Quel moyen de lavage ?
Le lavage de contenants lunchbox n’est pas très complexe. Il s’agit de séparer les couvercles (souvent plastiques) à laver à une température inférieure à 70°C des contenants eux-même (verre ou inox) à laver à une température supérieure à 70°C. En revanche, il est beaucoup plus complexe de laver des bouteilles en verre, pour les brasseurs ou les viticulteurs, et de sécher les gobelets type Écocup pour l’événementiel. Autant de marchés qui pourraient convenir à l’équilibre de la mise en place d’une unité de lavage. Partant de ce constat, nous avons cherché à chiffrer l’investissement d’une unité de lavage multifonction : en somme, calibrer l’outil sur son besoin le plus complexe. Plusieurs échelles d’outils existent, l’impact foncier et l’impact d’investissement suivent cette échelle. Face à la variété des machines et des usages possibles et afin de mener à bien un projet opérationnel, nous conseillons de souscrire à un fonctionnement de leasing dans un premier temps, afin de trouver l’outil le plus adapté, puis dans un second temps, lorsque la maîtrise de la machine et le choix seront affirmés, alors il sera temps d’investir.
LAVER À LA MAIN Si cela peut paraître incongru, cette méthode est actuellement pratiquée partout, dans tous les établissements qui produisent des denrées alimentaires. Cela ne nécessite donc pas de véritable investissement mais une organisation différente du travail.
[à gauche] La laveuse manuelle de bouteille à bière investie par un brasseur pour laver les bouteilles qu’il aura pris le temps de faire tremper en amont (pour que les étiquettes se dilluent dans l’eau de trempage). Coût ± 300 € [au milieu et à droite] Un bac de lavage et un lave vaisselle à bac, l’équipement le plus récurrent en cuisine. En série ils peuvent présenter une force de lavage. Ces outils exigent beaucoup de présence humaine et donc un coût lourd sur le long terme.
page 12