TCS Genève n° 1 2023

Invitation à l’assemblée générale du TCS Genève

La section genevoise du TCS invite les membres genevois à son assemblée générale qui aura lieu le 11 mai 2023 au Théâtre les Salons à 18h.

Mi-avril, les membres du TCS pourront consulter l’ordre du jour et le rapport annuel des activités 2022 sur la page internet de l’événement tcsge.ch/ag.

Afin de prévoir la meilleure organisation possible, les sociétaires de la section qui souhaiteraient participer à l’assemblée générale sont priés de s’inscrire en ligne sur le site internet dédié ou de s’annoncer par écrit à info@tcsge.ch ou par téléphone au 022 735 46 53. Il est obligatoire de présenter sa carte de sociétaire genevois pour participer à l’assemblée.

Le TCS acquiert velocorner.ch, la principale plateforme de commerce de vélos en ligne

Le plus grand club de la mobilité en Suisse acquiert une participation majoritaire dans la plus grande plateforme de commerce de vélos en ligne de Suisse. Avec l’acquisition de velocorner. ch, le TCS continue d’étendre son activité dans le domaine du vélo. Son objectif est ainsi de favoriser le commerce du vélo en Suisse et de le rendre accessible facilement à un large public. Dites-nous ce que vous en pensez par WhatsApp au 079 908 95 75 ou par e-mail à reaction@tcsge.ch.

Permis de conduire : le Cours juniors devient Stage auto-école

Visionnez sur YouTube notre vidéo du Stage auto-école qui vous dévoile les moments forts de la session de 7 jours en octobre 2022. Avez-vous effectué un Cours juniors avec le TCS Genève par le passé, ou votre enfant l’a-t-il fait ? Soutenez nos instructeurs en laissant un commentaire sous la vidéo.

Avantages membres

Théâtre de Carouge

Les membres du TCS bénéficient d’un tarif préférentiel sur les représentations avec le code PROMO : TCS22-23$.

Prix des places :

PT 37 fr. au lieu de 42 fr.

AVS 28 fr. au lieu de 33 fr.

Jeunes (< 25 ans) 15 fr.

Photos pour soi ou ses proches

Les membres du TCS bénéficient en 2023 d’un rabais de 25 % sur les séances photos à domicile ou en extérieur avec Gil Butty.

Le plus : vous bénéficiez également de 25% sur les bons cadeaux achetés en février et en mars ! Annoncez-vous comme membre TCS et montrez sur place votre carte ! 079 444 77 58, www.pourlesyeux.ch

Le saviez-vous ?

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Une année sous le signe de la sécurité et des bonnes pratiques

Dans un monde qui change et jalonné d’incertitudes, il est plus que jamais essentiel de faire prévaloir la sécurité et les bonnes pratiques. Cela vaut tant pour les citoyens que pour les autorités. Sur le volet sécurité d’abord, des comptages effectués par les sections du TCS dans toute la Suisse ont montré qu’un tiers des vélos circulait de nuit avec un éclairage non conforme, voire sans éclairage du tout. Le test a également mis en évidence des différences notables entre les régions linguistiques du pays. Alors qu’en Suisse alémanique, le taux d’engins de mobilité douce conformes dépasse 71,5% et que le Tessin suit avec un taux de conformité de 64,6%, près de 53,4% de ces deux-roues circulant sur les routes romandes ne sont pas équipés correctement. Ce constat s’accompagne d’une forte augmentation des accidents de vélos électriques et de trottinettes occasionnant des dommages corporels. Il est temps de tirer la sonnette d’alarme et de compter sur un effort de tous les usagers de la mobilité douce. Le TCS va de son côté intensifier ses cours de sécurité routière et ses campagnes de prévention.

Lors de projets d’aménagement routier ou de modification du régime de circulation, c’est aux autorités cantonales et communales de faire des efforts. Le TCS Genève a relevé à plusieurs reprises le manque d’une vision panoramique des dossiers déposés. Une faiblesse relevée également par le Tribunal administratif de première instance dans un jugement récent. Votre club est souvent amené à marquer sa désapprobation en raison de l’absence d’évaluation des coûts/ bénéfices de nouvelles mesures pour l’ensemble des usagers. C’est pourquoi le TCS Genève a adressé une liste de critères aux 45 communes et au Canton. Ils devront être évalués avant la mise à l’enquête de tout nouveau projet de circulation ou d’aménagement sur le réseau primaire ou secondaire d’importance. Vous trouverez les critères dans ces pages.

Nous nous réjouissons de vous retrouver à l’occasion de nos activités et sorties tout au long de l’année !

François Membrez, président de la section genevoise du TCS

Parution : trois fois par an (mars, juin, octobre)

Éditeur : TCS Genève, quai Gustave-Ador 2, 1207 Genève

Éditeur responsable : François Membrez, président

Secrétariat de rédaction : Anaïs Pitteloud

Art Director : Alban Seeger

Layout : Sara Bönzli

Journalistes : Adelita Genoud pp 5, 10, Catherine Hurschler p.12–13, Vincent Magni p.6–7

Photographie couverture : Gil Butty POUR LES YEUX

touring Impressum Journal de la section genevoise du Touring Club Suisse

Infrastructures routières : le TCS propose une grille d’analyse aux communes

Comment aménager des infrastructures routières en prenant en compte tous les paramètres ?

Le TCS Genève propose aux 45 communes et au Canton de Genève une grille d’analyse à respecter avant la mise à l’enquête de toute nouvelle mesure de circulation ou d’aménagements routiers sur les axes structurants.

Lors de la mise en place des aménagements « Covid » en mai-juin 2020, les autorités cantonales et communales de la Ville de Genève ont multiplié les aménagements « provisoires » sous forme d’arrêtés de moins de 60 jours, ensuite reconduits pour être pérennisés. Lors de ces procédures express, les publications dans la Feuille d’avis officielle (FAO) ne mentionnaient que très peu d’éléments factuels permettant d’évaluer correctement si les objectifs fixés pouvaient être atteints.

Cette faiblesse a été pointée du doigt par le Tribunal administratif de première instance (TAPI), dans son jugement du 7 avril 2022 au sujet de l’aménagement de l’axe Coulouvrenière. Le TAPI estime en effet « regrettable de constater l’absence de données objectives concernant le flux du trafic par mode de transport avant la réalisation des mesures querellées qui auraient permis aux autorités intimées de démontrer objectivement le bienfondé desdites mesures ».

Pourquoi enrichir l’analyse ?

Des arbitrages sont parfois nécessaires à toute politique de mobilité. Ils doivent toutefois reposer sur des éléments factuels permettant de se positionner, mais aussi de vérifier par la suite si les modifications ont eu l’impact escompté.

Obtenir une image avant-après

Le TCS propose ainsi d’établir une liste d’instruments de mesure à appliquer systématiquement lorsqu’un aménagement concerne un axe structurant,

notamment lorsqu’il implique la suppression d’une voie de circulation ou provoque la suppression d’un important volume de places de stationnement (lire encadré). L’objectif est de disposer de suffisamment d’éléments tangibles permettant d’évaluer la réussite ou non d’un aménagement par un simple exercice avant/après.

Par esprit de consultation

En outre, ces éléments sont nécessaires pour respecter notre Constitution, qui garantit le droit d’être entendu dans le cadre d’une procédure administrative ou

Liste des critères à prendre en compte lors d’une demande d’autorisation de construire

Projet d’aménagement cyclable

• Analyse de la continuité avec le réseau cyclable d’intérêt cantonal

• Évaluation des conflits potentiels avec les autres modes, tels que les piétons

• Compatibilité avec les vélos-cargo et autres vélos spéciaux

• Plans d’Action(s) concerné(s)

Projet de modification du schéma de circulation, du nombre de voies ou des présélections

• Plan de charge de trafic actuel et report spatial attendu

• Capacité utilisée et de stockage des carrefours pour l’heure de pointe déterminante

judiciaire. Ce droit d’être entendu comprend ainsi notamment le droit pour l’intéressé de s’exprimer sur les éléments pertinents. Cette disposition impose également aux autorités de motiver leurs décisions. Avec cette démarche, notre association espère ramener le débat sur le plan de l’expertise, à l’heure où certaines décisions unilatérales sont souvent motivées par des arguments abscons et émotionnels et ne permettent pas le moindre discernement sur leur efficacité. Donnez-nous votre avis sur cette action du TCS à mobilite@tcsge.ch

• Impact sur le temps de parcours de tous les modes de transports (TIM, vélo, TP) et impact économique selon méthode NISTRA et normes VSS

• Situation qualité de l’air et bruit sur les axes impactés

• Plans d’Action(s) concerné(s)

Projet de suppression de places de stationnement

• Détermination de l’offre de stationnement privée dans le périmètre

• Évaluation de la proportion de places bleues avant/après par rapport au nombre de macarons

• Consultation des associations de commerçants ou d’un panel représentatif des commerçants du quartier

• Définition claire et détaillée des compensations

• Plan(s) d’Action(s) concerné(s)

Week-end sur les routes suisses, comment faire sauter le bouchon ?

Comment échapper aux congestions qui ralentissent le trafic sur les routes suisses ?

Pour les Genevois qui, le week-end, mettent le cap sur des destinations valaisannes, fribourgeoises ou encore grisonnes, la route est longue… en termes de temps. Conseils dispensés par des professionnels de la mobilité.

Selon l’Office fédéral de la statistique, en 2021, quelque 32 500 heures d’embouteillage ont été enregistrées sur l’ensemble du réseau suisse des routes nationales. Et sur la seule autoroute A1 qui relie les principaux pôles économiques de Suisse, la circulation a été paralysée durant 10 372 heures. Quitter la cité de Calvin serait-il devenu un parcours du combattant ?

S’informer et s’organiser Olivier Floc’hic, responsable Information et Communication à l’Office fédéral des routes, propose trois pistes pour éviter les encombrements routiers.

« La première est de se renseigner sur les prévisions de trafic en consultant les informations données par voie de communiqué de presse, la deuxième consiste à prévoir suffisamment de temps pour son déplacement depuis le lieu de départ jusqu’au lieu d’arrivée. »

Il recommande enfin de rester sur le réseau principal afin de ne pas surcharger le réseau secondaire qui n’est pas adapté à une augmentation subite du trafic.

Un détour par la France

Raphaël Winkler, responsable de la rédaction romande de Viasuisse, chargé de la collecte des données sur l’état des routes, affirme que les embouteillages se forment généralement le vendredi déjà aux alentours de 16 heures. « Les ralentissements s’étirant sur une à deux heures d’attente se concentrent principalement entre Chexbres et Villeneuve, Châtel-Saint-Denis et le toboggan de l’A12 ou encore entre Erstfeld et Göschenen pour les destinations plus lointaines. » Alors ? « Parfois, il est préférable de passer par la France pour rejoindre des lieux de villégiature suisses », ajoute-t-il.

De la route au rail

Le train constituerait-il la panacée ? Les CFF ont en effet élargi leur offre « loisirs » en Suisse romande. Le Verbier Express, qui circule les week-ends et jours fériés entre le 17 décembre 2022 et le 16 avril 2023 part de Genève-Aéroport pour se rendre au Châble, au pied des pistes de Verbier. D’autres nouveautés facilitent les voyages d’agrément comme la liaison directe aller et retour entre Genève et

Coire et, le dimanche, un train direct depuis Bellinzone vers Lausanne. Ces dessertes s’ajoutent au RegioExpress (toutes les heures samedi et dimanche) qui circule en direction de Genève-Aéroport.

Un véhicule en parfait état L’option ferroviaire ne peut toutefois répondre à toutes les demandes. Tout d’abord, certains Genevois qui séjournent en fin de semaine dans d’autres cantons transportent des équipements encombrants. Ensuite, ils ont parfois besoin d’une voiture sur place car leur résidence est éloignée des commerces. Alors, pour continuer à emprunter le réseau routier, la première chose à faire, préconise le Touring Club, est de s’assurer que son véhicule est en parfait état (batterie, pneus, niveaux des liquides). Et ce afin d’éviter une panne qui pourrait générer des ralentissements de trafic. Dans la mesure du possible, l’idéal reste de décaler le jour et/ou l’heure de son départ en observant l’état du trafic sur l’appli du TCS.

Adélita Genoud

Franco Sbarro, l’infatigable

À 83 ans, le designer et constructeur automobile Franco Sbarro commence ses journées de travail à quatre heures du matin, cumulant parfois les nuits blanches pour donner vie à ses projets automobiles. Rencontre marquante dans son atelier de Grandson.

En tant que novice du secteur automobile, je n’avais pas mesuré l’immensité du génie créatif de Franco Sbarro avant notre rencontre. Toutefois, après quelques bribes de conversation téléphonique, je comprends que cette rencontre sera unique en son genre. Quelques jours plus tard, samedi 29 octobre 2022, le brouillard est dense lors

de mon arrivée à Grandson à 9 h du matin. C’est au volant de ma voiture que je franchis la grille des ateliers Sbarro, installés depuis 1978 dans une ancienne usine de cigarettes. Le bâtiment est imposant. Désorienté, je cherche mon chemin.

Au loin, j’aperçois un homme en complet de travail rouge qui se dirige vers moi

d’un pas vif et assuré : c’est notre homme. Après quelques échanges d’usage, c’est avec un regard perçant que ce passionné m’interroge : « Vous et les voitures, ça fait un ou ça fait deux ? » Je le rassure quant à mon intérêt, qui semble être la condition sine qua non pour franchir le seuil de l’usine, dont la porte est saturée de panneaux compor-

tant des avertissements, destinés à repousser les curieux.

Une fois à l’intérieur, je suis décontenancé par ce que je découvre. Je ressens un mélange d’excitation enfantine et de déférence face à l’ampleur de l’œuvre de Franco Sbarro. Les questions se bousculent dans ma tête tandis que je détaille du regard les innombrables véhicules, créations originales ou répliques de modèles iconiques. L’une d’elles, prégnante, me brûle les lèvres : à quoi cet homme carbure-t-il ?

Franco Sbarro, d’où tirez-vous cette énergie créatrice ?

Depuis tout petit, je cohabite avec cette énergie. Je suis né dans le sud de l’Italie. Après la guerre, les gens mouraient presque de faim. Pour moi, la vie ne pouvait pas se résumer au village dans lequel j’étais né. J’ai très vite ressenti le besoin d’aller voir au-delà. Si bien qu’à l’âge de cinq ans, j’ai demandé à sauter une classe pour avancer plus vite. J’ai terminé ma maturité avec deux ans

d’avance. En parallèle de mes études, le dimanche durant mon temps libre, je me consacrais entièrement à la mécanique. Je n’avais pas de vélomoteur donc je réparais ceux des autres pour finalement avoir le plaisir de rouler avec. Je n’étais pas un rêveur mystique. Je rêvais les yeux grands ouverts mais les pieds sur terre. Je visualisais les différentes pièces mécaniques en trois dimensions et en couleurs.

Pourquoi ce besoin de travailler sur plusieurs projets simultanément ? Ma curiosité est sans limites ! Je n’ai pas satisfait toutes mes envies. Je souhaiterais vivre encore 100 ans pour réaliser 500 projets supplémentaires. J’ai toujours énormément travaillé et le résultat de ce travail n’a jamais été proportionnel à l’énergie investie, mais exponentiel. C’est pour partager cette passion et cette envie de créer que j’ai d’ailleurs fondé plusieurs écoles de design automobile.

Que se passe-t-il dans les moments où vous ne pouvez pas créer ?

On souffre d’être créatif. Il faut passer par des phases d’insatisfaction. Il m’arrive de maltraiter mon physique pour suivre le rythme de mes idées. Je pense souvent à de nouveaux projets dont je ne parle à personne avant de terminer la phase « d’incubation ». Une fois cette étape franchie, une forme d’urgence intérieure se manifeste. Je dois alors mettre cette idée en forme dans la matière. J’ai toujours travaillé avec cette urgence dont la nature a évolué au fil de ma vie.

Que répondez-vous aux gens qui vous parlent de retraite ?

Le mot retraite, je l’ai effacé de mon vocabulaire. Sans travail, il m’arrive de penser que je pourrais mourir… (NDLR : il marque un temps d’arrêt). J’ai soigné ma santé en travaillant. La satisfaction que me procure mon travail est une forme de drogue dont les effets sur moi sont positifs. Pour moi, la retraite n’existe pas ! Vincent Magni

Franco Sbarro en quelques dates

1939 Naissance à Presicce dans le sud de l’Italie

1957 Arrivée à Neuchâtel comme mécanicien

1959 Achat d’un garage à Grandson

1968 Création de l’Atelier de Construction Automobile (ACA)

1989 Invention de la roue orbitale sans moyeu

1992 Fondation de l’Espace Sbarro, école spécialisée pour la construction automobile artisanale

Franco Sbarro dans ses ateliers de Grandson devant la réplique d’une Ford GT 40.

« Le mot retraite, je l’ai effacé de mon vocabulaire. »

Stages et formations

INITIATION À LA CONDUITE

Pour les 16 à 17 ans.

Acquérir les premiers réflexes de conduite avec un moniteur.

Prochaines dates

• 15 mars, 13h–17h

• 3 mai, 16h–20h

• 7 juin, 16h–20h

• 20 septembre, 16h–20h

• 8 novembre, 13h–17h

Tarif

Membres : 50 fr.

Non-membres : 75 fr.

PREMIERS SECOURS

Une étape obligatoire pour l’obtention du permis.

Horaires le vendredi de 18h à 22h, le samedi de 8h à 15h

Prochaines dates

• 10–11 mars

• 28–29 avril

• 12–13 mai

• 16–17 juin

• 25–26 août

• 15–16 septembre

• 13–14 octobre

• 10–11 novembre

• 8-9 décembre

Tarif unique : 120 fr.

STAGE AUTO-ÉCOLE JUNIORS

Pour les 15 à 20 ans.

Passer l’examen théorique durant les vacances scolaires et s’initier aux fondamentaux de la conduite sur piste fermée.

Prochaines dates Toute la journée de 8h à 18h environ.

• Du 11 au 15 avril

Examen théorique le 26 avril

• Du 14 au 18 août

Examen théorique le 23 août

Tarif unique 580 fr. (repas compris) + 70 fr. examen

STAGE AUTO-ÉCOLE

Pour les 17 à 26 ans.

Un stage de 7 jours pour passer l’examen théorique, le cours de sensibilisation et conduire les premiers kilomètres sur route accompagné-e de moniteurs.

Prochaines dates Toute la journée de 8h à 18h environ.

• Du 1er au 7 juillet

• Du 21 au 27 octobre

Tarif unique 1500 fr. (repas compris) + 70 fr. examen

CONDUITE ACCOMPAGNÉE POUR SENIORS

LES SYSTÈMES D’ASSISTANCE À LA CONDUITE

RÈGLES DE CIRCULATION ROUTIÈRE : RAPPELS ET NOUVEAUTÉS

Pour un bilan objectif et neutre du style de conduite. Conduite sur route accompagnée d’un moniteur. Durée 2h.

Stages sur rendez-vous auprès de Jean-Pierre Knoblauch, 079 213 48 17, securite@tcsge.ch

Tarif

Membres : 120 fr. Non-membres : 190 fr.

COURS SENIORS : THÉORIE ET PRATIQUE DE LA CONDUITE

Pour connaître les assistants électroniques qui équipent le véhicule et savoir comment les utiliser. Durée 2h.

Stages sur rendez-vous auprès de Jean-Pierre Knoblauch, 079 213 48 17, securite@tcsge.ch

Tarif

Membres : 120 fr. Non-membres : 190 fr.

PRATIQUE DU VÉLO ÉLECTRIQUE

Pour les conducteurs de tout âge qui veulent maintenir à jour leurs connaissances en matière de règles de la circulation routière.

Prochaines dates

• 25 avril, 14h–16h

• 27 juin, 18h–20h

• 26 septembre, 18h–20h

• 14 novembre, 14h–16h

Tarif Membres : 35 fr. / Non-membres : 50 fr.

Présentations sur l’importance de la vision et de l’ouïe (Berdoz, vision et audition), le permis et le droit de conduire (OCV), la circulation d’aujourd’hui (police routière).

Exercices pratiques : les manœuvres (trucs et astuces), freinage d’urgence (temps de réaction et distance d’arrêt). Théorie : les nouvelles technologies au service du conducteur.

Horaire : 13h–17h

Prochaines dates

13 mars, 8 mai, 19 juin, 11 septembre, 2 octobre, 13 novembre

Tarif unique : 90 fr.

Dès 16 ans révolus.

Ce cours vous donnera toutes les clés pour connaître les finesses de la conduite à vélo électrique (e-bike). Vous saurez comment gérer efficacement sa puissance et éviter les pièges de la vitesse.

Horaire : 8h–12h30

Prochaines dates

25 mars, 22 avril, 13 mai, 10 juin, 1er juillet, 9 septembre, 7 octobre

Tarif

Membres : 70 fr. Non-membres : 120 fr.

Ce cours bénéficie d'une subvention du FSR (Fonds de sécurité routière) à hauteur de 40 fr. déjà déduite.

Des connaisseurs et des utilisateurs confirmés vous transmettront tous les conseils pour bien commencer cette activité.

Horaire : 17h30-20h30

Prochaines dates : 9 mars, 4 mai

Tarif

Membres : 30 fr. / Non-membres : 50 fr.

Des instructeurs professionnels vous transmettront tous les conseils pour conduire votre véhicule en toute sécurité.

Horaire : 17h-20h30

Prochaines dates : 13 avril, 4 juillet

Tarif Membres : 190 fr. Non-membres : 230 fr.

INITIATION AU CAMPING-CAR, CAMPER-VAN ET CARAVANE

Se préparer à la conduite en accéléré, les jeunes sont conquis

La formule accélérée proposée par le Touring Club Suisse (TCS) séduit de nombreux futurs conducteurs. Ce programme, qui inclut examen de théorie, cours de sensibilisation, leçons de conduite sur piste sécurisée et en circulation avec un moniteur, est accessible dès l’âge de 17 ans. Rencontre avec Romeo, qui a suivi la session d’apprentissage.

Qu’est-ce qui a motivé votre choix ? Romeo : À dire vrai, ce sont mes parents qui ont voulu que j’opte pour cette formule. Ils étaient rassurés que je puisse bénéficier d’une formation complète et solide avant que je me retrouve au volant d’une voiture.

Comment se structure la semaine d’apprentissage ?

Nous étions un petit groupe de 12 personnes dont les âges oscillaient entre 17 et 26 ans. Avant même le début des cours, nous avons pu nous exercer sur le site internet Théorie 24 du TCS et nous disposions du manuel officiel pour que nous puissions déjà apprendre les rudiments de la théorie. Dès notre arrivée au Centre Technique du TCS à Genève, nous avons appris intensivement les règles de circulation. Ensuite, nous avons passé des tests à blanc identiques à ceux auxquels nous sommes soumis pour l’examen théorique. À noter que pour ces épreuves, le groupe est scindé en deux. En alternance, six personnes testent leurs connaissances théoriques pendant que les six autres reçoivent les bases de la conduite et acquièrent des savoirs techniques. Cette première partie dure trois jours.

En quoi ce système vous semble-t-il avantageux ?

C’est un gain de temps. Mais la condition indispensable pour réussir est de s’investir à fond. Bien sûr, cela demande un vrai engagement, mais au bout du compte nous sommes gagnants.

Après ces trois premiers jours, sur quoi porte l’apprentissage ?

À l’issue de ce premier module, nous pouvons passer l’examen de théorie à l’Office cantonal des véhicules (Bureau des autos). Et si nous réussissons, nous sommes admis à poursuivre la formation. Aucun des participants de mon groupe n’a été recalé. Nous étions de toute évidence très motivés à suivre cette préparation intensive. Dès lors, nous avons pu mettre le cap sur la conduite sur route accompagnés par des professionnels. Dans le même temps, nous avons été sensibilisés au trafic et nous avons reçu des informations émanant du service juridique de l’Office cantonal des véhicules (OCV) ainsi que des indications sur les assurances.

Et maintenant ?

Pendant un an, je vais perfectionner ma conduite avec mes parents. Et en octobre

2023, je pourrai passer l’examen final. En attendant, je m’exerce sur tous les types de routes, de la campagne à l’autoroute, et je suis un cours mensuel avec un moniteur. Étonnamment, je ne suis pas effrayé car j’ai véritablement bien intégré les règles et j’ai acquis une certaine confiance durant l’apprentissage au TCS.

Quel conseil donneriez-vous à une personne qui souhaite s’inscrire à la semaine de stage du TCS ?

De mettre un bon coup de collier pour acquérir la théorie et d’être très concentrée durant la pratique. Et puis de ne jamais oublier que durant toute la période « d’élève conducteur », une infraction à la Loi sur la circulation routière peut coûter cher, soit trois ans d’attente avant de pouvoir passer l’examen final. Adélita Genoud

Plus d’infos sur : www.tcsge-shop.ch

SÉCURITÉ Dans les ténèbres, pas de lumières

Des comptages effectués par les sections du TCS dans toute la Suisse ont montré qu’un tiers des vélos circule de nuit avec un éclairage non conforme, voire sans éclairage du tout. À Genève, la proportion d’engins mal éclairés est encore plus élevée. De quoi faire mentir la devise Post tenebras lux qui figure pourtant fièrement sur les armoiries genevoises.

Pour savoir combien d’engins de mobilité douce circulent sans l’éclairage prévu par la loi, les sections du TCS ont effectué 48 comptages entre fin octobre et début novembre à travers la Suisse, au moment où la visibilité s’amenuise fortement le matin et le soir. Ainsi, sur 4035 vélos, e-bikes, trottinettes électriques ou autres engins, seuls 2609 répondaient aux dispositions légales, soit un peu moins de deux tiers de tous les engins contrôlés. Sur les 1426 deux-roues restants, 691 (17%) avaient un éclairage allumé mais non conforme, et 735 (18%) n’avaient tout simplement pas d’éclairage allumé, alors que les conditions de circulation l’exigeaient. À noter aussi que seules 49% de toutes les trottinettes électriques mesurées étaient correctement équipées. Ce résultat est d’autant plus étonnant que ces engins sont censés être équipés avec un éclairage devant et derrière pour pouvoir être homologués pour la circulation sur les routes suisses. Il se peut que beaucoup de gens achètent ces e-trottinettes sur Internet sans se rendre compte que l’engin commandé n’est pas conforme à la législation suisse.

Les Romands mauvais élèves

Le test a par ailleurs mis en évidence des différences notables entre les trois

régions linguistiques du pays. Alors qu’en Suisse alémanique, le taux d’engins de mobilité douce conformes dépasse 71,5% et que le Tessin suit avec un taux de conformité de 64,6%, près de 53,4% de ces deux-roues circulant sur les routes romandes ne sont pas équipés correctement.

À Genève, nous avons effectué des comptages à deux reprises à l’heure de pointe du soir début novembre, dont un jour de pluie diluvienne. Dans les deux cas, la nuit était déjà tombée. Au total, nous avons dénombré 60% de vélos et de trottinettes conformes. 40% circulaient donc avec un éclairage non conforme, c’est-à-dire partiel (à l’avant ou à l’arrière seulement) ou clignotant. 18% n’étaient pas éclairés du tout. Dans la grande majorité des cas, il s’agissait de vélos mécaniques non équipés. L’observation a permis en effet de constater que les vélos électriques, en particulier les vélos rapides 45 km/h, sont vendus sur le marché avec tout l’équipement, ce qui n’est pas le cas des vélos mécaniques classiques. Il faut donc compter sur la responsabilité individuelle de chaque acquéreur pour qu’il s’équipe. Le triste constat est que cette prise de conscience de la mise en danger de soi n’est pas encore assez bien ancrée à

Genève. Lorsque l’on questionne les usagers concernés, nombreux sont ceux qui pensent que l’éclairage public en milieu urbain est suffisant. Or, ce n’est pas parce que l’on voit plus ou moins bien la route que l’on est forcément bien vu par les autres usagers. Pour lutter contre ces idées préconçues, le TCS mène depuis plusieurs années des campagnes de prévention « Made visible » et espère qu’à terme, la proportion d’usagers « inconscients » diminue fortement.

Adélita Genoud

Les conseils éclairés du TCS

• Toujours allumer son éclairage à vélo ou en trottinette, de jour comme de nuit (obligatoire depuis le 1er avril 2022 pour tous les vélos électriques)

• Régler l’éclairage en continu sans clignoter, blanc à l’avant et rouge à l’arrière

• Monter des catadioptres blancs à l’avant et rouges à l’arrière

• Appliquer des catadioptres jaunes à l’avant et à l’arrière des pédales

• Porter des vêtements clairs et réfléchissants (gilets, brassards ou bandes réfléchissantes)

Le ski de fond, roi de l’hiver

Le ski de fond attire de plus en plus de monde. Il y a eu les exploits sportifs de Dario Cologna qui ont mis de nombreux jeunes sur ses traces. Il y a aussi une irrésistible envie de profiter du calme de la nature, pour simplement respirer un bon bol d’air frais.

Le ski de fond, tel qu’on le voit en compétition, c’est un sport terriblement dur, avec des athlètes qui, à peine la ligne d’arrivée franchie, s’écroulent sur le sol. « Pas toujours très glamour », dit en riant le Valaisan Candide Pralong, fondeur professionnel. Et pourtant, le ski de fond rassemble de plus en plus d’adeptes, cette fois dans l’optique de profiter de la nature, de redécouvrir parfois que l’on peut être tout seul sur les pistes, d’avancer sans pression, sans nécessairement cracher ses poumons en fin de parcours. « Et c’est un sport varié, qui fait travailler l’équilibre et la force, il y aussi une élégance dans le mouvement du ski de fond », poursuit Candide Pralong. Voilà pourquoi l’univers du ski de fond fait des merveilles pour attirer de nouveaux adeptes, avec des pistes bien entretenues et balisées à travers toute la Suisse. Et nul doute que les exploits de l’ancien champion olympique grison Dario Cologna ont eu un effet positif sur ce sport d’endurance, surtout sur les jeunes qui rêvent de glisser sur ses traces. Et pour les personnes qui aiment se lancer des défis, le moment le plus attendu, c’est de se lancer à l’assaut du Marathon de l’Engadine, qui rassemble plus de 14 000 participants, de Suisse et

d’ailleurs, pour un budget d’organisation de 3 millions de francs. La 53e édition aura lieu le 12 mars 2023. Les amateurs de sorties plus tranquilles peuvent souffler, il existe de nombreux centres nordiques dédiés au plaisir de prendre son temps et de profiter de paysages majestueux, dans une nature revigorante.

La nature et le silence, le duo gagnant du ski de fond Dans les environs de Genève, le président du club de ski de fond Stella Alpina de Plan-les-Ouates se souvient que la pandémie de COVID-19 a donné un coup d’accélérateur à ce sport. « Les gens cherchaient à sortir des villes, à pratiquer une activité de plein air pour se changer les idées, il y avait aussi la problématique des espaces restreints, comme les remontées mécaniques. Les gens voulaient échapper à tout cela », nous dit Grégory Zufferey. En 2023, ce sport reste populaire car il est accessible à tous, tant financièrement que physiquement : « Aujourd’hui, on peut s’équiper entièrement pour environ 400 fr., ou louer le matériel au début, et l’accès aux pistes coûte moins de 15 fr., rien à voir avec le ski alpin. Et puis surtout, c’est un sport

qui offre des sensations, c’est extraordinaire d’être dans cette nature enneigée et silencieuse, il y a la glisse, la vitesse, l’effort physique, à condition de le faire intelligemment et de doser ses efforts en fonction de ses capacités. »

Cet hiver, le club Stella Alpina organise régulièrement des dimanches de découverte, pour les personnes qui désirent débuter cette activité en ayant d’emblée les bons gestes. « On fait des groupes selon les niveaux, précise Grégory Zufferey. L’idée, c’est d’offrir un bon encadrement au début, et d’éviter de faire des erreurs qui pourraient dégoûter les gens de ce sport. » Avec à la fin un moment de partage autour d’un repas, ce qui est un bon argument sur le plan de la motivation… Le ski de fond, c’est aussi un sport qui fait du bien aux enfants, dès l’âge de 6 ans. « Nous les faisons jouer

Les spots préférés de Candide Pralong, skieur de fond professionnel suisse, 32 ans, Valaisan installé à Nyon (VD)

« En Valais, j’aime bien aller à Champex -Lac, il y a une piste qui fait entre 10 et 15 kilomètres qui passe sur le lac. C’est très plat, accessible à tout le monde. C’est sur cette piste que j’ai commencé le ski de fond, c’est mon coup de cœur pour se faire plaisir. Près de Nyon, je vais dans la région du Marchairuz, où il y a aussi de très belles pistes. Je m’entraîne souvent sur la piste qui est entre le col de la Givrine et le Marchairuz, elle fait entre 20 et 30 kilomètres, dans un décor sauvage. C’est un très bel itinéraire. Et en Valais, j’ai de très beaux souvenirs sur le glacier de la Plaine Morte, à CransMontana, mais l’accès n’est pas facile, il faut descendre une piste de ski alpin avant d’arriver à la piste de ski de fond. »

À relever que cette piste de ski de fond possède un tracé original en forme de papillon. Les ailes représentent quatre boucles, avec chacune un niveau de difficulté différent.

ment, on a vu des compétitions de biathlon se dérouler sur une bande de neige, au milieu de la terre. C’est sûr que cela donne moins envie d’aller faire du ski de fond dans ces conditions. Pour les compétitions, on doit se rendre de plus en plus loin, alors que normalement, depuis la région genevoise, on pouvait trouver des zones d’entraînement à 30 minutes de route. En toute franchise, je m’inquiète pour l’avenir. »

Des pistes très bien préparées à disposition

Depuis quelques années, à l’image du forfait pour le ski alpin, l’accès aux pistes

Le ski de fond, en quelques chiffres

• Arrivée en Suisse vers 1890, via des commerçants et des universitaires norvégiens travaillant à Zurich

• Sport olympique depuis 1924

avec des ballons, ils font des descentes dans la poudreuse, c’est une bonne manière de développer leur aisance sur les skis », poursuit Grégory Zufferey. Candide Pralong, skieur de fond professionnel qui a participé aux derniers Jeux olympiques de Pékin, souligne que ce sport est exigeant : « il faut avoir le goût de l’effort ; quand on me demande pourquoi j’ai choisi cette discipline, je réponds que c’est parce que j’ai toujours envie d’aller un peu plus vite, de dépasser mes limites ». Ce qui lui plaît également lorsqu’il est en mode « ski de fond pour le plaisir », c’est le calme qui règne entre les fondeurs. « Personne ne dérange personne, chacun va à son rythme », relève le sportif de haut niveau.

Les stations de basse altitude

souffrent

On l’a bien compris, le ski de fond, c’est vraiment pour tout le monde. Mais jusqu’à quand, au vu de ce qui se passe avec le réchauffement climatique ? Cet hiver, la neige a souvent manqué au rendez-vous dans les stations de basse altitude, là où se trouvent principalement les pistes. « Peu de pistes existent en haute altitude, là il y aurait davantage de neige mais moins d’oxygène, impliquant un effort physique trop important, commente Grégory Zufferey. Récem-

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de ski de fond est payant, avec différentes offres, allant de la journée à l’abonnement de saison. Les mentalités ont évolué, et la qualité du traçage sur les pistes aussi. « Les skieurs de fond jouent désormais bien le jeu et ils ont compris que pour avoir de bonnes conditions, cela demande des moyens, comme l’utilisation de machines qui coûtent 200 000 francs », indique Laurent Donzé, président de Romandie Ski de Fond, l’association qui regroupe les centres nordiques en Suisse romande. Les pratiquants de ce sport ont aussi du choix à disposition, en matière de pistes. « Difficile à dire quel est le meilleur endroit, car tout dépend de votre niveau », nous dit Laurent Donzé. « Pour apprendre, c’est important de débuter sur des terrains plats. Ensuite, cela dépend de ce que l’on recherche : des vallées alpines dans le Valais, des

• 5500 km de pistes actuellement disponibles en Suisse

plateaux dans le Jura… L’avantage du ski de fond, c’est que l’on découvre des paysages différents à chaque fois. » Et quand on lui demande pourquoi le ski de fond fait tant de bien, il nous parle de calme dans la nature, de sérénité, d’une expérience quasi contemplative, hors du stress du quotidien. Alors, qui se lance ?

Catherine Hurschler

Style classique ou skating ?

Le style ancestral du ski de fond est le classique. Le geste s’apparente à de la marche, mais en déséquilibrant son corps vers l’avant, on crée le glissement des skis, parallèlement. La zone centrale du ski comportant des écailles (ou du fart d’accroche pour les spécialistes) permet de se propulser vers l’avant, à l’aide des bras et des bâtons.

La technique du pas de patineur rappelle celle du patin à glace. Le skating séduit particulièrement les sportifs et pratiquants réguliers. D’un premier abord plus technique que le style classique, le skating offre de très bonnes sensations de glisse.

• Romandie Ski de Fond (RSF), l’organisme faîtier qui rassemble une cinquantaine de centres de ski nordique actifs sur l’ensemble de la Suisse romande : https://romandieskidefond.ch/

• Club Stella Alpina, à Plan-les Ouates (GE) : http://www.stella-alpina.ch/bienvenue.html

• Association des clubs de ski genevois : https://www.genevesnowsports.ch/

• Pour connaître les conditions d’enneigement, pour toutes les pistes de ski de fond en Suisse : https://snow.myswitzerland.com/bulletin_enneigement/ski_fond/?sort=place&noidx=1

• Développement en général du ski en Suisse : https://blog.nationalmuseum.ch/fr/2021/01/nation-du-ski-suisse/

Candide Pralong a participé aux derniers Jeux olympiques d'hiver de Pékin.

En Suisse, les pistes de ski de fond sont bien entretenues.

Balade à la découverte du Street Art genevois

Samedi 11 mars 2023

Cette balade « street art », guidée par l’artiste « Jazi » offrira une plongée dans ce domaine d’un art « underground » aujourd’hui très en vogue.

La balade permettra de découvrir de nombreuses œuvres colorées et aux styles variés, dans des lieux insolites : anciennes friches industrielles, passages sous voies, discrètes berges du Rhône et de l’Arve… Notre guide vous parlera de l’histoire du street art et de ses liens avec d’autres disciplines. L’échange se poursuivra devant un verre – dans un lieu « trendy », bien sûr !

LES TEMPS FORTS

• Rencontre avec Jazi, graffeur incontournable de la scène urbaine genevoise

• Balade de 2h environ sur des sentiers insolites dans la ville

• Apéro à la Brasserie des Halles de l’île

INFOS PRATIQUES

Horaires

• Rendez-vous à 9h30 devant l’entrée d’Uni-Mail, côté parc Baud-Bovy

• Fin de la sortie vers 12h30, Bel-Air

• Déplacement : 2h de marche

Notre offre

• Adulte membre TCS : 30 fr. (enfant < 15 ans 15 fr.)

• Adulte : 60 fr. (enfant < 15 ans 30 fr.)

Olivier Fatio

Samedi 1er avril 2023

Dominant le lac et le vallon du Brassus, Céligny parle toujours avec l’accent genevois. Ce n’est pas le seul lien que ce village enclavé en terres vaudoises garde avec Genève, comme nous l’expliquera Olivier Fatio au cours de cette balade-découverte dont il sera le guide. Le professeur de théologie et historien, issu de l’illustre famille patricienne du même nom, est établi depuis de nombreuses années à Céligny dont il a été maire pendant huit ans. De faits en anecdotes, il nous contera l’histoire de la commune, en parcourant ses

rues, jusqu’à sa demeure de l’Élysée.

Un apéritif suivra, au terme d’une petite marche dans cette belle campagne parsemée de châteaux et de maisons de maître.

INFOS PRATIQUES

Horaires

• Rendez-vous à 9h45, arrêt de bus Céligny-village

• Fin de la sortie vers 12h30

Notre offre

• Adulte membre TCS : 25 fr. (enfant < 15 ans 15 fr.)

• Adulte : 50 fr. (enfant < 15 ans 30 fr.)

Non compris : Billet de transport jusqu’à Céligny et retour Genève

Dans les coulisses de la RTS Peintres de la Vieille Ville

Mardi 25 avril 2023

Pendant une heure et demie, des guides de la Maison vous conduiront dans les coulisses d’émissions bien connues : Infrarouge, C’est ma question, 36,9° mais aussi Ça joue ou 52 minutes. Ils vous expliqueront la réalisation des émissions sportives, ainsi que le fonctionnement de la régie et de la rédaction. Vous visiterez enfin les ateliers de construction de décors et apprendrez comment la technologie a facilité la création d’environnements et d’ambiances particulières, pour chaque émission.

Un repas suivra, à la cafétéria de la RTS, où vous aurez peut-être la chance de croiser les stars de votre petit écran !

INFOS PRATIQUES

Horaires

• Rendez-vous 10h15 précises, devant l’entrée de la RTS, Quai Ernest-Ansermet 20

• Fin de la visite guidée à 12h. Repas de 12h à 13h

Notre offre

• Adulte membre TCS : 25 fr.

(enfant < 15 ans 15 fr.)

• Adulte : 55 fr. (enfant < 15 ans 35 fr.)

Vendredi 16 juin 2023

Vous découvrirez comment les artistes ont saisi son atmosphère, ses passages secrets, ses cafés et ses monuments : vous verrez alors la Vieille-Ville à travers leurs yeux. Tout en marchant, vos guides pointeront non seulement des sujets qui ont fait l’objet de tableaux, mais aussi quelques réalisations liées à l’architecture et à la sculpture. Vous verrez également des lieux où les artistes ont vécu : ce sera l’occasion de constater ce qui a changé dans ce décor historique. Une fois cette

balade picturale terminée, vous serez, comme de coutume, invités à partager le verre de l’amitié, à la santé des artistes qui ont croqué Genève.

INFOS PRATIQUES

Horaires

• Rendez-vous à 17h devant la fontaine de la place du Bourg-de-Four

• Fin de la sortie vers 19h30 à la promenade de la Treille

Notre offre

• Adulte membre TCS : 25 fr. (enfant < 15 ans 15 fr.)

• Adulte : 50 fr. (enfant < 15 ans 30 fr.)

À la découverte de Céligny avec

Cours de mécanique vélo et e-bike

Sortie à vélo

COURS DE BASE

Contrôler l’état général du cycle et des éléments de sécurité tels que les freins, connaître le fonctionnement du cycle, savoir réparer une crevaison et contrôler, régler et changer les patins des freins classiques.

Dates : 22 avril, 29 avril, 6 mai 2023 de 9h à 12h Les cours du 22 avril et du 6 mai sont suivis d’une sortie à vélo facultative et gratuite de respectivement 20 km et de 25 à 30 km.

COURS AVANCÉ

S’adresse à tous ceux qui souhaitent faire eux-mêmes des réglages et réparations courantes telles que régler les dérailleurs avant et arrière,

vérifier et régler le jeu de direction ainsi que de changer les câbles et gaines des freins et des dérailleurs.

Dates : 3, 10 et 17 mai de 18h30 à 21h

COURS EXPERT

Vous apprenez à changer une chaîne, à dévoiler une roue, à contrôler l’usure des plaquettes des freins à disque et à régler les suspensions du cycle. Ce cours convient aussi aux vélos électriques munis de freins à disque et suspensions.

Dates : 24 et 31 mai de 18h30 à 21h

COURS DE BASE POUR

E-BIKE

Date : 26 avril de 18h30 à 21h

Samedi 22 avril, env. 20 km

Départ du Centre technique

TCS, route de Meyrin 212, 1217 Meyrin à 14h.

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Samedi 6 mai, 25 à 30 km

Départ du Centre technique

TCS, route de Meyrin 212, 1217 Meyrin à 14h.

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Dimanche 4 juin, 40 à 45 km

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Dimanche 18 juin, Tour du Lac de Bourget

• Membres : 70 fr.

• Non-membres : 110 fr

Dimanche 9 juillet, env. 60 km

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Sorties à moto

Dimanche 30 juillet, env. 70 km

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Tour du canton de Genève

Dimanche 27 août, Chêne-Bourg

Or 133 km, Argent 83 km. Bronze 38 km, Cantonade 19 km

Info : tcsge-shop.ch

Dimanche 17 septembre, 50 à 60 km

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

1er octobre : sortie de clôture de 35 à 40 km

• Membres : 0 fr.

• Non-membres : 10 fr.

Lieu

Centre technique du TCS, route de Meyrin 212, 1217 Meyrin

Matériel

• Aucun matériel n’est nécessaire pour ces cours.

• Venez avec votre vélo.

• Vos vélos classiques ou VTT doivent être en bon état de marche et propre.

Intéressé-e ?

Quai Gustave-Ador 2, 1207 Genève, Route de Meyrin 212, 1217 Meyrin, Chemin de Blandonnet 4, 1214 Vernier

1er avril au Lac des Taillières, 13 mai, 10 juin, 16 septembre

Notez les dates des sorties à moto 2023 dans votre agenda ! Le programme n’est pas encore connu à l’heure où

nous écrivons ces quelques lignes. Consultez notre plateforme d’activités tcsge-shop. ch pour en savoir plus.