CAP-CEL 2021-2022

LE CAP-CEL

Journal des étudiant.e.s en pharmacie de l’Université de Montréal

ASSOCIATION ÉTUDIANTE

CAPSULE HORS-SÉRIE AVRIL 2022 | volume 8

2021-2022

CAP-CEL, VOLUME 8

TABLE DES MATIÈRES EXÉCUTIF

CONSULTATIF

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28

09

AU REVOIR, AÉPUM Olivier Landry

SEIN DU CÉPPUM

LES JOIES DE LA TRÉSORERIE

Gabrielle Cataford

Cecilia Yip 10

30

NEW YEAR, NEW ME Julie Le

12

UN CHAPITRE QUI TIRE À SA FIN

DES BAS

MENT, HISTOIRES ET AMITIÉS

Alex Fong 36

UN BEAU RETOUR EN PRÉSENTIEL UNE ANNÉE INOUBLIABLE

25

LE PLAISIR DE S’IMPLIQUER Chloé Brochu

39

UNE ANNÉE À LA HAUTEUR DE MES ATTENTES

VOULOIR FAIRE UNE DIFFÉRENCE Maude Bourgault

38

Mélina Yip 22

UNE ANNÉE AVEC DES HAUTS ET

APPRENTISSAGES, ÉPANOUISSE-

Angelica Le 20

TOUTE CHOSE A UNE FIN Jenny Zhang

35

Laurie Fournier 17

AU COEUR DES MOTS Pénélope Legault

32

Manel Nedjari 14

LA FIN D’UN BEAU PARCOURS AU

BIENVENUE AU PILL PUB !

Juliette Gauthier

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L’IMPLICATION ÉTUDIANTE : UNE

Anne-Sophie Lapierre

PARTIE IMPORTANTE DU PARCOURS

TOUTE UNE ANNÉE POUR ÊTRE CVE -

ACADÉMIQUE !

PRISE 2 !

Clara Scattolin

Caroline Tremblay

Les textes sont signés et représentent l’opinion de leur.s auteur.e.s. La reproduction d’un ou des textes est acceptée sous la seule condition que la provenance soit inscrite sur la copie. Les textes et commentaires peuvent être envoyés à l’adresse courriel du Capsule : journalcapsule@gmail.com.

Dépôt légal - Bibliothèque et Archives nationales du Québec - Avril 2022

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CAPSI-UDEM

L’ÉQUIPE DU CAPSULE

Panteha Borzooeyan

RÉVISION ET CORRECTION : Anne-Sophie

UN INVESTISSEMENT INTÉRES-

Lapierre, Catherine Martin, Christine Phung,

SANT!

Edmond Semana, Iliya Dmitriev, Imène Ould-

Mian Gariup

Ramoul, Julie Leboeuf, Keffrey He, Léa-Mei

C’EST QUOI ÇA, LA « VIE ÉTU-

Savard-Lyth, Loïc Gagliardi, Marie-Lou Ouimet,

UN NOUVEAU CHAPITRE POUR

DIANTE » ?

Inès Belamri

Maxime-Olivier Beaulieu, My-Tiên Pham, Sissy Lee, Sophia Groghué, Thierry Nader, Valérie StCyr et Pénélope Legault.

MISE EN PAGE : Pénélope Legault

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CAP-CEL, VOLUME 8

Au revoir, AÉPUM PAR O LIVIER LAN DRY, pré side nt Par où commencer? C’est difficile d’écrire un CAP-CEL ; ça remet en perspective toute une année d’implication, d’anecdotes et d’histoires, de bons et moins bons coups, de nombreuses heures investies dans des rencontres de toutes sortes et de nouvelles amitiés. Ça me permet aussi de repenser aux raisons de mon implication et aux objectifs de cette dernière. Je vais couvrir dans mon CAP-CEL mon expérience à l’AÉPUM dans son ensemble, parce que je suis tellement reconnaissant de tout ce que cette expérience m’a apporté.

C’est fou de penser que ça fait déjà près de trois ans que je fais partie de l’association étudiante.

Je suis entré au comité humanitaire en première année, tout gêné et désireux d’améliorer des traits de personnalité qui me

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déplaisaient. C’est à travers des collectes mensuelles que j’ai développé tout d’abord des compétences d’organisation. Je me levais aux pauses des cours, un peu tremblant, et je demandais l’attention de tous.tes pour les inviter à mes collectes de fonds.

J’étais (un peu trop) insistant sur les réseaux sociaux, vous invitant et faisant des rappels pour que vous veniez faire un tour aux kiosques du comité humanitaire. Ça me tenait énormément à cœur et je voulais vraiment que les collectes fonctionnent. J’ai contribué à la rédaction d’un mémoire sur l’environnement en pharmacie, sujet qui est vite devenu un grand intérêt personnel. J’avais des projets ambitieux en tête, dont CommunAction, une initiative de bénévolat inter-associative dans les centres de soins de longue durée. Une de mes pre-

mières déceptions. La COVID frappe et ratisse des mois d’efforts en quelques semaines. Ça n’a pas été facile de laisser tomber ce projet, mais je me suis relevé. Ma première grande leçon à l’AÉPUM : tu n’as pas toujours le contrôle, et c’est bien correct.

J’ai fini mon mandat de président du comité humanitaire à distance, dans le brouhaha du début de pandémie. Je décide alors de me lancer dans le poste de VP et Représentant aux affaires externes. C’était un colossal début de mandat, le Congrès Général Annuel de la FAÉCUM est reporté, en ligne. J’apprends assez vite que la FAÉCUM à distance, ça joue plus rough dans les coins. Ç’a été une année de représentation des plus éprouvantes, avec des conseils centraux et des affaires socio-politiques qui pouvaient devenir tranchants

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par moments. On a débattu de sujets qui sont vite devenus des passions pour moi : la diversité, l’équité et l’inclusivité, la condition étudiante et toute la politique qui y est rattachée. J’ai aussi contribué cette année-là au lancement du Comité Ça Suffit, et j’ai co-rédigé un mémoire visant les conditions de l’enseignement à distance. J’ai mis sur pied avec William Boudreau des conférences portant sur l’environnement dans le milieu de la santé.

J’ai recommencé à faire tourner la grande roue du Mémoire sur la transformation du programme, projet endormi depuis 2015. Puis, le mois de mars est arrivé et j’ai pris la décision de me présenter à la présidence. C’est avec une boule dans la gorge que j’entre finalement en poste durant l’été.

Mais surprise, j’étais complètement brûlé. La dernière année en ligne, d’implication plus qu’intense, m’avait vidé de mon énergie et j’étais paralysé. J’avais lâché toutes les cordes en même temps, je n’en pouvais plus. Une deuxième leçon de l’AÉPUM : l’équilibre de vie, c’est pas juste un beau concept, il faut le mettre en application. L’association m’a appris que c’est important d’avoir un équilibre entre toutes les sphères, et qu’il n’existe pas seulement que le travail et tout le reste. C’est plurifactoriel et ça demande du temps que de com-

prendre comment arriver à un équilibre de vie sain. Je pense aujourd’hui que j’arrive à let go quand quelque chose me tire trop de jus, du moins beaucoup plus qu’auparavant. J’arrive à mettre tout en perspective.

La troisième année est arrivée beaucoup plus vite que je ne le pensais. On commence déjà durant l’été avec le projet annuel du Comité Ça Suffit : une boîte à outils pour sensibiliser aux réalités des peuples autochtones.

C’est après plusieurs mois de travail que ce projet arrive bientôt à terme. Puis, premier gros défi à l’association : le retour en présentiel. Peu de membres de l’AÉPUM avaient vécu l’implication en présence, alors ç’a pris beaucoup d’adaptation, beaucoup de temps, de logistique et énormément de travail de la part des membres pour vous apporter une vie étudiante diversifiée, malgré les mille et une contraintes que la COVID nous imposait. Remplir les formulaires COVID était un défi, louer une salle était une guerre, mais on y est arrivé. J’ai rencontré tous les membres en solo pour voir quels étaient leurs objectifs, et chaque fois, j’étais impressionné par leur désir de faire quelque chose de bien avec leur poste. Je suis extrêmement fier des projets que les membres et comités ont porté cette année, vous faites la différence et vos

initiatives font fleurir de vie notre beau programme.

J’avais de mon côté commencé un long processus de rédaction d’une Lettre ouverte à HémaQuébec et Santé Canada, critiquant les critères d’exclusion au don de sang, qui stigmatisent la communauté 2S/LGBTQIA+.

Des mois de révision ont finalement mené à la recherche de signataires auprès des associations étudiantes en santé et services sociaux du Québec. Plusieurs mois plus tard, plus de 40 associations étudiantes l’ont signée et je commence à l’envoyer. C’est avec une larme de joie à l’œil que je reçois une invitation de la directrice d’Héma-Québec, le 25 mars dernier, alors que de nouveaux critères entrent en vigueur la journée même. Je passe à la radio étudiante CISM89,3 FM afin d’en discuter.

Un autre beau projet a continué d’avancer : le Mémoire sur la transformation du programme (MTP). C’est en janvier que le comité de rédaction dévoile un brouillon du MTP aux étudiant.e.s, on récolte vos commentaires et on continue.

Une chance que cette équipe était dévouée, parce que c’est un projet colossal que d’essayer de modifier un programme aussi complexe que le Pharm.D. On a cherché et trouvé des colla-

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borateurs.trices et réviseur.e.s externes qui ont donné beaucoup de temps pour lire et annoter les quelque 50 pages de suggestions que nous avions rédigées. Un gros merci à toutes les personnes qui y ont participé. C’est un projet qui est loin d’être terminé, mais nous espérons le présenter au courant de l’année scolaire prochaine. Je suis extrêmement fier du travail accompli jusqu’à présent.

J’ai également eu la chance de siéger sur le conseil d’agrément de la faculté, privilège qui ne revient qu’aux quelques années.

J’y ai appris beaucoup d’informations d’arrière-scène. J’ai également pu représenter les étudiant.e.s, indiquant lorsque quelque chose ne fonctionnait pas pour nous au sein de la structure du programme. Ç’a également été l’occasion de garder l’oreille grande ouverte, afin d’analyser si les suggestions que nous portions avec le MTP se collaient bien au programme.

Puis, j’entre sur le conseil d’administration d’I.D.É.Action, une OBNL qui a pour but de former les pharmacien.ne.s sur l’inclusion, la diversité et l’équité en santé. J’y suis à titre de représentant étudiant au début, mais je m’y trouve rapidement un poste qui me tient à cœur et au sein duquel je continuerai certainement d’évoluer après mon mandat à

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l’AÉPUM. Avec I.D.É.Action, on organise des podcasts, des conférences, des webinaires, etc. qui sont accessibles aux étudiant.e.s et qui ouvrent le sujet de la diversité en santé.

Mon mois de mars en était un des plus rocambolesques. J’ai été invité au Grand Forum de l’APES, où j’ai eu la chance de discuter avec des professionnel. le.s inspirant.e.s et où j’ai pu écouter des conférences super pertinentes. C’était mon premier congrès en présence, et je me trouve chanceux d’avoir pu en vivre un avant la fin de mon mandat. Le jour de mon retour à Montréal de Québec, c’était le Vin & Fromage, et le lendemain de cette soirée, à 9h00am, vous pouviez me trouver en compagnie de quelques déléguées puckées, mais assez motivées pour vous représenter lors du Congrès Général Annuel de la FAÉCUM. Ce congrès permet entre autres aux associations étudiantes de voter pour le nouveau Bureau exécutif ainsi que pour les orientations de l’an prochain, alors notre présence était essentielle.

C’est avec le sourire (et une légère nausée), que les délégué.e.s ont répondu à l’appel, leur petit carton de vote rouge prêt à être brandi dans les airs en harmonie.

Ce mois de mars était un gros mois pour tous.tes les membres de l’exécutif. Notre santé men-

tale en a mangé un coup, et une chance que nous étions tous. tes là pour se soutenir, car je ne sais pas ce que nous aurions fait l’un.e sans l’autre. Mais maudine, on est passé.e au-travers de ce mois infernal, soulagé.e.s et fièr.e.s.

Puis les élections et l’assemblée locale, la semaine suivante, n’ont pas aidé à la condition de mon sommeil assez massacré. Il a fallu mettre à jour le cahier de position, la charte locale, et monter de toute pièce des questions aux candidats des élections, afin de les présenter à la soirée d’assemblée et de débat.

Cette soirée-là, Majd, un de mes bons amis since day one du Pharm.D., m’a fait une remarque qui a bien failli me faire brailler.

Il m’a rappelé qu’en première année, je tremblais à l’idée de parler devant notre cohorte et m’a fait remarquer à quel point j’étais devenu à l’aise devant un public. Il m’a dit qu’il était fier de voir comment j’avais évolué, et ç’a été un des plus beaux commentaires qu’on m’ait faits.

C’est à partir de ce moment que j’ai commencé vraiment à penser à mon CAP-CEL. Le Pharm.D. m’a formé académiquement, alors que l’AÉPUM m’a permis de m’épanouir à un niveau bien plus personnel. Pour cela, je suis hyper reconnaissant pour toutes les personnes qui m’ont soutenu,

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toutes les personnes avec qui j’ai eu le plaisir de travailler et toutes les personnes qui se sont impliquées à mes côtés. Vous avez changé ma vie. Troisième leçon de l’AÉPUM : sortir de sa zone de confort, c’est toujours payant.

Maintenant, c’est la partie hyper cheesy où je fais un petit mot pour mes girls d’exec, alors vous pouvez skipper si c’est pas quelque chose qui vous intéresse.

Julie, July pour les intimes. La chargée aux comms la plus souriante que l’AÉPUM a vu depuis la nuit des temps. Tu es un véritable petit rayon de soleil dans l’exec. Je t’ai vu t’épanouir dans ton poste et je crois que tu y as gagné beaucoup de confiance. Je suis choyé d’avoir pu travailler à tes côtés et je ne garde que de bons souvenirs de mon implication avec toi. Je me sens toujours bien en ta compagnie. Merci d’avoir ensoleillé mon quotidien dans la dernière année.

Ceci, the mother of the gang. Ton sens de l’humour est spot on.

C’est avec toi que j’ai vécu l’une des soirées les plus bizarres de ma vie, mais une chance que tu y étais. Tu as une personnalité des plus réconfortantes, et tu m’es extrêmement chère. Tu as été là pour moi dans des moments difficiles et tu es une personne charmante de par ton authenti-

cité. Dans ton poste, tu a rebâti la trésorerie de l’AÉPUM. Tu as été une trésorière rigoureuse, digne de confiance, tu as apporté plus de casual et de joie de vivre à l’exec. Merci d’être une amie honnête, t’es précieuse.

Manel, le petit ange du groupe.

Je t’ai vu t’ouvrir au groupe cette année. Je suis si heureux de t’avoir recruté pour le poste d’externe. Ta personnalité terreà-terre, ton sens de l’humour varié et ton assiduité font de toi quelqu’un que j’admire énormément. Je suis content de pouvoir continuer à m’impliquer avec toi aux Rencontre Maître Chez Vous de cet été et j’espère que nous continuerons de travailler ensemble par la suite, puisque tu es une coéquipière hors du commun. Merci d’avoir fait le saut avec moi dans l’exécutif et de m’avoir fait confiance.

Laurie, ma découverte et redécouverte. Je pensais t’avoir découvert l’an passé, et tu ne m’as que prouvé qu’il y avait bien plus à découvrir de toi. Nos soirées tard au local d’asso, à demi morts, les petites rides de char et nos longues discussions (disonsle, on faisait juste procrastiner) m’ont marqué. Depuis le début du Pharm.D., j’ai eu la chance de te voir évoluer, fleurir, et je suis si fier de la personne que tu deviens. Tu seras une pharmacienne incroyable, empathique et douce

comme tu es. Je dis douce, mais quand on apprend à te connaître, on se rend vite compte que tu es une bête de danse et que tu as un petit côté fou qui te rend d’autant plus charmante. Merci pour tous les beaux moments qui resteront gravés dans ma mémoire, tu as marqué mon Pharm.D. Anne-So, dévouée et travaillante sont les mots qui me viennent en tête quand je pense à toi. Ma petite boule de stress, qui a toujours de bonnes intentions et qui veut tellement bien faire. J’espère que tu retiens de l’asso à quel point tu as la capacité d’accomplir tout ce que tu désires. Tu es passée au travers de multiples obstacles tout au long de ton mandat, et chaque fois, tu te surpassais. Tu es une personne incroyable, ne l’oublie jamais. Merci pour ta bienveillance, tu m’inspire à me surpasser.

Mels, queen of everything. J’ai eu l’occasion cette année d’approfondir notre amitié. J’y ai découvert quelqu’un d’extrêmement drôle, willing et pleine d’énergie. Tu ajoutes toujours un peu de bonne humeur et de positivisme à une situation, tu es mon petit bonheur quotidien. Je suis chanceux de t’avoir dans ma vie et ne pourrai te remercier assez pour tout ce que tu as fait pour moi cette année. Dans ton poste, tu es quelqu’un de débrouillarde, d’attentionnée et de pétillante. Tu

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as permis à l’AÉPUM de récolter beaucoup plus d’argent que nous l’avions espéré et j’espère que tu en es fière. Merci d’être une amie sur laquelle je peux compter.

Angie, mon amour. Je veux commencer par dire que tu as été pour moi une base solide vers laquelle je pouvais toujours me tourner. Je ne sais honnêtement pas ce que j’aurais fait sans ton écoute attentive, tes conseils d’une sagesse réconfortante et tes petits câlins spontanés. Tu as travaillé extrêmement fort cette année, dans tes activités de base, mais aussi dans le dossier World Congress. Dans ton poste, tu es une vraie Boss Babe, organisée et leader positive. Quand tu as quelque chose en tête, tu fonces et tu vas le chercher. C’est inspirant. Merci d’être mon roc.

Et pour terminer, Caro, la femme de l’année. Wow wow wow, la meilleure CVE depuis des années. Tes deux mandats n’ont pas été faciles. Tu as fait face à la DI, monstre indomptable. Tu as réussi à organiser une multitude d’activités à distance et as répondu à l’appel dès que nous avions la confirmation que nous revenions en présentiel. Tu as gardé l’espoir du début à la fin

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que tu pourrais un jour faire ton Vin & Fromage et le jour venu, tu l’as géré comme si tu étais née pour ça. Tu as une détermination de fer et tu es la plus grande leader que je connaisse. Tu as géré une multitude de comités dans l’année, et je savais qu’ils étaient tous entre bonnes mains, alors que tu servais de personne-ressource presqu’omnisciente tellement tu connaissais les réponses à toutes leurs questions. Et avec la 6e vague qui fait son arrivée, tu es restée optimiste et courageuse.

Ta résilience m’a marqué. Merci d’avoir été un pilier invisible de l’association cette année, les étudiant.e.s ne savent pas à quel point ils/elles sont chanceux.ses de t’avoir eue comme CVE. Je veux également faire des mentions spéciales aux Gabrielles au carré. Vous êtes inspirantes dans le travail incroyable que vous avez réalisé cette année.

Votre impact est formidable et amène un vent de fraîcheur à l’association. Les pharmacien. ne.s à qui j’ai parlé me disent tous.tes : «Mon dieu, moi dans mon temps l’association c’était pas aussi big! Maintenant vous faites même un podcast, vous êtes vraiment hot.» Vous mettez

l’AÉPUM sur la map via vos initiatives et votre travail. Bravo!

Une autre mention spéciale à notre chère rédactrice en chef du Capsule, ma chère Penny. Tu as été des plus patientes tout au long de l’année. Je n’ai jamais vu quelqu’un d’aussi assidu et impliqué dans son travail. Le travail de toi et ton équipe est presque surréel tellement il est imposant, merci pour tout ce que vous avez fait cette année et pour la marque que vous laissez derrière vous.

C’est pas mal ce qui conclut mon CAP-CEL (une chance maudine j’ai jamais autant écrit pour un article). Au prochain exécutif, je vous souhaite de vous épanouir dans vos postes et d’y trouver des qualités qui étaient peut-être jusque-là cachées. Je ne serai jamais très loin l’an prochain, alors que j’occuperai le poste de président-sortant, et je serai heureux de vous voir évoluer au sein de l’association qui a changé qui je suis. C’est donc après avoir versé quelques larmes sur mon laptop que je peux dire : au revoir, AÉPUM.

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Les joies de la trésorerie PAR CECILIA YIP, tré so riè re Et me voilà déjà en train de compléter la fin de ma troisième année au Pharm.D. Cette période marque également la fin de mon mandat en tant que chargée à la trésorerie de l’AÉPUM. En prenant un regard vers l’arrière, cette année a été remplie de beaux souvenirs, de joie, de tristesse, mais surtout, de nouvelles expériences.

C’est maintenant le moment de me remémorer mes objectifs pour cette année. Tout d’abord, c’était un gros défi de redresser les comptes de l’AÉPUM, et j’aimerais remercier Mian Gariup, ma junior, pour son beau travail et son support. Je pense qu’après avoir passé plusieurs heures à redéfinir les comptes et à réorganiser le fonctionnement de la trésorerie, tous nos efforts ont mené à des résultats florissants.

Un autre de mes objectifs était de faire un budget juste et équitable en consultant les autres membres de l’exécutif et les comités pour

mieux définir leurs besoins. Pour ce faire, j’ai tenté de ramener les midis trésoreries ainsi que de faire des rencontres individuelles avec les responsables des budgets pour mieux comprendre leur situation financière. Évidemment, ces rencontres servaient également à partager nos rétroactions, ainsi que de présenter le fonctionnement de la trésorerie cette année.

Ah, les heures passées à vérifier et payer les remboursements et les factures, à monter les budgets et à participer aux rencontres!

Parfois, je me sens comme si la trésorerie était un jeu de Tétris : il faut rentrer tout dans un budget et il faut que ça soit beau! Les chiffres doivent avoir de l’allure et les sommes doivent toutes matcher, comme un casse-tête. Je pense qu’on a fait un beau travail lors du montage des budgets cette année, tout en considérant une valeur primordiale : la transparence.

Nous avons tout décortiqué pour

tenter d’expliquer le mieux possible aux étudiant.e.s toutes nos dépenses et pourquoi les cotisations étudiantes existent.

En parlant des étudiant.e.s, il était dans un autre de mes objectifs de pouvoir ramener les « Trucs de la Trésorerie » pour pouvoir partager aux étudiant.e.s des trucs et astuces sur la finance et comment sauver un peu d’argent dans leur poche. Je pense que ça a été grandement apprécié en général, mais j’aurais aimé m’investir davantage dans ce projet pour sensibiliser les autres à la finance. Peutêtre que ça serait un projet pour ma successeure!

Sur ce, j’aimerais prendre le temps de remercier tou.te.s mes collègues de l’asso d’avoir rendu cette année si mémorable, autant dans nos activités que dans nos CEL de 4 heures. Enfin, je vous souhaite à tou.te.s une très belle fin de session, et bien sûr, de la joie de vivre!

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New year, new me PAR JULIE LE, chargé e aux co mmunicatio ns Me voilà après une année remplie d’événements, de rencontres et de fous rires. Une année qui m’a tant sortie de ma zone de confort, mais qui m’a tant appris. Une année qui m’a fait grandir et m’épanouir.

Par où commencer? Deux semaines avant les élections, si on m’avait dit que j’allais faire partie de l’AÉPUM, je n’y aurais pas cru. C’est Laurie qui m’a recrutée. « C’est la dernière année avant les stages, on doit en profiter au maximum. C’est l’expérience d’une vie. » Puis, sur un coup de tête, j’ai décidé de prendre le poste de chargée aux comms et je n’en suis que reconnaissante de cette décision.

Le poste de chargé.e aux comms, c’est tellement de petits accomplissements réalisés dans le traintrain quotidien sur lesquels je ne m’attarderai pas tous, mais que

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j’espère que vous avez appréciés.

Cela commence avec la convocation, l’organisation, la documentation et l’archivage de toutes les rencontres, des CEL aux assemblées locales. À toutes les personnes qui ont voté les budgets, ont fait part des changements qu’iels souhaiteraient voir et ont discuté des enjeux qu’iels aimeraient défendre, merci pour votre présence, vos idées et votre point de vue.

Ce n’est pas tout, c’est aussi la gestion des réseaux sociaux.

D’abord, Facebook. Il s’en passe des messages sur Facebook! En prenant le poste de chargée aux comms, mon but premier était d’optimiser chacune des publications faites. Avec cet objectif en tête, j’ai fait des infolettres express hebdomadaires et j’ai instauré le calendrier mensuel

en page couverture du groupe commun pour vous donner un aperçu des événements du mois à ne pas manquer. Dans le même ordre d’idées, j’ai demandé aux exécutant.e.s de créer un événement Facebook pour leurs événements socioculturels. Tout cela s’est traduit en une diminution de publications de huit à trois par jour, une petite fierté personnelle.

Puis, qui dit réseaux sociaux, dit Instagram. Pour la page Insta de l’asso, j’avais envie de lui refaire une peau neuve. Dès mon entrée en poste, je me suis frénétiquement mis à suivre plein d’influenceurs et d’influenceuses pour m’inspirer sur ce que je voulais créer comme image pour l’AÉPUM. Colorée, moderne et mémorable, c’était cela ma vision pour la page. Je souhaitais uniformiser les publications et de vous mettre à l’avant. Des photos de

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nos victoires aux Interfacs aux stories des événements socioculturels, j’espère que vous, les 760 abonné.e.s, avez apprécié la nouvelle esthétique de la page Instagram.

En plus de vous créer du beau contenu, je voulais créer du bon contenu, passer des messages, et c’est ce que les réseaux sociaux m’ont permis de faire. Le Pharm.

D. nous enseigne à se dépasser, à viser plus haut, à aller plus loin, mais l’AÉPUM m’a appris à prendre du recul, à m’écouter, à trouver un équilibre de vie. C’est cela que j’avais envie de promouvoir cette année : la prise d’un instant, d’une pause, pour faire le vide et se recentrer sur soi-même.

Avez-vous participé au bingo du bien-être sur la page Instagram?

J’espère que cela vous a fait du bien et que vous continuez de prendre du temps pour vous tous

les jours. C’est dans le même esprit que j’ai eu l’idée d’organiser une conférence, ma foi populaire, sur les soins de la peau. Je voulais vous rappeler, malgré la fin de session, de prendre le temps de prendre soin de soi, de sa peau et d’en faire une routine. Au moment où j’écris mon CAP-CEL, la conférence n’a pas encore eu lieu, mais aux 140 personnes inscrites, j’espère que vous avez autant hâte que moi.

Finalement, mon projet coup de cœur : les publications « Démystifier ton asso » et la capsule PRN (Pour Rencontre Notre asso). Les réalisations de l’AÉPUM, je ne peux même plus les compter tellement il y en a et, dans cette capsule, je voulais prendre un moment pour souligner les magnifiques personnes derrière leur poste et leurs accomplissements. C’est aussi le pré-

cieux souvenir que je garderai de ma dream team de cette année. À Oli, Ceci, Angie, Meli, Manel, Caro, Anne-So, Lau, Penny, les Gab au carré et Maude, mes amours de l’exec et mes coups de cœur du consu, je ne trouve pas les mots pour exprimer ma reconnaissance de votre rencontre, de votre implication et de votre joie de vivre. Je n’aurais pas pu demander une meilleure équipe avec qui partager cette aventure.

On est la somme de nos expériences et de nos rencontres, alors merci pour vous et merci pour cette année.

Je termine avec une petite mention à Léa-Mei, tu es débordante d’idées, j’ai hâte de te voir aller et je n’ai aucun doute que tu seras merveilleuse dans le poste.

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Un chapitre qui tire à sa fin PAR MAN EL N EDJARI, chargé e aux affaire s exte rn es Ça passe vite! Cela fera bientôt officiellement une année complète depuis le début de mon mandat en tant que chargée aux affaires externes. Me présenter pour ce poste était tout un défi puisque je ne m’étais jamais impliquée au sein de l’AÉPUM ou de n’importe quelle autre association étudiante. Cela étant dit, je suis bien contente d’être sortie de ma zone de confort pour me lancer dans la campagne électorale, et une fois élue, dans tous les projets et défis associatifs. Ce poste m’a permis d’en apprendre beaucoup sur le rôle de l’AÉPUM, tout ce qu’elle fait pour les étudiant.e.s, et les challenges auxquels l’association fait face. J’ai pu voir ce qui se passe derrière la scène chez l’AÉPUM et la faculté, ce qui m’a donné encore plus d’appréciation pour toutes ces personnes qui travaillent fort à faire que notre parcours soit le meilleur qu’il puisse

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être. Évidemment, je ne peux pas parler de ce poste sans mentionner le fait qu’il m’a permis de rencontrer plein de personnes formidables et impliquées, avec plein de joie de vivre, qui ont enrichi mon mandat et ma vie. Sinon, sans plus tarder, je vous présente donc mon bilan de l’année.

Pour commencer, mon plus gros projet cette année était le Mémoire sur la Transformation du Programme (MTP). Ce mémoire regroupe des suggestions concernant différents aspects de la condition étudiante au Pharm.D. dans le but d’améliorer le programme, autant d’un point de vue professionnel/académique, qu’humain (par ex. santé mentale, inclusion, etc.).

J’avais participé à l’analyse des sondages faits aux étudiant.e.s de différentes cohortes l’année passée en tant que membre du GIPS (groupe en intérêt en politique de

la santé). Cette analyse nous avait permis de dresser un plan des différentes sections du mémoires et des différents points que l’on devrait aborder. Une fois élue, j’avais la charge du mémoire. La prochaine étape était la rédaction du mémoire que j’ai fait à l’aide de trois autres personnes, soit Oliver Landry (Président), Laurie Fournier (Chargée aux affaires académiques), et Pénélope Legault (Rédactrice en chef du Capsule). Le MTP a pris beaucoup plus de temps que prévu à rédiger. On avait initialement planifié de le finir pendant l’été, mais vu la grandeur du projet, cela nous a pris jusqu’à la fin du mois de décembre. Par la suite, le mémoire a été présenté aux étudiant.e.s pour récolter leurs commentaires et entamer la période de révision.

Je suis contente d’avoir réussi à mener à terme la rédaction de ce mémoire, dont l’idée traî-

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nait au sein de l’AÉPUM depuis quelques années déjà. Encore une fois, je tiens à remercier les personnes qui ont participé à la rédaction et à la révision. Les discussions entourant le MTP avec la faculté auront probablement lieu pendant l’été ou l’année prochaine. J’ai hâte de voir les différents points qui seront soulevés lors de ces discussions et l’impact sur le programme et la condition étudiante au Pharm.D. Par la suite, un autre projet du GIPS assez populaire est le PharmActualité. Cette capsule d’information publiée le premier lundi de chaque mois présente un top 5 de nouvelles en santé du mois. Avec la quantité immense d’informations à travers laquelle il faut naviguer, ainsi que la désinformation qui peut parfois s’y retrouver, ce n’est pas toujours facile de rester à jour, surtout en tant qu’étudiant.e! Il reste important de le faire, surtout en temps de Covid. Après tout, il n’est pas anodin qu’un.e patient.e vienne nous poser une question sur quelque chose qu’il/elle a lu en ligne, et il faut savoir y répondre.

Le PharmActualité, que je rédige à chaque mois, vient donc aider les étudiant.e.s à rester à jour sur les nouvelles les plus importantes du mois en santé et en pharmacie.

Cette initiative a été commencée l’année passée. Je suis donc très contente d’avoir pu offrir aux étudiant.e.s une deuxième année

du PharmActualité.

Dans ce même ordre d’idée, il m’a fait plaisir d’informer les étudiant.e.s sur les modalités de vote pour les élections fédérales et municipales. Notamment en collaboration avec la chargée aux communications, Julie Le. Sinon, j’ai aussi eu la chance de représenter les étudiant.e.s auprès de différentes instances universitaires et professionnelles.

Notamment, j’ai pu représenter notre association lors des différents conseils centraux ainsi que lors des conseils socio-politiques de la FAÉCUM (Fédération des associations étudiantes du campus de l’UdeM). J’ai d’ailleurs pu donner des entrevues à différent.e.s candidat.e.s se présentant pour des postes au sein de la FAÉCUM pour la prochaine année. C’était la première fois que je donnais des entrevues, ce fut une belle expérience très enrichissante. J’ai aussi pu être la représentante étudiante du comité ÉDI (équité, diversité, et inclusion) de la faculté. Cette expérience m’a permis de voir les différents efforts et initiatives faits au sein de la faculté afin de rendre le programme plus inclusif. Ce comité a donné fruit à de belles discussions, ainsi que plein de bonnes idées, et j’ai hâte de voir le fruit de tout ce travail dans les prochains mois et les prochaines années.

Finalement, j’ai aussi eu la chance de participer à une multitude d’autres projets, que ce soit faire de la recherche pour la lettre ouverte à Héma-Québec ou encore participer à la rédaction d’une lettre pour Mme McCann sur le travail des étudiant.e.s dans les pharmacies communautaires en pandémie lors de l’été 2020.

J’ai particulièrement apprécié les projets faits avec le Comité Ça Suffit. Notamment, il y avait la rédaction et révision de différents contenus pour des publications fait dans le cadre du Mois de l’Histoire des Noir.e.s. Il y a aussi la rédaction et révision de contenu pour la boîte à outils sur les peuples autochtones, j’ai très hâte que celle-ci soit complétée et partagée aux étudiant.e.s. Ces différents projets m’ont permis d’en apprendre beaucoup sur différents sujets et différentes ressources, le tout étant très enrichissant.

Encore une fois, je suis très reconnaissante d’avoir eu l’opportunité de compléter ce mandat en tant que VP et chargée aux affaires externes de l’AÉPUM. Je suis fière de tous les projets que j’ai pu accomplir et ravie d’avoir rencontré autant de personnes inspirantes. C’est avec un grand sourire que je termine mon mandat et j’ai hâte de voir les beaux projets que mènera l’AÉPUM l’année prochaine :)

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Apprentissages, épanouissement, histoires et amitiés PAR LAURIE FO URN IER, chargé e aux affaire s acadé mique s Dans les dernières semaines, j’ai beaucoup encouragé les membres du CEL de l’AÉPUM à écrire leur CAP-CEL. « Faites-le! Vous allez voir, c’est agréable. » La vérité c’est que c’est agréable à lire une fois que c’est écrit. L’écrire, c’est une autre paire de manches. C’est difficile de faire un retour sur une année complète d’implication ; de se remémorer le beau comme le moins beau et de revivre un peu les émotions qui s’y rattachent.

C’est donc avec beaucoup de nostalgie, mais aussi de fierté et de reconnaissance que je me lance.

Quand j’ai décidé de m’impliquer comme présidente du comité humanitaire il y a maintenant deux ans, c’était un peu un saut dans le vide. Puis, quand je me suis présentée pour le poste de chargée aux affaires académiques avec un an d’expérience à l’AÉPUM, je m’imaginais savoir un peu plus

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dans quoi je m’embarquais. Vous avez sûrement déjà deviné la suite de l’histoire : à vrai dire, je n’en avais qu’une idée très floue! Bien sûr, c’est difficile de s’imaginer à quoi vont ressembler les tâches du poste au quotidien, mais surtout, ce que je n’aurais jamais pu anticiper, c’est à quel point cette implication transformerait ma troisième année au Pharm.D. et, par le fait même, la personne que je suis.

Commençons avec l’été 2021. On m’avait avertie : l’été est un moment occupé pour l’ACAD parce qu’elle doit préparer l’année scolaire à venir et le programme de parrainage. Par contre, je ne me doutais pas que j’aurais à jongler en plus avec un stage en juillet et des difficultés personnelles.

J’estime important de nommer ce moment un peu plus sombre, car on a parfois l’impression que les

personnes dans l’asso sont toujours en contrôle. Bien entendu, nous vivons des moments plus difficiles comme tout le monde et, dès le début de mon mandat, j’ai dû composer avec cette réalité. J’ai alors décidé de voir mes tâches d’ACAD comme une façon de me changer les idées, et cette vision m’a guidée tout au long de la dernière année. Durant l’été, j’ai donc réussi à procéder au recrutement des parrains et marraines, puis au jumelage avec les nouveaux admis et nouvelles admises au programme en m’adaptant aux listes d’étudiant.e.s qui étaient constamment mises à jour.

Pour cette dernière tâche, j’ai reçu un bon coup de pouce de MarieLou et de Mikhail-Paul que je remercie. Je tenais à procéder au jumelage durant l’été pour que les filleul.e.s puissent discuter avec leur parrain ou leur marraine avant

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la rentrée et que leurs questions et inquiétudes soient répondues.

Pendant le congé estival, j’ai également recruté douze moniteurs et monitrices que j’ai accompagnés tout au long de l’année dans les séances de monitorat pour les 1re, 2e et 3e année du Pharm.D. Une fois la session débutée, les différentes instances ont repris leurs rencontres. Au niveau facultaire, sous-comité pédagogique, comité des études, comité conjoint, focus group, comité d’agrément et d’autres rencontres informelles ont rempli mon agenda. Des enjeux de fonds autant que des questions plus praticopratiques y ont été traités, et j’y ai apporté le point de vue étudiant et les bons coups de notre association étudiante. Au niveau universitaire, les conseils des affaires académiques de la FAÉCUM m’ont permis d’échanger avec les ACAD de plusieurs programmes de l’UdeM. Bien sûr, le retour en présentiel à la session d’automne, le retour en ligne au début de la session d’hiver et l’application des mesures sanitaires évoluant constamment ont été des thèmes importants lors de toutes ces rencontres et ont grandement teinté mon mandat. J’ai d’ailleurs reçu beaucoup de questions d’étudiant.e.s à ce sujet, car évidemment toute cette incertitude nous a apporté son lot de stress.

Et oui, le rôle de l’ACAD c’est

aussi de répondre à des questions et inquiétudes de toute sorte. Cela a été un réel plaisir d’échanger avec vous et d’avoir pu être une ressource.

C’est aussi la mission du comité Ça va d’organiser des activités pour le bien-être psychologique de la communauté étudiante. Ce comité, que j’ai chapeauté cette année avec la CVE, Caroline, et nos adjointes Marie-Lou et Inès, n’a pas été aussi présent que je l’aurais souhaité. Nous avons dû nous adapter à un calendrier d’événements déjà très chargé et parfois condensé et nous craignions qu’ajouter des activités à celui-ci augmente encore davantage le stress de certaines personnes. D’ailleurs, permettez-moi de vous faire part d’une de mes réflexions à ce sujet. Plusieurs personnes écrivent dans le CAPCEL qu’elles se sont dépassées dans leur poste, ce qui, bien sûr, est admirable. Par contre, cette année, j’ai envie de dire que j’ai appris à ne pas trop me dépasser, à mettre mes limites. Comprenezmoi bien, j’ai fait beaucoup d’efforts durant mon mandat, mais j’ai aussi fait le travail constant de ne pas toujours chercher à en faire plus. Alors le comité Ça va ne s’est peut-être pas dépassé cette année, mais je pense que ce qu’il a fait était amplement suffisant et surtout, adapté au contexte. Ainsi, nous avons notamment organisé

des séances de zoothérapie et de yoga sur l’heure du dîner et nous avons relancé les étud-o-thons en présentiel qui étaient tout autant, sinon plus populaires qu’avant la pandémie.

En bonne multi-task que je suis, durant mon mandat, j’ai également contribué aux projets de mes collègues. D’abord, la rédaction et à la révision du Mémoire sur la transformation du programme m’ont occupé un peu tout au long de l’année. Je me suis également impliquée au sein du comité Ça suffit pour le Mois de l’histoire des Noir.e.s et la conception de la Boîte à outils sur les peuples autochtones.

Finalement, je dirais qu’avant d’être ACAD, je suis une personne qui aime aider alors mon mandat a aussi été ponctué de petites implications diverses, que ce soit pour répondre aux questions de Maude, présidente du comité humanitaire, pour épauler Chloé, présidente du comité vert, dans ses projets ou tout simplement pour transporter des dizaines de caisses de Guru lors de leurs livraisons.

Que serait un CAP-CEL sans quelques remerciements quétaines? Merci à Caro pour tous les allers au Costco pour acheter les collations des étud-o-thons dont tu n’as même pas pu profiter. Monter des projets à tes côtés

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a été un réel bonheur. Merci pour ton enthousiasme et ton dévouement. Merci aussi d’être devenue mon amie à travers cette aventure. Merci à Marie-Lou d’avoir apaisé certains de mes doutes et de m’avoir enlevé une charge des épaules lorsque nécessaire. Merci à Inès d’être toujours si partante.

Votre contribution au comité Ça va a été précieuse. Merci à Oli pour tous les lifts de fin de soirée, les longs moments de réflexion/ étude/procrastination au local d’asso et les discussions autour d’un (ou plusieurs) verre(s).

Merci pour ton support, ton écoute et tes précieux conseils, autant à titre de président que d’ami. Merci Anne-So et Julie d’avoir embarqué avec moi dans cette folle aventure (Aviez-vous

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vraiment le choix?) et d’avoir été des collègues et amies inestimables à chaque étape. Merci à toi, Penny, d’avoir occupé le rôle de rédactrice en chef du Capsule avec toute ta bienveillance, ta rigueur et ton enthousiasme. Merci aux représentant.e.s de classe pour votre dévouement ; collaborer avec vous a été un réel plaisir. Merci à toutes et à tous les membres du CEL de l’AÉPUM d’avoir donné le meilleur de vous malgré les défis. Merci à tout.e.s les participant.e.s de nos activités ; ça fait du bien de ne pas être seule à manger trop de collations au S1-151 lors d’un étud-o-thon qui tombe mal parce que finalement toutes les cohortes ont des cours en ligne cette journée (fait vécu). Finalement, merci à la

gang de l’exec. Je n’essaierai pas de mettre des mots sur ce qu’on a vécu, car c’est indescriptible.

Alors tout simplement merci pour tout ça. Je vous aime fort.

Aux prochain.e.s membres du CEL de l’AÉPUM, je vous souhaite autant d’apprentissages, d’épanouissement, d’histoires et d’amitiés que m’a fait vivre mon implication des deux dernières années. Alors, Chloé, c’est avec le cœur gros, mais aussi avec le sentiment du devoir accompli que je te passe le flambeau. Tu as toute ma confiance, car je sais que tu y mettras ton cœur. Sache que je resterai toujours disponible pour t’épauler au besoin.

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Un beau retour en présentiel PAR AN GELICA LE, re pré se ntante se nio r aux affaires de l’ACEIP/CAPS I Après 3 ans en tant que chargée aux affaires de l’ACEIP/CAPSI à l’UdeM, mon mandat prend déjà fin. C’était un mandat comme nul d’autre! Après une année complète à distance, le retour s’est avéré assez difficile, mais on a travaillé fort pour promouvoir les valeurs de CAPSI et pour organiser de beaux événements pour tous.tes les étudiant.e.s!

CAPSI national L’une de mes tâches en tant que représentante CAPSI sénior est de représenter les membres de l’AÉPUM Pharm.D.-QeP au niveau national. Le conseil exécutif national ainsi que les représentants locaux des 10 facultés de pharmacies canadiennes se rassemblent plusieurs fois par année via Zoom (ou en présentiel) afin de discuter des divers projets pan-

canadiens. En temps normal, les représentants ainsi que le conseil se rencontrent 2 fois par année: en été suite à l’élection des nouveaux membres ainsi qu’en hiver lors du PDW-SDP, le congrès annuel canadien pour les étudiant.e.s en pharmacie.

J’ai donc débuté mon mandat de représentante sénior lors de la rencontre d’été qui m’a donné l’occasion de rencontrer plus de 30 étudiant.e.s de partout au Canada impliqué.e.s pour la défense des intérêts des étudiant.e.s et la promotion de la pharmacie. À cette occasion, nous avons discuté de divers enjeux touchant les étudiant.e.s en pharmacie, notamment la santé mentale lors de la pandémie, du budget, des bénéfices aux membres, des compétitions locales ainsi que nos nouveaux partenaires. À cause de la pandémie, nous avons aussi eu

une discussion sur le déroulement du SDP-PDW qui était prévue pour janvier 2022. Après avoir discuté des risques ainsi que des pertes possibles, nous avons décidé de reporter le PDW Saskatoon à janvier 2023, puis le PDW Toronto à janvier 2024. Afin de remplacer le PDW annulé, nous avons organisé une conférence virtuelle. Bridging the gaps donne l’occasion aux étudiant.e.s en pharmacie de rencontrer d’autres étudiant.e.s à travers le pays via des jeux et des débats et d’en apprendre davantage sur des sujets qui ne sont pas souvent explorés dans les cours au programme.

CAPSI national offre aussi divers sous-comités qui sont composés des représentant.e.s locaux. les ainsi que des membres qui sont intéressé.e.s à s’impliquer au niveau national. J’ai participé au comité site internet, comité de

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traduction, comité MSTP (Mois de la sensibilisation du travail en pharmacie), comité des membres et des communications, et le comité de la défense des intérêts et des affaires professionnelles et de bien-être. Cette année, il y a eu plusieurs projets afin de promouvoir le bien-être des étudiant.e.s en pharmacie des 10 facultés, notamment les fameuses semaines de bien-être où nous avons offert diverses activités dont des cours de cuisine et d’art. Il y a aussi eu plusieurs concours et infographies qui ont été partagés sur notre page instagram! Le comité de traduction assure que toutes les publications sur la page instagram ainsi que le site web officiel de CAPSI soient disponibles autant en anglais qu’en français.

CAPSI local En tant que représentante sénior, j’organise divers événements au niveau local pour les étudiant.e.s de l’UdeM. Je travaille conjointement avec ma représentante junior Panteha Borzooeyan et la secrétaire CAPSI, Florence BédardPerrault. En début d’année, nous avons accueilli les premières lors de la journée d’accueil en leur présentant qu’est-ce que c’est le CAPSI et les avantages d’en être membre. En début d’année, notre plus grande tâche était les remboursements CAPSI. Vu que

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l’année dernière nous avons intégré les frais CAPSI à la cotisation étudiante, nous avons dû rembourser tous les étudiant.e.s qui ont souhaité se désister. La majorité des étudiant.e.s du Pharm.D.QeP sont donc actuellement membres CAPSI. Ceci permet aux membres d’avoir accès à tous les bénéfices notamment les événements pancanadiens, les rabais ainsi que les compétitions locales et nationales.

Panteha et moi avons décidé de garder les compétitions de façon virtuelle afin d’augmenter la participation des étudiant.e.s. Nous avons donc organisé l’entrevue pharmaceutique, entrevue MVL, compétition littéraire et le Guy Genest.

Cette année, au mois de mars, nous sommes finalement de retour en personne pour le MSTP. Pour lancer l’événement, nous avons organisé le «Speed Dating» avec la MPA. C’était une belle opportunité pour que les étudiant.e.s puissent poser toutes leurs questions sur le programme MPA, la transition de Pharm.D. à MPA, les différentes spécialités et les stages. L’événement s’est bien déroulé, mais en rétro-action les étudiant.e.s ainsi que les résident.e.s ont souhaité avoir plus de temps de discussion. Les commentaires ont été notés, et nous travaillerons fort pour l’adapter l’année prochaine! Nous avons

aussi organisé un photoshoot ainsi qu’un vox-pop qui a été organisé par notre chère représentante junior, Panteha. Nous avons aussi offert un midi-conférence mené par GSK : Gestion de la douleur et le Diclofénac topique.

Les étudiant.e.s ont bien apprécié l’événement, qui a été le plus populaire chez les premières et les deuxièmes années. Nous avons aussi organisé plusieurs ventes de « merch » de pharmacie soit des tasses, des tote bags et des autocollants!

Cette année, nous avons travaillé sur un nouveau projet, le Congrès Mondial 2024. Ce dernier est un congrès annuel organisé par l’un des nombreux pays du IPSFFIEP. Le Congrès mondial est un congrès international de 7-10 jours, de style PDW-SDP (comme celui à Montréal en 2020).

Cependant, cette fois, nous souhaitons accueillir des étudiant.e.s du monde entier. Durant l’événement, nous voudrions présenter plusieurs activités, comme des symposiums, des ateliers, des événements de perfectionnement professionnel, des campagnes de santé publique et des événements sociaux pour faire connaître davantage le Québec et plus particulièrement, Montréal. Suite à la présentation de notre candidature contre l’autre ville candidate, soit Vancouver (Université de la Colombie-Britannique), Montréal

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a été choisie pour représenter le Canada au niveau international.

En mars dernier, j’ai été élue en tant que présidente du comité de réception du Congrès Mondial 2024. Je travaille présentement avec mes collègues, Mélina Yip, notre secrétaire générale, ainsi qu’Olivier Landry, notre chargé aux affaires logistiques, pour combler le restant du comité de réception et pour monter la candidature du Canada contre les autres pays candidats.

Après trois ans au sein de CAPSI, j’ai eu la joie de rencontrer et de travailler avec des étudiant.e.s de partout au Canada mais surtout avec mes collègues de l’exécutif. Le retour en présentiel a été difficile, mais à l’aide d’Olivier, Mélina, Cécilia, Laurie, Julie, Anne-so, Caro et Manel, cette dernière année ne pouvait pas être meilleure! Je suis tellement contente de vous avoir rencontré.

Let’s finish it with a bang! #joiedevivre

Félicitations J’aimerais terminer en félicitant Panteha Borzooeyan qui a reçu le vote de confiance du conseil exécutif et consultatif de l’AÉPUM pour devenir la représentante sénior 2022-2023. Ça a été un vrai plaisir de travailler avec toi cette année! Je ne m’inquiète aucunement pour ton mandat l’année prochaine, surtout avec Florence à tes côtés! Vous allez être une équipe de feu!

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Une année inoubliable PAR MÉLIN A YIP, chargé e aux a ffaire s co rpo rative s Me voilà enfin rendue à la fin de ma 3e année au Pharm.D. ! Avant que la fin de session approche, je voulais prendre cette opportunité afin de faire le point sur l’année qui vient de passer. En fait, il s’agissait de ma première année d’implication dans l’AÉPUM. Je suis passée proche de ne pas appliquer pour un poste dans l’association et de ne pas m’impliquer.

Cependant, après plusieurs longues discussions avec des ami.e.s. qui avaient de l’expérience antérieure dans l’association et quelques jours de réflexion, j’ai décidé que je ne pouvais pas manquer cette opportunité pour me plonger dans une nouvelle expérience qui me ferait sortir de ma zone de confort. Depuis ce temps, malgré mes appréhensions de débuter un nouveau poste, les défis et obstacles que nous avons dû surmonter, je n’ai jamais regretté ma décision de m’impliquer.

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Aujourd’hui, presque 1 an après, j’ai de la difficulté à imaginer mon parcours sans l’AÉPUM. Maintenant, penchons-nous davantage sur mon expérience en tant que chargée aux affaires corporatives. Cette année a été remplie de haut et de bas, cependant, nous en sommes ressorti.e.s gagnant.e.s, si je peux me permettre la supposition! S’il fallait que je décrive mon mandat en un mot, je dirais « adaptation ».

Malgré l’amélioration de la situation de la COVID-19 à l’été 2021, le déroulement et les consignes concernant les activités parascolaires en présentiel demeuraient incertains. Ainsi, j’ai dû prendre des décisions sans trop avoir tous les détails et m’adapter au fur et à mesure que les consignes sanitaires sortaient.

Débutons d’abord par les commandites. Les étudiant.e.s ne sont

pas toujours conscients que l’organisation de la grande majorité des événements au Pharm.D., ainsi que l’accès à plusieurs ressources à leur disposition viennent des commandites. À chaque année, le ou la chargé.e aux affaires corporatives s’assure de maintenir et d’établir des nouvelles commandites avec les partenaires actuels et futurs de l’AÉPUM afin de financer les évènements sociaux-culturels ainsi que les dépenses pratiques pour satisfaire aux demandes des étudiant.e.s (ex. le fameux Vins et Fromages, mais aussi la formation RCR et les licences pour RxVigilance). Du coup, me voilà face à mon premier défi du mandat. En effet, certains partenaires de l’an passé étaient réticents à nous commanditer encore une fois en raison du faible taux de participation et d’interaction étudiante.

Ainsi, alors que cela me rendait légèrement inconfortable, j’ai dû

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enfiler mon chapeau de négociatrice et tenter d’être suffisamment convaincante et confiante afin de persuader les partenaires d’établir les ententes malgré la possibilité d’événements en ligne. En fin de compte, je crois que j’ai réussi à surmonter ce défi en recrutant la majorité des anciens partenaires de l’AÉPUM ainsi que certains nouveaux partenaires, ce qui m’a permis d’amasser assez d’argent pour que les divers évènements aient lieu éventuellement en présentiel.

Une autre de mes tâches en tant que chargée aux affaires corporatives étaient d’organiser les midi-conférences en collaboration avec les partenaires. En effet, durant ceux-ci, les étudiant.e.s ont eu la chance d’apprendre davantage sur divers sujets financiers, comme entre autres, la gestion de leur finances, les investissements, les prêts et bourses d’études, les assurances, ainsi que l’achat d’une propriété et d’une pharmacie. Les premiers midiconférences en début de session se sont déroulés en ligne (sur la plateforme TEAMS). Malgré la promotion que j’ai faite, le taux de participation demeurait faible.

Cependant, lorsque nous avons eu le feu vert pour les évènements en présentiel, j’ai été agréablement surprise par la participation étudiante. Le St-Houblon est devenu le nouveau St-Hubert :)

Quoi dire de la journée carrière, cette tradition qui revient d’année en année dans la Faculté de pharmacie. En effet, elle se définit par une journée où divers acteurs et actrices qui proviennent de plusieurs différents milieux de la pharmacie (ex: communautaire, hospitalier, industrie, humanitaire, …) sont convoqué.e.s, habituellement à l’agora du pavillon Jean-Coutu, afin de présenter leurs rôles et d’échanger avec les étudiants. Initialement, j’ai planifié de ramener la journée carrière de nouveau en présentiel cette année. Malheureusement, en raison de la vague d’Omicron, cela n’était plus possible. J’ai dû m’adapter rapidement afin de replanifier un événement en ligne.

Je veux prendre cette opportunité de remercier ma prédécesseure, Marie-Laurence, qui a organisé la première journée carrière en ligne et m’a laissé un modèle impeccable à suivre pour la planification. La journée carrière est l’événement qui a nécessité le plus de mon temps et d’attention lors de mon mandat. Malgré le stress et l’anxiété que la planification m’a causé, je ne changerais rien, car c’est quelque chose qui me tient particulièrement à cœur. En effet, il s’agit d’une opportunité en or pour les étudiant.e.s de découvrir les différents milieux et avenues qui s’offrent à elles et eux autant en tant que futur.e pharmacien.

ne, qu’en tant qu’étudiant.e en pharmacie. De là, les étudiant.e.s ont une première exposition qui leur permet de s’orienter sur leur future carrière. C’était un de mes objectifs prioritaires, en début de mandat, de planifier une journée carrière à la hauteur de ce qui a été fait les années précédentes, ce que je crois avoir accompli, malgré les défis rencontrés.

Enfin, voici un bref aperçu de mon parcours en tant que chargée aux affaires corporatives. C’est difficile de décrire tous les hauts et les bas d’une année dans l’exécutif en un article, cependant, je crois que j’ai touché l’essentiel.

Je termine mon mandat avec un sentiment d’accomplissement que je crois justifié par tous mes efforts et ma résilience à travers toutes les épreuves surmontées. Je ne pourrais pas conclure ce CAPCEL sans mentionner les autres membres exécutifs de l’AÉPUM. Sans l’aide et l’encouragement de chacun et chacunes d’entre eux, je n’aurais jamais pu passer à travers mon mandat. Je termine mon année avec des souvenirs et des acquis qui resteront gravés à tout jamais. Finalement, je passe le flambeau à mon junior, à qui je fais complètement confiance pour continuer le travail de l’ensemble de l’AÉPUM avec les autres futur.e.s membres!

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Une année à la hauteur de mes attentes PAR AN N E-S O PH IE LAPIERRE, chargé e aux affaires i nte rne s C’est dans ma chambre, un jeudi soir à 22h30, sur un serveur discord lors d’un 5@7 virtuel que j’ai décidé de me présenter pour le poste de chargée aux affaires internes. Les élections générales étaient bien entamées et je n’avais aucunement l’intention de poser ma candidature pour un poste de l’exécutif. Certes, l’implication étudiante m’intéressait, mais loin de moi l’idée de viser un poste qui semblait hors de mon champ de compétence!

C’est ma prédécesseure, Daphné, qui a fait germer l’idée en moi en me parlant de son poste. Ce sont mes amies, Julie et Laurie, qui m’ont fait remarquer que je serais une bonne candidate pour le poste. C’est ma grande amie Pénélope qui m’a encouragée à sortir de ma zone de confort.

C’est mon ami Olivier, président de l’AÉPUM, qui m’a inspirée.

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Toutes ces magnifiques personnes ont eu un impact significatif sur ma décision, et je leur en suis reconnaissante ! Cette année a été remplie de défis, mais je la finis avec beaucoup de fierté et un sentiment d’accomplissement.

Le poste de chargé.e. aux affaires internes s’appelait autrefois «chargé.e. au conseil de Faculté».

Ainsi, la personne qui occupait ce poste se devait de se présenter tous les mois au Conseil de la Faculté pour représenter les intérêts des étudiant.e.s. Cette tâche fait toujours partie des objectifs de mon poste, et ça a été mon honneur d’assister à ces rencontres mensuelles. Durant mon mandat, le processus de nomination d’un.e nouveau/nouvelle doyen.ne de la Faculté de pharmacie a été entamé. J’ai pu prendre part aux discussions concernant le futur de notre faculté, et j’ai également

donné mon opinion concernant les valeurs, idéologies et expériences que je trouvais pertinentes pour les candidat.e.s à ce poste.

Comme vous pouvez le deviner, avec le changement de nom du poste, de nouvelles responsabilités s’y sont rattachées. En effet, le rôle de la personne chargée aux affaires internes a évolué au cours des dernières années. J’aime décrire mon poste comme un patching work : plein d’objectifs tous aussi différents les uns des autres!

Je me suis occupée de l’organisation de la journée d’accueil des nouveaux/nouvelles étudiant.e.s du Pharm.D-QeP. Il m’a fait plaisir de travailler en collaboration avec la faculté pour offrir un accueil chaleureux à mes collègues.

L’organisation d’une telle journée a présenté de nombreux défis ; c’était la première journée en pré-

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sentiel depuis plus d’un an (!!!).

Nous avons travaillé d’arrachepied pour offrir des activités qui respectaient les consignes de la santé publique. D’ailleurs, Martin Gendron et moi-même avons dû nous appeler 48h avant l’événement pour rédiger un protocole sanitaire (les joies de la COVID).

Traditionnellement, il y a deux journées d’accueil ; en raison de la situation actuelle, nous avons dû faire des choix et condenser les activités en une seule journée.

Afin d’offrir plus de visibilité à l’AÉPUM et faire la promotion des postes qui seront à combler aux élections, j’ai organisé le tout premier dîner-kiosques de l’AÉPUM. Cet événement permettait aux membres actuels de l’association de faire la promotion de leur comité et de recruter des bénévoles pour l’année à venir.

J’ai également organisé la vente de vêtements pour les membres de la Faculté de pharmacie. J’ai révisé le catalogue de l’année dernière pour offrir des produits et des couleurs qui plaisent à tous et à toutes. Je suis bien heureuse des ajouts que j’ai effectués (les sacs en toile ont été très populaires auprès des étudiant.e.s et des membres de la faculté). La distribution des vêtements m’a posé un peu plus de problèmes ; tout d’abord, les commandes ont été retenues à Vancouver en raison des glissements de terrain qui ont

eu lieu à l’automne dernier. Puis, elles ne pouvaient pas être livrées à l’Université puisque celle-ci était fermée durant le mois de janvier ! Nous avons finalement reçu les 18 boîtes contenant près de 180 commandes, et mes collègues de l’association m’ont aidé à les distribuer. Une autre nouveauté de cette année est la vente d’un chandail exclusif pour les membres de l’AÉPUM. Plusieurs autres associations étudiantes offraient à leurs membres l’option de s’acheter un chandail avec leur nom ainsi que le nom de leur poste brodé. Je souhaitais offrir ce choix à mes collègues ; c’est une belle façon d’augmenter notre sentiment d’appartenance à l’AÉPUM. La personne occupant le poste de chargé(e) aux affaires internes chapeaute et supervise les activités du Comité Ça suffit. Je ne vous cacherai pas que j’étais plutôt fébrile à l’idée d’occuper cette position ; étant une femme blanche d’un milieu de vie favorisé, je voulais m’assurer de laisser la place aux personnes issues de minorités afin qu’ils/elles puissent partager les différents enjeux auxquels ils/elles font face.

Le comité Ça suffit a travaillé sur plusieurs projets diversifiés au courant de l’année. Une boîte à outils sur les peuples autochtones est toujours en cours de rédaction et devrait être prête au courant des prochains mois. De plus,

nous avons amassé 234$ lors de la vente de vêtements pour le Centre d’amitié autochtone de Montréal.

Finalement, le projet qui a suscité le plus d’engouement est le Mois de l’histoire des Noir.e.s.

Plusieurs bénévoles se sont impliquées dans la production d’infographies qui ont été partagées sur notre compte instagram @aepum. info durant tout le mois de février.

La FAÉCUM ainsi que l’UEQ ont d’ailleurs partagé notre travail sur leur compte instagram respectif ; ce fut tout un honneur.

Je termine en parlant de mes accomplissements concernant l’organisation des élections. Cette tâche occupe une bonne partie de mon mandat. En effet, il y a quatre périodes électorales ; deux à l’automne et deux à l’hiver.

Afin de susciter l’engouement des étudiant.e.s pour l’implication étudiante, j’ai travaillé en collaboration étroite avec la chargée aux communications, Julie. Nous avons utilisé plusieurs médiums pour faire la promotion des postes à combler : infographies avec texte décrivant les divers postes, courtes vidéos et des séances de questions/réponses sur nos réseaux sociaux, message devant les classes et la vidéo promotionnelle de l’AÉPUM «Capsule PRN (Pour Rencontrer Notre Asso)».

Ces projets ont été très appréciés des étudiant.e.s ! Je suis extrêmement fière du résultat final.

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En ce qui concerne le processus électoral, j’ai fait quelques modifications. J’ai créé le formulaire de neutralité pour tou.te.s les membres de l’AÉPUM. En signant celui-ci, les élu.e.s s’engagent à rester neutres lors des campagnes électorales subséquentes afin qu’il y ait une équitabilité entre tou. te.s les candidat.e.s. De plus, j’ai réfléchi à un nouveau processus pour présenter les différent.e.s candidat.e.s : les journées campagne électorale. L’idée est de publier toutes les campagnes électorales des candidat.e.s lors d’une même journée afin d’offrir une meilleure visibilité à tou.te.s sans embourber le groupe commun Facebook.

Comme vous pouvez le constater, j’ai eu une année bien remplie! En plus des tâches requises par mon

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poste, je me suis impliquée dans la correction des textes du journal étudiant le Capsule et je me suis portée bénévole pour certains événements du comité humanitaire.

création de contenu médiatique et Pénélope, qui m’a donné un coup de pouce pour certains de mes textes. Merci à vous deux, vous êtes de véritables perles.

Mon implication au sein de l’AÉPUM ne serait pas aussi spéciale si je n’avais pas été entourée de ma fabuleuse équipe. Ce fut un réel plaisir de travailler avec Olivier, Cécilia, Mélina, Angelica, Manel, Laurie, Julie et Caroline.

Nos rencontres CEL exécutif mettaient du soleil dans ma journée et m’apportaient de la joie de vivre.

Quand j’y pense, j’ai le cœur gros en me disant que je ne vous verrai plus de façon aussi régulière.

En quittant mon poste, je me rends compte que je m’ennuierai de la belle famille qu’est l’AÉPUM. Je ne croyais jamais en faire partie, et maintenant, j’ai la larme à l’œil en pensant le laisser. Quelqu’un m’a déjà posé la question « Pourquoi s’impliquer? ». À cela, je réponds: « Pourquoi pas? ». De mon côté, mon implication étudiante m’a beaucoup appris et m’a permis de former des amitiés qui resteront toute la vie.

J’ai également eu la chance de travailler avec des membres du CEL consultatif, dont Jenny, qui m’a été d’une aide précieuse pour la

Ainsi, je passe le flambeau au prochain exécutif en lui souhaitant une année à la hauteur de leurs attentes.

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Toute une année pour être CVE ! - Prise 2 PAR CARO LIN E TREMBLAY, co o rdo nnatrice à la vie étudiante Avant d’écrire ces lignes, j’ai pris le temps de me remémorer ce qui était inscrit dans mon CAP-CEL de l’an dernier. Pour celles et ceux qui l’ignorent, cette année a été mon 2e mandat en tant que coordonnatrice à la vie étudiante et mon 3e mandat avec l’AÉPUM. Avec un peu de recul, je me rends compte que je n’ai malheureusement pas pu échapper aux vagues, mais je crois avoir appris à mieux nager. Cette année a encore été remplie de défis, de déception, d’incertitudes et d’adaptation, mais je suis fière de ce dont nous avons pu accomplir.

Automne En tant que coordonnatrice à la vie étudiante, je suis responsable de toutes les activités socioculturelles de l’AÉPUM, ainsi que de la supervision de tous les co-

mités à caractère socioculturel.

J’ai donc débuté mon année en supervisant et en épaulant, pour une deuxième année consécutive en pleine pandémie, notre comité des activités d’accueil.

Les membres du comité ont dû user de leur créativité et ingéniosité pour proposer des activités intéressantes et qui facilitent les rencontres, tout en respectant les nombreuses mesures sanitaires.

Je les félicite pour leur travail et les remercie au nom de tous ceux et celles qui s’y sont rencontré.e.s et qui y ont forgé des amitiés.

Un peu plus tard dans la session, avec la diminution des mesures sanitaires, j’ai pu organiser une soirée pour l’Halloween dans un restaurant / bar du centre-ville tout en respectant les mesures sanitaires mises en place durant cette période.

Comme les élections du printemps 2021 avaient laissé quelques postes vacants pour l’année 20212022, j’ai pris la responsabilité d’organiser les formations RCR automnales. Une petite organisation qui s’est avérée beaucoup plus complexe que prévu, avec des problèmes de location de locaux, des protocoles sanitaires et des clarifications réglementaires. Au final, 2 entreprises ont dû être engagées pour former 340 étudiant.e.s sur 6 jours de formation.

Avec une diminution encore plus marquée des mesures sanitaires en novembre, j’ai pu organiser la première véritable soirée de fin de session depuis déjà plusieurs mois. L’événement aurait dû avoir lieu en décembre pour célébrer la fin de session d’automne, mais malheureusement, la 5e vague nous a forcé à tout annuler

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à la dernière minute.

Hiver Le retour des vacances de Noël ne s’est pas du tout déroulé comme prévu, avec un retour aux activités scolaires en ligne pour quelques semaines. Nous avons tout de même tenté d’offrir des alternatives virtuelles à nos étudiant.e.s, notamment, en leur offrant un spectacle d’humour virtuel lors de la semaine de la prévention du suicide. En collaboration avec Maude, notre responsable du comité humanitaire, j’ai organisé la Soirée d’Humour : Rions pour notre santé mentale durant laquelle se sont produit Simon Boisvert, Mégan Brouillard, Christophe Dupéré et Charles Deschamps. L’événement a eu lieu le 3 février 2022 et a permis à nos étudiant.e.s ainsi qu’aux étudiant.e.s des associations de médecine, médecine vétérinaire, optométrie, réadaptation et soins infirmiers de prendre une petite pause bien méritée pour leur bienêtre.

Le retour en présentiel de février s’est déroulé un peu différemment pour moi. Avec la modification des mesures concernant les quarantaines en cas de COVID19 ainsi que la diminution des mesures sanitaires, j’ai fait le choix de poursuivre ma session à distance. En effet, étant immu-

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nosupprimée, il ne semblait pas y avoir de meilleure solution compte tenu du 21 jours obligatoires de quarantaine en cas d’un test positif… Cette situation a rendu mes tâches en tant qu’étudiante, mais aussi en tant que CVE encore plus exigeantes. Je tiens à remercier profondément le corps professoral qui a autorisé des accommodements pour ma situation, ainsi que mes chères amies, Doriane, Laurence, Laurie, Matisse, Sabrina et Sevane, qui ont rendu tout cela possible. Je tiens aussi à remercier l’exécutif de l’AÉPUM, qui a su m’épauler dans mes tâches compte tenu de la situation : Mélina, Cécilia, Angelica, Manel, Anne-Sophie, Laurie, Julie et Olivier, un énorme merci du fond du cœur. J’ai donc résumé mes tâches de CVE en présentiel, tout en maintenant ma quarantaine préventive, ce qui ne s’est pas avéré si facile!

La plus grande responsabilité du CVE de l’AÉPUM est l’annuel Vins&Fromages. Après 2 ans à mijoter dans mon imagination, trois reports de dates et de multiples formulaires à faire, refaire et rerefaire, l’événement a enfin eu lieu le 25 mars dernier. Le Vins&Fromages s’est déroulé au Salon Richmond 1861 sous le thème de la Belle et la Bête et a permis d’amasser 5 300$ pour la Maison du Réconfort, un organisme venant en aide aux femmes

victimes de violence conjugale.

Cet événement aura été et sera ma seule et unique sortie de la session d’hiver et je tiens à remercier tous ceux et celles qui l’ont rendu mémorable. Merci à Inès, mon inestimable adjointe. Merci à Laurie et Julie pour tous leurs conseils et leur aide. Merci à Anne-Sophie, Andrés, Benjamin, Doriane, Édouard, Gabrielle, Julie, Laurie, Maude, Pénélope, Ruchika et Sevane d’avoir coupé du fromage pendant des heures.

Merci à mes merveilleux parents qui ont monté les décors, coupé des fromages, fait les livraisons, fait le service et qui sont resté à mes côtés jusqu’à 5h du matin pour tout ramasser. Merci à mon copain pour m’avoir soutenu dans cette organisation et d’avoir passé la soirée à m’épauler. Finalement, merci à tous ceux et celles qui y ont participé. Malgré des petits accros, je considère cette soirée comme une belle réussite.

Une autre grande tradition de l’AÉPUM est le Cocktail de la santé. Une soirée tant attendue par plusieurs étudiant.e.s, mais dont nous avons dû nous retirer, après des semaines de préparation, à cause de problèmes organisationnels hors de mon contrôle et de la situation sanitaire.

La session d’hiver est toujours une période chargée pour la vie étudiante, mais cette année fracassera tous les records! Avec

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presqu’un an d’activité à mettre dans un calendrier d’à peine 3 mois et demi, nous avons dû nous départir d’un grand nombre d’activités. Cependant, les 5@7, le Défilé et le Talent Show n’ont jamais perdu leur place. J’ai eu la chance de superviser ces 3 comités durant l’année et je vous remercie pour votre travail acharné et votre engagement. Je souhaite de tout cœur que vos événements ont été / seront de grands succès et qu’ils satisfassent vos attentes.

J’attendrai avec impatience les photos.

Selon mes fonctions, je suis aussi co-responsable du Comité Ça Va, un comité visant le bien-être et la santé mentale de nos étudiant.e.s.

Cette responsabilité m’a permis d’organiser et de co-organiser plusieurs activités en collaboration avec notre fabuleuse responsable aux affaires académiques.

Laurie, ma belle amie, merci pour ton support, ton ingéniosité, ton

dévouement et surtout, ton grand cœur. Travailler à tes côtés fut un immense plaisir et honneur. Tout au long de l’année, j’ai aussi eu l’immense privilège d’accompagner mon adjointe dans son apprentissage des rouages de l’AÉPUM. J’ai pu la guider dans l’organisation d’activités diverses tout en l’incluant dans mes plus gros projets. Ma chère Inès, merci pour tes brillantes idées, ton sens de l’organisation, ta volonté de fer et ton cœur en or. Ensemble, ainsi qu’avec l’adjointe aux affaires académiques, Marie-Lou, nous avons organisé une panoplie d’activités pour le bien-être des étudiant.e.s : étude-o-thon, midi yoga, zoomthérapie, cours de kickboxing en ligne (Un énorme merci à Maude!), décoration de citrouilles et j’en passe. Travailler à vos côtés fut un énorme plaisir, merci pour tout mesdames.

Bref, ce fut une année chargée en haut et en bas, remplie de petits

et gros bonheurs, mais principalement pleine de dévouement et de joie d’enfin vous revoir.

L’AÉPUM m’a beaucoup apporté pendant ces 3 dernières années, une stabilité même dans les périodes les plus incertaines que nous venons de vivre, des amitiés que je chérirai pour toujours, des compétences que je ne pensais jamais posséder et des milliers de souvenirs irremplaçables (Quoique certains soient plus glorieux que d’autres!) C’est donc avec beaucoup de nostalgie, un peu de tristesse, mais surtout avec de la fierté que je quitte cette merveilleuse association, mon chezmoi depuis maintenant 3 ans ♥︎ (P.-S. À Inès, ma merveilleuse alliée et bras droit, sache que je te remets la clé d’une famille formidable et j’espère qu’elle t’apportera autant que ce qu’elle m’a apporté.)

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La fin d’un beau parcours au sein du CÉPPUM PAR GABRIELLE CATAFO RD, pré side nte du co mité CÉPPUM Mon deuxième et dernier mandat au sein du CÉPPUM tire maintenant à sa fin. C’est avec le cœur gros, mais le cœur et la tête remplis de fierté que je quitte la présidence du comité.

J’ai eu une année assez chargée, disons-le ainsi. À la fin de mon premier mandat l’année dernière, j’avais encore beaucoup d’idées en tête que je voulais concrétiser.

Une bien particulière était de créer un podcast. C’est donc avec ce mandat que j’ai débuté, dès l’été, la création du podcast « En vente libre ». Un podcast qui se veut accessible à tous et à toutes, où on discute avec des invité.e.s de divers sujets en santé. Co-animé par Gabrielle Fiset, aussi trésorière du comité CÉPPUM, nous avons lancé officiellement notre tout premier épisode le 24 novembre 2021 après plusieurs mois de travail acharné. Disponible sur

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toutes les plateformes de balado, soit Apple podcast, Spotify, Google podcast et Youtube, chaque deux semaines, un nouvel épisode est mis en ligne. Nous en sommes maintenant à 11 épisodes avec l’objectif de clore la saison 1 avec 12 épisodes. Oui oui, vous avez bien lu, la saison 1, ce qui signifie qu’une saison 2 sera officiellement de retour dès l’année prochaine. Les plus de 6000 écoutes de notre podcast à ce jour nous ont grandement motivées à continuer ce beau projet encore une autre année.

Malgré tout le travail qui venait avec la création, l’élaboration et la promotion d’un balado, j’ai aussi organisé deux tables rondes sur la pharmacie durant mon mandat. En effet, à l’automne, j’ai organisé une table ronde sur la pharmacie d’officine et les milieux non traditionnels afin de

faire connaître aux étudiant.e.s les différentes avenues possibles à la suite de leurs études. Ensuite, à l’hiver, j’ai organisé la table ronde sur la pharmacie en établissement de santé, où 7 pharmacien.ne.s, de différents secteurs de la pharmacie hospitalière, sont venus discuter avec les étudiant.e.s de leur pratique. Ces tables rondes ont été grandement appréciées de la part des étudiant.e.s et je suis heureuse de leur avoir donné l’opportunité d’en apprendre plus sur leur future profession.

Ce n’est pas tout, je ne pouvais terminer ce deuxième mandat en passant à côté du projet traditionnel du CÉPPUM : les vidéos « Coach du médicament » ! Deux vidéos sont présentement en finalisation et seront prêtes pour diffusion vers la fin avril, donc restez à l’affût pour ne rien manquer.

Encore une fois, c’était un plaisir

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de créer ces vidéos, afin de faire connaître de manière ludique le rôle du pharmacien à la population.

En l’espace de quelques lignes, c’est ce qui résume ma dernière année avec le CÉPPUM. Ce comité m’a beaucoup apporté tant sur le plan personnel que professionnel. M’impliquer m’a permis d’aimer encore plus ma future profession, mais surtout cela m’a permis d’en apprendre beaucoup sur moi.

Je me souhaite de toujours garder cette flamme qui me pousse à aller de l’avant dans mes idées et je vous souhaite de ne pas craindre d’essayer de nouvelles choses, parce que c’est de cette façon qu’on en apprend le plus sur nous-mêmes.

Abonnez-vous au Instagram du podcast dès maintenant pour ne rien manquer : @enventelibre. podcast

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Au coeur des mots PAR PÉN ÉLO PE LEGAULT, ré dactrice e n che f du Capsule Je ne pensais pas m’attacher autant à mon poste de rédactrice en chef. J’ai écrit mon dernier éditorial les larmes aux yeux en réalisant que je terminais mon mandat. Au début de l’année, c’est avec beaucoup de nervosité et, je serai honnête, d’incertitude que j’ai pris mon poste. J’étais familière avec le contenu du journal et le processus entourant la publication d’articles ayant été membre du comité en 2020-2021.

Par contre, ce que je n’avais pas réalisé, c’est que le poste de rédactrice en chef va au-delà des mots. C’est avant tout un poste de gestion. La longueur de mon guide de passation m’a amenée à le réaliser assez rapidement. Je ne pensais pas y arriver... J’ai donc travaillé fort, autant sur le journal que sur moi-même, pour réussir.

J’ai accepté que je ne pouvais pas tout faire toute seule et que je ne

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pouvais pas tout contrôler. J’ai laissé de côté la perfectionniste en moi pour laisser place à plus de bienveillance. J’ai appris à demander de l’aide et à déléguer des tâches. Je veux remercier tout spécialement Winnie Tran, la rédactrice en chef de l’année 20202021, d’avoir été un phare me guidant dans cette folle aventure, toujours disponible pour m’aider et répondre à mes questions.

Certains numéros sont sortis plus tard que ce que je m’étais fixé comme objectif, et il a été difficile de ne pas voir cela comme des échecs. La mise en page me demandant beaucoup de temps, il a parfois été difficile de respecter mon échéancier. Je ne voulais pas décevoir les lecteurs.trices, mais aussi je voulais sortir un journal à la hauteur de mes attentes. Par contre, j’ai appris à accepter que parfois les choses ne se déroulent

pas comme je l’avais envisagé.

Cela dit, après six numéros créés avec le logiciel, je peux dire que j’ai réussi à dompter ma bête noire. Merci InDesign pour toutes ces heures passées ensemble à avoir mal aux yeux. Merci aussi à mes ami.e.s de m’avoir guidée et soutenue autant dans les hauts que dans les bas de mon poste.

En prenant en charge le Capsule, j’ai poussé mon implication dans l’AÉPUM encore plus loin.

J’ai eu la chance de superviser une merveilleuse équipe et de permettre à des étudiant.e.s de s’impliquer eux/elles aussi dans l’AÉPUM. De plus, j’ai réalisé des entrevues très intéressantes qui m’ont permis de découvrir d’autres aspects de la pharmacie.

Mon poste m’a aussi amenée à occuper un rôle différent dans les projets de l’association. Je n’y participais plus seulement comme

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étudiante, mais comme rédactrice en chef avec un œil plus critique envers les fautes de grammaire et d’orthographe. Merci à Manel, Olivier et Laurie qui ont accepté que je repasse maintes et maintes fois le Mémoire sur la transformation du programme (MSTP) afin de trouver les coquilles.

Ma vision pour le Capsule cette année était de donner plus de place aux étudiant.e.s pour que vous sentiez que le Capsule est autant votre journal que le mien.

Je pense avoir bien réussi en introduisant la Capsule Ça Va, la Capsule QeP, les témoignages anonymes, les Top 10 et la section sur les projets 1416 dans le numéro d’avril. J’ai aussi permis à des étudiant.e.s de présenter des projets qu’ils et elles menaient, comme le podcast « En vente libre » et la publication de la lettre-ouverte à Héma-Québec.

La beauté du journal, c’est qu’il est à la fois fait par les étudiant.e.s et pour les étudiant.e.s. Et quand je dis « par les étudiant.e.s », bien que je dirige le journal, je ne le fais pas seule. Je veux prendre un moment pour remercier de tout cœur

l’équipe du Capsule : Èvelyne, My-Tiên, Thierry, Keffrey, LéaMei, Loïc, Catherine, Emma, Marie-Lou, Chloé, Sophia, Iliya, Edmond, Anne-Sophie, Julie, Maxime-Olivier, Sissy, Valérie, Christine et Imène. Si j’ai réussi mon mandat de rédactrice en chef, c’est grâce à vous. Je suis heureuse et chanceuse de vous avoir eu pour m’accompagner dans cette belle aventure. Le Capsule, c’est bien plus que moi ; c’est aussi chacun.e d’entre vous.

Merci d’être embarqué.e avec moi et de m’avoir permis de vivre cette expérience à fond. Je vous aime.

Le Capsule, c’est aussi vous, cher. ère.s lecteur.trice.s. Sans vous pour nous lire et apprécier notre travail, le journal n’aurait aucune raison d’être. Je veux vous remercier d’avoir été fidèle au poste tout au long de l’année.

En terminant mon mandat de directrice du Capsule, c’est un gros morceau que je laisse derrière moi. Je parle bien entendu du journal en lui-même, mais au-delà de ça, c’est mon implication dans l’AÉPUM qui tire doucement à

sa fin. Je suis extrêmement fière de ce que j’ai réussi à accomplir au sein du journal cette année. Je suis aussi très reconnaissante de tout ce que l’AÉPUM m’a apporté au cours des trois dernières années. Ce sont des moments, des personnes et des amitiés inoubliables. Je n’aurais jamais pensé qu’en corrigeant des textes pour le simple plaisir de trouver des fautes, je finirais pas diriger un journal au complet. Je vous invite donc tous et toutes à vous aussi vous impliquer dans notre merveilleuse association étudiante, à votre façon.

Je souhaite aussi une merveilleuse année au prochain CEL et à la prochaine rédactrice en chef du Capsule, Lisa. C’est beaucoup de travail qui vous attend, pour certain.e.s de l’inconnu, mais toutes les heures passées ensemble à travailler sur différents projets vous feront réaliser ce que l’on veut dire par « le Pharm.D. c’est une grande famille » ; et l’AÉPUM est certainement au coeur de cette famille.

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Toute chose a une fin PAR JEN N Y ZH AN G, pré side nte du co mité mé dia Extrait de mon passage l’année passée : J’avais beaucoup hésité.

Tellement hésité. Mais en voyant le terme « vacant » à côté du titre « Président.e du comité média », je me suis dit que c’était maintenant ou jamais. Toute chose a une première fois.

développer des méthodes, en collaborant avec une superbe équipe.

En 2020, j’étais stressée… curieuse, mais stressée ! Mais cette année, j’étais pleine d’idées et j’étais la meilleure candidate pour ce poste, avec déjà un an d’expérience.

Coucou tout le monde ! Et voilà une deuxième année consécutive au poste de présidente du comité média. Après une première tentative, j’ai vite réalisé que j’adore l’implication au sein de l’AEPUM, en particulier à ce poste qui me va comme un gant. Toutefois, j’avais encore tellement de pistes créatives à explorer que je m’y suis relancée pour 2021-2022, pour garder le fil de mes idées.

Ce poste est une réelle opportunité pour exploiter ma créativité, apprendre de nouvelles astuces et

Mes objectifs 2021-2022

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Mon objectif premier demeure toujours : potentialiser le site web de l’AEPUM ! Après un an à fouiller tous les tutoriels en ligne, je me sentais super à l’aise avec Wordpress, côté design et technique. Juillet m’a donné une grosse claque lorsque l’ancien site web a eu un bug technique et qu’apparemment, le domaine a été vendu et racheté.En d’autres mots, tout était perdu. La cause ? Après une dizaine d’appels et d’échanges par courriel, j’ai com-

pris que la carte de crédit n’était pas à jour et qu’il était trop tard pour reprendre le site. Déjà un défi à surmonter, et nous ne sommes même pas à la rentrée !

Mon deuxième objectif a été de recruter beaucoup plus de bénévoles, parce que l’année passée, en pleine pandémie, les membres de mon comité se comptaient sur les doigts d’une main. Avec le déconfinement, je pouvais enfin, dès la rentrée, recruter des nouveaux bénévoles passionné.e.s et leur expliquer les activités du comité média en personne au kiosque, avec ma trésorière. En tout, nous avons recruté un bon 20-30 bénévoles ! L’année commençait du bon pied. Rétrospectivement, cet objectif était pas mal réussi cette année ; les 1ère années surtout participaient beaucoup aux demandes de logo et de photographes aux événements, notam-

CAP-CEL, VOLUME 8

ment pour la Journée mondiale des pharmacien.ne.s organisée par FIEP-CAPSI. Vers la fin de l’année, je faisais pas mal toutes les infographies, donc c’était plus difficile d’impliquer le comité.

Trouver la balance entre les rôles de présidente et la délégation aux bénévoles n’est pas une tâche facile, et il faut vraiment bien jauger.

Mon dernier objectif est de faire connaître le comité média aux étudiant.e.s et de les impliquer dans des tâches plus variées. J’ai été agréablement surprise, lors de mon takeover Instagram, par les multiples questions et messages reçus des étudiant.e.s de tous les cycles qui s’intéressent à mon poste. Je pense que durant l’année, les diverses activités de mon comité ont bien fait connaître cette opportunité d’implication auprès des cohortes. J’ai même un successeur qui a posé sa candidature !

Le site web, oh le fameux site web!

En tant que présidente du comité média, je suis comme la gardienne du site web de l’AÉPUM. L’ancien site web n’était pas user friendly du tout et, tant bien que mal, j’ai réussi à comprendre ses réglages et ses fonctions. J’avais dû apprendre à partir de zéro et là, tout était perdu. Néanmoins, j’ai

réussi à racheter un autre domaine avec rabais et recréer le site web à partir de zéro, qui s’appelle maintenant https://aepum.ca/.

Pour ce faire, j’ai travaillé vraiment fort : du design aux détails, du contenu au format, tout était pris en charge par moi seule.

Je tiens à souligner que je n’ai aucune base en programmation, mais j’ai trouvé mes moyens et j’y ai investi du temps et (beaucoup) d’énergie. Un avantage à refaire complètement le site web est que je peux le modeler comme je veux et garder seulement les pages utiles. Donc tout ce que je trouvais problématique dans l’ancien site web ne sera pas présent ou inclus dans le nouveau ;) Voici un résumé de mon parcours, et j’en suis pas mal fière : • Pages « Offres d’emploi » pour étudiant.e.s et pharmacien.ne.s, dotées d’une carte avec la localisation de la pharmacie (communautaire ou établissement) • Google Spreadsheets rattaché aux offres avec l’adresse/option télétravail, la description du poste et les coordonnées des contacts.

• Page avec les nouveaux visages de l’AÉPUM 20212022 et le courriel AEPUM de chacun.e

• Page d’accueil avec les boutons clés, les partenaires, l’adresse du local de l’AEPUM • Commencer à créer des pages individuelles pour les comités, comme pour le comité Capsule • Résoudre des problèmes techniques du site web Le site n’est pas parfait, mais déjà présentable et fonctionnel. Et le plus important, bien upgraded et meilleur que l’ancien !

Mes autres accomplissements Je peux fièrement dire que j’ai atteint mes autres objectifs fixés.

La collaboration avec les autres membres de l’AÉPUM était de feu, en leur fournissant les ressources artistiques et techniques nécessaires : photographes, graphistes et éditeurs.trices de vidéo.

J’ai réussi à répondre à toutes les demandes cette année et j’étais très satisfaite des produits finaux.

La demande d’infographies et d’affiches virtuelles a vraiment pris le dessus cette année, avec moins d’événements socioculturels en présentiel. Mon comité et moi avons exploré toutes sortes de logiciels de design pour enfin trouver la perle de la perle, le game changer : Canva. Ce logiciel a tellement facilité le travail coopératif, tout en potentialisant

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ma créativité au maximum. Je me retrouvais à créer des logos et des affiches pendant des heures sur Canva tellement j’adorais ça! En voici quelques exemples tirés du portfolio : Infographies et logos : • Avec le comité humanitaire: Infographies pour les collectes de sang, le Movember, l’opération Nez Rouge • Infographie de promotion: guide de poche Société canadienne de cardiologie, PharmQuilles, retour sur la vente de vêtements • Avec la chargée aux affaires internes : Infographies sur 4 semaines du Mois de l’Histoire de Noir.es (témoignages, santé mentale, etc.)

• Avec le comité Défilé des 3e années : création du Logo Eleganza x Extravaganza, dépliant de la soirée Entre-temps, j’ai également mis à jour le Guide de survie au Pharm.D. version 6, organisé le photoshoot de tous les membres de l’AEPUM, créé des montages photos et participé à la prise de photos lors de la Journée mondiale des pharmacien.ne.s. La mise à jour bihebdomadaire des offres d’emploi sur le site web et l’échange (téléphone, courriel)

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avec les pharmacien.ne.s propriétaires et d’hôpital concernant la publication des offres d’emploi sont également des tâches régulières que je ne délaisse pas.

Les embûches Enfin, alors que je progressais petit à petit sur la route de la programmation et du design visuel, parallèlement, je prenais des photos professionnelles de meilleure qualité avec une Nikon D3500.

Les embûches se retrouvent principalement au niveau du site web et toute la mise en page à recréer, on dirait que je ne suis jamais satisfaite et j’aimerais toujours ajouter quelque chose. Également, je n’étais pas familière avec la programmation et ça m’a pris du temps avant juste de trouver comment ajuster un menu déroulant !

Ma session d’hiver était aussi plutôt chargée en termes d’études et de travaux, et je continuais à faire toutes les infographies par moimême. J’ai pu tant bien que mal gérer mon temps, mais j’aurais aussi aimé plus de participation de la part de mon comité. Le site web aussi était tout à ma charge, car aucun membre du comité ne connaissait Wordpress et ils craignaient de supprimer le site web en jouant dessus.

Toute chose a une première fois, mais aussi une fin. Somme toute,

ce poste m’a vraiment permis d’approfondir certains de mes préalables et de relever plusieurs défis en temps de pandémie.

Après cette deuxième année au sein de l’AÉPUM, je peux assurément dire que ça n’a apporté que du positif. Je ne regrette nullement mon choix. Au début de mon mandat, je voulais tout faire.

J’ai rapidement réalisé qu’avec la pandémie, tout est devenu un nouveau défi et qu’il me fallait des objectifs réalistes. Ce poste m’a surtout permis de m’adapter, de trouver des alternatives rapidement, de m’organiser, de gérer mon temps, mais surtout, de faire ce que j’aime (design, montage, photographie) ! Toutes ces qualités m’ont permis de trouver un équilibre entre mes études, ma vie sociale et mon poste à l’AÉPUM. J’ai même trouvé le temps de travailler en pharmacie communautaire quelques heures par semaine ! J’apprécie sincèrement la présence des membres du comité à mes rencontres de session et leur participation en me donnant des idées et en me supportant. Bref, c’était une expérience très enrichissante que je recommande à tous ceux et celles qui se reconnaissent en lisant ces lignes.

Finalement, un petit « bonne chance » à mon successeur, à qui je souhaite moins d’embûches et autant de fun !

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Une année avec des hauts et des bas PAR ALEX FO N G, chargé aux affaire s de la FIEP Une autre année au Pharm.D. qui se termine! L’année 2021-2022 a eu son lot de défis avec la 4e et 5e vague de la COVID-19, le retour en présentiel pour les trois cohortes et les politiques de l’UdeM qui changent concernant les activités en présentiel sur le campus. Malgré que je n’ai pas pu atteindre tous les objectifs que je m’étais mis en avril 2021 (voir le CAP-CEL précédent), je suis satisfait des différentes activités faites cette année.

nisation du FIEP, les échanges étudiants du programme SEP et les informations sur les congrès à l’international. Pour le programme SEP, nous avons eu une soumission de 10 candidatures (les trois cohortes confondues) de l’UdeM. Ces étudiant.e.s ont reçu leurs réponses au mois de mars et ceux et celles qui ont été accepté.e.s partiront cet été dans divers pays pour vivre l’expérience de la pharmacie communautaire!

Le comité FIEP a débuté l’année avec une activité en collaboration avec CAPSI pour organiser un photomaton dédié à la Journée Mondiale des Pharmacien.ne.s.

Ce fût un grand succès avec plusieurs étudiant.e.s qui sont venu.e.s prendre des photos avec leurs sarraus et divers accessoires.

Par la suite, j’ai continué l’année avec une présentation sur l’orga-

D’autres activités ont également été faites par la suite, mais à une fréquence moins élevée durant la session d’hiver, marquée par une baisse du taux de participation.

Malgré une petite déception de ma part concernant mon implication cette année, je suis content des progrès que j’ai fait pendant ces deux ans en tant que représentant du FIEP, surtout parce que

j’ai pu faire connaître l’organisation auprès des étudiant.e.s de la faculté. J’ai déjà hâte que mon ou ma successeur.e continue le mandat de partager les informations du FIEP et je ne m’inquiète pas pour la suite des choses. Les étudiant.e.s auront une panoplie d’opportunités à l’international pour faire rayonner la pratique de la pharmacie au Québec et deviendront les ambassadeurs du changement avec leurs diverses expériences parascolaires acquises.

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Vouloir faire une différence PAR MAUDE BO URGAULT, pré side nte du co mité humanitaire Il y a un an environ, le poste de présidente du comité humanitaire était vacant après plusieurs jours d’élection. Et puis, je me suis dit : Pourquoi pas moi? Après avoir vu toutes les injustices sociales ainsi que la santé mentale collective dans un état pitoyable durant cette dite pandémie, ç’a allumé quelque chose en moi. Je voulais faire quelque chose de plus pour aider l’autre. En plus, après 2 ans de pandémie à la maison, j’avais tout plein d’idées de projets à réaliser. Il me manquait juste l’opportunité et la voilà.

Ce qu’il faut savoir, c’est que je ne m’étais encore jamais impliquée dans l’association. Je voulais vraiment prendre le temps de m’adapter au programme (ma foi, chargé!). Me lancer à la présidence de ce comité était un peu pour moi comme monter l’Everest avant d’avoir fait le

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Kilimandjaro.

On se retrouve en septembre, avec 2 gros projets à organiser, soit la course à la vie pour le cancer du sein et la collecte de sang.

Au début, je me sentais vraiment dépassée par les évènements. Je ne savais pas par quel bout commencer. Puis, grâce au gros coup de main de mes bénévoles ainsi que de l’ancienne présidente Laurie Fournier, les deux évènements furent des succès et nous avons amassé environ 1000$ pour la Société canadienne du cancer et récolté 50 dons pour HémaQuébec.

Ensuite, le movember a débuté en novembre et avec les 10 participants nous avons amassé environ 2700$ pour la santé masculine.

Petit à petit, je commençais à plus prendre d’assurance au sein de mon comité, à mieux comprendre

comment impliquer les bénévoles et à plus déléguer (chose ici très difficile pour moi étant donné mon perfectionnisme presque maladif).

En décembre, mon comité et moi avons réussi à mettre en place une collecte de denrées pour la guignolée. J’ai également organisé une soirée de bénévolat pour Nez Rouge. Une soirée unique en son genre, où les bénévoles et moimême sommes revenus avec la tête pleine de souvenirs.

Puis, en janvier, la COVID est revenue. Nous étions à nouveau confiné.e.s et je sentais que tous mes plans de projets futurs étaient en train de s’écrouler. Encore une fois, j’étais totalement dépassée et je ne pouvais que faire comme tous et toutes les étudiant.es et être résiliente, en attente que le retour en classe se fasse un jour.

CAP-CEL, VOLUME 8

En février, j’ai décidé que mes projets n’allaient pas être annulés, mais que j’allais les convertir en évènements en ligne. C’est ainsi que la semaine de prévention du suicide fut organisée. Au menu, il y avait un show d’humour pour la santé mentale organisé en collaboration avec notre CVE Caroline Tremblay et avec la contribution d’autres associations étudiantes en santé (médecine, infirmière, opto, réadaptation et vétérinaire) et un cours de kickboxing donné par moi-même. Ces 2 évènements ont été particulièrement marquants pour moi parce que c’était 2 projets bâtis à partir d’idées que j’avais eues un an plus tôt et que ça m’a complètement sortie de ma zone de confort. Être l’animatrice

d’une soirée d’humour devant environ 100-200 personnes, je vous le dis, c’est plutôt stressant!

L’année se termine donc bientôt.

Au moment où j’écris ses mots, dans quelques jours a lieu ma dernière collecte de fonds. Celle pour Leucan. À date nous avons plus de 9000$ d’amassés. J’ai le cœur rempli parce que je suis vraiment excessivement fière de ce que j’ai accompli. Il y a 5 ans, la fille hyper anxieuse que j’étais ne s’en serait jamais crue capable.

Je suis fière de ne pas avoir abandonné lorsque j’ai fait face à plusieurs défis et que les choses ne fonctionnaient pas comme je le souhaitais. Grâce à ce poste, je suis maintenant capable de

parler devant une classe de 200 personnes sans avoir le cœur qui palpite à 1000 bpm. Je suis également beaucoup plus organisée à force de jongler entre études, travail à la pharmacie, projets du comité, vie sociale et obligations quotidiennes. J’ai également tissé de bons liens avec les membres de mon comité et de l’association qui vont probablement me suivre pour longtemps. Ce poste m’a permis d’acquérir des compétences qui vont vraiment me servir toute ma vie. À toutes les personnes qui hésitent à s’impliquer, je vous le jure, vous n’allez pas le regretter.

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CAP-CEL, VOLUME 8

Le plaisir de s’impliquer PAR CH LO É BRO CH U, pré side nte du co mité ve rt En quelques mots, cette année en tant que présidente du comité vert a été remplie de défis, mais de beaux défis. Pour être honnête avec vous, quand je me suis présentée l’année dernière pour ce poste, je n’avais aucune idée de ce qui m’attendait ni ce dans quoi je m’embarquais. Finalement, ce fut une excellente idée de m’impliquer. En plus, d’en apprendre plus sur l’écoresponsabilité (ma famille n’en peut plus de m’entendre parler d’environnement et mon père est tanné de laver des sacs réutilisables!), j’en ai appris énormément sur moi-même.

Ainsi, cette expérience m’a permis de grandir, de travailler sur mes compétences de communication et surtout de faire face à mon anxiété sociale. Je vous encourage à vous impliquer au moins une fois au cours de votre parcours académique tellement

38 – CAP-CEL – AVRIL 2022

c’est enrichissant à tous les niveaux. Même si vous n’avez pas d’expérience, ce n’est pas grave, l’important selon moi est d’avoir un intérêt pour le poste qui vous intéresse.

Mon poste m’a permis de mettre en place plusieurs activités telles que des tutoriels de fabrication, des conférences en lien avec l’écologie et la pharmacie, de collaborer avec d’autres membres de l’association, d’avoir implanté le bac consignaction au PillPub et de proposer une station «lavevaisselle» lors des événements comme les étud-o-thons. Ce dont je suis le plus fière de mon année comme présidente du comité vert est d’avoir fait revivre les astuces vertes hebdomadaires et d’avoir fait connaître davantage le comité vert. Bien sûr, cette année n’a pas toujours été sans problème. Le plus gros défi que j’ai eu a été

de recruter des participants lors des activités et de trouver des activités qui allaient intéresser le plus de personnes. Pour le futur, j’espère que le comité vert perdure et évolue en grand dans les prochaines années. Pour ma part, cette année m’a donné la piqûre pour continuer à m’impliquer et vous me retrouverez comme ACAD l’année prochaine.

CAP-CEL, VOLUME 8

Bienvenue au Pill Pub !

PAR JULIETTE GAUTH IER, pré side nte du co mité Pi l l Pu b Le Pill Pub est bien plus qu’un petit local avec des micro-ondes au bout du couloir, c’est notre beau café étudiant. Le café étudiant est géré à 100% par des étudiant.e.s et est ouvert par la grande bonté et générosité des bénévoles. Son rôle est d’offrir du café, des collations ou des sandwichs le moins cher possible en plus de servir d’aire de relaxation.

Cette année, mon comité et moi avions le beau défi d’ouvrir le café qui était fermé depuis plus d’un an. Gérer l’ouverture du Pill Pub a été un peu plus complexe qu’on ne l’aurait imaginé ! Entre la gestion de l’inventaire, les formations à suivre, les mesures sanitaires et les cours à distance, nous avons travaillé fort pour vous offrir une expérience de café étudiant cette année. À ce sujet, j’en profite pour remercier chaleureusement tous.tes les étudiant.e.s qui se

sont impliqué.e.s bénévolement dans le café cette année pour vous offrir la meilleure expérience possible.

Le poste de présidente du comité du Pill Pub m’a permis d’abord d’en apprendre plus sur moimême, mais aussi sur la gestion, tant au niveau de l’inventaire que du budget et d’une équipe.

C’est comme une mini introduction à la gestion d’une pharmacie! S’impliquer dans l’AÉPUM est une expérience que je vous recommande de tenter au moins une fois pendant votre Pharm. D. Si prendre un poste est un engagement qui vous fait peur, sachez que tous les comités ont besoin de bénévoles. S’impliquer comme bénévole au Pill Pub est notamment une très bonne opportunité de se familiariser avec le milieu de la gestion et participe à augmenter les heures d’ouverture du

café ;) Dans le meilleur des mondes, nous aurions voulu relever plein d’autres défis cette année, comme avoir une machine Interac fonctionnelle ou simplement ouvrir plus longtemps, mais cela ne fait que laisser la porte grande ouverte pour l’année prochaine! ☺

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CAP-CEL, VOLUME 8

L’implication étudiante : une partie importante du parcours académique !

PAR CLARA S CATTO LIN , re pré se ntante aux instan ces pro fe ssio nne lle s e t de 1 re anné e (co ho rte 2021-2 5 ) MYTHE : S’impliquer est un fardeau.

avec des entreprises qui cherchent à promouvoir leurs activités au sein de notre communauté étudiante. J’ai été fière de développer de nouveaux partenariats afin de stimuler la participation à des formations, à des congrès ou à des webinaires.

Durant l’année scolaire 20212022, j’ai occupé deux postes, soit représentante de classe de ma cohorte (2021-2025) et représentante aux instances professionnelles. J’ai beaucoup aimé ces deux engagements pour différentes raisons.

même dire qu’il sait déjà exprimer un regard critique face à des situations ;) À travers de belles discussions, j’ai pu rencontrer de nouvelles personnes issues de parcours différents. Cela m’a permis de m’ouvrir les yeux sur des histoires de vie attachantes et de tisser de nouvelles amitiés.

Mon sentiment d’appartenance à ma cohorte s’est rapidement développé et agit comme un vecteur de motivation au quotidien.

Sans oublier, il faut dire que j’ai été vraiment bien encadrée par Marie-Lou Ouimet (celle qui était représentante des premières années l’an dernier). Elle a été ma référence tout au long de l’année.

Shout-out à Marie-Lou, merci, t’es la best!!!

J’ai appris à connaître ma cohorte, un groupe d’étudiant.e.s dynamiques et vraisemblablement très curieux.ses. Je pourrais

Le poste aux instances professionnelles m’a offert une vision sur le monde extérieur post-diplôme.

J’ai eu l’occasion d’échanger

MYTHE ou RÉALITÉ : J’ai pu te convaincre de t’impliquer l’année prochaine ? ;)

RÉALITÉ : S’impliquer, c’est apprendre, se développer, se familiariser avec un nouvel environnement et développer de nouveaux liens. C’est apprendre à naviguer dans un système académique complexe afin d’y repérer des opportunités d’innovation et de créativité.

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RÉALITÉ : S’impliquer est un incontournable à la vie universitaire.

Beaucoup de plaisir à porter différents chapeaux. Et oui, j’ai très bien survécu en occupant deux postes dans l’association. Alors, tu peux bien en occuper un. T’en penses quoi?

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Un nouveau chapitre pour CAPSI-UdeM PAR PAN TEH A BO RZO O EYAN , re pré se ntante junio r aux affaire s de l’ACEIP/CAPS I Cette année, CAPSI a relevé plusieurs nouveaux défis. J’ai commencé mon implication à CAPSI en tant que secrétaire en 2020-2021 et ensuite en tant que représentante junior cette année.

Dans le cadre de mon nouveau poste, j’ai assisté aux nombreuses rencontres de CAPSI national pour parler des enjeux auxquels chaque faculté de pharmacie fait face, de la santé mentale des étudiant.e.s, des bénéfices offerts aux membres de CAPSI ainsi que l’organisation du Congrès Mondial. De plus, j’avais la responsabilité de défendre les étudiant.e.s de l’UdeM. Cette année, la grande nouveauté au sein de CAPSI-UdeM était l’inclusion du frais CAPSI aux frais de scolarité pour tous.tes les étudiant.e.s. De cette façon, plusieurs étudiant.e.s ont pu profiter des évènements organisés

localement ou au niveau national ainsi que des rabais offerts par CAPSI national pour différentes ressources. J’ai commencé l’année en mettant en œuvre la vente de super belles tasses de CAPSI avec le comité CAPSI-UdeM. Grâce au grand retour qu’on a eu, on organise en ce moment la 2e vente des tasses. Ensuite, c’était au tour des compétitions CAPSI. Avec l’aide de la représentante CAPSI senior, j’ai organisé 3 compétitions locales de CAPSI. J’ai terminé l’année 2021 avec la planification du World Congress avec la représentante senior de CAPSI-UdeM et la secrétaire du comité. L’année 2022 a commencé avec la vente des RxFiles aux membres de CAPSI et l’organisation des activités pour le Mois de Sensibilisation au Travail de Pharmacien (MSTP). Avec le comité CAPSI-UdeM, nous avons

organisé le « speed dating avec MPA », le photoshoot, le vox pop et la conférence sur le traitement de la douleur. Sur les réseaux sociaux de CAPSI-UdeM, nous avons eu plusieurs concours avec des prix. Mon but cette année était de faire connaître plus CAPSI parmi les étudiant.e.s et augmenter leur sentiment d’appartenance au programme de pharmacie, ce qui a été réussi selon moi.

AVRIL 2022 – LE CAPSULE – 41

CAP-CEL, VOLUME 8

Un investissement intéressant!

PAR MIAN GARIUP, tré so riè re junio r Une autre fin de session, déjà! Ça faisait longtemps que je souhaitais m’impliquer et c’est cette année que j’ai décidé de me lancer. J’ai atterri dans une association étudiante engagée, ouverte et efficace et ce fut un plaisir de faire mes premiers pas dans cette expérience enrichissante.

J’ai eu la chance d’en apprendre plus sur les finances: les miennes, en tant qu’étudiante en pharmacie, tout comme celles de l’AÉPUM. Ce fut un plaisir de pouvoir vous partager des informations et des conseils concernant les finances! Que ce soit au niveau des bourses ou des trucs de la trésorerie, un des objectifs qui me tenaient à cœur était de vulgariser les finances pour toutes et pour tous afin de vous permettre d’être plus engagé.e.s dans vos finances – surtout si c’était nouveau pour vous. L’année prochaine? C’est

42 – CAP-CEL – AVRIL 2022

clair que c’est quelque chose que je souhaite pousser encore plus!

Qu’est-ce que le rôle impliquait à part poster sur le groupe commun à chaque lune bleue? Entre autres, la recherche derrière ces posts, les demandes de remboursements et les remises de factures. Que ce soit les dépenses faites avec la carte de crédit de la CVE ou la location du CEPSUM pour la ligue de volley-ball, la trésorerie s’est chargée tout au long de l’année de rembourser les étudiant.e.s qui vous ont organisé des événements et des activités. Épauler Cécilia a été enrichissant et je serai avec plaisir sa deuxième calculatrice jusqu’à la fin de mon mandat!

C’était la première fois que je m’impliquais au sein d’une association étudiante et il n’y a certainement aucun regret. Je suis reconnaissante d’avoir pu vous

représenter en tant que trésorière junior et j’ai l’intention de continuer de le faire avec autant d’ardeur en tant que trésorière l’année prochaine!

CAP-CEL, VOLUME 8

C’est quoi ça, la " vie étudiante" ?

PAR IN ÈS BELAMRI, CVE junio r Les températures grimpent, le soleil sort, et ma première année d’implication tire à sa fin. J’ai décidé de me présenter pour le poste de CVE junior en début d’année sans trop savoir si j’allais aimer ça, si j’allais être à la hauteur.

Après deux ans à l’UdeM dans un autre programme, et ayant vécu des événements en présentiel prépandémie, je voulais essayer de redonner un peu à celles et ceux qui ont eu un début de parcours universitaire strictement virtuel.

Cette année, j’ai redécouvert ce qu’était la vie étudiante.

Contrairement à ce que plusieurs peuvent penser, c’est pas juste être la « personne-qui-fait-lespartys » (j’veux dire, oui, entre autres, mais pas juuuste ça).

Malgré l’incertitude quant aux mesures sanitaires, une activité de yoga, de lasertag, de bowling, de décoration de citrouilles

et de multiples étud-o-thon (EOT pour les intimes) ont eu lieu, sans oublier le Vin&Fromages qui a eu lieu il y a presque 2 semaines déjà.

J’ai appris cette année que la vie étudiante, c’était aussi gérer des imprévus, annoncer des mauvaises nouvelles (un moment de silence pour le cocktail de la santé) et répondre aux mille et une questions des étudiant.e.s (mais il n’y a jamais trop de questions, faut pas hésiter). La vie étudiante, c’est de remplir des demandes de location de salle à la DI à 23h la veille d’un examen et d’obtenir le « go » pour faire une activité moins de 24 heures avant. La vie étudiante c’est aussi de voir les gens avoir beaucoup de fun dans les événements que tu organises et de te démener pour en organiser davantage. Pour moi, la vie étudiante, c’est avoir tellement

aimé le poste d’adjointe, que de me présenter comme coordonnatrice pour le prochain mandat n’était même pas une question.

Mention spéciale à Caro, sans qui j’aurais été assez perdue cette année. Tu as été une personne ressource pour moi comme pour bien d’autres personnes à l’AÉPUM. Merci mille fois, tu as été une CVE en or (j’ai un peu, pour ne pas dire beaucoup, de pression pour l’année prochaine ;) ).

On se revoit à l’automne ♥︎

AVRIL 2022 – CAP-CEL – 43

VOTRE FUTUR CEL - PHARM. D.

FÉLIX-ANTOINE ARMAND, président 2022-2023

MIAN GARIUP, trésorière 2022-2023

LÉA-MEI SAVARD-LYTH, chargée aux communications 2022-2023

LOÏC GAGLIARDI, chargé aux affaires internes 2022-2023

BENJAMIN PHAM, chargé aux affaires corporatives 2022-2023

CHLOÉ BROCHU, chargée aux affaires académiques 2022-2023

ALICE GIRARD, représentante aux instances professionnelles 2022-2023

INÈS BELAMRI, chargée à la vie étudiante 2022-2023

PANTEHA BORZOOEYAN, représentante ACEIP/CAPSI senior 2022-2023

VOTRE FUTUR CEL - PHARM. D.

ILYAN OUALLOUCHE, président du comité média 2022-2023

LISA CHERBI, rédactrice en chef du Capsule 2022-2023

FLORENCE BÉDARD-PERRAULT, représentante junior ACEIP/CAPSI 2022-23

MATTHEW D’URBANO, chargé aux affaires de la FIEP 2022-2023

CLARA BRASSARD, chargée adjointe ACAD 2022-2023

DOUNA HUSIN, chargée adjointe à la trésorerie 2022-2023

ANNE-LUCIE CROTEAU, présidente du comité humanitaire 2022-2023

GABRIELLE BOUTIN, présidente du comité CÉPPUM 2022-2023

GABRIELLE CATAFORD, chargée aux affaire de la SPCH 2022-2023

VOTRE FUTUR CEL - PHARM. D.

GUILLAUME ROY, président du comité 5@7 2022-2023

OLIVIER MORIN, trésorier du comité 5@7 2022-2023

FRANÇOISE LANOUE, trésorière du comité cohorte 2e année 2022-2023

LUCAS COUTIN-BEAULIEU, président du comité cohorte 2e année 2022-2023

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