L’année 2021 nous a permis de consolider davantage les relations avec la presse internationale. Fin 2020 déjà, l’exposition L’homme gris a connu une importante couverture médiatique avec des articles parus dans Le Quotidien de l’Art, L’Humanité, Fomo Vox, Les Inrocks, Les Échos, France 2 (émission Télématin), pour la France (sélection). En Belgique, l’exposition a été traitée, entre autres, par La Libre Belgique et Focus Le Vif ; SWR2 pour l’Allemagne ; Cura pour l’Italie. Avec la prolongation de l’exposition jusqu’en juin 2021, d’autres contributions s’y sont ajoutées, dont : Artpress, L’Œil, Toutelaculture. com, ZéroDeux magazine (France), RTBF et SudInfo (Belgique), SR (Allemagne). L’exposition de Daphné Le Sergent a été mentionnée dans Artpress ; cette exposition s’inscrivait d’ailleurs dans le cadre plus large du Mois Européen de la Photographie et a donc pu bénéficier d’une bonne visibilité dans la presse locale. Peu présent dans la presse locale, Laby-Foot, projet facétieux et ludique de Benedetto Bufalino a cela dit retenu l’attention des éditeurs de designboom, magazine numérique de référence sur l’architecture et le design. Autre temps fort en termes de couverture médiatique internationale a été celui de l’exposition Stronger than memory and weaker than dewdrops. À cette occasion, des voyages de presse dans le cadre de Luxembourg Art Week ont été organisés depuis l’Allemagne et la France. Parmi les retombées presse, citons : Der Tagesspiegel, Monopol, Weltkunst, Focus, SR, Frankfurter Rundschau pour l’Allemagne ; Fomo Vox, Artnet et le Quotidien de l’Art (France). Côté belge, le magazine Hart a consacré un supplément à la Luxembourg Art Week dans lequel le Casino a été mentionné avec Sticky Flames et Markiewicz-Piron. Chaque année, une exposition se démarque par une couverture médiatique exceptionnelle. C’est le cas pour la Triennale Jeune Création en 2021. Forts de la collaboration avec les Rotondes, nous avons pu rassembler nos réseaux pour susciter un maximum d’intérêt en amont et pendant l’exposition, avec au final près d’une soixantaine de coupures, majoritairement dans la presse locale.
Parmi les contributions, citons, Paperjam, Journal, Le Quotidien, Woxx, Luxemburger Wort, d’Lëtzebuerger Land (compte rendus et portraits d’artistes), Tageblatt, MarieAnne-Lorgé.com …. La radio 100,7 a diffusé tout au long de l’été des portraits d’artistes, RTL a mis l’accent sur les workshops. Côté Grande Région, les magazines Novo, Poly, Lora, L’Est Républicain pour la France, et Opus pour l’Allemagne, ont couvert l’événement. L’ensemble des expositions a été couvert de manière régulière et approfondie par les médias nationaux, les journalistes appréciant les rapports privilégiés avec les commissaires et les artistes présent·e·s aux visites de presse. Le Casino Luxembourg s’efforce de faire des conférences de presse des moments informels et chaleureux (rendez-vous et visites guidées individuels). Des voyages de presse pour journalistes étranger·ère·s publiant sur les expositions sont régulièrement arrangés. La radio 100,7 était le partenaire média du cycle AM I AI? Into the deep of AI, ce qui a notamment résulté en un compte-rendu détaillé et critique de chaque conférence. IP a réalisé un clip promotionnel pour Brave New World Order, diffusé sur RTL. Les revues de presse concernent essentiellement la presse écrite et en ligne. Il est toutefois intéressant de noter l’intérêt critique du public et autres influenceur·euse·s pour le Casino qui relaient notre actualité sur des blogs ou (surtout) leurs comptes Instagram personnels.
Les différents visages possibles du diable aujourd’hui. RTBF.be, 22.04.2021. À propos de L’homme gris.
La vidéo […] n’est pas aussi didactique que l’artiste semblait le craindre. À l’image d’Hercule Florence, mythique pionnier de la photographie brésilienne qui y fait une apparition, elle tient plus de la fable que du traité. Portés par la composition musicale de Vincent Guiot, l’annonce des faits alterne avec des propos plus imagés et les voix avec des phrases écrites, jusqu’à provoquer le trouble. Surtout, comme souvent dans les vidéos de l’artiste, les images sont travaillées en couches, dans leur superposition et leur mélange. Étienne Hatt, artpress (FR), mai 2021. À propos de Daphné Le Sergent – Silver Memories.
La permanence de la représentation de Satan dans la création plastique, alors même que les sociétés occidentales actuelles sont sécularisées, est une des questions soulevées par l’exposition. Celle-ci suit un parcours élaboré en jouant sur les notions de contrainte et de liberté, qui, si elles sont inhérentes à la vie humaine, représentent également les deux faces du diable. Elle s’attache à tracer des liens sous-jacents entre les œuvres exposées, autant d’allers-retours qui forment des chemins possibles. Guillaume Lasserre, Zéro Deux (FR), juin 2021. À propos de L’homme gris.
Sous la houlette de Kevin Muhlen, directeur du très pointu Casino Luxembourg, l’exposition se traverse comme un horoscope artistique international. Et les questions fusent. Le meilleur des mondes est-il 2.0. ? Comment la génération Y, biberonnée au numérique et perfusée à la globalisation économique imagine-t-elle l’avenir ? Mylène Mistre-Schaal, Novo (FR), juin 2021. À propos de Brave New World Order.
Artist Benedetto Bufalino unveils a celebration of soccer and community with his latest work, dubbed Laby-Foot. Designboom.com, juillet 2021. À propos de Laby-Foot.
Das Haus flankiert mit seiner eigenen Schau „Stronger than memory and weaker than dewdrops“ die kritische Stoßrichtung. Den Parcours zu Identität und Anderssein betreten Besucherinnen und Besucher über einen roten Teppich wie beim Staatsbesuch. Links hängen in dem Korridor die Fahnen der 27 EU-Mitglieder, rechts die ihrer ehemaligen Kolonien. Ingo Arend, Monopol (DE), 15.11.2021. À propos de Stronger than memory and weaker than dewdrops.
L’exposition se présente comme un parcours dans un monde qui nous est familier – le visiteur y retrouve des situations qu’il a vues à la télévision – et en même temps, décalé – si cela ressemble à ce que les médias nous montrent, les éléments déroutants abondent. Colette Dubois, Hart Magazine (BE), novembre 2021. À propos de Stronger than memory and weaker than dewdrops.
Communication et presse — 145
rapport d’activité 2021 — 144
Les relations presse