échalote ciselée 40 g de truffe noire hachée 100 g de porto blanc 100 g de madère 200 g de jus de truffes noires 200 g de crème 60 g de beurre Finition 80 g de courge épluchée 2 tranches de pain de mie 120 g de jambon cru en tranches Beurre clarifié Assaisonnement Sel Poivre Tabasco Huile d’olive

Jus de Truffe noire Éplucher les truffes. Dans une casserole, porter à ébullition le porto et le madère, flamber et faire réduire de moitié. Ajouter le bouillon de volaille et les épluchures de truffes puis cuire 30 minutes, passer au chinois et réserver.

Sauce aux Truffes noires Faire suer l’échalote et la truffe noire hachée avec une noix de beurre. Saler et poivrer. Déglacer avec le porto blanc et le madère, réduire de moitié. Ajouter le jus de truffe, cuire 10 minutes. Mouiller avec la crème et laisser mijoter à nouveau 10 minutes.

Incorporer le beurre restant, mixer et rectifier l’assaisonnement avec du sel, du poivre et du Tabasco.

Garniture Tailler la courge en gros cubes et les poêler avec un filet d’huile d’olive, saler et poivrer. Égoutter sur un papier absorbant.

Cuire les salsifis dans de l’eau bouillante salée et légèrement citronnée. Vérifier la cuisson avec la pointe du couteau, refroidir et les couper en biseaux.

Cuire les pommes de terre grenaille en robe des champs, les refroidir et les tailler en rondelles.

Finition Tailler une truffe en cubes, les faire revenir rapidement dans du beurre avec du sel et du poivre.

Tailler la deuxième truffe en pastilles et la dernière en fine julienne. Hacher finement les parures des pastilles.

Couper également en cubes et en fins bâtonnets la courge crue.

Trancher le pain de mie en cubes, les colorer rapidement dans une poêle antiadhésive avec du beurre clarifié. Égoutter, saler et poivrer.

Couper les tranches de jambon en triangles et rouler des petits cornets.

Dressage Garnir élégamment les assiettes ou les bols avec les cubes de courge rôtis, les cubes de truffes noires, les rondelles de pomme de terre grenaille et les biseaux de salsifis. Les recouvrir d’un papier absorbant humide et les chauffer au four à 200 °C environ 5 minutes.

Ajouter les croûtons de pain, les cornets de jambon, la courge, les pastilles de truffe noire ainsi que la julienne.

Terminer le dressage en saupoudrant l’ensemble avec la truffe noire hachée. Servir la sauce émulsionnée bien chaude dans une saucière à part.

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UNIVERS SANTÉ SARL • BRANDREPORT 11

Les bienfaits surprenants du matcha pour la santé et le bien-être D

ans notre quête pour une santé optimale et un bien-être durable, il est essentiel de se pencher sur les bienfaits offerts par des ingrédients naturels. Parmi eux, le matcha se démarque par son statut d’antioxydant puissant. Ces dernières années, cette poudre de thé vert japonaise est devenue extrêmement populaire, et ce n’est pas sans raison. En plus de son goût délicieux et intense, le matcha offre une pléthore de bienfaits sur la santé, aidant à minimiser le déclin cognitif, réduire les risques de maladies telles que le diabète de type 2 et Alzheimer. L’occasion de découvrir les merveilles que le matcha, puissant antioxydant d’origine naturelle, offre à notre corps et notre esprit.

Le matcha pour préserver la santé cognitive L’un des bienfaits les plus étonnants du matcha est sa capacité à préserver la santé cognitive et à minimiser le déclin mental lié à l’âge. Les antioxydants présents dans le matcha, appelés catéchines, aident à neutraliser les radicaux libres qui endommagent les cellules du cerveau. En consommant régulièrement du matcha, on peut ainsi réduire les risques de maladies neurodégénératives telles qu’Alzheimer et Parkinson, tout en améliorant la concentration et la mémoire.

Le matcha pour prévenir le diabète de type 2 Le diabète de type 2, qui est souvent lié à des habitudes de vie malsaines, est devenu une épidémie mondiale. Heureusement, le matcha peut s’avérer être un allié précieux dans la prévention de cette maladie métabolique. Les catéchines du matcha aident à réguler la glycémie, en améliorant la sensibilité à l’insuline. Une consommation régulière de matcha peut donc réduire le risque de développer un diabète de type 2, tout en favorisant une meilleure gestion du taux de sucre dans le sang.

les bienfaits qu’ils apportent. En optant pour un matcha bio, on s’assure de boire une boisson saine et naturelle, sans aucun pesticide ou résidu chimique.

L’approvisionnement se fait auprès de producteurs locaux engagés dans des pratiques respectueuses de l’environnement. Cela permet d’offrir un matcha bio d’une qualité inégalée, sans compromis sur le goût ou sur ses bienfaits.

Chez Kumiko Matcha, le matcha est bien plus qu’une simple boisson. C’est un art de vivre, une expérience sensorielle où les saveurs subtiles se mêlent à la tradition et à l’histoire. Que l’on soit un amateur cherchant à enrichir son palais ou simplement curieux de découvrir de nouvelles saveurs, les assemblages et millésimes de matcha sauront éveiller les papilles et transporter dans tout un chacun un monde de délicatesse et de finesse.

Le matcha pour protéger le système cardiovasculaire Le matcha a également un impact positif sur la santé cardiaque. Les catéchines et les antioxydants présents dans le matcha aident à réduire le taux de cholestérol, à diminuer la pression artérielle et à prévenir la formation de caillots sanguins. De cette manière, le matcha joue un rôle actif dans la prévention des maladies cardiovasculaires, telles que l’hypertension, l’athérosclérose et les maladies cardiaques.

Le matcha pour renforcer le système immunitaire Le matcha est également un précieux allié pour renforcer le système immunitaire. Sa teneur en

antioxydants aide à protéger notre corps contre les agressions extérieures, en renforçant le système immunitaire. De plus, il contient de la L-théanine, un acide aminé qui favorise la relaxation et aide à réduire le stress, ce qui contribue également à renforcer notre système de défense naturel.

Kumiko Matcha Les matcha d’exception de chez Kumiko Matcha sont reconnus pour leur qualité exceptionnelle. L’occasion de bénéficier de toutes les propriétés bénéfiques de cette boisson ancestrale japonaise tout en savourant un délicieux thé au goût subtil et raffiné. En effet, ces matcha respectent rigoureusement toutes les étapes de la production afin de garantir tous

La saveur umami : une expérience gustative insoupçonnée La saveur umami, souvent qualifiée de cinquième goût, est connue pour son caractère savoureux, riche et délicat. Elle ajoute de la profondeur et de la complexité aux plats, prolongeant ainsi l’expérience gustative. Lorsque la saveur umami rencontre le matcha, le résultat est tout simplement époustouflant.

Vous trouverez tous nos matcha d’exception sur le site suisse www.kumiko.ch Pour nos lecteurs -15%! code promo : #focussanté

Qu’est-ce que l’état plasma ?

Lorsque nous pensons aux différents états de la matière, nous avons tendance à nous limiter au solide, au liquide et au gaz. Cependant, il existe un quatrième état, moins connu du grand public, qui est l’état plasma.

L

’état plasma est un état extrêmement chaud et énergétique dans lequel les atomes d’un gaz se trouvent ionisés. En conséquence, un plasma est constitué de particules chargées positives et négatives, qui se déplacent librement dans un environnement électriquement conducteur.

ce qui permet au patient de reprendre le cours de sa vie après seulement quelques heures.

Ses caractéristiques : – Portable, léger (500gr) et maniable – Autonomie accrue par 3 batteries rechargeable de 3,7V 2600mA chacune – Niveau de sortie par radiofréquence réglable de 0 à 100 % !

– Fréquence 53kHz – Puissance IN de 28W – Dimensions 225 x 45 x 35 mm

Le plasma que nous pouvons rencontrer le plus fréquemment dans notre vie quotidienne est probablement le plasma de la flamme. Lorsque nous brûlons du bois ou du gaz naturel, nous observons une flamme qui brille et émet de la chaleur. Cette flamme est en fait un plasma composé de particules électriquement chargées provenant de la combustion.

Parmi les autres exemples de plasma, on peut citer les éclairs, les aurores polaires et même le soleil.

L’une des caractéristiques les plus fascinantes de l’état plasma est sa conductivité électrique élevée. C’est pour cette raison qu’il est utilisé dans de nombreuses applications technologiques importantes.

L’état plasma au service de la médecine esthétique ou pathologique Dans le domaine médical, les avancées technologiques ne cessent de surprendre et de se réinventer. Dans le domaine de la médecine esthétique, l’utilisation de l’état plasma a commencé à se faire remarquer grâce à ses propriétés régénératives et cicatrisantes. Les praticiens sont en mesure de traiter divers problèmes cutanés tels que les cicatrices, les vergetures, les taches pigmentaires, ainsi que le relâchement cutané. L’action du plasma sur la peau permet de stimuler la production de collagène, de façon non invasive. De plus, l’état plasma favorise également la régénération cellulaire pour un effet rajeunissant appréciable.

Les avantages de l’utilisation du Plasma 4.0 dans la dermatologie, la médecine esthétique et l’oculoplastie

L’état plasma présente également des avantages pour le traitement de certaines pathologies, comme le traitement des verrues, des kératoses actiniques et des lésions précancéreuses. Son utilisation offre ainsi une alternative efficace et moins invasive à certaines procédures chirurgicales.

Cependant, il est important de souligner que l’utilisation de l’état plasma dans la médecine esthétique et pathologique nécessite une expertise médicale avérée. Les professionnels de santé doivent être formés à cette technique et s’assurer d’une utilisation appropriée des dispositifs plasma. Une évaluation minutieuse des patients, ainsi qu’une adaptation précise du traitement sont primordiales pour garantir des résultats optimaux et éviter tout risque potentiel.

arc électrique, ce qui garantit au patient des traitements efficaces peu invasifs et peu douloureux.

Plasma 4.0 Plasma 4.0 est un dispositif médicalement certifié qui utilise la radiofréquence pour générer la formation de plasma. Sa grande puissance permet d’obtenir une précision exceptionnelle. Cet appareil de haute gamme est destiné à l’utilisation exclusive du personnel médical avec une excellente formation et spécialisation en chirurgie qui constituent en la transformation et la correction des tissus biologiques en particulier celle de la peau.

Comment fonctionne Plasma 4.0 : Sans jamais être en contact avec la peau, Plasma 4.0 utilise une aiguille stérile permettant de « viser » l’imperfection. Il délivre un courant alternatif en radiofréquence qui va produire un arc voltaïque, visible à l’œil nu, grâce à l’air se trouvant entre les deux électrodes constituées d’un côté par l’aiguille et de l’autre l’imperfection de la peau. Cet état plasma créé provoque un échauffement rapide de la peau avec une ablation des tissus parfaitement contrôlée et des dommages thermiques collatéraux minimisés. La technologie utilisée permet un traitement extrêmement efficace, peu invasif et peu douloureux malgré la sensibilité des zones traitées.

Avec Plasma 4.0, la plupart des lésions cutanées peuvent être atténuées et traitées par dermabrasion à

Grâce à sa puissance incomparable, la précision de l’intervention est véritablement ciblée

Avec sa grande précision, le Plasma 4.0 permet d’effectuer une blépharoplastie non invasive, réduisant ainsi les risques associés à la chirurgie traditionnelle des paupières, pour des résultats naturels et efficaces.

Le Plasma 4.0 peut être utilisé pour atténuer l’apparence des cicatrices, en particulier celles causées par l’acné ou par l’exposition excessive au soleil. Le Plasma 4.0 est également efficace pour accélérer la guérison de ces cicatrices en stimulant la production de nouvelles cellules cutanées. Il réduit également leur inflammation et leur hyperpigmentation, améliorant ainsi la texture et l’apparence de la peau.

Le Plasma 4.0 offre une solution non invasive pour éliminer les néoformations cutanées bénignes, telles que les verrues et les kératoses,sans endommager les tissus environnants.

Grâce à sa grande puissance, le Plasma 4.0 offre une solution efficace pour réduire l’apparence des rides et traiter la laxité cutanée au niveau des paupières, car il stimule la production de collagène et resserre la peau.

Plasma 4.0 de Cesare Quaranta Srl (IT), distribué en suisse par Univers Santé Sàrl, sera disponible dès le 1er janvier 2024 en suisse.

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12 PRÉVENIR LES BLESSURES

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Hiver périlleux : prévenir ou guérir les blessures de la saison

Image iStockphoto/gilaxia

L’hiver est souvent synonyme de froid, de neige et de glace. En conséquence, les accidents sont plus courants. Les urgences médicales observent effectivement une augmentation significative des blessures liées aux activités hivernales et aux conditions climatiques. Fractures, entorses, traumatismes crâniens ou du rachis figurent parmi les blessures les plus fréquentes dès l’arrivée de la saison hivernale.

Franck Devos

Médecin chef aux Urgences orthopédiques Hirslanden Clinique Bois-Cerf

F

ranck Devos, médecin chef aux Urgences orthopédiques Hirslanden Clinique BoisCerf à Lausanne, est expert dans le diagnostic en traumatologie et la prise en charge initiale. Dans cette interview, il éclaire sur la manière de différencier, traiter et surtout anticiper les blessures pendant cette période de l’année.

Il y a forcément des facteurs extérieurs tels que le verglas ou le fait qu’il fasse nuit tôt. Mais il y a aussi des facteurs internes. À cause du froid, les gens vont moins sortir de chez eux et vont donc faire moins d’exercice. Cela impacte la proprioception (sensibilité profonde). Faire des mobilisations et des exercices récurrents entretient la mémoire du muscle à réagir à des contraintes.

Il y a aussi des problèmes de fragilisation osseuse et du système immunitaire à cause d’un déficit en vitamine D. Cette dernière est essentiellement produite par l’exposition au soleil et permet d’utiliser le calcium que l’on absorbe. Dans l’idéal, il faudrait sortir au moins une demie heure par jour pour s’exposer au soleil. On peut compenser cela par l’alimentation (œufs, poissons gras, etc.) ou les médicaments (traitement oral par vitamine D), mais cela est moins efficace que la production cutanée.

Dr Franck Devos, quelles sont les blessures que vous observez le plus lors de la période hivernale ?

Les types de traumatisme sont essentiellement liés aux sports d’hiver et aux chutes sur le verglas. Ils touchent notamment les membres inférieurs et les extrémités: chevilles, poignets, mains, genou, etc. On peut aussi observer quelques traumatismes de la tête et du rachis avec des tassements vertébraux. Chez les personnes âgées, les traumatismes du bassin et de la hanche avec des fractures du col de fémur sont des cas plus spécifiques.

Comment différencier foulure, entorse et fracture ? Comment réagir dans les premiers temps ?

La différence entre les foulures et les entorses est une question de degrés. Il n’y aura pas de dégâts visibles au niveau des articulations, des muscles ou des ligaments lors d’une foulure. Dans ce cas-là, il suffit de se reposer, de mettre un peu de glace et de voir au bout de deux-trois jours si cela passe.

Ces blessures sont-elles principalement dues à des facteurs externes tels que la glace et la neige, ou résultent-elles également d’une fragilisation de l’organisme due aux conditions hivernales?

Pour les entorses, il y a une déchirure au niveau des ligaments et parfois des atteintes articulaires. On va avoir un œdème, le membre va gonfler et faire assez mal. Mais comme les foulures, il n’est pas nécessaire de

consulter dans l’heure. L’essentiel est du repos, mettre de la glace et venir aux urgence à une heure confortable, généralement le matin, pour la consultation.

Lors d’une fracture, l’os est cassé. Cela peut aller du petit arrachement osseux proche de l’entorse à une fracture qui peut être alignée, déplacée ou, dans les cas les plus graves, ouverte. Cette dernière est une urgence, il faut être opéré le soir même. Quand il y a une déformation, les signes de gravité sont une perte de sensibilité ou un problème vasculaire où les doigts ont tendance à bleuir, par exemple. Mieux vaut alors appeler une ambulance ou s’expliquer clairement aux urgences pour être pris en charge rapidement.

Finalement, un cas particulier est la fracture du rachis. Lorsqu’il y a un traumatisme au niveau de la colonne, mieux vaut rester au sol en attendant les secours. S’il a une fracture déplacée, un mauvais mouvement pourrait entraîner des atteintes de la moelle épinière. Les symptômes d’un tel accident sont des douleurs dans le dos et dans le cou. Si la personne arrive à se relever d’elle-même mais ressent une douleur au dos par la suite, il est nécessaire de consulter en urgence. Les signes d’alerte sont une perte de sensibilité ou des pertes de force au niveau des jambes ou des bras.

Que faire en cas de suspicion de traumatisme crânien ?

En cas de perte de connaissance, on se rend directement aux urgences. Si la personne n’a pas repris connaissance ou se sent confuse, qu’elle n’a pas un comportement habituel ou n’est pas bien, il faut

En découvrir plus sur

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appeler le 144 pour qu’elle soit orientée dans un centre où il y a des experts en cas de problème cérébral.

Si on s’est cogné la tête mais qu’il n’y a pas de confusion ni de perte de connaissance, on va simplement surveiller de manière rapprochée sur 24 heures. Les signes d’alertes sont des vomissements répétés, des maux de tête qui augmentent, des problèmes de comportement ou de confusion, des problèmes neurologiques tels que des troubles de l’équilibre, une perte de force ou de sensibilité dans les bras ou dans les jambes.

Quels conseils donneriez-vous afin de prévenir les blessures et les chutes fréquentes pendant la saison hivernale?

Avant de reprendre les activités de ski, il est important de se préparer en faisant du renforcement musculaire.

Le ski est un sport où l’on est remis assez brutalement dans l’exercice de nos muscles. Le fait de les travailler en avance évite beaucoup de blessures. Il suffit de faire un peu de marche, de course à pied ou des exercices qui travaillent la stabilité comme les squats.

Il est également essentiel d’agir sur la prévention des personnes âgées. Ce qui permet le plus de prévenir les chutes est l’activité physique. Il est primordial que, dès les premier signes, l’entourage réagisse et ne laisse pas venir la première chute. L’idéal est de consulter un gériatre pour faire un bilan de chute ou de faire un peu d’activité physique. Le principe de la médecine anti-chute est de faire des séances de rééducation avec du renforcement musculaire et du travail de la proprioception.

Interview Maévane Mas

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AIR GLACIERS • BRANDREPORT 13

Des secours en toute sérénité en Suisse et à l’étranger Fondée en 1965, Air-Glaciers incarne la vision pionnière du sauvetage en montagne, née du profond désir de mobiliser tous les moyens nécessaires pour sauver des vies, quelles que soient les conditions, et ce, sans le soutien d’aucune subvention cantonale ou fédérale.

L

Combien coûte une carte de sauvetage et comment y souscrire ?

Les tarifs sont extrêmement abordables et sont réglables à l’année. Ils s’élèvent à 35 CHF par an pour une personne individuelle et atteignent 80 CHF par an pour une famille, qui comprend deux adultes ainsi que tous les enfants de moins de 18 ans. La souscription s’effectue directement en ligne, sur www.air-glaciers.ch, ou par téléphone au 027 329 14 18.

a carte de sauvetage d’Air-Glaciers va au-delà des assurances traditionnelles, remboursant les frais liés aux sauvetages et proposant des prestations souvent négligées par d’autres assurances. Elle offre à ses membres un dispositif solide et fiable pour assurer la prise en charge des frais de sauvetage en cas de maladie ou d’accident, à la maison, sur la route ou en montagne.

Là, où et quand on en a besoin En cas d’incident en Suisse, le réflexe est d’appeler le numéro d’urgence : 144. Les secours déploieront alors les moyens nécessaires pour secourir le ou les individus en détresse et selon la nature de l’urgence, détermineront les moyens adéquats, ambulance, hélicoptère ou autre. Une fois l’intervention effectuée, le prestataire enverra une facture au patient, qu’il devra soumettre à ses assurances de base et complémentaires. En fonction de la situation professionnelle d’un individu, de ses assurances et d’autres paramètres, les assurances prendront en charge les frais de manière variable, dépendamment des situations. Il y a certains cas, par exemple, où les assurances n’entrent pas du tout en matière – l’entier de la facture reste alors à la charge de la personne accidentée.

Parfois, l’assurance maladie de base (LAMal) ne prend en charge qu’une partie limitée des coûts, laissant à la charge de l’individu des frais qui peuvent être élevés.

C’est là que la carte de sauvetage intervient en comblant les éventuels écarts financiers. Par exemple, si l’assurance ne couvre pas intégralement les frais d’un sauvetage en ambulance ou par hélicoptère, la carte de sauvetage remboursera la différence, après les assurances, excluant les quotes-parts et franchises éventuelles.

Quels sont les frais pris en charge ?

De manière concrète, une fois que l’intervention est terminée, la personne concernée doit transmettre les factures à ses assurances (de base et

Image ©Air-Glaciers - Richard Chapuis

complémentaires), qui lui fourniront un décompte de prestations détaillé. Si une partie ou la totalité des frais de sauvetage demeurent à la charge de l’individu, il convient au titulaire de la carte de sauvetage de transmettre les documents nécessaires à Air-Glaciers.

Les frais pris en charge par la carte de sauvetage varient en fonction des circonstances de l’intervention. En ce qui concerne les sauvetages héliportés ou en ambulance, la carte de sauvetage couvrira les coûts non pris en charge par les assurances, à l’exception des quote-parts et franchises. Les autres prestations de la carte de sauvetage, telles que les vols d’évacuation en cas de danger et le rapatriement de l’étranger vers la Suisse, sont remboursées intégralement, sans limite de montant, à l’exception des vols de recherche, qui eux sont pris en charge aussi longtemps que subsiste un espoir de survie.

Que faire si je vis une situation d’urgence à l’étranger ?

Air-Glaciers se charge exclusivement des rapatriements médicalement nécessaires, non pris en charge par les assurances. En d’autres termes, si un incident survient à l’étranger et qu’il nécessite une hospitalisation sur place, le médecin local en charge de la personne accidentée entrera alors en contact avec son médecin référent en Suisse. Ensemble, ils évalueront les soins nécessaires. Si les soins disponibles à l’étranger ne sont pas considérés comme équivalents à ceux prodigués en Suisse, Air-Glaciers prendra en charge, organisera et financera intégralement son rapatriement vers la Suisse. Les frais inhérents au sauvetage (du lieu de l’accident vers l’hôpital) et d’hôpitaux à l’étranger ne sont eux pas pris en charge par la carte de sauvetage.

Pourquoi choisir Air-Glaciers ?

La carte de sauvetage Air-Glaciers propose une gamme de prestations plus étendue que certaines cartes concurrentes, incluant par exemple la prise en charge d’un transport en ambulance par personne et par année, le tout à un tarif très accessible. En tant que compagnie à taille humaine, l’équipe en charge de la carte de sauvetage assure un accompagnement et un suivi personnalisé, disponible en trois langues (français, allemand, anglais). Grâce à un interlocuteur attitré, les bénéficiaires profitent d’un service rapide et compétent.

En souscrivant à la carte, les membres font le choix d’une protection financière inégalée en cas d’urgence, tout en soutenant activement le développement du sauvetage en région alpine. Avec Air-Glaciers, vos passions peuvent être vécues et pratiquées en toute quiétude.

Texte Océane Ilunga

air-glaciers.ch/carte-de-sauvetage

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13.12.23 09:37

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14 BRANDREPORT • PHYSIO HOME CARE

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Des physiothérapeutes à domicile en un clic Le digital au service de la rééducation des seniors

P

hysio Home Care est une organisation spécialisée dans la rééducation à domicile des seniors. Depuis 2017, elle utilise le digital pour simplifier leur accès aux soins et renforcer leur autonomie : rencontre 2.0 avec Marc Vanuytrecht, fondateur et dirigeant.

Marc, pouvez-vous nous présenter Physio Home Care et nous expliquer en quoi ce service révolutionne l’accès aux soins des plus âgés ?

Physio Home Care est une organisation de physiothérapie principalement dédiée à la rééducation et à la réadaptation fonctionnelle à domicile des seniors.

Notre ambition était de proposer un physiothérapeute à domicile en moins de 72 heures afin de favoriser leur retour/maintien à la maison. Une promesse tenue qui constitue un véritable défi. Physio Home Care est présent dans les cantons de Genève, de Vaud, du Valais ainsi qu’au Tessin et c’est à ce jour le seul service régionalisé, centralisé et coordonné permettant une prise en charge intégrée dans le parcours de soins.

Concrètement, le patient peut compléter un questionnaire ciblé en ligne au format conversationnel.

Cela nous permet d’identifier plus précisément ses besoins et de favoriser la mise en place de prestations personnalisées dès la première séance. Puis, le patient, ou son proche, poursuit la demande de prise en charge par le biais d’une secrétaire virtuelle sur notre site internet ou par téléphone. Il est ensuite suivi par le même physiothérapeute tout au long de sa rééducation.

Cette fidélisation est essentielle. Elle crée un climat de confiance qui contribue grandement à la réussite thérapeutique. Physio Home Care est un service simple, efficace, sur mesure et remboursé par les assurances sur présentation d’une prescription médicale.

Vous êtes vous-même un physiothérapeute expérimenté. Est-ce votre pratique du terrain qui vous a motivé à créer ce service ?

Quel manque avez-vous identifié ?

J’ai travaillé pendant une quinzaine d’années dans les hôpitaux de la région lémanique, notamment au CHUV. J’observais régulièrement des séjours hospitaliers prolongés chez les seniors faute de places en centres de soins de suite, comme les cliniques de réadaptation par exemple, ou faute de dispositifs de physiothérapie à domicile coordonnés avec les réseaux de soins. L’engorgement des hôpitaux est une réalité et un enjeu pour les acteurs ambulatoires qui ont un rôle important à jouer. D’autant qu’avec le vieillissement de la population, la situation pourrait se dégrader. Après une étude de marché approfondie et la lecture de nombreux rapports d’activité émanant de structures de soins, Physio Home Care est apparue comme une évidence puisqu’il n’existait aucun service équivalent. Pourtant, le rôle du physiothérapeute est déterminant dans le projet de maintien à domicile des personnes âgées. Il est, par essence, un spécialiste de la restauration et du maintien des aptitudes fonctionnelles sans lesquelles l’autonomie des patients est compromise. En août 2017, notre service était lancé.

Vous vous êtes donné pour mission de simplifier l’accès des seniors aux prestations

de rééducation à domicile. Six ans après la création de Physio Home Care, diriez-vous que la mission est accomplie ?

Le chemin a été long et il a demandé beaucoup de détermination. Aujourd’hui, Physio Home Care offre un service très apprécié des patients et des partenaires des réseaux de soins. L’organisation compte plus d’une trentaine de collaborateurs. En six ans, nous avons accompagné près de 4000 patients et réalisé environ 100 000 consultations. Ces chiffres témoignent de l’utilité de notre service, pour les seniors comme pour les professionnels de santé. Nous sommes devenus un partenaire solide pour les centres hospitaliers, notamment pour les infirmières de liaison, mais aussi pour les structures de soins infirmiers à domicile. Notre contribution à la réduction du phénomène d’engorgement des structures stationnaires et à l’amélioration du parcours de soins est objective. À l’heure où les physiothérapeutes sont pris pour cible par le Conseil Fédéral avec la proposition d’une nouvelle structure tarifaire qui pourrait encourager une baisse de la qualité des prestations, il est important de rappeler qu’ils contribuent en réalité à la baisse des coûts de santé.

soins. La réussite de la prise en charge ne relève plus seulement du geste thérapeutique mais de l’expérience dans son ensemble. À cet égard, les courants actuels se focalisent de plus en plus sur la qualité perçue par le patient (Value Based Medicine) pour valider les bénéfices d’une thérapie. Il existe une idée préconçue selon laquelle les seniors ne maîtrisent pas les nouvelles technologies. C’est une erreur. Environ 70 % des 65-75 ans disposent d’un ordinateur, d’une tablette ou d’un smartphone*. La fréquentation de notre site internet témoigne de cette tendance avec des retours extrêmement positifs. Si la moyenne d’âge des patients qui s’adressent à Physio Home Care se situe autour de 82 ans, nous constatons que 53 % d’entre eux sont équipés d’un outil numérique. 2022 a été un tournant majeur dans la structuration de notre activité. Nous avons déployé un outil qui nous connecte davantage à nos patients, à leurs proches le cas échéant, aux partenaires du réseau de soins et aux prescripteurs. Une opportunité qui laisse entrevoir de nouvelles perspectives. Notre ambition est de devenir le premier réseau de soins intégré complètement digitalisé. Cela a du sens et permettrait de remédier à des problématiques inhérentes aux soins à domicile.

réciproque et forte. La fiabilité des collaborateurs est déterminante. Le déclencheur pour nous, c’est l’attitude, l’honnêteté intellectuelle. Nous attachons également beaucoup d’importance au déploiement d’une culture d’entreprise qui repose sur le soutien des collaborateurs et la qualité de nos prestations.

L’un ne va pas sans l’autre. L’idée est de prendre soin des équipes avant de leur confier la mission du soin. Et la recette fonctionne ! À l’issue de chaque prise en charge, nous envoyons un questionnaire de satisfaction aux patients. Si nous avons un taux de recommandation de 97 %, c’est davantage un indicateur destiné à l’amélioration continue de notre service qu’un argument de conviction.

Encore une fois, notre succès tient à nos équipes !

Quelles sont vos perspectives d’évolution ?

Peut-être prévoyez-vous une adaptation de Physio Home Care à d’autres activités ou d’autres marchés ?

Nous travaillons effectivement sur plusieurs axes de développement. L’un d’eux consiste à étoffer notre offre de prestations. Nous avons par exemple déployé un service de rééducation urogynécologique à domicile dans le canton de Genève. Si nous prenons en charge de jeunes femmes en post-partum, cette prestation s’adresse surtout aux femmes âgées pour lesquelles l’accès à ce service est particulièrement compliqué. Notre focus reste la personne âgée et son parcours de soins, en Suisse comme à l’étranger. L’autre axe vise d’ailleurs un déploiement en francophonie où il existe des problématiques similaires d’accès aux soins. Le modèle s’appuierait très largement sur notre infrastructure et notre stratégie IT : une approche « Swiss made » qui trouverait son public tout en profitant d’un contexte règlementaire très favorable à un tel déploiement. La poursuite de nos développements est fortement liée à nos capacités de financement, c’est pourquoi nous avons entamé un processus de levée de fonds il y a quelques mois. L’aventure ne fait que commencer, au service de l’humain et du bien vieillir chez soi. *Source : Digital Senior 2020 (Pro Senectute)

Vous souhaitez mettre l’humain au centre du parcours de soins. Pourtant, votre service s’appuie en grande partie sur le digital.

N’est-ce pas contradictoire ? En quoi peut-il améliorer l’accès aux soins ?

Le digital ne remplacera pas l’humain, particulièrement en physiothérapie où le contact est fondamental. L’idée est plutôt de s’appuyer sur la technologie pour améliorer l’expérience patient et la qualité de la prise en charge dans son ensemble. Le digital est un outil efficace pour orienter et rassurer le patient en amont d’un rendez-vous physique avec le thérapeute. C’est aussi un levier pour renforcer le suivi et soutenir la prévention. L’enjeu est d’allier la qualité des relations humaines aux bénéfices du numérique.

Cette approche permet de repenser le parcours de

Physio Home Care compte une trentaine de collaborateurs salariés. Comment les recrutez-vous ?

La qualité de nos prestations tient à celle de nos équipes. C’est pourquoi le recrutement revêt une importance capitale. Nous avons la chance de recevoir de nombreuses candidatures spontanées, plus de 120 depuis janvier 2023. Ce processus est capital et nous l’avons complètement repensé. Ici encore, le digital permet d’optimiser cette étape décisive, de la sélection du futur collaborateur à la signature du contrat en passant par la rencontre. 80 % du processus est automatisé ce qui nous permet de nous focaliser sur l’accueil et l’intégration des nouveaux collaborateurs. Il s’agit de prestations à domicile auprès de patients vulnérables, la confiance doit être

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GLOBAL SURGERY • BRANDREPORT 15

Migraines, névralgies d’Arnold, algies vasculaires : quels traitements lorsque rien d’autre ne fonctionne ?

Environ 15% de la population souffre de migraine, une affection que l’organisation mondiale de la santé classe parmi les maladies les plus invalidantes. Alors que certains parviennent à atténuer leurs souffrances grâce à des médicaments, d’autres éprouvent des difficultés à soigner la douleur par des traitements pharmacologiques. Dans ces cas-là, des alternatives existent.

Dre. Scherer

Chirurgienne Global Medical Institute

Dr. Pietramaggiori

Chirurgien Global Medical Institute

L

e Dr. Pietramaggiori et la Dre. Scherer sont chirurgiens au sein du Global Medical Institute à la clinique de la Source à Lausanne. Spécialisés dans les traitement des céphalées chroniques, ils s’occupent de patients souffrant de migraine ou de céphalées importantes et réfractaires aux traitements habituels. Leur approche mini-invasive, saluée à l’échelle mondiale, est notamment documentée dans leur livre « Minimally Invasive Surgery for Chronic Pain Management: An Evidence-based Approach », paru en 2020.

Dr. Pietramaggiori et Dre. Scherer, quels sont les différents types de céphalées ?

Dr. : Les migraines, les névralgies d’Arnold et les algies vasculaires constituent des affections distinctes, chacune étant caractérisée par des critères spécifiques rigoureusement définis.

Les migraines ou algies vasculaires sont souvent déclenchées par le nerf trijumeau à l’avant de la tête et se manifestent par des crises intenses et douloureuses. En revanche, les névralgies d’Arnold trouvent

tête. Le traitement ne nécessite d’aucune anesthésie et il est effectué en ambulatoire. Aucun arrêt de travail est à prévoir. La durée de l’effet du traitement est de 3 mois en moyenne ou 4 administrations par année.

leur origine dans une perturbation du nerf d’Arnold, situé à l’arrière de la tête. Les patients éprouvent des douleurs souvent continues, débutant dans la nuque et remontant parfois jusque derrière les yeux. Cela est dû aux nerfs occipitaux qui passent sous le grand muscle de la nuque. Lorsque que celui-ci est trop sollicité, une inflammation chronique peut se développer et causer une névralgie d’Arnold. La douleur est constante car le muscle est tout le temps sous tension. En plus de cela s’ajoutent des crises très intenses comme les migraines. Cette maladie est très invalidante.

Dre. : C’est important de noter que la migraine et la névralgie d’Arnold ne sont pas de simples maux de tête - il s’agit d’une maladie souvent invalidante. Bien qu’on ne connaisse pas leur exacte origine au jour d’aujourd’hui, nous savons très bien quels sont leurs symptômes et nous disposons de moyens de plus en plus efficaces pour les soulager.

Quels sont les traitements alternatifs lorsque les médicaments habituels n’aident plus ?

Dre. : Si les individus sont confrontés à des migraines chroniques, c’est-à-dire qu’ils endurent des maux de tête plus de la moitié du temps, et qu’ils ne répondent pas aux médicaments ou n’en supportent plus les effets secondaires, ils nous sont adressés. Nous essayons alors d’identifier si un ou plusieurs nerfs sont responsables des douleurs qu’ils subissent.

Si tel est le cas, nous proposons différents traitements en fonction du nerf touché. Pour les migraines, nous commençons par l’infiltration de toxine botulique, mieux connue sous le nom de botox. Ce neuromodulateur a un effet sur la douleur. Si le patient répond au traitement au botox, il observera une réduction de l’intensité, de la fréquence et de la durée de ses attaques. Cela implique également une diminution significative de la prise de médicaments.

Dr. Pour les névralgies d’Arnold, en cas d’inefficacité des médicaments, nous proposons une décompression mini-invasive du nerf d’Arnold, une technique que nous avons étudiée de manière approfondie. Cette intervention se traduit par une petite incision qui libère le nerf des contraintes mécaniques, sans le brûler ni le détruire. Les résultats sont prometteurs, avec une amélioration significative observée chez plus de 85% des patients ayant bénéficié de cette intervention chirurgicale.

Quels sont les patients éligibles pour le traitement par toxine botulique ?

Dr. : Le traitement par toxine botulique pour les migraines existe depuis environ 15 ans et a été approuvé en Suisse, permettant aux patients de bénéficier du remboursement par la plupart des assurances.

En Suisse, pour être éligible à ce traitement, les patients doivent avoir déjà essayé les traitements standard sans efficacité. L’avantage de cette approche est l’absence d’effets secondaires typiques de médicaments.

La toxine botulique est un médicament administré par le biais d’injections microscopiques autour de la

Existe-il d’autres traitements chirurgicaux en cas de maux de têtes invasifs ?

Dr. : Il existe un traitement pour les céphalées dites secondaires qui surviennent après une chirurgie ou un accident. Il se peut que le nerf se bloque autour de la cicatrice et engendre des maux de tête. Pour ce type de céphalée, nous prélevons de la graisse avec une petite canule pour ensuite la réinjecter au niveau des cicatrices afin de régénérer les tissus. Grâce à cette approche mini-invasive, les patients constatent une amélioration significative.

Dre. : L’avantage de cette technique est qu’il n’y a pas de plaies et la reprise des activités de la vie est presque immédiate. Il s’agit d’une approche dite de médecine régénérative, car ce sont les cellules du patients qui soignent sa douleur.

Interview Maévane Mas

MEDICAL INSTITUTE MIGRAINE - AESTHETIC SURGERY - LASER CENTRE

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16 DÉPRESSION HIVERNALE

FOCUS.SWISS

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La dépression hivernale, une fatalité ?

Isabelle Auray

Psychologue de la santé

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orsque le froid s’installe et que les journées se raccourcissent, le moral peut parfois chuter au plus bas. Doit-on subir ces fluctuations émotionnelles ? Psychologue de la santé, membre de la Fédération Suisse des Psychologues et Docteure en Psychologie, Isabelle Auray est spécialisée dans les maladies chroniques, les maladies graves et tout ce qui touche à la dépression et au burn-out. Entre autres activités, elle travaille au cabinet PsyOne, à Genève.

Dans cette entrevue, elle tente d’offrir des pistes pour comprendre et faire face à la dépression saisonnière.

Docteure Isabelle Auray, quelles sont les causes de la dépression hivernale et en quoi diffèrent-elles de la dépression classique ?

Au niveau biologique, que ce soit dans le cas de la dépression classique ou hivernale, il y a un dysfonctionnement au niveau de la transmission de l’information entre les neurones, et cela peut avoir de nombreuses conséquences.Les autres causes de la dépression sont d’origine psychologique et peuvent faire suite à des évènements traumatisants, à la solitude, au surmenage,… Le principal facteur en jeu dans le cas de la dépression hivernale est le manque de luminosité. Le temps plus couvert, plus gris, va accentuer les symptômes de la dépression classique ou déclencher une dépression hivernale.

Nous distinguons deux profils de personnes. Certaines ont déjà une structure dépressive et seront donc plus vulnérables par rapport à la question du développement de la dépression hivernale. D’autres n’ont pas de structure dépressive mais l’hiver peut annoncer quelque chose de plus fragile.

Quels sont les symptômes courants de la dépression hivernale ?

Premièrement, la baisse de moral et la baisse de motivation. La personne ne se sent pas motivée et n’a pas d’énergie pour faire les choses du quotidien. Vu qu’il y a une baisse de moral, l’humeur est modifiée, ce qui entraîne un manque de confiance en soi qui a son tour peut générer de l’anxiété. Il peut aussi y avoir une hypersensibilité. Le sommeil va être de moins bonne qualité et avec une envie de dormir plus importante, ce que l’on appelle une hypersomnie. La libido peut également baisser et l’individu a une tendance à s’isoler socialement. C’est un cercle vicieux parce que si on s’isole, on a encore moins envie de voir du monde et on a plus envie de dormir, or si on dort plus, on a moins de libido etc. Ces symptômes sont valables dans les dépressions classiques et hivernales mais l’intensité des symptômes sera moins prononcée dans la dépression saisonnière.

C’est donc cette intensité qui permet de les distinguer ?

Oui, ainsi que le moment où la dépression va émerger.

La personne qui fait une dépression hivernale la fera au moment de l’hiver, le changement d’heure jouant un rôle important. C’est une période où il y a une modification du rythme circadien.

Pourquoi le soleil influe-t-il sur notre état de santé mentale ?

C’est plus précisément l’exposition à la lumière du jour qui est très importante. Cette exposition influe positivement sur notre état parce que le soleil, par la lumière qu’il apporte, joue un rôle important sur l’humeur. J’ai envie de dire que “la lumière, ça éclaire notre vie”.

Quels sont les avantages de la psychothérapie ?

Avant même d’avoir recours à n’importe quelle thérapie, il faut déjà être dans la prévention. Faire de l’exercice physique, passer du temps à l’extérieur ou apprendre à gérer le stress sont autant de solutions de prévention. Il existe également des applications comme App-Connect qui permettent d’avoir des petits conseils, de ne pas se sentir seul et de pouvoir échanger de manière anonyme. Si le mal être persiste, on peut se tourner vers la psychothérapie.

Les avantages de la thérapie, c’est qu’on essaie de cerner les problématiques et on tente d’apporter des solutions en s’adaptant à la personne que nous avons en face de nous. On essaie de voir avec elle ce qu’elle a la capacité de faire en fonction de la situation dans laquelle elle se trouve. Puis, on tente de voir s’il n’y a pas des problèmes connexes qui peuvent surgir derrière une dépression hivernale.

Quels sont les signes à surveiller et les moyens de proposer de l’aide ?

La première chose qu’on peut remarquer en tant que proche, c’est s’il y a un changement d’humeur, si on sent la personne moins réactive, plus irritable, plus stressée,... par rapport à des choses

sur lesquelles elle n’est pas d’habitude. L’idée c’est d’être présent et à l’écoute. Il faut laisser la personne être actrice, ne pas lui imposer mais lui proposer.

Comment améliorer la qualité de notre sommeil ?

De différentes manières possibles. Le fait de sortir régulièrement et de faire des activités à l’extérieur est indispensable car cela remet le corps en mouvement, ce qui est bénéfique pour le sommeil. Les pratiques comme la méditation, la relaxation, la sophrologie ou ne serait-ce que des exercices basiques de respiration ventrale peuvent avoir une influence directe sur le sommeil. Quand je respire avec ce que j’appelle « la respiration du nourrisson », mes poumons emmagasinent beaucoup plus d’oxygène et je suis donc plus détendu. Cela peut également consister en des exercices de visualisation, c’est-à-dire se projeter dans un endroit que l’on imagine et que l’on aime bien et le percevoir avec les différents organes des sens. Toutes ces choses ne vont pas forcément augmenter la quantité de sommeil mais elles vont en améliorer la qualité, et c’est là-dessus qu’il faut insister. Si vous dormez six ou dix heures mais que vous dormez mal, cela ne change rien. L’objectif est de bien dormir et d’être reposé quand vous vous levez.

Comment sensibiliser davantage le public à la dépression hivernale pendant les mois d’hiver ?

Le meilleur moyen de sensibiliser est d’en parler. La dépression hivernale n’est pas une fatalité et il y a toujours une solution à trouver.

Interview Océane Ilunga

BRANDREPORT • SOMNOLOGIE UND SCHLAFCOACHING GMBH

Traitement non pharmacologique de l’insomnie

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a thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie (TCC-I) est la thérapie de premier choix pour le traitement de l’insomnie, mais aussi pour la prévention de l’insomnie chronique. Daniel Brunner, expert certifié des troubles du sommeil, explique pourquoi.

Dr Brunner, quels sont les troubles du sommeil les plus fréquents ?

Les plus connus et les plus importants sont l’insomnie et l’apnée du sommeil. En raison de l’association de l’apnée du sommeil avec le ronflement, l’obésité, l’hypertension et la baisse des performances, il existe une forte sensibilisation aux troubles respiratoires pendant le sommeil. En revanche, les déclencheurs et les conséquences cliniques de l’insomnie sont plus complexes. Parce que l’évaluation des plaintes d’insomnie nécessite des connaissances approfondies sur le sommeil et que les options diagnostiques et thérapeutiques sont limitées dans le cabinet du médecin de famille, de nombreux patients taisent leurs problèmes de sommeil ou les considèrent même comme non traitables.

Qu’est-ce qui distingue l’insomnie du manque de sommeil chronique ?

Les personnes qui souffrent d’un manque de sommeil sont celles qui s’accordent peu de sommeil alors

qu’elles pourraient dormir beaucoup plus longtemps.

Les patients souffrant d’insomnie connaissent également des problèmes similaires en terme de concentration, d’humeur et de performance. Ces derniers ne parviennent toutefois pas à trouver le sommeil bien qu’ils aient suffisamment du temps. En cas d’insomnie, une thérapie qualifiée est nécessaire, car la simple invitation à dormir plus longtemps alimente les mécanismes, qui causent l’insomnie.

Comment abordez-vous les troubles du sommeil lors de la consultation ?

Compte tenu des plus de 50 troubles du sommeil différents, il faut d’abord un diagnostic correct.

Celui-ci est déterminé dans une consultation du sommeil au moyen d’un interrogatoire systématique. Les symptômes et les antécédents médicaux permettent de déterminer si des examens complémentaires sont nécessaires. En cas d’insomnie, les informations recueillies lors de la consultation sont généralement suffisantes pour établir le diagnostic. La thérapie cognitivo-comportementale de l’insomnie est considérée au niveau international comme le traitement de premier choix.

Cette thérapie est peu connue, raison pour laquelle beaucoup de personnes prennent des somnifères. Comment fonctionne cette

thérapie non pharmacologique ?

Cette thérapie spécialement conçue se base sur l’explication du mécanisme d’apparition de l’insomnie et sur des instructions visant à modifier les opinions erronées et les comportements contre-productifs qui en découlent. Ce traitement s’appuie sur les mécanismes du sommeil et se compose des cinq éléments suivants : restriction des heures au lit, renforcement de l’association entre le sommeil et le lit, identification des pièges de la pensée, techniques de relaxation et mesures d’hygiène du sommeil.

Où trouver un conseiller qualifié en matière de sommeil et de thérapie de l’insomnie ?

Les spécialistes de la médecine du sommeil, aussi appelés somnologues, sont rares au sein du corps médical. La spécialité de la somnologie n’est représentée que par quelques personnes dans notre pays. Plusieurs d’entre eux sont issus de la recherche sur le sommeil et ont consacré toute leur formation universitaire au sommeil, à la médecine du sommeil et à la chronobiologie.

Comment donner plus de poids à la santé du sommeil dans notre système de santé ?

Le thème du sommeil a certes été abordé par les caisses de maladie, mais les prestations dans le domaine de la consultation clinique du sommeil sont encore peu

connues. Pour que davantage de personnes puissent profiter des connaissances en somnologie, cette jeune spécialité a besoin d’être valorisée dans le système de santé.

Le maintien ou le rétablissement d’un sommeil sain a un grand potentiel pour prévenir les maladies liées au stress et, en fin de compte, pour réduire les coûts de la santé.

Dr. phil. Daniel Brunner Certifié en médecine du sommeil ABSM, DGSM, ESRS, SGSSC Somnologie & Schlafcoaching GmbH Trichtenhauserstrasse 2 8125 Zollikerberg info@somnologie.ch www.somnologie.ch

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www.minds-ge.ch La santé mentale pour tout le monde contact@minds-ge.ch

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18 YANNICK TACHET

FOCUS.SWISS

« Ce n’est pas parce qu’on a un handicap, qu’on ne peut pas réaliser de grandes choses » I

En 2019, vous avez réalisé le semi-ironman, pouvez-vous nous en parler ?

Il s’agissait de mon premier vrai gros défi. Pour vous dire la vérité, je ne me suis pas vraiment entraîné pour le semi triathlon et le triathlon. J’ai juste un peu nagé, fait un peu de vélo, mais je ne m’étais pas forcément préparé alors que pour le semi-ironman, je me suis entraîné pendant une année. Le semi-ironman, c’est 24h d’effort non-stop comprenant 1,9km de natation, 90km de vélo et 20km de course que je fais en marchant car je ne peux pas courir. C’était vraiment un gros challenge.

l a brillé dans des compétitions telles que le triathlon et le semi-ironman. Aujourd’hui, l’athlète suisse Yannick Tachet, atteint d’une maladie dégénérative et incurable, l’amyotrophie spinale de type 3, se prépare à relever le défi complet de l’ironman 2024, démontrant ainsi que la force intérieure peut transcender les défis physiques. Dans cet entretien passionnant, il partage son caractère résilient, évoque son enfance marquée par la détermination, et dévoile ses ambitions futures de constamment se surpasser.

Yannick Tachet, quels sont les trois adjectifs qui vous décrivent le mieux ?

Je dirais combatif, ambitieux et têtu.

Le dépassement de soi est au cœur de vos réalisations. Qu’est-ce qui vous a motivé jusqu’ici ?

Je sais que si je peux encore marcher alors que d’autres personnes qui ont la même maladie que moi ne marchent plus, c’est grâce au sport et plus particulièrement au foot. Quand ça n’allait pas bien, ce qui me poussait à me lever le matin, c’était les entraînements de foot pour les petits.

J’adore nager, faire du vélo en tandem, c’est cool, mais mon sport, c’est le foot. Honnêtement, je peux dire que le foot m’a maintenu en vie à un moment donné, c’était ma raison de me lever.

Que voulez-vous dire par têtu ?

Quand je me mets quelque chose en tête, je vais vouloir le faire et y aller jusqu’au bout, même si les personnes autour de moi s’y opposent. Ce trait de caractère m’a plutôt desservi quand j’étais petit, que ce soit à l’école ou avec l’autorité en général. Mais en grandissant, je réalise que c’est ma force. Ça m’a permis de ne pas me laisser abattre par la maladie que j’ai.

On vous a diagnostiqué votre maladie à 11 ans et demi, vous souvenez-vous de ce jour précis ?

Oui, je m’en souviens très bien. C’est très bizarre, mais quand on m’a diagnostiqué la maladie, ça a presque été un soulagement sur le moment parce que je savais qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas avec moi. Étant petit, j’ai toujours été très bon dans les sports que je faisais mais vers l’âge de 10 ans, je n’y arrivais presque plus et je ne comprenais pas pourquoi. Le diagnostic m’a permis d’avoir une explication. Il n’empêche qu’après coup cela a été très dur.

Comment avez-vous commencé les compétitions ?

Vers l’âge de 26 ans, j’ai pris du poids à cause d’un médicament. Je ne pouvais faire ni de la course à pied ni du vélo tout seul en raison de la maladie.

En revanche, je pouvais nager. Depuis que je suis petit, j’ai toujours adoré aller dans l’eau. Étant assez ambitieux, j’ai voulu faire le semi triathlon de Nyon en 2017. Je ne pouvais pas courir à ce moment-là, j’ai donc décidé de marcher à la place. Ensuite, il fallait trouver une solution pour la course vélo, j’ai donc décidé de le faire sur un tandem. C’est la première compétition que j’ai faite. J’étais trop fier de moi mais je ne suis pas quelqu’un qui veut faire les choses à moitié. Dès que j’ai terminé le semi-triathlon, je me suis dit qu’il fallait que je fasse le triathlon en entier.

l’époque de mon premier triathlon, je n’avais pas encore d’association. Puis, quelqu’un de la RTS m’a contacté dans le but de raconter mon histoire sous forme d’une série de quatre épisodes de cinq minutes et cela a fait prendre beaucoup d’ampleur à mon récit. C’est à partir de ce moment que nous avons décidé de créer notre association avec des collaborateurs : Sport4Hope. Par le biais de notre organisation, nous avons pu récolter et reverser 10 000 francs suisse au Téléthon.

Quelle est la mission de Sport4Hope ?

Donner de l’espoir à travers deux temporalités : pour le présent et pour le futur. L’espoir pour le futur consiste à donner une partie de l’argent qu’on récolte pour la recherche dans le cadre des maladies rares.

Tandis que l’espoir au présent est ce qu’on peut faire maintenant pour profiter de la vie en étant malade.

Il s’agit de faciliter l’accès aux sports aux personnes qui ont un handicap. Cette facette est très liée à mon histoire car c’est le sport qui m’a donné de l’espoir.

Je sais que si je peux encore marcher alors que d’autres personnes qui ont la même maladie que moi ne marchent plus, c’est grâce au sport.

C’est de là qu’est venue votre médiatisation ?

Oui, mais le côté médiatique ne m’intéresse pas du tout sauf s’il y a un but derrière, comme mettre mon association en valeur. Et justement, à

Quel est le message que vous souhaitez faire passer au travers de votre association ?

C’est un peu cliché mais je dirais : Tout est possible.

En tout cas, si on a un objectif, il faut se donner les moyens de le réaliser et ce n’est pas parce qu’on a un handicap, une maladie ou d’autres sortes de difficultés qu’il faut se laisser abattre et qu’on ne peut pas réaliser de belles et grandes choses.

Quelles sont vos inspirations ?

Nelson Mandela est une personne qui m’a beaucoup inspiré. On pourrait croire que ça n’a rien à voir avec le sport mais la première fois que je me suis intéressé à lui c’est à travers un film sur le sport : Invictus. Et puis, je dirais Kobe Bryant.

Quels sont vos projets futurs ?

Premièrement, c’est de faire l’Ironman en mai 2024.

Et puis, j’aimerais faire quelque chose d’extraordinaire. Étant donné que la maladie est évolutive, chaque année, je suis censé réussir à faire moins que l’année précédente. Pourtant, chaque année, j’essaie de faire quelque chose de plus grand que ce que j’ai fait l’année d’avant. Psychologiquement, c’est important pour moi car je sais qu’un jour je ne pourrais plus le faire. Autant en profiter tant que mon corps me le permet encore.

Interview Océane Ilunga

BRANDREPORT • KIDS UP

Baby-gym et cirque : la référence romande depuis dix ans Spécialiste de baby-gym et cirque, Kids Up propose des activités sportives et ludiques à Lausanne et Genève. Les cours permettent aux enfants de progresser et de prendre confiance tout en s’amusant. Stages de vacances et anniversaires complètent l’offre.

Baby-gym : dès la maîtrise de la marche Les enfants et leurs parents se retrouvent en petits groupes pour un moment sportif hebdomadaire. Un cours de baby-gym, c’est un accueil en chanson et en rythme, un grand parcours de motricité, puis des ateliers de motricité fine, dans trois salles distinctes.

Les enfants vont sauter sur un trampoline, se balancer au trapèze, rouler, s’équilibrer sur un fil et surtout s’amuser ! Chaque séance est évolutive et adaptée à l’âge des enfants.

Cirque: enfants scolarisés, ados et adultes Toutes les disciplines sont enseignées : acrobatie, trapèze, tissu, trampoline, équilibre ou encore jonglerie...

La richesse du cirque est un excellent outil pédagogique !

Objectifs : développer les capacités motrices et de coordination, apprendre à travailler avec l’autre, à accepter son regard, dépasser ses limites et peurs, tout en se perfectionnant aux arts du cirque.

Pourquoi Kids Up ?

La formule Kids Up, c’est une équipe qualifiée composée de psychomotriciens, de moniteurs de cirque et de gymnastique. L’esprit Kids Up, c’est un accueil bienveillant et empathique. L’expérience Kids Up, ce sont de grands espaces, des vestiaires équipés, du matériel de qualité, un parking et l’accès en transport public… Et si vous veniez tester ?

Un espace d’accueil permet aux accompagnants de profiter de ce moment pour se détendre ou travailler.

Les inscriptions sont ouvertes toute l’année.

Réservez votre cours d’essai gratuit : www.kidsup.ch Kids Up Lausanne Route Cantonale 102 1024 Ecublens 021 510 12 10 info-lausanne@kidsup.ch

Kids Up Genève Chemin de Riantbosson 11 1217 Meyrin 022 980 99 00 info-geneve@kidsup.ch

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#FOCUSSANTÉ

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ans une époque où le « bien vieillir » est au coeur des préoccupations, le slogan de Home assistance n’a jamais pris autant de sens : « Créons ensemble votre projet de vie à domicile ». Home Assistance Medical & Services est une organisation de soins et d’aide à domicile (OSAD) qui accompagne au quotidien des résidents de Lausanne et région Lémanique ayant perdu une partie de leur autonomie. Désormais, nos équipes interviennent également sur l’axe Lausanne-Yverdon.

Cette entreprise, qui a déjà 8 ans, n’a de cesse de grandir en gardant son objectif principal : garantir le plus de confort possible à ses patients en leur assurant une équipe stable et des horaires qui conviennent à leur rythme de vie. Que ce soit pour un soin d’hygiène, un soin infirmier ou de l’accompagnement, une équipe restreinte est dédiée à un patient.

Depuis l’année dernière, des soins d’accompagnement psychiatriques peuvent également être assurés.

Une infirmière spécialisée en accompagnement de fin de vie est à même d’apporter les meilleurs soins de confort pour les patients désirant rester à leur domicile et de veiller à l’accompagnement des proches dans ces périodes difficiles. Qu’il s’agisse d’une situation provisoire, d’une sortie d’hospitalisation, d’un handicap ou d’une baisse de l’état général, ces prestations sont reconnues et prises en charge par l’assurance maladie (LaMal) sous conditions. Les services privés de

HOME ASSISTANCE • BRANDREPORT 19

Des soins à domicile adaptés à chacun Home Assistance nous permettent de compléter les besoins en accompagnement au domicile que ce soit par des courses, du ménage, de la présence ou des nuits d’encadrement par exemple.

Heures de passage Nous garantissons flexibilité et ponctualité dans nos heures de passage.

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Individualisation Le programme de soins ou de soutien est défini selon vos besoins et vos attentes.

Nous nous déplaçons volontiers à domicile ou en milieu hospitalier afin d’évaluer avec vous vos besoins et mettre en place de manière personnalisée les services qui seront nécessaires.

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Une infirmière spécialisée en accompagnement de fin de vie est à même d’apporter les meilleurs soins de confort pour les patients désirant rester à leur domicile.

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Entendre clairement, comprendre facilement La communication avec nos semblables au travail, pendant les loisirs et en famille est un élément important de notre vie. Celui qui peut se fier à son ouïe participe à la vie sans souci et peut organiser son quotidien en toute sécurité et avec une grande joie de vivre.

Que sont les bonnes blagues dʼun ami, si nous nʼentendons pas les chutes ?

Que sont les rires chaleureux dʼun ami si nous ne pouvons pas y participer ?

Quelle est la joie dʼune conversation, si nous avons du mal à la suivre ?

conventionnelle des aides auditives se concentre encore souvent sur un locuteur et sur la suppression des bruits. Or, les dernières découvertes de la recherche sur le cerveau le prouvent, cela ne correspond pas au fonctionnement naturel du cerveau. Cela peut entraîner une augmentation de lʼeffort dʼécoute, une grande fatigue et une réduction de la capacité de mémoire. En revanche, lorsque le cerveau a accès à lʼensemble de lʼenvironnement sonore, son fonctionnement naturel est idéalement soutenu.

Oticon RealTM et Oticon OwnTM - deux aides auditives qui en font tout simplement plus

Image iStockphoto/ mladenbalinovac

Une perte auditive entraîne de nombreux obstacles dans la vie quotidienne. En effet, les environnements sonores et vocaux sont dynamiques, complexes et imprévisibles. Le cerveau doit pouvoir y faire face à tout moment. Si une perte auditive non prise en charge nous limite, le cerveau est alors obligé de deviner ce qui est dit, de combler les lacunes. Car indépendamment de notre capacité auditive, notre cerveau tentera toujours de reconnaître ce que nous entendons et de donner un sens à ce que nous entendons.

Au centre de recherche dʼOticon au Danemark, plus de 700 ingénieurs ont travaillé au développement dʼaides auditives qui soutiennent le fonctionnement naturel du cerveau et peuvent ainsi offrir un accès à lʼensemble de lʼenvironnement sonore. Les ingénieurs ont analysé 12 millions de situations dʼécoute et ont développé un algorithme unique à partir de ces données dʼentraînement.

Grâce à cette technologie de réseau neuronal profond (DNN), un code neuronal optimal peut être transmis au cerveau. Et la technologie DNN permet à lʼaide auditive de sʼadapter immédiatement et automatiquement à chaque situation dʼécoute, sans aucune intervention de lʼutilisateur de lʼaide auditive. Cela permet aux utilisateurs dʼaides auditives dʼavoir non seulement un accès total à tout ce qui se passe autour dʼeux, mais aussi un son savamment équilibré et agréable - précis et beaucoup plus naturel. Un développement sensationnel qui offre une toute nouvelle expérience auditive et un confort dʼécoute total.

Mais comment cela fonctionne-t-il ?

Lorsque les signaux sonores atteignent lʼoreille interne, ils sont convertis en un code dʼinformation neuronal par le nerf auditif. Celui-ci est transporté par le nerf auditif à travers le tronc cérébral jusquʼau centre auditif du cerveau afin de donner un sens à ce que lʼon entend. Si le cerveau reçoit un code neuronal bien utilisable, il peut déterminer lui-même ce qui se passe dans lʼenvironnement et être en mesure dʼévaluer ce sur quoi il souhaite se concentrer.

Que se passe-t-il si le cerveau désapprend à entendre ?

Notre ouïe est un organe fin et délicat. Il fonctionne 24 heures sur 24. L‘ouïe évolue avec le temps, souvent lentement et presque imperceptiblement. Si lʼouïe diminue et que les codes neuronaux importants ne peuvent plus être transmis au cerveau, le centre auditif est moins stimulé et moins sollicité, des structures neuronales importantes sont perdues. En lʼabsence de sons aigus pendant une longue période, notre cerveau désapprend à traiter ces tons. Il en résulte une atrophie du centre auditif pour les détails auditifs qui nʼont pas été traités depuis longtemps. Plus cette désappropriation auditive dure longtemps, plus ses effets sont marqués. Il est donc essentiel dʼagir rapidement, car plus la perte auditive est détectée tôt, plus il est facile dʼaméliorer les performances auditives.

Les aides auditives ne permettent pas seulement dʼentendre, elles nous maintiennent en forme mentalement

Le choix de lʼappareil auditif - et de ce quʼil peut vous offrir - est donc dʼune immense importance. La technologie

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Un important transmetteur de stimuli

Lʼoreille est un important transmetteur de stimuli pour le cerveau, car nous entendons avec les oreilles, mais nous comprenons avec le cerveau. Nous avons donc besoin de notre ouïe pour fournir au cerveau des informations vitales provenant de lʼenvironnement. Cʼest notre cerveau qui rend possible la perception des sons et la compréhension du langage. Si le cerveau manque dʼimpulsions importantes, cela peut conduire à ce que le cerveau « désapprenne à entendre ».

Invitation à un test auditif offert Vous ne parvenez pas à estimer précisément vos capacités auditives ou une personne de votre entourage est concernée par des problèmes d‘audition ?

Plus dʼautonomie Les batteries lithium-ion dʼOticon Real sont complètement chargées en seulement trois heures. Elles suffisent pour toute la journée, y compris le streaming.

Plus de son Il est possible de tirer le meilleur parti dʼune aide auditive en transmettant le son de la télévision, dʼun smartphone, dʼun lecteur de musique, dʼun ordinateur ou dʼautres appareils compatibles directement dans lʼaide auditive exactement comme avec des écouteurs sans fil.

Plus dʼapp Lʼapplication Oticon ON permet de régler le volume, de passer dʼun programme à lʼautre, de vérifier lʼétat de la batterie, dʼentraîner son audition avec Hearing Fitness ou dʼutiliser Internet. En outre, il est possible de contrôler la transmission de plusieurs adaptateurs en même temps et de personnaliser lʼexpérience dʼécoute avec lʼégaliseur de streaming.

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DOMO • BRANDREPORT 21

Santé et sécurité à portée de main Révolution suisse dans le domaine des montres-alarmes: la domo.go permet d’allier la fonctionnalité du bouton d’alerte à la technologie d’une smartwatch Samsung Galaxy Watch6 élégante, combinée à une app mobile. De quoi rassurer à la fois les aînés et leurs proches, mais aussi suivre sa santé.

Tom, 37 ans, fils d’une personne ayant adopté la domo.go : « J’ai désormais la conscience tranquille en sachant qu’en cas d’urgence, je serai directement informé en temps réel ».

alliée au quotidien, vous offrant une approche proactive de votre santé grâce à l’application domo. health. Avec domo.go, on est toujours connecté, toujours informé, et surtout, toujours protégé.

– Mode d’urgence : la sécurité n’est plus une préoccupation, car elle est toujours à portée de main.

Q

uand on arrive à un certain âge, on n’est pas à l’abri d’une chute ou d’un problème de santé lors d’activités du quotidien comme une promenade ou lors d’une séance de sport. La domo.go révolutionne le bouton d’alarme pour rendre aux aînés et à leurs proches de la sérénité à la maison et dans leur mobilité.

Comment ça fonctionne ?

La domo.go, c’est une montre connectée moderne (Samsung Galaxy Watch6) et élégante qui permet, sur simple pression d’un bouton, d’alerter instantanément et 24/7 la centrale d’urgence de la Croix Rouge Suisse, Curena, ainsi que les proches en cas de situation critique. En moins d’une minute, l’appel est pris en charge et une assistance fiable et professionnelle est là pour aider en cas de besoin, contactant les secours ainsi que les proches aidants qui seront informés en temps réel de l’évolution de la situation via l’app mobile domo.health.

La montre mesure également la fréquence cardiaque et le nombre de pas quotidiens, donnant un aperçu global sur la santé du porteur. Toutes ces données sont disponibles dans l’application mobile domo.health. Mais ce n’est pas tout. La domo.go permet de partager la position GPS en cas d’urgence avec ses proches, et la centrale d’urgence, afin d’être rapidement localisé. De plus, on peut suivre en direct les messages de la centrale d’appels d’urgence grâce à un live-chat dans l’application.

Aussi, les données de santé restent strictement confidentielles. Chez domo.health, la protection des données est prise très au sérieux. Les informations ne seront partagées qu’avec les proches et/ou un médecin et uniquement si l’accord a été donné. Les normes de protection des données les plus strictes en Suisse et au sein de l’Union Européenne sont appliquées.

Avec la montre de sécurité domo.go : plus de compromis entre style et sécurité La domo.go révolutionne l’idée de sécurité à domicile et en déplacement pour les seniors, leur famille et proches aidants. En cas de fausse alerte,

les proches sont directement avertis par la centrale que c’est une fausse alerte. De plus, grâce à la fonction de localisation GPS, être hors de chez soi n’est plus un souci. La centrale d’urgence dispose ainsi de toutes les informations nécessaires pour envoyer l’aide au bon endroit.

Justine, ainée de plus de 65 ans témoigne : « Je pars en promenade avec mon chien l’esprit serein ».

La domo.go va même au-delà de la simple sécurité: elle s’intègre parfaitement au style de vie actif des aînés d’aujourd’hui, leur permettant aussi de suivre leur santé via l’application domo.health.

Avec cette application, on peut accéder et visualiser ses données de santé à tout moment et où que l’on soit, assurant ainsi une transparence totale sur son bien-être et fournissant aussi des données qui peuvent être pertinentes pour un suivi médical.

Témoignage : le pouvoir salvateur de la solution domo.go « Ma mère, née en 1932, vient d’avoir 90 ans. Vivre seul à cet âge n’est pas facile.

Mais grâce à la solution domo.go, nous nous sentons plus en sécurité. Avec l’application domo.health, je peux m’assurer à tout moment qu’elle va bien. L’année passée, le système nous a aidés à plusieurs reprises : le 21 février 2023: elle est tombée et a appuyé sur le bouton d’alarme. À l’hôpital, une pneumonie a été diagnostiquée et traitée.

Ma sœur apprécie d’avoir des informations sur le rythme cardiaque de maman et ses activités quotidiennes. Puisque notre mère montre des signes de démence, cette information est très utile. Nous sommes toujours informés et pouvons prendre bien soin d’eux.

La solution domo.go est une bouée de sauvetage pour nous. Nous sommes très reconnaissants de la sécurité qu’elle offre. »

En associant style, sécurité et confort, la montre de sécurité domo.go vous offre la tranquillité d’esprit que vous méritez, tout en vous permettant de vivre pleinement chaque instant en toute confiance.

La domo.go n’est pas seulement un accessoire de mode, elle est le gardien silencieux de son bienêtre. En cas de situation critique, elle se transforme en un bouclier protecteur, veillant sur le porteur de la montre à chaque instant. Mais son rôle ne s’arrête pas là. Elle est également votre

– Application gratuite domo.health : votre santé n’a jamais été aussi transparente. Accédez et visualisez vos données de santé à tout moment, où que vous soyez.

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U N S U P P L É M E N T T H É M AT I Q U E D E S M A RT M E D I A

22 BRANDREPORT • DYSON SA

#FOCUSSANTÉ

Comment aider les établissements de santé à proposer un air frais et purifié ?

John Orlandi

Responsable des sevices hôteliers pour Hirslanden cliniques Bois-Cerf et Cecil

L

a qualité de l’air que nous respirons est un facteur très important dans le cadre de la santé. La température ambiante et le taux d’humidité sont aussi des éléments essentiels au bien-être. La gamme de purificateurs d’air Dyson répond à l’ensemble de ces besoins. Dans cette interview, John Orlandi, Responsable des services hôteliers pour Hirslanden cliniques Bois-Cerf et Cecil, explique comment les professionnels de santé de la clinique à Lausanne perçoivent les solutions de purification d’air Dyson et les bienfaits qu’ils en retirent.

John Orlandi, pouvez-vous nous présenter Hirslanden Clinique Cecil en quelques mots (année de fondation, lieu, et quelles sont les ambitions, les valeurs et les défis de la clinique) ?

Hirslanden Clinique Cecil est un bâtiment historique de charme situé au cœur de la capitale vaudoise. La clinique a été fondée en 1931 et fait partie du groupe Hirslanden depuis 1990. Notre ambition principale est d’offrir aux patients une expertise médicale de haute qualité et une expérience hôtelière d’exception. L’esprit d’équipe, la confiance et le respect, l’orientation client et l’excellence sont des valeurs qui nous tiennent à cœur et qui sont les moteurs de notre quotidien.

Quelles expériences souhaitez-vous offrir à vos hôtes ?

Nous souhaitons que les patients retrouvent le même niveau de confort qu’ils ont quotidiennement chez eux, tout en apportant de la valeur ajoutée au travers d’un service hôtelier sur-mesure. Nous nous engageons à créer un environnement agréable, rassurant et confortable, afin que le parcours de soin soit une expérience positive.

Comment ou pourquoi avez-vous choisi la marque Dyson pour équiper vos chambres en purificateurs ?

Les patients ne doivent pas souffrir de la chaleur et avoir l’opportunité, à tout moment, de bénéficier d’un air frais et pur. Les purificateurs Dyson présentent plusieurs avantages comme leur silence, leur performance et leur hygiène. L’entretien est facile, ce qui

Un purificateur d’air Dyson dans une chambre de la Hirslanden Clinique Cecil à Lausanne Image Carole Théraulaz

représente un atout de taille dans un environnement où l’hygiène est un impératif.

Comment les solutions Dyson vous aidentelles à améliorer l’expérience de vos clients ?

Nos patients apprécient de séjourner dans une chambre où l’équipement à disposition est simple d’utilisation, performant et très silencieux. Les produits Dyson répondent à nos standards de qualité, autant d’un point de vue technique, sanitaire, que par leur design. À ce titre, quel est le feedback des utilisateurs après la mise à disposition d’appareils Dyson ?

Nous accompagnons nos clients en chambre en prenant le temps de leur présenter nos services. La présence des appareils Dyson est toujours très bien accueillie par les utilisateurs et les rassure sur la régulation de la température en chambre, surtout à l’approche de la période estivale. Les feedbacks

sont très bons ! Les médecins constatent également que les patients se sentent mieux grâce à l’air frais que les purificateurs d’air Dyson diffusent. Quant au service hôtelier, il apprécie sa facilité d’entretien grâce au filtre HEPA. Pensez-vous que les appareils high-techs dans une clinique peuvent également apporter une valeur ajoutée en dehors des chambres et si oui, où ?

Actuellement, nous nous focalisons sur les chambres et réfléchissons à améliorer le confort dans d’autres lieux fréquentés par nos patients, tels que le restaurant et les zones d’accueils.

Que souhaitez-vous pour le développement futur de Hirslanden Clinique Cecil ?

Tout en garantissant un environnement accueillant et de qualité, nous souhaitons développer continuellement l’expérience patient. En ce

sens, nous réfléchissons à une alternative écoresponsable pour l’ensemble des services et des valeurs ajoutées mises à disposition des patients.

Hirslanden Clinique Cecil La Clinique Cecil offre des compétences médicales hautement qualifiées, des infrastructures de pointe et des prestations hôtelières supérieures dans un lieu charmant qui allie tradition et modernité.

Cet établissement de soins aigus multidisciplinaire est spécialisé en cardiologie, radiologie, chirurgie cardiovasculaire, chirurgie gastro-intestinale, obstétrique, gynécologie et chirurgie opératoire, urologie, neurochirurgie et médecine interne.

Les solutions Dyson pour les établissements de soin et de santé Focus sur la purification Un purificateur d’air Dyson n’est pas un simple ventilateur. Son filtre HEPA (H13) entièrement scellé garantit une filtration des impuretés telles que les pollens, les microbes et bactéries, les polluants, et permet même de décomposer le formaldéhyde selon les versions. Ce filtre va agir comme une barrière filtrant 99.95% des particules dès 0.1 micron.

L’air purifié est ensuite diffusé dans toute la pièce.

Combattre la chaleur avec un courant d’air rafraîchissant L’Organisation mondiale de la santé (WHO) indique que les facteurs de stress environnementaux tels que le bruit ou les températures élevées peuvent avoir un impact négatif sur la qualité et la quantité du sommeil. Avec l’augmentation des températures, maintenir son corps à un niveau de fraîcheur agréable peut être un véritable défi pendant les chaudes journées d’été. Les purificateurs d’air

Le purificateur humidifiant Dyson détecte et élimine les polluants tout en mesurant le taux d’humidité dans l’air.

Dyson utilisent la technologie Air Multiplier et un mouvement rotatif de 350 degrés pour diffuser jusqu’à 290 litres d’air par seconde dans toute la pièce et offrent également un flux d’air rafraîchissant.

Réguler l’humidité dans une pièce Le purificateur humidifiant Dyson détecte et élimine les polluants tout en mesurant le taux d’humidité dans l’air – le tout automatiquement. Il fait ensuite circuler de l’air purifié et humidifié hygiéniquement à travers toute la pièce, rafraîchissant lorsque c’est nécessaire.

Ceci permet de faire disparaitre les désagréments liés à un air trop sec tels que la gorge ou la peau sèche.

Le purificateur d’air Dyson le plus silencieux et le plus performant pour les grandes pièces Image Dyson

Purifier les grands espaces Grâce à sa dernière technologie de purificateur d’air, Dyson a mis au point un système économe en énergie qui utilise l’aérodynamique des cônes pour purifier uniformément et en

silence une surface allant jusqu’à 100 m². Conçu pour les grands espaces tels que les salles d’attente, les couloirs ou les salles de restauration.

Offrir un courant d’air chaud et purifié Les purificateurs d’air Dyson peuvent également procurer un air tempéré ou chaud selon les envies et la saison. L’air purifié est préalablement réchauffé et diffusé dans toute la pièce. Ces appareils peuvent bien entendu rafraichir tout un chacun en été grâce à leur fonction de ventilation.

Dyson propose-t-il une solution adaptée à mes besoins ?

Les experts Dyson se tiennent à votre disposition pour vous accompagner dans la réalisation de votre projet. Contactez-les pour recevoir plus d’informations ou pour convenir d’un rendez-vous au cours duquel vous pourrez définir ensemble la solution la plus adaptée à votre situation. Ils se feront un plaisir de vous accompagner dans votre démarche d’amélioration des conditions d’accueil de vos patients.

Dyson SA Tél. 0848 807 817 business@dyson.ch www.dyson.ch

Je suis l’île de tous les ailleurs. Mi chjamu

ville d’art et d’histoire

mer cristalline

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