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Trouver une personne qui ne serait ni tatouée ni percée relève aujourd’hui du défi. Il en existe bien sûr, des irréductibles. Mais ils sont désormais obligés de se cacher, craignant d’être pointés du doigt, jugés, ridiculisés. La peur a changé de camp. Mais comment expliquer qu’une pratique autrefois marginale soit aujourd’hui devenue la norme ? On en parle avec des tatoueurs et des tatoués, des perceurs et des percés. Par Matthieu Fort, à Dijon
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