Portrait d’une étudiante en mobilité internationale à l’ÉSAL Milena Mandic, étudiante à la Faculty of Fine Arts à Cetinje au Monténégro, est venue à l’ÉSAL pour une mobilité internationale de crédits en 2020. Le 1er confinement en mars 2020 a modifié l’expérience de son séjour en France et entravé les contacts humains. Ce vécu particulier l’a néanmoins motivée pour revenir à l’ÉSAL, expérimenter la formation dans d’autres conditions et profiter pleinement de son séjour.
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Pourquoi avez-vous choisi l’ÉSAL ? J'ai choisi l’ÉSAL car l’école m’offrait la liberté d'exprimer mes idées sur différents supports. Ces deux années consécutives ont été particulières au regard de la pandémie mondiale et de la possibilité de faire un échange pendant celle-ci. Mon 1er séjour ne m'a pas donné assez de temps pour explorer toutes les possibilités pour expérimenter. Cela m'a encouragé à revenir pour connaître ce que j'ai raté l'année précédente. J’aimerais revenir, car Metz est une ville qui m'a profondément influencée et qui m'appellera toujours.
Si vous deviez choisir un mot pour décrire l’ÉSAL, ce serait :
DIPLÔMES 2021
J’utiliserais le mot Sloboda [ce que l'on pourrait traduire par liberté]. L’école et ce qui m'est arrivé quand j’étais à Metz, ont joué un rôle dans la découverte de moi-même : ici, je me suis trouvée alors même que nous étions confinés, en divagation incessante, arpentant les rues à vélos.