CULTURE
LES CONSEILS DE LA RÉDACTION Sélection d'ouvrages
Rencontres radicales Pour des dialogues féministes décoloniaux Manal Altamimi, Tal Dor et Nacira Guénif (dir.) Cambourakis • 2018 Queer African Reader Sokari Ekine et Hakima Abbas Pambazuka Press • 2013 Le Triangle et l’Hexagone Maboula Soumahoro La Découverte • 2020
Afro-communautaire Appartenir à nous-même Fania Noël Lesbiennes de l’immigration Construction de soi et relations familiales Salima Amari éditions du Croquant • 2018 Je n’ai qu’une langue et ce n’est pas la mienne Kaoutar Harchi Pauvert • 2016
Islam et femmes Les questions qui fâchent Asma Lamrabet Gallimard • 2018 Marie-Louise Taos Amrouche Passions et déchirements identitaires Akila Kizzi Fauves éditions • 2019
NoirEs sous surveillance Esclavage, répression et violence d’État au Canada Robyn Maynard Mémoire d’encrier • 2019 Féminisme pour les 99 % Un manifeste Cinzia Arruzza, Nancy Fraser et Tithi Bhattacharya La Découverte • 2019
Podcasts Better Call Marie Le podcast de Marie Dasylva, coach stratégiste en entreprise. Marie fait témoigner différentes femmes subissant à la fois le racisme et le sexisme. Ses conseils précieux sont utiles voire vitaux si votre présence et votre travail sont systématiquement remis en question en tant que personne racisée. Studio 56 « Studio 56 est un flux de podcasts dédié à l’expérimentation, l’invention et la liberté dans la création sonore ! » La série Barbès Blues du podcast Vintage Arab Une série podcast sur les luttes de l’immigration maghrébine en France.
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AssiégéEs • septembre 2020
Cours Redwane, cours ! « Hémiplégique et obèse, Redwane Telha a décidé de courir le Marathon de Paris en avril 2021. Pour son docteur c’est impossible. Mais Redwane en a décidé autrement : “Cours, Redwane, cours !” raconte les 500 jours de sa préparation. » Radio Corona Internationale La radio DZ qui a maintenu en alerte et en joie les hirakistes confiné·e·s d’un pan à l’autre de la Méditerranée. On recommande particulièrement l’épisode « Tseryel ou le pouvoir des femmes justes », parce que le rire de Sihem est contagieux et que nos ogresses millénaires sont loin d’avoir dit leur dernier mot.