PARADIS PARIS
Une fresque « capitale »
C'est de la balle !
Une fresque « capitale »
C'est de la balle !
C’est en 1995 que Martin Lawrence et Will Smith apparaissent pour la première fois ensemble sur le grand écran dans « Bad Boys ». Seul Lawrence était prévu dès le départ pour le film. Will Smith, connu pour la série télévisée « Le Prince de Bel Air », a été engagé pour donner plus d’humour au film.
Le concept de mélange d’action, de suspense et de répliques cool a fonctionné. Le film est devenu un tremplin pour la carrière de Will Smith en tant que star internationale du cinéma, en particulier grâce aux recettes en Europe (huit fois le budget de production de 19 millions de dollars). Et voilà que le quatrième volet sort déjà dans les salles, dans lequel l’ambiance est à nouveau à son comble et auquel nous consacrons notre article de couverture.
Nous vous souhaitons une bonne lecture et un excellent divertissement au cinéma.
Bien à vous,
Éditeur
Directeur de publication
Philipp Portmann
6 — PORTRAIT
Matthieu Delaporte et Alexandre de la Patellière
Marjane Satrapi
Rédacteur en chef
Bernard Achour
Maquette
Romano Bassi
Design & Layout
Huit Onze, Genève
PORTMANN GROUP
Etzelmatt 5 - 5430 Wettingen +41 56 426 88 55 info@portmann-group.com
Vente d'annonces
Patrick Knecht
p.knecht@portmann-group.com
ISSN 2813-7353
Les éditeurs n’assument aucune responsabilité pour le matériel envoyé. Le contenu éditorial est exempt de publicité sauf mention contraire. portmann-group.com
© PORTMANN GROUP 2024
Tous droits réservés. Toute réutilisation du contenu de ce magazine sans autorisation écrite est interdit.
Couverture : © Keystone Interfoto Hollywood Collection
Quatre ans après, nos « bad boys » préférés Will Smith et Martin Lawrence, alias Mike et Marcus, nous reviennent avec leur nouveau blockbuster d’action. Préparez-vous à des retrouvailles musclées !
Par Carmine CarpenitoLa franchise « Bad Boys » a toujours été très populaire, mais ce que le troisième volet avait réussi à faire au printemps 2020, et donc juste avant la pandémie qui s’éternisait alors, pouvait sans conteste passer pour un phénomène. « Bad Boys for Life » a en effet pulvérisé les résultats des deux précédents films au box-office mondial et, avec un total de 427 millions de dollars, a facilement dépassé l’original sorti en 1995 et sa première suite en 2003, qui avaient déjà atteint respectivement 141 et 273 millions de dollars à leur époque. Le quatrième volet, « Ride or die », permettra-t-il de faire mieux ?
Une chose est sûre : les deux acteurs principaux Will Smith et Martin Lawrence se montrent une fois de plus sous leur meilleur jour et reviennent sur le devant de la scène avant la chaleur de l’été avec une aventure spectaculaire qui fait encore mieux en matière d’action, le tout régulièrement épicé de dialogues encore plus cinglants. Cette fois, le suspense est à son comble, car dans ce volet, ce sont les casse-cou de Miami qui sont en fuite.
Que vont bien pouvoir inventer Mike et Marcus pour se sortir d’une situation qui semble sans issue ? Vous le saurez ce mois-ci au cinéma ! Le temps est donc à nouveau venu d’assurer un grand divertissement dans les salles, entre hyper spectacle et humour décoiffant. De quoi se réjouir à l’idée de passer deux heures en compagnie du duo probablement le plus culte du thriller d’aventures actuel.
BAD BOYS – RIDE OR DIE EN SALLE LE 5 JUIN
Gagnez des tickets pour « BAD BOYS: RIDE OR DIE » !
Pour ce faire, envoyez un mail jusqu’au 30 juin à concours@portmann-group.com
Les scénaristes du « Prénom » et du récent diptyque « Les Trois Mousquetaires » ont écrit et réalisé le flamboyant COMTE DE MONTE-CRISTO, toujours d’après Alexandre Dumas. Un des événements de Cannes 2024.
De Bernard AchourÀ eux deux, ou à elles quatre si on parle de leurs mains, ils forment un des tandems les plus novateurs du cinéma et du théâtre français d’aujourd’hui. Depuis le triomphe de leur pièce « Le Prénom », ils n’ont cessé d’investir la scène et surtout les écrans, le plus souvent à deux, parfois en solo, non seulement sur le papier mais aussi, de temps en temps, derrière la caméra.
L’UNION FAIT LA FORCE
Respectivement nés en juin et septembre 1971, Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte se sont rencontrés alors que le premier avait déjà le pied à l’étrier en tant qu’assistant-réalisateur
avant de travailler pour la société de production de Dominique Farrugia tandis que le second, fraîchement émoulu de Sciences Po, venait de signer un court métrage et collaborait à l’écriture du « Vrai journal » sur Canal+. « Comme on s’est très vite bien entendu, on s’est bientôt retrouvé tous les week-ends pour écrire, jusqu’au moment où on a eu envie de passer à des choses un peu plus sérieuses », se souvient Matthieu. Ce sera donc dans un premier temps la farce policière de Frédéric Forestier « Les Parrains » où il intègreront en 2005 un pool de cinq scénaristes, puis l’année suivante le script de l’ambitieux récit d’animation futuriste « Renaissance » et « La Jungle », rédigé ensemble mais réalisé par le seul Matthieu, une comédie complètement
passée inaperçue, « un baptême du feu bidouillé avec des bouts de ficelles ». Le temps de peaufiner leur sens du récit chez d’autres (« RTT », « L’Immortel »), c’est en 2010 que jaillira l’idée qui changera leur vie.
NOM DE NOM !
Il faut ici savoir que, jeunes pères de familles, les deux amis avaient baptisé leurs enfants Neige, Cassiopée, Bartolomé, Taddeo et Artemus, sans se douter que ça ne passerait pas franchement inaperçu. « À force d’entendre des remarques à ce sujet, on a fini par se dire qu’il y avait peut-être un truc à creuser », se souvient Matthieu. Ils n’avaient jamais rien fait pour le théâtre, mais le fait est là : dès sa création
à Paris, « Le Prénom » fait salle comble, les droits d’adaptation internationale sont vendus au bout d’une semaine, il ne faudra qu’un mois pour que les offres de transposition cinématographique commencent à affluer. Sorti en 2012, le film sera lui aussi un triomphe, mais leur pièce suivante « Un Dîner D’Adieu » ne rencontrera le même plébiscite en 2014, tout comme plus tard « Tout ce que vous voulez » et « Par le bout du nez ». « Il était urgent pour nous de changer de registre », concède Alexandre.
EN
D’où, sans doute, la noirceur inattendue d’« Un Illustre inconnu », réalisé par Matthieu mais écrit ensemble, où des pulsions mythomanes entraînent Mathieu Kassovitz jusqu’au point de non-retour. Totalement déboussolé par ce brusque changement de registre, « leur » public pointera aux abonnés absents. Par
bonheur, leurs retrouvailles beaucoup plus consensuelles d’encre et de papier relèvent aussitôt la barre grâce à la tornade comique (plus de 4 millions d’entrées) du doublé « Papa ou maman ? » Loin de faire aussi bien en termes de box-office, leur seconde réalisation en tandem, « Le Meilleur reste à venir », chronique douce-amère sur l’amitié avec Patrick Bruel et Fabrice Luchini, n’en flirtera pas moins avec le million, un score quatre fois supérieur à « Envole-moi » écrit en 2021 pour Christophe Barratier.
ALEXANDRE LE GRAND
Mais avec le diptyque « Les Trois mousquetaires », leur plume moderne et insolente a incontestablement retrouvé sa vitesse de croisière. « Dumas représente un fantasme, un totem pour nous », dit Alexandre. « Mais notre vrai roman de chevet, c’était quand même « Le Comte de Monte-Cristo ». Voilà pourquoi on les retrouve aujourd’hui aux
Gagnez des tickets pour « LE COMTE DE MONTE-CRISTO » !
Pour ce faire, envoyez un mail jusqu’au 30 juin à concours@portmann-group.com
commandes de cette fastueuse adaptation de quelque trois heures, où Pierre Niney orchestre ce qui demeure la vengeance la plus célèbre de la littérature. Présenté en séance spéciale au Festival de Cannes, voilà incontestablement le grand spectacle de votre été.
LE COMTE DE MONTE-CRISTO EN SALLE LE 28 JUIN
Auteurs Matthieu Delaporte (à gauche) et Alexandre de La Patellière. Albert (Vassili Schneider), Mercédès Herrera (Anaïs Demoustier) et Edmond Dantès (Pierre Niney) Danglars (Patrick Mille), Gérard de Villefort (Laurent Lafitte) et Fernand de Morcef (Bastien Bouillon)DE Nadège de Benoît-Luthy AVEC Déborah François, Thibaut Evrard, Jo Deseure GENRE Comédie dramatique, 1 H 14
DISTRIBUTEUR Outside the Box
DE Yolande Zauberman GENRE Documentaire, 1 H 16
DISTRIBUTEUR Sister Distribution
DE Adil El Arbi, Bilall Fallah AVEC Will Smith, Martin Lawrence, Vanessa Hudgens GENRE Thriller, 1 H 50
DISTRIBUTEUR Sony Pictures
LA
DE Bruno Podalydès AVEC Sandrine Kiberlain, Daniel Auteuil, Denis Podalydès GENRE Comédie, 1 H 36
DISTRIBUTEUR Xenix
DE Susumu Mitsunaka GENRE Animation, 1 H 25
DISTRIBUTEUR Sony Pictures
DE Margherita Vicario AVEC Galatea Bellugi, Carlotta Gamba, Veronica Lucchesi GENRE Drame musical, 1 H 46
DISTRIBUTEUR Filmcoopi
DE João Salaviza, Renée Nader Messora AVEC Ilda Patpro Krahô, Francisco Hyjnõ Krahô, Solane Tehtikwyj Krahô GENRE Drame, 2 H 06
DISTRIBUTEUR Trigon
THE WATCHERS
DE Ishana Shyamalan AVEC Dakota Fanning, Georgina Campbell, Olivier Finnegan GENRE Horreur, 1 H 50 DISTRIBUTEUR Warner
PARADIS PARIS
DE Marjane Satrapi AVEC Monica Bellucci, André Dussollier, Roschdy Zem GENRE Comédie dramatique, 1 H 48
DISTRIBUTEUR Frenetic
DE Pierre-Alain Meier GENRE Documentaire, 1 H 37
DISTRIBUTEUR Outside the Box
DE Blandine Lenoir AVEC
Izïa Higelin, Sopgie Guillemin, Jean-Pierre Darroussin
GENRE Drame, 2 H 06
DISTRIBUTEUR Cineworx VICE-VERSA 2 DE Kelsey Mann GENRE Animation, 1 H 40
DISTRIBUTEUR Disney
DE Basil Da Cunha AVEC Eliana Rosa, Nunha Gomes, Evandro Pereira GENRE Film musical, 1 H 36
DISTRIBUTEUR
DE Yorgos Lanthimos AVEC Emma Stone, Jesse Plemons, Willem Dafoe GENRE Drame, 2 H 44
DISTRIBUTEUR Disney
DE Michael Sarnoski AVEC Djimon Hounsou, Joseph Quinn, Alex Wolff GENRE Horreur, 1 H 50 DISTRIBUTEUR Warner JULIETTE AU
LE 28 JUIN AU CINÉMA DE Alexandre de la Patellière, Matthieu Delaporte AVEC Pierre Niney, Anaïs Demoustier, Bastien Bouillon GENRE Aventures, 2 H 53
DISTRIBUTEUR Pathé
DE Jeff Nichols AVEC Jodie Comer, Austin Butler, Tom Hardy GENRE Drame, 1 H 56
DISTRIBUTEUR Universal
DE Zacharias Mavroeidis AVEC Yorgos Tsiantoulas, Andreas Labropoulos, Roubini Vasilakopoulou GENRE Comédie, 1 H 46
DISTRIBUTEUR Xenix
DE Piet Baumgartner GENRE Documentaire, 1 H 32
DISTRIBUTEUR Filmcoopi
Situation au moment de la clôture de la rédaction. Toutes les données sont fournies sans garantie.
De Marjane Satrapi, on connaissait jusque-là surtout « Persepolis », formidable transposition animée de sa propre bande dessiné qui lui avait valu le Prix du jury au Festival de Cannes en 2007 ainsi que les Césars des meilleurs premier film et scénario adapté l’année suivante.
De Bernard Achour
Depuis, qu’il s’agisse de « Poulet aux prunes », « La Bande des Jotas », « The Voices » ou encore de « Radioactive », son passage à la fiction de chair et d’os n’avait pas vraiment convaincu. Mais voilà qu’avec « Paradis Paris », étonnante comédie chorale habitée par la mort, elle signe enfin la réussite qu’on espérait de sa part.
PARIS GAGNÉ
Comme son titre l’indique, « Paradis Paris » se situe dans la capitale française, superbement filmée sans l’ombre d’un cliché touristique. Dans ce décor par nature urbain, on croise ainsi plusieurs personnages confrontés chacun à sa manière à l’échéance fatale : une célèbre chanteuse d’opéra qui ressuscite alors que son corps reposait à la morgue ; une adolescente
kidnappée par un tueur dont tout laisse à penser qu’il n’entend pas la laisser s’en sortir vivante ; un très populaire présentateur d’émission télévisées morbides auquel on annonce une maladie incurable ; un cascadeur de cinéma vedette qui se demande s’il doit continuer à risquer sa vie pour le plaisir du public ; un patron de bar en deuil de son grand amour… À partir de la, le scénario et la mise en scène entrecroisent les destins avec une fluidité et un sens de la surprise aussi accrocheurs l’une que l’autre.
Car contrairement à ce qu’on pourrait croire, « Paradis Paris » n’est absolument pas un spectacle plombant. Avec humour, finesse, émotion, élan visuel et, parfois, une audace étonnamment transgressive (certaines séquences ont largement de
quoi secouer les esprits trop cartésiens, les regards trop sensibles ou les mentalités trop étriquées), Marjane Satrapi livre un propos où les forces de la vie l’emportent largement sur la Grande Faucheuse. Soit une divertissante et profonde sarabande où les segments consacrés à Monica Belluci et à Alex Lutz ne sont pas loin de soulever d’authentiques frissons. Laissez-vous cueillir en toute confiance : il n’est pas impossible que vous ressortiez de la salle légèrement différent par rapport au moment où vous y serez entrés.
PARADIS PARIS EN SALLE LE 12 JUIN
Page suivante
Entretien avec la réalisatrice
Marjane Satrapi
MARJANE SATRAPI
Chassé-croisé tour à tour cocasse, tragique et provocant où la mort mène le bal, PARIS PARADIS confirme la personnalité singulière de sa réalisatrice.
Quand on écrit un film choral, y a-t-il des codes à respecter ?
D’où est né ce film qui questionne la mort tout en célébrant la vie ?
Marjane Satrapi : Pendant plus de dix ans j’ai porté l’idée de « Paradis Paris ». Puis j’ai traversé une terrible épreuve et je me suis retrouvée face à la mort pour de vrai. Alors je me suis dit : « Vivons la vie tant qu’il y a de l’air dans nos poumons. » Ce film est donc devenu une nécessité. Je me suis rendu compte que de se laisser aller à la tristesse et au cynisme était une posture et surtout le choix de la lâcheté. Il en faut du courage pour vivre.
C’est aussi une déclaration d’amour à la capitale française…
Aujourd’hui, dès qu’on parle de la mixité, on parle de la religion, de la banlieue qui viendrait tout casser à Paris, etc. Alors que la mixité sociale, c’est aussi les différentes classes et les diverses cultures qui se côtoient. Ce Paris ouvert et international, on n’en parle presque jamais. Marchez quelques minutes dans Paris et vous entendrez une multitude de langues ! On vit dans la plus cosmopolite et la plus belle des villes. Il y a de quoi la célébrer.
Si j’applique des codes, c’est sans le savoir. Il y a des films choraux que j’adore. Et d’autres que je n’aime pas : ceux où le Saint-Esprit n’a de cesse d’intervenir et de forcer les liens entre les gens par le plus grand des hasards. J’aime l’incertitude de la vie. Le simple fait que vous et moi soyons vivants au même moment est déjà un miracle. Parfois les gens se rencontrent, parfois pas. Je voulais que les choses ressemblent à la vie.
Que voulez-vous dire ?
Même si on fait de la fantaisie et de belles images, il faut quand même croire à la base en l’histoire et aux personnages. Les florilèges viennent naturellement car dans une société, il y a des jeunes, des enfants, des vieux, etc. – la vie est ainsi faite. Je suis très attachée à montrer une version cinématographique de la vraie vie. La magie réside aussi bien dans le casting que dans les dialogues et la façon de filmer : j’essaie de faire en sorte que le moindre petit rôle ne soit pas oublié lui donnant suffisamment de matière pour exister.
PARADIS PARIS EN SALLE LE 12 JUIN
HAIKYIU!! LA GUERRE DES POUBELLES
Basé sur la série de mangas « Weekly Shonen Jump », HAIKYU!! est un anime de sport centré sur l’amour de son héros pour le volley-ball.
Par Carmine CarpenitoManga ultra populaire dans le monde entier, « HAIKYU!!» se voit offrir un nouveau film, le tout premier à être enfin projeté dans les cinémas suisses, ce qui réjouira bien sûr ses fans locaux. Mais de quoi parle donc ce film d’animation ? De Shoyo Hinata, qui rejoint le club de volley-ball du lycée Karasuno afin d’égaler son idole, un ancien joueur de Karasuno connu sous le nom de « Little Giant ». Mais il ne tarde pas à découvrir qu’il doit jouer dans la même équipe que son ennemi juré du collège, Tobio Kageyama. Leurs styles de jeu opposés deviennent une arme surprenante, mais pourront-ils battre leur rival Nekoma High lors de la très attendue « bataille des poubelles » ? Débute alors l’ultime épreuve de force tant attendue entre deux équipes d’outsiders adverses…
UN TRIOMPHE AU JAPON
Comme évoqué, «HAIKYU!! » est basé sur la saga dessinée du Japonais Haruichi Furudate, publiée pour la première fois en 2012. Depuis, l’histoire jouit d’une popularité toujours plus grande, et ce dans le monde entier. Au Japon, « La guerre des poubelles » a même réussi à se hisser en tête du classement des entrées au cinéma – un classement qu’il a atteint à quatre reprises lors de son exploitation locale. Au total, le blockbuster est resté dans le
top 10 pendant plus de dix semaines et a rapporté plus de 57 millions, ce qui fait de ce film un véritable succès. Aujourd’hui, il entend également conquérir le hit-parade des cinémas suisses.
Ceux qui souhaitent tout d’abord regarder les quatre premières saisons de la série animée avant de voir le tout nouveau film peuvent encore les visionner en streaming sur Crunchyroll et ainsi se préparer au mieux à la sortie en salle.
HAIKYIU!! LA GUERRE DES POUBELLES EN SALLE LE 12 JUIN
Ce ne sont que quelques-unes des magnifiques photos que nous avons prises sur notre stand lors de la 10e édition de FANTASY BASEL - Le Comic Con suisse.
Retrouvez-les sur Instagram :
Dans le prochain numéro de FILM GUIDE :
GARFIELD – HÉROS MALGRÉ LUI – Chat alors !
LARGO WINCH – LE PRIX DE L’ARGENT – Le thriller de votre été EMILIA PEREZ – Un film musical dans les cartels
Dès le 3 juillet dans votre cinéma préféré