L’art est souvent associé à l’élitisme, des expositions aux grandes galeries. Et l’art de décorer, me dit-on, coûte cher. Est-il vraiment inaccessible pour les uns et symbole de grand luxe pour les autres
Durant les années de pandé mie, aux dires des cuisinistes, décorateurs, piscinistes, antiquaires et galeristes, leurs chiffres ont été extraordinaires. Des ventes n’ayant encore jamais été atteintes auparavant. Cloîtré chez nous, le besoin d’espace s’est fait ressentir, ainsi que la recherche de sensations et de renouveau. Par manque de place ou recherche d’intimité, l’appel du neuf s’est fait jour, tout a dû changer et vite ! Malheureusement, les délais de production sont aujourd’hui insensés et les prix aussi. Alors, dans l’urgence, on fait appel à ce qu’on avait l’habitude de négliger : acheter en seconde main, chiner, prendre le temps de (re)décou vrir l’occasion, pour mieux se meubler.
Donner une seconde vie aux objets, c’est mon métier. J’aime sentir vibrer l’histoire dans les yeux de mes clients lorsqu’ils se sentent bien chez eux et y ajoutent une touche d’originalité et de chaleur. En plus de dénicher des pièces qui se dévoilent telles des pépites, on peut aussi se réjouir de consommer en circuit court, tout en investissant et en décorant son intérieur avec des pièces
exclusives et de qualité. Fini les objets que tout le monde peut acheter : on se fabrique un cocon à son image.
Les pièces d’art sont dorénavant accessibles. En ligne ou en boutique, les objets d’occasion n’ont jamais été aussi nombreux et disponibles. Les objets neufs deviennent ringards et les antiquités toussent un peu. Guerre, sécheresse, manque de matériaux, augmentation des prix, incertitude économique, on s’entoure de souvenirs et de beau, aujourd’hui et maintenant, pour que l’art subsiste.
Alors, quel objet fera la différence dans votre habitation ? Faut-il investir ? Quelles sont les tendances ? Quels sont les objets de demain ? Faisons un peu de place à la nouveauté, mais ne négligeons pas les objets intemporels !
Celui qui ne prend pas de risque prend le plus grand risque. L’art de la décoration commence au balbutiement de vos idées ! À vous de jouer !
Par Aurore Morisse La Maison de Chestret
BONNE LECTURE JAKIMO KIMBULU
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Faire votre shopping chez Crack est toujours un plaisir ! Chacun y trouve son bonheur, qu’importe le style, les souhaits ou les besoins. Nous avons en prime une foule de conseils pour votre intérieur. en ligne est
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Comme elle est devenue chère, l’énergie que nous utilisons quotidiennement ! Électricité, gaz, mazout ou essence, il devient de plus en plus difficile de payer nos factures en fin de mois. Et pourtant, il existe des astuces pour épargner.
Les temps sont rudes, car le prix de certaines énergies continue d’augmenter. La crise énergétique que nous vivons est peut-être l’occasion d’aller chercher ailleurs.
La meilleure énergie, c’est celle que l’on n’utilise pas. Mais il n’est pas toujours évident de se passer d’électri cité, de la voiture ou encore du gaz ou du mazout de chauffage. Il existe des astuces pour réduire votre consomma tion, afin d’aider à préserver la planète et de permettre à votre portefeuille de souffler un peu.
« Le premier conseil que tout le monde vous donnera, c’est d’isoler votre bâtiment, explique HervéJacques Poskin, directeur du Cluster Eco-Construction, à Namur. Le faire avec des écomatériaux permet de bénéficier d’une isolation beaucoup plus importante qu’avec des matériaux classiques. Parmi les écomatériaux, il y a la laine d’herbe, la paille, la cellulose,
le chanvre, des produits que l’on retrouve très facilement de manière locale. »
« De nombreux gestes peuvent aussi être posés de manière quotidienne et totale ment gratuite, rappelle Julie Otjacques, Head of Regulatory & Public Affairs chez Eneco. Baisser votre thermostat d’un degré, éteindre la lumière en quit tant une pièce : c’est simple et rapide. D’autres démarches vont nécessiter un certain budget, comme l’installation de panneaux photovoltaïques, avec une batterie domestique, afin de pouvoir gérer son autoproduction. La pompe à chaleur est également recommandée. »
Poskin, Cluster Eco-Construction
Il est important de se renseigner avant d’entreprendre vos travaux pour un passage des énergies fossiles vers celles renouvelables, ainsi que de procéder par étapes. Si dans un premier temps le budget semble conséquent, le retour positif sur votre compte en banque se verra très rapidement. Un nettoyage régulier de votre chaudière fera baisser la facture de 8 %, et sortir de la douche une minute plus tôt fait économiser jusqu’à 12 litres d’eau.
« S’agissant des bâtiments, l’isolation se fait par la toiture, les châssis et le sol, poursuit Hervé-Jacques Poskin.
Un bâtiment bien isolé, c’est de l’énergie économisée. Changer vos châssis pour installer des doubles ou triples vitrages constitue un investissement rentable. La chaleur du soleil restera à l’extérieur en été et celle du chauffage ou poêle à pellets ne chauffera que votre intérieur en hiver. [...] Les écomatériaux permettent de réguler l’humidité à l’intérieur des bâtiments, mais aussi de capter la chaleur extérieure en été, afin de la rejeter. »
« Aujourd’hui, les panneaux solaires constituent l’investissement le plus intéressant, explique Julie Otjacques. Assortie de primes ou non, c’est l’énergie renouvelable qui apporte le plus rapidement un résultat sur la santé de vos finances. »
Petits gestes ou grands travaux, le plus important, c’est de faire le premier pas.
Par Adeline SchmitzLes éco-matériaux permettent de bénéficier d’une isolation beaucoup plus importante.—Hervé-Jacques
Depuis le 1er janvier 2021, la Région wallonne impose que toutes les nouvelles constructions sur son territoire répondent à la norme A Q-Zen. Face à cette nouvelle norme, la maison ossature bois semble une très belle alternative au béton.
Vous envisagez peut-être de faire construire votre maison de rêve dans un futur proche. Mais comme beaucoup, vous ne savez pas par où commencer et sur quels critères vous baser. L’emplacement, le budget, la période à laquelle la faire construire. Autant de facteurs qu’il faut prendre en compte tant cette décision aura de l’influence sur votre nouvelle vie. Mais s’il est un élément que vous devez garder à l’esprit à l’heure actuelle, c’est certainement la consommation énergétique de votre future habitation. « Depuis le premier janvier 2021, toutes les nouvelles constructions en Région wallonne doivent impérativement correspondre à la nouvelle norme maison Q-Zen. Une norme européenne en matière d’efficacité énergétique des bâtiments » , explique Bernard Struys, conseiller en construction chez Maison Paquet. Cette norme vient compléter la réglementation de la PEB mise en place en 2010. Et si elle permet d’atteindre l’objectif d’une maison basse consommation, elle est aussi obligatoire pour l’obtention d’un permis d’urbanisme en Wallonie.
Il faut le savoir, une construction basse énergie vous coûtera généralement plus cher si elle n’est pas en ossature en bois. Et souvent, les futurs propriétaires ne sont pas au courant de tous les frais supplémentaires qu’implique une telle aventure. « Vous devrez payer la TVA, l’architecte ou encore les raccordements de votre poche » . Des frais pouvant s’élever jusqu’à 60.000 euros selon l’expert. De plus, il est obligatoire qu’un inspecteur PEB effectue son analyse du dossier
pour l’obtention du permis. « S’il constate que la nouvelle norme PEB n’est pas atteinte, le constructeur devra revoir sa copie. Ce qui occasionnera des frais supplémentaires pour le client » . C’est pour cette raison que les futurs propriétaires doivent impérativement s’adresser à des firmes reconnues dans le domaine de la construction PEB A Q-Zen. Et de surcroît, à des firmes wallonnes, la Région flamande se basant, elle, sur un PEB moindre. Selon l’expert, l’idéal serait de se renseigner soi-même sur les critères indispensables pour une habitation PEB A.
Dans une habitation répondant au certificat PEB A, l’entièreté des composants doit être revue à la hausse. Les matériaux mais aussi la ventilation et l’isolation sont adaptés. Une partie des besoins de votre maison
doit également être réalisée en autoproduction. Le but est bien entendu de n’avoir aucune déperdition de chaleur à l’intérieur. Et en termes de matériaux, la maison ossature bois est une excellente alternative à celle en béton. En effet, le bois n’aspire pas l’énergie de la maison comme le fait ce dernier.
Soyez rassuré ! « Si vous faites construire une maison ossature bois, elle ne s’apparentera pas du tout à une cabane de louveteaux dans la forêt » En effet, ce type de construction basse énergie demande une expertise pointue et minutieuse. Le montage s’effectue sans que la moindre humidité ne s’immisce dans le bâtiment. « C’est la grande différence avec les constructions en béton qui peuvent se transformer en véritables piscines durant les longs mois de travaux » . Ici, le procédé est tout autre. Les maisons sont assemblées en un seul jour. « Les murs sont préfabriqués en atelier et numérotés en bibliothèque. Dans le même temps, les ouvriers s’occupent des fondations sur le site » . Un gain de temps considérable donc, qui se répercute bien entendu sur le prix global de la maison. Les montants en bois ont beau être bien plus chers que ceux en béton, la rapidité de construction vous évite généralement plusieurs mois de doubles loyers. « Seuls 5 mois sont nécessaires pour la construction d’une maison en bois alors qu’il en faut parfois 14 pour une maison en béton » . Et pour les sceptiques qui estimeraient encore que le bois est moins solide que le béton, Bernard Struys vous conseille d’aller faire un tour sur la Grand Place de Bruxelles. « Elle date de l’époque de Charles Quint, est intégralement en ossature bois et reste à ce jour la plus belle place du monde » .
Véritables passionnés, nous, les membres de la famille Paquet, construisons des maisons à ossature bois depuis près de 75 ans en Belgique. Nous avons développé une technique de fabrication spécifique : la construction à ossature bois canadienne à murs pré-assemblés. Ce savoir-faire unique, nous veillons à l’améliorer en permanence, en vous certifiant des maisons Q-ZEN et PEB A+. MAISONS PAQUET vous propose des constructions visant à limiter au maximum la consommation d’énergie en conservant des températures confortables en hiver comme en été.
Depuis le premier janvier 2021, toutes les nouvelles constructions en Région wallonne doivent normecorrespondreimpérativementàlanouvellemaisonQ-Zen.
Les graminées : la tendance actuelle
Si vous possédez des graminées ornementales , vous remarquerez sans doute qu’elles prennent une couleur jaune pendant l’automne. N’arrachez surtout pas les feuilles, qui ressembleront à de la paille. C’est seulement début mars, après les périodes de gels que la taille peut se faire. Vos plants reprendront vie, comme si de rien n’était.
En hiver, le potager est souvent laissé de côté. Les engrais verts sont une alternative aux légumes. Ils permettent de ressourcer le terrain, de capter le carbone de l’air et de le fixer dans le sol. Semés à partir de septembre, il suffit de retourner le terrain pour retrouver son potager une fois que le printemps arrive.
L’automne est là et l’hiver approche à grands pas. Comme beaucoup de Belges, vous désirez préparer votre jardin aux mois plus frais qui arrivent. Pour bien faire, il est important de suivre quelques conseils.
Les feuilles ont commencé à tom ber des arbres et le jardin perd déjà de sa splendeur estivale. Eh oui, l’automne est à nos portes et c’est le moment de préparer le jardin à faire face aux mois les plus froids. Il est temps d’arracher les légumes et les fleurs d’été, de tailler la haie, de tondre le gazon ou encore de fabriquer votre propre maison pour oiseaux.
« Les premières feuilles commencent à tomber mi-septembre, vous pouvez donc commencer à préparer votre pe louse et vos arbres (si vous en possédez) à partir de cette période », explique Laurent Heymans, jardinier chez Arcadia Garden à Ottignies. « Le mieux est de ramasser les feuilles car si vous les laissez sur votre gazon, elles risquent d’y faire des trous. Certains préfèrent les laisser pour le côté écolo gique, mais ce n’est pas très esthétique. »
Pas très esthétique non plus les herbes trop hautes et mal entretenues. « L’en tretien des pelouses est très important, tant que l’herbe pousse, vous pouvez
continuer à tondre, ajoute Vincent Dassonville, directeur de la Pépinière de l’Etoile à Soignies. En général, nous conseillons d’arrêter de tondre vers la fin du mois d’octobre. »
Pour bien préparer votre jardin, n’hésitez pas à faire un plan. En effet, si votre jardin est aménagé pour accueillir différentes parties, mieux vaut s’organiser pour savoir par quoi
commencer. « Il faut être prêt pour les plantations qui démarrent début octobre, poursuit Vincent Dassonville; l’automne est une saison propice à la création de jardin : les températures diminuent, les pluies sont plus importantes, les plants prennent plus rapidement. » Parmi les plantes automnales, on retrouve les choux, les carottes, la lavande, mais aussi les roses, les herbes aromatiques et les rhododendrons. Des valeurs sûres de l’automne qui redonneront de la couleur et de la vie à votre jardin.
La prospérité de celui-ci passe également par la faune. Un point de nourriture est un ajout bénéfique pour eux et agréable pour vous.
« Les hérissons aiment beaucoup les croquettes pour chat », assure Laurent Heymans. S’il est déconseillé de nourrir les oiseaux au printemps et en été, une fois que l’automne revient, n’hésitez pas à faire pendre une boule de graisse à votre mur pour qu’ils puissent venir la becqueter.
Par Adeline SchmitzLe mieux est de ramasser les feuilles, car si vous les laissez sur votre gazon, elles risquent d’y faire des—trous.LaurentHeymans
La maison idéale d’aujourd’hui est sans aucun doute neutre en énergie. L’indépendance vis-à-vis des combustibles fossiles et des fournisseurs d’énergie est la clé de la neutralité climatique et de factures d’énergie abordables. Et cela ne se fait pas au détriment de votre confort personnel, au contraire. Grâce aux dernières solutions en matière d’énergie et de climatisation intérieure, la durabilité, l’efficacité énergétique, le confort et la santé vont de pair.
Le premier pas vers une facture d’énergie réduite ? Consommer moins d’énergie ! Le chauffage représente une part importante de votre consommation, jusqu’à 75 %. Avec une bonne isolation, vous avez besoin de moins de chauffage et vos coûts énergétiques diminuent donc considérablement.
Le chauffage sans combustible fossile avec une pompe à chaleur est l’étape suivante. Les pompes à chaleur peuvent chauffer n’importe quelle maison correctement isolée de manière économe en énergie. Vous n’avez pas encore terminé votre rénovation ? Dans ce cas, une installation hybride d’une pompe à chaleur et de votre chaudière existante constitue une bonne solution intermédiaire. Petit plus : une pompe à chaleur peut également rafraîchir votre maison en été !
Les panneaux solaires vous permettent de couvrir votre consommation d’énergie. Votre propre énergie solaire gratuite peut être utilisée pour l’éclairage, les appareils électroménagers et autres, ainsi que pour le chauffage et le refroidissement avec votre pompe à chaleur. Vous êtes ainsi presque indépendant de la fluctuation des prix de l’énergie et vous bénéficiez toujours d’une facture d’énergie minimale.
Dans votre habitation bien isolée, la ventilation est nécessaire pour un air intérieur sain. Avec une ventilation par des fenêtres ouvertes ou un système C, la précieuse chaleur s’échappe avec l’air vicié humide. En revanche, un système D fonctionnant à la demande ventile automatiquement avec une consommation d’énergie minimale et sans perte de chaleur.
Les pompes à chaleur et les systèmes de ventilation d’Itho Daalderop vous permettent de profiter à vie d’un climat intérieur confortable, sain et économe en énergie. Saviez-vous que nos pompes à chaleur géothermiques peuvent être surveillées à distance et ajustées le cas échéant ? Leur qualité est garantie jusqu’à 25 ans. Vous pouvez donc toujours dormir sur vos deux oreilles dans votre maison neutre en énergie.
Chats, chiens, lapins et autres animaux peuvent apporter beaucoup à une famille. Co-habiter avec avec nos amis à poils, à écailles ou à plumes rend notre quotidien tellement plus intéressant, et peut même nous apprendre à mieux interagir avec le monde.
Quel parent n’a pas eu à répondre un jour à une de mande d’adopter un compa gnon à quatre pattes? Ceux qui n’ont pas trouvé les arguments pour résister savent que malgré les contraintes, adop ter un animal de compagnie représente une grande joie. Il est également prouvé scientifiquement que les animaux nous apportent beaucoup, et ce, à tout âge. Les bénéfices sont en effet nombreux, surtout chez les plus jeunes.
Alice Quetstroey, psychologue pour enfants et adolescents dans le Brabant Wallon affirme même que « la présence d’un animal peut vraiment apporter des bénéfices importants à la santé mentale. Nous pouvons les observer au niveau de la communication, de la concentration, de la responsabilisation et de la gestion des émotions. Au cours de mes thérapies, je constate des améliorations, notamment chez les enfants souffrant de troubles du
comportement, de l’apprentissage ou encore de maltraitance. »
Si la plupart de nos compagnons sont des chats et des chiens, les animaux domestiques par excellence, les autres espèces sont tout aussi bénéfiques pour s’ouvrir aux autres. Frederic Semeki, responsable pédagogique du parc Pairi Daiza qui met en place des stages et visites scolaires. « On offre un regard sur le monde, les enfants se rendent compte de sa diversité. Certaines de nos animations avec les animaux permettent aux enfants d’apprendre la patience, le respect des autres. Nous leur faisons comprendre que l’émotion, ça se construit et ça se travaille. »
Certains, et pas uniquement les plus jeunes, ont du mal à cacher leurs joies et leurs peines. On entend souvent parler de thérapie équestre pour soulager les angoisses, mais de nombreux animaux peuvent réguler les émotions. Alice
Quetstroey : « Être propriétaire d’un animal nous rend plus heureux. Il y a un soutien social et émotionnel, un réconfort que l’animal va apporter. Il devient un meilleur ami, un confident, une sécurité. »
Caresser un animal fait sécréter des hormones liées au bonheur, comme la dopamine. Frederic Semeki l’a bien compris, puisque le parc organise des activités au cours desquelles les visiteurs peuvent préparer les repas des animaux et interagir avec eux. « Les enfants vont souvent se tourner vers les mammifères. Face à un lion, ils vont avoir la même réaction que face à un gros chat. Ce qu’on leur apprend ici, c’est à faire la différence entre les animaux gentils et ceux qui sont dangereux et méchants. On remarque que plus les enfants sont jeunes, plus ils ont tendance à se tourner vers les animaux dont ils peuvent être proches, avec lesquels ils vont avoir une interaction. »
Par Adeline Schmitz
Les
lad’apprendrepermettentanimauxpatience,lerespectdesautres.— Hervé-Jacques Poskin, Eco-ConstructionCluster
Solar Assistance est votre partenaire de confiance pour l’assistance technique, les dépannages, l’entretien, le monitoring et l’assurance de vos panneaux solaires. Nous pouvons également vous aider à déplacer et à installer des panneaux solaires, des systèmes de batteries et des stations de recharge. Plus de 10 000 clients bénéficient déjà d’un plan de service de Solar Assistance. Et ce dans toute la Belgique !
La plateforme de monitoring de Solar Assistance vous permet de consulter la production de votre installation photovoltaïque 24h/24 et 7j/7. Par ailleurs notre service technique peut également voir quand un problème se produit, afin que nous puissions intervenir si nécessaire.
Vous avez un défaut sur votre système photovoltaïque et vous souhaitez une assistance technique rapide?
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Un entretien périodique et un nettoyage de vos panneaux solaires permettent de maintenir votre installation photovoltaïque en bon état. Cette inspection préventive nous permet d’identifier les problèmes à un stade précoce. De cette manière, nous évitons les coûts inutiles et maintenons vos rendements optimaux.
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Vos panneaux solaires doivent être rentables. Du panneau au convertisseur.
Amandine Katz est animatrice et bricoleuse de l’émission “Une Brique dans le Ventre” sur la RTBF. Sa personnalité pétillante et sa créativité ont largement contribué au succès de “Fais-le !”, sa première émission pour la télévision belge. Mais comment conçoit-elle l’aménagement intérieur dans son quotidien à elle ? Focus sur ses conceptions et idées personnelles.
Tu es publicitaire graphiste.
Cette formation t’a-t-elle aidée dans tes activités de bricoleuse ?
« Oui ! Beaucoup de graphistes sont des bricoleurs dans l’âme. Ils ont cette sensibilité artistique. Le métier de la pub demande de la créativité et une connaissance des tendances. D’ailleurs les tendances en graphisme vont sou vent de pair avec celles de la déco. »
D’où te vient cette passion pour le bricolage ?
« Quand j’étais petite, ma maman me disait toujours : “On ne va pas ache ter quelque chose si on peut le faire soi-même” Et c’est resté ! Je baigne là-dedans depuis mon enfance. Ma maman était aussi souvent absente et je devais m’occuper seule. J’avais l’habitude de sortir tout le matériel et je mettais un bazar monstre. Pas de bol pour elle (rire). Je n’ai pas de souvenir de mes créations. Cela ne devait donc pas être des œuvres d’art. Mais j’ai pu toucher à tout. C’est ça qui me caractérise. »
Toujours dans une optique écologique et durable…
« Exactement ! J’ai eu une éducation assez écologique. Dans les années 90’, ce n’était pas encore très tendance. Mais je suis restée dans cette conception. Et du coup, aujourd’hui, je suis devenue tendance (rire). Mais cela m’amène toujours à me poser des tas de questions concernant mes achats et créations : estce écologique, utile, durable, recyclable, abordable au niveau du prix ? On parle souvent de charge mentale. Moi, j’ai un problème de charge écologique. Je suis dans l’impossibilité de cocher toutes les cases. Heureusement, j’ai appris à me poser des limites. J’attribue des points à tout ce que je crée ou j’achète et quand ça atteint la note de 8/10, ça me convient ! »
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«Par Bastien Craninx Photo Nils van Praet
« Ma maison est complètement différente de celle qu’on peut voir dans l’émission ! Par exemple, quand nous faisons une création, on commence par tout calculer. Dans la vraie vie, j’ai parfois envie d’y aller un peu au pif. Mais vous imaginez les surprises qu’on aurait si on fabriquait les 4 pieds d’une table en mesurant au pif ? Ce que je veux dire, c’est que j’aime laisser la place à la spontanéité. Je suis bricoleuse, mais pas tout à fait celle qu’on voit à la TV. J’aime prendre du temps et laisser venir les surprises. Je travaille via la méthode “essais, erreurs” ou “à ma façon”, sans vraiment suivre de vraies recettes. Il y a aussi d’autres manières de bricoler. Par exemple, j’aime les objets chargés d’histoire. J’adore les artisans et je visite régulièrement leurs ateliers pour apprécier des pièces uniques. Chez moi, c’est un mix entre achat, récup’, DIY et coups de cœur d’artisans. »
Quelle est la chose la plus importante pour faire de son intérieur un véritable temple du bien-être ?
« L’important est de prendre son temps et de s’écouter. Chaque intérieur est unique. Il faut se poser dans l’endroit avant de le transformer. Si vous achetez une maison, vivez-y un peu avant de changer la décoration. Personnellement, j’aime partir dans tous les sens mais j’ai besoin d’une structure. La structure de ma maison est constituée de murs neutres. Et comme j’aime beaucoup le changement, c’est la déco qui vient habiller le tout. C’est de là que naît toute la personnalité. Dans cette base, la déco peut vivre et respirer. »
Faut-il être un vrai bricoleur dans l’âme pour aménager sa maison ?
« Absolument pas ! Ce serait dommage de se mettre de la pression inutile. Mais c’est toujours sympa d’essayer. Et puis, il y a plein de pros qui peuvent vous aider. Il existe des tas de vidéos, de stages ou d’ateliers. J’en fais beaucoup moi-mêm. Parfois, ça ne débouche sur rien de très concret, mais j’acquiers une technique que je réutilise par la suite. Ou alors, vous arrivez à créer un petit objet DIY pas très beau, mais dont vous êtes fier. Ça vous donne une anecdote à raconter. »
Où trouves-tu l’inspiration ? « Je passe énormément de temps sur Pinterest, Instagram, Tik Tok et You tube pour faire le plein d’idées. Je suis de nombreux influenceurs. Et bien sûr, le plus important, c’est de regarder “Une brique dans le ventre” sur la RTBF ! »
Si tu étais isolée sur une île déserte avec la possibilité de l’aménager avec 5 choses essentielles pour toi, que choisirais-tu?
« Cette question me fait penser à Koh Lanta, mais sans le sport. Je n’aime pas le sport. Alors je crois que je prendrais mes coussins, la couette de lit et mes deux chats. Un couteau, de la corde, un kit de pêche et tout ce qu’ils n’ont pas dans Koh Lanta au début de l’aventure. La seule chose que je voudrais décorer, ce serait mon assiette. Mais avec des trucs à manger bien sûr. Bon, ça fait définitivement plus que 5 choses à emporter… Ça veut dire que je serais incapable de vivre sur une île déserte (rire). »
« Je suis incapable de travailler toujours dans la même pièce. J’ai besoin de bouger. Je me mets devant un radiateur, dans la salle à manger ou dans mon lit. Toute ma maison est mon cocon et mon lieu de travail. »
« Il faut connaître les tendances, mais ne pas toutes les suivre. Tout se démode très vite. C’est ça qui nous fait surconsommer. Et puis c’est vite impersonnel. On ne va pas s’y sentir bien. N’acheter que du neuf, c’est aussi une erreur. Il faut être tendance avec certaines choses, mais pas tout. »
« J’ai retrouvé une liste dans mon carnet intime quand j’avais 14 ans. J’y avais écrit que je voulais devenir ingénieur en effets spéciaux, actrice, journaliste et créatrice de mots croisés.
Autant dire que je ne sais plus d’où sort l’idée sur les mots croisés. Mais le reste je m’en suis quand même approchée. » d’Amandine pour vous sentir bien chez vous.
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La rénovation est une solution durable pour retrouver du confort au sein de son foyer. Mais souvent les travaux coûtent très chers. Heureusement, des primes existent au sein de la région dans laquelle vous habitez. Petit tour d’horizon des possibilités en Wallonie (www.energie.wallonie.be) et à Bruxelles (www.renolution.brussels).
Depuis 2019, la Région wallonne propose une prime habitation en rassemblant les démarches d’octroi dans un seul formulaire. Une aubaine pour le citoyen désireux de réaliser de lourds travaux de toitures, d’assèchement des murs ou encore de ventilation. Un audit de l’ensemble de votre bâtiment est tout d’abord indispensable. Avoisinant généralement les 1000 euros, il fait cependant l’objet d’une première prime dont vous pourrez bénéficier après sa réalisation. L’auditeur vous remettra ensuite une liste de travaux à réaliser dans un ordre bien précis. Des recommandations à prendre très au sérieux si vous souhaitez bénéficier de la deuxième prime (prime “Travaux”). C’est uniquement à partir de ce moment-là que vous pourrez entamer vos rénovations. Et ce, pour une durée maximale de 7 ans. Quant à savoir si ces primes sont avantageuses pour vous, il conviendra de les calculer en fonction de votre revenu et de la composition de votre ménage. Le montant total ne peut cependant jamais dépasser 70% des factures émises. À noter que la Région wallonne propose également des prêts à taux zéro ou réduit pour éviter l’endettement ainsi que des Guichets Énergie pour vous aider à y voir plus clair.
Face à la récente flambée des prix de l’énergie, la Région wallonne a décidé de prendre de nouvelles mesures pour faciliter l’octroi de primes habitation. Si l’objectif est toujours de réduire la consommation des ménages en améliorant l’isolation, l’urgence de la situation imposait de supprimer certains freins. Une mesure temporaire permet donc de faire l’impasse sur l’audit énergétique. Les demandes de primes devront être introduites entre le 1er juin 2022 et le 30 octobre 2023. Les factures finales seront datées au plus tard au 30 juin 2023. Si elle vise principalement l’installation de différents types de chauffage, cette mesure permet également de réaliser de petits travaux de salubrité, de rénovation énergétique et de toiture de moins de 3000€ HTVA. Cette nouveauté permet aussi aux plus bricoleurs de réaliser eux-mêmes les travaux de rénovation, sans passer par des corps de métier qualifiés. Quant aux calculs des montants et à leurs conditions d’octroi, ils restent inchangés par rapport à la prime de base. Enfin, sachez qu’il est possible de solliciter ce type de primes pour la réalisation de 5 travaux de rénovation et de 5 travaux pour la performance énergétique tous les 24 mois.
Avec les primes RENOLUTION, la Région Bruxelloise a fusionné pas moins de 45 primes, tant pour des travaux de rénovation que pour des travaux économiseurs d’énergie. Cela comporte notamment les études énergétiques, l’installation du chantier, la rénovation et l’isolation des toitures, les façades ou encore le système de chauffage. Il n’existe par contre aucune obligation de réaliser un audit énergétique au préalable. Comme en Région wallonne, le montant des primes perçues sera proportionnel à la catégorie de revenus. Le but étant de permettre un financement d’au moins 50% du coût des travaux aux plus faibles revenus. À noter que vous pouvez retrouver un calculateur automatique pour estimer le montant de chaque prime sur le site irisbox.irisnet. be. Comme en Wallonie, la demande de prime devra être introduite après avoir effectué les travaux. Enfin, sachez que deux organismes-conseils peuvent vous aider gratuitement dans tous vos projets de rénovation : Homegrade ou le Réseau Habitat. Ils pourront notamment vous aider à déterminer le montant des primes RENOLUTION auxquelles vous avez droit.
Également appelé crédit ECORE NO, ce prêt vous permet de réaliser des transformations éner gétiques dans votre habitation. En vous faisant bénéficier d’un financement à très faible taux (de 0% à 2% au maximum). Le crédit ECORENO est accessible pour tous les types de travaux d’un logement bruxellois, que vous en soyez propriétaire, futur proprié taire ou locataire. Cela vous don nera donc l’occasion de financer facilement les trois grandes caté gories de travaux les plus cou rants : les travaux d’isolation et de ventilation, ceux liés au système de chauffage et ceux relatifs aux énergies renouvelables. Le crédit ECORENO est également cumu lable avec la prime à la rénova tion. Vous souhaitez y voir plus clair ? Sachez qu’une simulation de votre crédit est réalisable sur le site web du Fonds du loge ment. Ce prêt est d’ailleurs issu d’un partenariat entre ce même Fonds, Homegrade, le Réseau Habitat et Bruxelles Environne ment dans le cadre de la RENO LUTION. Quatre organismes que vous pouvez consulter pour vous aider à constituer votre demande de crédit. Le montant minimal de ce prêt s’élève à 500€ et il peut atteindre 25 000€ au maximum. Soit sous forme d’un crédit à la consommation, soit sous celle d’un crédit hypothécaire.
Par Bastien Craninx
L’investissement dans l’immobilier touristique a le vent en poupe. Kelly De Plecker a donc eu eu le nez fin en 2007 quand, parallèlement à la gestion de son agence immobilière Maritim Immo à Knokke-Heist, elle a commencé à reprendre des hôtels et des chambres d’hôtes dans le monde entier.
Quelles sont les spécificités de ce marché de niche ?
« La vente d’un hôtel et/ou d’un B&B requiert avant tout de la discrétion, afin de ménager à la fois les clients et le personnel. Il faut aussi posséder une connaissance approfondie du secteur, de la réglementation, de la dynamique touristique de la région et des visiteurs potentiels. Il est également essentiel de pouvoir établir rapidement des liens de confiance entre les di érentes parties. «
Pourquoi avoir investi dans l’immobilier touristique ?
« L’immobilier est et reste un investissement qui rapporte. Et l’immobilier touristique o re une alternative intéressante aux investissements immobiliers traditionnels. »
Quelle est le profil de votre clientèle ?
« Elle est à la fois professionnelle et privée. Propriétaires et gestionnaires de chambres d’hôtes et d’hôtels, particuliers désireux d’entreprendre dans un nouveau domaine prometteur et jeunes retraités pas encore prêts à décrocher... Nous travaillons aussi avec des investisseurs, des chaînes hôtelières, des comptables, des conseillers et des banques. »
« Notre portefeuille comprend de petits hôtels familiaux ainsi que des hôtels comptant jusqu’à 250 chambres. Et cela dans le monde entier. Nous possédons
une très large base de clients et sommes renommés au niveau international. Tous les hôtels et chambres d’hôtes à vendre peuvent être consultés en ligne sur le site www.hoteltekoop. be. Une o re étendue, car la demande est élevée. Nos di érents sites web atteignent un score très élevé sur Google et nous recevons de nouveaux dossiers chaque jour. Pour ma part, je travaille principalement en Afrique du Sud, au Benelux et en Europe du Sud. Pour les autres régions, je collabore avec des partenaires locaux afin de garantir un bon accompagnement personnel avec des professionnels qui connaissent parfaitement la région. »
Comment attirez-vous vos clients ?
« Grâce à nos longues années d’expérience, nous avons constitué une importante base de clients d’environ 12.000 acheteurs, locataires et investisseurs potentiels. Mais la majorité de nos nouveaux contacts proviennent de nos sites web qui accueillent environ 26.000 visiteurs par mois. Nous possédons 8 sites au total, chacun d’eux lié à un pays ou continent particulier. »
Quel aspect de votre métier préférez-vous ?
« Le fait qu’un jour, je puisse apprécier le contact plus personnel avec un propriétaire de chambre d’hôtes et le rêve que je suis en mesure d’o rir à un acheteur privé, et le lendemain, satisfaire ma passion pour la négociation lors d’une rencontre internationale entre une chaîne et un investisseur potentiel. »
Et quels sont les écueils dans votre secteur ?
« Sans aucun doute le risque de fraude, car de grosses sommes d’argent sont mises en jeu dans di érents pays. C’est pourquoi nous examinons
minutieusement nos contacts des deux côtés du projet d’investissement et/ou d’achat. En particulier, les investisseurs de certaines régions susceptibles d’être victimes de fraudes font l’objet d’une enquête approfondie. Heureusement, de nombreux fraudeurs ont un modus operandi très reconnaissable et sont rapidement détectés. »
« Lorsque j'ai démarré en 2007, j'étais la seule au Benelux à me consacrer exclusivement à la vente d'hôtels. Je me suis non seulement retrouvée dans un marché de niche, mais aussi dans un monde un peu macho au sein duquel j’ai d’autant plus dû faire mes preuves en tant que femme »
C’est décidé, vous voulez déménager. Mais comment choisir entre la location et l’achat ? La conjoncture actuelle de l’immobilier semble dans une phase de stabilisation favorable à ceux qui choisissent de devenir propriétaires, mais sans pour autant faciliter l’acquisition.
« L’analyse du marché de ce premier semestre révèle une baisse de l’activité immobilière. Le marché s’essouffle, à cause de l’inflation mais également des incertitudes mondiales actuelles. Le marché pousse à la prudence. Indépendamment de l’achat, nous rappelons les vertus de l’épargne, qui peut se faire grâce à la location. Pour un premier achat, mieux vaut un bien dont le prix sera plus modéré, afin d’acheter plus grand, plus tard. L’âge moyen des acheteurs dans le Brabant wallon est d’ailleurs de 43 ans. »
« Pour nous, c’était mieux d’acheter. Nous voulions quitter Bruxelles, avoir notre propre chez-nous. Acheter une maison, c’était un choix sur la durée, c’est un lieu qui se transmettra à nos enfants, à nos petits-enfants. Nous avons choisi de quitter la capi tale parce que c’était impayable d’y rester, l’immo bilier devient vraiment très cher et pour notre futur, nous voulions avoir la maison parfaite, qui nous appartient. L’achat d’une maison était donc l’étape suivante dans notre vie de famille. »
« Envisager l’achat d’un bien, cela implique une intention d’y rester un minimum de 5 ans. Les coûts d’acquisition liés à ce genre d’achat sont importants, il faut donc le temps de les amortir. Si vous prévoyez des changements dans votre vie à court terme, il est sans doute préférable de rester locataire. Cela évite de perdre de l’argent et de se retrouver avec un bien qui ne vous correspond plus. Être propriétaire reste plus intéressant qu’être locataire, mais cela peut être pénalisant dans certaines situations. »
« Les qualités du logement, ainsi que le prix et les caractéristiques de ce logement. Nous avons rédigé une info-fiche pour les vendeurs et acheteurs avec les différents points d’attention. Parmi ceux-ci, la per formance énergétique du bâtiment, qui peut amener les acheteurs à se diriger vers les nouvelles énergies, comme les panneaux photovoltaïques. Il faut prendre en compte l’état de l’habitation : il vaut mieux amélio rer l’isolation de votre logement avant d’envisager l’installation des panneaux. »
« Notre maison devait répondre plusieurs critères : nous voulions une quatre façades, elle devait avoir un jardin et un garage privé. C’était important puisqu’à Bruxelles, nous avions vraiment du mal à nous garer. Autres critères importants, il fallait que la maison ne soit pas dans une zone inondable et qu’elle se trouve à une distance correcte de nos emplois. Le temps de trajet ne devait pas dépasser les 30 minutes. Et puis, je ne voulais plus vivre en ville, je voulais vraiment éduquer mes enfants en dehors de la capitale. »
« Il faut déterminer vos critères et valider la capacité financière que vous avez. Si vous n’avez pas le budget, il faudra soit revoir vos critères à la baisse soit passer à la location. Pour un même bien, le montant du loyer sera presque toujours inférieur au montant à rem bourser à la banque pour l’acheter. Le prix du marché est crucial dans l’immobilier. Vous pourriez avoir la capacité financière d’acheter une jolie maison dans le Namurois, mais être incapable d’obtenir un apparte ment à Bruxelles. »
« Nous connaissons une diminution assez marquée du marché de l’immobilier. Celle du Brabant wallon est n°1, juste derrière Namur. L’activité immobilière a baissé de 5,7% pour le premier semestre 2022. Les circonstances actuelles laissent penser que cela du rera au moins jusqu’à la fin de l’année, voire au-delà. Les prix ne vont pas baisser, mais ils n’augmenteront pas non plus. Ceux qui peuvent acheter vont en profiter. Les autres, par contre, vont devoir continuer à économiser. »
« C’est compliqué aujourd’hui. Il faut déjà avoir un capital important avant de se lancer dans l’achat d’une maison. Demander un prêt, payer le notaire, etc. c’est beaucoup plus compliqué. Certaines per sonnes n’ont pas la chance d’avoir accès aux prêts de la banque et c’est dommage. Les jeunes couples qui souhaitent s’acheter une maison ont vraiment beau coup plus de mal qu’avant et je ne pense pas que ça va aller mieux avant un certain temps. »
« Aujourd’hui, les augmentations cumulées du prix des matériaux de construction et des taux d’intérêt alourdissent le prix d’acquisition réel d’un bien immobilier et cela fait peur à certains acheteurs. Le marché a donc commencé à se refroidir un peu et ça devrait se poursuivre dans les prochains mois. Les prix de l’immobilier ne devraient pas baisser, mais ils vont se stabiliser. Ça signifie que pour ceux qui ont une bonne capacité financière, on entre dans une période propice à l’achat ! »
Est-il préférable, actuellement, de louer ou d’acheter ?
Que faut-il prendre en compte lors de ce choix ?
Que pensez-vous de la conjoncture de l’immobilier en 2022 ?
Emmanuel Estienne Notaire titulaire à Genappe Gabriel Sølyst àNéo-acheteurIttre
Jean-François Thibaut Directeur associé chez TRIOR
nous sommes convaincus qu’un quartier est l’espace par excellence pour construire des relations humaines. En tant que promoteur, nous voulons donc contribuer à créer des lieux d’habitation agréables à vivre. Forts de nos 75 ans d’expérience et de savoir-faire, de notre ancrage local et de nos connaissances, nous avons concrétisé le projet de 44.300 familles en leur offrant un nouveau foyer.
LIÈGE PARADIS EXPRESS
CHASTRE ENTRE CIEL ET CHAMPS
LA LOUVIÈRE VILLANOVA
UCCLE LES PROMENADES D’UCCLE
La posture est une priorité. La chaise de bureau ergonomique est donc indispensable. La lumière est un deuxième point primordial. Une lumière naturelle est idéale, mais une lampe de bureau à hauteur de l’ordinateur peut aussi faire l’affaire. Pensez aussi à investir dans un casque pour vous prémunir des bruits ambiants.
L’expert Feng Shui travaille sur les 5 éléments comme en médecine chinoise. Il tient compte des équilibres et des forces. Plusieurs formules existent, telles que le ming gua, une formule personnalisée en fonction des dates de naissance de chacun. Ainsi on choisit les meilleures orientations des bureaux ou les meilleures pièces de la maison.
Le travail depuis le domicile a fortement progressé ces dernières années. Alors autant prendre le temps d’aménager en conséquence son espace de travail. Vous n’avez pas d’idées ? En voici quelques-unes.
Le télétravail a profondément modifié le rapport que nous avons à notre logement. De véritable cocon, ce dernier s’est mué en un lieu alternant vie familiale et vie professionnelle, moyennant quelques adaptations. « Le risque étant de mélanger nos deux vies », explique Stéphanie Cornet, architecte chez Trait Déco. Mieux vaut dès lors arriver à faire la part des choses. Mais comment ?
Certaines initiatives, comme une organisation et une discipline de fer, vous permettront d’esquisser un équilibre. Cependant, un point doit retenir toute votre attention : l’aménagement de votre espace de travail dédié. « Il faut repenser la maison autrement », précise Christine Fageot, consultante chez Synergie Feng Shui. L’idéal est d’aménager une pièce fermée et inoccupée de la maison, comme une chambre d’amis ou un grenier. Ce luxe n’est pourtant pas toujours envisageable dans les petits intérieurs. Il faut donc parfois rivaliser d’ingéniosité pour marquer physiquement la limite entre vos deux vies. Des claustras, un paravent ou des plantes peuvent jouer ce rôle efficacement. « En termes de surface de travail, un espace modulable ou dédié transformé est suffisants. Mais il faudra toujours penser à ranger méticuleusement vos affaires après
la journée de travail », poursuit Stéphanie Cornet.
Si vous avez la possibilité d’aménager un espace de travail plus conséquent, ne lésinez pas sur l’atmosphère. « Les couleurs des murs doivent être choisies avec soin », explique l’architecte. « Évitez le rouge ou l’orange qui sont des couleurs agressives. Préférezleur le vert et le bleu qui inspirent le calme et le dynamisme. » Un intérieur paisible, c’est également le précepte à la base du Feng Shui.
« Cette discipline est vieille de plus de 3500 ans », précise Christine Fageot.
« Elle se base sur des méthodes ancestrales de circulation d’énergie et d’art du placement. » Un art qui s’applique à tout type d’habitat et qui s’appuie, entre autres, sur l’agencement d’éléments comme les plantes, une fontaine d’intérieur ou des pierres naturelles, qui apaisent le mental et favorisent la sérénité des espaces.
Quel que soit votre espace à aménager, l’avis d’un expert dans cette discipline ou celui d’un architecte d’intérieur pourront toujours vous apporter une aide non négligeable !
Par Bastien Craninx
A
Dites adieu à l’aménagement intérieur standardisé pour créer votre propre ambiance. En pratiquant le DIY et en chinant des meubles d’occasion, vous optez pour une solution écologique et qui vous ressemble.
DIY pour apprendre
Ce type de bricolage est une merveilleuse façon d’être créatif et autonome. Il apprend notamment à prendre conscience de la valeur des choses et pousse à la sensibilisation. Un autre avantage est qu’il se base sur la méthode essai-erreur, l’une des meilleures manières d’apprendre durablement.
Vous en avez marre de votre mobilier ? Ne pensez pas tout de suite à le remplacer. La transformation d’un meuble existant est toujours possible et souvent plus facile qu’il n’y paraît à première vue. Par exemple, pourquoi ne pas le recouvrir d’autocollants à motifs en adéquation avec le reste de votre déco ? C’est simple, efficace et ultra rapide.
S’il y a bien une tendance qui prend de l’ampleur ces dernières années dans le domaine de l’aménagement intérieur, c’est bien le Do It Yourself. Et pour cause, le principe est simple : réaliser ses meubles, sa décoration et ses objets du quotidien par ses propres moyens. « Vous créez votre propre univers chargé d’histoires, et dont vous ne changerez pas chaque année », explique Elise Boon, directrice de l’asbl ‘’Fais-le toi-même’’. Car derrière son côté fun, c’est aussi ça, le but de la mouvance DIY : inscrire son intérieur dans une optique plus durable.
« Malheureusement, la pratique est de plus en plus détournée par les grandes enseignes » poursuit Elise Boon. Or, des réalisations maison à base de matériaux produits en masse et provenant de pays loin de chez nous n’auraient strictement aucun sens.
« Il faut viser le réemploi et les matériaux responsables. » Pour ce faire, il est donc recommandé d’aller chercher ses matériaux dans des recycleries ou des ressourceries.
Et qu’en est-il du matériel ? Si vous ne disposez pas d’outils à la maison, ne foncez pas pour autant en acheter. Il existe en effet de nombreuses formules vous permettant d’en emprunter ou d’en louer près de chez vous. N’oubliez pas les coopératives locales, car même si elles sont encore peu nombreuses en Belgique, il existe déjà un peu partout des façons de partager du matériel avec ses voisins ou dans des ateliers collectifs (dans les “Repair Cafés”, par exemple).
Si beaucoup seront séduits par l’idée de se réapproprier leur intérieur, certains n’auront pas nécessairement l’envie de bricoler eux-mêmes. Dans ce cas, une autre solution existe : chiner. Pour ceux qui préfèrent
l’asbl Fais-le toi-même
chercher la perle rare, pourquoi ne pas mettre en pratique la méthode AIBI, une méthode basée sur sa propre introspection et développée par Nafi Rêve. « L’idée est de chercher des meubles ou décorations qui répondront à des aspirations et à des besoins personnels plus qu’à des tendances marketing », explique la décoratrice d’intérieur. « L’industrie met dans la tête des gens que l’on doit assortir tous les éléments d’une même pièce. Mais osons plutôt dépareiller ! » Tout comme pour le DIY, le fait de chiner confère un supplément d’âme aux meubles. Une alternative écologique et créative pour vous sentir bien chez vous.
Par Bastien CraninxIl faut viser le réemploi et les matériaux responsables.—EliseBoon,directricede
Vous êtes fan de seconde main ? Alors vous devez forcément connaître Les Petits Riens : une entreprise d’écono mie sociale, circulaire et solidaire qui existe depuis maintenant 85 ans. Der rière chaque t-shirt, livre ou objet donné ou acheté à l’association, il y a un projet social et des milliers de personnes que vous aidez. En effet, le revenu généré par l’activité économique de l’asso ciation permet de financer leurs nombreuses actions sociales visant à lutter contre la pauvreté en Belgique.
Faites du shopping solidaire dans un de leurs 25 magasins de seconde main Présents à Bruxelles et en Wallonie, les boutiques des Petits Riens sont ouvertes à tou·te·s, avec autant de belles marques que de pièces à prix doux.
En rentrant dans l’un des 25 magasins de l’association, on ne remarque pas que l’on rentre dans un magasin de seconde main. La déco multiplie les clins d’œil récup’ tandis que les rayons débordent d’articles triés sur le volet. Vêtements, accessoires de mode, mobilier vintage, matériel de cuisine, livres d’occasion, créations up cycling ou déco unique, Les Petits Riens regorgent de pépites en tous genres.
Si vous ne deviez faire qu’une seule adresse, on vous recommande sans hési tation le magasin central des Petits Riens. Ce repère ixellois niché en plein Châtelain
est le repère des accros de la seconde main. Au total, comptez 1.500m² réparti entre plusieurs départements: textile, retro, librairie, objets déco, électronique, enfants et mobilier.
► Rue américaine 101, Ixelles
► Ouvert du lundi au samedi de 10h30 à 18h00
Un don pour la bonne cause Envie d’opérer un tri salutaire et solidaire dans votre garde-robe ou vos étagères? Il est possible de faire un don matériel aux Petits Riens.
• Déposez vos dons de textiles ou d’accessoires dans l’une des 800 bulles à vêtements de l’association (dans toute la Belgique)
• Bon à savoir : il est aussi possible de faire don de vos textiles directement dans les magasins des Petits Riens
• Déposez vos dons de livres, meubles, électronique ou objets divers dans l’un de leurs 4 points de dépôt (Ixelles, Anderlecht, Wavre, Namur)
Plus d’infos et adresses complètes sur petitsriens.be/dons-en-nature
Vos dons et vos achats ont le pouvoir de changer des vies Depuis 1937, Les Petits Riens luttent contre la pauvreté et l’exclusion sociale en Belgique.
En plus de son impact environnemental positif, l’activité économique de collecte, tri et vente de biens de seconde main des Petits Riens constitue une plateforme d’insertion socioprofessionnelle pour plus de 500 personnes chaque année.
Cerise sur le gâteau, les bénéfices générés par les magasins permettent de financer de nombreuses actions sociales, dont l’hébergement et l’accompagnement de sans-abri. Chaque année, près de 300 personnes sans logement sont ainsi hébergées au sein des 3 maisons d’accueil des Petits Riens. Chaque centre d’hébergement s’adresse à un public différent aux besoins spécifiques. Une grande maison d’accueil pour hommes sans-abri, une pour des jeunes en errance de 18 à 24 ans et la dernièrenée pour familles monoparentales en situation de détresse.
Envie de (re)joindre ce mouvement circulaire et solidaire ? Un don matériel, un achat solidaire, un don financier, chaque petit geste compte et peut faire la différence, de petits riens en petits riens…
La cuisine, c’est l’art de la table, mais aussi et surtout un art du vivre ensemble. Un art que l’on partage chez soi ou chez des amis et qui nous met en joie. À l’automne, cet art se teinte aussi de tradition et de souvenirs.
La cuisine en automne est un moment parfait pour se retrouver chez soi. C’est le moment où notre frigo déborde de légumes racines et compte encore quelques légumes d’été. On se prépare à l’hiver en se gavant et en mangeant plus gras. Juste ce qu’il faut ! Ce sont nos défenses immunitaires qui nous diront merci. Au début de l’hiver, tous les plats en sauce ont la cote. Vous pouvez par exemple vous laisser tenter par un bon plat de chicons au gratin accompagné de purée. Mais pourquoi ne pas aussi opter pour un plat issu des traditions familiales ? Quand j’étais plus jeune, ma maman avait l’habitude de transformer des préparations que l’on était censés détester en véritable plats gastronomiques. Comme les choux de Bruxelles aux petits lardons poêlés. À l’époque, je ne comprenais pas pourquoi mon père insistait pour leur ajouter une côte de porc bien grasse. Trente ans plus tard, tout est devenu clair. Vous devez troquer votre summer body pour un winter body de compétition.
La cuisine en automne, c’est également l’occasion de se replonger dans les souvenirs qui vous ont construit comme vous êtes aujourd’hui. Chez moi, le souvenir le plus ancré est le moment que l’on partageait chaque dimanche en famille. Etant donné que je vivais en internat durant la semaine, le dimanche était généralement la seule occasion que nous avions de nous retrouver tous ensemble. En véritables amoureux de la cuisine, c’était autour de la table que les quatre enfants et les deux parents se réunissaient vers midi. Au menu ? Des boulets liégeois ou des carbonnades
de bœuf. En accompagnement ? Les anecdotes de mes parents sur leur jeunesse. Elles nous faisaient du bien. Elles nous réconfortaient même ! Nous avions en effet la preuve qu’ils faisaient bien plus de bêtises que nous à notre âge. Enfin, ces instants automnaux à la maison étaient aussi pour moi l’occasion de voir ma maman préparer ces fameux plats pour toute la famille. Observer une personne qui cuisine, c’est déjà très beau. Mais voir une maman qui nourrit sa troupe, ça n’a pas de prix. Faire passer des émotions à travers la cuisine est le plus beau des actes.
Si, par contre, vous souhaitez m’inviter un jour chez vous, ne vous cassez pas la tête et préparezmoi un bon spaghetti bolo ! Matin, midi ou soir, ce sera toujours le plat qui m’apporte l’impression, l’illusion et le confort d’être chez moi. À bon entendeur…
Par ArnaudChefDelvenne,Cuisinier Finaliste Top Chef 2022
Faire passer des émotions à travers la cuisine est le plus beau des actes.
Aujourd’hui,supermarchéun est bien plus courseschoisirDelhaize,supermarché.qu’unChezvouspouvezderetirervosenlignedans
le point Collect de votre magasin préféré ou choisir de vous les faire livrer à domicile quand cela vous convient. Et avec la formule d’abonnement Delivery+, c’est plus abordable que jamais. « Qualité et service optimal à un prix intéressant, c’est exactement ce que représente Delhaize. »
Delhaize est un pionnier en la matière puisque vous pouvez vous faire livrer vos courses depuis 1989. À l’époque, les livraisons se faisaient via le service Caddy Home. Les clients transmettaient leurs commandes par téléphone et se faisaient directement livrer leurs courses chez eux. La livraison à domicile reste aujourd’hui un atout majeur de l’offre commerciale proposée par Delhaize. La chaîne de su permarchés concentre d’ailleurs de plus en plus ses efforts sur ses services en ligne après l’étrange période corona que nous avons récemment traversée.
« Comme beaucoup, le confinement nous a surpris et la demande pour notre service de livraison a rapidement explosé. » dit Frederik Van Baelen, manager commer cial e-commerce chez Delhaize. « C’est pourquoi nous avons décidé de réagir rapidement et d’investir dans un agran dissement considérable de notre centre de distribution e-commerce à Puurs.” Les projets liés à l’augmentation de la produc
tivité et de l’efficacité se sont poursuivis. « Parfois, ce sont les petites choses qui font la différence. Par exemple, en optimisant le remplissage de nos cartons de livraison, nous avons pu augmenter le nombre de livraisons par route. » explique Van Baelen. « Ceci nous a permis de ser vir plus de clients avec le même nombre de camionnettes. De cette façon, nous maintenons nos coûts bas et nous nos prix
Deuxcompétitifs. »servicesenligne
vous sont proposés chez Delhaize :
1. Le retrait de vos courses dans un point Collect – Via le site delhaize. be ou via l’application My Delhaize, il vous suffit d’ajouter les produits à votre panier et à partir de €2,95, vous pouvez choisir le jour et le créneau de retrait de votre commande dans le point Collect du magasin de votre choix.
2. Si vous préférez la livraison à domicile, rien de plus simple ! Delhaize Delivery livre vos courses partout en Belgique (Sauf dans la province du Luxembourg). Vous pouvez également ajouter les produits à votre panier via le site delhaize.be ou via l’application My Delhaize. À partir de €5,95, vous pouvez choisir le jour et le créneau de livraison de votre commande.
Ce système pratique qu’est la livrai son à domicile devient de plus en plus populaire. C’est pourquoi Delhaize a entre-temps lancé une nouvelle formule
d’abonnement : Delivery+. Vous pouvez ainsi profiter de livraisons à domicile illi mitées à partir de €10 par mois. Delivery+ est aujourd’hui disponible en Région de Bruxelles-Capitale, dans les provinces du Brabant wallon et du Brabant flamand, ainsi que dans les villes d’Anvers, de Gand, de Liège et de Malines. « Au total, nous touchons déjà 1 Belge sur 3 avec Delivery+ » dit Frederik Van Baelen.
Cette formule exceptionnelle,d’abonnementlapremièredu genre dans notre pays, est non seulement pratique mais aussi financièrement intéressante. En faisant livrer vos courses à domicile au moins deux fois par mois, vous rentabiliserez déjà votre abonnement. Une bonne affaire pour les clients attentifs aux prix et qui commandent régulièrement. « L’abonnement est super intéressant et est déjà un succès mais le prix proposé doit vraiment rester compétitif.
Nous traversons de nombreuses turbulences financières. Les prix de l’énergie augmentent mais nous ne voulons pas que nos offres suivent cette tendance, » dit Van Baelen. « Nous y sommes fortement attachés, à la fois en ligne et dans nos magasins. Les Petits Lions, nos produits de tous les jours à prix bas, en sont un bon exemple. Notre e-commerce a le même objectif : Produits et services de qualité à un prix attractif. C’est ce que représente Delhaize. »
