Premiers secours pâtissiers

Les premiers secours pâtissiers

Vous aimeriez savoir comment cuire un pain irrésistiblement aéré et croustillant ? Grâce aux quatre règles d’or du chef Marc Costers, c’est un jeu d’enfant !

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Quand la pâte à pain est-elle suffisamment pétrie pour lever ?

Marc : « Le gluten dans la pâte permet au pain de lever. Vous pouvez en déterminer la qualité en effectuant le test du voile. Prenez un morceau de pâte et tirez doucement entre vos doigts pour l’ouvrir. La pâte doit être homogène et élastique comme un ballon. Si vous pouvez l'étirer sans qu’elle se déchire et qu’un voile transparent se forme, le test est réussi et votre pâte est prête ! Vous savez maintenant exactement à quelle hauteur la pâte peut monter sans se briser et dans quelle mesure votre pain sera aéré. Bon à savoir : la farine de blé complet a davantage tendance à craquer, c’est pourquoi ces pains sont un peu plus fermes que le pain blanc. » 2 Comment obtenir un pain bien levé ? Marc : « Faites toujours lever votre pain au moins deux fois. La première levée prend environ 20 à 30 minutes et peut être effectuée dans le bol de mélange. J’ai l’habitude de déposer un film plastique enduit d’huile sur la boule de pain, car cela abîme moins la pâte. Pour la deuxième levée, dégazez d’abord la pâte, laissez-la gonfler et mettez-la en forme. Cette fois, vous pouvez la laisser lever dans le moule ou sur une plaque de cuisson. Pendant les deux levées, vous devriez idéalement avoir une température constante de 29 °C. Certains fours modernes sont dotés d’une fonction de levée de pâte. Si le vôtre n’en dispose pas, faites-le chauffer à 50 °C, puis éteignez-le et mettez la pâte au four. Si possible, ajoutez un bol d’eau pendant la levée. Votre pain a suffisamment levé s’il a doublé de volume après la deuxième levée. »

4Comment cuire un pain sans gluten aéré ? Marc : « Faire du pain sans gluten n’est pas chose aisée. En effet, le gluten retient les bulles d’air que la levure produit pour rendre le pain aéré. La pâte à pain faite à partir de farine sans gluten ne prend pas la forme d’une boule, mais plutôt d’une pâte épaisse. Elle nécessite beaucoup plus de liquide (de l’eau ou du lait) que le pain contenant du gluten. Le pain avec gluten doit être pétri plusieurs fois. En procédant comme décrit plus haut pour le pain sans gluten, vous évacuez tout l’air du pain. La graine de psyllium constitue un outil fort pratique pour le pain sans gluten (1 cuillère à soupe pour 500 grammes de farine). Le pain est ainsi moins sec, plus aéré et reste frais plus longtemps. À la place des graines de psyllium, vous pouvez également utiliser de la gomme arabique, des graines de lin moulues ou des graines de chia. Dès que le pain sans gluten est cuit, il est préférable de le retirer le plus rapidement possible du moule pour le laisser refroidir. Comme il stocke beaucoup d’humidité pendant la cuisson, celle-ci ne peut s’évacuer que lorsque le pain sort du moule. De cette façon, votre pain reste aussi croustillant que possible. »

3Quand un pain est-il cuit à point ?

Marc : « Quand un pain sort du four, je le retourne et je tapote le fond de la miche. Exactement comme je frapperais à une porte. Quand le son est creux, c’est cuit. Une miche de pain dans un moule est prête lorsqu’elle s’est légèrement détachée du moule. Cette astuce ne vous convainc pas ? Dans ce cas, vous pouvez également utiliser un thermomètre numérique pour vérifier si le pain est cuit. Lorsque la température du pain à la fin du temps de cuisson est d’environ 95 degrés, il est cuit. Mais il y a une autre astuce encore plus facile : faites tremper un bâton de brochette en bois dans l’eau pendant 15 minutes, puis piquez-le dans votre pain avant de commencer la cuisson. Dès que le pain est cuit, le bâton sort tout seul. »

Inscrivez-vous à l'atelier « Cuisiner, un jeu d’enfant : préparer des petits pains » en collaboration avec Colruyt Meilleurs Prix sur le site

www.colruytgroupacademy.be

Le secret d'une alimentation pour bébés équilibrée

Produire des aliments pour bébés équilibrés est un métier à part entière. Nestlé a plus de 150 années d’expérience en la matière.

La diététicienne pédiatrique Cathérine Heugens et la junior brand manager

Julie Henderyckx expliquent le processus de création des repas de la gamme NaturNes Bio.

Sur quel concept s’appuie NaturNes Bio ?

Julie : « Le slogan de la marque est "Faites confiance à la nature". Nous tirons parti de produits d’origine naturelle, biologique et Européenne dans la mesure du possible, d’ingrédients en provenance directe du champ et cultivés sans pesticides. Les bébés sont fragiles et les règles qui régissent leur alimentation sont donc encore plus strictes que pour les adultes. Il est important de leur donner le meilleur pendant les trois premières années de leur vie. »

Quels sont les points d'attention au moment d'élaborer des recettes d'aliments pour bébés ?

Cathérine : « Les bébés ne sont pas des adultes de taille réduite en matière d’alimentation. Leurs besoins sont très différents. Ils sont plus vulnérables. Ils ont une capacité intestinale et digestive beaucoup plus faible. Pour que leur croissance soit optimale, ils doivent donc bénéficier de nutriments de qualité en quantité adéquate. » Julie : « Un bon exemple : le flexitarisme. Nous constatons une demande croissante d’aliments pour bébés végétariens. C’est évidemment une bonne idée de remplacer les protéines animales par des protéines végétales quelques fois par semaine. Mais il convient néanmoins de s’assurer que ces repas sont toujours complets et qu’ils contiennent les bons nutriments. Un bébé a besoin de vitamines et de protéines en quantité suffisante. Nous évaluons soigneusement ces besoins et utilisons le quinoa comme protéine végétale, par exemple. »

Qui invente les recettes ? Existe-t-il un Yves Mattagne de la nourriture pour bébés ?

Cathérine : « Nous disposons de centres de R&D à travers le monde. De nombreux chercheurs et praticiens paramédicaux y travaillent ensemble, notamment des diététiciens et des médecins. Ils élaborent une recette équilibrée. Nous faisons parfois appel à des logopèdes qui nous aident à déterminer si la texture d’un plat est agréable pour les bébés. Nous organisons également des panels de dégustation, lors desquels nous laissons les bébés essayer différentes saveurs et textures afin de définir ce qu’ils aiment. Des psychologues sont également présents pour interpréter les réactions et les expressions des bébés, car ces derniers ne peuvent évidemment pas parler. C’est tout un processus. Nous ne devons pas tirer de conclusions hâtives. Selon certaines études, il faut proposer un aliment à un bébé 17 fois avant de pouvoir définitivement affirmer qu’il ne plaît pas à l’enfant. »

« Aujourd’hui, les partents travaillent souvent tous les deux et les soirées peuvent être mouvementées à la maison. S’ils manquent de temps pour préparer eux-mêmes un repas pour leur enfant, nous leur proposons une alternative complète et saine. Cela leur évite de culpabiliser lorsqu’ils optent pour l’un de ces plats préparés de temps à autre. »

Les repas de NaturNes Bio sont cuits à la vapeur. Quel en est l’avantage ?

Cathérine : « Auparavant, nous cuisions les ingrédients à l’eau, mais depuis une dizaine d’années, nous sommes passés à la cuisson à la vapeur. L’avantage de ce mode de cuisson est qu’il préserve mieux la valeur nutritionnelle des ingrédients. De nombreux nutriments sont sensibles à la chaleur et se dissolvent dès lors dans l’eau chaude. Si vous faites simplement bouillir des aliments, l’eau de cuisson en recueille la plupart des vitamines. Ce phénomène ne se produit pas avec la cuisson à la vapeur. Cette technique a également pour avantage de très bien préserver la couleur et la saveur des nutriments et de ne pas provoquer le dessèchement des aliments. De plus, la cuisson à la vapeur est plus avantageuse sur le plan du respect de l’environnement. Elle consomme en effet moins d’énergie et d’eau. » Julie : « Comme tous les nutriments restent intacts, il est inutile d’ajouter ensuite du sel, des arômes, des colorants ou des conservateurs. Les produits sont donc d’une grande pureté, ce à quoi les parents attachent une grande importance. Aujourd’hui, ils travaillent souvent tous les deux et les soirées peuvent être mouvementées à la maison. S’ils manquent de temps pour préparer eux-mêmes un repas pour leur enfant, nous leur proposons une alternative complète et saine. Cela leur évite de culpabiliser lorsqu’ils optent pour l’un de ces plats préparés de temps à autre. » >>

>> Un aliment qui a bon goût n’est pas nécessairement sain. Comment trouvez-vous le juste équilibre ?

Cathérine : « Cette décision incombe en définitive aux parents. En effet, ce sont eux qui sont responsables de l’éducation et de la santé de leur enfant à long terme. Ils doivent faire des choix sains et c’est parfaitement possible d’y arriver. Il existe de nombreux fruits et légumes différents, qui ont tous leur saveur et leur texture propres. C’est donc impossible qu’un enfant n’en aime aucun. Ne donnez surtout pas à votre enfant uniquement ce qu’il aime. Cela restreindrait la diversité de son régime alimentaire et votre enfant ne disposera pas des nutriments nécessaires en quantité suffisante à long terme. »

Comment apprendre à un bébé à découvrir de nouveaux aliments ?

Cathérine : « Il est important de diversifier l’alimentation, aussi bien pour les légumes que pour les fruits. Préparez une assiette de trois légumes différents, dont deux que votre enfant aime manger. Vous pouvez ensuite le combiner avec un légume nouveau. Veillez également à avoir une belle palette de couleurs dans l’assiette, car chaque couleur contient des vitamines et des minéraux différents. Lorsque les enfants grandissent, il peut être judicieux de les faire participer à la préparation des repas. En les impliquant activement, vous leur apprendrez plus facilement à manger des aliments sains. »

Une question pratique pour finir : à partir de quel âge les bébés peuvent-ils manger des aliments solides ?

Cathérine : « Nous recommandons d’allaiter exclusivement votre enfant jusqu’à l’âge de six mois. Par la suite, les réserves de vitamines et de minéraux que l’enfant reçoit de sa mère à la naissance s’épuisent progressivement. Seule la nourriture solide peut lui apporter les nutriments complémentaires dont il a besoin et nous nous efforçons d’élaborer des repas qui remplissent le mieux possible cet objectif. L’allaitement a d’ailleurs également son importance pour familiariser les enfants avec des goûts différents. Le bébé entre en contact avec certaines saveurs à travers le lait maternel. Ainsi, si la mère a une alimentation équilibrée et variée, l’enfant appréciera automatiquement un plus large éventail de saveurs. »

The Daddy Corner : un espace destiné aux papas

Si les jeunes mamans méritent beaucoup d’attention, Nestlé souhaite toutefois ne pas négliger les papas. Ils peuvent depuis peu consulter The Daddy Corner, un espace exclusif sur le site Web. Le thème de la paternité y est présenté sous différents angles. Vous y trouverez des témoignages de papas, des réponses et des perspectives apportées par un pédopsychiatre, le podcast instructif « Moi, Papa ! », des articles informatifs et même un quiz qui vous permettra de déterminer quel type de papa vous êtes. À découvrir sur

nestlebaby.be/fr/daddycorner.

« Comme tous les nutriments restent intacts, il est inutile d’ajouter ensuite du sel, des arômes, des colorants ou des conservateurs. »

NOUVEAU !

Votre lait habituel, maintenant avec saveur Ban ne a ou Van lle ! i

De petits chefs aux grands appétits

Votre (petit-)enfant adore faire la cuisine ? Passez nous voir et cuisinez ensemble pendant l’un de nos ateliers « Cuisiner, un jeu d’enfant » en collaboration avec Colruyt Meilleurs Prix. Laissez-vous surprendre par ces plats ludiques et profitez d’un véritable moment de qualité.

Vous avez déjà entendu parler des muffins « prince grenouille », des hiboux de pommes de terre ou

de la soupe de la princesse rose ? Il y a de fortes chances qu’ils fascinent votre (petit-)enfant à l’imagination débordante. Les portes des cuisines de nos Académies sont grandes ouvertes pour les enfants qui aiment cuisiner et sont curieux de nature.

Pendant les ateliers « Cuisiner, un jeu d’enfant », les (grands-)parents se serrent les coudes en cuisine avec leurs petits bouts. Ensemble, ils réalisent toutes sortes de plats ludiques et surprenants. Chaque atelier peut accueillir 4 binômes adultes-enfants, ce qui permet de s’amuser en petits groupes et notre formateur ou formatrice enthousiaste donne de nombreux conseils et de chouettes astuces adaptés aux enfants. Vous faites office d’assistant du chef et votre enfant joue le rôle d’un véritable chef coq.

Découvrez nos ateliers

Cuisiner, un jeu d’enfant : préparer des petits pains

Une odeur de pain fraîchement cuit se répand dans la maison : de quoi vous mettre l’eau à la bouche ! Que ce soit pour le petit-déjeuner du dimanche ou pour un déjeuner succulent, avec du pain fait maison, n’importe quel repas se transforme en fête. Dans cet atelier, nous réaliserons diverses préparations de petits pains croustillants et tendres. Nous pourrons créer les formes les plus incroyables et les décorations les plus cools une fois que nous aurons maîtrisé la technique.

Cuisiner, un jeu d’enfant : commencer par les petites bouchées

La préparation d’amuse-bouches est l’introduction parfaite à l’apprentissage de la cuisine. Qu’il s’agisse de préparations « finger food » savoureuses ou de desserts sucrés, c’est le moyen idéal d’apprendre à connaître les saveurs, les odeurs, les ingrédients et les combinaisons. Les binômes parents-enfants y trouveront des sources d’inspiration et de conseils pour un apéritif estival ou un goûter ludique. Et après cela, vous pourrez en faire profiter pleinement votre famille.

Cuisiner, un jeu d’enfant : le barbecue à l’honneur

Attention, les champions du barbecue, préparez-vous à l’action dans 3,2,1... c’est parti ! Dans le cadre de cet atelier de la série « Cuisiner, un jeu d’enfant », les chefs en herbe apprennent les techniques classiques du barbecue et préparent des plats spécialement pensés pour eux. Bien entendu, les desserts sont aussi au rendez-vous ! Les aides-cuisiniers sont présents pour veiller au grain, mais les enfants retroussent leurs manches et préparent eux-mêmes les plats. Vous pourrez ensuite vous entraîner à la maison et mettre l’eau à la bouche des voisins lorsque les délicieuses odeurs de barbecue se répandront dans le jardin.

Ils ont tenté l’expérience

Olivier a passé le test et a suivi un atelier « Cuisiner, un jeu d’enfant » avec sa fille Nelle.

« C’est Nelle qui a proposé que nous suivions un atelier de cuisine ensemble. Elle déborde de créativité et aime donner un coup de main dans la cuisine. Et comme elle est la plus jeune d’une famille de trois enfants, elle voulait aussi profiter de l’attention tout entière de son papa. C’était d’ailleurs très agréable pour moi de me concentrer complètement sur Nelle, cela nous a permis de renforcer encore nos liens. La préparation des plats à proprement parler s’est déroulée sans aucun problème. Les recettes étaient parfaitement adaptées pour un enfant. Nous avons préparé des amuse-bouches pour l’apéritif, une boisson et un dessert. Et c’est Nelle qui a pris les choses en main. Je n’étais que son assistant (rires). Avec sa sœur Lise, elle cherche déjà le prochain atelier auquel participer avec leur papa ! »

Nelle « Je pouvais tout faire moi-même et j’ai trouvé que c’était super amusant de cuisiner avec papa ! »

Inscrivez-vous à l’un des ateliers « Cuisiner, un jeu d’enfant » en collaboration avec Colruyt Meilleurs Prix ou « En cuisine avec ses petits chefs » en collaboration avec OKay sur le site

www.colruytgroupacademy.be