Sphère business Jane Doe
Réflexions sur la crise actuelle Un virus nous a pris par surprise et nous a trouvés mal préparés à le combattre, mais nous risquons d'être encore plus démunis face aux conséquences prévisibles de l'impasse écologique. Dans les deux cas, notre impréparation est d'abord mentale. De quel type de pensée avons-nous besoin pour nous mettre à la hauteur de cette situation historique ?
Neutralisez les mécanismes hommes-femmes, avec Natacha Amal
Qu’est-ce qui nous (les femmes) conditionne et fragilise face à un interlocuteur, collaborateur, partenaire ou client masculin ? Comment écouter notre petite voix intérieure, dominer nos craintes et nous recentrer sur nos objectifs ? La Fédération des Femmes Cheffes d’Entreprise du Luxembourg (FFCEL) organise son « Lunch Chrono » de novembre sur le thème « des atavismes hommes-femmes », animé par l’actrice belge Natacha Amal. 04 novembre (12h30 – 14h30), à la House 17 | www.ffcel.lu
Ce livre explore les ressources d'une pensée apocalyptique qui invite à considérer l'histoire humaine comme une aventure dont l'humanité ne maîtrise ni le déroulement, ni le sens.
Face à la crise de civilisation qui s'annonce, tout laisse à penser que nous avons perdu la main, mais qu’un nouveau monde émergera de notre créativité culturelle et spirituelle face à des situations que nous n'aurons pas su anticiper. Bernard Perret est essayiste. Ses travaux touchent des sujets très variés : questions économiques et sociales, écologie, anthropologie sociale, christianisme. Il a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels : L'Économie contre la société (avec Guy Roustang ; 1993 ; réed. 2001) ; La Logique de l'espérance (2006) ou Vers une raison écologique (2011) Quand l’avenir nous échappe, de Bernard Perret aux éditions Desclée de Brouwer
L'alarmante sous-représentation des femmes dans les métiers de la cybersécurité (The Conversation)
Seules 5% des experts en cybersécurité sont des femmes. Pour Clarisse Ferreira Paulino, co-auteure de l’article, cette “sous-représentation recèle des enjeux éthiques pour les pratiques des ressources humaines, et des répercussions économiques conséquentes sur les finances des entreprises et sociales liées à la motivation au travail”. Selon la consultante cyber chez Deloitte, le chiffre révèle le refus des étudiantes d’intégrer une filière encore perçue comme « très technique, purement IT » et donc exclusivement masculine. Il traduit aussi une peur d’être mises à l’écart sur le lieu de travail. Pour l’auteure, « il est grand temps de pirater les idées préconçues », et de revoir les méthodes managériales des écoles, des entreprises et des gouvernements.
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