Reflect FR#21 - 125 & Beyond

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REFLECT VBO FEB Une publication de la Fédération des Entreprises de Belgique

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ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ LA FEB EN MOUVEMENT : VISION & MISSION 2030 P 04

L’AVENIR SELON LES FÉDÉRATIONS SECTORIELLES P 14

INTERVIEW INAUGURALE DE BART DE SMET, PRÉSIDENT P 30

Et voilà. L’année passée

candidat s

’AU TOP! ’ recrutés à Bruxelles. Le profil idéal pour votre entreprise se trouve via Select Actiris. Vous aussi, recrutez des candidats au top sur www.selectactiris.brussels.

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REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

CREATING VALUE FOR SOCIETY Pieter Timmermans Administrateur dĂŠlĂŠguĂŠ FEB

L

e 13 fĂŠvrier 1895, 183 entreprises ont conclu une alliance constructive. 125 ans plus tard, la FĂŠdĂŠration des entreprises de Belgique s’exprime au nom de plus de 50.000 entreprises, reprĂŠsentant 75% de l’emploi dans le secteur privĂŠ et 80% des exportations belges. L’alliance de l’Êpoque est devenue une voix très apprĂŠciĂŠe, qui fait autoritĂŠ, et un dĂŠfenseur d’intĂŠrĂŞts UHVSHFWĂ„ HW LQĆŽXHQW 8QH RUJDQLVDWLRQ LQFRQWRXUQDEOH dans le tissu des acteurs socio-ĂŠconomiques‌ et en dehors de celui-ci.

1RXV VRPPHV ĆŹHUV GH QRWUH YRL[ TXL HVW WRXMRXUV DXVVL ĂŠcoutĂŠe et pertinente après 125 ans, et qui a toute la FRQĆŹDQFH GH OD %HOJLTXH HQWUHSUHQHXULDOH HW HQ SDUWLculier, de nos fĂŠdĂŠrations sectorielles membres. Quoi qu’il en soit : ce n’est pas la forme qui dĂŠtermine notre SRLGV VSĂ„FLĆŹTXH PDLV OHV UĂ„VXOWDWV HQUHJLVWUĂ„V /H SDVVĂ„ GHPHXUH DXMRXUGoKXL XQH VRXUFH GoLQVSLUDWLRQ SUĂ„FLHXVH Les connaissances et l’expĂŠrience acquises ont fait de l’organisation ce qu’elle est devenue. Mais nous ne nous y cramponnons pas Ă tout prix.

UN ANCRAGE SOLIDE DANS LA RÉALITÉ Nous continuons aussi Ă rĂŞver. Car progresser n’a de vĂŠritable intĂŠrĂŞt que si l’on ose remettre en question ce TXL D WRXMRXUV Ă„WĂ„ &HOD YDXW FHUWDLQHPHQW SRXU XQ SD\V comme la Belgique, qui ne dispose quasiment plus de ressources tangibles qu’elle peut tirer du sous-sol, de la mer ou de l’air. Notre valeur rĂŠelle rĂŠside dans le talent, les connaissances et la crĂŠativitĂŠ. L’avenir s’annonce donc radieux pour autant que nous rĂŠagissions de manière intelligente Ă la transition des modèles actuels vers les business models futurs. Notre ĂŠconomie aspire Ă un entrepreneuriat et une ambition collective qui prĂŠparent QRWUH SD\V Âť XQ DYHQLU TXL DXMRXUGoKXL VHPEOH HQFRUH LQDFFHVVLEOH < UĂ„ĆŽĂ„FKLU QĂ„FHVVLWH XQH YLVLRQ Celle-ci doit toutefois s’ancrer dans la rĂŠalitĂŠ. Le progrès QH YD HĆŞHFWLYHPHQW MDPDLV GH VRL 6L OoRQ QoDJLW SDV OHV rĂŞves restent au stade de rĂŞves. Jeter des ponts et

proposer des rĂŠponses aux entrepreneurs pour UHOHYHU OHV GĂ„ĆŹV PRQGLDX[ est notre raison d’être. Pour rendre le monde meilleur, nous devons donner une nouvelle dimension Ă l’Êconomie. Notre mission ultime consiste Ă garantir la prospĂŠritĂŠ de tout un chacun au sein de notre sociĂŠtĂŠ. Entreprendre n’a rien Ă voir avec les idĂŠes vertes, bleues, URXJHV RUDQJH RX MDXQHV 1L DYHF OH IDLW GoĂ…WUH MHXQH ou vieux, homme ou femme, blanc ou de couleur. Entreprendre est une force qui enrichit la vie. 2Ă” HQ VHULRQV QRXV DXMRXUGoKXL VDQV HQWUHSULVHV TXL fournissent du travail Ă des millions de gens, qui investissent des milliards d’euros, qui assurent la prospĂŠritĂŠ ? Il appartient Ă la FEB de contribuer au maintien de leur compĂŠtitivitĂŠ et de soutenir les entrepreneurs dans leur ambition de gĂŠnĂŠrer une prospĂŠritĂŠ durable, ĂŠthique et partagĂŠe. Ă€ cet ĂŠgard, les intĂŠrĂŞts ĂŠconomiques et sociĂŠtaux sont liĂŠs. Cette interaction est au cĹ“ur de notre nouveau mission statement et explique notre nouveau credo ‘Creating value for society’.

 POUR POUVOIR JOUER UN RÔLE DE PIONNIER, IL FAUT MET TRE LES CHOSES EN MOUVEMENT 

NOUVEAU MISSION STATEMENT, NOUVEAU PRÉSIDENT 1RXV VRPPHV SDUWLFXOLĂƒUHPHQW ĆŹHUV GH SRXYRLU RĆŞULU Âť QRWUH QRXYHDX SUĂ„VLGHQW %DUW 'H 6PHW XQH QRXYHOOH vision et une nouvelle stratĂŠgie pour la FEB. Mais nous VRPPHV HQFRUH SOXV ĆŹHUV TXoLO DFFHSWH IRUW GH VD YDVWH expĂŠrience dans la gestion du changement, de s’engager SRXU FH SURMHW HW GH VRXWHQLU OD )(% GDQV OH FDGUH GH VRQ processus de transformation ambitieux. Dans la double interview de ce numĂŠro anniversaire de REFLECT, vous en apprendrez plus sur la manière dont nous souhaitons FRQFUĂ„WLVHU FRQMRLQWHPHQW QRV DPELWLRQV HW VXU OHV DFFHQWV TXH %DUW 'H 6PHW GRQQHUD Âť VD SUĂ„VLGHQFH Bonne lecture !

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REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

VISION & MISSION 2030

NOUVEAU LOOK-AND-FEEL

REGARD SUR 2030

LA FEB DE 1895 À 2020

14 12

04 UNE FEB FORTE, UNE NOUVELLE FÉDÉRATION 3RXU SRXYRLU MRXHU XQ rôle de pionnier, il faut mettre les choses en mouvement. »

NOUVELLE ALLIANCE, NOUVEAU LOGO Chaque élément est l’expression de notre ambition pour les entreprises et pour une économie au service de la société.

LES FÉDÉRATIONS SECTORIELLES LISENT DANS LES ASTRES La responsabilité sociétale de l’entreprise devient un ‘license-to-do-business’.

UNE ANNÉE EXCEPTIONNELLE POUR LA FEB C'est en 1895 qu'ont été posées les bases de la FEB actuelle. 125 années de progrès à la lumière GH GÄƬV WRXMRXUV QRXYHDX[ DQQÄHV SHQGDQW OHVTXHOOHV OD %HOJLTXH HQWUHSUHQHXULDOH D consolidé la prospérité de notre pays. Cet anniversaire est le moment idéal d'anticiper l'avenir avec toutes les parties prenantes, de regarder au-delà de notre propre horizon.

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20 125 ANNÉES INCONTOURNABLES Moteur du Groupe des 10 où elle assume pleinement sa responsabilité, le cœur de métier de la FEB est et reste l’intérêt général des entreprises.

UN LIVRE ET UNE PLATEFORME DIGITALE

NOUVEAU TANDEM À LA TÊTE DE LA FEB

LA FEB ENTREPREND 42 L’alliance patronale de 1895 est devenue une voix très appréciée, qui fait autorité, et un défenseur d’intérêts UHVSHFWÄ HW LQƮXHQW DQV un anniversaire qui méritait d'être fêté. Plus de 2.500 invités ont participé aux festivités à BOZAR.

THÈMES 48

Une sélection de dossiers auxquels nos experts travaillent actuellement.

26 UNE ANNÉE POUR DÉCOUVRIR 125 ANS 8Q DQQLYHUVDLUH H[FHSWLRQQHO pour 125 années d’accomplissements et de SURJUÃV IDFH DX[ GÄƬV

JURISPRUDENCE SOCIALE 62

AGENDA FEB 64 30 INTERVIEW CROISÉE DE PIETER TIMMERMANS ET BART DE SMET « Les entreprises valorisent trop peu ce dont elles sont capables et ce qu’elles font »

NOTRE PROCHAINE ÉDITION … … sera dédiée à l’importance de l’innovation comme moteur transversal de la croissance et de la création de prospérité. Nous élargissons le champ visuel et examinons comment les nouvelles technologies et tendances touchent et transforment tous les maillons et processus de l’entreprise. Et comment elles perturbent l’équilibre de l’ancienne économie.

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REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

VISION & MISSION 2030

UNE FEB FORTE, UNE NOUVELLE FÉDÉRATION Les entreprises font progresser la sociÊtÊ. Notre vision et notre mission reposent sur cette conviction. Notre ADN n’a pas changÊ depuis 1895. En revanche, notre environnement a fondamentalement ÊvoluÊ. La FÊdÊration des entreprises de Belgique s’adapte en permanence. Mieux : elle anticipe l’avenir et reste ainsi incontournable dans le tissu des acteurs socio-Êconomiques et en dehors de celui-ci.

/D )(% SHXW Ă…WUH ĆŹĂƒUH GHV DQQĂ„HV Ă„FRXOĂ„HV PDLV elle regarde surtout en avant. ÂŤ Nous sommes Ă l’aube de la troisième dĂŠcennie du 21e siècle. Le moment est donc venu de conclure un nouveau pacte avec QRV SDUWLHV SUHQDQWHV – DĆŻUPH 3LHWHU 7LPPHUPDQV &(2 GH OD )(% † 6oDGDSWHU QoLPSOLTXH SDV XQ FRPEDW contre le vieillissement et ses symptĂ´mes, mais un UDMHXQLVVHPHQW 6H UĂ„LQYHQWHU FRQWLQXHOOHPHQW &HWWH transformation n’est pas une opĂŠration ad hoc, mais un souci permanent. Âť

CREATING VALUE FOR SOCIETY

E

n 125 ans, non seulement la face du monde VoHVW IRQGDPHQWDOHPHQW PRGLƏÄH PDLV DXVVL la vision du monde, les lignes de rupture et d'Êquilibre entre puissances, les normes et les valeurs. Les entreprises voient surgir des concurrents – souvent inattendus – de partout. Des structures qui autrefois assuraient notre tranquillitÊ VRQW DXMRXUGoKXL IRUWHPHQW VRXV SUHVVLRQ 7RXW OH monde veut du neuf, du numÊrique, du durable, plus d’Êthique, au niveau tant professionnel que politique. Les institutions classiques ou analogues et la hiÊrarchie sont remises en question.

4

Les intĂŠrĂŞts ĂŠconomiques et les valeurs humaines sont intrinsèquement liĂŠs. Ensemble, ils donnent de l’Êlan au changement. Entre les deux, la FEB indique la voie Ă suivre en qualitĂŠ de guide et de pionnière. Les entreprises font progresser la sociĂŠtĂŠ. Pas de progrès sans entreprises, qui fournissent du travail Ă des millions de gens, qui investissent des milliards d’euros, qui assurent la SURVSĂ„ULWĂ„ 8QH Ă„FRQRPLH IRUWH JĂ„QĂƒUH XQ SURJUĂƒV GXUDEOH TXL Âť VRQ WRXU MHWWH OHV EDVHV GoXQH SOXV JUDQGH SURVSĂ„ULWĂ„ SRXU WRXV %XVLQHVV{ ! 6XVWDLQDEOH 3URJUHVV ! 3URVSHULW\ 3LHWHU 7LPPHUPDQV HQ HVW FRQYDLQFX †{&HWWH LQWHUDFWLRQ FLUFXODLUH HVW DX FyXU de notre nouveau mission statement. Elle est Ă l'origine du titre de l'ouvrage 'Entreprendre pour la prospĂŠritÊ’ et de la nouvelle baseline – ‘Creating Value for Society’{s de la FEB. Les intĂŠrĂŞts ĂŠconomiques et sociĂŠtaux VRQW OLĂ„V{ LOV VRQW FRPSOĂ„PHQWDLUHV FRQQHFWĂ„V HW interdĂŠpendants. Cela permet de crĂŠer une valeur UĂ„HOOH SRXU WRXV{– YRLU ĆŹJXUH{

Figure 1

Creating value for society

À cet effet, elle se doit de :

Dans un contexte qui évolue très rapidement, la FEB entend être la boussole par excellence pour les entreprises en Belgique indépendamment de la taille de celles-ci.

•

Représenter les intérêts collectifs de ses membres ;

•

¥WUH SHUWLQHQWH DX QLYHDX VRFLÄWDO HQ DƯ FKDQW XQ OHDGHUVKLS GRXEOÄ d’une vision porteuse d’orientations ;

•

-RXHU XQ UÏOH GH SLRQQLHU FKHI GH Ƭ OH SRXU SURPRXYRLU OH SURJUÃV

•

Jeter des ponts pour mieux coordonner les actions visant à promouvoir l’entrepreneuriat et la croissance durable.

PURPOSE

GUIDING PRINCIPLES

Création et croissance des entreprises

/LEUH ÄFKDQJH DVVRUWL GoXQ OHYHO SOD\LQJ ƪ HOG

Entrepreneuriat fondé sur l’innovation

Entrepreneuriat éthique respectueux de l’homme et de l’environnement

Entreprises compétitives

Économie de marché corrigée socialement

Climat d’entreprise et d’investissement favorable

Attachement à l’entrepreneuriat

ACTIONS

ESS OGR PR

INTERNAL VALUES

Communication qualitative et étayée

TAINAB SUS LE

OSPERITY PR

Emploi et bien-être Croissance durable

Concertation socio-économique prospective avec les syndicats, les pouvoirs publics et les autres acteurs pertinents de la société civile

INESS BUS

Développement des connaissances et élaboration d’une vision

Excellence dans l’expertise et l’orientation client

Sensibilisation Advocacy et défense des intérêts

Respect mutuel, intrapreneuriat et esprit d’équipe Pensée positive et créative Ouverture au changement et à la diversité

Négociation Représentation Réseautage

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REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

DIX LIGNES DE FORCE POUR UNE NOUVELLE FÉDÉRATION Ce n’est pas tout de formuler un nouveau mission statement sur papier. Encore faut-il le traduire dans la pratique. Créer de la valeur tant pour les entreprises que pour la société suppose de cultiver une vision claire, qui inspire et qui fédère. Au cours de nos 125 ans d’existence, nous avons franchi quantité de moments charnières. $XMRXUGoKXL QRXV YRLFL DX GHYDQW GoXQ QRXYHDX PRPHQW clé, que nous anticipons à travers une nouvelle vision HW XQH QRXYHOOH VWUDWÄJLH D\DQW SRXU ƬO FRQGXFWHXU 'Chérissez le passé, vivez le présent et rêvez l’avenir'. 1RXV QH MHWRQV SDV OH SDVVÄ » OD SRXEHOOH ,O QRXV DSSUHQG FRPPHQW IDLUH HQFRUH PLHX[ DXMRXUGoKXL HW GHPDLQ †{-HWHU GHV SRQWV HW PHWWUH QRWUH H[SHUWLVH DX VHUYLFH GHV HQWUHSUHQHXUV SRXU OHV JXLGHU IDFH DX[ GÄƬV PRQGLDX[ HW OHV DLGHU DLQVL » HQWUHSUHQGUH DƬQ GoDVVXUHU HW GH UHQIRUFHU la prospérité de notre pays : telle est notre raison d’être », SRXUVXLW 3LHWHU 7LPPHUPDQV †{&RQFUÃWHPHQW QRXV traduisons cet engagement en dix lignes de force comme DXWDQW GH UHÆ®HWV GH FHWWH QRXYHOOH DOOLDQFH TXH QRXV FRQFOXRQV DYHF QRV SDUWLHV SUHQDQWHV{– YRLU ƬJXUH

LA FEB EST LE COMPAGNON DE ROUTE DE TOUTES LES ENTREPRISES

C’est pourquoi la FEB élargira au sein de son Conseil d’administration la représentation des fédérations SURIHVVLRQQHOOHV DX[ PRPHQWV RSSRUWXQV *U½FH » OoDMRXW d’autres organisations de la société civile et d’ONG, le Conseil pourra opérer comme une Plateforme de concertation sociétale interfédérale &6, /D FUÄDWLRQ de deux nouveaux centres de compétence – ‘Durabilité & Économie circulaire’ et ‘Entrepreneuriat numérique {LQQRYDQWo s VoLQVFULW ÄJDOHPHQW GDQV FHW ÄODUJLVVHPHQW socialement pertinent de notre terrain d’action.

3. ADVOCACY

1. COMMUNIT Y BUILDING Collaborer plus intensivement, partager des expertises, briser des murs, construire des ponts… sont autant de leviers qui nous permettront de donner plus de portée et d’écho aux opinions des employeurs et d’ancrer notre leadership collectif. La FEB développera des pôles de collaboration VXSUD RUJDQLVDWLRQQHOV HQWUH OHV GLƪÄUHQWHV IÄGÄUDWLRQV sectorielles membres et organisations patronales. Cette démarche sera centrée sur la création d’une cellule PDFUR ÄFRQRPLTXH UÄXQLVVDQW WRXWHV OHV H[SHUWLVHV DƬQ que nous portions d’une même voix des messages forts, FRRUGRQQÄV HW HƯFDFHV /HV DFWXHOOHV SODWHIRUPHV GH FROODERUDWLRQ LQWHUVHFWRULHOOH FRPPH OD %5,(& %HOJLDQ 5HVHDUFK ,QQRYDWLRQ DQG (QWUHSUHQHXUVKLS &RPPXQLW\{s ZZZ EULHF EH HW OD 3ODWHIRUPH 30( VHURQW ÄWHQGXHV et poursuivies au sein d’autres domaines d’expertise.

Mais les entreprises seules ne peuvent rien. Tous les acteurs – entreprises, société civile et autorités – doivent travailler main dans la main. Le dialogue avec l’ensemble des parties prenantes est un élément essentiel pour réussir.

Figure 2

Advocacy renvoie à notre engagement pour les droits et les intérêts du monde des entreprises belges, en particulier des employeurs. L’entrepreneuriat durable, l’économie circulaire, les règles de conduite éthiques et les valeurs et normes écologiques se verront attribuer dans le futur un rôle plus prépondérant au sein des GRPDLQHV GDQV OHVTXHOV QRXV EULOORQV GÄM» DXMRXUGoKXL FRPSÄWLWLYLWÄ FRQFHUWDWLRQ VRFLDOH DQDO\VH ÄFRQRmique, corporate governance, politique européenne, ƬVFDOLWÄ ÄQHUJLH FOLPDWf &oHVW FH TXH QRXV FRQFUÄWLserons dans notre structure, notamment au travers d’un FHQWUH GH FRPSÄWHQFH VSÄFLƬTXH n'XUDELOLWÄ Économie circulaire’. Notre approche respectera cette voie dans tout ce que nous entreprendrons. Pour le UÄVXPHU HQ XQH VHXOH SKUDVH OD FUÄDWLRQ GH SURƬW UHVWHUD XQ REMHFWLI SUHPLHU PDLV OD PDQLÃUH GH FUÄHU FH SURƬW VHUD DX PRLQV DXVVL FUXFLDOH

10 LIGNES DE FORCE

2. ACTEUR PERTINENT AU NIVEAU SOCIÉTAL

1. MACR O

3. ADVOCACY

/HV GÄƬV VRFLDX[ HW HQYLURQQHPHQWDX[ LPSRUWDQWV HW complexes incitent les entreprises et leurs fédérations à s’interroger sur leur rôle vis-à -vis de la société. Cela leur impose de repenser leur stratégie, leur gouvernance, leurs investissements, etc. Bref, de continuer à créer de la valeur pour la société. Nous continuerons à inciter les entreprises belges à développer une économie durable en leur démontrant l’avantage compétitif qui en découle. En tant que compagnon de route de toutes les entreprises, nous voulons montrer que les entreprises sont elles aussi des ‘fournisseurs de solutions’ face aux GÄƬV VRFLÄWDX[ DFWXHOV HW IXWXUV VRXWHQXV SDU OD IRUFH G LQQRYDWLRQ OD Æ®H[LELOLWÄ HW OD YLVLRQ

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COMMUNITY BUILDING

2. ACTEUR PERTINENT AU NIVEAU SOCIÉTAL

4. LIGNES DE COMMUNICATION DIRECTES MÉS O

5. COMPLÉMENTARITÉ CONSEIL D’ADMINISTRATION – COMITÉ STRATÉGIQUE 6. COMITÉ DE CONTACT PLUS PERFORMANT 7.

MIC RO

PME ET GRANDES ENTREPRISES

8. LA FEB… (PLUS) PRÈS DE VOUS 9. RAVENSTEIN BUSINESS CENTER 10. NOUVEAUX CENTRES DE COMPÉTENCE

LA FEB FÊTE SES

1 25 ANS

FÉLICITATIONS ! Ź Follow us Ź www.bdo.be

BDO Services CV/SC, a company under Belgian law in the form of a cooperative company with limited liability, is a member of BDO International Limited, a UK company limited by guarantee, and forms part of the international BDO network of independent member firms. BDO is the brand name for the BDO network and for each of the BDO Member Firms.

REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

FROODERUHU SOXV Ă„WURLWHPHQW TXH MDPDLV HW Âť GLĆŞXVHU GHV visions communes et des points de vue intĂŠgrĂŠs Ă tous les niveaux de la politique. L’actuel ComitĂŠ de contact au sein duquel se concertent la FEB et les organisations d’employeurs rĂŠgionales 9RND 8:( HW %HFL VXU OHV WKĂƒPHV WUDQVYHUVDX[ TXL IRQW O DFWXDOLWĂ„ GX SD\V{s SHQVRQV Âť OoDFWLYDWLRQ GHV demandeurs d’emploi et autres groupes cibles, Ă l’Ênergie, Ă la mobilitĂŠ – pourrait faire entendre sa voix GH IDĂ‚RQ SOXV LQWHQVH HW HĆŻFDFH /D ĆŹQDOLWĂ„ GRLW Ă…WUH d’Êlaborer des points de vue communs ou de formuler des propositions avec la participation et le soutien d’une communautĂŠ d’employeurs aussi large que possible.

UNE ÉCONOMIE FORTE GÉNĂˆRE UN PROGRĂˆS DURABLE QUI, Ă€ SON TOUR, JETTE LES BASES D’UNE PLUS GRANDE PROSPÉRITÉ POUR TOUS

$GYRFDF\ VLJQLĆŹH Ă„JDOHPHQW HQWUHU HQ GLDORJXH ¤FRXWHU OHV UĂ„HOV VRXKDLWV GH OoHQWUHSUHQHXU HW OXL RĆŞULU OH PHLOOHXU VHUYLFH SRVVLEOH Âť OoDLGH GoXQ IURQW RĆŻFH HĆŻFDFH 1RXV OH IHURQV GDQV OH VRXFL GH UĂ„SRQGUH DX[ attentes des entrepreneurs et non pour des raisons institutionnelles ou autres motifs liĂŠs aux compĂŠtences. Nous continuons par ailleurs Ă croire en un modèle de concertation socio-ĂŠconomique qui fait progresser les choses au lieu de viser le statu quo. Les erreurs systĂŠmiques doivent disparaĂŽtre. Nous souhaitons faire ĂŠvoluer, de concert avec les syndicats, l’actuel modèle GH FRQĆŽLW YHUV XQ PRGĂƒOH GH SDUWHQDULDW GDQV OHTXHO les autoritĂŠs et d’autres acteurs pertinents de la VRFLĂ„WĂ„ FLYLOH DXUDLHQW Ă„JDOHPHQW XQ UĂ?OH Âť MRXHU

4. LIGNES DE COMMUNICATION DIRECTES La FEB s’est dÊbarrassÊe de son image de lointaine tour GoLYRLUH EUX[HOORLVH 3RXU FRQWUHU GÄƏQLWLYHPHQW FHWWH perception, nous ouvrirons encore plus de lignes GLUHFWHV DYHF OHV IÄGÄUDWLRQV VHFWRULHOOHV PHPEUHV HW leurs entreprises. Notre 'Ravenstein Business Center', en plus d’accueillir des formations et des ÊvÊnements, deviendra un pôle d’information à partir duquel nous SDUWDJHURQV HW GLƪXVHURQV QRV PHVVDJHV HW QRWUH expertise. Avec un service de communication renforcÊ en guise de colonne vertÊbrale.

5. COMPLÉMENTARITÉ CONSEIL D’ADMINISTRATION – COMITÉ STRATÉGIQUE L’interaction actuelle entre notre Conseil d’administration, FRPSRVĂ„ GH UHSUĂ„VHQWDQWV GHV GLĆŞĂ„UHQWHV IĂ„GĂ„UDWLRQV sectorielles membres, et le ComitĂŠ stratĂŠgique, constituĂŠ de chefs d’entreprise, est un modèle 'win-win' unique. Plus nous pourrons rapprocher les synergies entre ces deux structures, plus large sera le mouvement d’opinion en faveur des points de vue de la FEB. En resserrant le OLHQ{HQWUH &RQVHLO HW &RPLWĂ„, nous pourrons mieux cerner les points de vue respectifs et favoriser le brassage d’idĂŠes.

6. COMITÉ DE CONTACT PLUS PERFORMANT La rĂŠalitĂŠ politique, et plus particulièrement la rĂŠgionalisation des compĂŠtences qui ont un grand impact sur le tissu et le climat ĂŠconomiques, obligent les employeurs Ă

8

7. PME ET GRANDES ENTREPRISES En ces temps disruptifs, le statut de grande entreprise n’est pas un cadeau. La possibilitÊ de recourir à la maniabilitÊ d’une plus petite entreprise comme une 30( RX XQH MHXQH VWDUW XS  OoÄFKHOOH GoXQH JUDQGH organisation constitue un puissant levier. Nous devons exploiter au maximum cette complÊmentaritÊ entre les forces de ces deux Êchelles. C’est pourquoi nous continuerons à investir dans l’Êlargissement de notre Plateforme PME, qui nous SHUPHW GH UÄFROWHU OoLQSXW GHV 30( VXU OHXUV VSÄFLƏFLWÄV leurs intÊrêts, et de suivre leur Êvolution sur le terrain. L’importance des grandes entreprises et des PME, pour notre Êconomie ainsi que les unes pour les autres, FRQƏUPH TXH QRXV GHYRQV SRXUVXLYUH GHV PHVXUHV ambitieuses pour renforcer la compÊtitivitÊ de toutes les entreprises. Et que nos responsables politiques GRLYHQW SOXV TXH MDPDLV SUHQGUH FRQVFLHQFH GX IDLW TXH notre Êconomie n’a rien à gagner à opposer les grandes entreprises et les PME.

8. LA FEB‌ (PLUS) PRĂˆS DE CHEZ VOUS Nous gardons nos antennes actives et ouvertes Ă toutes OHV FRPSRVDQWHV GH OD VRFLĂ„WĂ„ /HV MHXQHV SDU H[HPSOH VRQW DXMRXUGoKXL SOXV TXH MDPDLV GH VROLGHV SDUWLHV prenantes de notre sociĂŠtĂŠ. Il importe que nous nous inspirions de leur enthousiasme et de leur dynamisme novateur pour chercher ensemble des solutions FRQVWUXFWLYHV DX[ GĂ„ĆŹV DFWXHOV HW IXWXUV /HV LQLWLDWLYHV telles que notre communautĂŠ 'Young Talent in Action' et ses 250 Ambassadeurs fournissent une prĂŠcieuse caisse de rĂŠsonance.

LES CLUSTERS ENTRE GRANDES ENTREPRISES ET PME SONT DE PLUS EN PLUS IMPORTANTS POUR NOTRE COMPÉTITIVITÉ

Brussels Airport Company adresse ses chaleureuses fĂŠlicitations Ă la FEB pour son 125e anniversaire. 'HSXLV DQV OD )(% VoHQJDJH HQ IDYHXU GX FOLPDW GHV DĆŞ DLUHV Elle soutient les entreprises belges, et donc aussi notre ĂŠconomie. Une mission que Brussels Airport Company partage avec eux !

REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

Figure 3

LA FEB S’EST DÉBARRASSÉE DE SON IMAGE DE LOINTAINE TOUR D’IVOIRE BRUXELLOISE

MEMBERSHIP

DROIT & ENTREPRISE

RA E, H R

ICT

ENTREPRENEURIAT NUMÉRIQUE & INNOVANT

T (FINANC

CENTRES DE COMPÉTENCE

PPOR L SU

& MAINTENANCE

NE

DURABILITÉ & ÉCONOMIE CIRCULAIRE

GE

ÉCONOMIE & CONJONCTURE

ÉNERGIE, CLIMAT & MOBILITÉ

, … )

EUROPE & INTERNATIONAL

EMPLOI & SÉCURITÉ SOCIALE FISCALITÉ & INVESTISSEMENTS

CO

MMU

N I C AT I O N & E V E N

&oHVW ÄJDOHPHQW YUDL SRXU OHV HQWUHSUHQHXUV TXL MRXU DSUÃV MRXU RQW OHV GHX[ SLHGV DQFUÄV GDQV OD UÄDOLWÄ professionnelle. Nous avons également besoin d’entendre, sentir, apprendre directement de leur part TXHOV VRQW OHXUV EHVRLQV HW OHXUV DWWHQWHV 9HUV TXRL LOV tendent et pourquoi. C’est la raison pour laquelle nous SDUWLURQV HQFRUH SOXV TXH MDPDLV HQ WRXUQÄH QRXV organiserons des tables rondes et des conférences dispensées par des CEO et nous partagerons nos informations et connaissances de façon structurée, uniforme et formatée via les fédérations sectorielles membres et autres canaux 'proches' pertinents. En réduisant au minimum la distance entre la FEB et ses parties prenantes, nous pourrons soutenir, inspirer, guider de façon ciblée et fonctionnelle dans une perspective d’avenir entreprenante.

9. RAVENSTEIN BUSINESS CENTER De par sa position centrale, le centre de conférence de la FEB est un lieu unique pour l’organisation d’événements, de formations et de recyclages. Mais nous ne devons pas en rester là . Nous voulons devenir la vitrine, la carte de visite du monde des entreprises belges. Le lieu de rencontre et de réseautage privilégié des entreprises, des secteurs et des responsables SROLWLTXHV GH %HOJLTXH RX GoDLOOHXUV 8Q OLHX TXL GLVSRVH du standing et de l’équipement technique nécessaires

10

TS

SRXU DFFXHLOOLU FKDTXH QLYHDX FRPPH LO VH GRLW 8Q centre qui s’illustre par son concept et sa gestion SURIHVVLRQQHOOH WRXW HQ ÄWDQW DXWRVXƯVDQW

10. NOUVEAUX CENTRES DE COMPÉTENCE La FEB est plus, beaucoup plus qu’un organe de concertation sociale. Il est essentiel que la Belgique entreprenante et politique ait conscience de notre expertise dans d’autres domaines auxquels elle peut faire appel : analyse économique, législation sociale, ƬVFDOLWÄ GURLW GHV VRFLÄWÄV (XURSH GÄYHORSSHPHQW durable, mobilité... Attendu que les exigences de durabilité et la numérisation donneront elles aussi le ton des prochaines années, nous approfondirons encore nos FRQQDLVVDQFHV HW QRV HƪRUWV GDQV FHV GRPDLQHV 1RXV les regrouperons au sein de deux centres de compétence VXSSOÄPHQWDLUHV{ 'XUDELOLWÄ ¤FRQRPLH FLUFXODLUH HW

(QWUHSUHQHXULDW QXPÄULTXH LQQRYDQW . Deux GRPDLQHV FOÄV DX VHLQ GHVTXHOV QRXV FRQMXJXHURQV SULRULWÄV HW H[FHOOHQFH YRLU ƬJXUH

Vous en apprendrez plus sur notre nouvelle vision et mission dans l'ouvrage "125 ans FEB & beyond. Entreprendre pour la prospérité" ou sur YER IHE EH

Depuis 125 ans, la FEB rassemble les entrepreneurs. Depuis 215 ans, D’Ieteren les transporte.

Du carrosse aux véhicules partagés, connectés, électriques et autonomes, nous continuerons à travailler ensemble à la mobilité du futur.

REFLECT VBO FEB | ENTREPRENDRE POUR LA PROSPÉRITÉ

1289($8 /22.Ç•$1'Ç•)((/

NOUVELLE ALLIANCE, NOUVEAU LOGO $ƬQ GH UÄSRQGUH DX PLHX[ DX[ TXHVWLRQV GH QRWUH WHPSV OD )(% VoHVW GRWÄH GoXQ PLVVLRQ VWDWHPHQW ÄYROXWLI et elle conclut une nouvelle alliance avec ses parties prenantes. Elle se positionne ainsi comme un partenaire qui accompagne la marche de la société pour lui indiquer le cap à suivre à l’instar d’une boussole. Ce mission VWDWHPHQW GÄƬQLW QRWUH LGHQWLWÄ FH TXL IDLW GH QRXV XQH IÄGÄUDWLRQ XQLTXH &HWWH LGHQWLWÄ HVW WUDGXLWH visuellement par un logo et un univers de marque, dont chaque élément est l’expression de notre ambition pour les entreprises et pour une économie au service de la société.

Le nouveau logotype de la FEB est composé d’un symbole, de couleurs et d’une typographie VSÄFLƬTXHV (QVHPEOH LOV FRQVWLWXHQW OD traduction graphique de notre mission.

NOS COULEURS

NOTRE TYPOGRAPHIE

NOTRE SYMBOLE

L’entrepreneuriat en tant que tel est dénué de toute couleur politique, verte, bleue, URXJH RUDQJH RX MDXQH 1RV FRXOHXUV confèrent un sens plus profond à nos valeurs positives, à notre vision commune et à notre engagement partagé. Le bleu exprime la continuité et la stabilité, ainsi que notre VROLGH VDYRLU IDLUH /H GÄJUDGÄ LQVXÆ°H GX mouvement au logo et incarne la recherche d’une connexion et d’une collaboration par-delà les secteurs et les régions. Le vert représente l’empathie et la durabilité, la FRQƬDQFH GDQV OoDYHQLU /H WRXW UDVVHPEOH autour de valeurs partagées et plurielles.

La modernité et le caractère arrondi GH QRWUH QRXYHOOH W\SRJUDSKLH ƬJXUHQW l’empathie et soulignent notre engagement HQYHUV OoRXYHUWXUH HW OH GLDORJXH 6D IRUPH universelle soutient intégralement la créativité et le symbolisme de l’élément graphique. Elle est inclusive et transcende les frontières entre les générations.

La forme ressemble à un attache trombone qui rassemble ses membres et désigne une alliance ambitieuse entre la FEB, les fédérations sectorielles membres, les entreprises et toutes les autres parties prenantes. Le sigle forward évoque un élan positif pour l’entrepreneuriat, une croissance forte, durable et axée sur le bien-être. L’un et l’autre incarnent une dynamique à OoLQƬQL UHSUÄVHQWDWLRQ GH QRWUH LQGÄIHFWLEOH optimisme du progrès.

CRÉER DE LA VALEUR POUR LA SOCIÉTÉ /D )(% FRQIÃUH XQH VHXOH HW PÃ…PH YRL[ DX[ HQWUHSULVHV EHOJHV GH WRXV W\SHV HW GH WRXWHV WDLOOHV WRXV VHFWHXUV SURIHVVLRQQHOV HW toutes générations d’entrepreneurs confondus. Nous défendons leurs intérêts, à l’échelle locale et internationale. Nous les fédérons. 1RXV VRPPHV OH JXLGH TXL YHXW OHV DLGHU » WUDYHUVHU OHV GÄƬV VRFLÄWDX[ HW VRFLR ÄFRQRPLTXHV GX IXWXU ,O HVW GH QRWUH PLVVLRQ GH UÄXQLU OHV HQWUHSULVHV DXWRXU GoXQH YLVLRQ FRPPXQH HW GoXQ HQJDJHPHQW SDUWDJÄ 'oDFFRPSDJQHU FHOOHV TXL yXYUHQW SRXU XQH FURLVVDQFH IRUWH HW GXUDEOH D[ÄH VXU OD SURVSÄULWÄ HW OH ELHQ Ã…WUH /H SURƬW HVW QÄFHVVDLUH SRXU OHV HQWUHSULVHV PDLV OD PDQLÃUH GH FUÄHU FH SURƬW UHYÃ…W XQH LPSRUWDQFH HVVHQWLHOOH 1RXV YRXORQV LQVSLUHU HW VRXWHQLU IHUPHPHQW OHV HQWUHSUHQHXUV TXL FUÄHQW GH OD YDOHXU SRVLWLYH 1RXV VRPPHV DX VHUYLFH GHV HQWUHSULVHV TXL YHXOHQW IDLUH SURJUHVVHU OD VRFLÄWÄ

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Pour sécuriser vos prises de décisions, vous pouvez compter sur nous. Des experts proches de vous et de votre activité, qui comprennent les enjeux de votre secteur. Un réseau national et international de compétences qui vous aide à prendre des décisions en confiance pour le futur.

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RSM félicite la FEB pour son 125e anniversaire THE POWER OF BEING UNDERSTOOD AUDIT | TAX | CONSULTING RSM Belgium is a member of the RSM network and trades as RSM. RSM is the trading name used by the members of the RSM network. Each member of the RSM network is an independent accounting and consulting firm each of which practices in its own right. The RSM network is not itself a separate legal entity of any description in any jurisdiction. The RSM network is administered by RSM International Limited, a company registered in England and Wales (company number 4040598) whose registered office is at 50 Cannon Street, London, EC4N 6JJ. The brand and trademark RSM and other intellectual property rights used by members of the network are owned by RSM International Association, an association governed by article 60 et seq of the Civil Code of Switzerland whose seat is in Zug.

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5(*$5' 685

LES FÉDÉRATIONS SECTORIELLES LISENT DANS LES ASTRES Personne ne peut prĂŠdire l'avenir avec certitude. La FEB a nĂŠanmoins demandĂŠ Ă ses fĂŠdĂŠrations professionnelles de se projeter dix ans plus loin. Comment se prĂŠsentera leur monde, et le nĂ´tre, Ă l'horizon 2030 ? La technologie amĂŠliorera notre qualitĂŠ de vie, mais requerra aussi beaucoup de rĂŠsilience. La complĂŠmentaritĂŠ et la spĂŠcialisation gagneront en importance et les systèmes et modèles changeront fondamentalement. Voici les grandes lignes de leurs visions parfois surprenantes 1.

LA RESPONSABILITÉ SOCIÉTALE DE L’ENTREPRISE DEVIENT UN ‘LICENSE-TO-DOBUSINESS’

1 Les visions de toutes les fÊdÊrations sectorielles peuvent être consultÊes sur YER IHE EH tout au long de l’annÊe 2020.

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P

roportionnellement, notre vie aura-t-elle FKDQJĂ„ WHOOHPHQW SOXV HQ TXoDXMRXUGoKXL par rapport Ă dix ans en arrière ? Nous YLYURQV WRXMRXUV GDQV XQH PDLVRQ s FHUWHV avec un peu plus de domotique –, nous nous GĂ„SODFHURQV WRXMRXUV DYHF GHV YĂ„KLFXOHV s Ă„FRORJLTXHV HW SOXV DXWRQRPHV s HW XWLOLVHURQV WRXMRXUV OH WH[WH et les images pour communiquer – via des canaux en mutation de plus en plus rapide‌ Le monde physique ĂŠvolue progressivement, mais il n’est pas question de changements abrupts ĂŠbranlant le monde entier, mĂŞme s’il ne faut pas sous-estimer l’impact de l’Internet des REMHWV 6HORQ OH SHQVHXU GH OD WHFKQRORJLH DPĂ„ULFDLQ Kevin Kelly, le plus grand changement concernera les faits et gestes des gens, le contenu de leur travail et l’opinion qu’ils ont d’eux-mĂŞmes. La technologie numĂŠrique est le canevas sur lequel on peint. Elle est omniprĂŠsente et tout le monde peint sur la mĂŞme toile. Comme elle ĂŠvolue constamment, chaque coup de pinceau change lui aussi. La technologie devient aussi ĂŠvidente que l’air qu’on respire, Ă ce point omniprĂŠsente et invisible que notre cerveau en relègue l’image Ă l’arrière-plan. MalgrĂŠ leur impact Ă l’Êchelle de la sociĂŠtĂŠ et du monde entier, les fĂŠdĂŠrations estiment TXH OD WHFKQRORJLH RX OD QXPĂ„ULVDWLRQ VHURQW WRXMRXUV XQ PR\HQ HQ QL SOXV QL PRLQV 8Q PR\HQ SHUPHWWDQW Ă l’homme d’amĂŠliorer la qualitĂŠ de vie de tout un chacun, de rester en bonne santĂŠ plus facilement et plus longtemps, d’adopter une attitude plus responsable Ă

l’Êgard de la planète, d’expĂŠrimenter l’art de manière surprenante, d’occuper notre temps libre autrement, ‌ Il est essentiel de ne pas rester Ă la traĂŽne. Le monde appartiendra, tout comme le temps, Ă ceux qui se lèvent tĂ´t. Mais, en raison de la vitesse de l’Êvolution, il sera HQFRUH SOXV GLĆŻFLOH GH UHVWHU GDQV OH FRXS /oKRPPH devra faire preuve de rĂŠsilience mentale pour continuer Ă investir avec curiositĂŠ dans son propre dĂŠveloppement.

CINQ TENDANCES INCONTESTABLES 6XU IRQG GH WHFKQRORJLH FRPPH PRWHXU FHQWUDO OHV secteurs mettent en exergue quelques tendances Ă moyen terme.

1. La GXUDELOLWĂ„ GRPLQHUD SOXV TXH MDPDLV OoDJHQGD ĂŠconomique. Avec une population mondiale croissante et une surconsommation d’Ênergie et de matières premières, nous nous heurterons inĂŠluctablement aux limites ĂŠcologiques de notre SODQĂƒWH 6L OoĂ„FRQRPLH HVW OoDUW GH YDORULVHU FH TXL est rare, alors les choses qui avaient peu de valeur auparavant vont devenir très prĂŠcieuses. Nous devons dès lors remettre en question notre mode de pensĂŠe ĂŠconomique classique, oser donner une signification plus large au concept de croissance, tout en tenant compte de l’Êcosystème de notre planète. L’Êconomie circulaire deviendra le modèle fondamental.

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2. 8QH Ă„FRQRPLH HW XQH SURGXFWLRQ GXUDEOHV VXSSRVHQW 5. InĂŠvitablement, les PRQGHV QXPĂ„ULTXH HW SK\VLTXH

D’ICI À 2030, TOUTES LES ENTREPRISES SERONT DES ENTREPRISES TECHNOLOGIQUES

aussi une consommation durable, notamment en misant sur des circuits courts qui contribuent en outre au maintien et Ă la crĂŠation de production et d’emploi au niveau local. Pensons par exemple aux FRPPXQDXWĂ„V Ă„QHUJĂ„WLTXHV RĂ” OHV XWLOLVDWHXUV ĆŹQDX[ partagent et consomment de l’Ênergie produite localement via des rĂŠseaux publics. En raison de la prise de conscience croissante, par le consommateur, de l’impact de ses choix sur le monde, la sociĂŠtĂŠ et lui-mĂŞme, il attendra et exigera aussi plus de responsabilitĂŠ sociĂŠtale de la part des entreprises. La technologie lui permet en outre de personnaliser au maximum sa consommation et de choisir entre UDSLGLWĂ„ SUL[ ĆŽH[LELOLWĂ„ VDQWĂ„ HPSUHLQWH Ă„FRORJLTXH etc. Il faut savoir aussi que le consommateur achètera de moins en moins de produits et de plus en plus de services. Ainsi, il n’acquerra par exemple plus une ODPSH PDLV ORXHUD GH OD OXPLĂƒUH 6L ORXHU SDUWDJHU et 'expĂŠrimenter' deviennent la norme et que les producteurs restent copropriĂŠtaires du produit, un cycle de vie long et durable devient essentiel. C’est WRXW Âť IDLW OH FRQWUDLUH GH FH TXL VH IDLW DXMRXUGoKXL Ă savoir une durĂŠe de vie courte pour stimuler la consommation.

3. Le basculement de la possession Ă l’utilisation touchera aussi le secteur des services. Prenons le secteur des assurances, oĂš l’assurĂŠ n’aura plus le temps, la compĂŠtence ou l’envie d’organiser luimĂŞme une rĂŠparation. L’assureur ne lui versera plus de l’argent, mais règlera la rĂŠparation en nature. L’assurĂŠ sera ainsi aidĂŠ rapidement, confortablement, de manière professionnelle et sĂťre et sans stress. Les atouts pour l’assureur rĂŠsident dans une image FRQYLYLDOH HW HĆŻFDFH OD PDÉWULVH GHV FRĂ–WV PRLQV GH IUDXGH HW XQH ĆŹGĂ„OLVDWLRQ GX FOLHQW

4. La mise en rĂŠseau de la sociĂŠtĂŠ gagnera encore en importance au cours de la prochaine dĂŠcennie. (Q HĆŞHW OD mise en rĂŠseau et le travail en rĂŠseau RĆŞUHQW GHV DYDQWDJHV GoĂ„FKHOOH H[SRQHQWLHOV C’est ce qui a poussĂŠ le marchĂŠ numĂŠrique Ă s’organiser autour de quelques grandes plateformes dominantes, complĂŠtĂŠes par des plateformes spĂŠcialisĂŠes dans des segments nĂŠcessitant l’expertise, le travail sur mesure ou le service Ă la clientèle. Parallèlement, il se crĂŠe entre les silos de rĂŠseau sectoriels de plus en plus de zones de contact ayant un impact sur l’ensemble de la chaĂŽne de valeur d’une industrie. Ainsi, l’alimentation en ĂŠlectricitĂŠ, la sĂŠcuritĂŠ ĂŠnergĂŠtique et la production d’ÊlectricitĂŠ YHUWH VH VLWXHQW HQ GHKRUV GH OD VSKĂƒUH GoLQĆŽXHQFH du secteur automobile, mais sont nĂŠanmoins dĂŠterminantes pour son ĂŠvolution vers des vĂŠhicules † ]Ă„UR Ă„PLVVLRQ{– &HV LQĆŽXHQFHV WUDQVVHFWRULHOOHV entraĂŽneront une amĂŠlioration des solutions existantes et le dĂŠveloppement de nouvelles techniques et technologies. En 2030, le rĂŠseautage et la collaboration cognitifs seront la norme. 16

VH UDSSURFKHURQW GH SOXV HQ SOXV 9LD GHV SURFHVVXV numĂŠriques, les utilisateurs intermĂŠdiaires et ĆŹQDX[ DXURQW GDYDQWDJH DFFĂƒV HW YRL[ DX FKDSLWUH dans le processus de production. La rĂŠalitĂŠ YLUWXHOOH VLPXODWLRQ GH OD UĂ„DOLWĂ„ HW DXJPHQWĂ„H YĂ„ULWĂ„ FRPSOĂ„WĂ„H SDU GX PDWĂ„ULHO LQIRUPDWLTXH LQĆŽXHQFHUD IRQGDPHQWDOHPHQW OH FRQWHQX GHV mĂŠtiers d’ingĂŠnieur, d’architecte, de concepteur, ‌ HW PRGLĆŹHUD OD FRPPXQLFDWLRQ HQWUH OH GRQQHXU GoRUGUH HW OoH[Ă„FXWDQW 6DQV IRUPDWLRQ DGGLWLRQQHOOH les ouvriers deviendront beaucoup plus intelligents sur le terrain. L’automatisation et la robotisation assisteront et accompagneront les collaborateurs dans leurs fonctions sans cesse plus complexes. La disparition des tâches monotones et rĂŠpĂŠtitives leur permettra de se focaliser sur les ÂŤ exceptions Âť et leur laissera plus de temps pour se perfectionner dans la formulation d’avis ou la prise de dĂŠcisions, des FRPSĂ„WHQFHV GRQW QH GLVSRVHQW SDV HQFRUH OHV robots. Le vĂŠritable potentiel de la technologie rĂŠside dans le temps libĂŠrĂŠ durant lequel les collaborateurs peuvent assumer des tâches crĂŠatives Âť SOXV KDXWH YDOHXU DMRXWĂ„H RX GDQV OH IDLW GH OHV dĂŠcharger de tâches physiquement lourdes ou peu ergonomiques. (QĆŹQ OoLQWHOOLJHQFH DUWLĆŹFLHOOH YD Ă„YROXHU MXVTXoÂť pouvoir concevoir des crĂŠations propres sans intervention humaine. Cette crĂŠativitĂŠ ne sera limitĂŠe ou entravĂŠe que par les limites imposĂŠes par l’homme. En bref, d’ici Ă 2030, toutes les entreprises seront des entreprises technologiques.

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www.g4s.be

Aut. SPF. de l’Int. - Verg. FOD. Binn. Zaken 16.1066.11

QUI REMPORTERA LES BELGIAN BUSINESS AWARDS FOR THE ENVIRONMENT? 16 mars 2020 - 15h30 - FEB Nous avons le plaisir de vous inviter à la 17e édition de la cérémonie de remise des Belgian Business Awards for the Environment. Ces awards récompensent les petites et grandes entreprises belges pour leur engagement en matière de développement durable. Ils mettent en évidence les pratiques, procédés et produits éco-innovants de tous secteurs d’activité qui contribuent à la transition vers une économie circulaire. Un jury d’experts indépendants a examiné tous les projets introduits et sélectionné les vainqueurs qui seront annoncés par nos présentateurs. Les entreprises nominées sont : BSH, Coca-Cola (Chaudfontaine), Ducoop, Hortiplan - une marque d’Arvesta, L’Oréal, MODS, OVO, Proximus, Valipac et Wienerberger Cette année, il y aura également un Keynote speech de Guibert del Marmol, conseiller, auteur et orateur spécialisé dans l’économie régénératrice. Depuis 2006, il aide des organes directeurs, des conseils d’administration et des actionnaires à élaborer une stratégie de développement durable axée sur des valeurs partagées. Il est également cofondateur de la Lunt Foundation, qui promeut des solutions régénératrices pour créer de la prospérité au départ de l’écologie, du bien-être et de la communauté.

COMMENT S’INSCRIRE ? Vous trouverez le formulaire d’inscription et toutes les informations utiles sur :

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125 ANNÉES INCONTOURNABLES L’histoire de la FEB est intimement liĂŠe Ă l’histoire socio-ĂŠconomique de notre pays. /HV WUDQVIRUPDWLRQV SURIRQGHV HW UDSLGHV TXL RQW DX ĆŹO GX WHPSV LPSDFWĂ„ OoĂ„FRQRPLH classique tant en Belgique qu’en dehors de nos frontières l’ont toujours poussĂŠe Ă s’adapter. Moteur du Groupe des 10 oĂš elle assume pleinement sa responsabilitĂŠ, son cĹ“ur de mĂŠtier est et reste l’intĂŠrĂŞt gĂŠnĂŠral des entreprises.

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eplaçons-nous – il faut bien commencer quelque part – en 1800. La Belgique est un ĆŽHXURQ LQGXVWULHO &HSHQGDQW GXUDQW OHV annĂŠes 1870-1880, une crise de surproduction entraĂŽne une grave crise ĂŠconomique, qui GXUHUD SUĂƒV GH DQV 8QH SĂ„ULRGH PDUTXĂ„H GoĂ„YĂƒQHments sociaux d’une exceptionnelle gravitĂŠ. Contestation dĂŠsespĂŠrĂŠe contre rĂŠpression sanglante. C’est dans ce contexte que naissent les premiers organismes de conciliation sociale, de nouvelles rĂŠglementations VRFLDOHV DYHF OD FUĂ„DWLRQ GX 0LQLVWĂƒUH GH Oo,QGXVWULH HW GX 7UDYDLO /HV † VRFLĂ„WĂ„V RXYULĂƒUHV – VoRUJDQLVHQW HW VH UHQIRUFHQW /H 3DUWL RXYULHU EHOJH 32% YRLW OH MRXU HQ Face Ă cela, le patronat ressent la nĂŠcessitĂŠ de crĂŠer une association qui serait son porte-parole et lutterait contre 'l’interventionnisme dĂŠbridĂŠ et excessif' de l’État en matière sociale.

L’ENTRE-DEUXGUERRES VOIT APPARAĂŽTRE LE PROTOTYPE DES PREMIĂˆRES COMMISSIONS PARITAIRES

LES PREMIĂˆRES LOIS SOCIALES

Dans les annĂŠes 1930, le CCI collabore avec la FĂŠdĂŠration Nationale des Chambres de Commerce et d'Industrie pour exploiter au maximum les possibilitĂŠs du marchĂŠ national.

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Ainsi, le 13 fĂŠvrier 1895, le ComitĂŠ Central du Travail Industriel (CCTI) est fondĂŠ comme organisation intersectorielle du patronat industriel belge. 183 entreprises de l’industrie lourde – industrie houillère, sidĂŠrurgie et YHUUH s \ VRQW DĆŻOLĂ„HV UHSUĂ„VHQWDQW SOXV GH salariĂŠs. En 1913, le CCTI s’Êlargit et devient le ComitĂŠ central industriel (CCI). Il compte alors 301 entreprises et accueille les secteurs de la construction et du textile. 'ĂƒV OD ĆŹQ GH OoDQQĂ„H OoRUJDQLVDWLRQ LQWHUQH GX &&, HVW UHFRQĆŹJXUĂ„H 'Ă„VRUPDLV FH VRQW OHV DVVRFLDWLRQV RX IĂ„GĂ„UDWLRQV VHFWRULHOOHV TXL VoDĆŻOLHQW (Q le CCI et ses 125 groupements estiment reprĂŠsenter 'pratiquement l’ensemble de la grande et de la moyenne entreprise du pays', soit 3.000 entreprises.

DE PARTENAIRE SOCIAL AU SENS STRICT, LA FEB ÉLARGIT SON HORIZON ET DEVIENT UN PARTENAIRE SOCIÉTAL

Les difficultÊs Êconomiques rencontrÊes au dÊbut des annÊes 1930 font monter en flèche le taux de chômage. Ici, les festivitÊs Rerum Novarum, Gand, 1934.

L’entre-deux-guerres voit apparaĂŽtre le prototype des premières commissions paritaires, soit des organismes oĂš siègent reprĂŠsentants des ouvriers et des patrons, OHV GHX[ SDUWLHV Ă„WDQW LQYLWĂ„HV Âť WHQWHU GH VoHQWHQGUH sur un certain nombre de revendications. Entre 1919 et 1922, 17 commissions paritaires sont crĂŠĂŠes.

LA RECONNAISSANCE DU ÂŤÂ FAIT SYNDICAL  /D 6HFRQGH *XHUUH PRQGLDOH PDUTXH XQ WRXUQDQW dans les relations patrons-travailleurs. Dès 1944, un accord de solidaritĂŠ sociale, appelĂŠ 3DFWH{VRFLDO, est conclu spontanĂŠment entre reprĂŠsentants des employeurs et des travailleurs, RĆŻFLDOLVDQW XQH IRUPH GH UHFRQQDLVVDQFH GX IDLW syndical'. Les deux parties s’accordent sur le principe selon lequel la bonne marche des entreprises, FRQMXJXĂ„H Âť XQH VRFLĂ„WĂ„ SOXV UHGLVWULEXWLYH HVW OD meilleure garantie de la prospĂŠritĂŠ.

/HV HĆŞHWV SURIRQGV GX NUDFK GH :DOO 6WUHHW HQ RFWREUH QH VH PDQLIHVWHQW HQ (XURSH TXH YHUV OD ĆŹQ GH 1930. En Belgique, la situation ĂŠconomique et sociale se dĂŠtĂŠriore et des grèves ĂŠclatent. Cela dĂŠbouchera sur la PLVH HQ SODFH HQ GH GHX[ LPSRUWDQWHV ORLV VRFLDOHV Ă savoir les FRQJĂ„V SD\Ă„V et la VHPDLQH GHV {KHXUHV dans les entreprises insalubres et dangereuses.

(Q OH &&, HVW GLVVRXW DX SURĆŹW GH OD FĂŠdĂŠration GHV LQGXVWULHV EHOJHV ),% , et ce dans un contexte de relance ĂŠconomique d’après-guerre. La FIB vise Ă renforcer l’unitĂŠ patronale et devient 'la seule institution chargĂŠe de reprĂŠsenter les intĂŠrĂŞts professionnels gĂŠnĂŠraux de l’industrie'. Peu après, les relations sociales sont formalisĂŠes, avec la crĂŠation d’organes consultatifs au sein desquels patrons et V\QGLFDWV VLĂƒJHQW SDULWDLUHPHQW{ OH Conseil Central de l’Économie en 1948 et le &RQVHLO{1DWLRQDO GX 7UDYDLO en 1952. En 1954, la FIB compte 54 fĂŠdĂŠrations industrielles sectorielles. Avec le dĂŠveloppement des nouvelles missions, le siège de la FIB Ă la rue Ducale devient ĂŠtriquĂŠ et dĂŠmĂŠnage au 4 de la Rue Ravenstein. La loi sur les congĂŠs payĂŠs est adoptĂŠe en 1936.

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S.M. le Roi Baudoin inaugure, en 1958, le bâtiment de la FEB en compagnie du Baron De Staercke,

Le choc pÊtrolier et la crise Êconomique dès 1973 portent un coup dur à la concertation sociale : entre 1976 et 1986, aucun AIP ne sera conclu.

LĂŠon Jacques (vice-prĂŠsident de la FEB), Paul Van Lint (directeur gĂŠnĂŠral de la FEB), Louis Major et Auguste Cools (respectivement secrĂŠtaire gĂŠnĂŠral de la FGTB et prĂŠsident de la CSC) et Georges Closon (membre du comitĂŠ de direction de la FEB).

6XLWH  OD FUÄDWLRQ GX %HQHOX[ HW GH OD &RPPXQDXWÄ (FRQRPLTXH (XURSÄHQQH &&( qu’elle appuie, la FIB favorise le dialogue avec les fÊdÊrations patronales des autres pays et participe à la crÊation de l’Union des industries de la CommunautÊ europÊenne (UNICE) TXL SUÄƏJXUH OoDFWXHOOH BusinessEurope. (Q PDL XQ DFFRUG GH SURJUDPPDWLRQ VRFLDOH est signÊ, dans le sillage duquel seront nÊgociÊs les premiers accords interprofessionnels $,3 SDU OHV reprÊsentants des partenaires sociaux. Quelques annÊes SOXV WDUG HQ XQH QRXYHOOH ORL LQVWDXUH XQ FDGUH MXULGLTXH FRQFHUQDQW OoRUJDQLVDWLRQ GHV FRQYHQWLRQV collectives de travail et des commissions paritaires.

ET LA FEB DANS TOUT CELA ? Patience ! En 1973, la FIB fusionne avec la FENIB )ÄGÄUDWLRQ GHV (QWUHSULVHV QRQ LQGXVWULHOOHV GH %HOJLTXH SRXU IRUPHU OoDFWXHOOH FÊdÊration des (QWUHSULVHV GH %HOJLTXH )(% 3RXU OD QRXYHOOH RUJDQLVDWLRQ LO VoDJLW DYDQW WRXW GoDƯUPHU OD OLEHUWÄ le droit et le devoir d’entreprendre, qui sont la vocation primordiale du chef d’entreprise'.

Dans la nuit du 11 au 12 septembre 1986, un prÊaccord d’AIP est signÊ.

Une voiture piÊgÊe explose devant les bâtiments de la FEB durant la nuit du 1er mai 1985.

Les premières rĂŠformes de l’État qui, dans les annĂŠes GRQQHQW YLH DX[ 5Ă„JLRQV ZDOORQQH HW ĆŽDPDQGH poussent l’organisation Ă s’adapter ; elle s’impliquera plus en avant dans les dossiers fĂŠdĂŠraux et internationaux, tout en servant les entreprises des trois RĂŠgions du pays. 8QH SDJH VRPEUH GH OoKLVWRLUH GH OD )(% HVW Ă„FULWH OH 1er{PDL . L’immeuble de la FEB est la cible, vers minuit, d’un DWWHQWDW Âť OD ERPEH perpĂŠtrĂŠ par les &HOOXOHV &RPPXQLVWHV &RPEDWWDQWHV &&& ,O FRĂ–WH la vie Ă deux pompiers et occasionne des dĂŠgâts considĂŠrables. (Q SDWURQV HW V\QGLFDWV UHQRXHQW DYHF OH GLDORJXH VRFLDO DXTXHO XQ VRXĆ°H QRXYHDX HVW GRQQĂ„ SDU OD crĂŠation du Groupe des 10, qui rĂŠunit les – 11, avec le prĂŠsident de la FEB ! – instances dirigeantes des RUJDQLVDWLRQV V\QGLFDOHV HW SDWURQDOHV 6L OH QRP GH FHWWH instance est indissociablement liĂŠ aux AIP biennaux, il le sera aussi, par exemple en 2002, lors de la conclusion GoXQ SURWRFROH TXL ĆŹ[H XQ FHUWDLQ QRPEUH GoDFFRUGV HW GoHQJDJHPHQWV FRQFHUQDQW OD UĂ„VROXWLRQ GHV FRQĆŽLWV VRFLDX[ &H †{Gentlemen’s agreement Âť – actualisĂŠ HQ{ s YLVH HQ FDV GH FRQĆŽLWV FROOHFWLIV Âť GRQQHU prioritĂŠ Ă la concertation sociale et au dialogue.

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La FEB n’a de cesse de soutenir l’activitĂŠ des entreprises en veillant Ă ce qu’elles ĂŠvoluent dans un climat qui leur est favorable. Elle relaie leurs prĂŠoccupations et revendications auprès des autoritĂŠs publiques et, d’une manière plus gĂŠnĂŠrale, de tous les acteurs socio-ĂŠconomiques. Mais elle accompagne ĂŠgalement les entreprises lors de grands changements ou bouleversements, comme ce fut le cas lors de la mise en place de l’euro en 1999, au lendemain de la FULVH EDQFDLUH de 2008, ou plus rĂŠcemment lors du Brexit. Pour dĂŠfendre au mieux les intĂŠrĂŞts des entreprises, la FEB se tient au plus près de tout ce qui est de nature Ă LQĆŽXHQFHU OHXU HQYLURQQHPHQW GH WUDYDLO (W HQ {DQV les dossiers se sont succĂŠdĂŠ ! Citons, de manière non exhaustive, la Loi de 1996 relative Ă la sauvegarde GH OD FRPSĂ„WLWLYLWĂ„ TXL GĂ„ĆŹQLW XQH QRUPH VDODULDOH HW ĆŹ[H GĂ„VRUPDLV OH FDGUH GH OD QĂ„JRFLDWLRQ OH Pacte de solidaritĂŠ entre les gĂŠnĂŠrations TXL SURSRVH GHV mesures en faveur des travailleurs âgĂŠs, le long chantier de la VLPSOLĆŹFDWLRQ DGPLQLVWUDWLYH ODQFĂ„ HQ ayant abouti Ă un numĂŠro d'entreprise et un numĂŠro GH 79$ LGHQWLTXHV DLQVL TXoÂť XQH DQDO\VH GoLPSDFW SRXU toute nouvelle rĂŠglementation. Ou encore l’accord sur le VWDWXW XQLTXH RXYULHUV HPSOR\Ă„V (Q RXWUH GHX[ grandes rĂŠformes se seront progressivement invitĂŠes au cours de ces deux dernières dĂŠcennies. La rĂŠforme des pensions DPRUFĂ„H GĂƒV TXL SUĂ„YRLW OH UHOĂƒYHPHQW GH Oo½JH GH GĂ„SDUW Âť OD SHQVLRQ Âť DQV HQ SXLV {DQV HQ HW FHOOH GH OoimpĂ´t des sociĂŠtĂŠs DPRUFĂ„H GĂƒV ĆŹ[DQW XQH EDLVVH GX WDX[ GH Âť HQ HW HQVXLWH Âť HQ 8QH UĂ„IRUPH TXH OD )(% D TXDOLĆŹĂ„H GoKLVWRULTXH WDQW SDU VRQ FRQWHQX TXH SDU VRQ DPSOHXU (QĆŹQ OD )(% D DSSRUWĂ„ VD FRQWULEXWLRQ Ă renforcer la place du droit dans le fonctionnement des sociĂŠtĂŠs. La multiplication des lois dites ÂŤ rĂŠparatrices Âť, leur complexitĂŠ croissante et le dĂŠveloppement du numĂŠrique imposaient une rĂŠforme et une modernisation du droit des sociĂŠtĂŠs et des associations.

8Q UHJDUG UĂ„WURVSHFWLI VXU OH ORQJ WHUPH SHUPHW aussi de rĂŠaliser Ă quel point la FEB a su ĂŠlargir son rĂ´le initial de partenaire social Ă un horizon bien plus large de partenaire sociĂŠtal. Il est clair TXoHOOH H[HUFH DXMRXUGoKXL VRQ LQĆŽXHQFH GDQV GHV dossiers transversaux, sociĂŠtaux, europĂŠens, voire internationaux. En tĂŠmoignent ses rĂŠcentes visions globales et interfĂŠdĂŠrales consacrĂŠes Ă l’Ênergie et Ă la PRELOLWĂ„ HW › OoLQWHUQDWLRQDO RĂ” OHV ĂŠchanges commerciaux de biens et de services se sont ODUJHPHQW LQWHQVLĆŹĂ„V OD )(% DFFRPSDJQH OHV HQWUHSULVHV TXL YHXOHQW QRXHU RX UHQIRUFHU OHXUV UHODWLRQV GoDĆŞDLUHV Notamment dans le cadre des visites d'État et des missions ĂŠconomiques. En 2020, soit 125 ans après sa crĂŠation, la FEB reprĂŠsente – au travers d’une quarantaine de fĂŠdĂŠrations sectorielles membres – plus de 50.000 petites, moyennes et grandes entreprises. Ensemble, elles assurent 75% de l'emploi dans le secteur privĂŠ, 80% GHV H[SRUWDWLRQV HW GH OD YDOHXU DMRXWĂ„H FUĂ„Ă„H HQ Belgique.

LA FEB A ACCOMPAGNÉ LES ENTREPRISES LORS DE GRANDS BOULEVERSEMENTS, L’EURO EN 1999, LA CRISE BANCAIRE DE 2008 OU PLUS RÉCEMMENT LORS DU BREXIT

Bernard Gilliot avec S.A.R. le grand-duc Henri de Luxembourg.

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Le livre '125 ans FEB & beyond. Entreprendre pour la prospĂŠritĂŠ' HVW GLVSRQLEOH GHSXLV OH IĂ„YULHU GDQV OHV OLEUDLULHV HQ %HOJLTXH 3UHQH] FRQWDFW DYHF QRXV pour dĂŠcouvrir la liste complète des points de vente !

TODAY, NO UNCERTAINTIES. IT’S FEB’S 125TH ANNIVERSARY. SO WE’D LIKE TO TAKE THIS OPPORTUNITY TO WISH THEM A HAPPY BIRTHDAY. TURNING UNCERTAINTIES INTO OPPORTUNITIES www.credendo.com

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81 /,95( (7 81( 3/$7()250( ',*,7$/(

UNE ANNÉE POUR DÉCOUVRIR 125 ANS /H IĂ„YULHU OD )(% D VRXĆ°Ă„ ERXJLHV 8Q DQQLYHUVDLUH H[FHSWLRQQHO SRXU {DQQĂ„HV GoDFFRPSOLVVHPHQWV HW GH SURJUĂƒV IDFH DX[ GĂ„ĆŹV DQQĂ„HV TXL RQW SHUPLV Ă l’Êconomie belge de prospĂŠrer. Ă€ la fois livre et plateforme interactive, '125 & beyond' tĂŠmoigne de notre force et des rĂŠsultats que nous avons enregistrĂŠs, moteurs d’une vision rĂŠsolument tournĂŠe vers l’avenir.

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AUJOURD’HUI PLUS QUE JAMAIS, LA FEB ANTICIPE L’AVENIR DANS UNE PERSPECTIVE DURABLE ET CONSTRUCTIVE, DANS LE SOUCI DE RELEVER LES DÉFIS DE NOTRE NOUVELLE SOCIÉTÉ

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l y a 125 ans, 183 entreprises concluaient une alliance FRQVWUXFWLYH /H IĂ„YULHU PDUTXH HQ HĆŞHW OH dĂŠpart de nombreuses annĂŠes qui feront de la FEB FH TXoHOOH HVW DXMRXUGoKXL /oDOOLDQFH GH OoĂ„SRTXH HVW DXMRXUGoKXL GHYHQXH XQH YRL[ WUĂƒV DSSUĂ„FLĂ„H s TXL IDLW DXWRULWĂ„ s HW XQ GĂ„IHQVHXU GoLQWĂ„UĂ…WV UHVSHFWĂ„ HW LQĆŽXHQW SRXU SOXV GH HQWUHSULVHV 8QH RUJDQLVDWLRQ incontournable dans le tissu socio-ĂŠconomique ‌ et en dehors de celui-ci.

/HV MHXQHV SUÄVHQWV DXVVL \ SDUWDJHQW OHXUV DPELWLRQV inspirantes et leurs idÊes parfois un peu folles, même s’ils restent ancrÊs dans la rÊalitÊ. Face à eux, trois visionnaires nuancent cet enthousiasme et nous livrent OHXUV REVHUYDWLRQV SRLQWXHV (W WRXMRXUV DX FyXU GH FHV Êchanges, les entreprises belges, qui sont à la fois notre passÊ, notre prÊsent et notre avenir.

CECI N’EST PAS UN OUVRAGE HISTORIQUE.

Osons rêver ! Progresser n'a de vÊritable intÊrêt que si O RQ RVH UHPHWWUH HQ TXHVWLRQ FH TXL D WRXMRXUV ÄWÄ Cela vaut certainement pour un pays comme la Belgique, qui ne dispose quasiment plus de ressources tangibles qu’elle peut tirer de son sous-sol, de la mer ou de l’air.

Le passĂŠ nous apprend beaucoup. Les connaissances HW OoH[SĂ„ULHQFH DFTXLVHV QRXV RQW SHUPLV GoĂ„GLĆŹHU et de consolider la prospĂŠritĂŠ de notre pays. Mais il \ D DXVVL OHV UĂ…YHV 5Ă„ĆŽĂ„FKLU Âť XQ DYHQLU TXH QRXV QH SRXYRQV HQFRUH VDLVLU QĂ„FHVVLWH Ă„JDOHPHQW XQH YLVLRQ et l’inspiration des gĂŠnĂŠrations expĂŠrimentĂŠes et des JĂ„QĂ„UDWLRQV IXWXUHV $XVVL † EH\RQG – SURMHWWH OH lecteur dans l’avenir, tout en ramenant rĂŠgulièrement celui-ci dans le passĂŠ et le prĂŠsent Ă travers trois grands chapitres : apprendre, rĂŞver et rĂŠaliser. '125 & beyond', c’est d’une part un livre, sur papier, fabriquĂŠ de manière durable, vĂŠhiculant un contenu palpable et pĂŠrenne ; d’autre part une plateforme numĂŠrique, avec un contenu interactif indispensable en 2020. Le livre et la plateforme VH UĂ„SRQGDQW VH FRPSOĂ„WDQW RĆŞUDQW XQ Ă„FODLUDJH complĂŠmentaire Ă un large public. Leur point commun ? Des histoires concrètes dont l’ensemble ne s’apprivoise pas en une fois. Ă€ deux, ces supports s’enrichissent mutuellement et forment un ensemble original et inspirant, avec pour socle l’expertise du monde ĂŠconomique belge. Car on y trouve entre DXWUHV OHV WĂ„PRLJQDJHV GH ĆŹJXUHV FOĂ„V GH OD %HOJLTXH HQWUHSUHQHXULDOH Âť SURSRV GH PRPHQWV FKDUQLĂƒUHV{s allant du Pacte de solidaritĂŠ entre les gĂŠnĂŠrations au Brexit, en passant par le Gentlemen’s agreement.

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&H PRLV FL VXU OD SODWHIRUPH QXPÄULTXH { {EH\RQG , QRXV PHWWRQV  OoKRQQHXU OHV YLVLRQV GH QRV GLƪÄUHQWV VHFWHXUV VXU OoDYHQLU GH OoÄFRQRPLH EHOJH 'ÄFRXYUH] celles-ci sans tarder via 125.vbo-feb.be.

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$XMRXUGoKXL QRWUH YDOHXU UĂ„HOOH SODQH FODLUHPHQW HQ moyenne Ă 1,7 mètre au-dessus de la terre ferme : talent, connaissances et crĂŠativitĂŠ. L’avenir s’annonce donc radieux pour autant que nous rĂŠagissions de manière intelligente Ă la transition des modèles actuels vers les business models futurs. Notre ĂŠconomie aspire Ă un entrepreneuriat qui prĂŠpare notre pays Ă un avenir GoDSSDUHQFH HQFRUH LQDFFHVVLEOH < UĂ„ĆŽĂ„FKLU QĂ„FHVVLWH une vision, mĂŞlĂŠe Ă l'inspiration des gĂŠnĂŠrations expĂŠrimentĂŠes et montantes. 0DLV OH SURJUĂƒV QH YD MDPDLV GH VRL 6L O RQ Q DJLW SDV les rĂŞves restent au stade de rĂŞves. Jeter des ponts et proposer des rĂŠponses aux entrepreneurs pour relever OHV GĂ„ĆŹV PRQGLDX[ VRQW QRWUH UDLVRQ G Ă…WUH 3RXU UHQGUH le monde meilleur, nous devons donner une nouvelle dimension Ă l’Êconomie. Notre mission ultime consiste Ă garantir la prospĂŠritĂŠ de tout un chacun au sein de notre sociĂŠtĂŠ ou, mieux, Ă la renforcer.

"SI LE MONDE POLITIQUE MANQUE D’AUDACE, LES ENTREPRISES PRENDRONT L’INITIATIVE ET METTRONT LEUR VISION SUR LA TABLE" PIETER TIMMERMANS, ADMINISTRATEUR DÉLÉGUÉ FEB

Le livre '125 ans FEB & b beyond. ey e ond. Entreprend Entreprendre endre pour la prospĂŠritĂŠ' HVW GLVSRQLEOH GHSXLV OH IĂ„YULHU GDQV OHV OLEUDLULHV HQ %HOJLTXH 3UHQH] FRQWDFW DYHF nous pour dĂŠcouvrir la liste complète des points de vente !

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Solutions multi-techniques pour un monde en transition ENGIE est le leader du marché belge dans la vente d’électricité, de gaz naturel et de services énergétiques. Résolument engagée sur la voie de la transition vers le zéro carbone, l’entreprise propose à ses clients résidentiels, professionnels et industriels des solutions innovantes pour une utilisation plus économique et plus rationnelle de l’énergie et pour un plus grand confort.

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Ensemble pour un avenir plus efficace, plus digital et plus durable

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81 1289($8 7$1'(0 › /$ 7¥7( '( /$ )(%

« NÉCESSITÉ D’UN MASTER PLAN PORTEUR D’UNE AMBITION COLLECTIVE » 2020. La FEB fête ses 125 ans et , et Bart De Smet - CEO de l’assureur Ageas - en devient le nouveau président. Avec l’administrateur délégué Pieter Timmermans, il constitue le tandem qui conclut une nouvelle alliance avec les parties prenantes. L’objectif est de ramener notre pays dans le top cinq des FODVVHPHQWV HXURSÄHQV SHUWLQHQWV 5()/(&7 OHV D LQWHUURJÄV VXU OHXU YLVLRQ OHXUV SLVWHV GH UÄƮH[LRQ HW{OHXUV SULRULWÄV

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Le manque de cohĂŠrence de la politique ĂŠnergĂŠtique en Belgique et, par extension, en Europe, constituet-il une menace pour les entreprises ? %DUW 'H 6PHW %'6 { ÂŤ Les discussions idĂŠologiques HQWUDYHQW XQH SROLWLTXH LQWĂ„JUĂ„H /oHQMHX QoHVW SDV seulement que l’Ênergie soit ‘propre, mais aussi qu’elle VRLW SD\DEOH HW GLVSRQLEOH GH PDQLĂƒUH ĆŹDEOH 'H SOXV en plus d’experts climatiques estiment que l’Ênergie nuclĂŠaire reste indispensable pour un temps dans notre pays pour permettre la transition vers un modèle renouvelable et durable. L’alternative des nouvelles centrales au gaz semble sĂŠduisante, mais les six sites n’existent pas encore. Je m’attends Ă beaucoup d’opposition Ă leur implantation. Je peux paraĂŽtre F\QLTXH PDLV TXDQG MH YRLV OH YDXGHYLOOH HQWRXUDQW la construction d’un nouveau stade de football‌ Âť 3LHWHU 7LPPHUPDQV 37 ÂŤ ConnaĂŽtrons-nous un EODFN RXW HQ " /HV FKHIV GoHQWUHSULVH UHGRXWHQW un tel scĂŠnario catastrophe. OĂš irons-nous chercher l’Ênergie pour l’Êviter ? Et Ă quel prix exorbitant ? Avec FH TXH MH VDLV DXMRXUGoKXL MH QH YRXGUDLV SDV Ă…WUH PLQLVWUH de l’Énergie en 2025. Nous avons besoin d’un ministrePDQDJHU TXL REMHFWLYH OHV IDLWV VXLW OoĂ„YROXWLRQ HW VXU

cette base, ĂŠlabore une stratĂŠgie rĂŠaliste. Ă€ terme, le nuclĂŠaire disparaĂŽtra sans doute, mais pas avant que des alternatives valables ne soient opĂŠrationnelles. Il faut sortir du dĂŠbat idĂŠologique et choisir une politique rĂŠaliste reposant sur plusieurs axes. Âť Énergie et climat vont de pair. Les entreprises croient-elles assez dans les opportunitĂŠs Ă„FRQRPLTXHV TXoRƨUH OH FKDQJHPHQW FOLPDWLTXH " 37 ÂŤ Certainement. Mais nous valorisons trop peu ce dont nous sommes capables et ce que nous faisons. Petites et grandes entreprises doivent beaucoup plus faire connaĂŽtre leurs innovations durables. Le souci du climat a ĂŠtĂŠ transposĂŠ en actes concrets bien avant TXH OHV MHXQHV QH PDQLIHVWHQW HQ PDVVH /H PRQGH des entreprises met tout en Ĺ“uvre pour atteindre les REMHFWLIV HXURSĂ„HQV (Q IDLVDQW OD JUĂƒYH SRXU participer Ă la marche pour le climat, on impute le problème aux entreprises, alors qu'elles sont en fait une partie de la solution. Les entrepreneurs sont des pionniers de la transition, pas des suiveurs. Il va de soi que la Belgique ne rĂŠsoudra pas la problĂŠmatique climatique mondiale, mais nous pouvons proposer des outils pour parvenir Ă des solutions. Âť

 IL FAUT SORTIR DU DÉBAT IDÉOLOGIQUE ET CHOISIR UNE POLITIQUE RÉALISTE REPOSANT SUR PLUSIEURS AXES  PIETER TIMMERMANS

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%'6 † 6DYLH] YRXV TXH OD &KLQH IDLW DSSHO  OD technologie et au savoir-faire belges pour Êpurer ses eaux ? Nos entreprises dÊveloppent des solutions LQQRYDQWHV PDLV IRQW HƪHFWLYHPHQW WURS SHX FRQQDÉWUH leurs forces et leur potentiel. 

mais rĂŠalisables. De plus, toutes les branches de l'industrie ne disposent pas des mĂŞmes possibilitĂŠs. 6WLJPDWLVHU OHV HQWUHSULVHV TXL QH VRQW TXoDX GĂ„EXW de la transition les dĂŠmotivera au lieu de les stimuler. Est-ce ce que nous voulons ? Âť

Il semble que les groupements thĂŠmatiques, comme 'Sign for my Future', Ringland, etc., qui se concentrent sur un thème unique ont de plus en SOXV G LQĆŹXHQFH VXU OHV SHUFHSWLRQV %'6 ÂŤ L’Ênergie et le climat sont des discussions tout en nuances. Il ne s’agit pas simplement d’être ‘pour ou contre’, c’est une recherche de solutions ambitieuses,

37 ÂŤ Les groupements thĂŠmatiques ont le mĂŠrite de PHWWUH HQ H[HUJXH GHV SUREOĂƒPHV VSĂ„FLĆŹTXHV 0DLV LO QH IDXW SDV SHUGUH GH YXH OD QXDQFH OHV IDLWV REMHFWLIV 8Q exemple : la suppression de 300.000 voitures de sociĂŠtĂŠ s VXU PLOOLRQV GoDXWRV GDQV QRWUH SD\V s QH UĂ„VRXGUD SDV le problème des embouteillages. En revanche, si l’on retire de la circulation les 300.000 voitures les plus polluantes, on enregistre des progrès Ă la fois pour la mobilitĂŠ et sur le plan ĂŠcologique. Mais la perception nĂŠgative continue Ă QRXV MRXHU GHV WRXUV $LQVL ORUVTXoLOV SDUOHQW GH FOLPDW les mĂŠdias montrent systĂŠmatiquement une cheminĂŠe GoXVLQH TXL UHMHWWH XQH IXPĂ„H SROOXDQWH &HWWH LPDJH QH correspond plus Ă la rĂŠalitĂŠ. La photo correcte montre un toit d’entreprise vert, couvert de panneaux solaires. Âť %'6 ÂŤ Nous devons ĂŞtre conscients que les entreprises peuvent beaucoup, mais qu’elles ne peuvent pas tout UĂ„VRXGUH &oHVW OoHĆŞRUW JOREDO TXL FRPSWH OD UHVSRQVDELlitĂŠ collective. Pour cela, nous avons besoin du soutien de chacun. Chacun doit contribuer aux charges et aux coĂťts de la transition vers une sociĂŠtĂŠ plus durable et plus respectueuse du climat. Âť

TAUX D’EMPLOI ET GÉOPOLITIQUE Face à la guerre commerciale gÊopolitique qui traÎne en longueur, les entreprises exportatrices belges redoutent de prendre des risques et se montrent trop prudentes. Que faut-il faire pour rÊtablir la FRQƪDQFH GHV H[SRUWDWHXUV " %'6  Il y a deux ans, on s’attendait au pire pour 2019, mais les rÊsultats des entreprises tÊmoignent d’un bel RSWLPLVPH /HV HQWUHSULVHV TXL SHXYHQW DƪURQWHU GHV facteurs externes dont elles n’ont pas le contrôle sont ƎH[LEOHV FUÄDWLYHV HW HOOHV GLYHUVLƏHQW OHXU RƪUH HW OHXUV{PDUFKÄV –

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LA FEB FÊTE SES 125 ANS,

AVEC GOÛT !

La FEB célèbre 125 ans de synergies. Leur recette pour conclure de solides partenariats ? Se retrouver autour d’une table bien fournie. C’est pour cela que les chefs de Sodexo préparent jour après jour les meilleurs mets, mettant en avant leur savoir-faire culinaire, le service irréprochable de leurs équipes et des ingrédients de haute qualité. Et leur amour du métier. Sodexo. The Love of food.

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37 ÂŤ Lorsque notre capacitĂŠ d’exportation est mise sous pression, cela a un impact direct sur le PIB, l’emploi, la FRQĆŹDQFH GHV FRQVRPPDWHXUV OHV HĆŞRUWV GoLQYHVWLVVHment, le pouvoir d’achat‌ Lorsque les exportations se portent bien, le pays se porte bien. C’est pourquoi la FEB insiste sans relâche sur l’importance de notre compĂŠtitivitĂŠ par rapport Ă l’Êtranger. Dans le contexte de l’Êconomie de marchĂŠ globale, la Belgique est un petit pays face Ă de vastes territoires ĂŠtrangers. Pour ĂŞtre forts, nous devons rester extrĂŞmement compĂŠtitifs en matière de coĂťts salariaux, de productivitĂŠ, de simplicitĂŠ administrative, de dĂŠveloppement des talents‌ Âť Le monde politique belge s’accorde sur un point : il faut augmenter le taux d’emploi. 37 ÂŤ La compĂŠtitivitĂŠ gĂŠnère de l’emploi. Mais pour pourvoir ces nouveaux emplois, il faut activer toute la main-d’œuvre disponible. D’oĂš la nĂŠcessitĂŠ d’un modèle LQWĂ„JUĂ„ GDQV OHTXHO OHV HĆŞRUWV IĂ„GĂ„UDX[ HW UĂ„JLRQDX[ VH complètent et se renforcent mutuellement. Les PLQLVWUHV SUĂ„VLGHQWV RQW UDLVRQ TXDQG LOV DĆŻUPHQW qu’ils ont besoin d’un accord gouvernemental fĂŠdĂŠral fort pour pousser le taux d’emploi Ă la hausse. Les premiers pas ont ĂŠtĂŠ faits ces cinq dernières annĂŠes avec la crĂŠation de 300.000 emplois, mais il y a quelques GLĆŻFXOWĂ„V Âť OHV SRXUYRLU /HV VRXUFHV GH PDLQ GoyXYUH classiques tendent Ă s’Êpuiser et il faut donc stimuler les centaines de milliers de talents ‘cachĂŠs’ : les personnes qui veulent reprendre le travail progressivement après XQH ORQJXH PDODGLH OHV MHXQHV QRQ TXDOLĆŹĂ„V OHV MHXQHV sans expĂŠrience qui ont perdu la trace du marchĂŠ du WUDYDLO OHV EĂ„QĂ„ĆŹFLDLUHV GX UHYHQX GoLQWĂ„JUDWLRQ OHV travailleurs de plus de 50 ans qui perdent leur emploi RX{VRQW Ă„FDUWĂ„V GX PDUFKĂ„ GX WUDYDLO SDU XQ 5&& OHV pensionnĂŠs qui voudraient continuer Ă travailler‌ Âť %'6{ † ,O HVW LPSRUWDQW G RULHQWHU OHV MHXQHV HW OHV demandeurs d'emploi vers les domaines oĂš la demande est ou deviendra aiguĂŤ. Je pense Ă l'enseignement, DX VHFWHXU GHV VRLQV DX[ PĂ„WLHUV 67,0 6FLHQFH 7HFKQRORJLH ,QJĂ„QLHULH 0DWKĂ„PDWLTXHV Âť O LQGXVWULH manufacturière... Il faut aussi rĂŠaliser un meilleur ĂŠquilibre entre vie privĂŠe et travail. Trop souvent DXMRXUGoKXL GHV JHQV UHQRQFHQW Âť OHXU WUDYDLO SDUFH TXH OoDFFXHLO GHV HQIDQWV HVW LQVXĆŻVDQW RX LQDERUGDEOH Il faut surtout augmenter la tension entre le travail et l'inactivitĂŠ. Plus il y aura de personnes qui travaillent, plus les recettes de la sĂŠcuritĂŠ sociale augmenteront et plus la pension pourra ĂŞtre ĂŠlevĂŠe. Le travail et la SHQVLRQ VRQW HQ HĆŞHW OHV GHX[ IDFHV GoXQH PĂ…PH mĂŠdaille. Âť 37 † 7RXV OHV REVWDFOHV RQW Ă„WĂ„ LGHQWLĆŹĂ„V &RPPHQW les responsables politiques, les partenaires sociaux, les HPSOR\HXUVf YRQW LOV VoDWWDTXHU FRQFUĂƒWHPHQW DX GĂ„ĆŹ du taux d’emploi ? Les titres-services sont sous pression, l’organisation de l’accueil des enfants dans les entreprises VXVFLWH SHX OD FRQĆŹDQFHf -oREVHUYH HQFRUH WURS GH syndicalisme de ‘statu quo’ et trop peu d’optimisme du progrès. Âť

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)DXW LO Âť QRWUH SD\V XQH YLVLRQ XQH UĂ„ĆŹH[LRQ Âť ORQJ terme, un master plan ? %'6 † 8QH HQWUHSULVH TXL YHXW UHVWHU GDQV OD FRXUVH VH SURMHWWH GDQV OoDYHQLU HW Ă„ODERUH VXU OD EDVH GH FHWWH vision d’avenir, des plans d’action concrets Ă trois ou cinq ans au moins. Notre pays a besoin de choix politiques ĂŠnergiques, tournĂŠs vers l’avenir et intĂŠgrĂŠs en matière d’Ênergie, de mobilitĂŠ, d’organisation du marchĂŠ du travail, de migration‌ Je mets l’accent sur le mot ‘intĂŠgrÊ’ parce que tous les chantiers sont reliĂŠs entre eux. La complexitĂŠ de notre structure ĂŠtatique ne facilite pas cette intĂŠgration, mais un peu plus d’ambition collective serait bienvenue. Je me demande parfois si la Belgique a un master plan. Âť 37 ÂŤ Les nouvelles vision et mission de la FEB sont claires : l'entrepreneur est au centre. Nous nous devons d'ĂŞtre au maximum Ă son service. Nous le ferons dans le souci de rĂŠpondre Ă ses attentes et non pour des raisons institutionnelles ou autres motifs liĂŠs aux compĂŠtences. Notre agenda ne sera pas dictĂŠ par un problème politique. Nous mettrons en avant les thèmes qui prĂŠoccupent rĂŠellement les entrepreneurs, quel que soit le niveau de compĂŠtence politique. Pour chaque thème, nous rĂŠunirons tous les partenaires pertinents – la ‘coalition of the willing’ – pour trouver des solutions ensemble. Il est inacceptable que lorsque les employeurs mettent sur la table un plan de mobilitĂŠ en 50 mesures concrètes, soutenus par tous les secteurs, il faille ensuite des annĂŠes avant que les ministres compĂŠtents s’y intĂŠressent ensemble. Âť

ÂŤ JE ME DEMANDE PARFOIS SI LA BELGIQUE A UN MASTER PLAN Âť BART DE SMET

La FEB fête ses 125 ans

Ensemble, nos 150 bougies illuminent les entreprises.

#MerciMonCourtier d’être partenaire de mon entreprise année après année. 125 ans de la FEB, cela nous inspire, nous qui venons de fêter les 25 ans de ‘Votre Courtier, Votre meilleure Assurance’. Tout comme votre entreprise fait appel à des experts tels qu’un comptable ou un avocat, faites appel à un courtier. Il a une vision globale de votre entreprise, propose toutes les assurances, est libre de ses choix, négocie les prix et défend en toute indépendance vos intérêts. C’est le meilleur intermédiaire entre l’entreprise et les organismes d’assurance. En véritable partenaire, son expertise dans l’assurance pension, la flotte automobile ou encore protection juridique vous sera des plus précieuses...

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%'6 ÂŤ Chacun est d’accord sur l’orientation gĂŠnĂŠrale, mais il y a encore du pain sur la planche pour faire ĂŠvoluer toutes les parties de la mĂŞme manière dans cette direction. C’est pourquoi des points de mesure intermĂŠdiaires sont importants. Ă€ chacun d’entre eux, on enregistre un rĂŠsultat. Cela stimule la motivation et alimente une dynamique positive. Âť 37 ÂŤ Le meilleur exemple est la discussion sur la suppression de la voiture de sociĂŠtĂŠ. Quand on a compris que l’attaque frontale coĂťterait de l’argent Ă chacun, le UHMHW D DXJPHQWĂ„ 6L OoRQ VoĂ„WDLW SOXWĂ?W FRQFHQWUĂ„ VXU OH verdissement progressif du parc de voitures de sociĂŠtĂŠ comme première ĂŠtape vers une solution plus favorable au climat et Ă la mobilitĂŠ, on aurait rĂŠduit l’opposition et on aurait sans doute plus progressĂŠ en cinq ans qu’on ne OH IHUD MDPDLV –

%'6 † 1RXV GHYRQV FDVVHU OH FOLPDW GH PÄƏDQFH /HV propositions de la FEB ne sont pas bonnes uniquement pour les entreprises. Elles sont aussi prÊcieuses pour des millions de travailleurs, pour des centaines de milliers de clients des entreprises, pour les citoyens..., pour la prospÊritÊ gÊnÊrale de notre pays. 

 LA COMPLEXITÉ DE NOTRE STRUCTURE ÉTATIQUE NE FACILITE PAS UNE POLITIQUE INTÉGRÉE, MAIS UN PEU PLUS D’AMBITION COLLECTIVE SERAIT BIENVENUE  BART DE SMET

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UNE EUROPE VERTE ET NUMÉRIQUE Quelle est la position des employeurs face aux nouveaux accents posĂŠs par l’Europe, comme le Green Deal et l’Agenda numĂŠrique ? 37 ÂŤ En tant qu’organisation patronale, nous nous inscrivons dans l’approche de BusinessEurope qui reprĂŠsente les entreprises au niveau europĂŠen. Nous plaidons pour un progrès rĂŠaliste. Cela n’a aucun sens GoLPSRVHU XQ REMHFWLI GRQW RQ VDLW TXoLO HVW LUUĂ„DOLVDEOH ,O HVW SUĂ„IĂ„UDEOH GH ĆŹ[HU GHV REMHFWLIV LQWHUPĂ„GLDLUHV propres Ă motiver les entreprises Ă se mettre au travail. Prenons l’exemple du Pacte ĂŠnergĂŠtique. Il doit veiller Âť XQH SUĂ„SDUDWLRQ HĆŻFDFH HW UĂ„VROXH GH OD WUDQVLWLRQ ĂŠnergĂŠtique et assurer la sĂŠcuritĂŠ d’approvisionnement, la maĂŽtrise des coĂťts et la rĂŠduction des ĂŠmissions de COLJ. Par ailleurs, il est indispensable, comme l'a fait remarquer Bart, de maintenir une capacitĂŠ nuclĂŠaire minimale. Entre quatre yeux, cette analyse est largement partagĂŠe. Mais certains sont prĂŞts Ă sauter de l'avion sans parachute, espĂŠrant en voir surgir un devant eux, tandis que d'autres ne sauteront qu’une fois leur SDUDFKXWH HQĆŹOĂ„ 1RXV SULYLOĂ„JLRQV OD VHFRQGH RSWLRQ –

Les entreprises surestiment-elles ou sous-estimentelles l’impact de la digitalisation ? Selon le Global Digital Readiness Index de Cisco, le progrès numĂŠrique est Ă la traĂŽne dans notre pays (dans un classement de 24 pays). %'6{ ÂŤ La transformation numĂŠrique est un vaste concept. Ce qu’une entreprise A considĂŠrera comme un grand progrès sera vu comme un retard par une entreprise B. Il en va de mĂŞme au niveau des pays. LĂ aussi, il existe de JUDQGHV GLĆŞĂ„UHQFHV HQ WHUPHV GoDGRSWLRQ /D UĂ„FHQWH Ă„WXGH G $JRULD 6KDSLQJ WKH IXWXUH RI ZRUN s /D GLJLWDOLVDWLRQ HW OH marchĂŠ du travail belge' apporte des ĂŠclaircissements : pour chaque emploi qui disparaĂŽtra sous la pression de la digitalisation, plus de 3,5 nouveaux emplois seront crĂŠĂŠs. Je suis convaincu que la digitalisation contribue Ă relever les GĂ„ĆŹV DFWXHOV GHV HQWUHSULVHV FRPPH OH PDQTXH GH FDSDFLWĂ„ sur le marchĂŠ de l’emploi, les exigences et obligations croissantes en matière de compliance, la modernisation/ intĂŠgration constante des systèmes existants et le besoin accru d’agilitĂŠ dans la manière de travailler. Âť 37 ÂŤ La digitalisation est la clĂŠ de voĂťte de la prochaine EDWDLOOH SRXU OoHĆŻFDFLWĂ„ HW OD SURGXFWLYLWĂ„ WDQW SRXU OHV entreprises que pour les pouvoirs publics et, par extension, l’ensemble du pays. En d’autres termes, le vĂŠritable potentiel de la technologie rĂŠside dans le fait qu’elle laisse aux collaborateurs plus de temps pour des tâches axĂŠes sur OD FRQQDLVVDQFH HW FUĂ„DWLYHV D\DQW XQH YDOHXU DMRXWĂ„H SOXV Ă„OHYĂ„H &HUWHV OH FRQWHQX GHV IRQFWLRQV GHYUD Ă…WUH UHGĂ„ĆŹQL et nĂŠcessitera un recyclage et une formation continus. C'est une responsabilitĂŠ collective des employeurs, des pouvoirs publics et des travailleurs. Bref, avec la bonne approche et le bon encadrement, la digitalisation ne constitue pas une menace, mais une opportunitĂŠ. Âť

PRIORITÉS DU NOUVEAU PRÉSIDENT Comme nouveau prĂŠsident de la FEB, vous voulez DGRSWHU XQH DWWLWXGH SOXV RƨHQVLYHf %'6 † $XMRXUG KXL OHV HQWUHSULVHV VRQW DFFXVĂ„HV GH tous les pĂŠchĂŠs d'IsraĂŤl.

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On dirait que la sociĂŠtĂŠ ne croit plus dans la force des entreprises. Nous nous sommes laissĂŠ pousser dans une position dĂŠfensive. Nous devons renverser la tendance et ne pas nous laisser guider par cette perception QĂ„JDWLYH /HV JUDQGV GĂ„ĆŹV VRFLDX[ HW HQYLURQQHPHQWDX[ retiennent toute notre attention. Ils incitent les entreprises et leurs fĂŠdĂŠrations Ă s’interroger sur leur rĂ´le vis-Ă -vis de la sociĂŠtĂŠ. Les employĂŠs recherchent un travail porteur de sens et en accord avec leurs valeurs. Le consommateur est en demande de produits et services durables provenant d’une chaĂŽne de valeur transparente. Les actionnaires veulent garantir la pĂŠrennitĂŠ de leur activitĂŠ. Cela impose aux entreprises de repenser leur stratĂŠgie, leur gouvernance et leurs investissements pour continuer Ă crĂŠer de la valeur pour la sociĂŠtĂŠ. En tant que compagnon de route de toutes les entreprises, la FEB montrera que les entreprises sont elles aussi des nIRXUQLVVHXUV GH VROXWLRQVo IDFH DX[ GĂ„ĆŹV VRFLĂ„WDX[ actuels et futurs, qu'elles sont le moteur d'un progrès durable. Âť f HW YRXV SODLGH] SRXU XQH LQWHQVLĆŞFDWLRQ GH OD FROODERUDWLRQ HQWUH OHV GLƨĂ„UHQWHV RUJDQLVDWLRQV patronales ? %'6 ÂŤ Évidemment, les entreprises ne peuvent pas UHOHYHU WRXV OHV GĂ„ĆŹV VHXOHV 7RXV OHV DFWHXUV s entreprises, sociĂŠtĂŠ civile et autoritĂŠs – doivent travailler main dans la main. Le dialogue avec l’ensemble des parties prenantes est un ĂŠlĂŠment essentiel pour rĂŠussir, comme l'indiquent clairement nos nouvelles vision et mission. Cela nĂŠcessite une collaboration plus intĂŠgrĂŠe entre toutes les organisations patronales. Nous souhaitons rendre plus performant l’actuel ComitĂŠ de contact entre la FEB et les organisations d’employeurs rĂŠgionales. Nous devons aussi nous rĂŠinventer pour exploiter toute l'expertise disponible de la manière la SOXV HĆŻFDFH HW OD SOXV RSWLPDOH SRVVLEOH DX VHUYLFH GH QRV PHPEUHV UHVSHFWLIV HW LQ ĆŹQH GH OD VRFLĂ„WĂ„ –

37 ÂŤ La FEB dĂŠveloppera des pĂ´les de collaboration VXSUD RUJDQLVDWLRQQHOV HQWUH OHV GLĆŞĂ„UHQWHV IĂ„GĂ„UDWLRQV sectorielles membres et organisations patronales. Cette dĂŠmarche sera centrĂŠe sur la crĂŠation d’une cellule PDFUR Ă„FRQRPLTXH UĂ„XQLVVDQW WRXWHV OHV H[SHUWLVHV DĆŹQ que nous portions d’une mĂŞme voix des messages forts, FRRUGRQQĂ„V HW HĆŻFDFHV /HV DFWXHOOHV SODWHIRUPHV GH FROODERUDWLRQ LQWHUVHFWRULHOOH FRPPH OD %5,(& %HOJLDQ Research Innovation and Entrepreneurship Community s ZZZ EULHF EH HW OD 3ODWHIRUPH 30( VHURQW Ă„WHQGXHV et l’initiative reproduite au sein d’autres domaines d’expertise. En bref, nous optimaliserons la synergie entre les fĂŠdĂŠrations sectorielles membres et la FEB, et exploiterons ainsi au maximum nos compĂŠtences combinĂŠes, nos rĂŠseaux et notre reprĂŠsentativitĂŠ commune. Âť Vous ĂŞtes convaincu de la valeur de notre modèle de concertation socio-ĂŠconomique ? %'6 † 6L MH QH OoĂ„WDLV SDV MH QH VHUDLV SDV GHYHQX SUĂ„VLGHQW GH OD )(% LO ULW -H FURLV HQ XQ PRGĂƒOH GH concertation qui fait bouger les choses et ne prĂ´ne pas le statu quo. Notre modèle social a prouvĂŠ sa valeur plus d’une fois au cours des 50 dernières annĂŠes. Mais DXMRXUGoKXL QRXV GHYRQV UHPĂ„GLHU DX[ ODFXQHV GX système. C’est pourquoi la FEB a dessinĂŠ les contours d’un nouveau modèle de concertation qui sort, selon PRL GX PRGĂƒOH FRQĆŽLFWXHO SRXU Ă„YROXHU YHUV XQ PRGĂƒOH de partenariat. Ce sera aux nĂŠgociateurs d’imaginer la manière d’y parvenir. Âť

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 LES ENTREPRISES VALORISENT TROP PEU CE DONT ELLES SONT CAPABLES ET CE QU’ELLES FONT  PIETER TIMMERMANS

The future doesn’t just happen. We all create it. Our innovations help cities use less energy, make the air we breathe cleaner and turn electric transport into a practical reality. That’s why at BASF, we’re optimistic about the future. Find out more at wecreatechemistry.com

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Vous devenez ĂŠgalement le nouveau prĂŠsident du Groupe des Dix. Comment comptez-vous remplir FH{UĂ?OH " %'6 † $X VHLQ GX *URXSH GHV 'L[ MH QH VLĂƒJH SDV HQ qualitĂŠ de prĂŠsident de la FEB. Je tiens Ă le prĂŠciser. Mon rĂ´le de numĂŠro onze est de favoriser l’alchimie entre les dix et de construire les avancĂŠes. En tant qu’ancien prĂŠsident de la fĂŠdĂŠration sectorielle Assuralia et fort de mon expĂŠrience au conseil d’entreprise d’AG et, plus rĂŠcemment, au conseil d’entreprise europĂŠen Go$JHDV MH VXLV ELHQ FRQVFLHQW GH OD IUDJLOLWĂ„ GHV nĂŠgociations. Il faut constamment trouver l’Êquilibre entre douceur et fermetĂŠ pour atteindre le consensus. J’ai encore un peu de temps pour m’informer avant les prochaines nĂŠgociations pour l’accord interprofessionnel $,3 – 37 † (Q GĂ„MÂť OoDQFLHQ DGPLQLVWUDWHXU GĂ„OĂ„JXĂ„ GH OD )(% 7RQ\ 9DQGHSXWWH IRUPXODLW XQH UHFRPPDQGDWLRQ visionnaire : 'Il est essentiel que les accords soient UHVSHFWĂ„V PĂ…PH VoLO IDXW UHJUHWWHU TXH GHV LQWHUSUĂ„WDWLRQV GLĆŞĂ„UHQWHV TXL QH FRUUHVSRQGHQW SDV Ă ce qui avait ĂŠtĂŠ convenu, surgissent parfois après les nĂŠgociations interprofessionnelles. Cela met en question la crĂŠdibilitĂŠ des partenaires, conduit Ă des situations incontrĂ´lĂŠes et peut amener les autoritĂŠs Ă intervenir dans des domaines qu’il vaut mieux garder HQ JHVWLRQ SURSUH ,O DYDLW HW D WRXMRXUV SDUIDLWHPHQW raison. Il est donc essentiel que les partenaires sociaux concluent des accords et qu’ils les exĂŠcutent ensuite de manière rigoureuse. Âť

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ÂŤ LORSQUE LES EXPORTATIONS SE PORTENT BIEN, LE PAYS SE PORTE BIENÂ Âť PIETER TIMMERMANS

 LA DIGITALISATION EST UN IMPORTANT LEVIER DE LA COMPÉTITIVITÉ DE L’ORGANISATION OU DE L’ENTREPRISE  BART DE SMET

9RXV Ă…WHV XQ VSĂ„FLDOLVWH GX VHFWHXU ĆŞQDQFLHU Il est probable que vous voudrez en imprimer la marque ? %'6 ÂŤ Bruxelles est la capitale de l’Europe. Pourquoi ne pourrions-nous pas en devenir OoXQLTXH FHQWUH ĆŹQDQFLHU " 1RXV DYRQV OHV connaissances et le savoir-faire nĂŠcessaires. Nous SRXYRQV GDYDQWDJH LQĆŽXHQFHU OD UĂ„JOHPHQWDWLRQ GH FH VHFWHXU FDU MoDL OoLPSUHVVLRQ TXH QRWUH SD\V IDLW WURS GH nJROG SODWLQJo DXMRXUGoKXL 1RXV QH devons pas ĂŞtre plus catholiques que le pape. De plus, le Brexit ouvre une brèche dans le marchĂŠ. C’est une opportunitĂŠ que nous devons tenter d’exploiter au maximum. Âť La FEB a 125 ans. OĂš rĂŞveriez-vous de la voir ĆŞJXUHU HQ " %'6 ÂŤ Je ne veux pas tomber dans le piège des visions Ă très long terme, car elles se rĂŠvèlent vite trop abstraites et peu opĂŠrationnelles. Il m’est impossible de prĂŠvoir Ă quoi ressemblera le monde dans 30 ans. Je crois par contre que les HQWUHSULVHV VHURQW SOXV TXH MDPDLV OH PRWHXU de la prospĂŠritĂŠ de notre pays et que nous pouvons ramener la Belgique dans le top cinq des classements europĂŠens pertinents – et QRQ GX FODVVHPHQW GH OD SUHVVLRQ ĆŹVFDOH –

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Ensemble, nous faisons briller l’entrepreneuriat belge. De la part de vos collègues bruxellois, flamands et wallons.

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/$ )(% (175(35(1'

CREATING VALUE FOR SOCIETY!

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C’Êtait Ă BOZAR le 13 fĂŠvrier dernier. La FEB a cĂŠlĂŠbrĂŠ en prĂŠsence de 2.500 invitĂŠs – responsables politiques, chefs d'entreprise, dĂŠcideurs‌ – son 125e{DQQLYHUVDLUH &oHVW HQ HĆŞHW OH IĂ„YULHU TXH {HQWUHSULVHV RQW FRQFOX XQH DOOLDQFH FRQVWUXFWLYH GHYHQXH aujourd’hui une voix très apprĂŠciĂŠe qui fait autoritĂŠ et un dĂŠfenseur GoLQWĂ„UĂ…WV UHVSHFWĂ„ HW LQĆŽXHQW › FHWWH RFFDVLRQ 3LHWHU{7LPPHUPDQV administrateur dĂŠlĂŠguĂŠ, a prĂŠsentĂŠ la nouvelle vision et le nouveau logo de l’organisation, avec Bart De Smet, CEO d'Ageas, qui succède Âť{%HUQDUG *LOOLRW HQ WDQW TXH SUĂ„VLGHQW 8QH Ă„FRQRPLH IRUWH JĂ„QĂƒUH XQ{SURJUĂƒV GXUDEOH TXL Âť VRQ WRXU MHWWH OHV EDVHV GoXQH SOXV JUDQGH prospĂŠritĂŠ pour tous : Business <> Sustainable Progress <> Prosperity. 3LHWHU{7LPPHUPDQV HQ HVW FRQYDLQFX ÂŤ Cette interaction circulaire est au cĹ“ur de notre nouveau mission statement. Elle est Ă l'origine du titre de l'ouvrage 'Entreprendre pour la prospĂŠritÊ’ et de la nouvelle baseline – ‘Creating Value for Society’ – de la FEB. Les intĂŠrĂŞts ĂŠconomiques HW{VRFLĂ„WDX[ VRQW OLĂ„V LOV VRQW FRPSOĂ„PHQWDLUHV FRQQHFWĂ„V HW LQWHUGĂ„SHQGDQWV &HOD SHUPHW GH FUĂ„HU XQH YDOHXU UĂ„HOOH SRXU WRXV –

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Dans le cadre de ses 125 ans, la FEB a invité les présidents de ses organisations sœurs membres de BusinessEurope à participer à une table ronde en présence d’Herman Van Rompuy, ancien président du Conseil européen, sur l’avenir de l’Europe.

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ADVERTORIAL

BOZAR: DÉCOUVREZ BEETHOVEN 2020 Beethoven est bien sûr chaque année à l’affiche des plus grandes salles de concert au monde. Toutefois, BOZAR profite de son 250e anniversaire pour aller un peu plus loin. Vous connaissez Beethoven comme le plus grand compositeur du XIXe siècle, rude et brillant, sourd et tragique. Et si nous regardions au-delà de ces clichés ? Travailler sous un sombre nuage « Ce sourd entendait l’infini », écrivit Victor Hugo au sujet du compositeur. Beethoven avait sans aucun doute un caractère combatif et, de son vivant, il était régulièrement contrarié par à peu près tout et tout le monde : d’autres musiciens, ses clients aristocrates ou les idées politiques et musicales du moment. Mais son plus grand combat fut sans doute son audition. Beethoven souffrit d’acouphènes et de perte auditive dès la fin de la vingtaine et était presque totalement sourd une fois quarantenaire. Il communiquait avec le monde extérieur par le biais de « cahiers de conversation », dans lesquels ses collègues tout comme le boulanger du coin pouvaient écrire leur question pour le grand artiste. La beauté jusqu’au bout La tragédie du compositeur qui ne pouvait pas entendre la musique joua naturellement un rôle majeur dans le mythe créé autour de Beethoven. Par exemple, lui-même ne put jamais entendre une exécution de ses derniers quatuors à cordes. Et pourtant ces derniers sont d’une complexité époustouflante, tant au niveau de leur structure que de l’émotion. Pour un compositeur connu pour ses symphonies d’envergure et ses mélodies héroïques, ses quatuors contiennent également des passages étonnamment modestes et fragiles. L’écrivain français Marcel Proust les trouvait si émouvants qu’il paya quatre musiciens pour les

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jouer dans son appartement au milieu de la nuit, avec pour seul auditeur lui-même – et une bouteille de champagne. Intensément intime Les quatuors à cordes de Beethoven occupent donc une place importante parmi les nombreux concerts dédiés au compositeur que BOZAR propose au long de cette année de célébration. Le Quatuor Ebène travaille sur un impressionnant projet marathon : il joue les 16 quatuors de Beethoven dans 18 pays répartis sur 6 continents, et passera à nouveau par Bruxelles (19.12) dans le cadre de cette tournée. Nico and The Navigators exploitent les derniers qua-

tuors de Beethoven comme point de départ d’un spectacle de danse (12.06). Dans un autre style, sa musique de chambre, aussi impétueuse qu’intime, est elle aussi l’objet d’une grande attention. La grande violoniste allemande Isabelle Faust, en résidence à BOZAR, plongera à l›automne au cœur des trios de Beethoven (15.10). Elle jouera bien sûr également le merveilleux et unique concerto pour violon de Beethoven, accompagnée par le prestigieux Freiburger Barockorchester (03.10). Dans un registre plus grandiose, la Missa solemnis se révèle incontournable dans une performance de Philippe Herreweghe et de

son Collegium Vocale Gent (23.09), comme celle de son homologue Jordi Savall qui livre sa vision originale des Sixième et Septième Symphonies (09.06). Rendez-vous avec l’histoire Beethoven serait-il devenu un monument aussi indestructible sans ses symphonies monumentales ? Elles ont changé à jamais l’histoire de la musique symphonique et se sont même immiscées dans l’histoire du monde – en particulier la Neuvième. Leonard Bernstein l’a dirigée lors de la chute du mur de Berlin en 1989 – et pour l’occasion a changé le mot « Freude » en « Freiheit » dans le célèbre mouvement final. Cette Ode à la joie est devenue plus tard l’hymne de l’Union européenne et a été le premier morceau de musique à être inscrit sur la liste du patrimoine mondial par les Nations Unies. C’est un symbole international d’espoir, de combativité et de tolérance. Après les attentats de Bruxelles en mars 2016, les musiciens du Brussels Philharmonic ont joué, du haut des escaliers de la Bourse, le finale de la Neuvième de Beethoven parmi les fleurs dédiées aux victimes et sous l’œil des caméras du monde entier. Il n’est donc pas surprenant que BOZAR clôture l’année Beethoven 2020 avec cette œuvre, et cela dans une interprétation très spéciale. En effet, l’emblématique chef d’orchestre Daniel Barenboim dirigera son East West Divan Orchestra, formation composée de jeunes musiciens arabes et israéliens (18.12). 1. Beethoven © DR/GR 2. Collegium Vocal Gent @ Michiel-Hendryckx 3. Faust Isabelle © Felix Broede 4. West-Eastern Divan Orchestra © Monika Rittershaus

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BEETHOVEN : FORMULE BUSINESS SEATS

BEETHOVEN : AUSSI EN MODE EXPOSITION !

Avec Beethoven, impossible d’être déçu – le génie est garanti ! Et il n’y a pas de meilleur environnement pour apprécier la musique de Beethoven que la somptueuse Grande Salle Henry Le Bœuf du Palais des Beaux-Arts.

Le Palais des Beaux-Arts est un lieu unique – expositions et grands concerts classiques y sont hébergés, dans un seul et même bâtiment. À l’automne 2020, BOZAR organise également une grande exposition sur le compositeur. Hotel Beethoven (qui se déroulera à partir du 13.10) sera une véritable exposition immersive qui vous plongera dans sa musique et dans le travail des artistes contemporains les plus divers, et cela en parallèle et en collaboration avec la grande exposition Beethoven organisée dans sa ville natale de Bonn en Allemagne. Il y aura également un programme de littérature axé autour du compositeur et présenté... dans le noir ! Plus info sur www.bozar.be

Offrez à vos collègues, clients ou actionnaires un moment inoubliable avec nos Business Seats. Cette attention exclusive fera à coup sûr de votre événement une expérience unique. Plus d’info sur www.bozar.be ou auprès de Gaspard Noesen +32 (0)2 507 84 57 gaspard.noesen@bozar.be 3.

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THĂˆMES Cher lecteur Le magazine REFLECT que nous vous prĂŠsentons ici SUHQG s SRXU YRXV{s OH SRXOV GH OoDFWXDOLWĂ„ 'DQV FKDTXH numĂŠro, il donne un aperçu de thèmes importants que nos experts gèrent, nĂŠgocient et suivent de près, dans OHV GRPDLQHV Ă„FRQRPLTXH VRFLDO MXULGLTXH HW ĆŹVFDO

Pour chaque thème, nous vous dĂŠcrivons l’Êtat d’avancement du dossier, la position de la FEB et les SURFKDLQHV Ă„WDSHV 8QH PDQLĂƒUH GH YRXV RĆŞULU XQH YLVLRQ Âť ‹ VXU GHV GRVVLHUV TXL SHXYHQW DYRLU XQ LPSDFW important sur vos activitĂŠs.

9RXV WURXYHUH] GRQF GDQV OHV SDJHV TXL VXLYHQW XQH VÄlection de dossiers actuellement traitÊs par nos experts pour dÊfendre au mieux les intÊrêts des fÊdÊrations PHPEUHV HW GH OHXUV HQWUHSULVHV DƯOLÄHV HW FH DX[ niveaux tant fÊdÊral qu’europÊen et international.

9RXV WURXYHUH] XQH YXH GoHQVHPEOH GH WRXV OHV dossiers et thèmes suivis par nos experts sur ZZZ IHE EH GRPDLQHV GoDFWLRQ

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MARCHÉ DU TRAVAIL

ÉCONOMIE DIGITALE

Appel au futur gouvernement : « faites preuve d'ambition »

9HUV XQ FRQVHQVXV LQWHUQDWLRQDO HQ PDWLÃUH GH WD[DWLRQ "

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CYBERCRIMINALITÉ

GREEN DEAL

'DQV OH WRS FLQT GHV ULVTXHV PDMHXUV SRXU OHV entreprises

De la théorie à la pratique

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TAXSHIFT & SAUT D’INDEX

MARCHÉ INTÉRIEUR Le cadre existe. il importe de le mettre en œuvre dans les faits !

Tous deux ont stimulé les exportations et créé de l’emploi

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0$5&+¤ '8 75$9$,/

APPEL AU FUTUR GOUVERNEMENT : ÂŤ FAITES PREUVE D'AMBITION Âť

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out le monde s'accorde Ă dire que le fonctionnement de notre marchĂŠ du travail pourrait ĂŞtre bien meilleur. C'est ĂŠgalement le cas du Conseil supĂŠrieur de l'emploi qui, dans son dernier rapport, commence par XQH ERQQH QRXYHOOH 'HSXLV OD FULVH ĆŹQDQFLĂƒUH GH OH WDX[ G HPSORL GH OD %HOJLTXH D FUĂ– GDYDQWDJH MXVTX HQ TXH GDQV OD SOXSDUW GHV DXWUHV SD\V GH O 8( (Q UHYDQFKH OD PDXYDLVH QRXYHOOH F HVW TX LO UHVWH quand mĂŞme infĂŠrieur Ă la moyenne europĂŠenne. Il en YD GH PĂ…PH SRXU QRWUH WDX[ G DFWLYLWĂ„ TXL HVW 12% plus faible qu'aux Pays-Bas. La Belgique est certes championne d'Europe pour le nombre d'emplois vacants, mais on ne peut pas dire que ce soit vraiment positif. Le paradoxe d'un marchĂŠ du travail en pĂŠnurie associĂŠ Ă des taux d'activitĂŠ et d'emploi relativement faibles reste en HĆŞHW SUREOĂ„PDWLTXH

Le prochain gouvernement devra accorder beaucoup d'attention Ă la formation. Il est de plus en plus de bon WRQ G DĆŻUPHU TXH OHV MHXQHV Ă„WXGLHQW WURS ORQJWHPSV et qu'il faut ĂŠcourter les formations de l'enseignement VXSĂ„ULHXU DX SURĆŹW GH IRUPDWLRQV SOXV QRPEUHXVHV VXU le lieu de travail. C'est Ă notre avis une vision erronĂŠe. Nous avons besoin de personnes bien formĂŠes disposĂŠes Âť DSSUHQGUH WRXW DX ORQJ GH OHXU YLH /HV FKLĆŞUHV HQ tĂŠmoignent : alors qu'en 2018, 10% seulement des SRVWHV UHTXĂ„UDLHQW XQ IDLEOH QLYHDX GH IRUPDWLRQ de la population ĂŠtait en possession au maximum d'un diplĂ´me de l'enseignement secondaire infĂŠrieur. Et si la SDUWLFLSDWLRQ GHV SOXV GH DQV DX PDUFKĂ„ GX WUDYDLO HVW extrĂŞmement mĂŠdiocre, seuls 3% des travailleurs âgĂŠs GH Âť DQV VXLYHQW GHV IRUPDWLRQV & HVW OD UDLVRQ SRXU ODTXHOOH MH SODLGH SRXU XQ FRPSWH GH IRUPDWLRQ individuel, permettant Ă tous les actifs de suivre des formations tout au long de leur carrière. Il convient ĂŠgalement d'amĂŠliorer l'activation de FHUWDLQV JURXSHV FLEOHV VSĂ„FLĆŹTXHV (Q HĆŞHW les chĂ´meurs de longue durĂŠe, les personnes en incapacitĂŠ, les mères ou pères au foyer, les personnes SHX TXDOLĆŹĂ„HV OHV SHUVRQQHV LVVXHV GH O LPPLJUDWLRQ et les personnes âgĂŠes sont en Belgique trop ĂŠloignĂŠs du marchĂŠ du travail. La limitation dans le temps des

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allocations fĂŠdĂŠrales de chĂ´mage et un regard plus large sur la rĂŠintĂŠgration des malades de longue durĂŠe constituent des incitants pour les deux premiers groupes. D'autre part, une rĂŠforme des systèmes de congĂŠs s'impose parce qu'en ce moment, ce sont principalement les femmes qui prennent soin des enfants. Cette rĂŠforme devrait contribuer Ă une plus grande ĂŠgalitĂŠ entre les sexes. Il faut en parallèle miser davantage sur des structures d'accueil abordables et de TXDOLWĂ„ SRXU OHV MHXQHV HQIDQWV RX DSUĂƒV O Ă„FROH

Contact

Monica De Jonghe 'LUHFWHXU JĂ„QĂ„UDO Centre de compĂŠtence (PSORL 6Ă„FXULWĂ„ VRFLDOH mjo@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE “MarchĂŠ du travailâ€?

6L O RQ YHXW REWHQLU Âť QRXYHDX XQ EXGJHW HQ Ă„TXLOLEUH G LFL Âť OD ĆŹQ GH OD OĂ„JLVODWXUH OD FUĂ„DWLRQ G HPSORL HW l'activation sont les deux faces d'une mĂŞme mĂŠdaille. 8Q DVSHFW LPSRUWDQW GH OD SROLWLTXH UHODWLYH DX PDUFKĂ„ du travail consiste Ă ĂŠliminer le ÂŤ mismatch Âť actuel et les pĂŠnuries sur le marchĂŠ du travail. Cela implique des choix courageux, dont les rĂŠsultats ne se feront sentir qu'Ă long terme.

SI L'ON VEUT OBTENIR À NOUVEAU UN BUDGET EN ÉQUILIBRE D'ICI À LA FIN DE LA LÉGISLATURE, LA CRÉATION D'EMPLOI ET L'ACTIVATION SONT LES DEUX FACES D'UNE MÊME MÉDAILLE

La Fédération des notaires souhaite félici-ter la Fédération des Entreprises de Belgique à l'occasion de son 125ème anniversaire! Le notariat remercie la FEB pour la bonne coopération dans la modernisation des règles juridiques pour les entreprises belges, une réforme qui offre de nouvelles perspectives pour les entrepre-neurs. En outre, Fednot se réjouit de poursuivre une collaboration _¼tm _ _¶ ¨« Ȳ pt¬ t ²«t-_¼tm _ _¶ ¨« Ȳ pt¬ t ²«t prises belges. Plus d’info sur

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DANS LE TOP CINQ DES RISQUES MAJEURS POUR LES ENTREPRISES

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out le monde utilise internet et c’est une excellente chose. En peu de temps, il est passĂŠ du statut d'outil consultatif Ă un WHUUDLQ GH MHX LQWHUDFWLI GRQW FKDFXQ GH nous, consciemment ou inconsciemment, participe Ă dĂŠterminer le contenu. Mais ce n’est pas tout. Au-delĂ des personnes, internet UHOLH GH SOXV HQ SOXV GoREMHWV /H QRPEUH GoDSSDUHLOV FRQQHFWĂ„V GDQV OH FDGUH GH OoLQWHUQHW GHV REMHWV D GRXEOĂ„ au cours des cinq dernières annĂŠes. Et l’on prĂŠvoit, d’ici Ă 2025, une multiplication par cinq par rapport Ă 2015. Le volume de donnĂŠes passant par internet est GĂ„MÂť JLJDQWHVTXH HW FRQWLQXH GH FURÉWUH 6DQV FRPSWHU OoLQWHOOLJHQFH DUWLĆŹFLHOOH TXL VH GĂ„YHORSSH OHQWHPHQW PDLV VĂ–UHPHQW 1RXV YLYRQV DXMRXUGoKXL GDQV XQ XQLYHUV RĂ” OHV SRVVLELOLWĂ„V WHFKQRORJLTXHV VHPEOHQW LQĆŹQLHV Cette rĂŠvolution numĂŠrique et les progrès qu’elle amène ont un revers : la cybercriminalitĂŠ. Ce message n’est bien sĂťr pas neuf. Mais les ĂŠvĂŠnements des derniers mois nous ont montrĂŠ Ă quel point la Belgique et les HQWUHSULVHV EHOJHV VRQW HĆŞHFWLYHPHQW YXOQĂ„UDEOHV /HV cybercriminels sont une menace pour la continuitĂŠ de l’activitĂŠ de nos entreprises, pour leur rĂŠputation, pour OHXUV ĆŹQDQFHV $YHF XQ ORJLFLHO PDOYHLOODQW UHODWLYHPHQW simple, tel qu’un ransomware, un cybercriminel peut FDXVHU GoLPSRUWDQWV SUĂ„MXGLFHV /D F\EHUFULPLQDOLWĂ„ ĆŹJXUH DFWXHOOHPHQW GDQV OH WRS FLQT GHV ULVTXHV PDMHXUV pour pratiquement toutes les entreprises et elle le restera Ă l’avenir. Aucune entreprise ne peut se croire Ă l’abri. Il est donc important que toutes les entreprises cartographient concrètement la cybermenace et mettent en place sur cette base les mesures de sĂŠcuritĂŠ nĂŠcessaires pour prĂŠvenir et dĂŠtecter les cyberincidents. Il faut aussi disposer d’un plan d’action ou d’une procĂŠdure au cas oĂš XQ LQFLGHQW VH SURGXLUDLW HĆŞHFWLYHPHQW /D F\EHUVĂ„FXULWĂ„ est essentielle. Il est recommandĂŠ de la prĂŠvoir dès la conception de nos systèmes numĂŠriques. Toutes les entreprises ne pourront pas placer la barre aussi haut, mais elles devraient toutes respecter certains principes GH EDVH HQ PDWLĂƒUH GH VĂ„FXULWĂ„ 3DU H[HPSOH HĆŞHFWXHU UĂ„JXOLĂƒUHPHQW OHV PLVHV Âť MRXU GHV ORJLFLHOV IDLUH GHV

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VDXYHJDUGHV KRUV OLJQH DX PRLQV GHV LQIRUPDWLRQV FULWLTXHV GH OoHQWUHSULVH LQVWDOOHU XQ ORJLFLHO DQWLYLUXV et un pare-feu adĂŠquats, sensibiliser le personnel... La plupart des entreprises – en dehors de celles couvertes par la lĂŠgislation sur la sĂŠcuritĂŠ des rĂŠseaux HW GHV V\VWĂƒPHV G LQIRUPDWLRQ s QH VRQW DXMRXUGoKXL lĂŠgalement tenues Ă rien, sauf en ce qui concerne le Règlement gĂŠnĂŠral sur la protection des donnĂŠes TXL LPSRVH OoREOLJDWLRQ GH VĂ„FXULVHU VXĆŻVDPPHQW OHV donnĂŠes personnelles.

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Philippe Lambrecht Administrateur-secrĂŠtaire gĂŠnĂŠral Centre de compĂŠtence Droit & Entreprise pl@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE “CybercriminalitĂŠâ€?

/HV F\EHUFULPLQHOV OoHPSRUWHQW LOV WRXMRXUV " /D OXWWH HVW HOOH SHUGXH GoDYDQFH " 6L QRXV YRXORQV UĂ„SRQGUH QRQ Âť FHV GHX[ TXHVWLRQV FKDTXH HQWUHSULVH GRLW MRLQGUH le geste Ă la parole et mettre en Ĺ“uvre sans dĂŠlai sa stratĂŠgie de cybersĂŠcuritĂŠ. Je suis en outre convaincu que les entreprises doivent unir leurs forces pour lutter contre les cybercriminels. Le travail rĂŠalisĂŠ par la &\EHU 6HFXULW\ &RDOLWLRQ GDQV FH GRPDLQH HVW GRQF QRQ seulement unique, mais aussi extrĂŞmement prĂŠcieux pour la Belgique et pour le monde ĂŠconomique belge.

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TOUS DEUX ONT STIMULÉ LES EXPORTATIONS ET CRÉÉ DE L’EMPLOI

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OD ĆŹQ GH OD GHUQLĂƒUH GĂ„FHQQLH VoHVW propagĂŠ le message selon lequel les entreprises auraient utilisĂŠ le saut d'index et le taxshift pour augmenter leurs EĂ„QĂ„ĆŹFHV 8QH DQDO\VH SOXV DSSURIRQGLH UĂ„YĂƒOH TXH OD UĂ„DOLWĂ„ HVW TXDQG PĂ…PH IRUW GLĆŞĂ„UHQWH Ă€ la suite des mesures prises par la coalition suĂŠdoise, les entreprises exportatrices belges ont revu leurs prix relatifs Ă l’exportation Ă la baisse entre 2015 et 2018. Cette rĂŠvision a ĂŠtĂŠ plus forte que la baisse relative des coĂťts salariaux horaires par unitĂŠ produite. /HV HQWUHSULVHV VH VRQW GRQF HĆŞRUFĂ„HV GoDPĂ„OLRUHU leurs rĂŠsultats en stimulant la croissance de leurs exportations. 6XU OHV PDUFKĂ„V GH ELHQV FHWWH VWUDWĂ„JLH D SRUWĂ„ VHV fruits. Les exportations de services, par contre, ont FRQQX HQWUH HW XQH Ă„YROXWLRQ UHODWLYHPHQW dĂŠfavorable par rapport Ă nos trois pays voisins. (Q{HĆŞHW O LPSDFW SRVLWLI GHV PHVXUHV HQ IDYHXU GH la compĂŠtitivitĂŠ a ĂŠtĂŠ ĂŠclipsĂŠ Ă la fois par la relative IDLEOHVVH GX VHFWHXU H FRPPHUFH EHOJH GLĆŻFXOWĂ„ G LQVWDXUHU OH WUDYDLO HQ VRLUĂ„H HW SDU OHV FRQVĂ„TXHQFHV GHV DWWHQWDWV GH VXU OH WRXULVPH GDQV QRWUH SD\V Ces deux derniers ĂŠlĂŠments ont quelque peu ralenti la croissance ĂŠconomique en Belgique qui, entre 2015 et 2018, n’a atteint que 1,8% en moyenne annuelle contre XQH PR\HQQH SRQGĂ„UĂ„H GH FKH] QRV WURLV YRLVLQV Cela n’a toutefois pas empĂŞchĂŠ nos entreprises de crĂŠer un nombre relativement ĂŠlevĂŠ d’emplois durant cette pĂŠriode. Entre le 3e trimestre de 2014 et le 3e{WULPHVWUH de 2019, le nombre d’emplois dans le secteur privĂŠ WRWDO GH OoĂ„FRQRPLH KRUV DGPLQLVWUDWLRQ SXEOLTXH HQVHLJQHPHQW VDQWĂ„ KXPDLQH HW DFWLRQ VRFLDOH D augmentĂŠ de 224.000 unitĂŠs. En raison de la forte crĂŠation d'emplois, la baisse VLJQLĆŹFDWLYH GX FRĂ–W GH OD PDLQ GoyXYUH QH V HVW TXH partiellement traduite par une lĂŠgère augmentation GX † WDX[ GH PDUJH – H[FĂ„GHQW EUXW G H[SORLWDWLRQ GHV HQWUHSULVHV GLYLVĂ„ SDU OD YDOHXU DMRXWĂ„H WRWDOH Celui-ci ne peut toutefois pas ĂŞtre considĂŠrĂŠ comme un LQGLFDWHXU GH OD UHQWDELOLWĂ„ QHWWH ĆŹQDOH GHV HQWUHSULVHV

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(Q HĆŞHW FHWWH PDUJH EUXWH HVW XWLOLVĂ„H SDU OHV HQWUHSULVHV GoDERUG SRXU ĆŹQDQFHU OHV DPRUWLVVHPHQWV HW{OHV FKDUJHV GoLQWĂ„UĂ…W VXU OHXUV LQYHVWLVVHPHQWV SXLV pour payer leurs impĂ´ts. Entre 2015 et 2018, les entreprises privĂŠes ne se sont pas seulement contentĂŠes de recruter un nombre relativement important de travailleurs, mais elles ont ĂŠgalement investi une part nettement plus ĂŠlevĂŠe de OHXU YDOHXU DMRXWĂ„H TXoDXSDUDYDQW /HV VWDWLVWLTXHV montrent ĂŠgalement que le poids dans le PIB de l'impĂ´t des sociĂŠtĂŠs a systĂŠmatiquement augmentĂŠ au cours des 9 dernières annĂŠes. Cette augmentation VoH[SOLTXH SDU OH UHGUHVVHPHQW SURJUHVVLI GHV EĂ„QĂ„ĆŹFHV des entreprises, par la diminution de l’impact de la dĂŠduction des intĂŠrĂŞts notionnels et par des mesures GH{Oo2&'( HW GH Oo8( FRQWUH OoRSWLPDOLVDWLRQ ĆŹVFDOH

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Edward Roosens Chief Economist & Executive Manager Centre de compĂŠtence ¤FRQRPLH &RQMRQFWXUH er@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE “Taxshiftâ€?

LES RÉDUCTIONS DE CHARGES SUR LE TRAVAIL NE SONT PAS UTILISÉES PAR LES ENTREPRISES POUR REMPLIR LES POCHES DE LEURS ACTIONNAIRES

Philippe Lallemand CEO ETHIAS

We commit We act and you ?

Dina Iosifidis CSr AXA

Consommer du café Fairtrade au bureau, comme AXA et Ethias, c’est inscrire son entreprise dans une économie plus humaine et plus verte. Parce que chaque tasse compte.

vous aussi, Participez ! atwork@fairtradebelgium.be 02 894 46 31 Plus d’info sur fairtradeatwork.be

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VERS UN CONSENSUS INTERNATIONAL EN MATIĂˆRE DE TAXATION ?

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ous l’impulsion politique du G20 et sous la coordination de l’OCDE, 137 pays rĂŠunis DX VHLQ GoXQ n,QFOXVLYH )UDPHZRUNo VH VRQW UĂ„XQLV Âť 3DULV ĆŹQ MDQYLHU SRXU GĂ„ĆŹQLU OHV contours d’un accord international sur la taxation de l’Êconomie digitale et d’une taxation minimale des entreprises. Ă€ l’issue de la rĂŠunion, les membres de l’Inclusive )UDPHZRUN RQW SXEOLĂ„ XQH GĂ„FODUDWLRQ UĂ„DĆŻUPDQW OHXU engagement Ă trouver une solution consensuelle et pour OH ORQJ WHUPH DYDQW OD ĆŹQ GH OoDQQĂ„H 2XWUH FHWWH dĂŠclaration, trois autres documents ont ĂŠtĂŠ publiĂŠs. 8Q DSHUĂ‚X GH OoDUFKLWHFWXUH GoXQ QRXYHDX V\VWĂƒPH de rĂŠpartition des bases imposables mondiales entre OHV SD\V DĆŹQ GH OHV DGDSWHU Âť OoĂ„FRQRPLH GLJLWDOH HW GH PLHX[ UĂ„PXQĂ„UHU OHV SD\V GH nPDUFKĂ„o DX GĂ„WULPHQW GHV SD\V GoĂ„WDEOLVVHPHQW 8Q SURJUDPPH GH WUDYDLO UĂ„YLVĂ„ SRXU DERXWLU Âť XQH VROXWLRQ FRQVHQVXHOOH 8Q nombre considĂŠrable de questions techniques doivent encore ĂŞtre rĂŠsolues, en particulier pour rendre le V\VWĂƒPH RSĂ„UDWLRQQHO JDUDQWLU XQH VĂ„FXULWĂ„ MXULGLTXH aux entreprises et rĂŠsoudre les cas de double et multiple LPSRVLWLRQ TXL ULVTXHQW GH VH SRVHU 8QH QRWH VXU les progrès rĂŠalisĂŠs dans les travaux visant Ă instaurer XQ WDX[ HĆŞHFWLI PLQLPXP GH WD[DWLRQ GHV HQWUHSULVHV /oLGĂ„H HVW GH SHUPHWWUH Âť Oo¤WDW GH OD VRXUFH SDLHPHQWV YHUV OoĂ„WUDQJHU SDU H[HPSOH SRXU GHV UHGHYDQFHV RX Âť Oo¤WDW GH UĂ„VLGHQFH SDLHPHQWV UHĂ‚XV GH OoĂ„WUDQJHU de complĂŠter l’impĂ´t prĂŠlevĂŠ dans l’autre État lorsqu’il n’atteint pas un certain niveau. La recherche d’une solution au niveau global, sous la houlette de l’OCDE, HVW{ODUJHPHQW VRXWHQXH SDU OH PRQGH GHV HQWUHSULVHV 'oXQ SRLQW GH YXH EHOJH GLĆŞĂ„UHQWHV TXHVWLRQV stratĂŠgiques doivent cependant encore ĂŞtre rĂŠsolues, en particulier celle de la nĂŠcessitĂŠ de rĂŠaliser une ĂŠtude d’impact prĂŠalablement avant toute prise de dĂŠcision LQWHUQDWLRQDOH /o2&'( Oo8( HW OHV DXWRULWĂ„V EHOJHV Vo\ attèlent actuellement, mais les rĂŠsultats de ces travaux VHPEOHQW MXVTXoLFL Ă…WUH IUDSSĂ„V GX VFHDX GX nVHFUHW Go¤WDWo )DXWH GoLQIRUPDWLRQV VXĆŻVDQWHV IRUFH HVW GH conclure Ă l’impossibilitĂŠ pour le monde des entreprises de prendre position sur ce dossier.

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/D )(% LQYLWH GĂƒV ORUV OHV DXWRULWĂ„V EHOJHV Âť FODULĆŹHU OH plus rapidement possible leur position et Ă garantir la plus grande transparence possible sur les impacts des GĂ„FLVLRQV Ă„YHQWXHOOHV SRXU OD %HOJLTXH UHFHWWHV ĆŹVFDOHV LQYHVWLVVHPHQWV GHV HQWUHSULVHV DQFUDJH GH OD 5 'f (QĆŹQ RQ SHXW UHJUHWWHU TXH GDQV FH GRVVLHU Oo8( QH soit pas arrivĂŠe Ă se positionner et Ă parler d’une seule voix et, plus globalement, que l’analyse des aspects HXURSĂ„HQV FRPSWDELOLWĂ„ DYHF OH GURLW HXURSĂ„HQ HW Ă„WXGH GoLPSDFW QoDLW WRXMRXUV SDV Ă„WĂ„ HĆŞHFWXĂ„H Avec pour consĂŠquence, que la prise de dĂŠcision SROLWLTXH VoHVW GĂ„SODFĂ„H DX QLYHDX GX * GRQF GH OD France et de l’Allemagne, pays oĂš se rĂŠunit l’Inclusive )UDPHZRUN HW RĂ” Oo2&'( GRQQH VHV FRQIĂ„UHQFHVf qui est dĂŠsormais seul habilitĂŠ Ă valider les travaux de Oo,QFOXVLYH{)UDPHZRUN

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Jean Baeten Executive Manager Centre de compĂŠtence FiscalitĂŠ & Investissements jb@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE â€œĂ‰conomie digitaleâ€?

ON PEUT REGRETTER QUE, DANS CE DOSSIER, L’UE NE SOIT PAS ARRIVÉE À SE POSITIONNER ET À PARLER D’UNE SEULE VOIX

Un contentieux ? 50 ans de solutions

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n’importe quelle langue ou dans n’importe quel pays choisis par les parties. La confidentialité est garantie - vos secrets d’affaires et know how sont protégés. Les décisions rendues par les arbitres ont la même valeur que les décisions rendues par les tribunaux. Elles tranchent réellement les différends et vous permettent de saisir les biens de votre débiteur dans plus de 150 pays dans le monde. L’arbitrage vous offre une alternative à haute valeur ajoutée. Le Centre belge d’arbitrage et de médiation (le CEPANI), aide ses clients à résoudre leurs différends commerciaux de manière sûre et efficace. Le CEPANI s’engage à offrir aux parties en conflit le cadre juridique et administratif adéquat, afin d’assurer la meilleure gestion du litige.

Le CEPANI offre aux parties souhaitant entamer une procédure de résolution de conflit tout le support nécessaire. Il fournit aux parties un règlement – la dernière version du règlement d’arbitrage est entrée en vigueur le 1er janvier 2013 – offrant un cadre juridique clair et précis pour la conduite de la procédure. Fondé en 1969, le CEPANI fête ses 50 ans d’existence en 2019 et est aujourd’hui le principal centre d’arbitrage en Belgique. Il a étendu ses activités à d’autres formes de règlement des litiges tels que la médiation, le mini-trial, l’expertise technique et l’adaptation des contrats qui privilégient toujours une issue à l’amiable. Situé au cœur de Bruxelles, qui accueille plusieurs institutions européennes ainsi que de nombreuses sociétés et organisations internationales, le CEPANI offre ses services dans un contexte national et international.

Contact : Emma Van Campenhoudt, Secrétaire général Rue des Sols 8 - 1000 Bruxelles / T. +32 2 515 08 35 / info@cepani.be / www.cepani.be /

CEPANI_npo /

@CEPANI_npo

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DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE

E

n dĂŠcembre 2019, la Commission europĂŠenne publiait 'The European Green Deal'. Cette communication d’une trentaine de pages ĂŠtablit un calendrier mettant Ă plat une sĂŠrie de politiques europĂŠennes en vue de passer Ă une ÂŤ ĂŠconomie propre et circulaire Âť et ÂŤ d’enrayer le changement climatique, la perte de biodiversitĂŠ et la pollution Âť. 6L OD GLUHFWLRQ JĂ„QĂ„UDOH HVW FRQQXH GHSXLV ORQJWHPSV OD{&RPPLVVLRQ SDVVH Âť OoDFWLRQ DYHF HQWUH DXWUHV OD rĂŠvision d’une sĂŠrie de directives ou de nouvelles lĂŠgislations qui seront prĂŠsentĂŠes Ă court terme, HQWHQGH] GDQV OHV GHX[ DQV 6RQW HQWUH DXWUHV FRQFHUQĂ„V le système europĂŠen d’Êchange de quotas d’Êmission (76 OHV REMHFWLIV GH UĂ„GXFWLRQ GHV JD] Âť HĆŞHW GH VHUUH HXURSĂ„HQ Âť OoKRUL]RQ XQ PĂ„FDQLVPH GoDMXVWHPHQW carbone aux frontières, la politique industrielle, des PHVXUHV VSĂ„FLĆŹTXHV GDQV OH VHFWHXU GHV E½WLPHQWV HW GHV WUDQVSRUWV GH OD ĆŹQDQFH GXUDEOH GHV DFKDWV SXEOLFV des suremballages, de la rĂŠparabilitĂŠ ‌ 6L MRLQGUH OD SDUROH DX[ DFWHV QH SHXW TXoĂ…WUH DSSODXGL OH{QRPEUH GH TXHVWLRQV VXVFLWĂ„HV SDU FKDTXH LQLWLDWLYH envisagĂŠe est important. Or, poser des questions, demander des ĂŠtudes d’impact sĂŠrieuses ou encore requĂŠrir la prise en compte d’autres aspects, tel que la compĂŠtitivitĂŠ sont des dĂŠmarches lĂŠgitimes, qui ont toute leur place dans ce processus menĂŠ tambour battant. Qu’elles soient considĂŠrĂŠes par certains comme une volontĂŠ de casser la dynamique ou comme une attitude nĂŠgative est inadmissible ‌ que ce soit dans le chef de reprĂŠsentants politiques nationaux ou europĂŠens. 5HOHYHU OHV GĂ„ĆŹV HQYLURQQHPHQWDX[ QH SHXW VH IDLUH TXH{GDQV OH FDGUH GoXQH SROLWLTXH LQGXVWULHOOH FODLUH ambitieuse, mobilisatrice, permettant aux entreprises europĂŠennes de rester compĂŠtitives. CompĂŠtitivitĂŠ qui, dans le cadre des transformations indispensables au Green Deal, nĂŠcessitera de grandes capacitĂŠs GoLQQRYDWLRQ HW GoLQYHVWLVVHPHQW TXL QH YHUURQW OH MRXU de manière structurelle, qu’avec un soutien et un ĆŹQDQFHPHQW VĂ„ULHX[ HW UĂ„ĆŽĂ„FKLV HXURSĂ„HQ HW QDWLRQDO Le tout en restant neutre technologiquement. Cette WUDQVIRUPDWLRQ PDMHXUH GH OD VRFLĂ„WĂ„ QH VHUD SDU DLOOHXUV une rĂŠussite que si citoyens, entreprises et pouvoirs publics adhèrent Ă une vision commune, rĂŠsultat d’un vĂŠritable dialogue. Ce qui a cruellement manquĂŠ lors de l’Êlaboration tant du Plan national Énergie-Climat et que GH OD 6WUDWĂ„JLH Âť ORQJ WHUPH Ă„QHUJLH FOLPDW

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Contact L’ETS Ă€ NOUVEAU RÉFORMÉ ! Le système europĂŠen d’Êchange de quotas GoĂ„PLVVLRQ (76 VHUD Âť QRXYHDX UHYX VRXV OH Green Deal. Les changements se suivent, QoRĆŞUDQW SDV XQ FDGUH VWDEOH SRXU OHV LQYHVWLVVHXUV (W FH DORUV TXH Oo(76 HVW OoXQH des pierres angulaires des rĂŠductions de CO2 europĂŠennes. Le Green Deal va-t-il ĂŠtendre le V\VWĂƒPH DX[ WUDQVSRUWV URXWLHUV PDULWLPHV HW RX DX[ E½WLPHQWV " 3HUGXUHUD W LO MXVTXoHQ " 6L RXL WHQGUD W LO YHUV ]Ă„UR Ă„PLVVLRQ en 2050 ou -95% avec compensation †{H[WĂ„ULHXUH– " &RPPHQW VH FRPELQHQW QRV REMHFWLIV Âť ORQJ WHUPH HQWUH ¤WDWV PHPEUHV HW LQGXVWULHV VRXV OH V\VWĂƒPH (76 " &RPPHQW celui-ci va-t-il ĂŠvoluer avec un ĂŠventuel PĂ„FDQLVPH GoDMXVWHPHQW FDUERQH DX[ frontières ? Ă€ ces questions, les entreprises attendent une rĂŠponse claire.

Olivier Van der Maren Executive Manager Centre de compĂŠtence Énergie, Climat & MobilitĂŠ ovm@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE “Green Dealâ€?

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&<%(59(,/,*+(,' MARCHÉ INTÉRIEUR

LE CADRE EXISTE. IL IMPORTE DE LE METTRE EN Ĺ’UVRE DANS LES FAITS !

L

H PDUFKĂ„ LQWĂ„ULHXU GH Oo8( SLHUUH DQJXODLUH de la construction europĂŠenne, demeure sans aucun doute un des moteurs ĂŠconomiques de QRWUH FRQWLQHQW ,O MRXH XQ UĂ?OH FOĂ„ SRXU OHV Ă„FRnomies ouvertes, telles que la Belgique, dont le commerce extĂŠrieur reprĂŠsente plus de 80% du PIB et dont 75% de nos produits s’Êchangent au sein du grand PDUFKĂ„ HXURSĂ„HQ 6DQV OoDFFĂƒV DX PDUFKĂ„ XQLTXH QRWUH PIB national chuterait de 18% et le taux d’emploi de 3,4% VRXUFH &RPPLVVLRQ HXURSĂ„HQQH 0DOJUĂ„ OHV HĆŞRUWV FRQWLQXV GoDSSURIRQGLVVHPHQW GHSXLV sa crĂŠation en 1993, le marchĂŠ commun se heurte encore Ă des obstacles, qui entravent sa pleine rĂŠalisation et HPSĂ…FKHQW QRV HQWUHSULVHV GoHQ WLUHU SOHLQHPHQW SURĆŹW Cette problĂŠmatique est loin d’être nouvelle, mais semble avoir perdu de son urgence politique au cours des dernières annĂŠes. Cette tendance ne tient pas compte du problème rĂŠcurrent de l’interprĂŠtation inĂŠgale des directives europĂŠennes, qui accordent une large marge de manĹ“uvre aux États membres qui doivent les transposer en droit national. En outre, le recours Ă des comportements protectionnistes, ouverts ou dĂŠguisĂŠs, ĂŠrige de nouvelles barrières au sein du continent europĂŠen. D’ailleurs, dans le cadre d’une enquĂŞte rĂŠalisĂŠe pour le mĂŠmorandum FEB en vue des ĂŠlections europĂŠennes de mai dernier, cette IUDJPHQWDWLRQ GX PDUFKĂ„ LQWĂ„ULHXU D Ă„WĂ„ LGHQWLĆŹĂ„H SDU &(2 EHOJHV FRPPH OD GHX[LĂƒPH IDLEOHVVH GH Oo8( En consĂŠquence, la FEB a menĂŠ un cycle de consultations GH VHV IĂ„GĂ„UDWLRQV PHPEUHV DĆŹQ GoĂ„YDOXHU OH VWDWXW DFWXHO GX PDUFKĂ„ XQLTXH &HV GHUQLĂƒUHV RQW DLQVL LGHQWLĆŹĂ„ les barrières auxquelles sont confrontĂŠs les acteurs PDMHXUV GH OoĂ„FRQRPLH EHOJH › FHW Ă„JDUG OD QĂ„FHVVLWĂ„ GoHQGLJXHU OH SUREOĂƒPH GX JROG SODWLQJ F Âť G DOOHU SOXV loin lors de la transposition en droit national que ce que UHTXLHUW OH SUHVFULW HXURSĂ„HQ VH UĂ„YĂƒOH SDUWLFXOLĂƒUHPHQW importante. Ces consultations ont ĂŠgalement mis en exergue la nĂŠcessite d’harmoniser et de renforcer la coopĂŠration entre les divers systèmes nationaux de FRQWUĂ?OH GH OoDFFĂƒV DX PDUFKĂ„ 8( SRXU OHV SURGXLWV HQ provenance de pays tiers.

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Face Ă ces constats, la FEB incite les autoritĂŠs politiques Âť DFFRUGHU OD SULRULWĂ„ Âť OD PLVH HQ yXYUH HĆŞHFWLYH des règles du marchĂŠ intĂŠrieur et Ă poursuivre son DFKĂƒYHPHQW DĆŹQ GH PD[LPLVHU VRQ SRWHQWLHO Il est dès lors impĂŠratif de fournir les outils nĂŠcessaires pour enrayer le phĂŠnomène de fragmentation lĂŠgislative. C’est dans cette optique que nous accueillons très SRVLWLYHPHQW OD SXEOLFDWLRQ SURFKDLQH GĂ„EXW PDUV par la Commission europĂŠenne, d’un plan d’action en vue d’une meilleure mise en Ĺ“uvre des règles du marchĂŠ unique. De plus, la FEB publiera prochainement une analyse plus approfondie de son enquĂŞte menĂŠe auprès de ses fĂŠdĂŠrations membres, laquelle servira de base pour illustrer la nĂŠcessitĂŠ de l’initiative de la Commission et suivre sa mise en Ĺ“uvre.

Contact

Thomas Julien Centre de compĂŠtence Europe & International tj@vbo-feb.be Recherche sur FEB.BE “MarchĂŠ intĂŠrieurâ€? MĂŠmorandum Élections europĂŠennes – Pour une Europe des rĂŠsultats 9RLU DXVVL Quantifying the Economic (ĆŞHFWV RI WKH 6LQJOH 0DUNHW LQ D 6WUXFWXUDO 0DFURPRGHO

FACE AUX OBSTACLES RÉCURRENTS, LA FEB INCITE LES AUTORITÉS EUROPÉENNES ET BELGES Ă€ ACCORDER LA PRIORITÉ Ă€ LA MISE EN Ĺ’UVRE EFFECTIVE DES RĂˆGLES DU MARCHÉ INTÉRIEUR

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UNE SÉLECTION DES DÉCISIONS LES PLUS INTÉRESSANTES – PUBLIÉES ET NON PUBLIÉES – DE NOS COURS ET TRIBUNAUX DU TRAVAIL LICENCIEMENT Motif grave – travailleur protĂŠgĂŠ – mandat L’employeur peut valablement confĂŠrer un mandat spĂŠcial et exprès Ă un co-directeur en vue d’assurer OD JHVWLRQ GX SHUVRQQHO GX PDJDVLQ 8Q WHO PDQGDW comporte implicitement le pouvoir d’introduire une demande d’autorisation de licencier pour motif grave un reprĂŠsentant du personnel ou un candidat. Cour du travail de Liège (division Namur), 17 mai 2018, Chron. Dr. Soc., 2019/01, 19.

SÉCURITÉ SOCIALE DES TRAVAILLEURS SALARIÉS Notion de rÊmunÊration – prime payÊe par un tiers Est constitutive de rÊmunÊration à charge de l’employeur et donc passible de cotisations de sÊcuritÊ sociale, la prime versÊe aux travailleurs par un tiers, qui constitue la contrepartie du travail en exÊcution du contrat de travail avec leur employeur, sans que les travailleurs ne fournissent aucune prestation en faveur du ce tiers. Cour de Cassation, 20 mai 2019, JTT, 2019, 341.

LICENCIEMENT Motif grave – comportement agressif verbal Ne constitue pas un motif grave, le comportement agressif verbal, même accompagnÊ de menaces, qui fait suite à une demande de l’employeur de restituer le vÊhicule de sociÊtÊ qui Êtait depuis longtemps à la disposition du travailleur. Cour du travail de Bruxelles, 22 fÊvrier 2019, JTT, 2019, 334.

CONTRAT DE TRAVAIL 'Ă„OĂ„JXĂ„H FRPPHUFLDOH s PRGLĆŞFDWLRQ GH IRQFWLRQ{s rĂŠfĂŠrĂŠ En retirant, pendant une pĂŠriode d’incapacitĂŠ, de manière unilatĂŠrale Ă une dĂŠlĂŠguĂŠe commerciale la promotion de deux produits auprès de spĂŠcialistes GX GLDEĂƒWH HQ :DOORQLH HW %UX[HOOHV HW HQ OoDĆŞHFWDQW Ă l’Êquipe de dĂŠlĂŠgation respiratoire de la rĂŠgion de %UX[HOOHV 6XG OoHPSOR\HXU D SULPD IDFLH PRGLĆŹĂ„ OD nature de sa fonction. Cour du travail de Bruxelles, 21 dĂŠcembre 2017, Chron. Dr. Soc., 2019/01, 10.

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LICENCIEMENT Motivation – formulaire C4 /H FHUWLĆŹFDW GH FKĂ?PDJH & QH SHXW Ă…WUH FRQVLGĂ„UĂ„ comme la communication du motif concret du OLFHQFLHPHQW SDUHLO GRFXPHQW Ă„WDQW GHVWLQĂ„ Âť Oo2ĆŻFH 1DWLRQDOH GH Oo(PSORL 21(0 HW QRQ SDV DX WUDYDLOOHXU Le courrier recommandĂŠ de l’employeur qui s’en rĂŠfère au formulaire C4, ne rencontre pas l’obligation de PRWLYDWLRQ /D PHQWLRQ †PDWFK LQVXĆŻVDQW DYHF OHV exigences de la fonctionÂť doit ĂŞtre considĂŠrĂŠe comme ĂŠtant trop vague. Tribunal du travail d’Anvers, division Anvers, 24 avril 2019, OriĂŤntatie, 2019/7-8, 286.

TRANSFERT D’ENTREPRISE RÊorganisation judiciaire par transfert sous autoritÊ de justice – droit pour le cessionnaire de reprendre les travailleurs de son choix Les articles 3 à 5 de la directive 2001/23/CE du Conseil du 12 mars 2001 doivent être interprÊtÊs en ce sens qu’ils s’opposent à une lÊgislation nationale, telle que celle en cause au principal, qui, en cas de transfert d’une entreprise intervenu dans le cadre d’une procÊdure de rÊorganisation MXGLFLDLUH SDU WUDQVIHUW VRXV DXWRULWÄ GH MXVWLFH DSSOLTXÄH HQ YXH GX PDLQWLHQ GH WRXW ou partie du cÊdant ou de ses activitÊs, prÊvoit, pour le cessionnaire, le droit de choisir les travailleurs qu’il souhaite reprendre.

Contact

Antoine Vanden Abeele $YRFDW DVVRFLĂ„ ,8;7$ /HJDO avandenabeele@iuxta.legal www.iuxta.legal

C.J.E.U., 16 mai 2019, JTT, 2019, 412.

SÉCURITÉ SOCIALE DES TRAVAILLEURS SALARIÉS IndemnitÊs complÊmentaires aux avantages accordÊs pour les diverses branches de la sÊcuritÊ sociale Pour être considÊrÊ comme complÊment aux avantages accordÊs pour les diverses EUDQFKHV GH OD VÄFXULWÄ VRFLDOH OoLQGHPQLWÄ GRLW DYRLU SRXU REMHW GH FRPSHQVHU OD perte des revenus du travail ou l’accroissement des dÊpenses provoquÊs par la rÊalisation d’un des risques couverts par les diverses branches de la sÊcuritÊ sociale. Cour de Cassation, 25 mars 2019, JTT, 2019, 430.

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AGENDA FEB Plus d’info : ZZZ IHE EH ! HYHQWV

JUSQU’À AVRIL 2020

16 MARS 2020

6$9( 7+( '$7( 26 ET 30 MARS 2020

ÉLECTIONS SOCIALES

BELGIAN BUSINESS AWARDS FOR THE ENVIRONMENT

LE TEMPS NÉCESSAIRE ET AUTRES FACILITÉS SYNDICALES

Mai 2020, c’est demain. Inscrivez-vous à QRWUH SDFNDJH FRPSOHW SRXU Ã…WUH SUÃ…WV à temps. La FEB met à nouveau tout son savoir-faire à disposition pour vous accompagner dans le marathon des élections !

Les Belgian Business Awards for the Environment récompensent les petites et grandes entreprises pour leurs engagements en matière de développement durable. Ils mettent en évidence les pratiques, procédés et produits éco-innovants de tous secteurs d'activité qui contribuent à la transition vers une économie circulaire en réduisant l'impact environnemental de notre production et de notre consommation, permettant une XWLOLVDWLRQ SOXV HƯFDFH HW UHVSRQVDEOH GHV ressources naturelles.

La question du temps nécessaire invoqué par OH GÄOÄJXÄ V\QGLFDO SRXU MXVWLƬHU VRQ DEVHQFH du travail revient régulièrement comme un VXMHW ÄSLQHX[ YRLUH LQH[WULFDEOH /oDERUGHU UHOÃYH GX GÄƬ 3RXUWDQW LO H[LVWH XQ FDGUH La FEB organise un séminaire : • pour rappeler les règles qui encadrent les facilités à accorder aux délégués pour l’exercice de leur mission ; • pour informer les participants sur ce qui se passe sur le terrain ; • fournir des outils pour parvenir à un accord » FH VXMHW DYHF OHV V\QGLFDWV

-HXGL DYULO L'après-midi, FEB, Bruxelles /XQGL DYULO / DSUÃV PLGL 1RYRWHO :DYUH (DVW :DYUH -HXGL DYULO L'après-midi, Agoria Bluepoint, Liège

/XQGL 0$56 La cérémonie de remise des prix de l'édition DXUD OLHX OH PDUV HQ présence de nombreuses personnalités.

-HXGL PDUV À partir de 13h00, Agoria Bluepoint, Liège /XQGL PDUV À partir de 09h15, Manoir du Capitaine, Feluy

/,(8 BRUXELLES, WAVRE, LIÈGE Info : www.feb.be HYHQWV#YER IHE EH T 02 515 09 50

/,(8 FEB, BRUXELLES Info: www.belgianenvironmentaward.be HYHQWV#YER IHE EH

/,(8 LIÈGE, FELUY Info : www.feb.be HYHQWV#YER IHE EH T 02 515 09 50

5()/(&7 3XEOLFDWLRQ WULPHVWULHOOH GH OD )ÄGÄUDWLRQ GHV HQWUHSULVHV GH %HOJLTXH Rédaction 9DQHVVD %LHEHO $QQH 0LFKLHOV 1JD 1JX\HQ -RKDQ 9DQ 3UDHW Rédaction Jurisprudence sociale $QWRLQH 9DQGHQ $EHHOH Secrétariat de rédaction Hilde De Brandt, Anne Michiels Traduction 6HUYLFH GH WUDGXFWLRQ )(% 5HVSRQVDEOH GHV SXEOLFDWLRQV 6WHIDQ 0DHV Mise en page /DQGPDUNV Photographie 6ÄEDVWLHQ 9DQ GH :DOOH -HDQ -DFTXHV 'H 1H\HU 7ULSW\TXH BelgaImage Illustrations 3HWHU :LOOHPV 9HF VWDU Impression Graphius ¤GLWHXU UHVSRQVDEOH 6WHIDQ 0DHV UXH 5DYHQVWHLQ %UX[HOOHV 5ÄJLH SXEOLFLWDLUH ADeMar, Graaf de Fienneslaan 21, (GHJHP $QWZHUSHQ &RQWDFW 1HOH %UDXHUV 7ÄO QHOH EUDXHUV#DGHPDURQOLQH FRP 'DWH GH SXEOLFDWLRQ février 2020 5()/(&7 LV RRN YHUNULMJEDDU LQ KHW 1HGHUODQGV 5()/(&7 SHXW Ã…WUH OX HQ OLJQH VXU ZZZ IHE EH ! 3XEOLFDWLRQV ! 5()/(&7 ,661 2684-4249

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Avenir Entreprises

Emploi

Riverains

Mobilité

Brussels Airport 8Q OLHX DX[ SRVVLELOLWÄV LQƬ QLHV où se croisent des millions de vies D’ici 2040, Brussels Airport pourra proposer 120 000 emplois, soit deux fois plus qu’aujourd’hui. L’aéroport deviendra encore plus un lieu de rencontre pour les personnes et les entreprises, un carrefour où les idées innovantes peuvent se développer. Brussels Airport joue ainsi un rôle de premier plan dans la croissance économique de notre pays. Telle est la vision stratégique de Brussels Airport à l’horizon 2040. En concertation avec toutes les parties concernées - entreprises et riverains - nous continuons à miser sur le développement durable de l’aéroport de manière équilibrée.

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