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7 Fragen an 7 questions à

nun in der neuen Funktion der Teamleiterin tätig, die ich mit Leidenschaft ausübe. Gleichzeitig bin ich für die interne Ausbildung bei Ticino Soccorso 144 zuständig.

Welche Stationen in DeinemWerdegang haben Dich am meisten geprägt? Sicherlich die Veränderung, die vor 15 Jahren aufgrund meines Gesundheitsproblems stattfand. Ich stellte mein Arbeitsleben auf den Kopf und begann mein neues Abenteuer auf der Notrufzentrale. Bis heute kann ich sagen, dass mich dieser Beruf total erfüllt, die geforderten Fähigkeiten entsprechen voll und ganz meinen Neigungen. 2016 wurde ich Teil des Expertenteams für die Berufsprüfungen. Vor einigen Monaten habe ich das neue eidgenössische Zertifikat als «Alarmzentralenbetreiber» erhalten und setze meine Arbeit als Expertin und Mitglied der Prüfungskommission fort.

Gibt es eine Erfahrung, die Deine rettungsdienstlicheTätigkeit nachhaltig verändert hat?

In einer Notrufzentrale 144 ist die Einführung neuer Mitarbeiter ein Schlüsselelement bei der Schaffung der Grundlage für die künftige Arbeit. Neue Kollegen kommen mit unterschiedlichem Hintergrund, und es ist wichtig, eine Einführung zu vermitteln, die an die Fähigkeiten und

Interview: Ilario Boldo, Zurich

Qui es-tu?

Je m’appelle Monica Romano et je suis née en 1979 à Ambrì, un village du Tessin au pied du Gothard, connue pour son équipe de hockey sur glace, le HCAP. Je suis mariée et j’ai un fils de onze ans et un joli Golden Retriver appelé Sonny. J’ai fait mes premiers pas dans le monde préclinique comme auxiliaire de transport au service Autolettiga à Airolo (TI) et chez Tre Valli Soccorso (TI). À Coire, j’ai suivi une formation d’infirmière de la CRS niveau I et je me suis qualifiée à la HECVS à Lausanne comme infirmière de la CRS niveau II. J’ai travaillé en tant que secouriste chez Tre Valli Soccorso et dans un petit établissement privé à Lausanne. De retour au Tessin, j’ai travaillé dans une unité de soins intensifs où j’ai suivi mes études post­diplômes. Un problème de santé m’a malheureusement soudainement obligée à changer de profession. Il y a 15 ans, j’ai ainsi rejoint Ticino Soccorso 144. Depuis désormais cinq ans, j’occupe ma nouvelle fonction de cheffe d’équipe, un travail que j’accomplis avec passion. En même temps, je suis responsable de la formation interne chez Ticino Soccorso 144.

Quelles sont les étapes de ta carrière qui t’ont le plus marqué?

Il s’agit certainement du changement qui a eu lieu il y a 15 ans suite à mes problèmes de santé. J’ai chamboulé ma vie professionnelle et je me suis lancée dans une nouvelle aventure à la centrale d’appels urgents. Jusqu’à aujourd’hui, je peux dire que dans cette profession, je m’épanouis pleinement. Les compétences nécessaires correspondent exactement à mes préférences. Depuis 2016, je fais partie de l’équipe d’experts pour les examens professionnels. Il y a quelques mois, j’ai obtenu le nouveau certificat fédéral d’«opératrice de centrale d’alarme» et je continue mon travail comme experte et comme membre de la commission d’examen.

Existe-t-il une expérience qui a durablement modifié ton travail au service de sauvetage?

Dans une centrale d’appels urgents 144, l’introduction de nouveaux membres est un élément­clé pour créer la base du futur travail. Les nouveaux collègues arrivent avec différents bagages professionnels et il est important de trouver une voie d’introduction adaptée aux capacités et compétences de la personne.

J’exerce volontiers cette fonction parce que je pense qu’il est important de transmettre la passion pour ce travail et surtout, parce que cela nous motive à maintenir constamment la qualité à un niveau élevé.

Quel est pour toi l’aspect le plus intéressant à travailler dans un service de sauvetage?

Dans mon rôle de cheffe d’équipe, je veille à ce que le travail quotidien de l’installation se déroule sans problème durant mon service, je coor­

Kompetenzen der Person angepasst ist. Ich übe diese Funktion gerne aus, weil ich glaube, dass es wichtig ist, die Leidenschaft für diesen Job zu vermitteln, und vor allem, weil es einen anspornt, ein konstant hohes Qualitätsniveau zu halten.

Was ist für Dich das Interessanteste am RettungsdienstJob?

In meiner Rolle als Teamleiterin sorge ich für den reibungslosen Ablauf des täglichen Betriebs der Anlage während meiner Schicht, koordiniere und überwache ihn. Bei der Zuweisung von Aufgaben behalte ich in einer sich schnell verändernden betrieblichen Tätigkeit stets den Überblick. Einschätzungen und Entscheidungen werden im Zusammenspiel mit dem Team schnell getroffen. Zwischenmenschliche Fähigkeiten sind hier unerlässlich.

Wie engagierst Du Dich für die Rettungsszene?

Die Rolle der 144­Betreiber ist im Laufe der Jahre immer komplexer und zentraler geworden. Die neuesten SRCLeitlinien konzentrieren sich auf die Rolle des Operators bei der Einweisung von Laien in Wiederbelebungsmassnahmen, indem er sie durch die Anwendung von HLW und AED anleitet. Die Verwendung eines standardisierten Protokolls ermöglicht es dem Operator, sich auf die Kommunikationsfähigkeiten zu konzentrieren, um den Anrufer dazu zu bringen, alle notwendigen Manöver auszuführen. Dabei wird die sehr starke emotionale Wirkung berücksichtigt, die unsere Aufforderungen auf den an der Rettung beteiligten Laien haben. Mit unserer Erfahrung bauen wir in einem für den Anrufer sehr stressigen Moment eine empathische Beziehung zu ihm auf, vor allem in zeitkritischen donne et je surveille ce travail. Lors de l’attribution de tâches, je garde toujours la vue d’ensemble dans un environnement professionnel interne qui évolue rapidement. Les évaluations et les décisions sont effectuées rapidement en collaboration avec l’équipe. Dans ce contexte, les capacités relationnelles sont indispensables.

Situationen, in denen Minuten den Unterschied ausmachen. Das Symbol der ausgestreckten Hand steht für unsere Rolle innerhalb der Rettungsszene. Es entsteht ein besonderes Bündnis, das von Hand zu Hand weitergegeben wird, bis der Patient im Krankenhaus ankommt, dem letzten Glied in der Rettungskette.

Weshalb machst Du das?

Ich glaube fest an die Bedeutung unserer Tätigkeit und setze mich seit 15 Jahren jeden Tag mit derselben Leidenschaft und dem gleichen Engagement dafür ein, unseren Nutzern immer das Beste zu bieten. Ich fühle mich selbst als aktiver Teil der Rettungskette und glaube an die ständige Verbesserung unseres Berufs.

Was könnte zu einer markantenWeiterentwicklung der Rettungsszene beitragen?

Einerseits die Einführung technologischer Systeme, die uns zunehmend helfen, zum Beispiel die Geolokalisierung und Videoverbindung mit dem Anrufer. Andererseits ist mit der eidgenössischen Anerkennung unserer Berufsbezeichnung, zu der ich durch meine Mitarbeit in mehreren Arbeitsausschüssen beigetragen habe, ein wichtiger Baustein für das Wachstum unseres Berufs gesetzt.

Comment t’engages-tu pour le sauvetage?

Au fil du temps, le rôle des exploitants 144 est devenu toujours plus complexe et plus central. Les dernières directives du SRC se concentrent sur le rôle de l’opérateur lorsqu’il doit guider des profanes pour appliquer des mesures de réanimation en les instruisant lors de l’application de la RCP ou de l’utilisation d’un AED. Un protocole standardisé permet à l’opérateur de se concentrer sur les capacités de communication afin d’amener l’appelant à effectuer toutes les manœuvres nécessaires tout en tenant compte de l’effet fortement émotionnel que nos demandes ont sur le profane qui doit participer au sauvetage. Notre expérience nous permet de nouer une relation empathique avec l’appelant dans un des moments les plus stressants dans sa vie. Cela est notamment important dans des situations dans lesquelles chaque minute compte. Le symbole de la main tendue représente notre rôle au sein du sauvetage. Un lien particulier se crée et passe d’une main à l’autre

Der Autor

Das Interview wurde von Ilario Boldo geführt. Boldo arbeitete bis Ende 2022 an der Höheren Fachschule für Rettungsberufe von Schutz & Rettung Zürich und ist Mitglied der Redaktionskommission des «star of life».

L’auteur jusqu’à ce que le patient arrive à l’hôpital, le dernier maillon de la chaîne de sauvetage.

L’interview était menée par Ilario Boldo. Boldo a travaillé jusqu'à fin 2022 à l’École supérieure pour les professions du sauvetage de Schutz & Rettung Zurich et il est membre de la commission de rédaction du «star of life».

Pourquoi tout cela?

Je suis persuadée de l’importance de notre travail et j’interviens depuis 15 ans chaque jour avec la même passion et le même engagement afin d’offrir toujours le meilleur à nos utilisateurs. Je me sens moi­même comme partie active de la chaîne de sauvetage et je crois en l’amélioration constante de notre profession.

Qu’est-ce qui pourrait contribuer à une évolution importante des futurs milieux du sauvetage?

D’une part l’introduction de systèmes technologiques qui nous aident de plus en plus, par exemple la géolocalisation et la liaison vidéo avec l’appelant. D’autre part, il faut noter que la reconnaissance fédérale de notre profession à laquelle j’ai contribué en travaillant dans plusieurs commissions de travail, a permis de poser un jalon important pour la croissance de notre profession.

7 questions à …

Dans le cadre de la série «7 questions à …», des personnalités du sauvetage suisse sont présentées. Il s’agit de personnes que l’on rencontre régulièrement dans le cadre de manifestations ou d’interventions, de personnes dont on entend parler mais dont on ignore ce qu’elles font exactement et ce qui les incite à s’engager au­delà de la normale. Les personnes qui sont au centre de cette série répondent chacune par écrit à sept questions standard. sol.

7 Domande A

Interview: Ilario Boldo, Zürich

Chi sei?

Mi chiamo Monica Romano, sono nata nel 1979 ad Ambrì, paesino ticinese ai piedi del San Gottardo famoso per la sua squadra d’hockey, l’HCAP. Sono sposata, ho un figlio di 11 anni…e un dolcissimo Golden Retriever di nome Sonny. Ho mosso i primi passi nel mondo pre­ospedaliero come soccorritrice ausiliaria nel Servizio Autolettiga di Airolo (TI) e a Tre Valli Soccorso (TI). Ho svolto la mia formazione come infermiera CRS livello I a Coira (GR) e ho conseguito il diploma di infermiera CRS livello II alla HECVS di Losanna (VD), lavorando part­time come soccorritrice sia a Tre Valli Soccorso che in un piccolo contesto privato a Losanna. Di ritorno in Ticino ho lavorato in un reparto di cure intensive dove stavo svolgendo la formazione postdiploma; purtroppo, un improvviso problema di salute mi ha costretto ad un cambio di professione e 15 anni fa sono giunta a Ticino Soccorso 144. Da 5 anni è stata costituita la nuova figura del Team

7 domande a

Nella serie «7 domande a ...», vengono presentati personaggi del servizio di soccorso svizzero. Persone che si incontrano di tanto in tanto in occasione di eventi o missioni, persone delle quali si legge, uomini o donne di cui si sente parlare, ma di cui non si sa esattamente cosa facciano e cosa li spinga a un impegno fuori dall’ordinario. A ciascuna delle persone al centro di questa serie vengono poste sette domande standard, alle quali rispondono per iscritto. sol.

Leader, ruolo che svolgo con passione. Parallelamente mi occupo della formazione interna di Ticino Soccorso 144.

Quali sono le tappe della sua carriera nel settore del soccorso che hanno avuto un maggiore impatto su di lei?

Di sicuro il cambio avvenuto 15 anni fa a seguito del mio problema di salute. Ho stravolto la mia vita lavorativa e ho iniziato la nuova avventura presso la centrale 144. Ad oggi posso affermare che questa professione mi appaga totalmente, le competenze necessarie sono totalmente aderenti alle mie attitudini. Nel 2016 sono entrata far parte del team di esperti per gli esami professionali. Da pochi mesi ho ottenuto la nuova certificazione federale come «Operatrice di centrale d’allarme» e continuo la mia attività come esperta e membro della commissione d’esame (PK).

C'è un'esperienza che ha avuto un impatto duraturo sul suo lavoro come operatore di centrale?

In una centrale 144 l’introduzione del nuovo personale è un tassello fondamentale per creare le basi del lavoro futuro. I nuovi colleghi arrivano con background differenti ed è importante creare un percorso d’introduzione adattato alle capacità e competenze della persona. Amo svolgere questa funzione perché ritengo fondamenta­ le trasmettere la passione per questo lavoro e soprattutto ti stimola a mantenere livelli di qualità sempre alti.

Cosa trova più interessante del suo lavoro di operatore di centrale?

Nel mio ruolo di Team Leader garantisco, coordino e supervisiono la corretta gestione dell’attività quotidiana della centrale durante il mio turno di lavoro. L’attribuzione degli interventi avviene mantenendo una visione globale costante in un’attività operativa in rapida evoluzione. Le valutazioni e le decisioni sono rapide in interazione con il team. Le competenze umane e relazionali sono imprescindibili.

Come siete coinvolti nella scena del soccorso?

Il ruolo dell’operatore 144 è divenuto sempre più complesso e centrale nel corso degli anni. Le ultime linee guida SRC pongono l’attenzione sul ruolo dell’operatore nell’istruire l’astante laico nelle manovre rianimatorie guidandolo nella RCP e nella posa e utilizzo del DAE. Avvalersi di un protocollo standardizzato permette all’operatore di focalizzarsi sulle competenze comunicative con l’obiettivo di «agganciare» il chiamante portandolo a compiere tutte le manovre necessarie, tenendo conto del fortissimo impatto emotivo che le nostre richieste hanno sull’astante coinvolto nel soccorso. L’esperienza maturata ci porta ad instaurare una relazione empatica con il chiamante in uno dei momenti più stressanti per quest’ultimo, soprattutto in situazioni tempo­dipendenti dove sono i minuti a fare la differenza. La simbologia di tendere la mano è rappresentativa del nostro ruolo in seno alla scena del soccorso. Si crea una particolare alleanza che viene passata di mano in mano fino a quando il paziente arriva in ospedale, anello finale della catena del salvataggio.

Perché lo fai?

Credo fermamente nell’importanza della nostra attività e ogni giorno, da ormai 15 anni, ci metto la stessa passione e lo stesso impegno per dare sempre il meglio alla nostra utenza. Mi sento parte attiva della catena del soccorso e credo nel miglioramento constante della nostra professione.

Cosa potrebbe contribuire a uno sviluppo significativo della scena del soccorso in futuro?

Da un lato l’implementazione dei sistemi tecnologici che ci vengono sempre più in aiuto (ad esempio per la geolocalizzazione e la connessione video con il chiamante). Il riconoscimento federale del nostro titolo professionale, per cui ho contribuito facendo parte di alcune commissioni di lavoro, ha posto un tassello importante nella crescita della nostra figura professionale.

L’autore

L’intervista è stata condotta da Ilario Boldo. Boldo ha lavorato fino alla fine del 2022 presso la scuola specializzata superiore per le professioni di soccorso Schutz & Rettung Zürich ed è membro della Commissione di redazione della «star of life».

Bedingt und Busse für Schlag gegen RS

Ein 51­Jähriger, der einem Rettungssanitäter (RS) bei einem Einsatz in Winterthur einen Faustschlag ins Gesicht versetzt hat, ist zu einer bedingten Geldstrafe von 20 Tagessätzen à 30 Franken verurteilt worden. Während er diese Strafe auf Bewährung nicht bezahlen muss, hat er eine zusätzlich verhängte Busse von 300 Franken und Verfahrenskosten von 800 Franken zu begleichen. Das berichtete der «Tages­Anzeiger».

Der betroffene RS war im Sommer 2022 in einem Zweierteam und mit einem Notarzt zu einem zweijährigen Buben ausgerückt, der in einen Brunnen gefallen war. Der Knabe konnte reanimiert werden. Sein Vater wollte bei der Weiterversorgung im Rettungswagen dabei sein, was aber aus Platzgründen nicht möglich war. Dies erklärte der RS dem Mann und bat ihn, draussen zu warten – darauf schlug der Vater zu. sol.

Un homme de 51 ans qui avait donné un coup de poing au visage d’un ambulancier lors d’une intervention a Winterthur a été condamné à une peine pécuniaire avec sursis de 20 jours­amende à 30 francs. Alors qu’il ne doit pas payer cette peine avec sursis, il devra s’acquitter d’une amende de 300 francs et prendre en charge les frais de procédure de 800 francs. C’est ce que l’on pouvait lire dans le journal «Tages­Anzeiger».

En été 2022, l’ambulancier concerné était intervenu en équipe de deux avec un urgentiste pour porter secours à un garçon de deux ans qui était tombé dans un puits. Le garçon a pu être réanimé. Son père souhaitait assister à la suite de la prise en charge médicale dans l’ambulance ce qui n’était pas possible par manque de place. L’ambulancier a expliqué cette situation à l’homme en lui demandant d’attendre à l’extérieur – le père lui a alors assené un coup en guise de réponse. sol.

Neuer Aussenstützpunkt für Rettung Chur

Die Rettung Chur betreibt seit Dezember 2022 einen Aussenstützpunkt in Domat/ Ems, aber laut einer Medienmitteilung des Kantonsspitals Graubünden «nur» an Wochenenden und Ferientagen. Das zusätzliche Team steht an diesen Tagen während rund neun Stunden zur Verfügung. Laut Renato Moresi, Betriebsleiter des Rettungsdienstes, «erreichen wir dadurch die südlichen Gemeinden unseres Einsatzgebietes noch schneller als sonst, und auch in einzelnen Skigebieten wie Flims/Laax/Falera sind wir schneller vor Ort.» Der Stützpunkt befindet sich in den Räumlichkeiten der Hamilton Medical AG. Dort stehen dem Team neben dem gedeckten Parkplatz für die Ambulanz auch Büros sowie die gesamte Infrastruktur der Firmen­Cafeteria zur Verfügung. Der Stützpunkt Domat/Ems ist Teil der dezentralen Standortstrategie der Rettung Chur. Moresi: «Wir werden den neuen Standort bis und mit Ostern 2023 testen und Erfahrungen sammeln. Ziel ist, dass wir künftig die Betriebszeiten in Domat/Ems noch weiter ausbauen können.» sol.

Depuis décembre 2022, Rettung Chur exploite une base externe à Domat/Ems, mais selon un communiqué de presse de l’hôpital cantonal des Grisons, cela est «seulement» le cas le week­end et les jours fériés. L’équipe supplémentaire est à disposition durant près de neuf heures ces jours­là. Selon Renato Moresi, le responsable d’exploitation du service de sauvetage, «cela nous permet d’atteindre les communes du sud de notre région d’intervention encore plus rapidement que d’habitude et nous sommes aussi plus rapidement sur place dans certaines stations de ski comme Flims/Laax/Falera.»

La base est hébergée dans les locaux de la société Hamilton Medical AG où l’équipe dispose non seulement d’un parking couvert pour l’ambulance mais également de bureaux et de toute l’infrastructure de la cafétéria de l’entreprise. La base Domat/Ems fait partie de la stratégie de décentralisation des sites de Rettung Chur. Moresi: «Nous testerons le nouveau site jusqu’à Pâques 2023 pour acquérir de l’expérience. L’objectif est d’étendre à l’avenir encore davantage les heures d’exploitation à Domat/Ems.» sol.

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