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Le Mans
Le Mans reste Le Mans… Décidément, le double tour d’hor loge du Mans reste la course qu’on aime détester. En tête de la classe LMP2 à 2 minutes de l’arrivée, l’Oreca 07 de Louis Delétraz est tombée en panne, Par Gérard Vallat laissant la victoire à la voiture sœur du team WRT.
U
ne telle mésaventure avait frappé la Toyota de Sébastien Buemi en 2016, laissant la victoire à la Porsche de Neel Jani. Cette année, le Vaudois, vainqueur des trois éditions précédentes, a pris la 2e place derrière l’autre Toyota de Conway/Kobayashi/Lopez. 3e au volant de l’Alpine A480, le Franco-Suisse Nicolas Lapierre n’a jamais été en mesure de contester la suprématie nippone. Egalement sur le podium de ces 24 Heures du Mans, Neel Jani a terminé à la 3e place de la classe GTE Pro, dominée par
les Ferrari F488 GTE. Engagée quant à elle en GTE Am, également au volant d’une Ferrari F488, Rahel Frey a pris la 9e place. De cette édition, on mentionnera les grands débuts, peu disputés, de la nouvelle réglementation Hypercar, avec l’arrivée des Toyota et Glickenhaus et, dans une moindre mesure, celle d’Alpine avec une voiture «hybride» LMP1/Hypercar. On retiendra aussi et surtout, l’intensité de la compétition en classe LMP2, avec 26 voitures engagées pour une arrivée séparant de 7 dixièmes le vainqueur de son dauphin.